Tu n’es pas la première Pour toi je suis un inconnu. Et parés d’une traîne Se promène le vent bleu Captive des l iens de mes vers. Oh, ces vers d’hiver neigeargents ! Là – les mers vides, Encore la coupe de vin fulgure sur ton visage à la renverse ? Nous volons au mil ieu de mil l ions d’abîmes Que je vous dis par cœ ur . Tes yeux inévitables, ta fourrure zibel ine