WaWa Magazine n°14

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Magazine

(c) P. Schyns - Sofam

wawa Le magazine du Brabant wallon

Avril 2015 Numéro 014

Karin Clercq une ode à la féminité



Edito Et voilà ! Le printemps est bel et bien là ! Rayons de soleil au programme, dans ce numéro on va vous parler de Karin Clercq, coup de coeur de la rédaction cette chanteuse est une perle du Brabant wallon ! On remercie encore Hélène de Bruxelles pour son coup de pouce ;-) Dans un autre domaine vous pourrez découvrir notre interview de Mathieu Michel… Surprenant… Marc Susini aussi un de nos coup de coeur, jamais à court d’idées…. Fight Off, un centre de sports de combats détonnant et explosif ! De la déco chez Tempo Doulou et chez Manfroy… Du foot aussi avec Sylvio Proto le gentleman de la Jupiler League… Mateoooo ! Chanteur du BW bourré de projets…. Pascal Witmer du monde automobile…. Bref de plus en plus de contenu (que l’on espère) de qualité pour votre plus grand plaisir ! Bonne lecture et bon voyage ! Jean-François de Lavareille info@wawamagazine.com www.wawamagazine.com 0479 96 60 91


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Karin Clercq, une ode à la féminité

Mathieu Michel Il n’y a pas qu’un cheveu sur la tête à Mathieu…

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Marc Susini L’homme aux lunettes jaunes

Wawa Magazine Editeur responsable Jean-François de Lavareille Rue du Collège 114 - 1050 Bruxelles Rédaction Carine Cordier Pierre Chaudoir

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Sylvio Proto Bien campé entre ses poteaux

Photographe Jean-François de Lavareille Infographie Pica Mundo sprl Avertissement: • Nous déclinons toute responsabilité pour le contenu des publicités. • Le contenu des articles n’engage que les personnes interrogées. • Aucun article ne peut être reproduit même partiellement sans l’autorisation expresse de la rédaction. • Ne pas jeter le magazine sur la voie publique


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Karin Clercq, une ode à la féminité A la fois sauvage et discrète, naturelle, souriante, Karin Clercq fait partie de ces quadras bien dans leur voie. Chanteuse, féminine et sensuelle, elle est aussi bien dans sa voix. Karin Clercq, c’est un univers, une déclinaison de mots, de notes et de couleurs, un monde d’émotions tout en nuances. Ses chansons nous emmènent vers des contrées lumineuses, douces et pleines de chaleur mais elle n’a pas peur non plus de nous bousculer un peu. Elle nous reçoit à Louvain-la-Neuve où elle a passé une grande partie de sa vie. Rencontre à la Ferme du Biéreau, un haut lieu de la musique en Brabant wallon.

WaWa : Louvain-la-Neuve, une ville que vous connaissez bien et qui a pas mal compté pour vous ? Karin Clercq : Je suis née à Bruxelles mais quand j’ai eu 3 ans, mon père, architecte, est venu s’installer à Louvain-laNeuve. On était en 75 et il y a avait forcément beaucoup de travail ici, la ville était en pleine construction. Ma famille fait partie des pionniers, LLN était ma plaine de jeux. J’y ai fait tout mon parcours scolaire. Wawa : Comment vous êtes-vous dirigée vers la musique ? Karin Clercq : Depuis toujours je voulais être comédienne et après ma licence en histoire de l’art et une année en Thaïlande, j’ai fait le Conservatoire de Liège, en art dramatique et déclamation. Je suis sortie en 98 et, par une amie, j’ai fait la connaissance d’un musicien qui travaillait en tandem avec Christophe Miossec, le breton Guillaume Jouan, qui composera mes deux premiers albums.

WaWa : Guillaume Jouan, une rencontre déterminante dans votre parcours ? Karin Clercq : Oui, on a flashé l’un sur l’autre et ça a mis le feu aux poudres. On a commencé à travailler ensemble d’abord pour le plaisir et très vite, on a écrit un premier album, «Femme X». On a eu beaucoup de chance, tout de suite des propositions avec deux maisons de disque, un tourneur, un éditeur. Mes débuts dans la musique ont été rapides et je croyais que c’était toujours comme ça mais j’ai compris par après que ça pouvait être plus compliqué (rires) ! WaWa : Ce premier album, «Femme X», ça a été un succès ! Karin Clercq : Il est sorti au printemps 2002 en Suisse, en France, au Québec, en Belgique et en Allemagne, et on a reçu le Prix Rapsat-Lelièvre (WBM Québec 2004). C’est un album qui a été très apprécié. C’était une époque où il n’y avait pas encore beaucoup de chanteuses, c’était tout juste avant Carla Bruni. Il y


avait Karen Ann qui commençait à faire parler d’elle, il y avait aussi Julie B. Bonnie…Il y avait des interprètes mais très peu de chanteuses auteures et donc il y avait de la place. «Femme X» est arrivé au bon moment et a eu un rayonnement immédiat.

© by Cassandre Sturbois

«Femme X, une mosaïque de portraits de femmes, anonymes, différentes et pourtant proches. Des mots simples et percutants, des mots doux-amers, des mots qui parlent aux gens, les mots de Karin Clercq. Les compositions de Guillaume Jouan les portent avec des guitares électriques. Les singles « Ne pas » et « Les petites errances » ont enthousiasmé le public, de même que le morceau «Femme X», qui sera pris en synchro par la fameuse série américaine Urgences. Karin qui est avant tout comédienne, joue ses textes comme de petites histoires et elle endosse le rôle, elle se met dans la peau des personnages dont elle raconte la vie, avec beaucoup de douceur, élégance et fragilité. Ces portraits décrivent les femmes de notre époque, sans fards ni maquillage. On y retrouve celle qui trompe, celle qui désire, la jeune, la vieille, celle qui hésite, qui se cherche… Il n’y a pas Une Femme mais des femmes, dans une complexité et une diversité terriblement bien observée par la chanteuse.

« Mes débuts dans la musique ont été rapides et je croyais que c’était toujours comme ça mais j’ai compris par après que ça pouvait être plus compliqué. »

WaWa : En 2005, vous revenez avec un deuxième album, «Après l’Amour», toujours avec votre complice Guillaume Jouan. Karin Clerc : Oui, mais entre-temps il y a eu le phénomène Carla Bruni et toutes les maisons de disques ont commencé à

sortir des filles. Au début, c’était pas mal mais après, il y a clairement eu un embouteillage et beaucoup ont arrêté. Pour ma part, ce deuxième album a mieux marché en Belgique, sans doute parce qu’il est plus traditionnel, plus «chansons». WaWa : La sortie du troisième album marque un tournant dans votre carrière? Karin Clercq : Oui, «La vie Buissonnière» en 2009. Je vole désormais de mes propres ailes, sans maison de disque et sans Guillaume. Mais ça m’a fait du bien, j’ai repris les choses en main et j’ai travaillé avec une panoplie d’artistes belges talentueux Geoffrey Burton, Dominique Vantomme, Ozark Henry, ... C’était la première fois que je travaillais avec des gens de mon pays. C’était important pour moi. C’est un album très personnel, c’est aussi le premier où je compose. En 2011, un EP Eponyme issu de ce troisième album, mais dans une version plus grand public, a été réalisé par le français,Thomas Semence. WaWa : Et ensuite, une petite pause pour donner naissance à d’autres projets ? Karin Clercq : Une pause de Karin Clercq. J’avais besoin de ça pour me consacrer à d’autres projets, comme Kate & Joe BB en 2013, un album-concept, sorte de road-movie musical à la Bonnie & Clyde, démarré en 2011, qui mélange des influences électro, punk et gainsbouriennes. C’est l’histoire de Kate BurningBabe et Joe BillyBoy, deux anti-héros qui semblent sortis tout droit d’un film de David Lynch et des frères Coen, des personnages qui parlent cash, vivent à 100 à l’heure, au cinquième degré, loin du politiquement correct.


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« J’avais besoin d’un truc féminin, personnel et sans aucune pression. »

Ce sont des retrouvailles avec Guillaume Jouan, ce n’est pas un projet Karin Clercq. Mais Guillaume a eu un accident et n’a pas pu assumer les concerts, mais il était présent virtuellement à l’écran, car la vidéo tenait une grande importance sur scène. Fin 2013, début 2014, je pensais que le projet était arrivé à son terme et là, rebondissement, suite à d’autres rencontres, l’idée d’un girls-band commence à germer. Nous sommes maintenant 5 filles et c’est un projet de groupe, avec une bassiste, Céline Chappuis, une guitariste, Alice Vande Voorde, une batteuse, Gaelle Swann et deux chanteuses, Quynh Anh Pham et moi… Il y a une énergie féminine incroyable, ça commence à bien dépoter ! Notre reprise «Alabama Song» a bien buzzé sur le net à l’automne. WaWa : Un quatrième album sur le feu ? Karin Clerc : J’ai eu besoin de prendre du recul par rapport à mon travail personnel. Le monde de la musique a changé et j’avais besoin d’autre chose. Je voulais revenir avec un projet fort et pas seulement faire des singles. J’avais besoin d’un truc féminin, personnel et sans aucune pression. Et tant que j’estimais que je n’avais pas grand-chose à dire, j’ai laissé en stand-by. Benjamin Schoos et Jacques Duvall sont venus me chercher en juin 2013 pour m’offrir un single,

«Questions-Réponses , très eighties et très frais, que j’ai eu beaucoup de plaisir à chanter. Mais je devais me remettre au travail, me remettre en démarche artistique. J’avais un peu peur, je l’avoue, je repoussais sans cesse le saut dans l’écriture. Et puis j’ai rencontré un compositeur qui a bossé pour Vaya con Dios, Luc Weisser, qui a fait le tube mondial « Don’t break my heart ». C’est un gars très doué et très têtu comme moi. Il a été mon nouveau déclic. Ses mélodies m’emmènent ailleurs, je me sens à nouveau libre et je suis moi-même surprise du voyage…Un album est prévu pour 2016. Du pur jus Karin Clercq. Wawa: Comment qualifiez-vous vos chansons ? Karin Clercq : C’est de la chanson française psychologique rock… c’est ça…. J’aime traiter de questions féminines mais avec franchise, pas de manière mièvre. Je peux parler de l’infidélité, de la traite des blanches, de la sexualité, sans jugement et sans morale. C’est très important pour moi et c’est peut-être lié à mon passé de comédienne. Je veux laisser le spectateur se faire lui-même sa propre idée, son point de vue. WaWa : Quel est votre rapport avec le public ? Karin Clercq : C’est un public qui n’a


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pas 20 ans, ce sont des femmes et aussi des hommes. Des trentenaires et puis tous les âges, j’ai des fans qui ont septante ans ! J’ai un rapport assez affectif avec mon public. Les gens m’écrivent et me parlent de certaines chansons. Il y a un côté psychologique fort, il y a un échange. J’essaye toujours de répondre. WaWa : Et la comédie dans tout ça ? Karin Clercq : Je n’ai jamais arrêté, même si ces derniers temps j’ai un peu délaissé la scène théâtrale. En fait, j’ai quinze mille activités… (rires). Je joue, je fais du doublage, je fais de la coordination artistique, je fais du coaching, j’écris, j’enregistre. Plus les tournées. Plus les enfants. Plus, plus, plus…..Une femme quoi ! (rires) C.C. «Michael et moi» co-écrit avec Marie Warnant. «C’est un projet pour enfants qu’on va réaliser avec le dessinateur de BD Marco Polo (La Smala…). C’est une BD/CD autour de l’univers de Michael Jackson, un mélange entre «Emilie Jolie» et «Alice au Pays des Merveilles» version actuelle. C’est l’histoire

d’une petite fille qui rêve de danser comme Mickael Jackson et qui part à sa recherche. C’est une quête. Elle va à la rencontre de personnages de contes ou actuels et elle se révèle à elle -même. L’idée c’est que ce soit accessible aux enfants mais aussi aux parents, qu’ils viennent, les uns et les autres, au concert, avec autant de plaisir. C’est funk et dansant !» «ILOVE SIXTIES» un bal-concert: «Un projet à plusieurs artistes, un vrai bal avec des reprises des années 60. Je n’avais jamais fait de cover mais ce qui est magique avec des morceaux ultra connus, c’est que les gens ne nous regardent plus, ils dansent, et ça nous donne une liberté immense. On a l’impression d’être à leur service pour qu’ils s’amusent. C’est très chouette ! Prochaine soirée, le 21 juillet à Waterloo. C’est un projet que l’on propose aussi dans le privé, pour des entreprises.» Plus d’infos : lezardscyniquesbooking@ hotmail.fr www.karinclercq.com www.kjbb.net www.fermedubiereau.be


Il n’y a pas qu’un cheveu sur la tête à Mathieu… On ne pouvait pas passer à côté de la question : « C’est quoi le plus dur ? Etre le fils de Louis Michel ou le frère de Charles Michel ? ». Malin, Mathieu Michel, député du Brabant Wallon esquive joliment en déclamant tout de go : « Je suis fier de mon père et de mon frère ». Sans être une copie de son frère le premier ministre, la ressemblance est évidente et tous les deux se coiffent le matin avec une éponge.

Et le soir de Noël, on parle de quoi chez les Michel ? « De tout, avec conviction. Les débats sont enflammés. Parfois, il y a des sujets qui fâchent… ». Malheureusement ou heureusement, il ne veut pas nous donner les dossiers qui divisent la famille politique. Mathieu Michel est un homme de la terre. « J’adore Jodoigne. J’adore les champs. J’adore me promener en VTT. Je peux jouer avec mes deux enfants de 2 et 4 ans pendant des heures « entonne-t-il. Donc pour le côté balance dans la famille, c’est raté. Pas de scoop. Mathieu Michel, il n’aime pas le sport. Il ne va jamais au cinéma. Il lit assez peu. Son restaurant favori, c’est une bonne friterie. C’est un mec comme les autres. Pire encore, il n’a même pas un regret. Un homme politique qui aime ce qu’il fait. Et cela s’entend dans ses discours. Il est toutefois fan de Marc Wilmots :

« C’est un ami de la famille. J’adore ses valeurs humaines. Sans aimer le foot, je suis bien entendu son parcours comme leader. J’aime ses valeurs humaines. Quand il était en politique. Il était trop intègre. Avec des convictions sans doute un peu trop fortes pour ce monde qui demande plus de compromis ». Donc l’homme n’est pas bling bling. Au pire, vous aurez la chance de le voir sur un fairway de golf avec Marco Bastin et Tanguy Stuckens, eux aussi députés du Brabant Wallon et golfeurs. Les 9.000 golfeurs et les 11 parcours de la Province ont peut être trouvé, enfin, des interlocuteurs pour les aider à développer ce sport exercé par nos seniors quasiment quotidiennement. Il est conscient que le golf est un sport qu’il faut entretenir pour les ainés. « C’est un sport en développement partout chez nos pays voisins » déclare-t-il. La politique pour lui, c’est le don de soi. L’envie d’être au service du citoyen. Pour


le citoyen. Avec le citoyen. Il évoque le Brabant Wallon comme une région un poil privilégiée avec moins de chômage, un confort de vie et une économie promise à un bel avenir mais avec un accès au logement très cher. Il est évident qu’au niveau économique et culturel, la province est riche. Toutefois, en matière sportive. Ce n’est pas le nirvana si ce n’est quelques athlètes, le hockey sur gazon avec le Waterloo Ducks, le Pingouin à Nivelles ou à La Raquette à Wavre. Pour lui, l’idée intelligente d’avoir mis Louvain-la-Neuve, c’est la dalle surélevée qui permet une fluidité dans le trafic. « C’est clair que l’accès au logement est devenu difficile pour les moins nantis et que les

transports mobiles sont déficients ». Il encourage la création d’entreprises. « Le principal danger de la province du Brabant Wallon, c’est de ne pas se reposer sur ses lauriers. Il faut garder le mouvement perpétuel. Nous nous battons tous pour que le havre du Brabant Wallon soit un sérail idéal où se mêlent nos anciens et les jeunes entrepreneurs ». A sa rencontre, on ne peut pas s’empêcher de le comparer physiquement un peu à Kad Merad. La même bonhommie. La même sympathie. Même si chez Mathieu Michel, ses qualités sont nourries d’altruisme pour les habitants du Brabant Wallon. L’un remplit les salles et l’autre les urnes.


Durant leur vie les huitres peuvent changer plusieurs fois de sexe. Si vous visitez une nouvelle plage en Australie tous les jours,cela vous demanderait 27 ans pour toutes les visiter.

En aspirant 40 bouffées d’une chicha (narguilé), cela représente autant de fumée dans vos poumons qu’avec 40 cigarettes. Auguste Rodin étant considéré comme un des plus grands sculpteurs français de la seconde moitié du 19ème siècle, a raté 3 fois le concours d’entrée à l’Ecole des beaux-arts et rata 3 fois l’épreuve de la sculpture.

La lune est 400 fois plus petite que le soleil et est 400 fois plus proche de la terre.

Sur Neptune l’été dure 40 ans.

Les hippocampes donnent un câlin chaque matin à leurs compagnes durant leurs grossesses.

Le paresseux a une digestion très lente. Il ne fait ses besoins qu’une fois tous les dix jours, ce qui l’oblige à retourner au sol. Il perd à ce moment presque 30% de son poids en faisant ses besoins.

La plus grande grotte au monde est située au Vietnam. A l’intérieur de laquelle il y’a des forêts et des nuages.

Votre pupille peut grandir de 45% quand vous regardez une personne que vous aimez.

Chez l’ophtalmologue, le panneau avec les lettres s’appelle l’échelle Monoyer. Elle dissimule d’ailleurs le nom et le prénom de son créateur, Ferdinand Monoyer, en lisant verticalement du bas vers le haut de chaque coté du panneau.

Les étoiles de mer n’ont pas de cerveau.

Les pieuvres ont trois coeurs.

Les ours polaires sont gauchers.

© Franck Boston - Fotolia.com

Le poisson « anguille électrique » peut vous donner une décharge allant jusque 700 volts qui pourrait vous tuer (ou faire fonctionner 10 ampoules électriques)

Il existe une espèce de méduse, la turritopsis nutricula qui possède un processus de rajeunissement qui lui permet d’être biologiquement immortelle.



L’homme aux lunettes jaunes

abord la Douus de 25 ans. D’ pl is pu de n lo al ant W qui est depuis de en fête du Brab Factory en 1999 lll en Gr ub le Cl , B98 C’est le metteur en 19 en ingue , le Bowlfactory ation de la Doud Il dingue en 1989 03, la transform en mars 2015. 20 ck Ja en 3 or e kt ct Do l’A le ’s, fin hi s en i-C on et Ch M à le 09 venu s en 20 piste et 2008, le Peanut la taverne le Trap ec av 4 ‘9 en s le 2005, le Golfy en uxel ment aussi à Br l Entrepreneur. s’incruste furtive infatigable Seria un t es i sin Su c avec le Mex. Mar

Né « dedans » comme on dit puisque son père gérait un dancing à Hornues et que son oncle était l’heureux propriétaire de la Barque à Jack. Un lieu que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître mais une institution à la côte belge dans les années 60 et 70. Un must carrément. Jacques Brel y passait ses nuits. C’est dire. C’est un véritable village du loisir que Marc Susini gère aux portes de Waterloo et à quelques encablures du Lion. L’homme aime tellement les femmes qu’il a engendré 5 filles dont la majorité travaille avec lui. L’ainée s’initie à la compta avec la grand-mère. Une saga familiale. Pourquoi le B-Club se transforme-t-il ? « J’en avais marre de la musique. Marre

de ne plus voir des artistes s’exprimer. J’ai envie de redonner des lettres de noblesse aux Dj’s que l’on a mystifiés. Je refuse de tomber dans le cliché des starlettes qui mixent pour elles. Pas pour les autres » entonne-t-il. Comme il voulait créer une atmosphère londonienne de fin de 19ème siècle. Fatalement, le nom de Jack l’Eventreur arrive vite. Doctor Jekyll and Mr Hyde aussi. D’où la contraction : Doctor Jack. Avec son complice de toujours, Damien Verlinde, il redessine tout pour créer un décor étonnant. On a l’impression d’être partout sauf dans une discothèque. Le papa Susini chine sur les marchés tous les éléments de décoration. « On veut réveiller l’imaginaire des jeunes de 25 ans. L’endroit sera


d’ailleurs interdit au moins de 20 ans » proclame-t-il. Son équipe est sa plus grande fierté. Un des ses collaborateurs est avec lui depuis le début. Le respect mutuel et l’esprit de réussir débordent de partout. C’est la garantie d’un patron proche des 80 collaborateurs dont fatalement une large majorité de travailleurs partiels. Doctor Jack sera ouvert le vendredi et le

samedi mais ils envisagent également de l’ouvrir le dimanche dans un esprit très concert et très cool. Le disc-jockey sera à l’écoute du public avec énormément d’empathie. « Il y a 120.000 dj’s en Belgique. On finira bien par trouver celui ou celle qui aura l’esprit suffisamment ouvert pour ne pas faire du sous Guetta » dit-il avec un énorme sourire.

Le peu de temps libre qui lui reste est consacré à ses filles et à sa charmante épouse. Il nage de temps en temps et il ne rechigne pas pour un dîner à l’Opéra, un lunch chez Madame Oleson à Genappe, un verre au bar de l’Amusoir et se faire tailler la barbe chez Dim’s. Il ne s’occupe plus de l’actualité depuis qu’il a banni la télévision chez lui.

Il vit dans son univers fait de belles couleurs vues à travers ses sempiternelles lunettes jaunes.

Doktor Jack Clos Lamartine 5 - Braine l’Alleud http://drjack.be


Manfroy Electro ….. Quand cuisine rime avec plaisir Chef occasionnel ou passionné des fourneaux, si vous n’avez pas encore passé la porte de ce temple de la cuisine, il vous manque assurément quelque chose. Situé au coeur de Waterloo, Manfroy Electro-cuisines vous propose un équipement complet pour la cuisine, un large choix d’articles haut de gamme, de la petite cuillère à l’armoire à vins, de la salière au réfrigérateur. Vous y trouverez une mine d’idées et repartirez avec de vraies pépites….

Depuis plus de 80 ans, Manfroy et son équipe met tout en œuvre pour satisfaire les exigences de leurs clients et pour leur proposer du matériel de qualité et un service irréprochable. Au départ, le magasin, spécialisé dans l’art de la table et de la réception, proposait des articles de prestige et des listes de mariage classiques. Il a ensuite évolué, toujours dans un esprit haut de gamme, vers l’art culinaire et l’équipement de la cuisine. Dans les rayons, que du beau, du design, du bon, du pratique. Magimix s’aligne aux côtés de Demeyere, Peugeot, WMF, Eva Solo, Mastrad, Wesco, Nespresso, Alessi, Le Creuset, Screwpull et bien d’autres... L’offre en vaisselle est toujours présente mais elle est essentiellement destinée à une utilisation quotidienne. Le gros électroménager a une place prépondérante et est représenté par les meilleures marques, Miele, Siemens, Smeg, Liebherr… Avec plus de 15000 références, Manfroy se

positionne comme l’incontournable en Brabant wallon dans le domaine des fournitures culinaires. Conjuguer travail et plaisir Exit la corvée des repas, oubliée l’idée du vite fait bien fait, dépassée la vision de plats quotidiens déprimés et déprimants ! Aujourd’hui, tout est permis, l’originalité, la créativité, la gaité. On varie les formes, les couleurs et les matières. Avec l’aide de toute une série d’accessoires géniaux et inventifs, on ravit sa famille, on étonne ses invités et à l’instar d’un Jamie Olivier, on s’amuse dans sa cuisine ! « Pour faire du bon travail, il faut de bons outils, il est important d’être bien équipé. » nous confie Nicole Williot, qui a repris la direction du magasin il y a une dizaine d’années. Et elle a raison, mieux vaut investir dans du matériel de qualité, simple à utiliser, facile à entretenir et solide. Si en plus il est beau et pratique…. What else ?


Comme un chef mais en plus fun La médiatisation des chefs, l’explosion des livres de recettes, la profusion des cours a fait évoluer la cuisine et l’idée que l’on s’en fait et a donné des galons à la fonction de cuisinier. Dans les foyers aussi, le repas est remis à l’honneur, les gastronomes sont à la fête et dans une société gangrenée par la malbouffe, il est plutôt sympathique et rassurant de voir qu’on se remet aux fourneaux. On est bien sûr loin des plats mijotés de nos grand-mères, aujourd’hui, c’est le règne de la légèreté, de la nouveauté, du peps. La cuisine est à l’image du matériel, il suffit de faire un tour dans le magasin, il regorge de fournitures aux formes insolites, aux couleurs acidulées et aux matières modernes. Parce que nous le valons bien ! Au sujet des émissions télévisées, Nicole Williot nous met cependant en garde : « Les émissions culinaires ont un écho positif mais attention aux ventes d’articles proposés sur certaines chaines, des erreurs ou une mauvaise communication existent. Par exemple, on y fait l’apanage des casseroles en pierre mais ça n’existe pas, il s’agit juste d’un revêtement qui imite la pierre. » Comme quoi, rien ne vaut les conseils de spécialistes. Do it your self On ne vous apprend rien, le bio se développe toujours plus et la cuisine santé reprend ses droits. Les fabricants le savent aussi et vous donnent les moyens d’avoir une alimentation saine grâce à une cuisine authentique et des appareils qui rendent tout possible. Les jus frais, le fait maison (pain, beurre, yaourts,...) la cuisson à la vapeur ne sont que quelques exemples. Manfroy vous propose un extracteur de jus Kuvings, un cuit-vapeur Magimix, un robot Kitchenaid et depuis peu, de quoi

faire vous-même votre fromage avec le « Cheese Maker » de Lékué. De quoi vous régaler au quotidien et ….épater un peu les amis lors du prochain « Cheese and wine » ! Aujourd’hui, on est fier d’offrir du matériel de cuisine à nos mamans… Ces dernières années, casseroles et articles ménagers n’étaient plus en grâce le jour de la fête des mères. Aujourd’hui, nos mères rêvent à nouveau de recevoir un robot ou du bon matériel culinaire. A cette occasion, la boutique Manfroy propose des animations le jeudi 6 mai, en partenariat avec la marque de casseroles Cristel et la marque Magimix. Démonstrations et dégustations en continu de 11h à 17h. Conseil de la rédaction Faites comme nous, soyez curieux, allez faire un tour chez Manfroy, laissez-vous tenter et mettez votre créativité culinaire à l’épreuve. Nous, on a déniché un petit appareil pour réaliser des spaghettis de courgettes ou de carottes, une bonne idée pour une assiette originale et vitaminée ! Et, entre nous, un bon petit truc pour faire manger des légumes aux plus réticents. Et vous ? A la rédaction de Wawa, on attend votre avis, votre truc à vous, votre choix ! Manfroy Electro-Cuisines Rue René Dewit 2 (au coin du 290 Chaussée de Bruxelles) 1410 Waterloo 02/354.08.70 info@manfroyelectro.be www.manfroyelectro.be facebook.com/manfroywaterloo Ouvert du lundi au vendredi de 10.00 à 13.00 & 14.00 à 18.30. Samedi de 10.00 à 13.00 & 14.00 à 18.00



Embouteillage sur le ring… On peut qualifier la ville de Wavre comme un havre de paix. Savoir qu’il existe une salle de 700 m2 dans laquelle on apprend les sports de combat a de quoi surprendre. Et bien, cela existe. Dans le zoning nord de Wavre. C’est tout simplement la plus grande surface d’entraînement exclusivement dédiées à la pratique des arts martiaux et du fitness dans les provinces de Brabant.


Deux passionnés, Nicolas Stockreiter (44 ans) et Mathieu Godefroid (27 ans), ont uni leurs forces pour transmettre via des instructeurs chevronnés l’art de se battre ou de se défendre. Ce n’est pas leur boulot car la salle Fight Off n’est pas encore rentable. C’est évidemment leur ambition de pouvoir y arriver mais pour l’instant, c’est un loisir. Une passion qu’ils transmettent. La salle est propre. Nickel même. Très loin des clichés vus dans les films avec des rings pourris dans des arrière-salles de bistrot. Ici, tout est au bouton. Première surprise. Le niveau d’équipement de la salle est réellement bluffant, bien sûr des vestiaires pour se changer, une « cafétéria » en mezzanine avec vue sur les deux

salles du rez de chaussée, deux salles comprennent un Ring de boxe professionnel, une cage de MMA, 400m2 de tatamis, une structure de cross training, 16 sacs de frappes, etc... La deuxième surprise, c’est le discours de Nicolas Stockreiter. Il est doux. Posé. Clair. Alors que derrière lui trône une cage de MMA (mixed martial arts) qui est devenu le deuxième sport le plus regardé à la télévision dans le monde. Ce sport où tout semble permis et qui vous donnendes frissons dans le dos. Même les enfants à partir de 6 ans y trouvent leur compte avec un programme basé sur leurs besoins physiques et émo-

tionnels avec le programme Pride for Kids. Le programme enseigne aux enfants les différentes facettes de l’art martial au sens large.

pieds, poings, coudes et genoux ainsi que le clinch (corps-à-corps) et les blocages. A cela, s’ajoute les techniques d’esquives de la boxe anglaise.

La majorité des cours sont collectifs pour provoquer une dynamique.

Le Krav Maga : Self-défense + Krav Maga for women / Self-défense pour les femmes

Le Grappling, Jiu jitsu brésilien : Apprenez à projeter un adversaire et à le soumettre au sol à l’aide d’étranglements et de clés sur les articulations. Le Jiu Jitsu brésilien s’est depuis longtemps imposé comme leader en matière de combat au sol grâce notamment aux impressionnantes victoires de ses représentants dans les combats de MMA.

La Muay Thaï (boxe thai) : Et si vous vous mettez AU muay Thaï! Ce style de boxe complet implique les percussions

MMA (Mixed Martial Arts) : Les championnats de MMA sont aujourd’hui les combats les plus populaires. La pratique

Leur infrastructure est donc entièrement dédiée à différentes pratiques, à savoir :


du MMA allie boxe pieds-poings, lutte et combat au sol. Le véritable entraînement en MMA consiste à pratiquer chacune de ces trois disciplines ! Fit Conditioning / Fitness : Vous souhaitez améliorer votre condition physique ou vous remettre en forme ? Vous recherchez un entraînement Fitness complet et à votre rythme, dans une bonne ambiance, avec des exercices que vous pourrez répéter chez vous... ? Alors Fit Conditioning est un programme d’entraînement pour vous ! « Nous sommes très fiers d’avoir parmi nous Alain Vanackere. C’est un des maîtres de la boxe anglaise en Belgique. Il est à la boxe ce que Jacques Borlée est à l’athlétisme. Le maître absolu. C’est un honneur qu’il ait accepté de dégager un peu de temps pour coacher nos boxeurs. C’est une chance incroyable » clame Nicolas. La salle est quasi unique dans le pays.

C’est un outil fantastique pour toutes celles et ceux qui n’auraient sans doute jamais osé franchir les portes d’une arène formant des gladiateurs. Maintenant, c’est à vous d’essayer. De réveiller votre véritable personnalité pour affronter avec aplomb les vicissitudes de la vie. Fight Off ne cherche pas à former des champions mais bien des êtres humains bien dans leur peau. Bien dans leur corps. L’esprit famille transpire aussi dans le discours sans vouloir faire un élément de comparaison. « Celui qu’il faut forcer à se dépasser, c’est soi-même » déclare Nicolas. Contactez les de la part du WaWaMag pour un cours d’essai gratuit ! Fight Off Avenue Vésale, 22 – 1300 Wavre nicolas@fight-off.com - 0475/71 05 38 http://www.fight-off.com

Les deux cofondateurs et administrateurs de Fight Off sont aussi membres de l’équipe technique (Mathieu) et administrative (Nicolas) de Fit to Fight International® (www.fit-tofight.com). Ils participent ainsi activement à l’évolution et aux mises à jour du curriculum technique ainsi qu’au développement de l’organisation au sein de l’Europe francophone en apportant aux écoles participantes un support, des stages et du matériel didactique et marketing en Français. Cette collaboration active avec Fit to Fight® garantit à Fight Off la primeur dans l’organisation de stages internationaux en Belgique, dans l’évolution des techniques et dans les nouveaux programmes proposés ainsi que dans le développement de l’équipe encadrante.


TEMPO DOULO, une douce idée du temps qui passe… Encore un magasin de meubles en teck, direz-vous ! Erreur !! Tempo Doulou n’est pas un magasin comme les autres. Avec quatre surfaces établies en Belgique, vous pensez bien que ce n’est pas de la rigolade ! Le sérieux de la société, les bons choix, la qualité et le service sont les atouts qui ont permis à Michel Neuville et à son associé Alain Cornil de vous proposer aujourd’hui un magnifique assortiment de meubles indonésiens. Petite incursion dans cette maison dédiée au beau.

Tout a commencé il y a quinze déjà ! Il s’agissait alors d’antiquités vendues dans un entrepôt à Uccle. Michel Neuville et Alain Cornil, tous deux passionnés par l’Asie, se sont spécialisés et au fil du temps, ils ont diversifié l’offre avec des meubles en teck pour le séjour, la salle à manger, la salle de bain, la chambre et le jardin. Michel se charge de la gestion des magasins et Alain qui, par son passé dans la coopération au développement, connaissait bien la région, est aux commandes de la production en Indonésie. Basée au sud de Jakarta, l’entreprise fabrique des meubles en teck d’intérieur et d’extérieur. Dans un site de production de 5000 m2, les collaborateurs d’Alain et Michel contrôlent tout, depuis le dessin jusqu’à l’envoi. Ils expédient dans le monde entier une gamme complète de mobilier. Artisanat et rigueur industrielle Fabriquer ou faire fabriquer des meubles, c’est plus qu’un travail. C’est une véritable aventure, un voyage en quête d’esthétique et d’inspiration sans cesse renouvelée. Tempo Doulou veut offrir à ses clients un objet issu de l’artisanat qui soit de grande qualité, donc fabriqué dans les règles de l’art et le respect de la matière et des lignes. Un esprit de rigueur est de mise. Travailler le bois dans un pays où le taux d’humidité est supérieur à 90% est un véritable défi. Il est nécessaire de mettre en œuvre des solutions adaptées

pour que le meuble conserve son intégrité dans des régions au climat tempéré. Cette performance technique repose sur le respect de trois principes fondamentaux, la qualité du bois, la maîtrise des méthodes de fabrication et le contrôle de la qualité. Le choix du bois est important, il doit être suffisamment âgé et doit avoir été séché assez longtemps de sorte que son taux d’humidité baisse sous la barre des 13%. Ensuite, il faut utiliser les techniques d’ébénisterie qui permettent à chaque élément de réaliser ses propres mouvements sans altérer pour autant la structure de l’ensemble. L’artisan ne doit pas empêcher le mouvement naturel du bois, mais plutôt le « sentir » et travailler de manière à le laisser « vivre ». Enfin, il faut systématiquement contrôler la fabrication pour s’assurer du respect des méthodes imposées qui sont souvent contraignantes. Bien évidemment, le teck utilisé est certifié FSC et provient de forêts qui répondent à des règles de gestion sociales et environnementales. Cela implique le reboisement de tout ce qui est coupé, une transparence sur la provenance et la traçabilité du bois, depuis la plantation jusqu’au point de vente. Une gamme complète et du sur-mesure à des prix comme on aime ! « Nous produisons une collection standard comprenant un mélange de teck et de métal, d’acier et de pierre ou de


marbre » nous explique Michel. « Mon associé est sur place, en Indonésie, et y dirige la fabrique. Près de 50% de ce que nous vendons en Belgique et à l’étranger provient de notre usine indonésienne. Il n’y a aucun intermédiaire, ce qui est évidemment un avantage pour le consommateur ». Des meubles pour toutes les pièces de la maison, du salon à la salle de bain, des meubles résolument pratiques dans un style contemporain, c’est ce que vous trouverez dans le magasin. Ethnicraft, Hind Rabii, Home Spirit, Marie’s Corner, Vincent Sheppard, Fatboy, Alixx, et bien d’autres encore ! Vous l’avez compris, ici, on y vend que du beau ! Mais ce n’est pas tout. Chez Tempo Doulou, on vous propose encore mieux puisqu’une équipe de professionnels est à votre écoute pour vous guider dans tous vos projets d’aménagement. Un modèle vous plaît mais ne s’adapte pas tout à fait à vos dimensions ? Vous avez envie d’apporter votre touche, voire de créer vousmême votre meuble ? Votre imagination et vos exigences vont rencontrer le crayon et le savoir-faire d’un conseiller-décorateur pour faire naître l’objet de vos rêves ! Quand le mobilier s’invite au jardin Le printemps est de retour et annonce les beaux jours. Quoi de plus agréable de vivre au jardin, de s’installer confortablement sur la terrasse. On le sait, un jour de grand soleil, la terrasse est une pièce supplémentaire et on aime en profiter, tant avec la famille qu’avec les amis. Chez Tempo Doulou, vous trouverez tout pour la meubler et l’embellir. Des mélanges de matières, de belles associations de teck et alu mais aussi de la résine synthétique et du verre. « Aujourd’hui les clients ont une préférence pour ce qui est facile à entretenir » confie Michel Neuville. Et de fait, l’alu est très stable, ne se dégrade pas, la résine est un matériau léger et qui demande peu de soins et le verre se nettoie

très simplement. Une visite s’impose pour en profiter au plus vite ! Et last but not least « Très soucieux de notre image, nous accordons de l’importance aux délais et nous vous livrons entre 2 à 5 jours les articles en stock » insiste le patron. En fait chez Tempo Doulou, on est un client VIP et on adore ça ! Parce que nous sommes certains que ça vous intrigue…. Tempo Doulou est dérivé de l’indonésien « tempo doeloe ». Rappelons que l’Indonésie a été une colonie hollandaise et qu’elle a pu subir quelques influences de la langue de Vogel. Tempo doeloe pourrait se traduire par « le temps jadis », un nom qui correspondait tout à fait à l’activité première qui était la vente d’antiquités. Les Conseils de Jessica, conseillère en décoration au magasin de Wavre N’hésitez pas à placer des luminaires avec une lumière tamisée. Ne chargez pas trop votre pièce, tous les espaces ne doivent pas être comblés. Une décoration épurée est plutôt chic. Evitez de mélanger trop de couleurs, un maximum de trois est idéal. Osez l’association bois-métal et les couleurs vives. Tempo Doulou Wavre a déménagé ! Dorénavant, rendez-vous au N°10 de l’Avenue des Princes (anciennement Krëfel) 010 68 07 02 wavre@tempodoulou.com www.tempodoulou.com www.facebook.com/pages/Tempo-Doulou FERME LE MARDI


Depuis 1959

Carlier Piscines Qualité du travail et respect des délais

Entreprise familiale créée en 1959 à Braine-L’Alleud, Carlier Piscines, c’est une expérience et un savoir-faire, de père en fils, reconnus depuis plus de cinquante ans dans tout le Brabant wallon. La meilleure qualité au meilleur prix ! Réalisation de A à Z de piscines traditionnelles dans toute la Belgique.

Chemin de l’Ermite 89 -1420 Braine l’Alleud Tél.: 02/ 384.57.54 E-mail: carlier.piscines@skynet.be Site: www.carlierpiscines.be


Bien campĂŠ entre ses poteaux


Quand le rédac’chef du WaWaMag me propose de faire un papier sur Sylvio Proto, je me dis : « Aie ! Aie ! Aie ! ». Mon chef est mauve jusqu’au bout des ongles. Je suis rouche sang donc un supporter du Standard. Chouette. Un bon client. Je vais me régaler. Mon impression était fausse, il répond sans tarder et avec une énorme correction à toutes mes sollicitations. Première surprise. Et quand je le rencontre dans le centre d’entraînement de Pede, je suis définitivement conquis. Il est charmant. Honnête. Franc. Et surtout extrêmement gentil. Il est à l’opposé de celui que l’on connaît avec son franc parler et un comportement de gagneur. On le voit tous les week-ends râleur et provocateur avec un langage clair qui plaît. Chaque interview d’après match est toujours un bon moment de télévision. Jeune, il n’a qu’un seul poster de foot dans sa chambre, celui de Walter Zenga, emblématique gardien de l’Inter alors qu’il est lui-même fan de l’AC Milan. Son grand père est arrivé en Belgique donc l’Italie vibre encore assez fort dans son cœur. « Quand on a affronté l’AC Milan en Champion’s Leage, j’ai été élu l’homme du match, c’est l’un de mes meilleurs souvenirs de joueur » clame le rempart du Sporting. Il reconnaît ne jamais avoir été un très grand fan de foot, cela lui est tombé dessus comme cela. « Si je n’avais pas été joueur de foot, je serais devenu professeur

de gymnastique ou architecte. J’envisage toutefois de suivre des cours d’entraîneur. On verra plus tard. J’investis dans l’immobilier pour l’instant » proclame-t-il. Sans être lisse, Sylvio Proto, c’est un peu le gentil bisounours du football. Est-ce son installation à Ophain dans le Brabant Wallon ? Dans son petit nid pour sa famille où ses trois garçons de 7 ans, 5 ans et 3 mois s’épanouissent tranquillement ? « J’aime vivre entouré de mes proches. Simplement. Je ne suis pas du tout un fouteux bling-bling. Pas de grosses voitures. Pas de luxe » souligne-t-il en souriant. Même quand on évoque un club à l’étranger, il détourne d’une claquette en corner : « Je suis très bien au Sporting. Je suis très bien chez moi. Je n’ai pas envie de déboussoler toute ma famille pour gagner un peu plus d’argent » entonne le gardien. La Coupe du Monde, qu’il rate à cause d’une blessure, voilà le sujet qui va le secouer un peu. Même pas, sa réponse fuse : « C’est que cela ne devait pas se passer, ma femme était enceinte. Cela tombait bien. C’est la vie. Il faut l’accepter » dit-il sans aucune émotion et avec un énorme sourire. « Quand on est jeune, on court derrière la reconnaissance. Une fois acquise, il faut la gérer. Cela ne me dérange pas. Sauf peut être une fois à Disneyland Paris. J’y étais avec mes enfants et tous les fans qui me reconnaissaient m’ont un peu gêné » rajoute-t-il.


Il n’a pas réellement d’amis dans le foot. Il s’entend bien avec Thomas Chatelle qui l’a initié à la politique. Doit-on s’attendre à ce qu’il s’engage plus tard ? Cela reste une possibilité. « D’ici là, on se doit d’être champion avec le Sporting. Ne pas l’être, c’est toujours une déception. Tout se jouera durant les play-offs. Il y a une pression énorme mais c’est sain. On se remet continuellement en question » répète-t-il. Si vous chassez l’autographe, il faut se rendre au restaurant Roger Tichoux

à Lillois. C’est le seul véritable scoop de cette interview sereine et calme. Quand on cherche ce qui se cache derrière son prénom, on trouve Silvio. « C’est un être bouillonnant, autoritaire, ambitieux, confiant en lui-même et passionné. Cet homme d’action a besoin de se dépenser physiquement et d’aller de l’avant ». Cela lui correspond bien. Son principal homonyme italien de son prénom est le rutilant roi du Bungabunga italien. Tout le contraire de notre humble gardien de but sagement installé dans notre doux Brabant Wallon.


Quand la musique est bonne…. … Matéo n’est jamais très loin. Homme-orchestre, caméléon, artiste aux multiples facettes, bruxellois aux origines belgo-espagnoles, garçon bien dans son époque, Matéo a la faculté de faire voyager son public dans le temps et dans l’espace et de l’amener à partager avec lui son univers musical éclectique.

Matéo compose, écrit, interprète les chansons des autres ou les siennes, organise des soirées musicales en tous genres, bref, la musique c’est toute sa vie. Avec un papa qui chantait et jouait de la guitare à la maison, on peut même dire qu’il est né dedans. Après des études de communication en Espagne, il revient en Belgique et bosse dans différents secteurs où il est tour à tour commercial, serveur, animateur. Il organise des karaokés, ce qui le fait entrer dans le domaine de la musique de manière professionnelle et surtout, lui fait côtoyer un public. En 2010, quelques rencontres intéressantes lui permettent de mettre le pied à l’étrier. «J’ai joué dans une jam au Délirium, et le hasard m’a fait rencontrer une bande de musiciens de Namur qui montait un groupe. J’ai chanté à Liège et dans des fêtes de villages. C’était es-

sentiellement des covers. Tous ces musiciens qui sont devenus des amis, m’ont suivi dans l’aventure quand j’ai ensuite monté ma boîte d’événementiel artistique.» C’est au MGM que tout a commencé, ancien Karaoké où Matéo fait ses débuts comme animateur. Il y développe son concept Karaoké Live «Music Is Live» avec lequel il cartonne pendant un an. Il est ensuite accueilli à l’Acte 3, belle salle à Braine L’Alleud, alors à ses balbutiements mais au potentiel certain. «Ça a démarré avec des karaokés live, avec des musiciens qui jouent et mon plaisir était de mettre en avant des artistes de talent sur une scène de prestige, car la musique c’est le partage, la découverte. Ça a super bien fonctionné pendant deux années mais ce genre de concept doit se renouveler, ça ne dure pas une éternité, il faut oser et innover. Le public veut du spectacle, du rêve, de l’évasion.»


L’Acte 3, c’est une valeur sûre puisque Matéo y réunit à chaque fois au moins 900 personnes, parfois beaucoup plus. Tous les trois à quatre mois, vous avez l’occasion de vivre une soirée Goldman ou une Frenchy cover. Pour la Saint Valentin, il s’agissait d’un cover Bruel, « TRIBUTE PATRIIIIIIIICCKKKK BRUEL ». Les plus grands tubes de Bruel au rendez-vous, de quoi se casser la voix ! «On en était pas hypra convaincus mais on a fait 700 à 800 personnes. Ça m’a aussi permis d’avoir d’autres contrats.» Des contrats avec des salles, des entreprises, des petits bars ou lieux intimistes et des particuliers, car Matéo et ses collaborateurs se produisent partout et dans des formules adaptées à tous. «On joue au Club Med, pour se payer des vacances entre nous ! A Val Thorens, on a été élu meilleur groupe de l’année (sourire). C’est fun, c’est une expérience, de la complicité et une visibilité. Ça débouche aussi sur des contrats, la preuve, de là, nous avons fait l’anniversaire d’un monsieur.»

« C’est dans les périodes de crises qu’on sort ses tripes et qu’on les met sur papier. »

Music Is Live, c’est une boîte d’events spécialisée dans le live musical, avec une dizaine de concepts très variés et pour tous les goûts : cover Goldman, Frenchy cover, Latino cover, les karaokés, Bealtes cover, English cover, Disco, Famenco, Jazz, Gospel, classique music, Country, Legend 70′, Rock cover, Karaoké Live. Fête d’entreprise, mariage, évènement privé, Matéo met ses groupes à votre disposition, des groupes covers de haut calibre! «Je m’occupe du développement de ces concepts, en plus d’être sur scène, j’ai donc deux casquettes, celle de l’organisateur et celle de l’artiste qui chante et communique avec le public. J’ai aussi un EP qui passe sur certaines radios comme Nostalgie, Nrj, Radio Emotion, Centre Fm, Sud Radio et Dh radio qui est devenu partenaire des concepts.»

Des projets ? « Un nouveau groupe de cover dont je garde encore le secret pour l’instant. Les répétitions sont prévues vers le 15 avril 2015.» A suivre ... Un univers musical ? «Un mélange de chansons françaises et de musiques latinos. C’est une mixité qui apporte un côté soleil et vacances et qui donne envie de danser. L’inspiration, je la puise dans les sentiments et j’écris plus facilement quand je ne suis pas bien, quand je suis un peu seul, enfermé chez moi. C’est peut-être une sorte de thérapie. C’est dans les périodes de crises qu’on sort ses tripes et qu’on les met sur papier. Ça peut être un peu plus nostalgique mais surtout plus fort et plus sincère.» Le public de Matéo ? «Entre 25 et 60 ans mais la clientèle de l’Acte 3 est un peu plus âgée, entre 35 et 55 ans. Au départ c’est le nom de Goldman qui attirait, maintenant les gens suivent. Je ne suis pas un copié-collé de Goldman, je m’approprie ses chansons mais pas le personnage. Je chante à ma manière, avec mon style et ma personnalité, je n’essaye pas d’imiter. J’ai un super rapport avec le public, c’est impossible pour moi de faire un concert sans une interaction avec les gens. J’ai besoin d’aller les chercher, ça me vient peut-être de mon expérience d’animateur. J’ai besoin que le public réagisse, qu’il chante, qu’il lève les mains…Et si ça ne bouge pas assez, si la scène est une barrière, je descends et je vais au milieu du public. Je ne pourrais pas chanter et puis dire au revoir, sans échange. J’ai besoin de donner mais aussi de recevoir.» Qu’est-ce qui agace Matéo ? «Les gens jaloux, dans la musique ou ailleurs, les gens envieux. Dès que tu prends du galon, tu t’aperçois que des gens t’apprécient différemment, attendent quelque chose, te critiquent. Mais il n’y a pas de mauvaises publicités. (rires) «


« J’ai besoin de donner mais aussi de recevoir. Je pense que c’est le besoin de n’importe quel artiste. »

Qu’est ce qui fait rire Matéo ? «Les humoristes, les films comiques. Je suis bon public pour ça. D’ailleurs, si je n’avais pas fait ce métier, j’aurais bien endossé la carrière d’humoriste. J’ai toujours été très timide et j’ai essayé de trouver des parades pour contrecarrer ce trait de caractère, donc j’ai fait souvent le clown. On cache la timidité derrière l’humour.» Une actu ? «Le cover Festival de Seneffe, le 22 mai. Cette année, c’est Goldman. Le 19 juin à l’Acte 3 pour un Goldman également.»

Une adresse en BW ? «J’aime bien L’Amusoir, on y mange bien, Le Rideau rouge pour l’ambiance intimiste et feutrée et In Vino Veritas à Waterloo, un petit bar avec un concept de tapas dont un certain cuisinier Corse a le secret. Ils font des concerts, avec juste 50 places mais un public très chaleureux.» www.musicislive.be facebook.com/Fanclubmateo facebook.com/MATEOOFFICIALMUSIC? facebook.com/musicislivecover www.acte3.be


Mowgli au pays des Vrooooar On ne peut pas aimer le sport automobile et ne pas connaître Pascal Witmeur. Ce communicateur venant d’une autre planète à révolutionner l’image des sports mécaniques. Un de ses premiers métier, c’était d’être le chauffeur de Plastic Bertrand. Ils sont restés les meilleurs amis du monde.

Le Procar, courses de voitures de tourisme, c’était lui. Une Peugeot 806 aux 24 heures de Spa, c’était encore lui. Le Prince Laurent aux couleurs Choco Prince aux 24 hrs de 2 CV, c’était à nouveau lui. La Ferrari des 1001 amis au Mans, encore

et toujours lui. La VW Fun Cup, c’était son idée. Eric van de Poele en F1, bardaf encore lui. Jermaine Jackson aux 24 hrs, c’était définitivement lui. On pourrait remplir des pages entières avec ses idées géniales. Son crédo dans la vie, c’est de tout

faire sérieusement mais sans se prendre au sérieux. Normal puisqu’il est né un premier avril. Pascal Witmeur, c’est un homme de coups médiatiques. Outre le fait d’être

un excellent pilote et un communicateur comme on en rencontre peu, il n’a pas été épargné par les vicissitudes de la vie. Sa charmante et jeune épouse Caroline est partie en quelques mois emportée par un cancer de l’estomac il y a une quinzaine



d’années. Il se retrouve seul avec deux enfants en bas âge. Mais il continue à avancer dans la jungle de la vie comme Mowgli. Un jour lui aussi, il est frappé par la malchance dans la loterie de la vie en août 2014. Il se chope deux cancers. Ni plus. Ni moins. La gorge et le rectum. A nouveau, il fait face à cette double épreuve avec un courage, un optimisme et une force qui laisse tout le monde autour de lui sans voix. Et puis à force de remonter la pente après des traitements lourds et difficiles, il se met à rêver de l’impossible. Pascal Witmeur a deux défauts. Imaginer l’impossible et trouver l’énergie pour le réaliser. Et pourquoi ne pas participer une 28ème fois aux 24 hrs de Spa en récoltant des fonds pour la recherche du cancer. La majorité crie au génie. Quelques amis tentent de le calmer. C’est la meilleure manière de le motiver. Il devrait donc selon tout vraisemblance être au départ de cette course mythique avec des coéquipiers que la vie n’a pas non plus épargné. C’est toute une vague qui se met en place. Pas banal à 60 ans de remonter dans une vraie voiture de course surtout après l’épreuve endurée. Mais à l’heure où l’on vous écrit ceci, rien n’est encore confirmé mais il n’est nullement interdit de rêver non plus. Pour lui comme pour nous. Mais avant cela et grâce à quelques ca-

marades de bacs à sable (ceux que l’on retrouve à la sortie des virages sur les circuits), il créé à La Tartine, au centre de Lasne, un événement étalé sur quelques jours pour raviver la flamme de ceux qui ont fait de la course automobile une véritable légende d’hommes et de femmes. Cela se passe du jeudi 30 avril au dimanche 3 mai. Avec une exposition de dessins exceptionnels, des conférences animées par les organisateurs des 24 hrs, par Pierre Van Vliet qui a commenté les Grand Prix sur TF1 pendant 15 ans, des expositions de voitures très rares, un rallye historique depuis le musée Hergé et l’occasion de revoir toutes celles et ceux qui ont créé l’histoire. Lasne, grâce à la Tartine de Patrick van Den Bogaerde et Lucien Beckers, va être un véritable musée à ne rater sous aucun prétexte. Cela ne s’est jamais produit. Pour tout savoir au sujet de cette extraordinaire initiative, vous pouvez contacter l’organisation soit : par mail : testacoda.organisation@gmail.com, via Facebook : https://www.facebook.com/automobilart via le site : www.se-distraire-lasne.jimdo.com Ce sera l’occasion d’y rencontrer Pascal Witmeur, le petit Mowgli de la jungle automobile. Reste juste à savoir si Baloo y sera aussi. Vous savez. Celui qui chante : « Il en faut peu pour être heureux… »



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