à la UNE- Sorel-Tracy & région

à la

Sorel-Tracy & région

Sorel-Tracy

LA FACE CACHÉE DE L’ENTREPRENEURIAT Infrastructure et collectivités du Canada :

RENCONTRE AVEC LE MINISTRE

Vol. 2 No 1 - Avril 2019

VOTRE ÉQUIPE RÉGIONALE POUR L’ASSURANCE DE VOTRE ENTREPRISE EXCELLENCE

INTÉGRITÉ

RIGUEUR

Sylvain Abgral

Robert Bourdages

Caryne Boisvert

Jean Mandeville

Richard Lamoureux

Louis St-Amant

Serge Laroche

Caroline Latour

Diane Dubois

Nathalie Cheyney

Carole Poirier

Éric Moreau

Marie-Claude Martin

Isabelle Vallée

Nicolas Silveri Laliberté

450 746-1000 LussierDaleParizeau.ca

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À LA UNE EXPRESS :

5

La face cachée de Sorel-Tracy Biophare, Statera, Défi-Vélo Lussier

LA FACE CACHÉE DE l’entrepreneuriat

8-9

SOMMAIR OMMAIR

Mot de LA Chambre :

ACTIVITÉS DE LA CCIST

6

Grand dossier :

8

La face cachée de l’entrepreneuriat

RECYCLO - CENTRE : Les atouts

Mangez local SHIPTRACK

Exporte le talent Sorelois

Mangez local

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CCIST :

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L’honorable François Philippe Champagne

À LA RENCONTRE DE :

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COUP DE cœur :

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Café écluse N 10 o

VILLE DE SOREL-TRACY :

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UN ÉTÉ SANS RÉGIME :

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les dashcam :

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Encourage les fournisseurs locaux C’est possible

À quoi ça sert ?

CANNABIS LÉGALISÉ :

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GALA DU MÉRITE ÉCONOMIQUE :

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7 choses à savoir

LE CANNABIS ....

CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR !

Un évènement à ne pas manquer

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16 18

Richard Morissette

18

14

RENCONTRE AVEC LE MINISTRE :

Les nouveaux membres

RENCONTRE AVEC LE MINISTRE

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Éditeur :

Sylvain Dupuis

Directrice adjointe Organisation & révision :

LA FACE CACHÉE DE SOREL-TRACY

Astrid Debeissat

Rédactrice & journaliste et révision : Ladane Bonnefoy

Rédactrice & journaliste :

Annie Bourque

Photographes : Mireille Caza Maurice Parent

Création & direction artistique graphisme :

Thierry Migeon tm-communications.com

Publicité :

Linda Barabé

Photographie page couverture : Mireille Caza

Impression : Les imprimeries Sortrac inc Tirage : 3000 exemplaires

Distribution :

Postes Canada, Entreprises de la MRC Pierre-De Saurel

Dèpôt légal :

Bibliothèque nationale du québec Bibliothèque nationale du Canada 4e trimestre 2018 ISSN : 2562-2293

À la une Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy 67, rue George Sorel-Tracy (Québec) J3P 1C2 Tél : 450 742-0018 Info@ccist.ca www.ccist.ca

Crédit photo : Maurice Parent

ET SI NOUS REVENIONS DANS NOTRE RÉGION COMME POUR LA PREMIÈRE FOIS ?

On a souvent entendu dire, dans le passé, que la difficulté de Sorel-Tracy à se relever du rétrécissement de grands secteurs d’emplois industriels résultait de l’absence d’un tissu assez dynamique et étendu de PME. Aujourd’hui, nos PME sont là, plus nombreuses, plus dynamiques, plus ambitieuses que jamais. Dans ce second numéro de notre magazine, la Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy a à cœur d’offrir une place de choix aux plus petites entreprises de la région.

Car favoriser l’achat local est un objectif qui appartient à chacun d’entre nous.

Quel meilleur moyen, pour inclure les entreprises d’ici dans nos collaborations commerciales, que de mieux les connaitre ? Nos citoyens, eux aussi, ont un impact économique. Invitons-les à rencontrer et à redécouvrir ces entreprises, services et commerçants de notre région, souvent plus complets et diversifiés qu’on ne le croit !

Depuis plusieurs mois maintenant, la tendance au retour de plusieurs entreprises comme membres de notre Chambre se confirme. Renouvelons notre façon de mettre en valeur ces entreprises et ces entrepreneurs de notre région et de leur offrir une visibilité intéressante et accessible !

Nous vous remercions de votre confiance et continuerons à vous proposer des activités formatrices, enrichissantes, divertissantes afin de réseauter et d’accompagner votre croissance.

Partagez-nous vos nouveautés et faites peut-être partie du prochain numéro de « À LA UNE Sorel-Tracy & région » !

Sylvain Dupuis, Directeur général

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À LA

EXPRESS

Le Biophare regarde vers l’avenir Par : L.B

Depuis ce début d’année, c’est Anne-Marie Dulude qui a pris la direction du Biophare, suite au départ à la retraite de Marc Mineau. Ce dernier avait débuté en 1994 au sein de ce qui était encore le Centre d’interprétation du patrimoine de Sorel avant de changer de nom en 2009. C’est avec un très grand enthousiasme que cette biologiste de formation a pris les rênes de l’institut muséal pour lequel elle travaille depuis 2001 déjà. La quasi-totalité des expositions, que ce soit sur le site même du Biophare ou sur Internet (expos virtuelles), a été réalisée par ses soins. Le conseil d’administration lui a souligné sa confiance dans cette mission via sa présidente Anne Laganière : « Anne-Marie possède l’expérience, les compétences et toutes les qualités nécessaires pour que le Biophare puisse poursuivre son développement et accroitre son rayonnement. Nous lui avons confié ces responsabilités, dans un souci de continuité mais aussi avec un désir de renouveau ».

Situé au 6 rue Saint-Pierre, à Sorel-Tracy, le Biophare a pour mission de projeter un point de vue vivant et actuel sur les multiples valeurs patrimoniales associées à l’occupation du territoire de Sorel-Tracy, de la région de Pierre-De Saurel et de la réserve de la biosphère du Lac Saint-Pierre.

Année 2019 bien engagée Par : A.D pour Statera

En février 2019, Statera a annoncé la signature d’un nouveau partenariat avec son voisin de centre-ville, Richardson International, pour un montant de 200 000 $, dont 150 000 $ en argent et 50 000 $ en services. Ce don servira en particulier à la mise en place d’une nouvelle expérience lumineuse. Après une première saison 2018 plus courte, et donc moins achalandée que prévue, mais néanmoins bénéficiaire, l’équipe de Statera a retroussé ses manches afin de renouveler son offre. On retrouvera parmi les changements 2019 une baisse générale de prix, qui sera surtout significative pour les enfants et la croisière. Les horaires d’ouverture seront élargis, en particulier pendant les vacances d’été, et on annonce même l’arrivée d’une croisière « Coucher de soleil » ! Ces changements s’opèreront sous la houlette de la nouvelle directrice générale, Mme Marie-Josée Salvas, dont l’arrivée a été officiellement annoncée le 18 mars dernier.

Originaire de la région, Mme Salvas y revient après une longue carrière en marketing à Montréal, notamment au service de l’Espace pour la vie qui comprend le Biodôme, l’Insectarium, le Jardin botanique et le Planétarium de Montréal.Et comme on ne s’ennuie jamais chez Statera, soulignons également la nomination du projet à titre de projet innovant dans la catégorie « Culture, patrimoine, loisir et tourisme » du mérite Ovation municipale de l’Union des municipalités du Québec.

Mme Marie-Josée Salvas

Défi Vélo Lussier 2019 : Éric Durand président d’honneur Par : A.D

En 2019, c’est Éric Durand, copropriétaire et président d’Aciers Richelieu et Usinage St-Laurent, qui parrainera le Défi Vélo Lussier, en mémoire de son épouse Marianne Collin, décédée du cancer en 2018. Pour en savoir plus, www.lussierdaleparizeau.ca/defi-velo

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LE 5 À 7 DE LA CHAMBRE DE COMMERCE

La Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy (CCIST) en collaboration avec la Caisse Desjardins Pierre-De Saurel, les Habitations Richard Hébert, Rio Tinto Fer et Titane et le journal Les 2 Rives ont reçu plus de 200 entrepreneurs, le 7 février au Cabaret Les Années Folles, dans le cadre du premier 5 à 7 de l’année de la Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy (CCIST).

L’importance des activités de réseautage au sein de la CCIST est grandement appuyée par la présence des nombreux entrepreneurs présents sur place. La formule « La force d’un réseau » permet de mettre en valeur les partenaires de la CCIST qui soutiennent annuellement l’organisme, démontrer l’importance et la vigueur des entreprises de notre région, de développer des liens d’affaires et de discuter des divers enjeux régionaux afin d’appuyer le développement de la région.

Souper-Tournant DE LA CHAMBRE DE COMMERCE La Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy (CCIST) en collaboration avec la Caisse Desjardins Pierre-De Saurel, les Habitations Richard Hébert, Rio Tinto Fer et Titane et le journal Les 2 Rives recevaient plusieurs entrepreneurs dans le cadre d’une soirée de réseautage. Sous la forme d’un souper tournant,cela leur a permis de rencontrer les responsables des achats de plusieurs grandes entreprises de chez nous, afin de favoriser l’achat local en redécouvrant les entreprises de notre région.

Personnes présentes Chan-Hoa Ly - Ville de Sorel-Tracy Marc Antoine Lacourse - Arcelor Mittal Christian De Guise - CCIST Sylvain Martel - RTFT Candide Lemay - Cégep Sorel-Tracy Mélanie Chalifoux - Maison Riviera Serge Laperrière - Richardsons Andréanne Ménard - Commission scolaire Sorel-Tracy

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APPEL AUX COMMERÇANTS INSCRIPTION AU FICHIER CENTRAL DES FOURNISSEURS DE LA VILLE DE SOREL-TRACY Rendez-vous sur le site internet portailmunicipalfournisseurs.com pour compléter le formulaire prévu à cette fin.

Assurez-vous de compléter tous les champs requis afin de ne pas retarder le traitement de votre dossier.

Une confirmation ainsi qu’un numéro d’inscription au fichier des fournisseurs vous seront ensuite transmis par courriel.

Il est de la responsabilité du fournisseur de veiller à la mise à jour de son dossier, qu’il s’agisse d’un changement d’adresse, d’un numéro de contact ou d’une adresse courriel.

RENSEIGNEMENTS Chan-Hoa Ly, CPA, CMA - Chef de division, approvisionnement 450 780-5600 poste 5706 - approvisionnement@ville.sorel-tracy.qc.ca

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Étant donné que c’est un nouveau répertoire informatisé, IL EST ESSENTIEL QUE VOUS VOUS INSCRIVIEZ POUR UNE PREMIÈRE FOIS. VOUS DEVEZ VOUS INSCRIRE ET CE, MÊME SI VOUS FAITES DÉJA PARTIE DES FOURNISSEURS DE LA VILLE ACTUELLEMENT. Une fois incrite, votre entreprise pourra être sollicitée par notre personnel à présenter des offres de services.

À Sorel-Tracy et environs Le visage de l’entrepreneuriat change à Sorel-Tracy à l’instar de l’économie planétaire. Depuis quelques années, on assiste à l’émergence de nouveaux entrepreneurs issus de la « Gig économy », qui signifie « un contrat à la fois ».

Par : Annie Bourque

La face cachée de

l’entrepreneuriat

Ces micro-entrepreneurs sont concentrés dans l’économie de services dont la livraison de nourriture, le transport de gens et même la location de personnel en usine. Portrait d’un phénomène qui attire les travailleurs, avides de souplesse, de liberté et d’autonomie.

Après des études en nutrition à l’Université de Montréal en 2016, Catherine Paul est revenue dans la région. La jeune femme de 25 ans propose à ses clients des conseils nutritionnels et de bonnes recettes santé, dont une mousse au tofu et chocolat. La tendance est là : les gens veulent diminuer leur consommation de viande et opter pour des aliments sains et naturels.

Fin 2017, Catherine va plus loin en créant sa propre ligne de repas végétariens à emporter : salades en pots Masson, soupes potages et collations desserts. « Les gens ont moins de temps pour cuisiner et plusieurs désirent un repas santé déjà préparé », raconte-t-elle.

La majorité de ses habitués sont âgés de 20 et 45 ans. « Un public sensible aux problématiques climatiques et à la tendance du zérodéchet. » Son service fonctionne très bien. Sa maman Sylvie Parenteau l’aide à confectionner ses plats. Déjà, Catherine est en mode innovation. « Je commence à donner des conférences en nutrition dans les entreprises et cela m’ouvre un nouveau marché. » Son secret de réussite ? « Il faut croire en ses rêves et travailler avec passion », dit-elle en souriant.

Photo : Mireille Caza

La nutritionniste Catherine Paul propose aussi une gamme de repas végétariens pour emporter.

Crédit : Courtoisie

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Photo : Courtoisie

La faute à Facebook, Twitter et Cie Les plateformes virtuelles comme Adèle, Airbnb, Uber enrichissent les travailleurs indépendants. Même chose pour les réseaux sociaux qui permettent à de jeunes entrepreneurs de bien tirer leur épingle du jeu. On le sait, Facebook, Instagram, LinkedIn, Twitter sont devenus incontournables pour les entreprises. Ces sites aident à propulser leur image mais aussi à recruter les milléniaux.

Ce phénomène a créé une niche pour Alexandra Millette qui a fondé en 2012 son entreprise A Majuscule, spécialisée en gestion des réseaux sociaux.

La Soreloise de 33 ans a étudié en communications dans la métropole et a travaillé durant deux ans pour des agences de marketing. Fin 2009, la jeune femme ressent le besoin de revenir vivre dans sa ville natale. Pendant un an, elle effectue un remplacement de maternité à l’Office de tourisme de Sorel-Tracy. Puis, Daniel Vincent, alors consultant en communications lui délègue des mandats.

Selon Alexandra, le monde des affaires à Sorel-Tracy est propice à la réussite. « C’est facile de se créer ici un bon réseau auprès des organismes et entreprises. » Toutefois, la jeune femme provoque sa chance en rencontrant les bonnes personnes au bon moment. Résultat ? Elle décroche des contrats pour Rio Tinto, les Fêtes du 375e de Sorel-Tracy, etc.

Son entreprise compte deux bureaux : un à Sorel et un autre à Varennes qui l’aide à percer le marché de la Rive-Sud. Aujourd’hui, le monde des affaires est davantage réceptif. « J’offre mes services aux entreprises qui voient les médias sociaux comme une valeur ajoutée leur permettant d’entretenir une conversation quotidienne avec leur clientèle. »

Aujourd’hui, l’entrepreneure a engagé une perle en la personne d’Émilie Noël qui coordonne les différents projets. « Cela me permet pendant ce temps d’aller recruter de nouveaux clients », confie-t-elle.

Alexandra Millette a su tisser des liens solides dans la communauté d’affaires soreloise.

Crédit : Courtoisie

Le modèle d’Alexandra La nouvelle génération d’entrepreneurs est influencée par des gens d’affaires qui deviennent de véritables modèles pour eux. La fondatrice de A Majuscule, Alexandra Millette, a travaillé durant 10 ans chez Tim Hortons pendant ses études secondaires, collégiales et universitaires. À ses débuts en affaires, alors qu’elle travaille à temps plein, elle conserve même un horaire de 8 heures sur place. « Les propriétaires Annick Richer et Dany Grenier m’ont grandement inspirée pour leurs valeurs humaines mais aussi leur style de gestion. En les côtoyant, je savais que je voulais devenir entrepreneure », confie-t-elle.

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Location de personnel pour A&B Mécanique Depuis 17 ans, Josée Plamondon dirige le CLD (Centre local de développement) de Pierre-De Saurel, un organisme qui vient en aide aux entrepreneurs mais aussi à ceux qui rêvent de se lancer en affaires. « De plus en plus de gens veulent devenir leur propre patron et ils offrent leurs services dans différents secteurs dont les communications, l’alimentation, la couture, le dessin industriel », énumère-t-elle. « C’est la tendance de la nouvelle économie : des gens deviennent pigistes et ce, sans nécessairement avoir pignon sur rue ou posséder une enseigne. » C’est le cas de A&B Mécanique, l’entreprise de Sylvain Audet, 32 ans et Yannick Baril, 39 ans, deux mécaniciens d’expérience en industrie. Depuis le 1er avril 2017, à partir du sous-sol du domicile de chez Sylvain, ils proposent leurs services dans les entreprises pour des travaux de soudure, dépannage industriel, changement de pièces mécaniques, etc.

La microentreprise, étape vers la PME

La pénurie de main-d’œuvre qui sévit partout au Québec leur offre de belles opportunités. Deux ans plus tard, ils doivent engager cinq autres employés et deux sous-traitants, dont une secrétaire et un comptable. « Nous sommes deux gars manuels et le plus difficile, c’est de s’occuper de la paperasse. » Le secret ? « Il faut bien s’entourer.

Nous avons des gars fiables et d’expérience qui se rendent faire des jobs à Varennes, Sherbrooke, Sainte-Julie, Baie-Comeau et même Port-Cartier. » Les deux amis rêvent d’agrandir l’équipe pour atteindre un chiffre magique de 10 à 15 employés.

L’embauche récente d’un conseiller en entreprise les aide à atteindre leur objectif. « De cette façon, on va pouvoir se concentrer sur la recherche de contrats. » Leur personnel est choyé. S’ils le désirent, ils peuvent utiliser une voiture de la compagnie pour leurs déplacements à l’extérieur.

Tous témoignent de leur sentiment d’appartenance en portant les vêtements à l’effigie de A&B Mécanique. Le tandem fonctionne par bouche à oreille et n’a pas encore de site Internet, mais cela ne devrait pas tarder.

Les 5 clés pour réussir et durer

Seulement 30 % des nouvelles entreprises franchissent le cap des 5 ans.

Quel est le secret pour durer en affaires ?

1. Croire en son projet. « Les gens qui perdurent sont ceux qui y croient », observe Josée Plamondon, directrice-générale du CLD Pierre-De Saurel.

2. Savoir s’entourer. En faisant appel à un mentor, celui-ci est en mesure de nous guider dans la prise de décisions.

3. Persévérance. Garder notre but en tête malgré les baisses de commandes qui peuvent survenir à certaines périodes de l’année.

4. Conserver nos clients. En devenant maître de notre destinée, notre terrain de jeu s’agrandit. « Nos clients deviennent tous nos patrons.

On se doit de les satisfaire », ajoute Mme Plamondon, rigueur et discipline sont de mises.

5. Innover et savoir se remettre en question. On développe notre créativité et un réseau de contacts. Seul, on avance plus vite, mais ensemble on va plus loin, dit le dicton.

Les travailleurs indépendants : un phénomène mondial

La nouvelle économie s’illustre par l’émergence de travailleurs indépendants, ici dans notre région et ailleurs. Survol en quatre chiffres. À Sorel-Tracy, 2565 personnes travaillent à leur compte, soit 10,5 % de la population active Le Québec comptait en 2015 environ 560 000 travailleurs autonomes, ce qui représente 13,5 % de l’emploi total.

En France, on compte 3 millions de travailleurs indépendants, soit 12 % de la population active.

55 millions de personnes sont leur propre patron aux États-Unis, soit 35 % de la population active.

Source : Statistique Canada Recensement 2016

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Les atouts du Recyclo-Centre Le Recyclo-Centre, comme la plupart des entreprises, a vécu des bons et moins bons moments. Après avoir connu une période difficile et s’en être pratiquement complètement sorti, nous sommes présentement en phase de développement. Comment est-ce possible ? C’est la question qui nous est souvent posée.

La réponse est simple, notre mission fait de nous une entreprise d’économie sociale incontournable. Deux éléments fondamentaux sont à la base de notre existence. Soit, la formation de travailleurs peu ou pas expérimentés et la protection de l’environnement par la cueillette d’objets que nous récupérons.

Philémon Courchesne Industries Inc. Représente une solution de choix en sous-traitance industrielle. Particulièrement dans l’ingénierie, la conception et fabrication de produits de métal en feuille. Notre personnel s’engage à respecter vos délais rapides pour la découpe laser, pliage, roulage, soudure et assemblage de tous les types de métaux.

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NOTRE EXPERTISE AU SERVICE DE VOS

FINANCES D’ENTREPRISE La formation de travailleurs est sans-contredit l’activité qui donne le plus de valeur à notre entreprise, surtout dans ces temps difficiles pour le recrutement de la main-d’œuvre.

Nous formons, au Recyclo-Centre, des travailleurs qui seront outillés à faire face au marché de l’emploi actuel et ce, dans différents domaines. Notre approche repose sur la responsabilisation de ceux-ci et sur le respect des règles conventionnelles du marché. Chacun des travailleurs de notre entreprise reçoit une formation technique de six mois par des formateurs compétents et s’ajoute également un accompagnement de type psycho-social qui permet l’acquisition de compétences relationnelles et de savoir-être.

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CARINE CLOUTIER

COMPTABLE

DES ATOUTS AVANTAGEUX • Qualité et efficacité Nous traitons vos dossiers avec rapidité, minutie et précision pour réaliser un travail de qualité optimale.

• Flexibilité Nous rencontrons les clients à la fréquence qui convient aux besoins de chacun : aux deux semaines, chaque mois, aux trois mois ou deux fois par année, ou autres, avec une grande flexibilité d’horaires.

• Disponibilité Nous vous accueillons à notre bureau ou pouvons traiter vos dossiers à votre place d’affaires.

• Prix abordables Possibilité de prix forfaitaires fixes pour l’année, avantageux pour le client.

UNE GAMME COMPLÈTE DE SERVICES • Déclaration de revenus • Tenue de livres • Cycle comptable complet • Service de paie et remises D.A.S. • Déclaration de TPS et TVQ AUTRES SERVICES • Aide au démarrage d’entreprise • Évaluation des budgets • Gestion d’inventaires • Gestion des comptes clients/comptes fournisseurs

CENTRE COMPTABLE DE LA MONTÉRÉGIE 450 855-1577 • 514 793-2371 • carine.cloutier@hotmail.com www.centrecomptablemonteregie.com

645, route Sorel-Tracy (dans(au les bureaux de Via Capitale) 645, routeMarie-Victorin, Marie-Victorin, Sorel-Tracy 2e étage)

Nos travailleurs œuvrent sur différents plateaux de travail pour acquérir leurs compétences, soit la réception et l’expédition de matériel, le tri des objets et du linge, la vérification des appareils électriques et électroniques et finalement le service à la clientèle via notre magasin.

FAITES COMME EUX !

D’ailleurs, à propos de notre magasin, si vous n’êtes jamais venu, il est temps pour vous de le faire. Vous comprendrez dès votre première visite que ce lieu de magasinage, destiné à l’ensemble de la population, permet de trouver une multitude d’objets intéressants et pratiques et ce, à bas prix. Y venir régulièrement vous assure de dénicher des belles trouvailles.

Climatisation chauffage Sorel-Tracy

Dentelle et Denim

Nous sommes reconnaissants envers les gens qui viennent porter des objets à notre centre de don parce que c’est un geste essentiel pour l’environnement, mais aussi et surtout parce que cela permet de poursuivre notre mission de formation.

Les Jardins d’Alexandra

Santé Vous Mieux

5 000$

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PAR ENTREPRISE

Alexandra Gagné et Mario Fortin Équipe de direction

ENTRE

150 000$

N’hésitez pas à venir nous rencontrer et profitez de votre passage au centre de don pour aller magasiner. Enfin, gardez toujours en tête que nous sommes une entreprise d’économie sociale, donc un organisme sans but lucratif et que 100% de nos bénéfices sont réinjectés dans l’entreprise, pour améliorer la formation de ces jeunes, de nos jeunes !

Venez rencontrer un conseiller à votre SADC pour vos besoins financiers.

Visionnez les vidéos Entrepreneurs d’ici sur notre site Internet

450 746-5595 sadcpierredesaurel.ca Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement la SADC

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Mangez Local

Saviez-vous que 90% du territoire est en zone agricole ?

Par : Ladane Bonnefoy

Cela fait quelques années que l’on nous encourage à diminuer notre empreinte carbone (1), notamment en consommant intelligemment. Pourquoi ne pas associer le plaisir gustatif à notre devoir écologique et manger les délicieux produits que nos producteurs mettent tant d’amour à nous concocter ?

Depuis quelques jours, on sent comme des frémissements dans l’air, les oiseaux piaillent d’impatience et quelques bernaches ont été aperçues ça et là… Tout ce remue-ménage nous rappelle que les beaux jours ne vont pas tarder à s’installer. C’est le moment idéal pour faire connaissance avec nos producteurs locaux, présents sur tout le territoire de la MRC Pierre-De Saurel.

Le territoire agricole de la MRC Avec près de 400 entreprises et plus de 1500 emplois, la production engrange quelques 88 millions de dollars de revenus. Rappelons toutefois qu’ils ne sont pas répartis de manière égale entre les producteurs et qu’il y a aussi pas mal de petites structures. Ces dernières sont, pour certaines, opérationnelles uniquement pendant les saisons estivales, tandis que d’autres produisent tout au long de l’année. Si chacun a une ou plusieurs spécialités, ce qui les rassemblent tous est le goût exquis des produits et leurs prix souvent très raisonnables, ce qui en est presque surprenant. L’été on en retrouve quelques-uns au Marché du Vieux-Saurel, situé dans le Carré Royal. Marie-Renée Sheridan, initiatrice bénévole (en compagnie de Jean-Philippe Thivierge) de cette OBNL, y invite les consommateurs : « Le marché public est ouvert par beau ou mauvais temps, tous les samedis entre le 29 juin et le 5 octobre ».

Qui fait quoi ?

Il y en a pour tous les goûts… du maïs sucré au fromage, en passant par le miel et tout type de légumes durant la saison estivale, vous ne serez jamais déçu.

Certains proposent des abonnements à leurs paniers de légumes pendant la saison estivale (voir encadré).

Aux Quatre chemins, à Sainte-Victoire-de-Sorel, Catherine Bérubé partage sa passion : « Cette formule souvent proposée par les petits producteurs nous permet d’avoir un lien direct avec notre clientèle. Les rencontrer à chaque semaine et échanger avec eux permet de créer des liens avec notre communauté, c’est beaucoup plus enrichissant que de vendre aux fournisseurs grossistes ».

Et la réciproque est vraie aussi. En somme la formule est gagnante pour les deux parties. Vous contribuez au développement d’un petit maraîcher et vous êtes récompensé en mangeant de délicieux légumes frais.

Et le reste de l’année, on fait comment ?

On fait avec… le Marché urbain Pierre-De Saurel. Cette entreprise en économie sociale a pour vocation de concentrer vos produits préférés en un seul endroit, une fois par semaine, à condition d’avoir passé commande au préalable. Julienne Nichilo, responsable en approvisionnement en explique le fonctionnement : « Vos produits sont livrés le jour même de la cueillette au Carrefour de la vieille gare, ce qui vous garantit une fraicheur inégalée ».

Tout le monde peut passer par le marché urbain, soit en y adhérant annuellement (15$) soit avec une majoration de 10% du total avant taxes.

Vous n’avez donc plus aucune raison de ne pas avoir des ingrédients de qualité dans votre assiette !

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Infos pratiques Page Facebook MRC de Pierre-De Saurel Agriculture et agroalimentaire https://www.facebook.com/agriculturepds Circuit gourmand : https://mrcpierredesaurel.com/circuit-gourmand https://gardemangerduquebec.ca/ Marché du Vieux-Saurel https://marcheduvieuxsaurel.com/ du 29 juin au 5 octobre, de 10 à 14 h tous les samedis.

L’hiver au café-théâtre Les Beaux Instants, un samedi par mois.

Pour passer commande au Marché urbain : http://www.marcheurbainpds.com/ - 450 556-1642

Les paniers des maraîchers (2) - Maraîcher du Village à Sainte-Anne-de-Sorel - Aux Quatre Chemins - Les Jardins de Massueville à Saint-Aimé (anciennement Jardins du père à Sorel-Tracy) - Ferme du Barbu à Sainte-Anne-de-Sorel - Sublime Asperge et Besner-Pagé : vendent des asperges en saison - Les Jardins du Paysan - Les Jardins Picoudi – gamme complète de pousses - Les Jardins d’Alexandra - mini-légumes

(1) Selon le Global Footprint Network le terme empreinte carbone est utilisé comme diminutif pour la quantité de carbone (généralement en tonnes) émise par une activité, une personne, un groupe ou une organisation, de par sa consommation en énergie et en matières premières. La composante carbone de l’empreinte écologique va au-delà de cette définition en traduisant cette quantité en surface de forêt nécessaire pour séquestrer ces émissions de dioxyde de carbone.

(2) Seuls Aux Quatre chemins et Les Jardins Picoudi sont certifiés biologiques par Écocert, les autres sont de régie écologique (n’utilisent pas de pesticides, ni d’engrais chimiques), mais ne sont pas officiellement certifiés

Sorel, Sorel, QCQC

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SHIPTRACK exporte le talent sorelois Par : Astrid Debeissat

Anciennement Groupe Conseil Sibyl, la PME soreloise ShipTrack suit nos colis à grandeur de l’Amérique.

Entre 2016 et 2018, ShipTrack a multiplié son chiffre d’affaires par 7,5. Yan Parenteau, directeur des opérations et associé, ne semble pas en faire de cas. Le Sorelois, serein, planifie méthodiquement l’expansion de son équipe, puisque le logiciel sera utilisé par des dizaines de milliers de chauffeurs, manutentionnaires et dispatcheurs en 2020. « Une chance : j’adore gérer les embauches ! » sourit Yan. Originaire de St Roch, le papa de 38 ans habite à Sorel avec sa conjointe et ses deux fils. Sur la route environ 1 semaine sur 4 pour assurer le développement, Yan tient la barre des opérations de Sibyl Groupe Conseil depuis 2010. « C’est en 2003 que j’ai rejoint l’entreprise, fondée en 1991. Nous faisions principalement du conseil en informatique. Nous sommes restés petits longtemps. Le fondateur de Sibyl m’a appris à encourager l’esprit d’équipe ».

Visiblement, Yan Parenteau tient la recette et ses employés y adhèrent : en dépit d’une croissance rapide, son taux de rétention est de quasi 100 %. « Nous formons une famille, nos succès et nos échecs sont communs.

Actuellement, nous récoltons les fruits de nos efforts.

En sécurisant d’importants contrats, nous avons pu donner des augmentations et nous doter d’assurances collectives. Surtout, nous travaillons dans le plaisir toute la journée, et pas seulement en 5@7 ».

Une stratégie assumée de développement Forte de plusieurs milliers de projets de soutien et de développement informatiques, c’est en 2016 que l’équipe de Sibyl s’est concentrée sur sa compétence la plus vendeuse et la plus rare : le développement de logiciels mobiles, et en particulier, d’une robuste plateforme de suivi de transport, ShipTrack, dont elle a logiquement adopté le nom en novembre 2018.

Les contrats s’enchainent auprès des plus grandes compagnies nord-américaines de transport de courrier comme Purolator. « En 2013, nous suivions moins de 100 000 colis par année.

Aujourd’hui, nous en sommes à plusieurs dizaines de millions, des Caraïbes jusqu’au Canada ».

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LES RECETTES DE YAN POUR RÉUSSIR...

Et Sorel-TRACY, dans tout ça ?

Chose rare : l’équipe de développement, composée de 24 personnes très qualifiées, est intégralement basée à Sorel-Tracy et son activité ne dépend aucunement des grandes industries de la région. « Cela fonctionne ! Beaucoup d’amis ont quitté la région.

On me disait : il faut aller dans la Silicon Valley. Mais j’ai toujours eu envie de faire grandir l’entreprise ici.

L’informatique, ça s’exporte très bien. » D’autres embauches sont prévues à court terme. Pour loger son monde, Shiptrack a acquis le bâtiment de l’ancien Presse café. « Le choix de déménager au centre-ville est gagnant-gagnant. Nous sommes près des restaurants et nous emmenons de bons salaires dans le centre-ville. Nous allons chercher nos contrats à l’extérieur et nous créons de beaux emplois ici : il suffit que nous soyons plusieurs à le faire et nous ferons de notre ville un endroit encore meilleur. »

…son recrutement : Prioriser l’attitude, puis l’adéquation avec l’équipe.

Les compétences techniques viennent seulement en troisième. La cohésion et l’inclusion font le succès de ShipTrack.

…son développement : Stagner n’est pas une option. Une entreprise qui ne grandit pas est une entreprise qui ne va pas bien.

Pour réussir, il faut créer, être prévoyant, placer ses pions. …sa croissance : Se concentrer sur le meilleur produit Répartir les tâches selon les forces de chacun S’appuyer sur un large réseau de distribution et de ventes.

SHIPTRACK EN 2019 • 40 employés • Plus de 1 million de colis livrés par semaine

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RENCONTRE AVEC LE MINISTRE de l’Infrastructure et des Collectivités du Canada L’honorable François Philippe Champagne, Ministre de l’Infrastructure et des Collectivités du Canada à Sorel-Tracy La Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy (CCIST) en collaboration avec la Caisse Desjardins Pierre-De Saurel, les Habitations Richard Hébert, Rio Tinto Fer et Titane et le journal Les 2 Rives proposait le jeudi 7 mars 2019 une rencontre politique avec le Ministre de l’Infrastructure et des Collectivités du Canada. Le ministre Champagne est responsable de la mise en œuvre du plan ambitieux et historique de plus de 180 milliards de dollars du gouvernement du Canada pour l’infrastructure.

Le ministre a présenté l’importance de doter le Québec et ses régions d’infrastructures du 21è siècle modernes, résilientes et vertes. Le ministre a profité aussi de l’occasion pour engager la conversation avec les membres de la Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy au sujet des priorités économiques de notre région.

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CLINIQUE

SOINS MÉDICO-ESTHÉTIQUE ET ANTI-ÂGE

L’honorable François-Philippe Champagne a annoncé que les entreprises Fabspec, Technolaser et Aciers Richelieu se partageront près de 773 000 $ pour la réalisation de leurs projets respectifs, provenant des programmes de Développement économique Canada pour les régions du Québec.

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Technolaser reçoit une contribution remboursable de 272 979 $ sur un investissement total de 909 930 $ pour l’acquisition d’équipements de production automatisés.

Complexe Industriel & d’entreposage De la 30 125, Boul Gagné, Sorel-Tracy Les Aciers Richelieu reçoit une contribution remboursable de 200 000 $ sur un investissement total de 550 000 $ permettant l’acquisition et l’installation des nouveaux équipements de production automatisés.

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Fabspec reçoit une contribution remboursable de 300 000 $ sur un investissement total de 746 255 $ permettant l’acquisition et l’installation des nouveaux équipements de production automatisés.

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Pour info et visite : Contacter M. Denis Gélinas 1 888 345-3997

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Nouveaux membres de la CCIST :

Bienvenue aux organisations qui nous ont rejoints !

Ville de Saint-Ours « Rien de difficile aux courageux », c’est la devise des 1700 habitants de la Ville de St-Ours. Visitez le canal et les écluses.

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BDC La Banque du Canada est la seule banque dédiée au financement et au service conseil aux entrepreneurs.

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P. Beauchemin Excavation Terrassement, cassage de béton, démolition, drains français, maisons neuves, piscines.

ShipTrack Développement de logiciels mobiles et plateformes de suivi de transport pour les plus grandes compagnies de transport en Amérique du Nord.

Société d’aménagement de la Baie Lavallière Restauration / conservation des milieux humides et activités récréotouristiques (Maison du marais, location de canots et kayaks, voie cyclable).

La Dame Cacographe Pour sortir des sentiers battus faites appel à Ladane Bonnefoy. Une communication écrite gourmande, colorée et audacieuse pour vous démarquer. Journalisme, rédaction et communication avec une rigueur scientifique et une expérience en France, en Suisse et au Québec.

Solutions Numériques Mtlrs Développement applicatif et outils numériques sur mesure.

Restaurant Les Années Folles Cabaret gastronomique sur le quai du traversier, à deux pas de Statera – Soupers-spectacles, brunchs et autres.

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À LA RENCONTRE DE : RICHARD MORISSETTE Un homme inspirant…

Par : Ladane Bonnefoy

Accessible. C’est le premier mot qui vous vient à l’esprit quand vous croisez Richard Morrissette à sa concession de Nissan à Sorel-Tracy. Ça tombe bien, c’est aussi comme ça qu’il se définit. Un sourire gourmand éclaire son visage quand vous lui demandez de parler de son métier, et pour cause, c’est aussi sa passion. À Montréal où il a grandi, le jeune Richard a dû batailler avec le conseiller d’orientation qui le poussait vers une formation en administration, en adéquation avec ses excellents résultats scolaires : « Je m’ennuyais tellement à l’école que je voulais en sortir le plus vite possible. J’ai été chanceux d’avoir des parents qui nous ont laissé vivre nos rêves, mes deux sœurs et moi ».

Le moteur du succès

Il décide de poursuivre sa passion des voitures, qu’il a en commun avec son père : « Apprendre des choses qui m’intéressaient, c’est ce qui m’a conduit à l’École des métiers de l’automobile à Montréal ».

Repartant avec un trophée d’excellence en poche, il débute une longue histoire avec Ford qui l’amènera quelques années plus tard dans notre région : « J’aimais souvent venir dîner ici car je trouve que Sorel-Tracy est une belle ville. On dirait qu’il y a une âme ici ». Voir les concessions de voitures le long de la 30 le conforte dans l’idée d’en posséder une. Aujourd’hui propriétaire de celles de Mitsubishi et de Nissan, il a bouclé la boucle en reprenant également celle de Ford.

Croquer la vie à pleines dents

Richard Morrissette est à mille lieues du cliché du chef d’entreprise greffé à son bureau. Son terrain d’activité s’étend à 360 degrés autour de lui. Quand il n’est pas dans les ateliers avec les techniciens, il va à la rencontre des autres : « J’aime les gens, j’aime leur donner ce qu’ils attendent ». Plusieurs fois par semaine, il joue au hockey, une passion qu’il aurait développée professionnellement dans une autre vie, même s’il avoue humblement : « j’avais le cœur mais pas le talent ».

Féru de jeux vidéo, il ne rate aucune nouveauté dans le domaine et il s’adonne à la moto avec la même fougue que tout ce qu’il entreprend.

Bien qu’il n’y ait que 24 heures dans une journée, il n’a pas l’impression d’être passé à côté des choses importantes : « Chaque évènement s’est glissé au bon moment. J’ai vu grandir mes filles pour lesquelles mon emploi du temps a toujours été élastique ». C’est dans un éclat de rire qu’il refuse l’étiquette de surdoué et rétorque : « Il faut essayer, dans la mesure du possible, de travailler dans un domaine que l’on aime, c’est long une vie quand on s’ennuie ».

Un véritable homme inspirant…

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Photo : Mireille Caza

Si vous deviez vous définir en un seul mot, lequel serait-il ?

Mon questionnaire de Proust

Accessible

Le trait de caractère que vous méprisez le plus

Les personnes qui sont imbues d’elles-mêmes

Si vous étiez une femme, qui seriez-vous ?

Le trait de caractère que vous admirez le plus

L’authenticité des gens

J’aime trop les femmes pour avoir envie d’en être une…

Votre devise favorite

Si vous deviez choisir une seule date à revivre ?

J’ai juste une parole

Le jour où j’ai rencontré mon épouse Quelle est la faute que vous pardonnez le plus ?

Je pardonne pratiquement tout

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Coup de cœur CAFÉ Écluse No.10 Par : Annie Bourque

Quand le goût des bonnes choses nous attire à St-Ours

Vendredi après-midi. Un soleil flamboyant entre par les grandes fenêtres du Café Écluse No.10, situé sur le chemin des Patriotes à Saint-Ours. Notre regard s’attarde sur les toiles accrochées sur le mur de brique. Une glacière Coca-Cola, antiquité des années 30, suscite notre curiosité.

Près du comptoir, nos papilles gustatives trémoussent d’impatience à la vue du pain perdu à l’érable ou de ces brownies surmontés d’un coulis au chocolat. « Ici, tout est fait maison : ce qu’on mange est une explosion en bouche », confie Karlyne Joyal, 33 ans, copropriétaire de l’établissement avec son conjoint Sébastien Duranleau, 37 ans. Depuis son ouverture le 1er juin 2017, l’endroit est devenu une halte touristique convoitée. La magie opère auprès des propriétaires de bateaux, d’autos et de vélos qui sont nombreux l’été. « Nous atteignons un million de visiteurs », précise Sébastien qui réalise un rêve de jeunesse. Originaire de Saint-Liboire, le jeune homme venait souvent pêcher dans le coin. « Un jour, je me suis dit : je vais acheter une maison sur le Chemin des Patriotes. »

Le bonheur… il est où ?

Fils d’un propriétaire de trois stations-service, Sébastien est devenu monteur de ligne.

Un métier difficilement conciliable avec celui de papa. Son fils William est aujourd’hui âgé de 8 ans.

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Crédit photo : Maurice parent

De son côté, Karlyne gagnait sa vie comme hygiéniste dentaire. À l’époque, le salaire était leur unique motivation.

Une prise de conscience survient au début de la trentaine.

Un rêve commence à germer. « On s’est dit : si on ne l’essaie pas maintenant, on va peut-être se réveiller malheureux à 50 ou 60 ans », ajoute Sébastien.

Écouter sa petite voix Les débuts ont été difficiles. Ils ont cogné en vain à plusieurs portes d’institutions financières. « On a réussi à obtenir une première subvention du CLD qui nous a donné un coup de main pour partir à notre compte. » Ils ont aussi écouté leur petite voix. Bien des gens disaient : « Voyons donc, à Saint-Ours, ça ne marchera jamais. » Aujourd’hui, le couple a l’impression d’être à la bonne place. « Ce n’est pas dans la sécurité de tes vieilles pantoufles que tu vas trouver l’épanouissement. Il faut parfois être déstabilisé pour avancer », illustre Karlyne.

Briser la solitude

De brûlantes nouveautés à venir Dès le printemps prochain, ces résidents de Saint-Ours se lancent dans la torréfaction de café. À l’arrière de leur boutique, on aperçoit leur nouveau joujou : une machine à torréfier. Des sacs de café de plusieurs pays du monde trônent dans la pièce. « Nous allons éduquer les gens un café à la fois », s’enthousiasme Karlyne. « Nous proposerons différentes variétés de café aussi accessibles en ligne », explique Sébastien, visiblement fier de ce nouveau projet. Dès l’été prochain, le menu de l’Écluse No.10 se raffinera en laissant une place à une grande variété de bières et de mets, dont des tartares.

Les jeunes entrepreneurs engageront de nouveau une dizaine d’employés pour servir la clientèle. Leur attachement à leur coin de pays est palpable. « Je crois en Sorel et en la région. On sent un renouveau ici », conclut Sébastien en souriant.

Les bons coups

Comment réussissent-ils à tirer leur épingle du jeu en plein hiver ? Les clients viennent de Sorel-Tracy, St-Denis-sur-Richelieu, St-François-du-Lac. « On ne vend pas juste un café, on a l’impression de vendre du bonheur », raconte le couple qui compare leur expérience à celle du film « Chocolat » mettant en vedette Juliette Binoche.

- Simplicité volontaire : Acquisition de tables, chaises, luminaires dans les ventes de garage ou sur Kijiji. Résultat : Zéro dette.

On le sait, les médias sociaux et le monde virtuel ont créé un intense sentiment de solitude. Derrière un écran ou un clavier, le contact humain n’existe plus. « Ici, on a un contact privilégié avec chacun des clients. Les gens ont besoin d’une vraie conversation le matin », témoigne Sébastien. Et sans doute… d’un bon café.

Leur recette inédite

- Créer un sentiment d’appartenance en proposant aux clients des casquettes, tee-shirts, chocolats etc. à l’effigie de l’entreprise.

- Écoresponsables : Les propriétaires proposent des pailles en papier et du café en vrac dans des contenants réutilisables ou des sacs compostables. « Nous sommes responsables de notre succès. Il faut être pro-actif, avoir le goût de se développer tout en travaillant fort sans jamais se décourager » - Karlyne et Sébastien, copropriétaires d’Écluse No. 10.

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Quand la Ville encourage les fournisseurs locaux Par : Ladane Bonnefoy

Depuis le 4 septembre 2018, la Ville de Sorel-Tracy s’est dotée d’un portail(1) destiné à l’inscription des fournisseurs qui souhaitent collaborer avec elle. Mode d’emploi des nouveaux procédés pour les entrepreneurs d’ici.

Des pratiques plus saines Bien qu’il soit plus facile de travailler toujours avec les mêmes fournisseurs, parce qu’on apprécie leurs services ou que l’on y est habitué, tout le monde reconnaît que ça ne laisse pas beaucoup de place aux défis, ni au sang neuf. La Ville de Sorel-Tracy a donc fait table-rase du passé et a adopté de nouvelles dispositions, notamment en invitant les fournisseurs qui souhaitent travailler avec elle, à s’inscrire sur un portail qui leur est dédié (3).

La création de cette banque locale d’entrepreneurs et l’appel à leurs services s’alignent ainsi parfaitement dans l’objectif d’encourager la neutralité, l’achat local et le choix éclairé, en fonction de la qualité et du prix.

Chan-Hoa Ly, chef de la Division approvisionnement de Sorel-Tracy, en souligne l’importance : « La priorité est donnée aux payeurs de taxes de Sorel-Tracy.

Stimuler l’achat local, élargir le volet éco-responsable et développer l’offre : voilà les trois principales raisons qui ont poussé la Ville de Sorel-Tracy à se munir d’une nouvelle politique en matière d’approvisionnement.

D’autant que depuis 2018, une série de lois(2) est venue bousculer la routine des municipalités.

Désormais reconnues comme des gouvernements de proximité, elles doivent se doter d’un règlement de gestion contractuelle et respecter les règles qui édictent l’attribution et le bon fonctionnement des contrats. Une nouvelle autonomie et davantage de pouvoir sont à l’origine de mesures inédites de gouvernance, telles que la mise en place d’une nouvelle politique pour recruter les fournisseurs, ainsi que le traitement équitable entre les compétiteurs.

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Les entreprises qui sont géographiquement installées dans notre ville ont notre préférence, à condition bien entendu, de correspondre aux meilleurs prix sur le marché ». Il rajoute que l’annuaire est commun à toutes les municipalités, de façon à pouvoir solliciter, au minimum, une soumission venant d’ailleurs. Cela élimine tout risque de collusion en interne et diminue drastiquement le népotisme. D’ailleurs, de nouveaux fournisseurs ont déjà commencé à travailler avec la municipalité.

Les différentes façons de solliciter le marché Quand un employé de la Ville a besoin d’un service, il se rend dans la banque de données et dépose sa demande de soumission. Celle-ci est étudiée selon le montant du contrat à venir sur les bases du récapitulatif dans le tableau ci-après. Monsieur Ly explique : « Pour s’assurer de l’équité, on vérifie tous les trimestres que la rotation est respectée et que tout le monde a sa chance (4) ».

Montants des contrats

Mode d’attribution

En dessous de 1000 $

De gré à gré – De préférence un fournisseur local

Entre 1001 et 25 000 $

Exigence de minimum trois demandes de tarifs (à travers le portail des fournisseurs) dont au moins une à l’extérieur de la ville afin d’avoir la garantie de la juste valeur. À coût égal, obligation de choisir le distributeur local le moins cher.

Si l’offre locale est plus chère (d’un maximum de 10 %), elle pourrait être retenue à condition qu’elle soit justifiée, soit pour raisons écologiques, soit par vocation sociale (ex : OBNL).

De 25001 à 100 000 $

De gré à gré en respectant chaque étape de la loi – Obligation de transparence irréprochable.

Sollicitation à travers le portail d’un maximum de fournisseurs afin d’assurer les mêmes chances à tous.

Mise en compétition d’un moins trois dont un externe à la ville. Audit effectué par le service d’approvisionnement et recommandation au DG. Décision collégiale pour le choix définitif, basé sur des critères de pondération ou du plus bas soumissionnaire conforme.

Au-delà de 100 001 $

Appel d’offre public : Publication sur le site SEAO(5) et soumissions évaluées sur la base de l’anonymat via une stratégie propre à Sorel-Tracy (6)

(1) (3) https://portailmunicipalfournisseurs.com (2) Les lois 122,108 et 155 (4) Le rapport sur l’application du règlement sur les gestions contractuelles sera visible sur le site internet de la Ville. N’importe quel citoyen peut le consulter.

(5) SEAO = système électronique d’appel d’offres du gouvernement du Québec sollicitant l’ensemble du marché canadien.

(6) Nom des soumissionnaires cachés, membres du comité de sélection choisis au hasard (comme un jury) parmi les employés de la ville et de façon anonyme, sans lien hiérarchique - évaluation de la soumission. ©Mr Ly.

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Et si on ne faisait pas de régime cet été ?

Par : Ladane Bonnefoy

Saviez-vous qu’il existe une méthode pour perdre du poids sans suivre de régime hypocalorique, tout en se faisant plaisir (1) ? Il suffit de manger uniquement quand vous avez faim. Suivez le guide !

Les régimes font grossir !

Faire un régime en calculant le nombre de calories ou en suivant une diète de type cétogène, protéinée ou autre, est difficile à maintenir (à raison) sur du long terme, pour une grande majorité de personnes. Souvent les premières semaines, les résultats sont bluffants : dégringolade du poids et forme quasi-olympique. S’ensuit une période moins fun, où il faut s’obliger à suivre ce même régime. Et enfin la dernière phase qui est l’abandon, bien souvent suivi d’une reprise de poids.

Connaissez-vous votre vrai poids ?

N’allez pas vous peser : on parle ici du véritable poids. Chaque individu vient au monde avec un poids programmé, écrit dans ses gènes (2). C’est ce qu’on appelle le poids physiologique. Pour le maintenir, il suffit de manger seulement quand on a faim. Le corps humain est une machine extrêmement performante. Quand il a besoin d’énergie, il vous le fait savoir en envoyant un signal de faim. Quand vous l’alimentez sans avoir reçu ce signal, il va alors stocker puisqu’il n’en a pas besoin. Soyez attentif à ne pas détruire cet équilibre légué par la nature, notamment en évitant les régimes (dès le plus jeune âge) destinés à atteindre le poids qui semble idéal au vu des diktats de la mode et de la société. Apprenez à écouter votre corps et les sensations de faim ou de satiété. Faites comme les tout-petits quand ils n’ont pas faim : vous aurez beau tendre la cuillère remplie de leur purée préférée, ils tourneront le visage de l’autre côté pour ne pas avaler leur repas.

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Les régimes vus par la science Il faut savoir qu’il y a deux façons de grossir. Soit les cellules graisseuses (adipocytes) se gonflent et prennent du volume (hypertrophie), soit elles se multiplient (hyperplasie). Dans le premier cas, il y a des chances de pouvoir retrouver son poids physiologique en suivant cette méthode d’écoute des sensations de faim. Dans le deuxième cas, le risque d’avoir augmenté le fameux poids d’équilibre est grand et il est alors difficile de descendre en dessous. Pour savoir dans quel créneau vous êtes, il suffit de réapprendre à répondre correctement aux appels de votre estomac. Ayez en tête que quel que soit votre poids, ce qui importe c’est que vous soyez bien dans votre corps. Être mince n’est pas systématiquement garant d’une santé de fer et inversement, un peu d’embonpoint n’est pas nécessairement synonyme d’une santé précaire… Devenez votre propre référent et assumez votre beau corps, quel qu’il soit !

Grignotage ou fractionnement ?

L’éducation alimentaire

Il faut bien comprendre la différence entre les deux.

Si vous avez faim, il faut répondre à ce qui est un « déficit énergétique » et se nourrir, même si cela arrive plusieurs fois par jour. En revanche si vous n’avez pas faim, ne culpabilisez pas à l’idée de sauter un repas même si « socialement » cela risque d’être mal vécu par l’entourage. Le système métabolique est tellement performant que si vous avez trop mangé, à un repas festif par exemple, vous ne recevrez le signal de faim que quand votre corps en aura vraiment besoin. Vous vous régulerez sans même vous en rendre compte.

Il faut inviter les enfants dès le plus jeune âge, à se nourrir de tout, uniquement quand ils ont faim.

La manière presque mécanique dont la nutrition est traitée dans les sociétés occidentales influence beaucoup la prise de poids. Jeunes et moins jeunes doivent ré-apprivoiser le plaisir gustatif. Il faut goûter à tous les aliments, expérimenter les textures, ne jamais obliger à terminer le contenu de l’assiette, ne pas faire du chantage à la nourriture.

Le grignotage est déclenché par des raisons qui n’ont rien à voir avec le déficit énergétique, comme par exemple des facteurs émotionnels ou par l’ennui.

C’est l’action de manger quand on n’a pas faim qui entraîne le stockage des graisses.

Et ne pas oublier de s’octroyer parfois des parenthèses gourmandes en tête-à-tête avec son aliment préféré (calorique) sans culpabiliser.

La balance métabolique interne se rattrapera elle-même en faisant moins manger la fois suivante.

(1) Cette méthode s’applique aux personnes ne souffrant pas de véritable pathologie liée à la surcharge pondérale, ou ne prenant pas de médicaments responsables de messages erronés concernant la faim et/ou la satiété ainsi qu’aux personnes n’ayant pas de troubles du comportement alimentaire.

(2) Ce poids peut être élevé, notamment en fonction de l’hérédité familiale (3) Pour en savoir plus : Maigrir sans régime, Dr Jean-Philippe Zermati - Éditions Odile Jacob.

familles Une histoire de

» Funérailles traditionnelles » Préarrangements » Columbariums

Siège social Sorel-Tracy » 75, rue Elizabeth » 450 743-5566

www.salonsjacquesetfils.com

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Les Dashcam s’imposent Par : Ladane Bonnefoy

À la Une s’est donné comme mission d’être vos yeux et vos oreilles.

Pour ce numéro, on a décidé de vous présenter les caméras de tableau de bord, plus communément connues sous le nom de « dashcam ».

Bien qu’encore peu usitées chez nous, ces caméras peuvent parfois être très utiles.

C’est quoi exactement une dashcam ?

Les dashboard cameras sont des petites caméras embarquées sur les tableaux de bord des voitures. Il n’y a pas de statistiques disponibles sur leur nombre mais une chose est certaine, elles font de plus en plus d’adeptes partout sur la planète.

- Au Canada et notamment au Québec, il s’agit d’une habitude qui n’est pas (encore) très courante.

- Aux Etats-Unis, les véhicules de police en sont équipés.

- En Russie, elles sont tellement populaires que leurs vidéos sont devenues célèbres sur les réseaux sociaux !

- En Europe, cela dépend fortement de la législation du pays (voir encadré 1).

- En Asie, on les trouve dans de nombreux pays tels que la Corée du Sud ou la Chine, laquelle inonde par ailleurs le marché mondial avec sa production.

À quoi ça sert ? À l’origine, tout est parti de Russie, où certaines personnes faisaient mine de se faire percuter par une voiture afin de réclamer de l’argent ou pour des fraudes à l’assurance. Petit à petit, les automobilistes se sont équipés de ces caméras pour ne plus laisser de place à la mise en scène. La diffusion de l’information à grande vitesse via les réseaux sociaux a fait le reste.

C’est ce qui a motivé Stéphane Morel, de Yamaska, de se munir de ce qu’il aime à appeler son troisième œil : « Je suis très souvent sur la route, avec mon F450. J’ai regretté plusieurs fois de ne pas avoir pu filmer des renards qui sortent des bois ou de beaux couchers de soleil ou même de grosses tempêtes de neige.

Maintenant c’est automatique ».

Si pour Stéphane la caméra a une fonction ludique, Michel Boisvert, président de Vilmik Transport nous rappelle que, d’un point de vue purement pragmatique, avoir la vidéo de ce qu’il s’est passé en cas de litige lors d’un accident de la route permettrait un gain de temps inestimable : « Au Québec, le système d’assurance est le no fault, donc aucune poursuite n’est possible entre usagers impliqués dans un accident. Par contre, dans la plupart des autres provinces canadiennes et des États américains, nous pouvons être poursuivis par les tierces personnes impliquées. Le fait d’avoir une caméra aide à avoir la vérité sur les circonstances de l’accident ».

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Comment ça fonctionne ?

La caméra est placée soit sur le pare-brise par un système de ventouse, soit sur le rétroviseur. Il faut être attentif à ce qu’elle ne bloque pas la vue. Elle se met à enregistrer à partir du moment où la voiture démarre. De nombreux critères justifient l’existence de dizaines de modèles, avec des prix variant entre 70 et 400 $. (Voir encadré 2)

La législation des dashcam ( Encadré 1 )

Au Canada, il n’y a aucune interdiction d’embarquer une caméra sur votre tableau de bord. Toutefois si vous décidez de visiter d’autres contrées, informez-vous de leurs lois.

Certains pays ont officiellement interdit leur utilisation. Entre autres l’Autriche, où tout conducteur en possession d’une dashcam devra payer une amende de 16 000 $ accompagnée d’une peine de prison et 38 000 $ en cas de récidive. En Suisse, c’est toléré. Aux Etats-Unis, elles sont le plus souvent interdites, principalement pour des raisons d’obstruction de la vue pendant la conduite. Certains états la tolèrent (Vermont) selon le modèle. Dans tous les cas, comme il s’agit là de technologie, la législation peut être constamment modifiée, aussi est-il conseillé de vérifier avant de rouler avec. Enfin, rajoutons que cela va de soi que les limites de la vie privée d’autrui doivent être respectées lors des enregistrements.

Critères à étudier pour l’acquisition d’une dashcam ( Encadré 2 ) - Compatibilité avec le téléphone intelligent - Connexions Bluetooth et/ou wifi - Grand angle pour un champ de vision large - Définition allant jusqu’à 1080P

- Stockage (nombre de Go) - Vision nocturne - Déclenchement au mouvement

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Légalisation du cannabis : 7 choses que doit savoir un employeur Savez-vous que si votre employé est accusé de possession, vente ou consommation de cannabis durant ses heures de travail, il vous expose en tant qu’employeur à des amendes salées ? Par où commencer si on veut éviter des poursuites ?

Voici 7 choses à savoir.

Par : Annie Bourque

1. Affichage

2. Prendre les devants

L’avocat spécialisé en santé et travail, Me Gordon Millen conseille d’annoncer ses couleurs. À l’intérieur de votre entreprise, on installe des affiches prônant notre tolérance zéro face à la drogue. On inscrit en toutes lettres : « cannabis et alcool interdits durant les heures de travail ».

De son côté, la conseillère en ressources humaines au cabinet Millen Millen avocats, Marie-Hélène Millen recommande de passer à l’action. Si cela n’est pas déjà fait, on met en place un comité. « On se montre pro-actif car les travailleurs doivent être au courant de la règlementation en vigueur.

Le rôle d’un patron, selon la loi de la santé et sécurité est de s’assurer que ses employés exécutent leur travail correctement. Et en aucun cas quelqu’un ne devrait travailler sous l’emprise de la drogue ou de l’alcool.

L’interdiction ne comprend pas seulement la possession, mais aussi la vente, la distribution et le trafic de cannabis. » On informe les employés, fournisseurs, clients, etc. « Le personnel d’une entreprise doit être sensibilisé aux répercussions possibles de travailler avec des facultés affaiblies », note Marie-Hélène Millen.

Imaginons une chaîne de production en usine.

Juste à côté, quelqu’un opère une machinerie lourde et sous l’effet de la drogue ou de l’alcool ses réflexes sont grandement amoindris. Il peut mettre sa vie et celle des autres en danger.

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3. Politique Mme Millen suggère aux employeurs d’énoncer une politique adaptée à la réalité de l’environnement du travail et des lois et règlements en vigueur. « La politique doit être claire et encadrée par la loi », ajoute à ses côtés Me Gordon Millen.

4. Édicter les endroits

Dans cette politique, on précise les règles de consommation concernant le stationnement, la terrasse située à l’extérieur de l’entreprise. Qu’en est-il du cannabis comestible ? Là aussi, l’employeur doit exprimer sa tolérance et en même temps respecter la loi et les règlements en vigueur. « Tout comme le tabac, il est interdit de fumer le cannabis dans un rayon de neuf mètres autour d’un bâtiment, d’une porte, d’une fenêtre qui peuvent s’ouvrir vers notre milieu de travail », précise Marie-Hélène.

Dans la loi, le terme « fumer » est clairement défini : cela comprend l’usage d’un joint, d’une pipe, d’une cigarette électronique ou d’un « bong » qui est une pipe à eau, appelée aussi « bang » à l’occasion.

7. Conséquences Les conséquences peuvent être graves. « Si l’employeur tolère que des personnes fument du cannabis dans les lieux interdits par la loi, il commet une infraction et risque de se voir imposer une amende qui varie entre 500 $ à 12 500 $ », avertit Me Gordon Millen. En cas de récidive, les montants sont doublés.

Sources et lectures pour en savoir plus : - https://encadrementcannabis.gouv.qc.ca/loi/loi-encadrant-le-cannabis/ #liste-restiction-usage-cannabis - Éditorial : La législation encadrant la consommation récréative du cannabis par Linda Bernier, CRIA et Le Corre et avocats et associés - Le cannabis au travail, ce que tout employeur doit savoir. Me Isabelle Lauzon et Le Corre avocats et associés

5. Formation des gestionnaires

Les gestionnaires doivent être formés à reconnaître les symptômes objectifs et observables associés à la consommation et l’intoxication au cannabis et autres drogues. Des outils existent dont un guide d’intervention et une fiche d’observation des symptômes et des signes. « S’ils ont un doute au sujet des facultés affaiblies d’un travailleur, les gestionnaires doivent savoir comment intervenir rapidement et les retirer du travail », indique Marie-Hélène Millen, CHRA.

6. Test de dépistage : oui ou non ?

Le test de dépistage est suggéré seulement lorsqu’un employé présente des facultés affaiblies par la drogue ou l’alcool dans les cas suivants : - Un incident sérieux.

- Une absence qui pourrait être liée à la consommation.

Le test doit toutefois recevoir le consentement libre et volontaire de l’employé. Attention : le test positif de dépistage ne prouve pas nécessairement une violation à la politique de l’employeur ou les facultés affaiblies d’un employé.

Oui à Sorel-Tracy et non à Contrecœur Le cannabis est toléré dans les rues à Sorel-Tracy, Saint-Joseph-de-Sorel, Sainte-Anne-de-Sorel, Sainte-Victoire-de-Sorel, Saint-Ours, Saint-Gérard-Majella, Yamaska, Saint-Robert, Massueville, Saint-Aimé et Saint-Roch-de-Richelieu.

Toutefois, ce n’est pas le cas dans la municipalité de Contrecœur qui interdit dans les lieux publics de consommer, vapoter ou ingérer du cannabis ou ses dérivés. Les contrevenants à la réglementation municipale sont passibles d’une amende de 50 $ à 500 $, et ce, par jour d’infraction.

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34e édition du Gala du mérite économique

Une reconnaissance de l’excellence entrepreneuriale dans la grande région de Sorel-Tracy !

Le Gala du mérite économique s’annonce de nouveau un grand succès avec 40 entreprises en nomination et affichant déjà salle comble.

Sous la présidence d’honneur de Michel Boisvert, président de Transport Vilmik, cette année encore, les entrepreneurs de la région ont été nombreux à déposer leur candidature au 34e Gala du mérite économique de Sorel-Tracy, qui aura lieu le 27 avril prochain au Cégep de Sorel-Tracy.

Au total, les candidatures de 40 entreprises de la région ont été retenues par le jury et se disputeront un prix Audace dans les différentes catégories présentées au Gala.

Vote en ligne pour les entrepreneurs 18-39 ans Le vote en ligne pour la catégorie Jeune entrepreneur 18-39 ans est de retour cette année. Ainsi, jusqu’au 22 avril à minuit, le public est invité à voter en ligne pour le jeune entrepreneur 18-39 ans de son choix, directement sur le site Internet du Gala au www.galameritesoreltracy.com.

Le vote du public représente 70 % de la note finale.

La soirée a réuni environ 500 convives, l’an dernier au Cégep de Sorel-Tracy. (Photo : Pascal Cournoyer) et la détermination de femmes et d’hommes qui contribuent au dynamisme entrepreneurial de la grande région de Sorel-Tracy.

La promotion du savoir-faire d’une région Depuis sa création en 1986, le Gala du mérite économique de Sorel-Tracy a mis en valeur l’apport inestimable de centaines de gens d’affaires en rendant

hommage, chaque année, à plus d’une douzaine de lauréats pour leur engagement dans la région de Sorel-Tracy.

Le dynamisme, l’innovation et la grande créativité caractérisent les entrepreneurs participants au Gala du mérite économique. Leur savoir-faire, leur passion et leur ténacité méritent d’être connus.

C’est donc un rendez-vous le samedi 27 avril prochain !

Le comité organisateur Serge Dauphinais | Cégep de Sorel-Tracy Sylvain Dupuis | Chambre de commerce et d’industrie Sorel-Tracy Josée Plamondon | CLD de Pierre-De Saurel Marie-Pier Beaudoin | CLD de Pierre-De Saurel Marcel Rainville | Journal Les 2 Rives Michèle Gauthier | SADC Pierre-De Saurel

Un encouragement et une fierté Les prix Audace récompensent et reconnaissent publiquement l’excellence

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