

Paris
Geraldine Beigbeder
« Welcome to my house »
Norman Reedus star of « The Walking dead » and big artist
Johann Perathoner Paris-Tokyo 3D artist
Fiona Gelin
« All for my daddy »

Copyright: Devy Man @devy-man

Behind the doors
C’est avec un immense sourire qui la qualifie et un naturel envié de tous que Géraldine Beigbeder m’ouvre les portes de son appartement Boulevard Saint-Germain, face au « Café de Flore », où poètes et grands dramaturges se réunissaient.
Une immersion totale commence alors, dans un univers hors du temps. Telle Alice, je me faufile à travers chaque pièce pour en découvrir leur trésor (galeristes et agents d’artistes de talent, Pete Doherty, Norman Reedus…). Géraldine détient dans sa demeure de vrais trésors de peintres, dessinateurs, écrivains et brocanteurs.
Ce n’est pas le poinçonneur des Lilas, elle ne danse pas la javanaise mais, ouvrira bientôt ses portes pour des visites privées…
Dans une ère où l’art et Internet se confondent, où l’artiste est en perdition, Géraldine nous offre un regard plus profond, ancré dans l’histoire. Un mélange de savoir faire entre boiseries, toiles et sculptures où l’on sent présente la main de l’artiste qui l’a créé.





Visiter la maison de Géraldine Beigbeder c’est faire un saut dans le passé, c’est s’immerger dans la création et son essence même. MK
Norman Reedus héros de DARYL DIXON
« The Walking Dead » …


Copyright: Erick Seban-Meyer

…Arrive à la galerie Mark Hachem; attendu par son agent, Géraldine Beigbeder, drôle de coïncidence pour celui qui doit guider l’enfant sauveur d’humanité vers son destin, d’entrer dans une galerie portant le nom de Dieu. Tout le monde hurle et pousse, les fans sont devenus eux aussi des zombies assoiffés d’autographes, il est impossible d’accéder à Norman, même lui n’a plus accès à son ombre. Telle une armée de zombies, il se laisse guider par ce marasme ambiant d’une pièce à l’autre .
Une évolution sonore pop-rock de talent accompagne cette déambulation macabre.
La galerie est somptueuse, immense, presque gargantuesque, le champagne coule à flot, tout est dans la démesure. Tout comme la série, et tout comme ses œuvres, entre ombre et lumière, entre beauté et effroi, nous découvrons des ballons pop et colorés autour d’une télévision, hommage à la célèbre scène de l’école des enfants.

Cette pièce particulière à été faite spécialement en collaboration avec ses fans.
Beaucoup d’entre eux sont des enfants, sans doute en quête d’espoir qui voient en lui le héros d’un monde, qui, semble au fond, ressembler au nôtre.


« Tout comme la série, et tout comme ses œuvres, entre ombre et lumière, entre beauté et effroi, nous découvrons des ballons pop et colorés autour d’une télévision, hommage à la célèbre scène de l’école des enfants. » MK


JOHANN PERATHONER
LOST IN TRANSLATION
Cher Johann, nos lecteurs souhaiteraient connaître ton parcours, raconte-nous tout !
Je dessine depuis que je suis tout petit, c’était ma passion, je faisais ça comme un hobby, cela me calmait, je n’étais pourtant pas hyperactif.
Je prenais une nappe de restaurant, quelques stylos, un crayon et je dessinais, pas forcément des villes, mais plutôt des paysages.
J’ai très vite remarqué une évolution dans mes œuvres, je faisais des tableaux de plus en plus grands, colorés, puis j’ai commencé à faire de la 3D


« Etre artiste n’est évidemment pas un faux travail mais il comporte des risques. »
C’est resté une passion jusqu’au jour où, dans des bureaux, chez un groupe qui s’appelle « La Gardère », j’ai exposé mes tableaux et j’ai été approché par un collectionneur d’art qui m’a suggéré de contacter des galeries. J’ai omis de dire que je travaillais à l’époque dans un groupe de presse et je souhaitais faire carrière dans les médias. Mes tableaux étant déjà assez aboutis à l’ époque, ils ont intéressé un galeriste Robert Bartoux, des galeries éponymes. Il m’a donc exposé, au début à Paris puis à Honfleur, ce qui a été un tremplin, puisqu’il avait aussi des galeries à l’international comme Singapour…Je suis donc devenu progressivement professionnel jusqu’au jour où j’ai arrêté mon « vrai travail » même si être artiste n’est évidemment pas un faux travail mais il comporte des risques.
J’ai donc mis au service de mon art mon expérience d’entrepreneur puisque j’avais visiblement quelque chose d’intéressant à construire, et j’ai énormément travaillé. Je gérais la com, le marketing et les tableaux, et tout ce qu’il y avait autour, de façon à accroître ma notoriété, et puis pour en vivre, l’idée étant d’en vivre bien.
Maintenant j’expose dans des galeries du monde entier, New-York, Paris, Tokyo…et c’est une vie de voyages de rencontres, qui est extrêmement passionnante. Je n’échangerais pas ma vie pour un empire!





« il faut quand même dire que l’art ça ne sert à rien de toute façon sauf a être vu »
Peux-tu nous expliquer ce choix des villes et de la 3D ?
La 3D m’est venue à partir des essais que je faisais dans mes collages et découpages, je commençais mon œuvre à plat, et j’ai trouvé intéressant de créer un décalage à l’intérieur de mon œuvre pour qu’elle puisse être vue sous différents angles, cela créait un petit jeu d’ombre que je trouvais fascinant. Il faut quand même dire que l’art ne sert à rien de toute façon sauf à être vu, apprécié et admiré. Au début mes collages étaient bancals puis j’ai amélioré ma technique, j’ai mis du carton plume, j’ai ajouté des cristaux, j’ai enrichi progressivement mon travail. Mais, la 3D me paraissait plus intéressante visuellement, c’était aussi innovant et le résultat plaisait plus que mes tableaux à plat, ça donnait un coté sculpture et les pièces devenaient beaucoup plus impressionnantes et attractives visuellement.



Tu as désormais des fans à Tokyo, raconte-nous comment ça a commencé ?
Quand j’ai commencé dans l’art il y avait la fameuse plateforme de vidéo YouTube, et je postais mes vidéos où j’étais simplement en train de travailler, et je mettais beaucoup de mots clefs comme « Artwork », donc on pouvait me trouver par hasard en tapant certains mots bien choisis, et les japonais qui cherchaient des œuvres de ce style là, l’ont fait tout simplement et sont tombés sur mes tableaux, ils ont apprécié et m’ont contacté.
Quel était le mot ?
3D Artwork
C’était un réel coup de chance !
Chaque rencontre est un alignement de planètes et coup de bol, cette galerie était sérieuse et je découvre que c’est en fait un groupe de six galeries de Tokyo, Yokohama et Kyoto. Désormais le Japon est mon principal marché !
Je travaille aussi en Suisse, à Miami, dans des salons aux quatre coins du monde mais c’est tout de même ponctuel, réellement là où j’ai un marché qui est identifié, où les gens me reconnaissent et où je peux me développer, c’est le marché japonais.
On est curieux de connaître ta première fois au Japon…
J’ai pu comparer puisque j’avais eu la chance déjà de pas mal voyager, je m’attendais à certaines choses et j’ai vu autre chose, le Japon m’a surpris. Le Japon c'est selon moi, le pays le plus avancé au monde, il ne faut pas oublier que c’est une île donc les japonais ne se sont jamais trop mélangés, il y a une identité très forte, des codes très forts, une culture très forte. Tout est fois cent. Ils ont un concept qu’ils appellent l’harmonie qu’ il ne faut pas entraver, il faut rentrer dans un groupe et ne pas trop se mettre en avant, il ne faut pas déranger les autres, donc à partir de là, le moindre détail de la vie va être pensé pour le groupe. Dans le métro les gens respectent la file d’attente pour entrer, ça peut paraître chiant extérieurement de contrôler ses moindres faits et gestes, même pour traverser la rue, par exemple à 4h du matin dans une petite rue, ils vont quand même attendre que le feu soit vert, ils sont rigides. En revanche, quel bonheur, c’est extrêmement propre, on se sent en sécurité, la politesse, la bienveillance y sont très présentes, c’est un pays où on se sent extrêmement bien.

« Ils ont un concept qu’ils appellent l’harmonie qu’il ne faut pas entraver, il faut rentrer dans un groupe et ne pas trop se mettre en avant, il ne faut pas déranger les autres, donc à partir de là, le moindre détail de la vie va être pensé pour le groupe. »

Le cadre aussi, parce-que c’est très cadré ce que tu fais.
Penses-tu que le fait qu’ils soient attentifs aux moindres petits détails, tout comme toi dans tes œuvres a fait qu’ils se sont rapprochés de toi, qu’ils se sont reconnus d’une certaine manière ?
Oui ! c’est une très bonne analogie je suis tout à fait d’accord, ils ont apprécié chez moi les détails
Exactement, c’est gai, c’est naïf, c’est pop comme le Japon, les mangas…mais ils aiment aussi le travail ! Donc quand ils voient qu’un artiste est précis et minutieux, il y a une justification du prix.

Es-tu déjà arrivé au bout de tes rêves ou vises-tu encore autre chose ?
J’aime ma vie telle qu'elle est, j’ai plutôt des rêves d’expositions dans des lieux précis, j’avais réalisé l’Empire State Building que j’ai exposé en haut de la tour en 2020 et c’était un de mes rêves, je rêve à la Tour de Londres, le Burj Khalifa à Dubaï… Il y a plein de lieux prestigieux en rapport avec l’architecture, puisque c’est de l’architecture finalement que je fais. Je fais des œuvres ludiques et figuratives, ça éveille aussi la curiosité des enfants, c’est beau de voir ça.
Alors justement pourquoi des villes et des lieux et pas de l’abstrait ou du nu par exemple ?
Une passion, ça ne s’explique pas, pourquoi une personne va s’émouvoir du nu, pourquoi préférer Mozart à Beethoven, les goûts, les couleurs dépendent de la sensibilité de chacun.
Pour moi, c’est l’idée de revisiter les villes, pas de les faire à l’identique sinon ce serait un travail de photographie, c’est une stratégie qui m’a poussé à être le meilleur dans mon domaine; Avoir le sens du détail !
Cela ne me dérange pas d’être mis dans une catégorie, si l’on dit de moi Johann fait des villes, c’est vrai et je préfère exceller dans ma catégorie.
« Cela ne me dérange pas d’être mis dans une catégorie, si l’on dit de moi Johann fait des villes, c’est vrai et je préfère exceller dans ma catégorie »


Comment est né ton partenariat avec la marque Quinting ?
C’est un joaillier Suisse, il a créé son mécanisme. C’est intéressant car il y a des marques qui vont acheter un mécanisme déjà existant et d’autres qui vont le concevoir aussi, c’est plus cher et prestigieux. C’est une technologie innovante dans un bloc de cristal, avec des aimants, c’est compliqué techniquement…mais j’espère, pour 2024, faire un micro dessin dans le cadran d’une montre pour les jeux olympiques 2024.
Alors Johann tu es SO GOOD OU SO BAD?
Je suis So good évidemment, optimiste et positif,
Interview by Matilda Kahn CEO, founder SOBAD



Interview exclue de Fiona Gélin et son compagnon Richard au Plaza Athénée Fiona, ton parcours est celui d’une grande artiste, comment ton père t’a t-il inspiré ?
Quand je suis née, il avait décidé que je serais comédienne.
Lorsque l’on voit les anciennes interviews de papa il le disait « Fiona est comédienne ». C’est vrai que dès mon plus jeune âge, je me déguisais et je jouais à la maîtresse d’école, j’avais une cabane dans un arbre à la campagne, j’avais mon monde déjà. Puis j’ai fait mon premier film quand j’avais 5 ans, c’est lui qui m’a emmené, et déjà à cet âge-là, j’ai eu un énorme coup de cœur, je savais que c’était mon destin. Ensuite il m’a accompagnée dans mon évolution, il me faisait lire des poèmes, il me faisait répéter mes pièces de théâtre. Déjà, à ma naissanc,e la presse n’avait que mon nom à la bouche, j’étais « la fille de Daniel Gélin ».
J’aimais la vie tout autant que lui, le week-end, il invitait des poètes, des artistes, des chanteurs à la campagne, c’était quelqu'un de humble et de bienfaisant. Il aimait les gens, il aimait la fête, c’était un homme populaire, c’était très nature et simple avec papa.

Copyright: Matilda Kahn

« Je sens qu’il me protège, on est tous les deux poètes, sa société c’est notre bébé. »
Tu l’honores en sillonnant la France avec ton compagnon, Richard.
« A mon père », ainsi s’intitule cet hommage, dis nous en plus…
Richard, son compagnon :
J’ai rencontré Fiona, il y a 3 ans sur le port de Saint-Tropez, j’étais en train de chanter, elle était là en spectatrice, à la fin du spectacle, je suis allé la voir, nous avions un ami en commun. Elle m’a demandé ce que je faisais, je lui ai dit être en préparation d’un album, et quand j’ai entendu sa voix j’ai aimé son identité vocale, j’ai tout de suite voulu chanter avec elle et pourtant, je ne savais pas qui elle était.
Une semaine après, nous étions à la Ciotat à enregistrer une chanson qui s’appelle « A toi ». Après ce duo, elle m'a parlé de la poésie de son père, forcément moins connu du grand public, puisqu’il était surtout connu comme grand acteur français.
Étant féru de poésie moi-même, j’ai souhaité la faire découvrir au monde. Fiona avait ce projet depuis longtemps et nous l’avons mis en exergue. Notre rapport à commencer par une amitié très forte, ce sont les histoires qui durent le plus longtemps.
J’ai donc monté ma boite de prod et nous avons porté les poèmes de son père avec sa voix.
Fiona : Mon père me l’avait demandé quand j’avais 13 ans, « Plus tard tu liras mes poèmes », incarner mon père avec sa propre valise me porte.

Nous avons un vieux camion Mercedes et on se balade sur les places de villages et les parvis d’église, c’est rock’n’roll on dort dedans, Je vais bientôt faire mon premier roman qui s’appelle « La gamine » et Richard, qui est quelqu’un de la terre, me porte. Tout est fluide entre nous.
Je sens qu’il me protège, on est tous les deux poètes, sa société c’est notre bébé.
Chez Castel c’est so good toujours ? oui c’est là où papa allait et Renaud aussi et j’adore y retourner, après la cérémonie de papa, il y avait écrit « Un dernier verre chez Castel » ?
C’est une belle institution, j’aime bien sortir quand je connais le taulier, Gwen est fabuleux
Fiona so good ou so bad? Je suis cash et rock’n’roll mais complètement so good ! MK
Côte-d’Azzur
Monaco : Clover Properties
Interview of Giorgia Prelli
Antibes-Monaco : Metaverse and E-Accessories with Caroline
Vallauris: La dame aux Bonbons
Laurence JENK
Cannes: Bonucci and Prince
Nice: Mister France côte -d’azzur




Chère Giorgia, pourquoi avoir fait le choix d’ouvrir votre propre agence ?
Soukaina et moi avons ouvert notre propre agence car nous avions travaillé pour d’autres agences auparavant et cela ne nous correspondait pas. Étant toutes les deux très indépendantes, nous avions besoin d’adrénaline et de challenge, tout comme toi ! Nous nous sommes rencontrées dans la même agence et main dans la main nous avons décidé de partir afin de suivre notre propre chemin. Nous avions les mêmes valeurs, la même éducation et une extrême compatibilité.
C’est comme un match de tennis, chacune rebondit sur ce que dit ou fait l’autre très rapidement et nous évoluons ensemble, c’est tellement fluide et harmonieux que l’on ne se sent même plus au travail. C’est un réel binôme, nous sommes vraiment dans l’esprit d’un travail d’équipe, réussir ensemble et être heureuse de notre évolution.


Quels types de biens proposez-vous ?
Nous proposons tous types de biens pour tous types de clients, nous ne privilégions pas de clients en particulier. Chaque client est intéressant et mérite le meilleur.
« Chaque client est intéressant et mérite le meilleur. »
Notre secteur s’étend de Monaco, jusqu'à Théoule sur mer, où nous avons vendu une magnifique villa, c’est vraiment la Côte d’Azur.
Réalisez-vous des évènements afin de vous faire connaître dans votre secteur ?
Parlez-nous de votre branche de développement à Dubaï…
Nous organisons également des évènements reliés avec Dubaï. En 2021 nous sommes parties à Dubaï, nous collaborons donc avec une autre agence là bas depuis maintenant deux mois.
Soukaina est resté à Dubaï pour développer cette branche et moi je m’occupe de celle de Monaco, nous faisons souvent la navette.
Désormais notre marché se situe donc à Dubaï et Monaco principalement.
Nous travaillons chacune dans un environnement qui nous correspond et, même à distance, nous avons toujours une très belle synergie.


Parlez-nous de votre type de clientèle, et quelle est l’esprit de votre entreprise ?
Ça reste une entreprise à taille humaine ou chaque client pour nous est privilégié, unique et mérite un accompagnement adapté.
Nous ne vendons pas pour vendre, nous aimons aussi connaître nos clients et les comprendre pour trouver les biens qui leur correspondent.
Nous avons une grande réactivité et nous faisons un accompagnement suivi et assidu.


METAVERSE
Interview of Caroline, Ceo of Alpha Web3
Illustrated by Techygirls
@thetechy_girls

Avant tu travaillais pour l'armée, que faisais-tu?
Tout d'abord, merci de me recevoir dans le So Bad Mag c'est un grand honneur d'être dans ce spécial fêtes collector. Mon parcours professionnel a commencé en 2008, je suis ingénieur et docteur en traitement de l'information, j'ai donc un Bac+8. Grâce à ce diplôme, j'ai travaillé pendant 10 ans pour un grand groupe qui avait pour client la Marine Nationale et l'Etat.
J'étais ingénieur "Recherche et Développement de systèmes logiciel complexes". Cela consistait à augmenter les performances des traitements de données des équipements SONAR qui permettent de détecter des obstacles ou objets sous l'eau à bord des sous-marins et navires de surface.
Cela me plaisait beaucoup mais je voyais que les technologies de l'internet évoluaient très vite et qu'on allait prendre du retard pour nos clients si on ne s'y mettait pas. J'ai donc proposé, deux années de suite avec ténacité, plusieurs projets sur l'Intelligence Artificielle mais ils n'ont malheureusement pas été retenus sur le moment...


Pourquoi t'es-tu lancé dans l'entreprenariat?
Suite à un concours digital proposé par le siège du Groupe, j'ai obtenu un prix pour réaliser mon prototype d'application mobile. Ne me sentant plus évoluer dans mon entreprise, j'ai donc demandé une disponibilité pour création d'entreprise et la propriété intellectuelle de l'application mobile, ce qui a été acceptée. Un an après être partie de l'entreprise, j'ai appris que des clients avaient réclamé les technologies d'IA que j'avais défendues en disant qu'on avait 5 ans de retard d'études sur ce sujet !
CQFD (Ce qu'il fallait démontrer) j'avais eu "La Vision" et elle n'avait pas été entendue. Cela m'a conforté dans le fait de croire en mes idées et d'arriver à lever des fonds pour les mettre en oeuvre.
J'ai créé la marque et la SAS Instant2gether, une application mobile qui consistait à trouver en temps ce qui nous correspond autour de nous, un algorithme inspiré du SONAR (détecter en temps réel) mais pour le grand public dans le domaine de l'événementiel et des commerces de proximité. Je pouvais enfin agir selon mes valeurs environnementales avec moins de déplacement pour les personnes et une vie plus locale. J'avais levé 112 000 euros pour créer le première version prête à sa mise sur le marché en 2019, de plus la start-up avait été sélectionnée par la Région Sud parmi les meilleures de l'année pour aller au CES Las Vegas en janvier 2020 (le plus grand salon des start-up du monde).
Malheureusement, le Covid est venu interrompre cette belle histoire en enfermant les personnes que je souhaitais faire sortir localement, so bad... Les promesses d'investissement ont été retirées et les aides ne sont jamais tombées car ce n'était pas du Chiffre d'Affaires mais une levée de fonds...
J'ai alors bifurqué vers les dernières technologies de l'Internet : la Blockchain et le Metaverse et ça a plutôt bien marché puisqu'en 2024, j’y suis encore.
J'aime agir selon plusieurs directions et apprendre pour être là où les autres ne vont pas, créer entre 2 ou 3 domaines qui ne sont pas censés se côtoyer. La liberté d'agir selon ma vision et avec mon adaptabilité, c'est tout ce que je voulais quand j'ai commencé, pouvoir créer est essentiel pour moi. C'est une activité très enrichissante, une philosophie, une connexion à soi profonde. L'entreprenariat, c'est créer, faire fonctionner puis vendre. J'adore ce chemin, c'est le mien, j'incarne ces challenges là.

Comment se passe le partenariat avec Matilda?
J'ai toujours adoré la mode et le cinéma (le côté créatif de ces domaines), cela m'a toujours beaucoup inspiré, d'ailleurs durant ma jeunesse, j'ai fait un peu de figuration et de modeling pour découvrir ce monde mais j'y ai accordé peu de temps car mes études et le sport en compétition (volley-ball) prenaient beaucoup de place.
Quand j'ai rencontré Matilda Kahn sur les réseaux et que j'ai vu ce qu'elle faisait, cela m'a beaucoup inspiré et j'ai souhaité apprendre à la connaître davantage.
En plus de son énorme capacité travail, Matilda est une femme pleine de valeurs, elle rayonne dans la mode avec son agence de mannequins et le magazine So Bad Mag en est la preuve. J'aime les gens qui sont dans le FAIRE et qui avancent VITE donc c'est tout naturellement que le partenariat s'est créé. De plus, je souhaitais apprendre plus encore du monde de la mode, de l'art et de la publicité puisqu'aujourd'hui ce sont les domaines dans lesquells je me développe également pour y intégrer des nouvelles tennologies. technologies.

Et votre Maison d'édition?
A force de discuter, Matilda Kahn et moi avons trouvé qu'il serait intéressant de revisiter les services d'une maison d'édition en les rendant plus modernes : L'édition du magazine dans le Métavers et le So Bad Mag achetable en réel et en ligne via un collier connecté sont donc nos services d'exception très High Tech de notre nouvelle maison d'édition ! Vendre un magazine sous la forme d'un e-collier est assez inattendu et provoque de très vives et belles réactions chez les personnes à qui on a pu faire la démonstration. On a trop hâte que les lecteurs puissent tester !
De plus le magazine étant dans le luxe, la mode et l'art, cela est d'autant plus apprécié qu'il soit assorti d'un bijou, c'est so smart !

E-shop d'accessoires :
https://link-tech-in-fashion.sumupstore.com/
Un exemple de carte de visite :
https://link-tech-in-fashion.com/Dr-Caroline-HERVE
Création de cartes de visites numériques pour mettre dans les bijoux :
https://link-tech-in-fashion.com/
Comment as-tu rapproché l'art et la technologie?

La technologie de la Blockchain feront partie des serveurs de données du futur, cette technologie permet déjà de tracer des oeuvres digitales et d'en faire des actifs financiers donc de défendre l'art digital. Je trouve cela dommage que les oeuvres réelles soient laissées pour compte et que le "Phygital" c'est à dire le double numérique de l'oeuvre réelle (vidéo ou photo) ne soit pas complètement lié et sécurisé à l'oeuvre réelle. Ce que je sais possible mais qui nécessite le dépôt d'un brevet dès que cela sera possible pour moi par rapport à ma connaissance des semi-conducteurs (puces interactives) et des protocoles de sécurité sur la Blockchain. A suivre donc...
J'ai créé mes propres NFT pour montrer que je savais faire et créer mes propres robes (avec une technique que je maîtrise depuis petite : le macramé) pour montrer aux artistes à quoi servent mes inventions. Moi-même une artiste dans l'âme, j'adore cet univers de créativité.
Voici ma démo de projet lié à la vente de NFT (image répertoriée comme unique sur la Blockchain = coffre fort) : https://caro-line.art/ Et en photo, ma robe Meta Line Bitcoin. Interview by MK

Laurence
Jenkell, Artistiquement connue sous le pseudonyme JENK, Laurence est une sculptrice et peintre française d'art contemporain, autodidacte, reconnue mondialement pour ses sculptures de Bonbons plus grandes que nature. Née en 1965, Laurence JENK a marqué le monde artistique avec ses créations gourmandes, devenant une représentation populaire et universelle de la couleur et de la joie. Vivant et travaillant dans le sud de la France, JENK a ouvert un atelier-galerie à Monaco en 2022, affirmant sa présence dans l'élite artistique européenne. Depuis plus de 20 ans, Laurence JENK travaille une palette de matériaux diversifiés - plexiglas, polyester, bronze, aluminium, marbre et verre de Murano - pour donner vie à ses Bonbons plus grands que nature. Ces œuvres monumentales sont plus qu'une simple représentation de sucreries; elles sont le reflet de l'expérience humaine, mêlant l'enfance et la maturité, la simplicité et la complexité. "Le Bonbon est devenu un langage, une façon de communiquer au-delà des mots," déclare Laurence JENK. Cette citation révèle sa vision de l'art comme un moyen de communication transcendant, touchant l'âme et suscitant l'émerveillement.

Le célèbre Bonbon de JENK
est devenu plus qu'une simple œuvre d'art : c'est une icône culturelle, un symbole de plaisir, de gourmandise et de nostalgie. Chaque sculpture reflète une part de l'histoire personnelle de l'artiste et de son rapport à l'enfance car Laurence JENK conserve une passion profonde pour les bonbons, un amour né d'une privation enfantine.

Elle explique : "Privée dans ma jeunesse de ces sucreries, j’ai développé une véritable appétence pour ce symbole de l’enfance et de la douceur." Cette fascination a nourri sa détermination artistique, l'amenant à créer des œuvres qui transcendent le temps et les générations, invitant chacun à redécouvrir son enfance et à s'émerveiller. "Les bonbons étaient pour moi un objet de désir, un rêve inaccessible, les transformer en art a été ma manière de réconcilier ce désir avec ma réalité d'artiste", confie-t-elle.



L'impact de son travail sur la scène de l'art contemporain a été reconnu en 2019, lorsqu'elle a été nommée Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres, une distinction qui souligne sa contribution exceptionnelle à l'art et à la culture. Son influence s'étend bien au-delà des frontières françaises, avec des œuvres exposées dans plus de 50 pays, témoignant ainsi de leur résonance universelle. Elles occupent une place de choix dans de nombreuses collections prestigieuses, tant publiques que privées.
Au fil des années, JENK a affiné sa technique et élargi son champ d'expression artistique. En plus des Bonbons, elle a développé des séries telles que les Robots ou l'ADN, explorant de nouvelles thématiques tout en restant fidèle à son style distinctif. Ses collections témoignent de son talent pour la métamorphose des objets du quotidien en œuvres d'art, une compétence qui lui a valu une reconnaissance internationale.
En plus de son travail en atelier, JENK a participé à de nombreux projets artistiques publics, notamment des promenades artistiques dans des villes du monde entier. Ces événements visent à rendre l'art accessible à tous et à encourager la découverte artistique dans des cadres urbains et ludiques. Que ce soit lors du Sommet du G20 à Cannes, dans les rues de New York ou à Saint-Jean-Cap-Ferrat, Cambrai ou à Dubaï, les sculptures de JENK ont attiré l'attention et suscité l'émerveillement des passants.


La solidarité et le partage sont des valeurs fondamentales pour Laurence JENK. Elle s'est régulièrement engagée dans des actions caritatives, offrant ses œuvres pour soutenir des causes qui lui tiennent à cœur. Ses sculptures ont été vendues lors de ventes aux enchères pour des organisations telles que la Fondation des Femmes, le Téléthon, les Restos du Cœur, Octobre Rose et bien d'autres. Son engagement va au-delà de la création artistique; il reflète une volonté de contribuer à un monde meilleur et plus juste.
En 2022, JENK a décidé de partager son univers artistique de manière plus interactive en lançant les ateliers "Make Your Own Bonbon". Ces ateliers permettent aux participants de tous âges de s'initier à l'art de la sculpture et de créer leur propre version des célèbres bonbons de JENK. C'est une façon pour elle de démocratiser l'accès à l'art, de partager sa passion et d'inspirer la créativité chez les autres.
En 2023, Laurence JENK a fait découvrir son mobilier ainsi que ses produits dérivés tels que des colliers Bonbons, des foulards Bonbons ou encore de l'art de la table et de l'intérieur, fondés sur les emblématiques Bonbons qui sont désormais disponibles sur sa boutique en ligne.
L'œuvre de JENK est un véritable voyage à travers la couleur, la forme et le sens. À travers ses sculptures, elle invite chacun à redécouvrir l'enfant intérieur, à s'émerveiller devant la beauté et la simplicité de la vie. Son parcours d'autodidacte, marqué par une détermination et une passion inébranlables, est une source d'inspiration pour tous ceux qui aspirent à exprimer leur propre créativité.
Entrer dans l'univers de JENK, c'est accepter une invitation à l'émerveillement, à la réflexion et à la joie. C'est découvrir une artiste qui continue de pousser les frontières de l'art pour partager un message d'espoir, de beauté et de bonheur. Avec chaque bonbon sculpté, JENK nous rappelle que "La gourmandise n’est pas un défaut", mais une célébration de la vie et de l'art.
Plus d'informations sur www.laurencejenk.com


Copyright: Serge Haouzi
Claude Bonucci, Prince… la rencontre de deux virtuoses
C
laude Bonucci est la preuve que les tissus de grande qualité existent toujours. Dans une ère où le consumérisme accru nous fait perdre les valeurs du beau et du bon goût, certains, sont là depuis 57 ans pour le plus grand plaisir de nos yeux. Ses mains racontent l’histoire, celle du tissu, du beau, du travail, celle de l’époque des maîtres tailleurs et modistes, celle du sur mesure où le mot exceptionnel rimait avec luxe, celle où les couturiers de talents travaillaient avec des étoffes d’exception.
Cette pièce à été portée par Prince à l’époque de son tube « Purple Rain ».
Claude Bonucci adore aussi les couleurs, mais ce manteau blanc en cachemire, aura sillonné les plus beaux endroits du monde sur les épaules d’un des plus grands chanteurs de la POP.
Il avait compris qu’une pièce de qualité ne peut exister sans un tissu de grand choix, c’est pourquoi le manteau de Prince à été confectionné avec un tissu italien qui servait également à confectionner la traîne du Pape.
A l’époque où le « OLD MONEY », balaie d’un revers de main le « NEW MONEY », on signe direct pour du Bonucci
Style intemporel… Accoudé au bar du Carlton, on se laisserait bien tenté par un petit whisky sur un fond de jazz… En somme, de Bond à Prince, d’Enrico Macias au Prince Rainier, Claude Bonucci à su s’imposer à travers l’histoire comme étant un incontournable du beau et du bon goût.
« My Versace or my Bonucci? »
Bonucci, of course! Parole de Prince! Le manteau s’est vendu aux enchères à plus de 25000 dollars. MK



Il s’appelle Alexandre Labrouvre, 1,84 m, né le 16 janvier 1998 à Clamart, profession, commercial, chef de publicité radio, demeurant à Nice.
Il est grand, serviable, souriant et surtout lumineux.
Qui de mieux que lui pouvait incarner tout le soleil et la bonne humeur de la côte d’Azur ? Un regard lumineux, une crinière de lion, il est désormais Le symbole de la côte ! On vous raconte…
L'élection Mister France, MISTER FRANCE Côte
D'AZUR 2023 s'est déroulée à Nice au Parc Phoenix le vendredi 20 octobre 2023. Une ambiance chaleureuse sous l’oeil aguerri du président régional, David Guérin, pour qui ses Mister sont ses petits protégés. On sent que pour lui c’est une affaire de famille et que chaque Mister est unique.
armi les membres du jury: Maty DIOUF Adjointe au Maire de Nice, François
DEIXONNE Président du Comité National, et différentes personnalités locales.

Le premier dauphin est Castello
Evan, 1,85 m habitant Puget sur Argens, né le 23 janvier 2001 à Pertuis, profession paysagiste.
Le deuxième dauphin est Constant
Nicolas 1,78 m né le 06 juillet 2004 à Nice , demeurant à Carros, profession étudiant.

Le comité Mister France, depuis de nombreuses années, déniche de nombreux talents et s’évertue à les mettre en valeur afin qu’ils puissent évoluer vers leur propre avenir et réaliser leur rêve... MK



TORINO
Giuseppe Alletto, famous modern art curator, open his doors

la mia casa-studio d'arte a Torino come luogo di incontro in rapporto osmotico con la città.
Un centro propulsore di scambi dove accogliere e rigenerare le istanze e le suggestioni artistiche e culturali della capitale del Piemonte.
Il "quadrilatero romano" a Torino costituisce il cuore della città.
Un crocevia di stratificazioni storiche dall’eredità romana alle ricostruzioni medievali sino alle moderne concezioni dell’architettura contemporanea.
La caratteristica Contrada dei Guardinfanti, luogo di botteghe artigiane e piccole ma preziosissime attivià commerciali di nicchia, fa da preambolo alla zona detta Porta Palazzo.
Tra rovine dell'antica dominazione romana e nuove costruzioni Porta Palazzo è animata dalla movida torinese e dal mercato all’aperto più frequentato della città.
Vicino al Quadrilatero sorge anche il Museo Egizio che costituisce il museo europeo più ricco di reperti archeologici relativi all’antico regno dei Faraoni. Alle spalle di via San Francesco d’Assisi, dove sorge il palazzo dal design contemporaneo che ospita il mio Studio, tanto l’occhio vergine del turista quanto quello abituato del torinese si lasciano incantare dalle sculture di Piazza Solferino in dialogo con i grigi delle foglie e il verde scuro dell’acqua della fontana.
La piazza è carica di significati simbolici ed esoterici come nello stile di Torino. Ecco uno dei motivi per i quali ho scelto Torino come luogo del mio secondo studio (il primo è quello che ho in Sicilia).
L’esoterismo costituisce uno dei mie campi di interesse.
Da quando frequentoTorino ho avvertito l’energia che attraversa la città con i suoi mille simboli da Piazza Statuto all’Obelisco, dal ricordo ancora vivo di Gustavo Rol ai particolari architettonici degli eleganti palazzi della Crocetta e ai segreti di Via Lascaris.


D
al balcone principale dello Studio, che domina sulla piazzetta di via san Francesco d’Assisi accanto ad uno splendido palazzo con raffinati e complessi, durante il Plenilunio il nostro satellite sembra essere incorniciato dalle linee
dell’ampia finestra .
Perfetto per alcuni dei Rituali esoterici che opero per me stesso e che animano alcune delle mie notti sabaude.
Il colore dominante dell’arredamento è il verde a ricordare il colore dei marmi della splendida galleria San Federico a due passi da via San Francesco.
Se negli altri studi d’arte il racconto visivo è quasi sempre monocorde e focalizzato soltanto sull’artista proprietario dello spazio qui invece sarà possibile vedere anche le opere di altri creativi.
Mi riferisco al progetto Green Box tv Art project.
La pittura può continuare a vivere il suo percorso millenario nel confronto con gli altri media.
La pittura può mantenere una titolarità solo accentuando la sua portata “culturale” a fronte dello svuotamento di significato del bombardamento di stimoli solo intellettualmente superficiali proveniente dal resto dei mezzi di comunicazione visiva.
La mia idea è quella di concretizzare visivamente queste ed altre suggestioni sul tema appoggiando – in senso letterale- un opera bidimensionale, un “quadro” si sarebbe detto in altri tempi – sullo schermo di un comune tv color presso la zona living della mia casa studio.
Ho pensato di invitare, di tanto in tanto, un amico artista la cui opera verrà tenuta in esposizione per un mese in quella “posizione” particolare all’interno del green box che custodisce la tv stessa.
tratta di un’operazione ironica e concettuale al tempo stesso nello slittamento dei canoni del sistema dell’arte: un artista (in questo caso io) espone in uno “spazio” il lavoro di un altro artista all’interno di un “atto” concettuale che finisce per essere una sorta di gesto-installazione a quattro mani.
Negli spazi interni alcuni oggetti di Design contemporaneo (il pouff Bonaldo, le lampade Kartell etc..) dialogono con le mie opere dagli olii su tela ai disegni su tavola e alle opere a tecnica mista.
La presenza di due balconi finisce per rappresentare architettonicamente l'idea di scambio con la realtà esterna che invade con la sua luce e i suoi suoni l’atmosfera rarefatta dello Studio.
Si tratta infatti di uno spazio che vuole proiettarsi verso la città ad accogliere operatori dell’arte e non solo.
Qui collezionisti, galleristi, artisti e amici possono non solo visionare le mie opere in mostra ma anche scoprire alcuni segreti tecnici della mia pittur e della mia arte
Il cavalletto è sempre aperto con qualche opera in costante lavorazione ! Non solo arte e cultura ma anche conversazione e relax in quella che ho chiamato "The Meeting Corner", l’angolo dell’incontro.
Questo spazio infatti sarà dedicato a scambi, interviste, chiacchierate che resteranno private o che potranno coinvolgere un pubblico più ampio grazie alle possibilità del Video e dei Social Networks.
Il visitatore solitario potrà anche rilassarsi consultando la mia piccolissima ma preziosa selezione di riviste d’arte che puntualmente acquisto ogni mese e soprattutto i miei libri: dall’arte all’antropologia con una sezione particolarmente interessante per quanto riguarda l’Esoterismo.
Tra i volumi anche alcune pubblicazioni rarissime come la prima edizione di "Fronde dell’Antico Noce" di Ottavio Adriano Spinelli.


sembrano spiare il visitatore da qualche cassetto semi aperto di un comodino in legno, opere dal sapore erotico-pop che sbucano dall’armadio a muro,
dipinti di carattere mitologico contemporaneo sopra cassettiere dal design moderno, minuscole creazioni inserite persino nel bagno dalle lussuose rifiniture in verde e blu.
Oltre all’idea di open studio che diventa spazio di incontro il "concept" che ho voluto perseguire è quello dell’arte che conquista e anima tutti i possibili spazi domenstici interagendo con la casa in modo di volta in volta ironico, surreale, poetico.
The Meeting Corner
Interviste, incontri, chiacchierate: ecco cosa avrà luogo in questo angolo del mio studio che chiamo The Meeting Corner.
Le belle e comode poltrone blu, il tavolino nero con dell’ottimo liquore rosolio direttamente dalla Sicilia il tutto circondato da opere mie e di altri artisti e da pezzi di design contemporaneo che accolgono il visitatore e lo invitano a rilassarsi.
Questo angolo del mio studio vuole essere il luogo d’elezione per chiacchierate e scambi che possono essere tanto pubblici quanto privati.
Qui, oltre ad accogliere gli amici che quasi quotidianamente vengono a scoprire i segreti del mio studio, voglio anche realizzare delle interviste e delle dirette social.
Non solo sarà qui che rilascerò alcune interviste ma soprattutto sarà in questo angolo che svilupperò la mia serie di video "L'artista dell'Intervista” nella quale sarò io a rivolgere alcune domande e a scoprire insieme al pubblico storie di personaggi interessanti del mondo dell’arte, della moda, della cultura, ecc…
Non so se sarò bravo con le domande quanto dicono che io lo sia con pennello e matita ma si dice che nella vita bisogna provarci! :)


