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Un an d’engagement fêté avec vous !
ouze mois de travail, de terrain, d’envie et surtout d’engagement : Les Engagés ont fêté leur premier anniversaire ! C’était donc l’occasion de se rassembler pour célébrer ensemble le chemin parcouru et votre soutien quotidien. Retour sur un anniversaire d’exception.
SIX INVITÉS D’EXCEPTION POUR SIX THÉMATIQUES AU CŒUR DE NOS COMBATS
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JULIE VAN DAMME, Secrétaire générale chez Nature & Progrès
« Faites de notre santé et de celle de la Terre une priorité, parce qu’elles sont intimement liées. L’enjeu de l’eau est crucial et sachez que prévenir les pollutions sera moins douloureux que d’en payer les conséquences, surtout économiques. Oser le changement, c’est être ambitieux sur l’horizon, mais réaliste sur la mise en œuvre. »
Il y a un peu plus d’un an, une fleur discrète mais volontaire ouvrait ses pétales. Une couleur vive apparaissait alors que l’obscurité régnait. Cet espoir faisait découvrir son nom et sa couleur, le turquoise des Engagés.
Nous avons démontré que si s’indigner est parfois nécessaire, ce n’est jamais suffisant. Il faut s’engager pour changer le système. Nous avons eu l’audace de quitter une rente de situation pour questionner notre projet, s’assurer de son adéquation à notre époque et aux générations et défis à venir
Je vous le dis comme je le sens : ça commence à bien prendre. La courbe s’est inversée dans le dernier sondage. Tandis que les gouvernements s’endorment dans leurs pantoufles, nous sommes devenus le nouveau souffle ! La seule formation politique non matérialiste, qui parle de bonheur plutôt que d’argent, qui parle qualité plutôt que quantité, qui parle de l’importance des liens plutôt que des biens. Nous devons apprendre à reprendre soin. À prendre soin de soi. À prendre soin des autres. À prendre soin de la planète.
Alors, Engagé·e·s, en avant ! Ressourçons, régénérons, réformons, transformons, nous sommes l’alternative politique qui peut rendre à nouveau la vie belle et savoureuse. ”
Maxime PRÉVOT
YVES COPPIETERS, médecin épidémiologiste et professeur de Santé publique à l'ULB
« Choisissons ensemble quelle santé nous voulons dans les 30 années à venir. Il est nécessaire de travailler sur toutes les composantes des soins de santé et sur la santé pour tous. Une santé positive, c’est avoir le courage d’investir dans des stratégies de prévention qui prennent du temps, qui ont fait leurs preuves et qui amèneront des changements nécessaires au bénéfice de tous. Et cela nécessite un vrai courage de changement. »
JULIE FRÈRE, porte-parole de Test-Achats
« Modifions nos habitudes de consommation pour une consommation plus durable. Un des enjeux principaux c’est d’accepter d’être en décalage face à ces dictats qui nous poussent à vouloir tout, tout de suite. Le pouvoir de la demande existe, et on ne doit pas sous-estimer ce pouvoir pour changer les choses. On ne peut pas vouloir vivre exactement comme avant et s’attendre à ce que les choses évoluent positivement. »
BRUNO COLMANT, économiste et fiscaliste
« Le temps est venu de repenser en profondeur, mais de façon apaisée, tout l’État social dans le sens de la justice sociale. On doit se demander si, un jour, on ne devrait pas réunir la fiscalité et la sécurité sociale. C’est-à-dire retrouver plus de justice et de justesse dans la façon dont on peut gérer le rapport d’un citoyen à l’État et savoir dans quelle mesure il peut recevoir et contribuer. »
CINZIA AGONI, porte-parole du GAMP et présidente d'Inforautisme
« L’inclusion n’est pas une option, n’est pas un choix, c’est un droit inscrit dans la Constitution. Le vivre ensemble, dans les bons et moins bons moments, en prenant soin des uns des autres, nous apporte une plus grande richesse intérieure. Si les personnes en situation de handicap de grande dépendance peuvent être incluses, on gagne le pari pour toutes et tous. »
VINCENT MACQ, procureur du Roi de Mons-Tournai et président de l'Union professionnelle de la Magistrature
« La sécurité, c'est un projet de société global. Ça ne peut pas être réduit au sécuritaire, à la police et la justice. C’est une action conjointe de tous les acteurs de la société. Ce sont toutes ces choses qui font qu’on se sent bien là où on est. L’État de droit est une responsabilité collective et quand je dis collective, c’est-à-dire qu’elle dépend de chacune et chacun. »
