Info-Quartier Vol 8 - Outremont - Éric Forgues & Alexandre Gosselin

CHRONIQUES IMMOBILIÈRES

VOLUME 8

OUTREMONT I N FO•QUARTI E R

DEMONFORT

ENTREVUE AVEC FLORENT MOSER ET DAVID LAFRANCE LES PARCS D’OUTREMONT RÉNOVATIONS : QUAND DEMANDER UN PERMIS ?

L’IMPÔT SUR LE GAIN EN CAPITAL MIDTOWN : PLUS UN SANCTUAIRE QU’UN GYM SPÉCIAL INSTITUTIONS FINANCIÈRES À OUTREMONT OÙ SE RÉGALER À OUTREMONT ?

Entrevue avec les propriétaires PRÉSENCE D’AMINANTE = VICE CACHÉ ?

Photographe : Loïc Romer

CHERS RÉSIDENTS D’OUTREMONT, C’est avec grand plaisir que nous vous présentons notre Info-Quartier volume 8. Cette édition présente de nouvelles chroniques, de nouveaux articles qui sauront vous plaire et vous faire découvrir les secrets les mieux gardés de votre quartier.

De bonnes adresses, des institutions financières, des faits historiques et divers sujets d’actualité ; l’Info-Quartier vous en offre toujours plus.

Bonne lecture !

ÉRIC FORGUES ALEXANDRE GOSSELIN Courtiers immobiliers UNE PAGE D’HISTOIRE

OUTREMONT ET SES PARCS : une balade centenaire Martin Rodgers • Historien

OUTREMONT LA VERTE On a déjà dit d’Outremont que chaque demeure se trouvait à moins de 500 pas d’un parc.

Que cette affirmation soit vraie ou non, il n’en demeure pas moins que le vert est omniprésent à Outremont, ce qui contribue à lui donner un cachet unique sur l’île de Montréal. Cette préoccupation d’Outremont à embellir ses espaces par des arbres et de la végétation trouve ses racines profondes au début même de sa fondation.

Sa population se densifiant progressivement, Outremont commence à sortir de son ère agricole vers la fin du XIXe siècle et c’est en 1875 que le territoire obtient le statut de

MAISON D’ALFRED JOYCE, 1920.

SOURCE : MUSÉE MCCORD

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municipalité de village. Dès lors, Outremont jouit d’un développement qui se traduit par la construction de nombreuses résidences, le tout favorisé par le morcellement en 693 lots de l’immense ferme Bouthillier-McDougall.

Une ville modèle naît alors grâce à une administration municipale visionnaire qui a tôt fait d’enterrer les fils électriques, de doter la ville d’un éclairage électrique moderne et de faire planter des arbres. Ce type de gestion, où l’esthétique occupe une grande place dans le développement urbain, est inspirée du courant « City Beautiful ». Le personnage le plus marquant dans cette vision de la ville idéale où le vert occupe une grande place est sans doute le maire Joseph Beaubien. Élu échevin en 1889, il devient maire 12 ans plus tard et conservera le poste jusqu’à sa mort en 1949. On dit de Beaubien qu’il

cultivait un culte presque sacré pour les arbres et ses actions en témoignent. C’est ainsi qu’en 1911, on assiste à la naissance d’un programme de plantation d’arbres en bordure des rues. Sous sa houlette, une vaste campagne d’embellissement sera par ailleurs mise de l’avant. Ainsi entre 1924 et 1930, la ville dépense plus de 5 000 $ pour la plantation d’arbres et près de 15 000 $ pour leur entretien. Toujours au cours des années 1920, le maire et ses conseillers dotent Outremont de pas moins de sept parcs et de nombreux espaces de jeux.

Dès le début du siècle dernier, l’adhésion de la ville à des principes directeurs axés sur la beauté et la qualité de vie fait d’Outremont une ville modèle.

Le cadre paisible et les règlements d’urbanisme stricts mis en place pour préserver un équilibre entre le développement urbain et les espaces verts ne sont certes pas étrangers à l’attrait qu’ils exercent sur nombre de bourgeois montréalais qui y emménagent. Élevée au rang de tradition, cette vision verte de la ville s’est perpétuée tout au long de son histoire. C’est pourquoi, encore aujourd’hui, les Outremontois peuvent profiter de l’ombre des arbres fièrement plantés par leurs ancêtres il y a maintenant plus de cent ans…

Parc Beaubien Le parc Beaubien est beaucoup plus jeune que plusieurs autres espaces verts outremontais. Conçu en 1976 par l’urbaniste JeanClaude La Haye, il a été nommé pour honorer la mémoire du maire Joseph Beaubien qui fut en poste pendant 39 ans. C’est sous son administration qu’Outremont a pris son véritable essor alors que les services municipaux voient le jour, tout comme de nombreux lotissements. À son décès, en 1949, il laisse en héritage une ville prospère et harmonieuse comptant plus de 30 000 habitants et de nombreux espaces verts.

Parc Pratt FONTAINE DU PARC OUTREMONT. VERS LES ANNÉES 1920.

Carte postale provenant d’une photo colorisée.

Collection personnelle de l’auteur.

LES PARCS

Chacun des parcs d’Outremont raconte une histoire. Tantôt, il s’agit de l’histoire liée à son nom, tantôt l’histoire de sa construction.

C’est en 1902 que plusieurs amateurs de golf fondent l’Outremont Golf Club. Unissant leurs efforts, ils louent les terres agricoles d’un certain John Pratt et y font aménager un parcours de neuf trous. Mais le développement d’Outremont a vite fait de faire fondre l’espace disponible et le club déménage à Kahnawake en 1921. Acquis par la ville d’Outremont huit ans plus tard, l’ingénieur-gérant de la Ville, Émile Lacroix, assisté de l’horticulteur Thomas Barnes, y aménagent un magnifique paysage accidenté en utilisant avantageusement le dénivelé du terrain. Serpentant dans le parc, un ruisseau enjambé par un petit pont de pierre vient ajouter une touche finale aux nombreuses essences d’arbres présentes dans le parc. Il est inauguré en 1931, puis doté de milliers de plantes et de fleurs supplémentaires en 1940.

Parc Outremont Qui pourrait croire que le site verdoyant où se dresse aujourd’hui ce magnifique parc était jadis occupé par un marécage formé par le ruisseau du Mile-End ? Propriété des Clercs de Saint-Viateur, le terrain est cédé à Outremont en 1898 dans le but de le transformer en parc public. Des travaux d’assèchement et de nivellement sont nécessaires avant que le bassin McDougall soit construit en 1903.

Une cinquantaine d’arbres sont par ailleurs plantés cette même année. Des terrains de jeux voient le jour en 1906, et en 1916 on y fait ériger une fontaine inspirée d’une pièce du parterre d’eau du château de Versailles, rien de moins ! Le cénotaphe, honorant la mémoire des 47 citoyens de la ville tombés au champ d’honneur au cours de la Première Guerre mondiale, est quant à lui inauguré en grandes pompes le 27 juillet 1925.

Parc Joyce Alfred Joyce est sans doute l’un des personnages les plus hauts en couleur de l’histoire d’Outremont. C’est en 1883 que ce riche bourgeois se porte acquéreur du Beaver Lodge, une somptueuse demeure plantée au milieu d’un domaine enchanteur de six arpents et construite vers 1830 pour l’explorateur John Clark. Le riche confiseur, British jusqu’au bout des doigts, faisait partie de cette nouvelle bourgeoisie en mal de nature qui cherchait à se réfugier en marge de la ville. Le notable allait par ailleurs s’impliquer en politique municipale, devenant échevin, puis maire (1905-1907) de sa ville d’adoption. Jusqu’à sa mort, en 1931, Joyce n’aura d’autre loisir que d’améliorer sa propriété. Il ajoute une nouvelle aile et diverses dépendances à la demeure, tout en l’entourant d’un jardin flanqué d’un arboretum composé de plusieurs variétés d’arbres. En 1927, la Ville d’Outremont acquiert le domaine, bien que Joyce continue d’y habiter jusqu’à sa mort.

Le parc, fruit du travail de l’ingénieur-gérant de la Ville d’Outremont Émile Lacroix, de l’architecte Aristide Beaugrand-Champagne et de l’horticulteur Thomas Barnes, est inauguré en 1931 tandis que la demeure, l’une des plus belles de l’île de Montréal, tombe sous le pic des démolisseurs six ans plus tard.

PAVILLON SAINT-VIATEUR, AU COEUR DU PARC DU MÊME NOM, 1935 SOURCE: MUSÉE MCCORD.

Parc Saint-Viateur Avec son étang annulaire que fréquentent les patineurs en saison froide et son pavillon dont la forme s’apparente à celle du chalet du Mont-Royal, fruit du travail de l’architecte Aristide BeaugrandChampagne, le parc Saint-Viateur a été aménagé entre 1927 et 1930. Son nom rappelle le souvenir des Clercs de Saint-Viateur.

Arrivés à Outremont en 1887, ces religieux deviennent rapidement les plus grands propriétaires terriens des environs alors qu’ils se portent acquéreurs de plusieurs fermes d’importance. Ces terrains, qu’ils finiront par faire lotir, ainsi que la construction d’une fermeécole pour les sourds-muets et l’érection de leur maison provinciale pour y loger la direction de la communauté et un juvénat, contribuent grandement au développement d’Outremont.

Sources : BEAUREGARD, Ludger. Joseph Beaubien, grand bâtisseur d’Outremont, Histoire Québec, vol. 9, no 2, 2003, p. 3-7, disponible [en ligne] : http ://id.erudit.org/iderudit/1058ac • Ville de Montréal. Histoire d’Outremont, disponible [en ligne] : http ://ville.montreal.qc.ca • Ville de Montréal. Circuits découverte (brochure), disponible [en ligne] : www.ville.montreal.qc.ca • BISSON, Pierre-Richard. IX. Autours des parcs Outremont et Saint-Viateur, Continuité, no 2, 1991, p. 43-48, disponible [en ligne] : http://id.erudit. org/iderudit/17811ac • Ville de Montréal, Parc Outremont, dans le Grand répertoire du patrimoine bâti de Montréal, disponible [en ligne]: https ://patrimoine.ville.montreal.qc.ca • Ville de Montréal, Arboretum du parc Joyce, un sentier à découvrir (brochure), disponible [en ligne] : http ://ville.montreal.qc.ca

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CHRONIQUE DE VOS COURTIERS

RÉNOVATIONS : QUAND DEMANDER UN PERMIS ?

Quand faut-il faire la demande ?

Quoi mettre dans la demande de permis ?

Rénover soi-même permet certes de faire des économies importantes. Encore fautil savoir bien coordonner les travaux et connaître les réglementations en vigueur.

Sinon, les économies attendues risquent de se transformer en déficit ! Lorsqu’il est question de rénovation, il n’existe aucune loi qui s’applique à l’ensemble de la province : chaque municipalité a ses propres règlements et exigences.

Encore là, chaque municipalité a ses façons de faire et il est important de vérifier avec le service de votre municipalité pour savoir quels documents vous devez fournir à l’appui de votre demande.

Voici donc quelques conseils que vous avez tout intérêt à suivre avant de prendre scie et marteau.

Doit-on faire une demande de permis municipal ?

Avant d’entreprendre tout projet de rénovation, il importe de vérifier si la nature des travaux exige l’obtention d’un permis des autorités municipales. Chaque ville a ses particularités, ses exigences et il est dès lors essentiel de communiquer avec le service des permis ou de l’urbanisme afin de voir ce qu’il en est.

Le permis a une double fonction : il permet de vérifier la conformité des travaux à la réglementation en vigueur, mais aussi d’assurer la sécurité du chantier et votre qualité de vie, comme celle de vos voisins.

Bien sûr, la municipalité exigera des frais pour la délivrance du permis et ces frais varient d’une municipalité à l’autre.

De façon générale, on vous demandera : 1. Des photos de toutes les façades visibles de la rue.

2. Une copie du certificat de localisation si les travaux modifient l’aspect extérieur de la maison ou de l’immeuble, par exemple un agrandissement, une modification des balcons, du garage, de la remise, de la toiture, du pavage, etc.).

Y a-t-il des exceptions ?

Certains travaux d’entretien, de réparation ou de remplacement d’un élément existant et qui n’ont pas d’incidence sur la sécurité des résidents ou du voisinage ne nécessitent pas de permis. C’est le plus souvent le cas pour les rénovations intérieures, mais encore là, mieux vaut prévenir que guérir et s’informer auprès de la municipalité. Cela dit, les rénovations intérieures doivent respecter les normes édictées dans le Code national du bâtiment.

À titre indicatif, voici une liste de travaux qui n’exigent généralement pas de permis :

3. Des plans à l’échelle lorsqu’il y a une modification, quelle qu’elle soit, des éléments de structure.

• Les éléments de mobilier intégrés à l’intérieur, comme les armoires de cuisine ou de salle de bain.

4. Tout autre élément d’information ou document pertinent.

• Le revêtement de gypse ou de plâtre sur les murs d’une maison unifamiliale.

Il importe particulièrement de vérifier si votre propriété est classée comme bien patrimonial ou est située dans un quartier classé comme tel. Si c’est le cas, les travaux devront être dûment approuvés par les autorités et respecter certains critères d’esthétisme, mais aussi structurels et architecturaux.

• Les portes intérieures. Attention toutefois!

Tout remplacement, toute modification ou ajout effectué à une ouverture extérieure exigent probablement l’obtention d’un permis.

EN CAS DE DOUTE, IL FAUT VÉRIFIER AUPRÈS DES AUTORITÉS.

• Les réparations mineures du parement extérieur d’une maison. Ici aussi, vous aurez besoin d’un permis s’il s’agit d’un remplacement plutôt que d’une simple réparation.

• L’aménagement paysager qui ne touche pas les fondations de la maison ou de la propriété. Encore là, vous aurez peut-être besoin d’un permis pour abattre un arbre d’un certain diamètre.

• Les balcons, galeries, terrasses, patios, escaliers et rampes d’escalier, garde-corps et toits s’il s’agit de simples réparations et non pas de remplacement.

Sur ce, bonnes rénovations !

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DROIT IMMOBILIER

L’IMPÔT SUR LE GAIN EN CAPITAL Lorsque vous vendez un bien, vous pouvez réaliser une perte, générer un gain en capital ou encore récupérer le coût d’acquisition du bien.

Alors qu’une perte peut servir à réduire vos impôts sous certaines conditions, un gain en capital fait partie de vos revenus imposables et doit être déclaré. Un « gain en capital » correspond normalement à l’augmentation de valeur d’un bien entre le moment où vous l’avez acheté et le moment où vous en disposez. Ceci est vrai, peu importe que le bien soit une maison, un chalet, ou des actions !

Les lois fiscales actuellement en vigueur prévoient que la moitié du gain en capital est imposable. Par exemple, si vous réalisez un profit de 100 000 $ à la suite de la vente d’un bien, le montant à inclure dans votre déclaration de revenus sera de 50 000 $. Cette portion est appelée le gain en capital imposable.

EXEMPTIONS Les lois de l’impôt prévoient quelques situations où il y a exonération du gain en capital.

C’est par exemple le cas lorsqu’on vend des actions d’une petite entreprise, des biens agricoles ou des biens de pêche. Cette mesure visant à favoriser l’entrepreneuriat, le contribuable bénéficie donc d’une exonération de 800 000 $. Cela signifie que la première tranche de 800 000 $ de gain en capital est totalement exemptée d’impôts.

Une autre exemption vise la vente d’une résidence principale. Plusieurs types de propriétés peuvent constituer une résidence principale : une maison, un chalet, un condo, un appartement dans un immeuble d’habitation, un appartement dans un duplex, une roulotte, une maison mobile ou une maison flottante.

Or pour que s’applique l’exemption, certaines conditions doivent être respectées : • Le contribuable doit être le propriétaire de la résidence (seul ou avec une autre personne) ; • L’une ou l’autre des personnes suivantes doit avoir habité la résidence à un moment donné dans l’année : le contribuable, son époux ou conjoint de fait, son ex-époux ou ex-conjoint de fait ou un de ses enfants ; • Le contribuable doit désigner le bien comme étant sa résidence principale dans la déclaration de revenus pour l’année de disposition du bien.

Vous ne pouvez désigner qu’une seule résidence principale par famille par année. Si vous possédez une maison et un chalet, seule l’une ou l’autre des deux propriétés peut être désignée comme résidence principale pour une année donnée.

Par contre, on peut choisir de profiter d’une partie de l’exemption lors de la vente de la maison et attendre la vente du chalet pour tirer profit de l’autre partie.

VOUS AVEZ DES QUESTIONS ?

COMPOSEZ LE 1 800 NOTAIRE (668 2473) pour parler avec un notaire ou soumettez votre question par écrit au www.cnq.org/fr/forum.html Ces services sont gratuits.

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Siège social: 514.303.0788 info@demonfort.ca

DEMONFORT : UN DUO DE BÂTISSEURS AGUERRIS

Florent Moser et David Lafrance, les fondateurs de Demonfort inc., se sont prêtés au jeu de l’entrevue.

Portrait de deux complices d’affaires résolument complémentaires.

L’union fait la force Demonfort inc. est né d’une rencontre entre David Lafrance et Florent Moser. En 2002, Florent venait de terminer ses études aux HEC et David était, quant à lui, engagé dans un projet de construction de condos. Au fil des échanges, les deux jeunes entrepreneurs ont constaté qu’ils se complétaient bien.

Ils ont donc uni leurs forces en gestion et en construction pour fonder Demonfort.

Outremont, une histoire de longue date Très attachés à l’arrondissement, Florent et David habitent tous les deux à Outremont avec leurs familles respectives.

Florent y est même un fidèle résident depuis l’âge de 5 ans ! « L’idée d’avoir nos bureaux dans le quartier s’est alors imposée naturellement, on est très attachés au secteur. »

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Qu’est-ce que Demonfort inc. ?

Demonfort inc. offre ses services en trois temps 1 Promoteur immobilier 2 Entrepreneur général 3 Gestion immobilière

L’ARCHITECTURE : pierre angulaire de chaque projet Au fil de leurs réalisations, David et Florent ont fait appel aux meilleurs architectes du milieu.

Les considérations architecturales se retrouvent donc invariablement au cœur de chaque projet.

« Nous avons tous les deux un grand souci d’esthétisme et nous sommes des férus d’architecture.

Il est important pour nous de léguer un bel héritage à notre ville et partout où nous travaillons.

Chaque projet est pensé et conçu pour s’intégrer parfaitement à son environnement. Nous veillons également à réduire au maximum notre empreinte écologique en privilégiant des matériaux durables ou par l’installation de toits verts. En ce sens, Terrasses Cap-à-l’Aigle est l’un de nos plus beaux projets jusqu’à maintenant ! » Les Terrasses Cap-à-l’Aigle : UN PROJET PHARE

www.terrassescapalaigle.com Pour les deux partenaires, le rôle de promoteur immobilier et celui d’entrepreneur général sont indissociables.

Question de contrôle de la qualité oblige ! « À nos débuts, nous n’assurions que la partie promotion immobilière,

mais après quelques mésaventures avec des entrepreneurs plus ou moins fiables, nous sommes allés chercher notre licence d’entrepreneur général » raconte Florent.

« On a depuis le plein contrôle de nos projets et sommes étroitement

impliqués dans la réalisation de chaque étape. Depuis ce temps, nous avons touché à un vaste éventail de projets : de la conception d’une simple maison à la mise en œuvre et la réalisation de projets à infrastructure très complexe. On ne pourrait jamais livrer un projet dont nous ne sommes pas pleinement satisfaits. Les connaissances acquises au cours des années nous permettent donc d’offrir des services immobiliers diversifiés et adaptables aux besoins de nos clients. »

Le projet Terrasses Cap-à-l’Aigle est issu d’un coup de cœur pour la région de Charlevoix et ses grands espaces. Un projet résidentiel unique qui allie nature et architecture avec ses terrains panoramiques juchés en montagne.

Pour ceux qui planifient des vacances dans la région, certaines de ces habitations de prestige sont offertes en location à l’année.

Pour plus d’informations, visitez www.terrassescapalaigle.com

Et l’avenir ? « Avec notre projet

du 831 Rockland, on effectue un grand retour aux sources dans notre propre quartier. On travaille présentement à la conception d’un projet multigénérationnel sur un terrain de quelque 120 000 pc à Outremont. Ce projet sera unique par son emplacement, son architecture et sa qualité. Petite primeur pour l’Info-Quartier : l’architecte de renom Maxime Frappier travaille avec nous dans la réalisation du concept… » 7

ME PATRICK LAMANNA Ingénieur et avocat

Cell : 514.497.6177 plamanna2004@hotmail.com

EST-CE QUE LA PRÉSENCE D’AMIANTE EST UN VICE CACHÉ ?

La découverte d’amiante dans les murs d’un immeuble est une surprise très désagréable.

Lors de travaux de rénovation ou de démolition, les coûts nécessaires à son enlèvement sont prohibitifs.

Se pose alors la question : est-ce que la présence d’amiante dans un immeuble représente un vice caché en droit québécois ? Si oui, l’acheteur aurait un recours s’il a acheté avec garantie légale.

Le demandeur réclamait les dommages résultant du coût d’enlèvement de l’amiante retrouvé dans l’immeuble.

L’intention de l’acheteur était de transformer l’immeuble en hôtel ce qui nécessitait, entre autres, de démolir certains murs, d’ajouter des planchers, etc. Le projet fut mis sur la glace mais quelques années plus tard une expertise fut effectuée dans le but d’évaluer la présence d’amiante. Tel que l’indique le jugement : 28 ... il est utile de savoir que les travaux d’enlèvement d’amiante dépendent non seulement du pourcentage d’amiante retrouvé, mais également du type d’amiante.(…) Il existe cinq types d’amiante commercial.

29 L’amiante amphibole est plus toxique, dans une proportion de dix pour un, que l’amiante chrysotile.

Ainsi, les travaux seront faits en tenant compte des risques d’exposition aux matériaux friables, risques que l’on qualifie de faibles, modérés ou élevés, dépendamment de la friabilité des matériaux.

Le coût d’enlèvement de l’amiante s’élève à 483 208 $. S’en suit un recours en garantie pour vice caché ou le demandeur ne soulève pas un déficit d’usage sécuritaire ni que la présence d’amiante est illégale. Il est accepté que l’amiante ne pose pas de problème si 8

on n’y touche pas et s’il est enfoui dans les matériaux. Le problème est que la démolition devient plus onéreuse.

Le juge conclut que «La présence d’amiante comme telle n’est pas un fait destructeur de l’usage. Il est admis que si l’on ne procède pas à des travaux de démolition, la présence d’amiante ne cause aucun déficit d’usage ». Même si la démolition était prévisible, considérant la désuétude de l’immeuble, le juge ajoute que : 71 Il apparaît incongru d’établir que la démolition d’un immeuble constitue un usage. La démolition est justement le fait de ne pas vouloir faire usage du bien ou d’une partie du bien tel qu’il se trouve. Ce serait détourner la garantie, conçue pour assurer à l’acheteur l’usage du bien acquis, que de considérer qu’il doit aussi garantir qu’une démolition ne coûtera pas plus cher que prévu.

Cette garantie, qui aurait pu être donnée dans le contrat, ne s’y retrouve pas.

74 Pour tous ces motifs, le Tribunal estime que la présence d’amiante dans l’immeuble acquis par la demanderesse ne constitue pas un vice caché au sens de l’article 1726 C.c.Q. (…)

En 2007, cette décision fut confirmée en appel. Elle est citée dans plus de 34 décisions subséquentes, quasi unanimes, quant au rejet du recours.

Plusieurs recours ont été soumis à la cour des petites créances, ce qui explique la méconnaissance du droit par les demandeurs.

MIDTOWN PLUS UN SANCTUAIRE QU’UN GYM La « PROMESSE » du Midtown est de passer par le mouvement, le sentiment d’appartenance et les attentions personnelles pour vous inspirer.

Bien que nous soyons un centre de conditionnement physique, nous accordons autant d’importance à la collectivité et au sens d’appartenance qu’à la santé et à la forme physique.

Au cours de la dernière année, nous avons collaboré avec nos partenaires pour créer des souvenirs impérissables et recueillir des sommes colossales au profit des organisations suivantes afin d’améliorer la qualité de vie au sein de notre communauté.

entraînements par intervalles. Bref, une journée entière d’entraînement en continu !

De nombreux commanditaires ont fourni les collations et le dîner, alors que d’autres ont fait des dons impressionnants. Résultat, l’événement Mindstrong CIBC a été une expérience inoubliable.

De Midtown à Sainte Justine 2014

cette journée inoubliable. Chaque année, la journée se termine par un cocktail et un repas gastronomique préparé par un grand chef. L’an dernier, cet honneur a été accordé à Antonio Park.

L’année 2014 a été l’une de nos meilleures. Voyons ce que nous allons faire pour nous surpasser cette année !

Depuis sept ans, le club reçoit chaque année l’événement De Midtown à Sainte Justine au mois de novembre, et chaque édition annuelle de l’événement surpasse celle de l’année précédente! L’objectif de cet événement est d’amasser des fonds pour le Programme Circuit du Centre pédiatrique d’intervention en prévention et en réadaptation cardiovasculaires de l’Hôpital Sainte-Justine, qui vise à aider

Foulée des Parcs 2015 Le Midtown est l’un des principaux commanditaires de cet événement organisé par Outremont en famille.

Événement Mindstrong CIBC 2015 L’événement Mindstrong CIBC, tenu pour la première fois au Midtown, est l’une de nos plus grandes réalisations de l’année 2015.

Organisé en collaboration avec la fondation de l’Hôpital général juif et ses extraordinaires bénévoles, cet événement avait pour objectif d’amasser des fonds au profit du service de santé mentale des adolescents de l’Hôpital et de sensibiliser le public à cette problématique. Pour l’occasion, le Midtown a prévu une journée complète d’activités, dont des cours de spinning, de yoga et de tai-chi, des entraînements de type bootcamp et des

les enfants et leurs parents en leur offrant des programmes de nutrition et d’exercice.

Dans le cadre de cette campagne de financement, le Midtown offre diverses activités, comme des cours de spinning et zumba. Parmi les activités les plus populaires, notons les « matchs de tennis avec célébrités ». Quelques-unes des plus grandes stars du tennis canadien, dont Aleksandra Wozniak et Frédéric Niemeyer, de même que des étoiles montantes, comme Françoise Abanda et Gloria Lang, ont généreusement accepté de participer à cette activité. Nos vedettes québécoises, dont Virginie Coossa et Claude Meunier, ont elles aussi mis la main à la pâte pour rendre

Au cœur de la mission d’Outremont en famille se trouvent la socialisation des familles et l’amélioration de leur qualité de vie dans l’arrondissement.

Tout au long de la journée, les meilleurs entraîneurs et nutritionnistes du Midtown ont été présents sur le site de l’activité pour offrir leur expertise aux participants.

Pour vous joindre à notre mission communautaire, pour faire un don ou tout simplement pour jeter un œil à nos installations, n’hésitez pas à communiquer avec nous par téléphone au 514.737.0000 ou à consulter notre site Web à l’adresse www.midtown.com 9

SPÉCIAL INSTITUTIONS FINANCIÈRES

AVEZ-VOUS PRÉVU TOUS LES COÛTS ?

Outremont

Vous êtes sur le point d’acheter la maison de vos rêves ? Vous avez pensé à votre mise de fonds, aux versements hypothécaires, aux assurances et au paiement des taxes.

Vous croyez avoir pensé à tout. Mais avez-vous vraiment tout prévu ?

L’achat d’une propriété n’implique pas seulement les versements hypothécaires !

Mieux vaut prévoir les autres frais.

Et comme ces frais peuvent avoir un effet sur la somme que vous consacrerez à votre mise de fonds, il est important d’en tenir compte dans votre démarche d’achat. Les frais* suivants en sont des exemples : • Frais d’évaluation (350 $) • Frais d’inspection (150 $) • Assurance habitation (400 $) • Droit de mutation (2 000 $) • Taxes municipales (2 000 $) • Frais juridiques (1 000 $) • Taxes scolaires (500 $) • Frais de déménagement (1 000 $) • Assurance-prêt (1 600 $) Il est prudent de prévoir un minimum de 3 % à 5 % de la valeur de la propriété pour l’ensemble de ces frais*.

Vous devez également penser aux frais entourant l’installation dans votre nouvelle propriété. Il serait par exemple pertinent d’envisager un budget de quincaillerie.

Même les propriétés vendues « clés en main » nécessitent généralement quelques visites chez son quincailler préféré, ne seraitce que pour des éléments de décoration, de la peinture ou des retouches mineures à effectuer ! Pensez également aux frais de branchement aux différents services comme l’électricité, la télévision, Internet et le gaz.

Un changement de logis peut également entraîner certains besoins. C’est le temps de vous poser les questions suivantes : • Avez-vous besoin d’outils pour effectuer les rénovations et réparations requises ?

• Avez-vous besoin d’outils de jardinage ?

• Avez-vous l’équipement requis pour déneiger ou tondre la pelouse ?

• Désirez-vous un système de climatisation?

• Qu’en est-il de l’éclairage et de l’habillage des fenêtres ?

Bref, cette liste peut vous sembler exhaustive, mais mieux vaut prévoir un budget prévoyant le plus d’items possibles dès le départ et une certaine allocation pour les dépenses imprévues. Vous vous éviterez donc bien des surprises dans les premières semaines suivant votre déménagement !

Directeur, développement hypothécaire Tél. : 514.568.9275

bernard.benaibbouche@bnc.ca

N’hésitez pas à communiquer avec nous pour discuter des frais liés à l’achat de votre propriété et profiter des conseils d’experts en planification financière.

AUTRES FRAIS Selon votre situation, d’autres dépenses peuvent s’ajouter à ces frais, dont : • Analyse de l’eau • Vérification d’une fosse septique • Certificat de localisation

*Les coûts approximatifs sont basés sur l’achat d’une maison de 200 000 $ et sont fournis à titre indicatif seulement. Ils peuvent varier et certains autres frais peuvent s’appliquer.

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BERNARD BENAIBBOUCHE

DAVID NATAF

Directeur, développement hypothécaire Tél. : 514.604.7778

david.nataf@bnc.ca

SPÉCIAL INSTITUTIONS FINANCIÈRES

EN QUOI CONSISTE L’ASSURANCE PRÊT HYPOTHÉCAIRE ?* L’assurance prêt hypothécaire est exigée habituellement par les prêteurs, lorsque l’emprunteur effectue une mise de fonds inférieure à 20 % du prix d’achat de l’habitation.

D’une part, elle protège les prêteurs contre les défauts de paiements hypothécaires et d’autre part, elle permet aux emprunteurs de faire l’acquisition d’une habitation avec une mise de fonds minimale de 5 %, tout en bénéficiant de taux d’intérêt comparables à ceux qui sont consentis aux emprunteurs effectuant une mise de fonds de 20 %.

d’un prêt assuré par la SCHL pour acheter une habitation éconergétique. Au Manitoba, au Québec et en Ontario, la prime est assujettie à la taxe de vente provinciale. Celle-ci ne peut toutefois pas être ajoutée au montant du prêt.

Les prêteurs paient une prime pour obtenir une assurance prêt hypothécaire. En général, votre prêteur vous demandera de lui rembourser le montant de cette prime. Le montant de la prime exigible se fonde sur la proportion du prix d’achat de l’habitation qui est empruntée.

La prime peut être réglée en une seule fois ou être ajoutée au montant du prêt hypothécaire et être incluse dans vos mensualités. Il ne faut pas confondre l’assurance prêt hypothécaire et l’assurance-vie prêt hypothécaire, qui garantit que votre succession n’aura pas à rembourser le solde de votre prêt hypothécaire au moment de votre décès.

Cette assurance a pour but de faciliter l’achat d’une propriété par les nouveaux arrivants au Canada. L’immigration occupe une place grandissante dans la croissance de la population canadienne et engendre de nouveaux débouchés sur le marché. Les résidents permanents et non permanents peuvent obtenir un prêt assuré par la SCHL et Genworth : ils peuvent ainsi réaliser leur rêve de devenir propriétaires au Canada.

Voici un tableau des différentes primes en fonction du pourcentage financé de la propriété (prêt ratio-valeur). Notez qu’à partir de 80 % ou moins, la loi n’exige pas que l’emprunteur contracte une assurance prêt hypothécaire. C’est alors au prêteur d’exiger ou non le prêt en fonction du niveau de risque qu’il déterminera. Un remboursement de prime de 10 % pourrait être accordé si vous vous servez

Assurance prêt nouveaux arrivants

STÉPHANE DAIGNEAULT Représentant hypothécaire Cell: 514.777.5443

stephane.h.daigneault@desjardins.com

Caractéristiques • Les nouveaux arrivants ayant le statut de résident permanent ont accès à tous les produits d’assurance prêt hypothécaire de la SCHL et de Genworth, sous réserve des critères d’admissibilité particuliers à chaque produit.

• Dans le cas de résidents permanents, lorsque l’emprunteur dispose de peu d’antécédents en matière de crédit au Canada et qu’il n’est pas possible d’obtenir de rapport de bureaux de crédit à l’étranger, la SCHL et Genworth font

appel, pour les prêts ayant un RPV de 80,01 % à 95 %, à d’autres sources de renseignements pour déterminer la solvabilité de l’emprunteur.

• Les nouveaux arrivants ayant le statut de résident non permanent peuvent contracter un prêt assuré par la SCHL, d’un rapport prêt-valeur de 90 % ou moins et de 95 % ou moins par Genworth, en vue de l’achat d’une habitation individuelle de propriétaire occupant.

RAPPORT PRÊT-VALEUR

PRIME S’APPLIQUANT AU MONTANT TOTAL DU PRÊT

PRIME S’APPLIQUANT AU MONTANT ADDITIONNEL DU PRÊT (prêt transféré ou prêt de refinancement)

• Aucun droit ni prime supplémentaire à payer en raison du statut de résident permanent (c’est la prime habituelle relative à chaque produit qui s’applique) !

65 % ou moins

0.,60 %

0,60 %

• Aucune durée de résidence minimale requise !

75 % ou moins

0,75 %

2,60 %

80 % ou moins

1,25 %

3,15 %

• La SCHL offre des remboursements sur la prime d’assurance prêt hypothécaire aux propriétaires occupants qui achètent une habitation éconergétique ou une propriété existante qu’ils rénovent en vue de réduire la consommation d’énergie. Consultez le feuillet SCHL Maison écolo pour plus d’information à ce sujet !

85 % ou moins

1,80 %

4,00 %

90 % ou moins

2,40 %

4,90 %

95 % ou moins

3,60 %

5,65 %

90,01 % à 95 % Mise de fonds non traditionnelle**

3,85 %

-

** Exigences relatives à la mise de fonds- Les sources de fonds traditionnelles sont notamment : économies du demandeur, retrait d’un REER, emprunt garanti par des actifs confirmés, travail de l’emprunteur (<50 % de la mise de fonds minimale), terrain libre de toute charge, produit de la vente d’une autre propriété, don non remboursable fait par un proche parent, subvention à la mise de fonds (somme non remboursable accordée par un organisme fédéral, provincial ou municipal). Les sources de fonds non traditionnelles comprennent n’importe quelle source de fonds pourvu qu’il n’existe aucun lien de dépendance avec l’achat ou la vente de la propriété, p.ex., fonds empruntés, don, 100 % sous forme de travail.

Source : site de la SCHL et de Genworth

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SPÉCIAL INSTITUTIONS FINANCIÈRES

UTILISEZ LA VALEUR ACQUISE SUR VOTRE MAISON POUR RÉDUIRE VOS COÛTS D’EMPRUNT Empruntez judicieusement grâce au Crédit intégré ScotiaMD. Le programme Crédit intégré Scotia peut vous aider à réduire vos coûts d’emprunt et à réaliser des économies potentielles de centaines de dollars chaque année.

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MICHEL NOLIN 1 Sous réserve des critères de crédit applicables, de la conformité de la propriété à nos normes hypothécaires résidentielles et des montants maximums de prêt permis. • 2 Vous êtes tenu de payer une prime d’assurance hypothécaire si vous empruntez un montant supérieur à 80 % de la valeur d’emprunt de votre propriété. • * Visa Int./Usager lic. La Banque de Nouvelle-Écosse. • 3 Cette offre ne peut être combinée à aucune autre réduction, offre ou promotion. MD Marque déposée de La Banque de Nouvelle-Écosse.

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SPÉCIAL INSTITUTIONS FINANCIÈRES

VOUS CHERCHEZ DES FAÇONS D’ÉCONOMISER SUR VOTRE HYPOTHÈQUE ?

Jetez un coup d’oeil sur les avantages d’une hypothèque à taux variable. Une hypothèque à taux variable de RBC Banque Royale® vous permet de conserver le même versement sur toute la durée du terme ; toutefois, le taux d’intérêt changera au gré des fluctuations du taux préférentiel de RBC®1.

Ainsi, votre mensualité demeure la même, mais, si notre taux préférentiel baisse, une portion plus importante de votre paiement ira au remboursement du capital ; si le taux monte, une plus grande partie servira à rembourser les intérêts.

L’avantage du taux variable En analysant des données portant sur les taux hypothécaires au Canada entre 1950 et 2007, Dr Moshe Milevsky, professeur agrégé en finances à l’Université York, a découvert ceci : • En choisissant une hypothèque à taux variable, les Canadiens auraient économisé 20 000 $ en versements d’intérêts sur une période de 15 ans, pour une hypothèque de 100 000 $ ; • Dans 89 % des cas, ils auraient mieux fait d’emprunter à un taux préférentiel (variable) plutôt qu’à un taux fixe pour un terme de cinq ans2.

Il apparaît donc qu’une hypothèque à taux variable offre un meilleur potentiel d’économie d’intérêts à long terme.

Comparaison des différents choix hypothécaires: hypothèque à taux variable ou à taux fixe de cinq ans L’hypothèque à taux variable permet de passer à un taux fixe en tout temps et de choisir un terme d’une durée équivalant au moins au terme restant de votre hypothèque.

• Elle vous permet également de profiter à tout moment du Double versement® jusqu’à concurrence de votre mensualité hypothécaire courante, y compris les intérêts.

• Elle vous offre également la possibilité d’augmenter vos mensualités hypothécaires d’au plus 10 %, une fois par année et sans pénalité.

Hypothèque à taux variable et à échéance libre de cinq ans • Elle vous permet de passer à un autre type d’hypothèque et à un autre terme, quand vous le souhaitez • Elle n’impose aucune restriction quand il s’agit d’un remboursement anticipé : vous pouvez choisir de rembourser votre hypothèque plus rapidement, et même en totalité, sans pénalité.

PIERRE FONTAINE Directeur de succursale Tél. : 514.495.2017

pierre.fontaine@rbc.com

Pourquoi opter pour une hypothèque à taux variable ?

Une hypothèque à taux variable pourrait vous convenir : • si les fluctuations de taux constituent pour vous un potentiel d’économies d’intérêts à long terme ; • si votre situation financière vous permet d’accepter une augmentation possible de la période d’amortissement advenant une hausse de taux ; • si vous préférez que vos paiements hypothécaires soient fixés pour la durée du terme, malgré les fluctuations de taux.

Vous hésitez encore quant au choix d’une hypothèque à taux variable ?

Optez pour le programme Marge Proprio RBC® et vous profiterez à la fois d’un taux variable et d’un taux fixe ! En fractionnant votre hypothèque, ce programme vous permet de gérer plus avantageusement vos coûts

MATHIEU SHOUSHA Conseiller en prêts hypothécaires Cell. : 514.999.2417

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d’intérêts. Vous obtenez un taux, un terme et un type d’hypothèque propres à chacune des portions, ce qui fait que vous bénéficiez de la sécurité d’un taux fixe et des économies d’intérêts d’un taux variable. Vous gagnez donc sur tous les tableaux ! Renseignezvous dès maintenant sur vos choix en matière d’hypothèque. Pour obtenir plus de renseignements concernant la recherche de l’hypothèque qui répond le mieux à vos besoins, téléphonez-moi dès aujourd’hui.

Tous les produits hypothécaires résidentiels et de financement sont offerts par la Banque Royale du Canada sous réserve de ses critères de prêt. • ® Marques déposées de la Banque Royale du Canada.

RBC et Banque Royale sont des marques déposées de la Banque Royale du Canada. • 1 Le taux préférentiel de RBC est le taux d’intérêt annuel que la Banque Royale du Canada affiche de temps à autre comme son taux préférentiel. • 2 Dr Moshe Milevsky, professeur agrégé en finances de la Schulich School of Business, Université York, Mortgage Financing 2007: What Now?, 2007. En anglais seulement.

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SPÉCIAL INSTITUTIONS FINANCIÈRES

ORGANISER UN DÉMÉNAGEMENT Que vous déménagiez à quelques coins de rue, à l’autre bout de la ville ou du pays, un déménagement peut être une période difficile.

Le fait de bien planifier son déménagement peut grandement aider à réduire le stress qui y est associé et contribuer à vous aider à connaître un bon départ dans votre nouvelle maison.

La liste de vérification ci-dessous facilitera grandement la planification de votre déménagement.

• Annulez ou transférez la livraison de journaux et d’autres articles livrés à domicile.

• Obtenez les dossiers scolaires, médicaux et dentaires des membres de votre famille.

• Obtenez les dossiers vétérinaires de vos animaux de compagnie.

• Réservez l’accès à l’ascenseur le cas échéant.

De 6 à 8 semaines avant le déménagement :

Quelques jours avant le déménagement :

• Retenez les services d’une entreprise professionnelle de déménagement ou de location de camion.

• Finissez d’emballer vos biens. Inscrire sur chaque boîte la pièce dans laquelle elle doit aller.

• Préparez un plan de chaque étage de votre nouvelle maison et indiquez l’emplacement de vos meubles.

• Rangez les documents importants dans une boîte sécuritaire que vous transporterez vous-même.

• Procurez-vous les fournitures dont vous aurez besoin: ruban adhésif, papier de soie, papier bulle et marqueurs.

• Préparez une boîte contenant les articles essentiels à votre première nuit dans votre nouvelle demeure.

• Videz les placards, le sous-sol et le garage.

• Étiquetez les clés pour les nouveaux occupants.

• Avisez Postes Canada de votre nouvelle adresse et de la date à laquelle celle-ci sera en vigueur.

• Faites transférer votre assurance maison.

• Demandez aux entreprises de services publics de votre nouvelle demeure d’activer les services dès votre arrivée.

Envoyez un avis de changement d’adresse aux entreprises concernées : • Service téléphonique.

• Compagnie d’assurance.

• Banques et sociétés émettrices de cartes de crédit.

• Entreprises de services : électricité, gaz ou huile.

• Câblodistributeur.

14

De 2 à 4 semaines avant le déménagement :

GENIE OUYANG Spécialiste hypothécaire Cell. : 514.941.1692

genie.ouyang@td.com

Le jour du déménagement : • Inspectez chaque pièce et chaque placard pour vous assurer de n’avoir rien oublié.

• Assurez-vous de débrancher les électroménagers et de baisser les thermostats.

CASSANDRA WATERHOUSE Spécialiste hypothécaire Cell. : 514.862.4952

• Remettez les clés étiquetées au propriétaire, au notaire ou à l’agent immobilier.

cassandra.waterhouse@td.com

• Assurez-vous d’avoir la clé de chacune des serrures de votre nouvelle maison. Vérifiez si les services publics de votre nouvelle adresse fonctionnent correctement.

• Inspectez le contenu des boîtes et des articles au fur et à mesure qu’ils sont déchargés du camion et notez les dommages.

• Assurez-vous que tous les services publics sont fournis dans la nouvelle maison et qu’ils fonctionnent bien.

• Remettez le plan de chaque étage aux déménageurs.

Après votre déménagement : • Effectuez votre changement d’adresse pour votre permis de conduire et votre assurance auto.

SPÉCIAL INSTITUTIONS FINANCIÈRES

DÉJÀ PROPRIÉTAIRE ?

AVEZ-VOUS CONSIDÉRÉ DEVENIR INVESTISSEUR ?

Dans le contexte économique volatil que nous vivons actuellement, les gens mettent souvent la planification de la retraite de côté. Saviez-vous que l’équité sur votre maison pourrait vous amener la tranquillité financière, tout en vous prévalant d’un avantage fiscal important ?

Pour en savoir davantage sur le sujet, venez nous visiter et nos conseillers pourront vous expliquer comment cette option pourrait être avantageuse pour vous.

BMO ICI, POUR VOUS. La Banque de Montréal est la première Banque au Canada, ayant ouvert ses portes le 3 novembre 1817. Elle a donné au Canada sa première monnaie solide et abondante et a joué un rôle majeur et permanent dans le développement du pays. La Banque, qui est à l’aube de ses 200 ans, est toujours une des grandes institutions financières du Canada et assure une présence importante aux États-Unis et sur les marchés mondiaux.

La succursale d’Outremont, située au 1554, avenue Van Horne, a toujours été un exemple en matière de service à la clientèle grâce à son équipe motivée, professionnelle et dynamique, toujours à la recherche de façons innovatrices de combler les besoins de sa clientèle.

N’hésitez pas à visiter la succursale afin de constater l’accueil chaleureux et l’approche humaine et personnalisée offerte par les membres de notre équipe.

et aux connaissances de nos conseillers dans le domaine financier, vous obtiendrez des réponses simples et claires à vos questions financières les plus complexes.

Afin de pouvoir accompagner notre clientèle, et ce, à travers tous les cycles de leur vie, nous sommes entourés de différents partenaires ayant des expertises diverses : planificateurs financiers, spécialistes hypothécaires, conseillers en placement BMO Nesbitt Burns, BMO Banque privée ainsi que notre firme de courtage en direct BMO Ligne d’action.

Tous ces experts sont disponibles dans le but d’élever votre expérience bancaire à un niveau supérieur.

JESSICA BENDAHAN Spécialiste hypothécaire Tél. : 514.219.8707

jessica.bendahan@bmo.com

PAS ENCORE CONVAINCU QUE VOUS DEVRIEZ VENIR NOUS RENCONTRER? L’engagement de notre équipe est de vous offrir une expérience client exceptionnelle et des solutions personnalisées, et ce, à chaque visite. Nous espérons avoir le plaisir de vous rencontrer et de vous servir à la succursale d’Outremont de BMO Banque de Montréal.

Consultez le site de BMO à www.bmo.com

Notre succursale offre un large éventail de services financiers et, grâce à l’expertise 15

OÙ SE RÉGALER À OUTREMONT ?

Fuad Alnirabie

ARTISTE ET RESTAURATEUR Fuad Alnirabie travaille tout le temps. C’est donc tôt le matin, à l’aurore d’une autre journée bien remplie pour le Chef propriétaire du restaurant syrien Damas, que nous nous sommes entretenus au téléphone.

Du cinéma à la cuisine Après une maîtrise en cinématographie, Fuad avait envie de créer un film autour des traditions culinaires du MoyenOrient. C’est alors qu’il a replongé dans les saveurs et les couleurs qui ont bercé son enfance.

Prise 2 Fuad a connu une année 2015 mouvementée… C’est qu’en février, son établissement, alors situé sur l’avenue du Parc, a été ravagé par le feu. Nouvellement installé l’avenue Van Horne à Outremont depuis le printemps dernier, il affiche complet chaque soir depuis sa réouverture. « Même si nous étions déjà très occupés avant l’incendie, maintenant, nous devons refuser des clients certains soirs. Par chance, notre nouveau local est plus spacieux. »

« Avant de plonger dans l’ouverture de mon propre établissement, j’ai travaillé dans plusieurs restos, notamment à titre d’associé. J’ai ouvert Le Damas avec un très petit budget. J’ai moi-même créé mon logo, mes menus… Après quelques mois seulement, la salle était comble pratiquement chaque soir. »

Qu’est-ce qui caractérise une expérience culinaire syrienne? « Chaque plat que nous proposons au menu est assez typique. Les plats d’agneau braisé ou confit sont très présents en cuisine syrienne, mais je dirais que ce qui caractérise l’expérience d’un repas syrien est le partage. Il faut goûter à tout, pas seulement un ou deux plats. En Syrie, on peut même retrouver jusqu’à une cinquantaine de plats au centre d’une même table. »

Avez-vous dû adapter votre formule au marché d’ici ? « Le fait de ne pas servir systématiquement tous les plats commandés en même temps est probablement la seule adaptation que nous avons eu à faire 16

en ouvrant le resto. Nous avons ajusté notre service à notre clientèle qui se compose à 50 % de Québécois. Ici, ce n’est pas très bien vu de servir tout en même temps, alors on s’est adapté! En tant que chef, j’ajoute ma petite touche personnelle sans dénaturer les traditions.

J’aime les présentations soignées, alors je m’y applique beaucoup, un parfait dosage entre le beau et le bon. »

Où avez-vous appris la cuisine ? « La famille ! Je n’ai pas de formation de cuisinier. Pour moi, la cuisine est une forme d’art. Je suis toujours très intéressé par le cinéma et je fais aussi de la peinture. Je crois que l’art culinaire s’inscrit dans tout ça. C’est l’instinct et au fond, en cuisine, j’ai eu les meilleurs professeurs qui soient. » Tout cela vous met en appétit ?

Réservez maintenant, le resto se remplit rapidement chaque soir !

OÙ SE RÉGALER À OUTREMONT ?

Un café avec Émile Saine,

PROPRIÉTAIRE DU LEMÉAC

C’est par un mercredi gris d’août que je suis allée à la rencontre d’Émile Saine, proprio du Leméac. À mon arrivée, il s’est illico offert de me préparer un bon cappuccino.

Dès lors, l’entrevue a débuté alors qu’il mettait à exécution ses talents de barista. C’est debout, derrière le bar de son établissement, qu’il s’est généreusement livré à mes questions.

AU MENU : RELÈVE, HISTOIRE ET PASSION L’homme d’affaires aguerri Impossible de s’improviser restaurateur, c’est un métier.

Avant le Leméac, j’ai ouvert quelques commerces dans le quartier, dont La Maison d’Émilie en 1974, la Spaghettata en 1979 et finalement, le Leméac, en 2001.

Votre local est grandiose, il est forcément riche en histoire. Racontez-nous !

Lors de la récession de 1999-2000, les locaux que l’on occupe aujourd’hui étaient vides. […] Et avant ça, c’était Monsieur Leméac, des Éditions du même nom, qui était propriétaire de l’immeuble. Dans les années 1950, il s’est battu pour ne pas que les éditeurs français prennent d’assaut le marché du Québec. Il voulait laisser la voie libre aux maisons d’édition locales. Personne ne croyait qu’il pourrait y arriver, mais il a réussi. Il était très déterminé ! Je trouvais que c’était important de garder son nom vivant. C’est un peu ça l’histoire du local.

Famille = Relève Les restaurants qui fonctionnent ? C’est parce que les patrons et/ou propriétaires sont très présents. Quand je ne suis pas là, c’est mon fils Maxime qui est sur place. Il est meilleur que moi : du service à l’accueil, en passant par l’administration il peut tout faire. Il a même fait la plonge pendant un temps.

Un jour, ce sera lui le chef d’orchestre de tout ça. Je délègue, tranquillement. Mes autres proches collaborateurs en affaires sont souvent des femmes. Ma gérante, qui est avec moi depuis longtemps, est une femme. Même mon épouse travaille à temps partiel avec nous.

Le Lémac en chiffres : • 100 employés • Moyenne de 370 clients servis chaque jour • Environ 1 500 000 repas servis depuis l’ouverture • Ouvert depuis 2001

Pourquoi tant d’institutions ferment-elles à Montréal ?

Parce qu’il n’y a pas de relève ! Si ta relève n’est pas prête ou qu’elle n’est pas intéressée, impossible que ça marche à long terme.

Et votre cuisine, en quoi se distingue-t-elle ?

Notre force en cuisine c’est notre créativité. Par exemple, il y a eu un temps où tout le monde servait du foie de veau en tranche mince, alors que nous, on a osé l’apprêter sous forme de pavé. Nos classiques sont devenus des classiques, parce qu’on les a réinventés. Aussi, on fait tout sur place, même les sucreries pour les garnitures de nos desserts.

Même si l’entretien s’est déroulé tôt en matinée, la brigade en cuisine était sans contredit à l’œuvre, car de riches effluves parfumaient la grande salle du restaurant. Une rencontre, donc, aussi passionnante qu’appétissante.

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OÙ SE RÉGALER À OUTREMONT ?

Nathalie Côté

PORTRAIT D’UNE FEMME ET D’UN PROJET EN PLEINE ÉBULLITION Tous les chapeaux font bien à Nathalie ! Elle est à la fois copropriétaire de la Brasserie Bernard avec les frères Holder, maître d’hôtel et directrice générale de l’endroit. « C’est assez large comme rôle. En gros, je suis là pour m’assurer que la Brasserie se porte à merveille ! »

De l’expérience derrière la cravate « Ce n’est pas mon premier resto, j’ai également été propriétaire du restaurant Aquaterra et par la suite, sans vraiment le vouloir, je me suis retrouvée consultante et j’ai ouvert sept autres restos à Montréal pour d’autres propriétaires et restaurateurs. »

Les débuts Après de longues rénovations, c’est le 30 octobre 2013 que l’établissement a finalement ouvert ses portes. Les murs, le plafond, les planchers et la façade ont été complètement refaits.

C’est que les frères Holder et Nathalie souhaitaient que la brasserie soit complémentaire à leur autre établissement. « La Brasserie, c’est le petit frère du Holder dans le VieuxMontréal ». Tout a donc été conçu dans une optique de cohérence et de complémentarité entre les deux établissements.

Dans votre parcours, qu’est-ce qui vous a mené vers l’ouverture la Brasserie Bernard ? « Quand les frères Holder sont venus me chercher, j’étais fatiguée d’investir mon énergie pour les autres. Avec la Brasserie, j’investis mon énergie à long terme, je suis là pour rester. Je suis un peu comme le visage de l’endroit. Ça me rend heureuse de reconnaître mes clients et vice versa. »

Pourquoi avoir choisi Outremont ? « À la base, c’est le local et son super emplacement qui nous ont charmés.

Pour les frères Holder, qui sont déjà présents ailleurs à Montréal, c’était un nouveau défi que de s’établir dans le secteur. »

Pouvez-vous nous décrire la Brasserie et sa cuisine ? « C’est une cuisine de type bistro français, des classiques comme les moules, la bavette. On n’a rien réinventé ! Mais notre 18

force est l’exécution, tous nos plats sont une valeur sûre. Notre chef Alexandre Fortier est extraordinaire et il est avec nous depuis le premier jour. Oui, on travaille avec des classiques, mais il ajoute sa touche personnelle à chaque plat. Avec Alex, on essaie de s’approcher un peu plus de la perfection chaque jour. »

Pourquoi avoir choisi la restauration ? « La restauration c’est toujours de belles rencontres. Bon, pas toujours, mais je vais dire à 90 % ! Être parmi les gens, c’est ma passion. Ce n’est pas pour tout le monde, mais personnellement, je pense que c’est ma qualité première.

C’est donc un choix naturel pour moi. »

Le futur Nathalie souhaite poursuivre et servir sa fidèle clientèle encore longtemps.

Ultimement, son vœu serait de voir son établissement se hisser au rang d’institution. « J’aimerais que la Brasserie soit encore là dans 20 ans. On n’a rien réinventé, on ne suit pas les modes, mais on reste dans le temps et nos clients sont toujours contents de venir manger nos bavettes et nos moules. »

OÙ SE RÉGALER À OUTREMONT ?

Francine Brûlé et Serge Bruneau,

UN DUO TERRIBLEMENT EFFICACE

Entretien avec la pétillante Francine Brûlé, copropriétaire des populaires restaurants Les Enfants Terribles.

UN LOCAL = UNE IDÉE

Votre plus beau moment en salle ?

C’est le 15 novembre 2007 que l’idée d’ouvrir un premier restaurant a germé dans la tête de la future entrepreneure, Francine Brûlé. « J’ai eu une belle carrière dans le domaine de la mode, mais j’étais à la recherche d’un autre challenge. Et hop, j’ai entendu parler de ce fameux local de la rue Bernard…

J’ai alors eu l’idée d’un endroit convivial où toutes les générations pourraient se rencontrer. »

L’arrivée de Serge Bruneau, la consolidation d’un duo au travail « Comme je ne connaissais rien dans la gestion d’un restaurant, j’ai sollicité celui qui est aujourd’hui mon partenaire d’affaires, Serge Bruneau. Restaurateur d’expérience, il a été directeur du Thursday’s en plus d’avoir été proprio de ses propres restos.

Imaginez-vous qu’à l’époque, je me sentais prête à prendre ma retraite et à voyager, alors que je travaille des heures de fous depuis...»

Pourquoi avoir nommé votre établissement Les Enfants Terribles ? « J’étais en vacances de Noël avec la famille.

On était en pleine période de réflexion pour le nom de ce restaurant à venir au coin de Bernard et Champagneur… Et bon, chaque année, mes fils sortent pour fêter le jour de l’An. L’un d’entre eux n’est rentré que vers

« Quand un couple de personnes âgées de plus de 85 ans m’ont dit qu’on leur redonnait la jeunesse. Ils ont vraiment aimé le fait que toutes les générations puissent cohabiter dans un même lieu. À 85 ans et plus, il y a des personnes âgées qui sont encore très «cool». Ils me touchent beaucoup et c’est toujours un plaisir de recevoir des gens de tous les âges. » 16 h 30 le lendemain... Il a vu que j’étais fâchée et… c’est là qu’il m’a dit avec son air de fanfaron : m’man, appelle ça les enfants terribles ! Je lui ai répondu que c’était une excellente idée et que j’allais mettre son visage partout dans le restaurant. Son visage est effectivement sur tous les menus, notre camion… »

Décrivez-nous une journée type dans votre vie de restaurateur. « On commence tôt le matin avec de l’administration, mais on fait aussi beaucoup de plancher. On aime les gens, les accueillir.

J’ajouterais même que J’ADORE ça être en salle, c’est mon élément ! »

Parlez-nous de votre cuisine ! « Une cuisine accessible à base de produits de grande qualité et qui nous rappelle notre enfance. En fait, notre concept se résume à : comme à la maison ! Des classiques réconfortants, mais on offre aussi un volet plus bistronomique à l’image des soirées où l’on reçoit de la grande visite chez soi. Nos clients peuvent donc passer nous voir pour un bon fish n’ chips avec une bière ou un souper gastronomique de plusieurs services avec une bonne bouteille (ou même deux !). Comme à la maison ! »

Depuis l’ouverte du restaurant d’Outremont, Les Enfants Terribles se sont multipliés avec une succursale à Laval et une autre sur le bord de l’eau à l’île des Sœurs. Que de succès !

Les propos d’OÙ SE RÉGALER À OUTREMONT ont été recueillis par Joannie Tremblay.

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Voici des statistiques qui vous renseigneront sur la fluctuation du marché immobilier d’Outremont. Ces informations vous seront utiles si vous êtes sur le point d’effectuer la vente ou l’achat d’une propriété.

Si vous souhaitez obtenir notre aide quant à l’interprétation de ces données, n’hésitez pas à nous contacter.

** Nombre de transactions insuffisant pour produire une statistique fiable Notes : Le total résidentiel comprend les catégories unifamiliale, copropriété, plex (2 à 5 logements) ainsi que les fermettes.

Les taux de variation sont calculés par rapport au même trimestre de l’année précédente.

Le prix de vente médian est celui qui permet de séparer l’ensemble des transactions en deux parties égales : la moitié des transactions ont été effectuées à un prix inférieur et l’autre moitié à un prix supérieur. Source : FCIQ par Centris®

4e TRIMESTRE 2015 C UMUL 4 DERNIERS TRIMESTRES

VENTES 72 36 % 218

27 %

NOUVELLES INSCRIPTIONS

375

4 %

152

13 %

168 252

33 %

107

-9 %

161

-7 %

55 088

49 %

INSCRIPTIONS EN VIGUEUR VOLUME (EN MILLIER $)

STATISTIQUES DÉTAILLÉES PAR CATÉGORIE DE PROPRIÉTÉS UNIFAMILIALE VENTES

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INSCRIPTIONS EN VIGUEUR

44

**

-4 %

PRIX MÉDIAN

**

**

DÉLAI DE VENTE MOYEN (jours)

** **

64

42 %

43

26 %

1 165 000 $

-3 %

95 19

COPROPRIÉTÉ VENTES

49

32 %

142

109

-4 %

100

9 %

470 000 $

16 %

470 000 $

0 %

INSCRIPTIONS EN VIGUEUR PRIX MÉDIAN

DÉLAI DE VENTE MOYEN (jours) 105 -16

17 %

112 9

PLEX (2 À 5 LOGEMENTS) VENTES

3 **

INSCRIPTIONS EN VIGUEUR

8

PRIX MÉDIAN

** **

** **

DÉLAI DE VENTE MOYEN (jours)

** **

** **

**

12 ** 9

**

2014 2015

2011 2012

ÉVOLUTION MENSUELLE DES TAUX HYPOTHÉCAIRES 5 ANS

2013

5,4 _________________________________________________________________ 5,3 _________________________________________________________________ 5,2 _________________________________________________________________ 5,1 _________________________________________________________________ 5,0 _________________________________________________________________

SEPT. NOV. JAN. MARS MAI JUIL. SEPT. NOV. JAN. MARS MAI JUIL. SEPT. NOV. JAN. MARS MAI JUIL. SEPT. NOV. JAN. MARS MAI JUIL. SEPT.

4,9 _________________________________________________________________

22

PROFIL SOCIODÉMOGRAPHIQUE OUTREMONT

PÉRIODE DE CONSTRUCTION DES LOGEMENTS

PROFIL DES MÉNAGES PRIVÉS MOYENNE 2,3 PERSONNES

NOMBRE TOTAL DE LOGEMENTS

TOTAL DE MÉNAGES PRIVÉS

9 400

9 440 75 %

Avant 1960

15 %

De 1961 à 1980

34 %

1 personne

3 %

De 1981 à 1990

31 %

2 personnes

3 %

De 1991 à 2000

14 %

3 personnes

2 %

De 2001 à 2005

16 %

4 personnes

1 %

De 2006 à 2011

5 %

5 personnes et plus

60%

Universitaire Inférieur au

TYPE DE LOGEMENTS

SCOLARITÉ

7 %

Maisons individuelles

14 %

Maisons jumelées ou en rangée

58 %

Duplex et immeubles de moins de 5 étages

20 % 0 %

baccalauréat 6 % Baccalauréat 22 % Supérieur au baccalauréat 32 %

14 %

Collégial

Immeubles de 5 étages ou plus

17 %

Secondaire

2 %

Apprentis ou métiers

Logements mobiles

7 %

Aucun diplôme

MODE D’OCCUPATION DES LOGEMENTS

REVENU DES MÉNAGES

MOYENNE 87 966 $

29 %

Moins de 50 000 $

23 %

Entre 50 000 $ et 80 000 $

9 % 54 %

Propriétaires

9%

Entre 50 000 $ et 100 000 $ Entre 100 000 $ et 150 000 $

46 %

Locataires

30 %

Plus de 150 000 $

23

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514.316.2081 EFFICACES, DÉVOUÉS ET ÉQUIPÉS POUR VENDRE 24

PROPRIÉTÉS À VENDRE ÉRIC FORGUES OU ALEXANDRE GOSSELIN AU 514.316.2081

OUTREMONT

OUTREMONT MLS 9273806

772, av. Antonine-Maillet 1 695 000 $

OUTREMONT MLS 17537908

1461, boul. Mont-Royal 675 000 $

OUTREMONT MLS 28073167

1473, boul. Mont-Royal 675 000 $

OUTREMONT MLS 20831130

311, Allée Glendale 643 500 $

OUTREMONT MLS 26465881

1467, boul. Mont-Royal 630 000 $

OUTREMONT MLS 20070512

1550, av. Ducharme 449 000 $

OUTREMONT MLS 27405467

758, rue de l’Épée 439 000 $

OUTREMONT MLS 22913745

738, av. Bloomfield, app. 7 395 000 $ 25

PROPRIÉTÉS À VENDRE ÉRIC FORGUES OU ALEXANDRE GOSSELIN AU 514.316.2081

26

PLATEAU

PLATEAU

PLATEAU

PLATEAU

3458, av. du Parc MLS 9818822 1 500 000 $ + taxes

118 -122 Rue Bernard Ouest MLS 20986178 1 200 000 $ + taxes

333, Sherbrooke Est, app. M1-705 MLS 26981753 1 099 000 $

5449, rue Hutchison MLS 11372302 900 000 $

PLATEAU

PLATEAU

PLATEAU

PLATEAU

3829, rue St-Hubert MLS 15441155 899 900 $

3815, rue St-Hubert MLS 12853038 839 000 $

4602, rue D’Iberville MLS 9544029 749 000 $

4280, rue Parthenais MLS 26971046 579 000 $

PLATEAU

PLATEAU

PLATEAU

VILLERAY

4838, rue Hutchison MLS 16495558 499 000 $

421, rue Rachel Est

2322, av. du Mont-Royal E., app. 1 MLS 18884176 399 000 $

7383, boul. St-Laurent, app 406 MLS 14019982 579 000 $

MLS 19012527

449 000 $

ROSEMONT

ROSEMONT

ROSEMONT

ROSEMONT

6301 -6303, av. Papineau MLS 18230559 469 000 $

6248, av. Chateaubriand MLS 11287113 399 900 $

7042, rue St-Urbain MLS 13875747

ROSEMONT

ROSEMONT

VILLE-MARIE

CDN/NDG

6363, boul. St-Laurent, app. 309 MLS 9818822 369 000 $

6363, boul. St-Laurent, app. 408 MLS 9818822 299 000 $

2389, rue de Bordeaux MLS 10400170 289 000 $

3377 -3379, av. Appleton MLS 27868511 650 000 $

MERCIER HOCHELAGA

PLATEAU • À LOUER

VILLE-MARIE • À LOUER

ROSEMONT • À LOUER

3737 -3741, rue La Fontaine MLS 12548280 549 000 $

3458, av. du Parc MLS 22913257 5 300 $/mois

3768, ch. de la Côte-des-Neiges MLS 21810220 3 680 $ /mois

5987, rue d’Iberville MLS 17236311 1 950 $/mois

949 000 $

5, rue Dante, app. 401 MLS 25873542 359 000 $

OUTREMONT • À LOUER

Votre propriété pourrait se retrouver ici dans la prochaine parution !

2285, av. Ekers, app. 106 MLS 19711093 1 325 $ /mois 27

ALEXANDRE GOSSELIN I M M O B I L I E R

514.409.5656

forgueseric@gmail.com ericforgues.ca

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I M M O B I L I E R

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SI VOTRE PROPRIÉTÉ EST DÉJÀ INSCRITE AUPRÈS D’UN AUTRE COURTIER, VEUILLEZ NE PAS TENIR COMPTE DE CETTE PUBLICITÉ.

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Concept original MA CLÉ inc. | 514 747-6168 | macle.ca

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