Pour chaque haïku, a) Compte le nombre de syllabes dans chaque vers. Dis si le haïku respecte ou non la structure classique ; b) Marque les césures à l’aide d’une barre (/) ; c) Souligne l’image pivot ; d) Passe au fluo les mots en rapport avec le champ lexical de la nature ou des saisons ; e) Explique ce qu’évoque le poème et le sens auquel il fait appel.
il pleut à torrents sent-elle l'humidité l'âme du défunt
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(Janick Belleau)
Un nuage échoit L'horizon est meurtrier Romance avalée
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(G. Gilson)
tempête d'automne un chapeau suivi d'un homme
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(Dominique Chipot)
Complète l’analyse lacunaire de ce haïku. Petites fumées grelottantes sur les toits dans l'aube glacée
Ce haïku a une structure ……………………… : c’est un ……………………… (paragraphe composé de …… vers) qui compte …… syllabes : …… dans le premier vers, …… dans le second et …… dans le troisième.
Chaque vers suggère une …………………… et s’achève sur une ……………………. Le premiers vers suggère l’image de …………………………….., le deuxième vers l’image de …………………………….. et la troisième celle de ……………………………... L’image pivot est celle du …………………….. vers : elle évoque ……………………………..……………………………………………………... (Philippe Caquant)
Le poème fait appel au sens de la ………… (……………………………..) et à celui du ………………….. (………………………………….). On y retrouve une allusion à la ……………………. grâce au mot « …………………………….. ». Le champ lexical du ……………….. (« ……………….. », « ……………….. ») évoque la saison de l’…………………………….. Nanolittérature (Gaël Gilson – www.livremot.be) -13-