WaWa Magazine n°9

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Magazine

wawa Le magazine du Brabant wallon

Juin2014 Numéro 09

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Georges Grün a encore la pêche… à la mouche


Edito Chers lecteurs, chères lectrices bonjour ! Les beaux jours sont de retour et vous êtes de plus en plus nombreux à nous suivre. Dans ce numéro, vous trouverez : du cinéma avec un film entièrement tourné dans le Brabant wallon, du golf avec la Pro1Golf academy de Louvain-La-Neuve, du foot avant la Coupe du Monde tant attendue avec une interview exclusive de Georges Grun, de la culture avec un article consacré au renouveau du Centre Culturel du Brabant wallon,de quoi vous sustenter avec « Le Petit Zoute », du divertissement avec le splendide spectacle Cavalia, de l¹illustration avec Sophie Dupont, Et même de la beauté, avec le Boudoir d¹Emma ! Bonne lecture Jean-François de Lavareille

LE SWITCH

Chaussée des Collines, 60 1300 Wavre Tél : 010/22.87.53 Fax: 010/22.81.62 Ouvert du lundi au vendredi de 7h à 15h Vos sandwichs et salades faits à la commande. Pour réussir vos réunions, Le Switch vous propose ses spécialités et sa sélection de plateaux de sandwichs et pains surprises, ainsi que son assortissement de salades et desserts

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Sommaire

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Georges Grün a encore la pêche… à la mouche

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Cavalia

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Un producteur plancenoit qui a du panache…

Wawa Magazine Editeur responsable Jean-François de Lavareille Rue du Collège 114 - 1050 Bruxelles Rédaction Coralie Denis Pierre Chaudoir

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Photographe Jean-François de Lavareille

Le renouveau du CCBW

Infographie Pica Mundo sprl Avertissement: • Nous déclinons toute responsabilité pour le contenu des publicités. • Le contenu des articles n’engage que les personnes interrogées. • Aucun article ne peut être reproduit même partiellement sans l’autorisation expresse de la rédaction. • Ne pas jeter le magazine sur la voie publique



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Georges Grün a encore la pêche… à la mouche Nous gardons tous dans un coin de notre mémoire le goal fantastique de Georges Grün de la tête qui nous qualifie pour la fameuse Coupe du Monde de 1986 au Mexique. Nous retenons surtout l’image d’un garçon élégant, fair-play et terriblement doux. Il accompagnera les Diables Rouges au Brésil pour guider les sponsors, leur parler de la tactique des adversaires et de leur montrer les vicissitudes d’une équipe. Un véritable guide touristique très avisé. Il est resté en quelque sorte un peu Diable Rouge. Le palmarès du Georges Clooney footballisque belge, c’est 77 titularisations en équipe nationale avec 6 buts, finaliste de la Coupe des Coupes avec Parme en 1999 et champion de Belgique avec Anderlecht en 1985, 1986, 1987 et 1995. What else ? « Je garde un excellent souvenir de Raymond Goethals. Sa connaissance tactique était diabolique. Quand il nous disait qu’un problème pouvait surgir d’un ou plusieurs endroits dans l’équipe adverse. Nos problèmes venaient de là où il l’avait dit durant la théorie » nous déclare souriant l’ex footballeur. « J’adorais Guy Thys. C’était un peu mon père spirituel. Il a donné ma chance en équipe nationale. C’était un homme généreux. Epicurien. Qui adorait St Tropez » se remémore Georges. Dés qu’il est passé pro, il s’est installé à Waterloo dans le Brabant Wallon qu’il n’a plus quitté. Il a eu l’occasion ensuite d’aller jouer à Parme. « Ce fût une époque formidable car à 28 ans, je

progressais encore. Preuve que le championnat belge n’était pas encore au top. La différence dans la structure, l’encadrement, le staff et les entrainements étaient énormes » déclare l’ex footballeur. « Mon retour au Sporting fût une erreur » reconnaît humblement Georges. Le sporting a pour habitude de faire revenir des joueurs pour finalement les traiter un peu lâchement. Scifo, Zetterberg et Baseggio constituent d’autres exemples. Juste à la fin de sa carrière, Georges Grun se transforme en consultant pour Canal +. Quelques années plus tard, il était engagé, via Laurent Haulotte, comme commentateur des matches de Champion’s Leage sur Club Rtl. « C’est évidemment une belle occasion de voir du foot de haut niveau et de rester dans le coup » nous narre l’habitant du Brabant Wallon. Il a aussi un diplôme d’entraîneur en poche mais la télévision l’a accaparé. « Mes tops dans ma carrière sont la Coupe du Monde au Mexique. Nous avons pas mal de chance. Guy Thys me lance dans le bain ainsi qu’à d’autres jeunes comme Stéphane Demol, Enzo Scifo et Franky Vercauteren face à la Russie. Cela donne ce match extraordinaire et mémorable. Je garde aussi un magnifique souvenir de mes 4 ans à Parme dont une victoire à Wembley dans la Coupe des Coupes en 93 » se rappelle Georges. Il garde très peu de contacts avec ses équipiers. Il croise Franky Vercauteren avec plaisir. « Durant ma carrière, il m’a été souvent reproché


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de ne pas m’intéresser à mon sport. C’était ma manière à moi de me concentrer. Cela a été souvent mal compris » soupire toujours souriant l’ami Grun. « Je dois beaucoup à d’anciens partenaires tels que Luka Peruzovic qui vit d’ailleurs à Waterloo. Morten Olsen m’a beaucoup fait grandir et je discutais souvent avec Franky Vercauteren pour progresser » « Le foot est beaucoup plus fermé qu’avant. Difficile d’avoir un contact avec un joueur. Ils se baladent avec leurs écouteurs sur les oreilles ou bien ils font semblant d’être au téléphone » regrette le commentateur. Le seul joker qu’il brandit mais avec un énorme sourire, c’est quand on lui parle de Stéphane Pauwels. Le trublion du foot mais aussi des médias. « Il a la tchatche. Il sera sur TF1 au Brésil mais voilà. C’est tout



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ce que j’ai à dire » dit-il en riant. Tout est dit mais en douceur. Dans le respect. Il entretient sa condition physique en jouant au tennis régulièrement durant l’hiver avec le comédien Alain Leempoel. Il joue au foot de temps à autre avec d’autres comédiens tels que Bernard Yerlès, Patrick Ridremont, … Du match traditionnel avant le Grand Prix de Spa Francorchamps, il garde le maillot que le malheureux Michael Schumacher lui avait donné. Son temps est partagé par le magasin de chaussures, Un pas plus loin, ouvert il y a 7 ans avec sa femme. Comme toutes les chaussures viennent d’Italie, celui lui permet de rester en contact avec un pays qu’il adore. Une de ses filles joue au foot mais elle a dû arrêter pour des problèmes de genou. Son ainée fait le droit. « J’ai gardé les mêmes amis que quand j’étais jeune. Nous ne sommes pas de gros fêtards. Nous aimons venir manger régulièrement chez Clément et nous privilégions les dîners chez nos amis. J’adore le Brabant Wallon et j’en profite calmement » souligne Georges. Parmi ses amis figure Henri d’Ambrosio, le papa de Jérôme, pilote de Formule 1. « J’ai eu l’occasion de rouler en VW Fun Cup. Je m’y suis éclaté comme un fou. D’ailleurs, si quelqu’un a un volant à proposer, j’en serai ravi » s’enthousiasme-t-il. « Ce qui m’éclate maintenant, c’est la pêche

à la mouche. C’est de fabriquer le leurre. Les voyages. La vie au grand air. Une marche active. Sortir un poisson pour finalement le relâcher, c’est une sensation semblable. Je rêve de terminer mes vieux jours au bord de l’eau. Cela me ressource complètement. J’adore découvrir des endroits formidables » souligne l’amoureux de la tranquillité. En attendant, il prépare ses tongs et sa vuvuzela pour aller vivre la folie autour des Diables Rouges. « Ils ont une belle équipe avec un peu de manque d’expérience à ce niveau-là. C’est difficile un tournoi. C’est long. Tout peut arriver » rappelle le beau Georges. « J’ai confiance en Marc Wilmots. Il a connu la rigueur du championnat d’Allemagne. En tant que joueur, il était très égocentrique mais en tant qu’entraîneur, il est parfait. Proche de ses joueurs. Sa sélection est très juste. On espère aller loin. Visiblement tout le monde. Cela me rappelle de bons souvenirs » souligne le nouveau pêcheur à la mouche. Comme quoi, on reste belge et surtout Diable Rouge toute sa vie.

Pierre Chaudoir

« Chez Clément » Rue de la Bruyère 230, 1332 Genval 02 652 33 92 http://www.brasseriechezclement.be


Cava Cavalia - Un spectacle multimédia et multidisciplinaire d’avant-garde créé par Normand Latourelle, co-fondateur du réputé Cirque du Soleil, épate à nouveau les foules de Belgique avec une production revampée : Plus de chevaux, plus d’artistes, des nouveaux costumes, des nouvelles projections à couper le souffle et des nouveaux numéros! >>>


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Acclamé par plus de quatre millions de spectateurs en Amérique du Nord, en Europe, en Australie et au Moyen Orient, Cavalia est une production somptueuse mettant en vedette 50 chevaux et 43 cavaliers, acrobates, danseurs et musiciens venus des quatre coins du monde. Spectacle sans pareil, Cavalia célèbre la relation entre les êtres humains et les chevaux, réinventant du même souffle les arts équestres. Cavalia est un hymne harmonieux à la beauté et à la nature proposant des images qui font faire le tour du monde à l’imagination du spectateur en passant par la terre et la mer. Le tout agrémenté d’une pléthore d’arts équestres et d’arts du spectacle. En faisant appel à des systèmes multimédias de pointe, Cavalia peut être décrit comme une aventure épique et une démonstration unique du talent équestre qui plonge le public dans un environnement virtuel. L’entrainement des chevaux à Cavalia repose sur une philosophie prônant la compréhension des besoins, des préférences et des émotions des artistes à quatre pattes. L’ensemble de la troupe est mise à contribution afin d’établir un climat de respect mutuel, de gentillesse, de patience et de confiance, qui permet aux spectateurs d’être à la fois grisés par l’envergure du spectacle et touchés par la compassion qui transparait entre les chevaux et les artistes. Dans l’univers créé par Cavalia, chevaux et artistes bondissent côte à côte sur une toile de fond qui bouge et se transforme au rythme des décors virtuels projetés sur un écran large de 60 mètres, transportant les spectateurs dans une myriade d’environnements féériques. Contrairement aux spectacles équestres tradi-



tionnels, Cavalia offre à ses chevaux une scène de 50 mètres de largeur, sur laquelle ils peuvent s’élancer au grand galop, souvent complètement libres de tout harnachement. Cavalia se déroule sous un Grand Chapiteau Blanc d’une superficie de 2 440 mètres carrés et d’une hauteur de 35 mètres, ce qui procure aux chevaux tout l’espace nécessaire pour exécuter leur art en compagnie de leurs entraineurs et des artistes. L’étincelant chapiteau blanc de Cavalia est le plus grand chapiteau de tournée au monde. Le nom Cavalia est né d’une fusion inspirée des mots cheval, caballo (cheval en Espagnol) et cavalry (cavalerie en Anglais). Normand Latourelle rêve un jour d’ouvrir un dictionnaire et d’y voir le mot Cavalia, symbole du spectacle multimédia qui a défini le lien historique entre les humains et les chevaux.




REMISE DE 2% sur les modèles B25, B35, B126, B127 (sur présentation de cette page) validité : 30/06/14



Un producteur plancenoit qui a du panache…

Sbille. Personnage éclectique, il a participé à l’avant-garde artistique belge dans les années 1970 et 1980 sur les antennes de télévision et radiophoniques. Revenons au producteur de ce film, André Logie. Après des études de droit où il se spécialise dans le droit des images, il exerce un job très lucratif au sein de British Telecom. Mais il s’y ennuie. Il repart d’une page blanche et il entreprend des études à la Media Business School. « Mon père criait au fou mais l’envie était là. Je n’avais pas d’engagement et ma liberté me poussait vers la production cinématographique » déclare tout sourire l’heureux producteur. Il obtient un mi-temps comme free-lance chez Cinéart auprès de la regrettée Eliane Dubois et il continue à apprendre. « J’ai eu l’occasion de coproduire Le Concert de Radu Mihaileanu qui fait plus de 4 millions d’entrées. C’est cela que je voulais faire. Produire un film moi-même ».

Un habitant de Lasne, plus précisément à Plancenoit, vit de sa passion. La production cinématographique. Il vient de produire un film de Sylvestre Sbille tourné dans le Brabant Wallon : « Je te survivrai ». Une forme de fable caustique et moderne démontrant le contraste entre le côté bling-bling des agents immobiliers et les gens simples du cru. Tout le monde a joué le jeu. L’agence immobilière Immo V et un spécialiste de la communication événementielle : Bruno Pani. Le film est une distribution complètement belge avec Jonathan Zaccaï (dans un premier vrai grand rôle), Ben Riga (une conteuse qui vit sa première expérience), Laurent Capelluto (qui explose partout), David Murgia (l’étoile montante) et un surprenant Benoît Bertuzzo. Le nom de ce dernier ne vous dit sans doute rien mais ce caméraman partage l’existence de l’ex numéro de tennis Justine Henin. Sylvestre Sbille est un jeune réalisateur namurois grandissant et il est le fils adoptif de Jean-Louis

Je te survivrai fût un chemin de croix. Nous avons d’abord connu un refus de la Communauté Française. Difficile de construire un film sans cette aide. « Le film s’articulait sur Renaud Rutten. C’était son premier grand rôle mais 8 jours avant le début du tournage. Renaud se brise les deux jambes sur un… trampoline » se souvient André Logie. La postproduction a été laborieuse à cause des droits musicaux mais tout le monde s’acharne pour un produit final étonnant et tout à fait dans la ligne du cinéma belge. L’équipe se soude et tout se met en place. « Je suis ravi et fier d’avoir une distribution 100 % belge » déclare tout sourire le producteur du Brabant Wallon. « Je suis très fier du film et cela nourrit mes ambitions pour les prochains projets » insiste-il. A quand une palme dans le Brabant wallon ? Le film « Je te survivrai », entièrement tourné en Brabant wallon, est à l’affiche du Cinéma Wellington en ce moment, choisissez votre séance sur http://www.cineswellington.com (Visionnez des extraits du film sur notre site www.wawamagazine.com)




Tournage du film « Je te survivrai » à Lasne un film de Sylvestre Sbille, scénario de Sylvestre Sbille, Emmanuelle Pirotte et Jean-Baptiste Louis avec Jonathan Zaccaï, Ben Riga, Laurent Capelluto, Tania Garbarski, David Murgia, Benoit Bertuzzo.


Entretien avec Jonathan Zaccaï QU’EST CE QUI VOUS A INTÉRESSÉ DANS CETTE AVENTURE ? Lorsqu’on entend l’histoire d’un mec coincé dans un puits que la voisine ne laisse pas sortir, on pense souvent à MISERY, le thriller de Rob Reiner, avec Kathy Bates et James Caan. Mais là, on est sur le ton de la comédie. C’est ce que je trouve original dans la manière de traiter ce sujet. Une comédie qui flirte avec le film noir, malgré tout. La comédie noire, c’est un peu une marque de fabrique belge. Je trouve que c’est une très belle marque de fabrique, d’ailleurs. Mais JE TE SURVIVRAI ne ressemble pas à tous les autres, il a sa propre identité. Il y a une manière un peu nordique, épidermique, de filmer, comme dans AFTER THE WEDDING de Susanne Bier et en même temps, on est dans la comédie. Je trouve que le mélange est assez intéressant. QU’EST CE QUI VOUS A SÉDUIT DANS CE GENRE DE FILM ? C’est le défi que représente ce genre de film. Le rythme était soutenu, 28 jours, c’est très court. Les jours de tournage étaient intenses, c’était assez chaud. J’appréhendais aussi pas mal les deux semaines de tournage au fond du puits. Après une telle expérience, je ne suis plus le même, c’est sûr. Et puis techniquement il faut imaginer que les répliques de Joe et de Blanche sont tournées à 2 semaines d’intervalle. On a d’abord fait tous les extérieurs sur elle, et puis tous les intérieurs sur moi, en studio. Il fallait retrouver l’énergie, pour qu’au montage, ça fonctionne et que la sauce prenne entre les deux acteurs.


« Avant Première du film « Je te survivrai » au cinéma Wellington de Waterloo »

IL Y A AUSSI UNE DIMENSION UNIVERSELLE DANS LE PROPOS... On peut y voir une fable moderne. Mon personnage est un gros con avec une coupe digne de celle d’une perruche, il ne faut pas se voiler la face. Un gros con très attachant, mais un gros con quand même. Avec sa Porsche, son mépris, ses tactiques... Le mec imbus de lui même qui pense que tout lui réussit et qui se pose peu de questions. Et du coup, on a envie de le voir enfermé dans ce puits et se prendre une belle leçon de vie. COMMENT S’EST PASSÉ LE TRAVAIL AVEC LE RÉALISATEUR ? Sylvestre avait une idée très précise de ce qu’il voulait, les mots, les intentions... Mais en même temps, comme il voulait créer quelque chose d’organique, c’était très libre. Les acteurs pouvaient proposer beaucoup de choses. Résultat, c’était parfois très dur, très physique, surtout dans le puits, mais en même temps c’était très... ludique.



FILMOGRAPHIE SÉLECTIVE DE JONATHAN ZACCAÏ 2013 : Les ames de papier de Vincent Lannoo 2012 : Cornouaille de Anne Le Ny Sous le figuier de Anne-Marie Etienne 2011 : Si tu meurs, je te tue de Hiner Saleem 2010 : Quartier lointain de Sam Garbarski Robin Hood de Ridley Scott Blanc comme neige de Christophe Blanc 2009 : Simon Konianski de Micha Wald 2008 : Elève libre de Joachim Lafosse 2007 : La Chambre des morts de Alfred Lot 2005 : Entre ses mains de Anne Fontaine De battre, mon coeur s’est arrêté de Jacques Audiard 2004 : Les Revenants de Robin Campillo Le Rôle de sa vie de François Favrat 2003 : Le Tango des Rachevski de Sam Garbarski 2001 : Reines d’un jour de Marion Vernoux Plus d’information sur www.wawamagazine.com



Le prénom Jessica est une invention de Shakespeare et vient de la pièce « Le Marchand de Venise ».

Il s’est passé moins de temps entre l’époque de Cléopâtre et l’invention de l’iPhone qu’entre Cléopâtre et la construction des pyramides.

Le coeur d’une baleine est si grand qu’un adulte pourrait nager dans les artères. Le nom complet de Barbie est Barbara Milicent Rogers. Celui de Woody de « Toy Story » est Woody Pride. Le monstre Cookie dans Sesam Street s’appelait à l’origine Sid.

L’Université de Oxford est plus vieille que l’Empire aztèque.

Le tatou donne presque toujours naissance à des quadruplés identiques. La licorne est l’animal national de l’Ecosse. Une fraise n’est pas une baie, mais les bananes, les avocats et les melons d’eau si.


Pour chaque homme sur la Terre, il y a environ 1,6 millions de fourmis. Le poids total de toutes les fourmis est à peu près égal à celui de tous les hommes mis ensemble.

Le dernier mammouth est mort mille ans après la construction de la première pyramide égyptienne.

Pendant le temps qui s’est écoulé entre sa découverte et sa classification comme planète, Pluton n’a même pas réalisé un tour complet autour du soleil.

Si vous pliez une feuille 42 fois, elle serait assez épaisse pour atteindre la Lune.

Si vous parveniez à creuser un trou jusqu’au centre de la terre et y jetiez un livre, il lui faudrait 42 minutes pour atteindre le noyau.

Les cacahuètes poussent dans la terre et ne sont pas des noix mais des légumes secs. Au moment de votre naissance, vous avez été un tout petit moment la plus jeune personne sur terre.

© Franck Boston - Fotolia.com

Aujourd’hui, les gens font toutes les deux minutes autant de photos qu’on en a prises tout au long du 19ème siècle.




Le golf se dĂŠmocratise Ă Louvain-la-Neuve


Bien que pratiqué par plus de 80 millions de personnes dans le monde, ce qui en fait un des sports les plus populaires de la planète. L’image de ce noble art est encore éculée chez nous. Avec ses 55.000 pratiquants, le golf est pourtant le 6ème sport dans le classement des membres en Belgique. A Louvain-la-Neuve, à quelques encablures de l’E411, une école de golf connaît un succès

grandissant sous l’instigation de trois pros à la consonance bien anglaise : Carl Ledbury, Simon Yearsley et Gavin Singleton. L’équipe est complétée par 4 autres pros. Cela fait de Pro1Golf de Louvain-la-Neuve une des plus grandes académies du royaume. Une autre partie de l’équipe exerce son art de l’enseignement à Bernalmont (près de Liège) dans un club présidé par Didier Reynders.



L’Angleterre est la terre d’origine du golf et la pratique est très populaire par la création de nombreux parcours publics qui ne demandent pas de cotisation onéreuse ni de salamalecs pour avoir accès aux installations. Ils ont choisi la convivialité et l’ouverture totale. Tout le monde est le bienvenu. Membre ou pas. Initié ou non. Tous les dimanches, ils organisent une initiation gratuite pour gouter au plaisir du golf. Tout est réuni pour accueillir plus de 50 golfeurs qui peuvent, en même temps, frapper des balles sur un practice range (terrain d’en-

traînement) dans le plus grand confort jusqu’à 22 hrs puisqu’il y a un éclairage. La qualité des balles Callaway pousse le golfeur dans son excellence. Un centre d’entraînement permet de parcourir 4 trous école et d’exercer tous ses coups sur des tapis synthétiques permettant la pratique quelles que soient les conditions atmosphériques. Ce qui est évidemment loin d’être un luxe en hiver. Un local permet d’analyser votre swing (mouvement de golf) et permet d’adapter le matériel à votre physionomie.



L’école de Golf Pro1golf est jumelée au golf de Louvain-la-Neuve où une fois formé, ils ont accès au grand parcours de 18 trous.

Des étudiants de Louvain-la-Neuve viennent aussi se détendre ou travailler chez nous » souligne le pro.

L’enseignement est de qualité au vu de l’expérience de ses enseignants. Carl Ledbury fût le pro de Lee Westwood quand il était gamin. Simon Yearsley a joué sur le circuit professionnel et il a remporté à diverses reprises l’ordre du mérite en Belgique. Gavin Singleton outre les cours qu’il donne a lui aussi remporté le championnat réunissant tous les pros de Belgique.

« Outre l’académie, nous avons une vie de club qui emmène nos membres sur divers parcours comme un club normal » insiste Carl Ledbury.

Julien Lepage a lui aussi créé un Studio Putting à Bierges permettant de travailler le mouvement de putting qui est le coup qui permet de frapper la balle dans le trou. C’est la moitié des coups sur un parcours. « Notre envie, c’est que tout le monde, habitant à proximité et même à Bruxelles, vienne s’essayer au golf. On peut être membre pour un peu plus d’un euro par jour » dit en souriant Carl Ledbury. « Chloé Leurquin qui est la seule pro sur le circuit a commencé chez nous et nous en sommes très fiers. Nous avons une centaine de jeunes qui viennent très régulièrement frapper la balle.

Il est vraiment affable Carl quand il évoque son projet. Confiant dans le mouvement de démocratisation de son sport. « Nous sommes prêts à accueillir tous ceux qui souhaitent découvrir ce merveilleux sport. Un art de vivre en quelque sorte » clame haut et fort cet amoureux de la balle alvéolée.

Pro1Golf Center Louvain-la-Neuve Drève du Golf, B-1348 Louvain-la-Neuve 010.45.00.24 www.pro1golf.com N’hésitez pas à nous contacter pour une initiation gratuite le dimanche ou pour un incentive.



Un géant dans le monde du bio ! En 1988, Sequoia, véritable pionnier dans le domaine du bio, ouvre un premier magasin à Uccle, « La » première superette bio de Bruxelles ! 26 ans plus tard, Sequoia installe son 4ème espace à Wavre et, à l’instar du conifère éponyme, la croissance de la société sera telle que l’on devrait assister à l’avenir à une ouverture par an !

Petit retour en arrière… En 1988 à Uccle, le succès de ce concept, audacieux pour l’époque, a été immédiat et Sequoia est aujourd’hui une véritable institution, une référence incontournable pour tous

les amateurs de vie saine. En 1995, Sequoia Stockel voit le jour et jouit très vite de la même réputation. Pourquoi s’arrêter là alors que le public s’ouvre de plus en plus au bio et s’interroge sur la santé, le bien-être et l’environnement. Il fallait un troisième magasin mais d’un genre nouveau. Exit l’image du bio un peu stricte, voire un peu tristounette ou ennuyeuse. Séquoia veut un bio décomplexé qui s’affirme dans le plaisir, qui donne la priorité au goût, dans un décor agréable et attractif. Pari réussi dans un espace de près de 700 M à Waterloo. En 2013, Sequoia innove encore dans son secteur avec le lancement de sa boutique en ligne, qui vous livre endéans les 48h.


SEQUOIA WAVRE, UN ESPACE A LA POINTE DE L’INNOVATION « Ce quatrième espace va forcément apporter quelque chose de neuf », explique Laurent Verheylesonne, responsable du marketing et de la communication. « Après avoir pris la peine d’observer ce qui se passe dans chacun de nos magasins et de comprendre les attentes de notre clientèle, nous avons décidé d’ouvrir un magasin compact, qui privilégiera à la fois la relation avec le client et la convivialité et en même temps qui offrira l’espace juste nécessaire à un assortiment important et complet ». Le Sequoia de Wavre, malgré ses 300 M à peine, offrira néanmoins un choix parmi quelques 10.000 articles bio et naturels! L’agencement a été pensé de manière à optimiser les espaces, dans un esprit de modernité et de proximité. Un concept urbain, compact et contemporain qui va miser avant tout sur la fraicheur, le côté pratique et la rapidité.

SEQUOIA, LE BONHEUR DES CONSOMMATEURS « 1/3 de la surface est entièrement dédié au frais » insiste Laurent. Des fruits et légumes en abondance dès l’entrée, rafraîchis et ultra bien conservés par un système novateur et unique en Belgique, la nébulisation. « C’est un nuage d’eau, comme une brume légère, qui ne mouille pas les produits mais qui permet de les conserver de manière optimale. C’est idéal pour le consommateur, pour qui les produits restent d’une extrême fraîcheur plus longtemps, et c’est une solution idéale pour diminuer le gaspillage qui ne fait

pas bon ménage avec la philosophie du bio.» Vous y découvrirez également un vaste choix en crèmerie, en fromagerie, en charcuterie, en plats préparés, en viande bio et en surgelés. Et il va de soi que les végétariens trouveront assurément leur compte dans l’assortiment élargi de produits sélectionnés à leur attention. A noter, l’offre unique et irrésistible de plats « traiteur » en libre-service sur 5 mètres de frigo ! « Pour répondre aux attentes des personnes qui travaillent à Wavre et Louvain-La-Neuve notamment, nous proposons une gamme à emporter « Take away » très pratique, puisque des dizaines de repas y seront à disposition, prêts à être consommés. Smoothies, sandwiches, salades, soupes, quiches, desserts… Le tout 100% fait maison, 100% bio et frais du jour, puisqu’ils sont réalisés à Waterloo le matin et livrés à Wavre avant midi. Tous les produits sont issus de nos magasins, transformés et préparés entièrement chez nous ». Le rayon « épicerie » propose tous les classiques et les incontournables au quotidien : cafés, thés, huiles, épices, pâtes, riz, légumineuses, boissons, laits, vins, bières etc. Les fruits secs et les oléagineux sont à votre meilleure convenance, emballés ou en vrac (+ de 60 références). Chaque jour, le magasin collabore avec des artisans boulangers bio différents. Vous aurez ainsi le choix parmi plus de 200 sortes de pain chaque semaine, l’occasion de découvrir de nouvelles saveurs ou au contraire de trouver votre variété préférée à jour fixe. Laurent Verheylesonne précise que « un pain bio au levain, conservé de manière ad-hoc, peut se consommer jusqu’à une petite semaine. Certaines personnes ont leur pain préféré et régulier, en prennent deux ou plus, les congèlent et reviennent la semaine suivante. D’autres par contre profitent de notre système de rotation pour varier les plaisirs tous les jours… A chacun son choix ! ». Viennoiseries et pâtisseries seront aussi mises en avant. « Nous avons des petites choses absolument goûteuses » ajoute le responsable, résolument passionné. On ne demande qu’à goûter ! SEQUOIA A PENSE A TOUT ET A TOUT LE MONDE Les personnes intolérantes ou allergiques n’ont pas été oubliées et un important rayon leur est consacré. L’intolérance et la maladie sont un déclencheur qui pousse celui qui est atteint à se tourner vers les magasins bio. « Des personnes qui pensaient devoir


Publireportage

oublier à tout jamais le plaisir de manger, se sentent revivre quand elles découvrent toutes les possibilités offertes par un magasin spécialisé comme Sequoia. Le bio ouvre vraiment des voies alternatives, de bon goût et positives pour la santé ». Un rayon « maman-bébé » permettra aux femmes enceintes et aux jeunes mamans de trouver tout pour elles-mêmes et leur petit bout, tant en terme d’hygiène et de bien-être qu’en terme d’alimentation. Biberons sans bisphénol, huiles de soin, laits en poudre, petits pots et compotes, soins du corps, hygiène intime, couches (jetables écologiques ou lavables)… «La grossesse est un élément déclencheur crucial dans la vie d’une famille, qui incite à changer ses habitudes de consommation. On s’intéresse au bio pour faire du bien à son enfant et tout mettre en œuvre pour mieux s’alimenter. On commence doucettement, on découvre chemin faisant des produits qui plaisent et… on termine bien souvent en adepte du bio pour toute la famille ! ». Les compléments alimentaires sont entrés dans le quotidien des familles, des sportifs, des étudiants, des personnes qui tout simplement souhaitent faire attention ou apporter à leur corps plus d’énergie ou

plus d’équilibre. Une conscientisation croissante a également permis de booster le secteur des cosmétiques bio. Chez Sequoia, vous trouverez des gammes complètes en produits de soins, huiles essentielles et diffuseurs, fleurs de Bach, macérats de bourgeons, etc… Et enfin, le coin « librairie » vous donnera l’occasion d’en savoir plus pour donner le meilleur à votre corps et à votre esprit. Sans oublier un rayon « cuisine » qui vous permettra de préparer sainement tous vos aliments bio. SEQUOIA, UN MAGASIN ECOLOGIQUE Bon à savoir, parce que faire le choix du bio, c’est aussi veiller à la protection de l’environnement, le magasin est équipé de réfrigérateurs écologiques à portes fermées, de dernière génération. La chaleur générée par ces frigos sera entièrement récupérée pour chauffer le magasin ou le climatiser en fonction de la saison. Les matériaux utilisés sont recyclés ou recyclables, comme par exemple les chariots ou les paniers, entièrement constitués de plastique récupéré. Les emballages et les sachets sont biodégradables. On dit bravo !!


Qu’en pensez-vous Laurent Verheylesonne ? Wawa : Est-ce que le bio est accessible à toutes les bourses ? LV : « On entend souvent dire que le bio reste un peu cher, mais c’est un peu simpliste de s’en tenir à cette réponse. Quand on sait qu’un pain bio est plus nourrissant qu’un pain dénaturé et qu’il en faudra beaucoup moins pour être rassasié, est-il vraiment plus cher ? Mal manger coûte aussi très cher: les plats préparés et la nourriture industrielle, les sodas, etc n’apportent rien au corps et sont de piètre qualité nutritionnelle ! De plus, la démarche d’aller vers le bio va souvent de pair avec d’autres options comme celle de consommer davantage de produits frais, non préparés, souvent locaux et de saison, de favoriser les circuits courts, de diminuer sa consommation de viande qui coûte très très cher. Pour consommer bio de manière accessible, il suffit de retrouver le plaisir de manger simplement, des produits les plus intacts et frais qui soient. »

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Un magasin écolog

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OUVERTURE DU MAGASIN SEQUOIA WAVRE LE VENDREDI 13 JUIN A 9h Le nouveau magasin Sequoia ouvrira ses portes à Wavre le 13 juin, pendant la 10 ème Semaine du Bio, qui se déroulera du 9 au 15. Une ouverture exceptionnelle du magasin est prévue le dimanche 15 juin. Fromages, bières, charcuteries, miel… Kathrin Wendel, coach en nutrithérapie, sera à votre disposition pour répondre à vos questions et vous guider dans le magasin et, comme elle le fait déjà dans les autres implantations ; elle vous y accueillera chaque mois autour d’un thème différent. Un concours sera organisé pour vous faire gagner des chèques-cadeaux et au plus chanceux, un mois de courses gratuites !! Tentant, non ?

Sequoia Wavre en pratique Chaussée de Namur 223 A 1300 Wavre Tél : 010/45.27.66 Facebook.com/sequoiabio www.sequoiashop.com Ouvert du lundi au samedi de 9h à 19h30

ique !

Un espace frais un

Un parking vous accueille à l’avant et à l’arrière du magasin. Des emplacements sont réservés pour les personnes à mobilité réduite, les femmes enceintes et les adeptes de la petite roue.



LE BOUDOIR D’EMMA


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Un petit boudoir paré de rose et de parme, intimiste, douillet, ultra féminin et de bon goût. C’est là que nous arrivons après avoir franchi la porte du salon de coiffure « Les Nouveaux Ateliers» et gravi le petit escalier. C’est « Le Boudoir d’Emma », le temple des extensions de cils. C’est là que Anne s’applique à nous faire des yeux de biches, des yeux à faire craquer… Anne, véritable spécialiste en la matière, ne fait « que ça » depuis trois ans, c’est dire le succès remporté ! Comme nous, laissez-vous tenter, vous ne le regretterez pas…

On en rêve toute, des yeux aux cils immenses, allongés à l’infini, fournis, épais, bref, comme dans les pubs. Mais en plus on veut du naturel et arrêter de se battre quotidiennement avec son mascara pour un résultat pas toujours idéal. Et puis, on voudrait tellement avoir des yeux de braise dès le réveil et même en faisant du sport. Aujourd’hui c’est possible, grâce à la technique d’extension des cils. Une technique simple, maîtrisée, sans contre-indication et absolument parfaite. Comment ça se passe? L’esthéticienne place une protection sur la paupière inférieure pour un meilleur confort et une sécurité totale. Nos yeux sont fermés et ainsi protégés des pinces, les paupières sont bien immobilisées. Les faux-cils sont placés uniquement sur la partie supérieure, afin d’éviter le côté « araignée » qu’un allongement des cils du bas pourraient créer. Pour un résultat parfait, il s’agit de ce qu’on appelle dans le jargon, « du cil à cil », à différencier évidemment des franges vendues dans le commerce. Un à un, les cils sont placés et collés sur les vrais avec une colle chirurgicale noire. A noter que pour les personnes hypra-allergiques, il existe une colle spéciale qui réduit les risques. Munies de deux pinces, nos expertes trempent l’extension dans la colle et la pose sur le cil qu’elles ont sélectionné et dégagé avec l’autre pince.

Ce travail minutieux dure environ 1h30 pour placer 100 à 150 cils. Mais 1h30 pendant laquelle, nous sommes confortablement installées, allongées sur une table de massage. Moment de détente assuré ! Anne nous avait auparavant conseillée dans le choix des longueurs, courbures, épaisseurs et couleurs pour un naturel ou au contraire un peu plus de sophistication. Nous avons opté pour le naturel, plus facile et plus passe-partout. Néanmoins, pour un événement ou une fête, pourquoi pas ? Mais n’oubliez pas que la tenue de ces extensions est assez longue et suit le cycle individuel de vos cils. Les extensions tomberont donc naturellement entre 30 et 45 jours, c’est pourquoi pour un regard harmonieux, une retouche est conseillée toutes les 3 semaines ; mais, selon Anne, c’est propre à chacune, en fonction de la vitesse à laquelle poussent les cils et au résultat souhaité. Tarif ? Anne nous explique que les extensions peuvent être en matière synthétique ou en vison. Oui, vous avez bien lu, en poils de vison, pour un effet magnifique. Par rapport au synthétique, le vison apporte un naturel, une légèreté, une souplesse et une meilleure tenue. Elle nous confie que c’est l’option la plus fréquemment choisie et c’est celle qu’elle privilégie. La différence de coût n’est pas énorme. Le prix, parlons-en ! 125 pour les cils en vison et 100 pour les cils synthétiques. Mais qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour plaire à notre homme ?



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Avant

Des contre-indications ? Il n’y a pas de contre-indication, il y a néanmoins quelques petites précautions à prendre. Il est interdit avec les faux-cils de mettre un produit gras sur les yeux, donc il faut choisir un démaquillant et un maquillage adaptés. Le mieux est d’éviter de se frotter les yeux agressivement mais ça tombe sous le sens. Il est recommandé de ne pas se laver le visage à l’eau chaude pendant les 48h qui suivent la séance. Arriver les yeux bien démaquillés est idéal. En cas de conjonctivite, vous vous abstiendrez (ne pas oublier de décommander votre rendez-vous !). Rien de bien compliqué !! Miroir, mon beau miroir ? Anne pose ses instruments, le travail est terminé. Il nous reste à découvrir le résultat… C’est saisissant et en même temps rien n’a fondamentalement changé. L’œil est plus ouvert, le regard est intensifié, attirant. On cherche ce qui par miracle nous a embellies… Waouw, c’est top, absolument réussi et nous sommes conquises !

Après

Conseil de deux testeuses ravies : Nous vous recommandons vivement « Le Boudoir d’Emma », et il est une chose sur laquelle nous insistons, c’est d’avoir recours à une praticienne confirmée et compétente, c’est essentiel. Pensez-y.

PROFITEZ D’UNE BELLE PROMO jusque fin juin 2014 25 de remise sur une séance d’extensions de cils (vison ou synthétique) LE BOUDOIR D’EMMA Rue François Libert, 9 1410 Waterloo Extension de cils : 0479 38 53 74 Maquillage permanent : 0498 53 10 89 www.leboudoirdemma.com


Le renouveau du CCBW créée au sein du CCBW. La Maison de l’Urbanisme, c’est le développement territorial, le cadre de vie et nous nous rejoignons sur ce point, puisque nous nous occupons de développement territorial culturel.

Déjà bien impliquée dans le paysage culturel brabançon, puisqu’elle a œuvré en tant que directrice-adjointe au centre culturel du Brabant wallon (CCBW) de 2009 à 2013, Edith Grandjean, jeune trentenaire originaire d’Ottignies-LLN, a succédé à Olivier Van Hee le 1er janvier de cette année. Licenciée en science de gestion et histoire de l’art, elle a toujours souhaité s’orienter vers la culture, l’art et le patrimoine et force est de croire que ses compétences et ses aspirations personnelles apporteront au CCBW ce dont il a besoin pour évoluer. Rencontre avec une jeune femme bien dans ses baskets. WAWA : Edith Grandjean, c’est quoi exactement le CCBW ? Edith Grandjean : C’est un centre culturel régional même si dans le cadre du nouveau décret, il va perdre cette appellation. Il est subsidié par la Fédération Wallonie-Bruxelles mais également par la province et les 27 communes. La caractéristique c’est que nous n’avons pas de salle de diffusion et nous déployons notre activité en partenariat avec tous les acteurs locaux. On ne chapeaute pas les centres culturels du BW, on établit des partenariats avec eux, comme avec les bibliothèques, les maisons de jeunes et le secteur de l’éducation permanente. On travaille aussi en étroite collaboration avec La Maison de l’Urbanisme qui s’est

Wawa : Pas de salle de diffusion mais une salle affectée à la création ? Edith Granjean : Le Foyer populaire/Espace d’inventions est dédié à la création artistique et accueille des artistes en résidence. Ça répond vraiment à une demande d’encouragement et de soutien car il n’y a rien de similaire dans le tissu et les infrastructures de la région, alors que des salles de diffusion, il y en a suffisamment. C’est un très bel espace, de 200 places assises, assez brut, avec peu de technique. Les troupes peuvent donc venir à différents stades de la création mais peut-être pas tout à la fin quand il s’agit de faire le réglage des éclairages. Ces résidences se terminent souvent par une présentation publique, professionnelle ou semi-professionnelle. C’est un peu laissé au souhait de la compagnie qui aime parfois, en fonction de l’état d’avancement, avoir l’avis du public ou un regard extérieur. Wawa : Vous ne programmez jamais de spectacles que vous achetez ? Edith Granjean : Nous programmons dans le cadre de projets et toujours en partenariat. Par exemple nous avons eu le Festival de marionnettes, en lien avec le centre culturel de Tubize. Dans ce cadre-là, il y a eu une programmation de théâtre de marionnettes et d’objets, à Tubize et dans d’autres lieux et le CCBW a acheté et programmé aussi. Nous sommes également fort actifs dans le domaine du « Théâtre à l’école ». L’animatrice en charge de cette partie programme et fait des propositions de spectacles aux écoles et aux professeurs. Soit ça se passe à l’école, soit dans la salle d’un de nos partenaires. Mais la programmation n’est pas notre première mission.


Wawa : Pouvez-vous préciser cette mission essentielle du CCBW? Edith Grandjean : C’est avant tout concerter et fédérer les acteurs du culturel, créer des synergies et créer une réflexion culturelle commune, établir une plateforme d’échanges afin de proposer au public une offre culturelle cohérente et mieux faire participer la population. Le but est de réaliser des projets de plus grande ampleur et qui ont un ancrage sur tout le territoire du BW, malgré l’éloignement de de certains pôles. Il est bien plus intéressant de travailler ensemble plutôt que seul dans son coin. Par exemple La Biennale d’Ottignies. L’année dernière, il s’agissait d’un pavillon de la nouvelle mobilité, conçu avec les centres culturels de Genappe, de Rixensart et de Braine L’Alleud et le CCBW; il a circulé sur l’ensemble de la province et touché 2500 personnes. Wawa : Qu’en est-il du nouveau décret ? Edith Grandjean : Ce décret voté fin novembre 2013 affirme notamment le droit culturel au cœur de nos missions c’est-à-dire que chaque citoyen doit avoir une liberté artistique, une liberté de participation. Les centres culturels sont mandatés pour exercer une démarche de démocratisation de la culture dans le sens d’une garantie de l’accès à la culture au citoyen, mais aussi dans le sens d’une démocratie culturelle et d’un soutien aux artistes. La culture doit être le reflet de chacun et intégrer la participation de tous. Wawa : Est-ce que cette volonté de démarche citoyenne est effectivement possible ? Est-ce que « La culture pour tous » est une volonté réaliste et réalisable ou une utopie ? Edith Granjean : C’est possible mais on s’adresse trop souvent au citoyen avec des outils trop réfléchis et trop normés. Il faut utiliser des modes d’expression différents et éventuellement inusuels afin que l’intéressé trouve une place dans un débat accessible et adapté. La culture pour tous, c’est la culture par tous ! C’est un défi mais on doit continuer cette marche. Ce n’est peut-être pas aussi flagrant en BW mais à Bruxelles, on ne peut plus parler d’une culture, il y a de moins en moins de référentiels communs et la culture a un rôle fédérateur à jouer.

Wawa : Comment voyez-vous votre fonction de directrice ? Edith Granjean : J’assume simplement une fonction, différente de celles des autres mais je me considère sur le même pied d’égalité que l’ensemble de l’équipe. Les personnes qui travaillent ici sont de grande qualité, passionnées par leur mission, leur fonction, et la remplissent très bien. Les autres ont autant à m’apprendre que moi à leur apprendre. C’est juste que sur le terrain, on a des rôles différents mais c’est avant tout un travail d’équipe et l’important est que chacun soit bien où il est pour donner le meilleur de lui-même. Evénement à venir Une création de la Maison Ephémère, compagnie théâtrale, en coproduction avec le CCBW et Culturalité en Hesbaye brabançonne. « MOI JE RUMINE DES PENSEES SAUVAGES » Repas-Spectacle Un texte de Guy Theunissen, écrit sur base de témoignages d’agriculteurs de la région. Mise en scène de Brigitte Bailleux et Guy Theunissen. Une quarantaine d’artistes professionnels et amateurs sur le thème de l’agriculture locale (« jusqu’où iront-ils pour sauver le métier d’un homme ? ») Domaine provincial d’Hélécine 2, rue Armand Dewolf 1357 Hélécine Du 23/7 au 9/8 20h www.ccbw.be 010 61 60 15 Surfez sur culturebw.be et ccbw.be. Le site du Centre culturel du Brabant wallon et l’agenda régional sont désormais la référence pour vos sorties culturelles. Superbe outil dans lequel le CCBW n’est pas mis en évidence mais le but n’est pas là. Il vous renseigne sur tout ce qui se passe dans la culture en Brabant wallon, c’est une véritable vitrine en ligne, une mine d’or qui foisonne d’activités pour tous. Quatre logos colorés, dynamiques, animés évoque l’espace auquel il est dédié par sa couleur, sa forme, son énergie. C’est facile et agréable. Vous n’avez plus d’excuses pour ne pas être au courant des activités offertes dans la région!


« Le Petit Zoute »

So chic !


Deux sœurs, une même envie. Isabelle et Nathalie, partagées entre Knokke et Waterloo, ont décidé de recréer l’atmosphère zoutoise dans la galerie Wellington. « Le Petit Zoute » est né. What else ? L’espace, complètement ouvert sur la galerie et pourtant intimiste, rappelle l’élégance et le raffinement de la Nouvelle-Angleterre. Un lieu indéfinissable, ni restaurant ni snack, pas une brasserie comme les autres et pourtant une vraie identité. Détour de charme par « Le Petit Zoute ».

Le style cottage de Newport Bay, des couleurs douces, sable, taupe, un plafond noir, des meubles blancs, tout inspire ici la sérénité et dès l’entrée, on oublie pression et stress. Le mobilier confortable confirme que l’endroit a tout pour plaire. La carte proposée par Isabelle et Nathalie met l’accent sur la simplicité, la qualité et le goût. Une petite restauration variée, pour toutes les envies, pour les fringales, les petites ou grandes faims et pour toutes les bourses. Car c’est bien là une volonté des deux sœurs, offrir une assiette de qualité à un prix tout à fait raisonnable. A tout moment de la journée, on peut s’y régaler, un bon café le matin avec une gourmandise « maison », un jus frais ou un smoothie en guise d’apéro, un encas ou un vrai plat le midi, et plus tard, une sucrerie, ou plusieurs… Mais alors cette carte ?! Des croquettes au fromage ou aux crevettes grises, artisanales, des croques, des salades, des pâtes, des omelettes, et parmi les incontournables de la maison, les boulettes sauce tomate, le plat régressif par excellence et qu’on adore tous (13 ), le cheeseburger « Petit Zoute » (13 ) et le sandwich « Petit Zoute » aux boulettes « maison », oignons grillés et crudités (4,5 ). Et les sandwiches sont servis à table ! A noter, un plat du jour à 10 , pour les habitués, l’occasion de manger tous les jours un plat différent, fait « maison » et comme à la maison. So Simple.

Dans la famille des gourmandises, crêpes, gaufres, glaces et pâtisseries s’annoncent sans complexe, juste pour le plaisir. Nathalie et Isabelle, deux nanas à votre service Les qualités essentielles de ces deux jeunes femmes dynamiques et souriantes, on a tôt fait de le comprendre, sont le sens de l’accueil, la disponibilité et surtout l’envie de faire plaisir, de répondre aux souhaits de la clientèle. « La semaine dernière une dame a demandé des crêpes au sirop de cassonnade ; ce n’est pas à la carte mais on lui a réalisé un sirop de cassonnade et elle était ravie ! Et du coup nous aussi ! » confie Nathalie. Et Isabelle de renchérir, « On veut un endroit où tout le monde se sent bien, un lieu convivial où chacun peut faire part de ses souhaits, on fera tout pour y répondre au mieux. » Le top du top, une terrasse Vous avez bien lu, une terrasse ! D’ailleurs on ne s’appelle pas « Le Petit Zoute » si on n’a pas de terrasse ! Non mais… Une vraie belle terrasse en bois, qui n’a rien de « M’as-tu vu ? » mais qui sera bientôt « The place to be ». Une cuisine d’extérieur, suffisante pour une petite carte sympa, propose de quoi se restaurer simplement en profitant des rayons du soleil. Et pourquoi pas y siroter une coupe de Laurent Perrier loin du brouhaha ? Elle est ouverte les mercredis, vendredis et samedis et les jours de très beau temps. Et en juin, juillet et août, nocturne les vendredis et samedis. Mais ce n’est pas tout car ces soirs-là, métamorphose des lieux et ambiance lounge assurée par un subtil jeu de lumières. Des thèmes apporteront la touche festive, en mettant à l’honneur un alcool, des bulles ou un cocktail. La terrasse est à votre disposition pour tout événement que vous souhaiteriez organiser sur place mais retenez que « Le Petit Zoute » se déplace chez vous, pour une fête de famille ou d’entreprise et qu’avec leur partenaire, Global Conception, spécialiste en déco, mobilier, éclairage et son, Nath et Isa prennent tout en charge. N’hésitez pas à leur en parler.



OUTE » « LE PETIT Z afé nc vous offre u tion sur présenta de ce bon* *un seul bon pa

r table

NOUVEAU à partir de juin,le Menu-Ciné Voilà une idée bien sympa et qui ne laissera personne indifférent. Dans la formule « menu-ciné », uniquement valable pour un couple (pour deux amies, un duo mère-fille ou toute autre association de deux personnes, ça marche aussi !) chacun a droit à une entrée et un plat, un verre de vin (ou de l’eau), un café et un ticket pour un film au choix au cinéma Wellington. Tout ça pour 50 pour les deux personnes. On applaudit et on le dit à tout le monde ! Et comme « Le Petit Zoute » se trouve à côté de l’escalier qui mène aux salles, c’est super facile et rapide. Mais encore ... EN JUIN, TON PÈRE TU HONORERAS Un menu spécial pour fêter papa. Un menu à 25 fait d’un duo de croquettes, d’un mixed grill servi avec frites et salade et d’une dame blanche. Le verre de Cava Musa est offert. Merci Isabelle et Nathalie ! MENTION TRES BIEN Le comptoir réservé aux étudiants, où ils peuvent venir acheter leur sandwich préféré au tarif préférentiel de 2,20 €. Qui dit mieux ? HAPPY BIRTHDAY Vous fêtez votre anniversaire, vous réunissez amis et familles ? C’est trop petit chez vous ou vous avez envie de profiter de vos invités en vous amusant aussi ? « Le Petit Zoute » peut accueillir jusqu’à 50 personnes et vous proposer un menu complet, entrée/plat/dessert pour 25 . Plus d’excuses !

« Le Petit Zoute » côté pratique Galerie Wellington 163-165 Chaussée de Bruxelles 1410 Waterloo 0477 97 40 77 lepetitzoute@gmail.com Heures d’ouverture : Du lundi au jeudi de 9h à 18h30 Vendredi et samedi de 9h à 23h30 Dimanche de 12h à 18h Carine Cordier



L’O BAR vous propose de passer un moment de détente dans son espace lounge, confortable et prestigieux à Hamme Mille Pour un rendez-vous business en après-midi ou une soirée entre amis, L’O Bar est ouvert le dimanche, mercredi et jeudi de 13h à minuit et le vendredi et samedi de 13h à 2h00. Soirée à thème avec dîner chaque mois, possibilité de louer l’espace pour une conférence, une réunion ou encore une soirée privée.

Rue de Tourinnes n°32 1320 Hamme Mille 0477/201 259 www.lobar.be Facebook : /L-O-bar


Rencontre illustrĂŠe :

Sophie Dupont


Néo- louvaniste bien encrée dans le monde de l’illustration, nous l’avons kidnappée à la rédaction de M. Belgique où elle sévit depuis plusieurs mois déjà. Le parcours de Sophie est atypique. Elle débute par des études de Sciences économiques dans la cité du Doudou puis fait ses marques dans diverses entreprises en y occupant des fonctions variées avant de se lancer dans sa toute première vraie aventure, ouvrir une boîte de communication. Elle y installe ses quartiers et son projet commence à prendre forme dans tout ce qui touche à l’univers du graphisme, de la publicité, mise en page et rédaction de brochures.

ophie Dupo

Ce mois-ci, comme vous vous en apercevrez en parcourant ce magazine, Wawa s’intéresse à sa nouvelle collaboratrice qui, tantôt humoristique, tantôt cinglante voire sarcastique, animera par le biais de ses dessins, certaines pages de votre gratuit du Béwé préferé. L’adage nous rappelle que souvent dans la vie, il est préférable qu’on nous fasse un petit dessin plutôt qu’un long discours, Sophie Dupont se fait donc une joie de partager ses illustrés en notre et surtout votre compagnie.

Elle se retrouve bientôt à la tête d’une équipe composée de 17 personnes mais les aléas de la vie font en sorte que Sophie désire tourner la page afin de se réorienter dans la consultance en tant que freelance pour diverses agences de Pub et quelques importantes imprimeries du Royaume. Ce nouveau poste qui lui permet assez rapidement de devenir responsable du département multimédia, alors que nous entrons à peine dans l’ère de l’internet. Puis, au seing d’une société multinationale, elle découvrira de nouveaux horizons, et voyagera à la cadence d’une semaine par mois en Afrique et dans le Moyen Orient quasi exclusivement.

Sa valise se transforme alors en un gros autocollant d’étiquettes d’avions sur lesquels on peut aisément lire Ouganda, Afrique du Sud, Egypte ainsi que Dubaï. Ces destinations, tant exotiques soient elles, lui permettent d’accroître son esprit créatif et surtout de réfléchir à la suite des opérations à mener lorsqu’elle se décidera à reprendre une activité à son propre compte. Une bonne année sabbatique plus tard, elle se réinstalle dans le Brabant wallon, goûte à d’autres communes pour finalement se rabattre vers ses premiers amours, Louvain-la-Neuve.


phie Dupo

C’est à ce moment précis qu’elle se met à dessiner et peu à peu, à force d’étaler ses croquis sur les serviettes et coins de tables de divers établissements à Wavre et Waterloo, son style prend forme. On se souvient que bon nombre d’artistes et de peintres des siècles précédents payaient leurs additions en laissant leurs habiles dessins aux restaurateurs afin de régler leurs notes.

auteur qui sélectionnera les tweets qu’il voit passer sur la toile, qu’ils soient imagés ou comiques et de les transférer à Sophie qui créera des illustrations dont vous pouvez voir quelques exemples ci –contre ou en parcourant son site internet dont l’adresse figurera en bas de l’article.

Lors de ses temps libres, Sophie se balade régulièrement sur les routes et sentiers des Ravel du BW, à bord de son vélo électrique fétiche.

Notre nouvelle collaboratrice se fera un plaisir de vous rencontrer dans la galerie Saint Hubert à Louvain-la-Neuve dans le magasin de vinyls « taille 33 » lors d’une expo-vente qu’elle organise sur ce thème durant le moi de juin (rendezvous le 19/6 à 18h).

Bonne golfeuse également, elle fit ses premiers pas au golf de la Bruyère puis au golf de l’Empereur à Ways pour terminer, je vous le donne en mille, au golf de Louvain-la-Neuve. Et c’est dans ces moments de détente au calme que les idées lui viennent qu’elle ne peut s’empêcher de les mettre sur papier une fois rentrée à son domicile.

Un projet d’expo est également à l’étude, axée sur le même univers mais illustrant, cette foisci, des phrases ou des scènes du quotidien de soldats durant la guerre 14-18. Exposition organisée sous la houlette de Josette Champt, qui nous provient de la Maison du tourisme des Ardennes brabançonnes et à qui on doit également le nom du magazine WaWa.

Sophie dessine maintenant à l’aide de son stylet magique sur tablette graphique lui permettant au mieux de reproduire l’effet d’un pinceau, technique utilisée en bande dessinée. Ce moyen de procéder lui donnera toute son originalité et lui permettra d’accéder aux nouveaux moyens de communication tels les réseaux sociaux et Twitter en particulier.

Il existe mille et un endroits pour se prélasser et bien manger dans nos belles communes verdoyantes et c’est sans détours que Sophie nous parle de ses trois incontournables ; Le Madzébu, Le Happy’s et le Belgicanos qui se targue de proposer une très bonne cuisine espagnole ainsi que de découvrir de très bons crus à boire également au verre.

Grâce à ce nouveau mode de fonctionnement, elle s’installe petit à petit sur la tweetosphère et se fait rapidement repérer, notamment par M. Belgique qui lui donne rapidement carte blanche pour ses illustrations hebdomadaires.

Vous avez besoin d’un conseil ou d’une aide dans le domaine du graphisme ou de la communication, elle vous fera un plaisir de collaborer avec vous.

Ne vous y trompez pas, sous des couleurs pastels et de douces courbes, ses illustrations sont parfois cinglantes mais toujours sans concessions. Le tweet illustré consiste à faire appel à un

Sophie, WaWa te souhaite la bienvenue dans l’équipe et bonne chance pour tous tes projets annexes. Les informations concernant Sophie se trouvent sur le www.sophiedupont.be


Personal Training

Ambiance : Cosy, Lounge, Attitude

Méthode Pilates

Entrée gratuite sur réservation 010 68 16 18 www.axiswellness.be info@axiswellness.be

Axis Wellness, bien plus que du fitness.

2, Rue du Fond Cattelain, 1435 Mont-St-Guibert





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