Serranova 2.0, número 3, juny 2014

livres dans mon sac à dos, et finalement on sortait de la maison pour aller prendre l’autobus. On arrivait à l’école vers 9 heures, mais nos courses ne commençait pas jusqu’à 9 heures vingt. Chaque cours avait une longueur d’une heure et quart et entre le premier et le deuxième, et le troisième et le quatrième on avait 15 minutes de pause. Vers midi, on allait manger à la cantine. On avait seulement quatre cours différents chaque jour. L’horaire est différent aussi parce que on avait des périodes de neuf jours, qui se distribuent pendant les jours de la semaine il pouvait donc arriver d’avoir le jour 1 un lundi et la prochaine fois c’était un mercredi.

Après on allait à la maison, on arrivait au près à cinq heures et alors on faisait nos devoirs, on écoutait (regardait) la télé, etc. Chaque jeudi on faisait du yoseïkane, c’est le sport que Camille fais au Québec, c’est une sorte de taekwondo. Chez moi on soupait (dinait, pour les français) vers 6 ou 7 heures du soir, après parfois on regardait un film ou on faisait quelque chose. On se couchait vers 10 heures. Pour les catalans cet horaire est bizarre car toutes les activités sont très tôt.

J’ai eu de la chance de remarquer beaucoup des différences entre les deux pays mais j’ai trouvé des égalités aussi, par exemple ils sont très fières, comme nous, de sa langue et de sa culture malgré qu’ils sont au milieu des gens qui parlent l’anglais, donc c’est un peu comme nous avec l’espagnol. Là-bas ils ne veulent pas l’indépendance parce que le gouvernement du Canada apporte beaucoup d’argent mais sinon ils aimèrent d’avoir un état souverainiste.

Finalement je dois dire que j’ai tellement aimée cette expérience puisqu’elle m’a apporté beaucoup des choses positives, c’est pour cela que j’encourage à tous les gens qui peuvent avoir la possibilité d’aller au Québec ou faire un échange comme le mien de pas le refuser.

Texte : Helena Vallés