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Aurélien Cormier Mélomane et fan de montres, Aurélien Cormier revient sur sa rencontre avec l’horlogerie, les 15 montres automatiques qu’il possède et son coup de coeur pour Akrone. Photo : Akrone
À quand remonte ta passion pour les montres ? Aurélien : “Cela n’intéressait personne dans ma famille mais j’aime les montres depuis tout petit. Enfant, je me souviens des montres à quartz que mes parents m’offraient. J’adorais avoir quelque chose autour du poignet, un objet esthétique.”
esthétique, pour l’objet, puis j’ai plongé dans son mouvement comme dans une potion magique.” Quel type de passionné es-tu ? A. : “Je n’ai pas tant que ça de montres, j’en ai une quinzaine. La plupart ont 3 aiguilles simples mais j’adore la complication à phase de lune. J’aime pouvoir les porter, les re-découvrir. Elles ne restent pas dans leur boite, je les porte au quotidien, je les accorde à mes habits. Encore faut-il avoir le temps d’en remonter certaines pour les mettre à l’heure ! Et au-delà de regarder l’heure, j’aime simplement les contempler.”
Ton premier achat marquant ? A. : “À 18 ans, j’ai dépensé un an d’Aide au Logement (APL) pour acheter une Pulsar qui possède un cadran à la fois analogique et numérique en superposition.” Étant fan de montres on imagine aujourd’hui ta préférence pour les mouvements mécaniques ? A. : “Avant de découvrir les montres à mouvement mécanique, j’avais fait l’acquisition d’une Seiko au mouvement kinétique. Ce n’est que lorsque j’ai commencé à fréquenter les forums que je me suis passionné pour les montres mécaniques automatiques. Je pense que j’ai suivi le chemin classique de tout passionné de montres. J’ai d’abord aimé la montre pour son
Comment Akrone te séduit ? A. : “J’ai la K-02 version Vipère en noir profond. J’aime le projet Akrone, leur sens du détail ultra-développé, ce qui n’est pas commun dans le milieu. Je fais très attention aux éléments du cadran, la forme du boitier, la patine. Avec Akrone, je retrouve ce que j’aime. Je sais que derrière chaque modèle, il y a un vrai travail. J’adhère à l’esprit Akrone et je passe dans leur atelier dès que je peux pour m’imprégner des projets à venir, échanger. J’attends la C-02 !”
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