Iq ahuntsic et cartierville vol1 no2 print

IQ

AHUNTSIC CARTIERVILLE

INFO • QUARTIER CHRONIQUES IMMOBILIÈRES VOLUME 1 NUMÉRO 2

UNE PROMENADE DANS LE VILLAGE DU SAULT-AU-RÉCOLLET DES MAISONS DU PATRIMOINE D’AHUNTSIC FIXER LE PRIX DE VENTE D’UNE PROPRIÉTÉ AVANT D’ACHETER, CALCULEZ !

DES ÉTABLISSEMENTS D’ENSEIGNEMENT DANS AHUNTSIC STATISTIQUES RÉSIDENTIELLES POURQUOI FAIRE UN TESTAMENT NOTARIÉ ?

DÉCOUVREZ MAMIE CLAFOUTIS !

F O I SY D E G U I R E COURTIERS IMMOBILIERS

CHERS RÉSIDENTS,

VILLAGE DE

SAULT-AU-RÉCOLLET

C’est avec plaisir que nous vous offrons la deuxième parution de notre Info-Quartier. Ce recueil de chroniques vise à vous faire connaître davantage Ahuntsic et Cartierville et à vous informer sur différents aspects entourant l’achat et la vente d’une propriété. Nous espérons que vous en apprécierez la lecture !

Cordialement, DENISE FOISY et ROBERT DEGUIRE courtiers immobiliers

Développement du milieu urbain Loti vers 1798 par les Sulpiciens sur une partie de leur domaine, le village connaît une forte croissance pendant cette période. Outre les maisons villageoises, on y retrouve des résidences de notables imposantes. Plusieurs maisons de ferme bordent aussi le boulevard Gouin Est qui s’appelle, à cette époque, le chemin du Bord-del’eau. Le paysage environnant est toujours composé de champs et de pâturages.

Entre 1859 et 1874, le pont des Saints-Anges permet d’accéder à l’île Jésus, à proximité du tracé du pont Papineau actuel. À peu près à la même époque, deux institutions sont construites. L’externat Sainte-Sophie (qui deviendra le collège Sophie-Barat) veille à l’éducation des jeunes filles tandis que le noviciat Saint-Joseph (qui deviendra le collège Saint-Ignace, puis le Mont-Saint-Louis) à la vocation religieuse.

Le secteur de l’ancien village de Sault-au-Récollet est très riche en bâtiments historiques. Une promenade à pied ou à vélo le long du boulevard Gouin et sur l’île de la Visitation est un véritable voyage dans le temps. Plusieurs maisons rurales côtoient des maisons de villégiature et des maisons urbaines. Un musée, installé dans la maison du meunier construite en 1801, raconte l’histoire du moulin hydraulique du Sault qui a fonctionné entre 1726 et 1960.

1895-1945

1615-1800

En 1895, la Montreal Park & Island met en service un tramway électrique. Le tramway Millen emprunte la rue Saint-Denis, puis l’avenue Millen (anciennement avenue Stanley-Bagg), traverse les champs, se rend à Ahuntsic et poursuit sa route vers l’est, jusqu’au village du Sault-au-Récollet en empruntant le tracé de l’actuel boulevard Henri-Bourassa.

Développement du milieu urbain

Le tramway facilite les déplacements au nord de l’île ainsi que le développement urbain. Des grandes résidences d’été et des maisons recouvertes de brique d’argile, à caractère urbain, sont construites le long du boulevard Gouin Est, entre les maisons de ferme. Dès 1907, les terres agricoles entre les rues Papineau et des Prairies sont divisées en parcelles et de nouvelles rues sont tracées.

En 1615, le père Joseph Le Caron, en compagnie de Samuel de Champlain, s’arrête aux rapides de la rivière des Prairies et emprunte le chemin de portage des Amérindiens. Il y célèbre la première messe sur l’île de Montréal.

En 1625, le récollet Nicolas Viel, un missionnaire français, et son compagnon Ahuntsic, un jeune français vivant à l’Amérindienne, se noient dans les rapides. C’est pourquoi ce lieu est nommé Sault-au-Récollet.

En 1696, le sulpicien Vachon de Belmont construit le fort Lorette à l’emplacement actuel de l’ensemble paroissial et établit une mission amérindienne. Cette mission est déplacée à Oka en 1721 et on assiste au début de la colonisation de la côte de NouvelleLorette.

En 1726, les sulpiciens construisent une digue entre la rive et l’île de la Visitation. Dès 1728, on y compte trois moulins alimentés par la force des rapides.

L’énergie hydraulique permet de moudre le grain en farine et d’actionner des scies qui préparent les planches nécessaires à la construction.

En 1736, le peuplement des campagnes environnantes suscite la création de la paroisse de la Visitation-duSault-au-Récollet. La chapelle du fort Lorette sert de lieu de culte jusqu’à l’édification d’une nouvelle église en 1751. L’église de la Visitation-du-Sault-au-Récollet, qui subsiste encore, est la plus ancienne de Montréal.

La porte sculptée du XVIIIe siècle est remarquable.

Source : http://patrimoine.ville.montreal.qc.ca/inventaire/fiche_zone.php?&id=1031 Cahiers d’histoire du Sault-au-RécoIIet http://www.citehistoria.qc.ca/uploads/6/7/7/6/6776200/no1-chsar-automne_1990.pdf

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1801-1894

Développement du milieu urbain

En 1910, le chemin du Bord-de-l’Eau est nommé boulevard Gouin en l’honneur de Lomer Gouin (1861-1929), premier ministre puis lieutenant-gouverneur du Québec. Érigé en municipalité de village en 1910, le Sault-au-Récollet acquiert le statut de ville en 1914 et est annexé à Montréal en 1916.

En 1928, la construction de la centrale électrique de Rivière-desPrairies modifie l’environnement des moulins. Le barrage élimine les rapides et inonde les îlots Hibou et Sergent. Les buttes de l’île de la Visitation sont aussi aplanies.

1946 à aujourd’hui

Développement du milieu urbain La fin des années 1950, la circulation automobile prend de l’ampleur et en 1959, on aménage le boulevard Henri-Bourassa. L’urbanisation rejoint la rivière des Prairies. Les terres agricoles sont subdivisées afin de permettre la construction de résidences. Les moulins cessent leurs activités en 1960. L’implantation du pont Papineau-Leblanc, à la fin des années 1960, sépare l’église paroissiale de son noyau villageois.

Vers la fin des années 1970, les qualités patrimoniales et naturelles de ce lieu sont de plus en plus reconnues.

Le Parc de l’Île de la Visitation est inauguré en 1983, l’ancien village du Sault-au-Récollet est protégé et mis en valeur par la constitution d’un site du patrimoine en 1992 et le nouvel aménagement mettant en valeur le site des moulins est inauguré en 1998.

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MAISON

MAISON

2084, boulevard Gouin Est

1737, boulevard Gouin Est

La maison Persillier-Lachapelle, citée comme monument historique, est une résidence bourgeoise d’inspiration néoclassique érigée vers 1840.

Maison construite entre 1838 et 1848 pour le compte du menuisier Joseph David, descendant de la famille David établie au Sault-au-Récollet depuis le milieu du XVIIIe siècle.

Elle est aussi connue sous le nom de maison Dumouchel en hommage au graveur Albert Dumouchel et à sa femme Suzanne. La maison fut restaurée avec goût.

PERSILLIER-LACHAPELLE

DAVID-DUMOUCHEL

Pascal Persillier dit Lachapelle fils fait l’acquisition entre 1837 et 1845 de terrains au Saultau-Récollet. Vers 1840, il se construit une résidence en pierre calcaire grise sur son vaste domaine. Elle compte deux étages et demi et est coiffée d’un toit à quatre versants à pente douce, percé de lucarnes.

BIOGRAPHIE Albert Dumouchel naît le 15 avril 1916 à Bellerive, paroisse ouvrière de Salaberry-deValleyfield, dans une famille d’artisans-ouvriers. Il fait son cours au Séminaire classique de la même ville, devenu aujourd’hui le Collège de Valleyfield. Dès l’âge de 8 ans, il étudie le violon, le chant et le piano; il parfait ses connaissances en chant avec le maître Rodolphe Plamondon. En 1936, le Séminaire de Valleyfield lui confie son atelier d’art où il enseigne jusqu’en 1949.

À l’origine, la maison comportait probablement une galerie sur les quatre façades, ce qui offrait un agréable panorama sur la campagne environnante. Vers 1896, le domaine est subdivisé en lots à bâtir.

Durant les années 1930, une galerie, un balcon et une porte sont ajoutés. En 1975, Paul Carle, membre de la Société de conservation du Sault-au-Récollet, achète la maison Pascal-Persillier et entreprend des travaux de restauration. Ces travaux, qui s’achèvent en 1985, visent à redonner à la maison son apparence du XIXe siècle.

À partir de 1940, il devient dessinateur de tissu à la Montreal Cottons de Valleyfield. Il devient également professeur de dessin, d’histoire de l’art, de publicité et de photographie à l’Institut des arts graphiques de Montréal qui vient d’être fondé (aujourd’hui Collège Ahuntsic). Il y met sur pied un atelier de gravure envié dans tout le Canada et en devient le directeur artistique. Par la suite, il dote l’atelier de gravure de l’École des beaux-arts de Montréal, annexé à l’Université du Québec à Montréal en 1969, d’un équipement technique diversifié.

La famille Persillier dit Lachapelle en est propriétaire de 1840 à 1866.

Plusieurs membres de cette famille ont participé au développement du nord de l’île de Montréal. Ainsi, Pascal Persillier dit Lachapelle fils (1806-1853) fait l’acquisition de nombreuses propriétés, dont l’île de la Visitation et les moulins du Sault qu’il achète des sulpiciens en 1837. Son père (1781-1851) est également connu pour avoir érigé le pont des Saints-Anges, de même qu’un pont à péage dont le tracé évoque celui du pont Lachapelle au-dessus de la rivière des Prairies.

Pascal Persillier dit Lachapelle devint le deuxième meunier de l’imposant moulin au Gros Sault (Sault aux Récollets), il était reconnu entrepreneur et architecte de la Côte-desNeiges à Montréal. Bâtisseur de moulins, il a exploité une tannerie et construit le pont reliant l’île Jésus à l’île de Montréal, entre Cartierville et l’Abord-à-Plouffe. Ce pont est inauguré le 21 juillet 1836.

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Source : Ville de Montréal, 2006 : http://www. historicplaces.ca/fr/ rep-reg/place-lieu. aspx?id=6251

Pédagogue hors pair, soucieux de la technique du travail, il communique à ses étudiants son amour du métier et son savoir en formant les graveurs qui assurent aujourd’hui la relève. Entre 1947 et 1951, il publie la série des Cahiers des ateliers des arts graphiques où l’on retrouve des noms parmi les plus marquants du grand tournant dans l’histoire de l’art au Québec : Borduas, Pellan, Bellefleur, Giguère, Favreau et Mousseau.

Source : http://fr.canoe.ca/ archives/voyages/ sechapper /2006/03/20060 323-094100.html

Homme aux multiples talents; musicien, photographe et peintre, il sait promouvoir au Québec l’art de l’estampe, lui donnant ainsi ses lettres de noblesse. Quant à sa production, elle est gigantesque. Pendant plus de 30 années de travail artistique, il produit 2 078 œuvres.

https://fr.wikipedia. org /wiki/Albert_ Dumouchel 5

MAISON

LA MAISON

2273, boulevard Gouin Est

1995, boulevard Gouin Est

ANTOINE BROUSSEAU

DU DOCTEUR

La « Maison du docteur » au fini de stuc bleu est construite en 1866, fut habitée par le docteur Jules-Nestor Chopin, puis par le docteur Hector Pelletier. La maison est la propriété des descendants de Joseph Beauchamp, qui fut chauffeur du docteur Pelletier dès sa tendre jeunesse.

Le docteur Jules-Nestor Chopin, père du poète René Chopin, pratique la médecine pendant 36 ans au Sault tandis que le docteur Hector Pelletier s’établit au Sault en 1897.

Médecin et chirurgien, il mettra au monde 2 500 bébés durant sa carrière, mais ne sera jamais père lui-même.

Les indispensables complices des médecins, les infirmières, sont moins connues. Cette profession a longtemps été l’apanage des religieuses et il faut attendre à la fin du XIXe siècle pour que certains hôpitaux offrent aux femmes une formation en soins infirmiers, ce que fit l’hôpital Notre-Dame en 1897.

Majestueuse maison en pierre des champs datant de 1836, érigée pour Antoine Brousseau, capitaine de milice, agriculteur et meunier. Elle est construite en pierre équarrie avec des murs coupe-feu décoratifs. Sa toiture est recouverte de tôle à la canadienne, c’est-à-dire de pièces de métal agencées suivant une diagonale. La maison est entourée d’un vaste terrain qui lui donne des allures de manoir français.

En tant que capitaine de milice, Antoine Brousseau était un personnage influent. Il est aussi marguillier, juge de paix et maire de la municipalité du Sault-au-Récollet (1860 à 1864).

Joseph Brousseau, fils d’Antoine Brousseau, sera aussi maire du Sault-au-Récollet de 1874 à 1886.

http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7957,88399650&_dad=portal&_ schema=PORTAL

Source : http://ville.montreal. qc.ca/portal/page?_ pageid=7957,8839 9650&_dad=portal&_ schema=PORTAL

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http://ville.montreal. qc.ca/portal/page?_ pageid=7957,8839 9650&_dad=portal& _schema=PORTAL

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FIXER LE PRIX DE VENTE, UN ART QUE SEUL LE COURTIER MAÎTRISE Il est difficile de fixer le prix de vente d’une propriété pour qu’il reflète sa valeur réelle.

Mais c’est pourtant l’un des éléments essentiels d’un processus de vente réussi! En tant que propriétaire, vous désirez, bien sûr, en obtenir le prix le plus élevé possible. Mais vous devez éviter de fixer un prix trop élevé qui fera fuir les acheteurs potentiels et fera en sorte que, malgré ses nombreux atouts, votre propriété suscitera peu d’intérêt. Il y a donc plusieurs considérations à prendre en compte. Bref, établir le prix de vente d’une propriété est un art et c’est le courtier qui est le mieux en mesure de le faire.

NE PAS SURÉVALUER UNE PROPRIÉTÉ Si vous demandez un prix trop élevé par rapport à la véritable valeur de votre propriété, vous risquez de ne recevoir aucune offre. Bien sûr, vous pourriez être chanceux et décrocher le gros lot, mais vous risquez surtout de faire fuir définitivement des acheteurs sérieux, qui se diront probablement qu’il ne sert même à rien de faire une offre, car elle sera certainement refusée. Et si vous croyez qu’il sera toujours temps de baisser le prix demandé au bout d’un certain temps, détrompez-vous : une maison annoncée depuis trop longtemps incite les acheteurs à croire que quelque chose ne va pas avec cette propriété. Sans compter que pendant toutes ces semaines pendant lesquelles une propriété a été annoncée sans être vendue, bon nombre d’acheteurs l’ont remarquée, puis écartée. De plus, baisser le prix n’est jamais une bonne idée. Un courtier compétent et sérieux connaît son marché et saura vous aider à fixer le juste prix dès le début. C’est la seule stratégie gagnante.

NE PAS LA SOUS-ÉVALUER NON PLUS Fixer un prix inférieur à la valeur réelle d’une propriété peut faire en sorte que vous recevrez plusieurs offres, ce qui pourrait créer une surenchère. Mais, curieusement, cette stratégie peut également faire fuir les acheteurs potentiels qui se diront peut-être que ce prix alléchant cache un ou plusieurs problèmes. Et si jamais votre propriété ne suscite pas l’intérêt attendu, vous resterez pris avec une maison que vous avez annoncée à un prix inférieur à sa valeur. En outre, votre courtier sait, lui, qu’une telle stratégie peut être contreproductive.

ÉTABLIR LE JUSTE PRIX Mettre une maison en vente au juste prix, c’est-à-dire au prix qui fera dire tant au vendeur qu’à l’acheteur qu’il fait une bonne affaire, est la meilleure façon (et la seule, en fait) d’aborder la vente de sa propriété. Pour ce faire, une seule manière de procéder : comparer votre maison avec les maisons semblables dans votre secteur. Vous avez un allié de taille sur ce plan : le courtier qui se frotte jour après jour au marché, sait combien telle ou telle propriété s’est vendue et il peut même obtenir le prix de vente des maisons qui se sont vendues tout récemment et dont la transaction n’a pas encore été finalisée chez le notaire. Il est votre ressource incontournable.

METTRE DE CÔTÉ LES ÉMOTIONS Vous y avez peut-être élevé vos enfants, votre maison est chargée de souvenirs magnifiques et vous l’avez restaurée, rénovée à grands frais et amoureusement entretenue. Parce que votre maison suscite en vous les plus fortes émotions, vous êtes probablement la personne la moins bien placée pour en établir le juste prix, même si vous en connaissez tous les recoins et les moindres qualités comme les moindres défauts. Le courtier, lui, est d’abord et avant tout un professionnel qui s’appuiera sur des critères tout à fait objectifs. Par sa formation et son expérience, il fera une analyse comparative rigoureuse du marché de votre quartier et sera ensuite en mesure de fixer le prix maximum qui incitera un acheteur éventuel sérieux, qui lui aussi aura fait ses devoirs, à vous faire une offre.

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AVANT D’ACHETER, CALCULEZ! Devenir propriétaire est une décision importante et une bonne préparation est primordiale au succès de votre projet d’achat. Avant de commencer à rêver à la couleur des murs de votre futur salon, nous vous invitons à découvrir quelques aspects financiers à considérer avant d’acheter.

Vous avez probablement déjà déterminé le montant de votre future mise de fonds, mais avez-vous pensé aux frais de démarrage ?

Frais d’inspection, frais d’évaluation, honoraires et frais juridiques et « frais accessoires et d’ajustement de comptes »…, les frais de démarrage sont nombreux et il ne faut pas les négliger. Vous devez également penser aux droits de mutation (« taxe de Bienvenue »).

Cette taxe de vente perçue par la municipalité correspond à un pourcentage du prix d’achat de votre maison ou de son évaluation municipale (selon le montant le plus élevé).

Lorsque vous achetez à Montréal, il faut prévoir :

0,50 %

1 %

SUR LES PREMIERS 50 000 $

SUR L’EXCÉDENT DE 50 0000 $ À 250 000 $

1,5 %

2 %

SUR L’EXCÉDENT DE 250 0000 $ À 500 000 $

SUR L’EXCÉDENT DE 500 000 $ À 1 000 000 $

Vous avez fait vos calculs et souhaitez passer à l’étape suivante ?

un prix d’achat qui respecte les limites de votre budget.

Réduire ses frais d’intérêts, oui c’est possible !

Lors d’un projet aussi important que l’achat d’une maison, certaines décisions vous permettent de mieux gérer vos dettes et de réduire vos frais d’intérêts de manière considérable.

Dans cette optique, il est à votre avantage d’effectuer le versement initial le plus élevé possible. Pour vous aider, il existe un programme gouvernemental appelé Régime d’accession à la propriété (RAP). Si vous êtes un premier acheteur ou êtes perçu comme tel par la loi, il vous sera possible d’utiliser vos REER comme mise de fonds jusqu’à concurrence de 50 000 $ par couple.

Vous n’avez pas de REER ? Vous pouvez quand même vous prévaloir du RAP en effectuant un emprunt que vous déposerez par la suite dans un REER. Après 90 jours, vous pourrez rembourser votre emprunt et utiliser votre remboursement d’impôts comme mise de fonds. Vous disposerez ensuite de 15 ans pour effectuer les remboursements de votre REER. Accélérer vos versements est également une astuce intéressante. En effet, opter pour des versements hebdomadaires plutôt que mensuels, vous permettra d’effectuer l’équivalent de 13 versements hypothécaires mensuel par année.

En adoptant ces deux stratégies, le montant de votre emprunt sera moindre et votre prêt sera remboursé plus rapidement et surtout, à moindre coût.

Vous demeurez dans Ahuntsic ou désirez vous y établir ?

La Caisse Desjardins d’Ahuntsic est heureuse de vous accueillir dans ses points de services aux 4 coins du quartier. Que ce soit pour obtenir un prêt hypothécaire, des solutions d’épargne, des assurances de bien ou de personnes ou tout autre service ou produit financier, son équipe de professionnels expérimentés est là pour vous aider à réaliser vos projets.

Véritable partenaire de son quartier, la Caisse Desjardins d’Ahuntsic est fière d’investir dans l’avenir de sa communauté et d’avoir remis à la collectivité plus de 173 000 $ en dons, commandites et bourses d’études en 2015.

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Passez à la Caisse, votre conseiller Desjardins analysera votre situation avec vous et pourra vous offrir un prêt hypothécaire préautorisé et un taux d’intérêt garanti pour une période minimale de 90 jours. Ces outils sont en quelque sorte votre passeport pour l’achat d’une maison. Ils vous permettront à la fois de démontrer aux éventuels vendeurs le sérieux de votre démarche et de négocier 9

FOISY DEGUIRE : UN TANDEM EFFICACE POUR UNE TRANSACTION GAGNANTE !

DENISE ET ROBERT, COMMENT PERCEVEZ-VOUS VOTRE PROFESSION ? Être guide dans l’achat ou la vente d’un bien très précieux : voilà notre définition du bon courtier immobilier. Les étapes à franchir sont importantes et nous prenons le temps nécessaire pour que l’acheteur se sente à l’aise. Expliquer clairement le processus d’une transaction, les services offerts, l’importance d’une évaluation raisonnable de la propriété, etc., c’est primordial ! Encadrer et conseiller correctement le client ; écouter attentivement et développer une complicité.

Ajoutons notre passion et notre engagement, et c’est le gage de la réussite !

MISE EN MARCHÉ EFFICACE ET PERSONNALISÉE BROCHURE ILLUSTRÉE La création d’une brochure illustrée permet de véhiculer de façon esthétique et professionnelle l’ensemble des caractéristiques de votre propriété.

Agréable à consulter et informative, la brochure Info-Résidence fait partie des incontournables d’une mise en marché efficace et professionnelle.

DIFFUSION WEB Nous voulons tout simplement que nos clients soient satisfaits. Or, quel bonheur d’un côté comme de l’autre lorsque la transaction se conclut !

VOUS EXERCEZ CETTE PROFESSION DE COURTIER IMMOBILIER DEPUIS PLUS DE 25 ANS. QU’EST-CE QUI VOUS MOTIVE ENCORE AUJOURD’HUI ?

La même ferveur que les premières années : celle de conduire l’acheteur ou le vendeur à la réalisation d’un de ses rêves. Cette expérience enrichissante est fort stimulante, puisqu’elle est renouvelable et qu’un défi nouveau apparaît à chaque fois. Toute personne est unique, vous savez ! Il faut dire que notre profession n’est jamais routinière et que la créativité est toujours au rendez-vous.

« NOUS SOMMES PRÉSENTS CHAQUE FOIS QUE VOTRE PROPRIÉTÉ EST VISITÉE. UN AUTRE AVANTAGE DU TRAVAIL EN DUO ! » QUELLES SONT LES FORCES DU TANDEM FOISY-DEGUIRE ?

Si notre équipe dure et que la satisfaction de nos clients demeure constante depuis tant de temps, cela est dû à notre travail sur une même longueur d’onde.

La distribution des tâches nous laisse une grande disponibilité pour les visites de propriétés et les entrevues avec les acheteurs et vendeurs potentiels. Ils n’attendent jamais. Lors d’une offre d’achat, nous prenons le temps d’analyser avec eux les différents scénarios. Ces rencontres deviennent exceptionnelles lorsque la chimie s’installe. De plus, notre formation continue en immobilier nous rend très attentifs aux nouveautés et stratégies du marché.

COMMENT VOS CLIENTS VOUS QUALIFIENT-ILS ?

Nos clients se sentent à la fois en confiance et libres d’effectuer leur choix ; ils comprennent notre implication. Leurs témoignages et la réputation que nous maintenons parmi nos pairs démontrent notre ouverture d’esprit, notre professionnalisme, nos talents de négociateurs chevronnés et notre connaissance aiguë du marché. Nous adorons notre métier et le pratiquons avec passion et compétence !

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Notre rôle est de nous assurer que votre propriété soit présente sur les sites web les plus visités.

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Parmi les collaborateurs d’Info-Quartier on retrouve, entre autres, la Chambre des notaires du Québec, l'Association professionnelle des designers d'intérieur du Québec, un représentant d’une institution financière. Gratuit et offert trois fois par année, Info-Quartier vous est livré par Postes Canada.

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Mont-Saint-Louis

APPRENDRE À AHUNTSIC : PORTRAITS HISTORIQUES DE QUELQUES ÉTABLISSEMENTS D’ENSEIGNEMENT

UNE PAGE D’HISTOIRE

Regina Assumpta S’il a été officiellement fondé en 1955, le collège Regina Assumpta trouve ses racines profondes dans l’Académie SaintUrbain, une école fondée par les sœurs de la Congrégation de Notre-Dame en 1889. L’école, qui était alors située sur la rue Saint-Urbain près de Prince-Arthur, a dû toutefois fermer ses portes en raison de la vétusté du bâtiment et des besoins d’agrandissement de l’Hôpital SainteJeanne d’Arc. Cet événement força le déménagement qui permit par ailleurs à l’institution d’enseignement de se rapprocher d’une clientèle de plus en plus nombreuse à peupler le pourtour de ce qu’était le Montréal de l’époque. C’est donc dans ce contexte qu’est fondé en 1955 le collège Regina Assumpta. Ouvrant ses portes à une clientèle essentiellement féminine, le collège accueille à sa première année un total de 515 élèves, dont 318

au cours primaire et 197 au cours secondaire. Comme le veut la tradition pour ce genre d’établissement, les cours sont offerts à la fois à une clientèle externe et interne. L’établissement compte 148 pensionnaires. Signe de la popularité de l’institution, la fréquentation scolaire passe à quelque 909 étudiants une dizaine d’années seulement après sa fondation. Le contexte de la fin des années 1960, caractérisé par une chute des effectifs religieux et un questionnement en profondeur du modèle d’éducation québécois, met à mal l’institution qui doit se réajuster. Mais c’est manifestement chose faite quelques années plus tard puisqu’on compte 857 élèves pour l’année 1971-1972 et 1 402 en 1983-1984. Parallèlement, on construit un gymnase double et quatre salles de récréation en 1973, soit un an avant que l’internat ne soit aboli. Depuis, le collège n’a cessé de s’agrandir et de se moderniser. Il se targue aujourd’hui d’offrir à l’élève « un développement global et équilibré par une solide formation, tant sur les plans intellectuel, social, artistique que moral ». Le nom du collège signifie « Reine de l’Assomption » en français.

Cégep Ahuntsic Le Cégep Ahuntsic est la cadette des institutions d’enseignement présentées ici. Sa création ne relève pas de l’initiative d’une communauté de religieux, mais bien du contexte bouillonnant des années 1960 où le Québec entreprend sa « Révolution tranquille » en changeant radicalement ses valeurs et le fondement même de ses institutions. Dans la foulée des actions issues de cette génération en mal de rupture, l’Assemblée nationale du Québec adopte un projet de loi visant à créer une nouvelle structure publique et gratuite 12

d’établissements d’enseignement supérieur. Fruit du rapport de la Commission Parent ayant mis en lumière les lacunes dans le système d’éducation québécois, les collèges d’enseignement général et professionnel (CEGEP) naissent en 1967.

À l’origine, le plan du gouvernement était d’ouvrir sept Cégeps à l’extérieur de l’île de Montréal. La contestation populaire le pousse toutefois rapidement à créer cinq autres établissements, dont le collège Ahuntsic qui naît de la fusion du collège Saint-Ignace et de l’institut de technologie Laval qui cessent d’exister en tant qu’entités autonomes. Le premier avait été fondé en 1927 par les Jésuites, tandis que le second existait depuis 1941. En 1970, c’est autour de l’Institut des Arts graphiques d’être absorbé par le collège Ahuntsic.

Bien qu’il ait été fondé à l’extérieur d’Ahuntsic, le collège de Mont-Saint-Louis n’en demeure pas moins l’ancêtre direct de l’institution présentée dans ce portrait. En effet, c’est en 1888 que les Frères des Écoles chrétiennes fondent, sur la rue Sherbrooke, ce collège en s’inspirant des grands pensionnats de France. Institution catholique, le collège n’en jouissait pas moins d’une réputation d’ouverture à l’égard des diverses communautés. Le fait que cette école soit bilingue n’était d’ailleurs sûrement pas étranger à cette réputation. Ayant œuvré pendant plusieurs décennies et formé une partie de l’élite, le collège subit les contrecoups de la modernisation en profondeur du système scolaire québécois dans la foulée de la Commission Parent vers la fin des années 1960. C’est pourquoi les Frères des Écoles chrétiennes prennent la décision de fermer leur établissement en 1969. Faisant fi de cette décision, des parents d’élèves se mobilisent et forment une association qui achète le collège Saint-Ignace, un établissement tenu par les Jésuites. La nouvelle mouture du Mont-Saint-Louis s’installe alors quelque temps plus tard dans un magnifique bâtiment patrimonial du nom de Maison Saint-Joseph construit en 1852 et sis sur le boulevard Henri-Bourassa.

d’enseignement, présente un grand intérêt. Ayant été classé immeuble patrimonial par le gouvernement provincial en 1979, ce noviciat a été bâti selon les plans du père Martin afin de former la relève religieuse canadienne. En 1962, le collège Saint-Ignace prend la relève jusqu’au rachat par le Mont-SaintLouis. Il s’agit par ailleurs d’un des plus anciens bâtiments de l’ancien village de Sault-au-Récollet.

D’un point de vue patrimonial et architectural, la Maison Saint-Joseph, où est encore aujourd’hui logé l’établissement

Constitution civile du clergé, ce qui le conduit à la mort lors des massacres de septembre 1792. Le martyr est béatifié par le pape Pie XI quelques mois seulement avant la fondation du collège.

André-Grasset Fondé en 1927 par la société des Prêtres de Saint-Sulpice de Montréal à la demande de l’Archevêque de Montréal, le collège André-Grasset a une l’histoire qui s’inscrit dans la tradition des collèges classiques. Cet établissement innovait cependant en se donnant pour mandat de n’accueillir que des étudiants externes.

Il rompait par le fait même avec la formule traditionnelle du pensionnat afin, dit-on, de mieux se consacrer à l’éducation des jeunes.

Le collège tire son nom d’un prêtre du XVIIIe siècle. Né à Montréal en 1758 et baptisé à l’église Notre-Dame, André Grasset de Saint-Sauveur et sa famille retournent en France après la

Conquête. Quelques années plus tard, le jeune homme est ordonné prêtre aux termes de ses études. Alors que la Révolution française gronde, il est nommé chanoine et trésorier à la cathédrale de Sens. Comme de nombreux membres du clergé, le prêtre refuse de prêter serment à la

Sources : BANNON, Jacques, André Grasset, 75 ans d’histoire, Montréal, Fides, 2003, 401 pages

En 1962, le collège procède à un premier agrandissement majeur alors que le pavillon Aurèle-Allard, destiné à accueillir les étudiants en philosophie, la bibliothèque, un auditorium, des laboratoires ainsi que plusieurs salles de classe, ouvre ses portes. Dans le cadre de la réforme scolaire, le collège devient un établissement collégial en 1970-1971.

Répertoire du patrimoine culturel du Québec, disponible [en ligne] : http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/accueil. do?methode=afficher

DESBIENS, Josée, Le collège Regina Assumpta 1955-1995.

Quarante ans d’éducation au féminin, disponible [en ligne] : http://id.erudit.org/iderudit/1007544ar

Site web du collège Regina Assumpta, [en ligne], www.reginaassumpta.qc.ca/

PINARD, Guy. Montréal, son histoire, son architecture. Vol. 3.

Montréal, Les Éditions La Presse, 1989. 560 p.

Site web du collège du Mont Saint-Louis, [en ligne], http://web.msl.qc.ca

Grand répertoire du patrimoine bâti de Montréal, disponible [en ligne] : http://patrimoine.ville.montreal.qc.ca/inventaire/ index.php

Site web du Collège Ahuntsic, disponible [en ligne], www.collegeahuntsic.qc.ca

Site web du collège André Grasset, [en ligne], www.grasset.qc.ca

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STATISTIQUES RÉSIDENTIELLES AHUNTSIC

3e TRIMESTRE 2015 C UMUL 4 DERNIERS TRIMESTRES

VENTES 183 9 % 772

3 %

NOUVELLES INSCRIPTIONS

337

2 %

1 617

4 %

INSCRIPTIONS EN VIGUEUR

676

9 %

695

9 %

76 874

14 %

304 865

5 %

VOLUME (EN MILLIER $)

UNIFAMILIALE VENTES INSCRIPTIONS EN VIGUEUR PRIX MÉDIAN

46 %

219

10%

15 %

16 %

168 2 % 450 000 $

7 %

95 2

COPROPRIÉTÉ VENTES 67 5 % 325

3 %

INSCRIPTIONS EN VIGUEUR

14 %

341

10 %

341

235 000 $

-3 %

240 000 $

DÉLAI DE VENTE MOYEN (jours) 134 46

2 %

108 -10

PLEX (2 À 5 LOGEMENTS) VENTES 59 -9 % 228

-5º%

INSCRIPTIONS EN VIGUEUR PRIX MÉDIAN

179

6 %

187

6 %

495 000 $

-3 %

480 00 $

-5 %

DÉLAI DE VENTE MOYEN (jours) 102 8

97 1

ÉVOLUTION MENSUELLE DES TAUX HYPOTHÉCAIRES 5 ANS

2011 2012

5,4 _________________________________________________________________

2014 2015

Note : Le total résidentiel comprend les catégories unifamiliale, copropriété, plex (2 à 5 logements) ainsi que les fermettes.

Les taux de variation sont calculés par rapport au même trimestre de l’année précédente.

Le prix de vente médian est celui qui permet de séparer l’ensemble des transactions en deux parties égales : la moitié des transactions ont été effectuées à un prix inférieur et l’autre moitié à un prix supérieur. Source : FCIQ par Centris®

456 500 $

DÉLAI DE VENTE MOYEN (jours) 110 11

PRIX MÉDIAN

** Nombre de transactions insuffisant pour produire une statistique fiable

57 155

2013

Voici des statistiques qui vous renseigneront sur la fluctuation du marché immobilier d’Ahuntsic.

Ces informations vous seront utiles si vous êtes sur le point d’effectuer la vente ou l’achat d’une propriété.

Si vous souhaitez obtenir notre aide quant à l’interprétation de ces données, n’hésitez pas à nous contacter.

STATISTIQUES DÉTAILLÉES PAR CATÉGORIE DE PROPRIÉTÉS

5,3 _________________________________________________________________ 5,2 _________________________________________________________________ 5,1 _________________________________________________________________ 5,0 _________________________________________________________________ 4,9 _________________________________________________________________ 4,8 _________________________________________________________________

Pourquoi faire un TESTAMENT NOTARIÉ ?

1. POUR BIEN DÉFINIR ET EXPRIMER VOS VOLONTÉS Pour préparer votre testament, vous devrez notamment vous poser les questions suivantes : Quels seront vos héritiers et quelle sera leur part dans votre héritage ? Qui sera responsable de régler votre succession et quels sont les pouvoirs que vous souhaitez lui donner ? Qui agira comme tuteur à l’égard de vos enfants mineurs ? Comment procéder au transfert et à la gestion de votre entreprise ? Souhaitezvous inclure un consentement au don de vos organes après votre décès ?

2. POUR SAUVER TEMPS ET ARGENT Pour planifier votre succession, votre testament est le document le plus précieux.

Votre notaire vous conseillera sur les façons de: • réduire l’impôt sur vos biens à votre décès ; • transférer, sans impôt immédiat à votre décès, certains produits d’épargne ou de retraite, comme vos régimes enregistrés d’épargne retraite (REÉR) ou vos comptes d’épargnes libres d’impôt (CÉLI); • nommer d’autres personnes qui pourront continuer à cotiser aux régimes enregistrés d’épargne-études (REÉÉ) auxquels vous avez contribué; • faire administrer l’héritage de vos enfants.

En effet, un testament non notarié doit être vérifié par un notaire ou par un tribunal avant d’être utilisé pour régler la succession. Cette vérification implique des coûts et des délais.

UN TESTAMENT NOTARIÉ PERMET À VOS HÉRITIERS D’ÉVITER DES FRAIS ET DES DÉLAIS IMPORTANTS APRÈS VOTRE DÉCÈS. 3. POUR FACILITER LA VIE DE VOS HÉRITIERS Un testament notarié vous assure une meilleure tranquillité d’esprit et facilitera la vie de vos héritiers. C’est aussi un document fiable et sécuritaire, entre autres pour les raisons suivantes : Votre testament notarié est plus difficile à contester qu’un testament non notarié, car votre notaire en assure l’authenticité. Il doit vérifier votre identité et préparer un testament conforme à la loi et à vos volontés. Il doit aussi vous en expliquer le contenu et attester que vous l’avez compris et signé librement.

La protection de votre testament notarié sera toujours assurée puisque votre notaire doit en conserver l’original dans un endroit sécuritaire, tel que prévu par la loi. Vous avez donc la certitude que ce document ne sera pas perdu, modifié ou détruit. Votre notaire vous remettra une copie conforme à l’original.

Après votre décès, vos héritiers pourront facilement vérifier si vous aviez un testament notarié en présentant une demande de recherche au Registre des dispositions testamentaires de la Chambre des notaires.

En effet, tous les notaires doivent transmettre au registraire certaines informations sur les testaments qu’ils conservent. Ce registre vise à répertorier l’existence des testaments notariés au Québec et ne contient donc pas de copie des testaments.

4. POUR ÉVITER LES MAUVAISES SURPRISES Si votre testament n’est pas notarié : • Il devra être vérifié par un notaire ou par un tribunal avant de pouvoir être utilisé pour régler votre succession. Généralement, cette vérification entraîne des frais beaucoup plus élevés que ceux liés à la préparation de votre testament par un notaire. Elle peut aussi impliquer des délais majeurs pour régler la succession • Il pourrait ne pas être valide au Québec.

• Il pourrait contenir des dispositions illisibles, incompréhensibles ou incompatibles avec la loi, ou être incomplet.

• Il pourrait être perdu, modifié ou détruit.

Si vous n’avez aucun testament, c’est la loi qui déterminera quels seront vos héritiers et leur part dans votre héritage. La loi prévoit, entre autres, les règles suivantes : Sans testament, votre conjoint de fait n’hérite de rien du tout. Cette règle s’applique indépendamment de la durée de votre relation ou du fait que vous ayez eu des enfants ensemble. Votre époux n’hérite pas nécessairement de tous vos biens, à moins que vous ayez un contrat de mariage qui le prévoit.

Si vous êtes séparé, mais non divorcé, votre époux est encore considéré comme votre héritier. Cette règle s’applique même si vous avez un nouveau conjoint de fait depuis de nombreuses années. Vos enfants peuvent se retrouver copropriétaires de vos biens avec votre époux ou avec d’autres membres de la famille. De plus, s’ils sont mineurs, un tribunal doit se prononcer sur certaines de leurs décisions, comme celle de vendre ou d’hypothéquer la maison dont ils ont hérité.

4,7 _________________________________________________________________

SEPT. NOV. JAN. MARS MAI JUIL. SEPT. NOV. JAN. MARS MAI JUIL. SEPT. NOV. JAN. MARS MAI JUIL. SEPT. NOV. JAN. MARS MAI JUIL. SEPT.

4,6 _________________________________________________________________

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15

PROPRIÉTÉS À VENDRE AHUNTSIC

MLS 27459557

Comme à la maison!

DEPUIS LE 23 JANVIER 2015, UNE MAMIE BIEN SPÉCIALE S’EST INSTALLÉE DANS LE QUARTIER…

Les choix de Nicolas

3 incontournables chez Mamie :

1

Le Mamie Choc : un gâteau au chocolat vraiment décadent!

2 3

Le sandwich classique : jambon, fromage, laitue et œuf le parfait équilibre!

Le pain aux graines de chia, raisins et miel délicieux, différent et légèrement sucré !

Elle fait le bonheur des petits comme des grands, mais surtout des plus gourmands! Première franchise Mamie Clafoutis à voir le jour, c’est sur La Promenade Fleury – en plein cœur d’Ahuntsic - que trois partenaires passionnés ont décidé d’installer leur charmant commerce. L’un d’eux, Nicolas Ougas, s’est prêté au jeu du questionnaire.

POURQUOI AVOIR CHOISI AHUNTSIC ? « Ma conjointe et partenaire d’affaires a déjà habité dans le quartier. Fait cocasse : son premier emploi, alors qu’elle était ado, était dans le local voisin du Mamie Clafoutis. On a toujours beaucoup aimé ce quartier, mais force est d’admettre qu’il y a très peu d’endroits où se poser et échanger dans le secteur. Chez Mamie Clafoutis, les gens peuvent s’installer pour la journée s’ils le veulent. Vraiment, il y avait un besoin à combler. C’est aussi très important pour nous que les gens

se sentent comme à la maison. Ça paraît que les gens apprécient notre concept, on a un bel accueil des résidents ! » EN QUOI SE DISTINGUE LE MAMIE CLAFOUTIS FLEURY ?

C h a q u e s u c c u r s a l e M a m i e Clafoutis cherche à s’intégrer dans son quartier. Dans notre concept, on voulait que ce soit très familial et que les gens puissent se sentir comme chez eux. On a aussi posé de la tapisserie pour faire plus « fleuri » et en guise de clin d’œil au nom de la rue. » PARLEZ-NOUS DE VOS PRODUITS! « D’abord, la politique de Mamie c’est zéro additif et pas d’agent de conservation. Nous avons fait élaborer notre propre mélange de farine pour la confection des baguettes. Exclusif à Mamie C l a f o u t i s , c ’e s t u n p ro d u i t biologique et 100% québécois.

P e t i t e p r i m e u r p o u r vo t re magazine : dès janvier 2016, tous nos pains seront à base de farine biologique. »

10050, Acadie, app. 502 2 garages, 2 salles de bains

352 500 $

AHUNTSIC

VENDU

1647, Fleury, ancien restaurant El Toro sur la Promenade Fleury 439 000 $

AHUNTSIC

MLS 24389925

8708, André-Grasset, unité de coin, vue panoramique 349 000 $

AHUNTSIC

MLS 28658808

1602, rue Fleury Est 438 385-1602

12576, Odette Oligny, idéal pour jeune famille, condo sur 2 étages 439 000 $ 16

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PROPRIÉTÉS À VENDRE AHUNTSIC

VENDU AHUNTSIC

MLS 25827966

12580, Odette Oligny, idéal pour jeune famille, condo sur 2 étages 439 000 $

AHUNTSIC

MLS 14023142

AHUNTSIC

MLS 13396076

AHUNTSIC

MLS 21934815

VENDU

10407, Grande Allée 1075, Berthe-Louard, app. 101 1731, Louis-Alphonse Venne, app.101 10467-10469, Fleury À 5 min. du Complexe Claude-Rémillard À 5 minutes de la Promenade Fleury Possibilité d’occasion double 279 000 $ 275 000 $

AHUNTSIC

MLS 13244820

AHUNTSIC

MLS 17817795

AHUNTSIC

1 325 000 $

559 000 $

MLS 15008094

À LOUER

12429, Odette-Oligny, près hôpital du Sacré-Coeur, train Bois-Franc 206 900 $

AHUNTSIC

MLS 28283770

12490, av. du Rivoli, condo avec mezzanine et garage

AHUNTSIC

12522, Odette-Oligny, vue panoramique, 2 chambres + ­­­garage 276 000 $ 1 500 $ / mois

MLS 10225372

AHUNTSIC

MLS 27552888

À LOUER

8567, Pierre-Dupaigne, face parc, 8592, René-Labelle, tout inclus, 2 A/C 12472, avenue de Rivoli, entrée privée, entièrement rénové 2 sdb, 3 c à c - garage mezzanine, foyer, garage 224 900 $ 2 100 $ /mois 359 000 $ 18

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F O I SY D E G U I R E COURTIERS IMMOBILIERS

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