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Éducation
L’académie des geeks
Avec sa pédagogie innovante, l’École 42 Lausanne à Renens (VD) forme les développeurs informatiques de demain. Pas de profs, pas d’horaires, mais le jeu comme méthode d’apprentissage.
Texte: Patricia Brambilla Photos: Niels Ackermann / Lundi13
Entrez dans le cluster, là où le virus informatique va s’étendre», lâche Christophe Wagnière en rigolant derrière sa barbe rousse. Le directeur des lieux, qui préfère se faire appeler le capitaine, a le sens de la formule et l’esprit d’entreprise. À l’École 42 Lausanne, qu’il a lancée en juillet dernier, on forme des développeurs en trois ans en cassant tous les codes. Il n’y a ni professeurs, ni horaires, ni frais d’écolage. Bienvenue dans l’école à la pédagogie révolutionnaire où tout le monde se tutoie!
Les locaux sont installés sur une moitié de rez-de-chaussée des anciens ateliers de reliure à Renens (VD). Des salles spacieuses au matériel flambant neuf, avec des tables construites sur mesure pour accueillir les écrans en quinconce, «et favoriser la proximité entre les étudiants». Une salle de repos et une douche seront bientôt disponibles. Tout respire l’atmosphère décontractée façon start-up, avec le coin lounge, le baby-foot, l’espace cuisine et les salles aux noms inspirés de la culture geek: Gotham, Chill Valley, Foundation, Asgard et autre Quai 9 ¾.
Vocabulaire du gaming Le mot clé de l’apprentissage: le jeu. Ici, on apprend en jouant, d’ailleurs les étudiants sont répartis en coalitions, façon maisons de Harry Potter et tout le vocabulaire s’inspire du gaming. On ne reçoit pas de notes, mais des points d’expérience. On n’a pas de devoirs, mais des projets, qui doivent être réalisés pour débloquer les niveaux suivants, comme dans une partie de Fortnite. Et si on dépasse le temps imparti pour terminer le cursus, on disparaît dans le «black hole». «C’est pour mettre un peu de challenge. Mais les étudiants n’attendent rien de personne, ils savent qu’ils doivent aller chercher l’information. Ça crée des compétences. On apprend ensemble, on découvre ensemble, on collabore et on s’évalue les uns les autres.»
Ainsi, certains préfèrent travailler le matin, d’autres le soir ou le week-end. À chacun son rythme et son endurance. En tout, ils sont 180 élèves et deux apprentis, dont 80% n’avaient jamais fait de codage auparavant. Sur l’ensemble, on ne compte que 20% de filles, «mais on vise la parité», assure le capitaine. Cette première volée est composée des survivants, ceux qui, parmi les 2700 inscrits, ont réussi le test d’admission en ligne et résisté à l’épreuve de «la piscine». Un mois intensif où les candidats ont été poussés à bout, «pour voir les comportements quand les barrières tombent», et bûchaient soixante heures par semaine. Ont été évaluées une certaine logique algorithmique, mais surtout une aptitude à travailler en réseau. Être trop individualiste, voire antisocial, est un critère éliminatoire. «On a dû écarter ceux qui étaient difficiles à intégrer, ou qui, sous stress, cassaient le matériel.»
Un espace bien autogéré Alors qu’on croyait ne rencontrer qu’une classe de geeks à capuchon, à moitié autistes et penchés frénétiquement sur leur clavier, on découvre une ambiance claire, du partage et de l’entraide, beaucoup de débrouillardise. Des petits groupes échangent devant un écran, alors que d’autres préparent… des biscuits de Noël.
Beaucoup de débrouillardise et d’entraide, tels sont les principes de l’École 42.

«On n’est pas là pour les prendre par la main, plutôt les pousser à se dépasser. L’important est qu’ils fassent vivre les lieux», lance malicieusement Christophe Wagnière, qui insiste sur la responsabilisation de chacun et sur le fait que le campus appartient aux étudiants. «Ils ont les clés, c’est leur espace.» Une façon de leur confier les manettes et de les impliquer dans la vie de l’école. Et ça marche.
Certains étudiants s’improvisent cuisiniers pour la cantonade, fournisseurs de poke bowls, mettent sur pied des clubs de langue ou de cinéma. Rien ne traîne, la cuisine est nickel, le tri des déchets s’organise. Le lieu est quasi autogéré, mais n’a rien à voir avec un squat. Il faut dire que quelques règles sont imposées – on ne mange pas dans les salles de cours, bouteilles d’eau posées par terre – au risque de se faire astreindre à des travaux d’intérêt général. Genre nettoyer le frigo ou enlever la poussière…
Pénurie d’informaticiens Christophe Wagnière, homme de projets, physicien devenu informaticien dans les années 1990, en est convaincu: «La Suisse a besoin d’informaticiens. Il nous en faudra 38 000 d’ici à 2025. Or, les hautes écoles n’en forment que 2000 par année… On espère arriver à lancer trois volées en parallèle, soit jusqu’à 500 élèves supplémentaires sur Lausanne.» Le test d’admission en ligne est toujours accessible, ouvert à tous, sans prérequis. Et l’école veut s’inscrire dans un processus de «long life learning»: les alumni (anciens étudiants) peuvent interrompre leur parcours, ou y revenir des années plus tard, l’idée étant de donner un accès perpétuel aux cycles de formation. Quant aux parents qui s’inquiètent de l’absence de titre en fin de cursus, le directeur s’occupe justement de la relation avec les entreprises: «Le diplôme que les étudiants reçoivent n’est certes par reconnu par l’État, mais il l’est par le marché. Le vrai papier avec lequel on sort, c’est un contrat de travail.»
Pour l’heure, un groupe d’étudiants a organisé une soirée cinéma, ils se sont réunis dans la salle de conférence pour regarder un film de Noël. Tandis que deux autres se partagent la playstation sous le sapin qui clignote. Une école idéale? En tout cas, une belle alternative pour ceux qui se heurtent au système et qui aiment résolument casser les codes. MM Un concept qui s’exporte
La formule innovante de l’École 42 est née à Paris en 2013, inventée par Xavier Niel, homme d’affaires et patron de Free, entre autres.
Depuis, on retrouve le concept sur les cinq continents: trente-sept écoles ont été ouvertes dans vingt-trois pays, de la Malaisie au Québec. Quinze projets sont actuellement en cours, notamment à Florence, Berlin, Luxembourg et peutêtre tout bientôt à Zurich.
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Croisière sur le lac des Quatre-Cantons Pont de la chapele à Lucerne
Venez passer avec nous quelques belles journées hivernales au cœur de la Suisse. Ensemble, nous visitons la ville de Lucerne nichée dans un impressionnant panorama de montagnes, découvrons avec fascination l’inoubliable par-cours du Glacier Express dans la féerie de l’hiver et participons, pour compléter cette jolie escapade en Suisse, à une belle croisière sur le lac des Quatre-Cantons, qui prend ici des allures de fjord.
Votre programme de voyage
1er jour – Trajet jusqu’à Lucerne
Trajet en car spécial tout confort jusqu’à Lucerne – la porte de la Suisse centrale. En-tourée de célèbres sommets comme le Pi-late ou le Rigi, la ville se trouve à l’extrémité nord du lac des Quatre-Cantons. A l’occasion d’une visite guidée, nous découvrons les plus célèbres sites de la ville comme le pont de la Chapelle et son château d’eau octo-gonal, l’église des Jésuites, le KKL Luzern ou le monument du Lion. Vous aurez ensuite un peu de temps libre avant que nous ne rejoignions l’hôtel Bellevue, établissement familial de Seelisberg où nous sommes attendus pour le repas du soir dans un décor à couper le souffle sur le lac d’Uri.
2e jour – Parcours panoramique du Glacier Express
Après le petit déjeuner, départ pour d’Andermatt, dans une des hautes vallées les plus imposantes de Suisse, où le fameux Glacier Express nous attend. Installez-vous confor-tablement à bord d’une voiture panora-mique moderne et regardez les fantastiques paysages enneigés défiler par les grandes fenêtres panoramiques. Points culminants de ce superbe voyage, le passage du col de l’Oberalp et la traversée des impression-nantes gorges du Rhin. Notre voyage en train s’achève à Coire, où notre chauffeur nous at-tend pour nous ramener à Seelisberg. Repas du soir à l’hôtel.
3e jour – Lac des Quatre-Cantons & retour
Avant de quitter la Suisse centrale, nous em-barquons, de Beckenried à Lucerne, pour une magnifique croisière sur les eaux d’un bleu profond du lac des Quatre-Cantons. Lais-sant derrière nous les sommets enneigés de Suisse centrale, nous prenons le chemin du retour avec de beaux souvenirs plein la tête.
Organisation: Holiday Partner, 8852 Altendorf
Places limitées! Réservez illico & profitez! Tél. 0848 00 77 88
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✓ Trajet en car spécial tout confort ✓ 2 nuits à l’hôtel Bellevue***, à Seelisberg,
au cœur de la Suisse
✓ 2x petit déjeuner à l’hôtel ✓ 2x repas du soir de 3 plats à l’hôtel ✓ Balade guidée à Lucerne ✓ Magnifique croisière sur le lac des
Quatre- Cantons (Beckenried-Lucerne)
✓ Parcours inoubliable Andermatt-Coire à bord d’une voiture panoramique 2e classe du
Glacier Express
✓ Assistance de notre propre guide suisse
pendant tout le voyage
Lieu de départ & date de voyage
Genève - Nyon – Lausanne
18 au 20 janvier 2022 24 au 26 janvier 2022 15 au 17 février 2022 30 mars au 1er avril 2022
Yverdon – Neuchâtel – La Chaux de Fonds – Bienne
20 au 22 janvier 2022 28 au 30 janvier 2022 17 au 19 février 2022
Sion – Martigny – Montreux – Fribourg
22 au 24 janvier 2022 31 janvier au 2 février 2022 1er au 3 mars 2022
Notre prix action pour vous
Prix par personne en chambre double
à l’hôtel Bellevue***, Seelisberg
Prix normal Fr. 549.-
Prix promo Fr. 449.-*
* Valable dans la limite des disponibilités
Non inclus/en option: Supplément chambre individuelle: Fr. 100.Réduction abt demi-tarif: Fr. 20.Réduction abt général: Fr. 40. Frais de réservation: Fr. 20.- par personne (supprimés pour les réservations en ligne)

«Pas besoin d’être bon en maths»
Mustafa Mujic, 27 ans
«J’ai un parcours en zigzag! J’ai commencé un apprentissage en ferblanterie avant de travailler deux ans comme paysagiste. Ensuite, j’ai fait de la vente dans un grand magasin de vêtements et je me suis inscrit comme sapeur-pompier volontaire. Il faut bien payer les factures… Mais je n’avais pas rencontré le déclic, que j’ai trouvé ici. J’ai découvert que le codage me plaisait. Du coup, je ne considère pas cette activité comme un travail, plutôt comme une passion. J’aime cette façon de travailler, on doit apprendre par soi-même. Ça nous pousse à aller vers les autres. Je crois qu’on a plus de choses à apprendre de plusieurs personnes que d’un seul professeur. On doit résoudre des problèmes de logique, mais pas besoin d’être bon en maths. En codage, il y a souvent plusieurs possibilités pour arriver à un résultat.»

«Tout est basé sur l’entraide»
Lucie Genevey, 29 ans
«À la base, je suis assistante socio-éducative et j’ai fait un CFC d’informaticienne. Mais la formation est très généraliste et je voulais aller plus loin dans la programmation. Ici, on ne fait que ça! C’est devenu une addiction pour moi. Dans aucun autre domaine, je ne pourrais travailler dix heures d’affilée. Dès que je peux, je viens à l’École 42, mais pas forcément pour coder. On se réunit par exemple avec le club de japonais pour partager des connaissances. En fait, on vient aussi ici pour vivre dans un écosystème. L’ambiance est super, le partage incroyable. Tout est basé sur l’entraide et ça marche! Je pensais que «la piscine», ce serait la grosse compétition, mais c’est surtout une compétition avec soi-même. Et puis, c’est notre école, alors on prend soin des lieux, on se sent plus responsable. On a beaucoup de liberté et on ne veut pas la perdre.»

«Le principe de gamification m’a intéressé»
Victor Héran, 32 ans
«J’ai fait un master en droit, mais je me suis retrouvé avec un poste sous-qualifié et un travail dans lequel je ne m’épanouissais pas. Du coup, je suis en reconversion professionnelle pour apprendre le codage. Quand j’ai entendu parler de cette école, avec son principe de gamification, ça m’a intéressé, et j’ai eu envie de le tester. Ici, on progresse comme dans un jeu. À chaque fois que l’on valide un projet, on gagne des points d’expérience pour monter d’un niveau. Et en réussissant une mission, on débloque les suivantes. Mon premier projet a été de créer une bibliothèque de fonctions, de créer les outils qui me seront utiles pour la suite. En fait, je n’avais jamais codé avant, mais on est lancé dans le bain et on apprend vite. C’est très stimulant intellectuellement. Et puis on doit se débrouiller, chacun avance à son rythme. On assimile beaucoup mieux de cette façon-là.»
«On partage la culture geek»
Lucas Dominique, 22 ans

«Avec un CFC d’informaticien en poche, je cherchais une formation supplémentaire. J’ai fait des stages de développeur en entreprise et j’ai bien aimé résoudre des problèmes, arriver au bout des projets. Ici, on a tous les mêmes centres d’intérêt, on partage la culture geek. L’aspect social est très important, on peut travailler seul dans son coin, mais la philosophie du lieu est l’entraide. Il faut aussi avoir un esprit logique, de la patience et aimer passer du temps devant un écran. Je pense que si on est motivé, quand on sort de l’École 42, on trouve du travail. Je me vois peut-être plus tard du côté de la sécurité informatique ou dans le développement de jeux vidéo.» MM
«Le code, c’est comme de l’artisanat»
Léo Gyger, 20 ans
«Avant d’arriver ici, j’ai vadrouillé un peu. J’étais employé de commerce, mais je ne me voyais pas trier les factures pendant vingt ans! J’ai passé le concours d’entrée de l’École 42 en deux heures, un après-midi où je m’ennuyais et j’ai réussi. Je suis arrivé ici les mains dans les poches, sans trop savoir, mais j’ai continué à venir parce que j’ai aimé la sensation de découverte. J’ai eu l’envie d’apprendre. Je suis un gros gamer, mais le jeu n’a rien à voir avec le codage. Le code, c’est comme de l’artisanat: il faut visualiser l’objet avant de le créer. Plus tard, je me verrais bien travailler dans les systèmes embarqués, ça satisferait mon côté créatif.»
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En raquettes dans l’immensité blanche
Cheminer dans un paysage fraîchement enneigé fait partie des joies de l’hiver. C’est pourquoi nous vous proposons six belles randonnées à tester en famille.
Texte: Daniel Fleuti
Valais: un panorama grandiose
Les Dents-du-Midi, on ne s’en lasse pas! Voilà une balade, raquettes aux pieds, qui permet de les admirer sous toutes les coutures (ou presque). La boucle au départ de Frâchette, sur la crête en face de Champoussin (plusieurs itinéraires sont possibles) offre un panorama magistral sur la chaîne de montagnes.
Point de départ et d’arrivée: couvert de Frâchette, sur la crête en face de Champoussin (VS). Longueur: 6,5 km. Durée: 3 heures. Dénivelé: 450 m positif. Difficulté: facile. Âge conseillé: enfants dès 10 ans. Variante: pour les plus petits au départ de Champoussin, un sentier didactique de 50 minutes qui explique les traces des animaux. Infos sur www.regiondentsdumidi.ch

Jura: une boucle royale
Il n’y a pas que l’étang de la Gruère dans les Franches-Montagnes. La preuve par cette balade en raquettes qui vous mène de Saignelégier à l’étang des Royes. À la saison froide, cette petite perle d’eau, dans son écrin de tourbières, rappelle un peu les paysages du Grand Nord. Il y règne un silence ouaté, un calme propice à la contemplation.
Point de départ et d’arrivée: centre de Loisirs de Saignelégier. Longueur: boucle de 5,2 km. Durée: 2 h 30. Dénivelé: 130 m positif/négatif. Difficulté: techniquement facile, physiquement moyen. Âge conseillé: à partir de 7-8 ans. Infos sur www.j3l.ch
Vaud: entre lacs et forêts
En été, ce lieu de randonnée connaît un grand succès, mais il est aussi possible de s’y rendre en hiver. Le circuit en boucle démarre à Bretaye pour gagner le lac des Chavonnes. Cimes enneigées, lacs glacés et forêt somptueuse vous y attendent.
Point de départ et d’arrivée: Bretaye. Longueur: 6,2 km. Durée: 2 heures. Dénivelé: 212 m positif. Difficulté: moyen. Âge conseillé: dès que l’enfant peut gérer la marche en raquettes. Infos sur www.villars-diablerets.ch
Fribourg: une initiation en toute zénitude
Idéale pour les familles avec de jeunes enfants et les débutants, cette petite boucle est tout spécialement destinée à l’initiation à la raquette. Elle permet de découvrir ce sport en toute quiétude. À noter qu’on peut aussi faire la balade de nuit, car elle est équipée d’un balisage réfléchissant.
Point de départ et d’arrivée: zone récréative des Paccots. Longueur: 500 m. Durée: 20 minutes environ. Dénivelé: 20 m positif/négatif. Difficulté: très facile. Âge conseillé: dès que l’enfant sait marcher avec des raquettes. Infos sur www.les-paccots.ch

Jura bernois: la montagne vous appartient
C’est un cadeau du Bonhomme Hiver: rendre certains itinéraires impraticables au trafic motorisé. Tel est le cas du col du Chasseral, l’un des points culminants les plus élevés du Jura. La balade en raquettes débute aux Savagnières et grimpe, d’abord en douceur puis de façon plus costaude, en direction de la Combe-Grède jusqu’au sommet du Chasseral, à 1600 mètres d’altitude.
Point de départ et d’arrivée: Les Savagnières. Longueur: 12 km. Durée: 4 h 30. Dénivelé: 517 m positif/négatif. Difficulté: moyen/difficile. Âge conseillé: dès 12 ans. Infos sur www.wanderungen.ch
Fribourg: sur les traces du passé
Avec ses 61 sommets sur 15 kilomètres de long, aux falaises verticales impeccablement alignées les unes à côté des autres, la chaîne des Gastlosen n’a pas volé son surnom de «Dolomites suisses». Le grand chalet en bois situé à leur pied est encore plus surprenant: construit pendant la Seconde Guerre mondiale pour servir de centre d’instruction, le Chalet du Soldat attire aujourd’hui les raquettistes dans les Préalpes fribourgeoises. MM
Point de départ et d’arrivée: Musersbergli – Jaun. Longueur: 9 km. Durée: 4 h 30. Dénivelé: 400 m positif, 900 m négatif. Difficulté: difficile, itinéraire balisé. Particularité: le Chalet du Soldat est ouvert le week-end. Infos sur www.la-gruyere.ch
Le plus beau cadeau pour les enfants en difficulté
Aujourd’hui, nos donateurs et donatrices cherchent à avoir un impact fort et à inscrire leur geste dans le temps. Grâce à votre legs ou en indiquant la Fondation Terre des hommes (Tdh) dans votre testament, vous avez le pouvoir de changer durablement la vie des enfants.

Ousmane effectue un stage dans un centre de formation Tdh à Mogtédo. Tdh est la plus importante organisation suisse d’aide à l’enfance. Elle intervient dans des contextes fragiles, pour protéger les enfants, leurs familles et leurs communautés. Les legs et les dons testamentaires sont des ressources indispensables. Ces dernières contribuent à financer nos activités et à protéger les enfants qui en ont le plus besoin. Sendrine Constant est spécialiste de la protection de l’enfance à Tdh. Elle partage avec nous la belle histoire d’Ousmane, un jeune garçon de 13 ans qui vit au Burkina Faso. Dans ce pays, près de 20’000 enfants comme lui sont exploités et maltraités et travaillent au péril de leur vie. « Pendant deux ans, Ousmane travaillait dans une mine d’or plus de 10h par jour, à plus de 80 mètres sous terre et sous une chaleur étouffante, pour pouvoir se payer à manger. La plupart des enfants comme Ousmane rêvent de devenir docteurs ou enseignants, ou au moins d’avoir un métier qui ne met pas leur vie en danger. » Par votre legs, vous pouvez contribuer de façon pérenne à l’amélioration de la vie des enfants victimes d’exploitation comme Ousmane. Vous pouvez leur permettre d’effectuer un stage dans un centre de formation Tdh ou les aider à reprendre le chemin de l’école. Loin du danger, ces enfants peuvent ainsi retrouver petit à petit, leur vie d’enfant. Ces projets ont permis à Ousmane de sortir de l’exploitation et de vivre en sécurité auprès de sa famille.
Faire un legs ou indiquer Terre des hommes dans votre testament, c’est donner un avenir meilleur à des millions d’enfants à travers le monde.





Pour plus d’informations :
Pascal Pittet, responsable legs et héritages 058 611 06 56 - pascal.pittet@tdh.ch
tdh.ch/testament
Retrouvez en vidéo les histoires d’enfants comme Ousmane qui sont sortis de l’exploitation grâce à votre soutien.
Des Fêtes gourmandes avec Roquefort Société

21. 12. – 27. 12. 2021



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