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La Belgian Pride 2023 : Retour en images
Le samedi 20 mai dernier, une belle délégation des Engagé·e·s et de Génération Engagée a participé à la Belgian Pride 2023. Parmi celle-ci notre vice-président Yvan Verougstraete, nos députés François Desquesnes et Christophe De Beukelaer ainsi que plusieurs adhérents. Cette grande fête de la tolérance et de l’amour est un rendez-vous que nous ne pouvions pas manquer !
Pour notre Mouvement, aimer la personne que l’on souhaite et qui nous aime en retour est l’une des libertés les plus fondamentales. Nous voulons que chacune et chacun aient la possibilité de désirer, d’aimer et de vivre avec qui elle ou il le souhaite et puisse donner sens à son existence en vivant pleinement ses engagements et ses valeurs.
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C’est donc avec fierté que nous avons porté haut et fort un message d’acceptation, d’inclusion et d’ouverture lors de cet après-midi festif !
Le rendez-vous est pris pour l’année prochaine.
Arnaques, fraudes, promotions d’articles dangereux, pratiques douteuses, exploitation d’enfants, publicités déguisées, concurrence déloyale,... les réseaux sociaux sont le terrain de jeu favori de nombreux influenceurs parfois peu scrupuleux. En Belgique comme ailleurs, cette activité est en plein développement. Les dérives observées y sont courantes et se concentrent principalement sur les jeunes, grands consommateurs d’Instagram, Snapchat, TikTok…. Afin d’encadrer ces pratiques et assainir un secteur en manque de balises claires, notre députée fédérale Vanessa Matz vient de déposer une proposition de loi (co-signée par Georges Dallemagne, Maxime Prévot , Catherine Fonck et Josy Arens) visant à :
1. Encadrer et responsabiliser les influenceurs qui agissent en

Belgique ou depuis l'étranger ;
2. Protéger les abonnés et les consommateurs ;
3. Réglementer le travail des enfants sur les plateformes numériques et leur permettre le droit à l’oubli ;

4. Responsabiliser les grandes plateformes numériques.
« Nous sommes dans une logique de régulation et non d’interdiction, souligne Vanessa Matz. L’influence ne doit pas être une zone de non-droit et doit répondre à des règles de protection des consommateurs suffisamment étoffées pour mettre fin aux dérives constatées. Nous avons essayé d’envisager toutes les situations possibles. En France, un texte de ce type a été adopté à l’unanimité. Nous sommes donc confiants et nous mettons un pied dans la porte pour débattre de ce sujet qui concerne tout le monde. »
" Au-delà des inquiétudes liées aux problèmes de santé de leur enfant, les parents ne devraient pas devoir supporter la charge, parfois très lourde des frais liés aux soins de santé de leur enfant malade. Le régime actuel ne répond en effet pas suffisamment aux besoins de certaines d’entre elles " déplore notre cheffe de groupe des « Engagés » à la Chambre.
Afin d'améliorer l’accessibilité financière des soins, Catherine Fonck vient de déposer une proposition de loi visant à améliorer le mécanisme du maximum à fac turer (MAF) qui permet de plafonner les dépenses de soins de santé des patients.
Parmi les mesures avancées, notre députée défend un meilleur soutien aux malades chroniques, ainsi qu’aux familles. Elle prévoit, pour celles-ci, une diminution du plafond du MAF pour les enfants et jeunes de moins de 19 ans , de 650 à 450€ et la création d’un MAF « fratrie » avec un plafond de 800€ pour les interventions personnelles relatives aux différents enfants de moins de 19 ans de la famille.
En ce qui concerne les malades chroniques, Catherine Fonck soutient une meilleure prise en compte des coûts des soins nécessaires (seule une partie est actuellement prise en considération dans le calcul du MAF) dont la diminution de 200€ du plafond, à la place des 100€ actuels pour le MAF social.