Guide Vagnon du plaisancier de barcelone à gênes
60 ESCALES TOURISTIQUES
LA CÔTE méditerranéenne
menton carro 12
de carro à menton
Il y a la Provence et la Côte d’Azur. Il y a le blanc des calcaires et le rouge des porphyres. Il y a les barquettes et les pointus. D’est en ouest, des chèvres du Rove aux citrons de Menton, c’est une balade d’une formidable variété dont le trait d’union est une histoire commune : les colonisations grecque et romaine, les invasions barbares, les raids de pirates, les batailles pour les sites stratégiques, mais aussi, pacifiquement, la circulation des meilleurs produits de la Méditerranée, vin et huile principalement. Marseille, Toulon, Nice… Il y a bien sûr des points forts qui méritent des escales de plusieurs jours. Il y en a aussi de minuscules comme Carro, écologiques comme les Embiez, navales comme La Ciotat, musicales comme Antibes…
Phare du Grand-Rouveau, dans l'archipel des Embiez.
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viareggio san remo 14
de sanremo à viareggio
Les Celto-ligures qui vivaient là sont les cousins de ceux qui accueillirent Pythéas le Grec dans la rade où naîtra Massalia, et aussi de ceux qui déclenchèrent l’alarme cacardante des oies du Capitole en -390, quand ils mirent Rome à sac. Aujourd’hui, ils sont devenus horticulteurs et amateurs de canzone italiana, dont Sanremo est la capitale. Déjà, quand on avait passé Monaco et le cap Martin, flottait un petit air d’Italie. Cela s’est confirmé à Menton. Plus de doute après Vintimille. Ce n’est plus la Côte d’Azur, c’est la Riviera, avec ses couleurs, son architecture, ses gens, et la musique de sa langue. Après avoir visité l’incroyable cité de Gênes, nous finirons ce voyage aux confins de la Toscane, prêts pour de nouvelles découvertes.
Gênes.
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catalogne
barcelone palamos, llafranc et sant feliu l’estartit et blanès cadaquès, port lligat et roses el port de la selva et cap creus
L’escale : choisir la voie « royale »
Bien entendu, nous avons choisi le vieux port en centre-ville plutôt que le port olympique, plus moderne, mais éloigné. Il suffit de passer le pont qui s’ouvre régulièrement, à l’heure et à la demie. Dans le bassin, se trouvent deux clubs nautiques, le RCMB et le RCNB, « royaux » tous les deux comme le R l’indique. L’un est maritimo, l’autre nautico. Il est possible de réserver par téléphone ou par le canal 9 mais, bien que nous ayons toujours vu des places libres dans l’un comme dans l’autre, on sait que la prudence sauve aussi le marin à l’escale… Soyez sans crainte, comme à Marseille, à Gênes et d’autres bassins de cœur de grandes villes, le tintamarre de la cité n’y est plus qu’une rumeur diffuse.
Informations :
Site internet : https://www.portdebarcelona.cat/fr/
Mail : sau@portdebarcelona.cat
Téléphone : +34 932 986 000
barcelone
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Le port et la ville.
Deux clubs royaux pour escale de princes Les capitaineries sont rarement des lieux à visiter. Ici, dans le vieux port, ambiance newport yacht-club : salons avec cheminées pour les retours de mer en hiver, collections de maquettes, de demi-coques, de tapes de bouches et de guidons de clubs prestigieux, photos anciennes, bar cosy… Mais pas de pantalons blancs ni de blazers bleus à écusson en vue. Cela est réservé aux cérémonies officielles, pas imposé aux visiteurs. Polos, shorts et docksides salés acceptés. Tenues de bain fluo et tongs, un peu moins. C’est un peu vieux jeu, mais il est bon de trouver des lieux où le beau, le raffiné, le respect des valeurs marines réunissent des propriétaires de somptueux coursiers des mers du siècle dernier et de jeunes navigateurs fauchés sur des bateaux bricolés. Deux types d’embarcations qui se côtoient dans le bassin. Et, de plus, ce port est le moins cher des ports que nous avons connus en catalogne. Là, vous êtes dans le saint-des-saints, au calme et avec une vue imprenable.
CHRISTOPHE COLOMB ?
On attend donc l’ouverture de la passerelle piétonne qui relie la ville à la petite cité commerciale et gastronomique gagnée sur la mer. Ensuite, tout est facile, on est attendu, aidé… Comme souvent en Espagne, club royal ou pas. C’est royal. Une place en bout de ponton côté chenal et c’est même le paradis : vue sur la rambla Del Mar, assez loin pour la tranquillité des oreilles, assez près pour le bonheur des yeux. Au fond, on peut admirer la statue de Christophe Colomb que les Barcelonais revendiquent autant que les génois, alors que seuls les Portugais lui ont donné sa chance… Puis, le long du quai, les superbes bâtiments des autorités portuaires de la haute époque maritime de Barcelone.
Bien que l’on puisse rester des heures dans son cockpit à contempler la ville vue du Vieux Port, vient le moment d’aller faire quatre pas à terre, de se mêler au monde des terriens.
Le premier matin, bien évidemment, on commence par le plus proche : la rambla
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Le bas de la rambla vue du port.
principale qui va de la statue de Colomb à la place de Catalogne. Le but : se balader dans cette ville à l’architecture un peu folle, parfois complètement. On comprend que Gaudi ait pu construire une chose aussi incroyable que la cathédrale de la Sagrada Familia.
C’EST
MIEUX HORS SAISON
Commençons par la mauvaise nouvelle : l’été, saison habituelle de navigation, cette rambla de légende n’est plus un boulevard où flâner le nez en l’air pour en apprécier les constructions, mais un fleuve lent où coule à double sens une masse épaisse de touristes. On ne voit rien, on slalome entre des gens qui ne regardent qu’à travers leurs téléphones portables pour s’auto-photographier et se poster immédiatement sur les réseaux… Ainsi, on déambule dans des quartiers où 80 % des gens sont des touristes qui la regardent sur un écran minuscule… Heureusement, Barcelone n’est pas seulement cela.
Dans la partie haute de la rambla, grimpez sur le clocher de la remarquable basilique Santa Maria del Pi (gothique du xive siècle) d’où la vue est superbe, puis un peu plus loin à droite en montant, allez au marché de la Boqueria, moins bondé, un peu cher, mais parfait pour l’avitaillement en frais, notamment sur quelques étals bios. Sous les arcades du marché se trouvent de nombreux restaurants, moins attrape-gogos que sur la rambla, dans un cadre bien plus sympathique, mais qui font peu pour promouvoir la gastronomie catalane…
SORTIR DES AUTOROUTES PIÉTONNES
Il suffit de marcher quelques centaines de mètres à gauche ou à droite de ces autoroutes piétonnes pour découvrir des quartiers autrement plus agréables et tranquilles. Une mention particulière pour le bari Gothic, qui raconte d’une maison à l’autre une grande partie de l’histoire de la ville, de l’Antiquité à la Renaissance.
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Place Sant Felip, coin tranquille dans l’ancien ghetto.
Promenez-vous dans les ruelles étroites, architectures mélangées dans un joli bricà-brac de souvenirs pieux et laïcs.
N’oubliez pas le quartier el call, l’ancien ghetto juif dont les habitants ont été massacrés ou contraints de se convertir au catholicisme en 1391 sous prétexte de peste noire dont ils auraient été les vecteurs. C’est aujourd’hui un quartier joyeux et authentique qui accueille des magasins et des restaurants plutôt chics, où se trouve la plus ancienne maison de Barcelone.
À deux pas des ramblas et de la place Reial, passez par la place George Orwell, auteur britannique du roman prémonitoire 1984 qui vécut ici pendant la guerre d’Espagne à laquelle il participa. Au centre de la place, jetez un œil à la statue de l’artiste surréaliste Leandre Cristòfol et laissez vos enfants s’ébattre dans l’aire de jeux pendant que vous profiterez des petits bars à vin, à tapas, à toutes sortes de choses, infiniment meilleures et moins chères qu’ailleurs. Nous avons retenu en particulier l’Oviso.
En somme, Barcelone est une magnifique escale qui mérite mieux qu’une visite rapide, surtout en pleine saison. Il faut y prendre son temps, s’y perdre, beaucoup marcher, même dans ce qui n’est pas indiqué dans les guides mais qui montre la vraie vie des Barcelonais, si possible aux beaux jours de l’arrière ou de l’avant-saison. Ceux qui ont la chance de pouvoir naviguer en dehors de juillet-août seront récompensés d’avoir affronté une météo moins estivale. Il y a aussi de merveilleuses journées, des mers et des vents maniables en février.
Idées de visites : un musée et un aquarium
Si vous voulez rester au calme à dix minutes de votre bateau mais toujours dans l’évocation de la mer et des grandes navigations, en parallèle à la voie Colom qui part à droite de la place éponyme, prenez la ronda littoral vers le grand aquarium de la ville et le musée d’Histoire de Catalogne, tous deux en bordure des bassins du port. Sur le chemin du retour, bien fatigués, goûtez au calme et à la verdure de la place Duc de Medinaceli. Pour changer des tapas, le Grand Torino Garage y offre une autre cuisine de Méditerranée, l’italienne. Et le soir, pas loin de là, 19 carrer de Josep Anselm Clavé, le Guru, bar à cocktails, sert aussi de bons petits plats pour ne pas tomber raide saoul. L’aquarium, en particulier, n’est pas une visite, c’est une immersion ! C’est l’un des plus remarquables d’Europe, tant pour la diversité des espèces marines animales ou végétales présentées que par sa muséographie originale ou les activités qui y sont proposées, notamment aux jeunes et aux enfants.
C’est une journée entière qu’il faut passer dans ce lieu incroyable consacré à la Méditerranée mais aussi aux mers lointaines, chaudes et froides. Féérique, pédagogique, militant pour la cause de l’environnement marin, l’aquarium offre non seulement un moment d’oubli après l’immersion fatigante qu’est la visite des ramblas, mais remplit la tête de souvenirs, d’émotions et de connaissances qui resurgiront quand vous serez repartis sur la mer et penserez à l’univers qui s’étend sous la coque de votre bateau.
Infos pratiques
• Aquarium Barcelona
Site : https://www.aquariumbcn.com/fr/
Adresse : moll d’Espanya del Port Vell, s/n
Tel. : +34 932 21 74 74
Mail : info@aquariumbcn.com
• Musée d’histoire de la catalogne
Site (en espagnol) : https://www.mhcat.cat/
Adresse : plaça de pau vila, 3
Tel. : +34 93 225 47 00
Mail : mhc.cultura@gencat.cat
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L’escale : des pêcheurs et des bouchons
Privilégiant les ports anciens de centre-ville, nous choisissons celui de l’ouest, derrière le joli phare et la longue digue du bassin de commerce où viennent plutôt accoster des navires de croisière, le trafic des marchandises déclinant. Pourtant, il fut ici très prospère, grâce… au champagne Dom Pérignon. Non pas pour importer le célèbre vin à bulles mais pour exporter des bouchons de liège grâce à la qualité des écorces de chêne et au savoir-faire local pour les fabriquer.
Informations
Site internet : http://www.cncostabrava.com
Mail : cncb@cncostabrava.com
Téléphone : +34 97 231 43 24 / +34 97 231 45 25
D’ABORD, LE MARCHÉ
AUX POISSONS !
Le port de plaisance est d’autant plus tranquille qu’il se trouve protégé par deux autres digues. La première accueille les grands yachts, la seconde reçoit le canot de sauvetage et une belle flotte de pêche. Car Palamos est une escale sur mesure pour les amateurs de produits de la mer. Ne rater sous aucun prétexte le marché aux poissons ouvert tous les jours de la semaine sur le port. Dans une grande halle sont vendues les pêches à peine arrivées dans les bateaux. Tous les poissons de la Méditerranée sont là, d’une fraîcheur absolue, certains encore frétillants. C’est déjà un régal que de voir ce bouquet de couleurs et de parfums de mer. La présentation est superbe… mais les prix atteignent aussi des sommets !
Et comme la ville ne présente pas vraiment d’intérêt touristique, ni gastronomique, rapportez une belle pièce et cuisinez-la à bord !
Idée de visite : le musée de la Pêche. Juste à côté du marché, se trouve le musée de la Pêche. Une perfection de pédagogie et de muséographie, avec des maquettes, des reconstitutions, des projections sur les murs… En navigation, peu aiment s’enfermer dans les musées. Faites exception pour celui-ci. Et pour poursuivre le long de la filière de la mer à l’assiette, le musée propose une école de cuisine pour les ichtyophages de passage !
Infos pratiques
Site internet : https://museudelapesca.org/ Adresse : zone portuaire. Carrer del moll, s/n
Tel. : +34 972 600 424
Mail : infomuseu@palamos.cat
JUSTE À CÔTÉ !
À cinq milles au sud-ouest de Palamos, Sant Feliu de Guixols, une drôle de petite escale. Entre les pontons et le club-house, un curieux hangar : l’ancien terminal ferroviaire. Dedans, une locomotive à vapeur
palamos
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et un wagon en bois. Quito Pi, ancien président du club nautique, se souvient du temps où ce tortillard faisait la liaison avec Girone, la capitale régionale : « Il allait tellement lentement dans les montées qu’on pouvait descendre faire pipi et rattraper le wagon en courant ! ».
La ville regorge de témoins de toutes les époques, du plus pur roman à l’avantguerre civile et aux années soixante-dix, il suffit d’ouvrir les yeux, de se balader le nez en l’air pour se faire raconter mille ans d’histoire : un hôpital début du xvie siècle, immense pour l’époque, parle des grandes épidémies, un cloître fortifié roman primitif raconte la peur des Barbaresques, un casino baroque fait entendre les fiestas des années folles et de nombreux détails accrochés aux façades sont un livre d’images, pour qui aime observer.
Marchez jusqu’à la partie à l’opposé du port, vers le cloître, son château et son église, mais aussi la place de la mairie avec un marché très coloré, des petites rues avec des architectures surprenantes. À voir aussi, en haut de la rambla, un joli musée du jouet avec une boutique du genre qu’il vaut mieux avoir oublié sa carte bleue dans le bateau…
À cinq milles au nord-est de Palamos, la petite baie de Llafranc, en bas d’un escarpement de roches rouges couvertes de
pinèdes luxuriantes qui cachent les villas et de petits immeubles, donne envie de passer rapidement les amarres aux taquets et de se balader. Chose amusante, les maisons et les appartements de plain-pied sur la promenade ont installé leurs tables et chaises de terrasse entre celles des restaurants et des bistrots.
Attention toutefois : les places sont très rares dans ce port de 140 anneaux dont à peine 20 pour des bateaux au-dessus de 10 mètres. Il faut se mettre au mouillage devant.
Du bout du village, il faut prendre l’escalier vers le chemin de ronde : vingt minutes de marche facile entre pins et rochers qui mène à l’autre perle de l’escale : Calella de Palafrugell. Admirez l’harmonie de l’architecture de ce gros bourg qui a su garder son cachet : tout est blanc et bleu, sans enseignes ni constructions hideuses. On pourrait se croire dans une île grecque ou un village de Tunisie !
À Sant Feliu de Guixols.
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La ville de Palamos vue du port.
ANTIBES ......................... pages 136-137
ARGELÈS-SUR-MER .......... pages 40-41
BALARUC pages 60-61
BANDOL ........................ pages 98-99
BANYULS pages 34-35
BARCELONE pages 18-21
BORMES-LES-MIMOSAS ... pages 118-119
BORMES-LE-LAVANDOU pages 120-121
BOUZIGUES .................... pages 60-61
CADAQUES .................... pages 26-27
CANET-EN-ROUSSILLON pages 44-45
CANNES ........................ pages 134-135
CAP-D’AGDE .................. pages 56-57
CARNON pages 70-71
CARRO........................... pages 80-81
CARRY-LE-ROUET pages 84-85
CASSIS pages 94-95
CAVALAIRE-SUR-MER ....... pages 122-123
CERBÈRE ........................ pages 32-33
CHICHOULET pages 54-55
COLLIOURE .................... pages 38-39
ETANG DE BERRE pages 80-81
FRÉJUS pages 130-131
FRONTIGNAN ................ pages 66-67
GÊNES pages 150-151
GOLFE DE FOS ............... pages 80-81
GRUISSAN ..................... pages 52-53
HYÈRES-LES-PALMIERS pages 114-115
IMPERIA ......................... pages 148-149
JEAN GAU ...................... pages 54-55
LA CIOTAT pages 96-97
LA CLAPE ....................... pages 54-55
LA GRANDE-MOTTE pages 72-73
LA NAPOULE pages 132-133
index
geographique
LA SELVA pages 28-29
LA SEYNE-SUR-MER ......... pages 108-109
LE FRIOUL pages 90-91
LE GRAU-D’AGDE ........... pages 54-55
LE GRAU-DE-VENDRES .... pages 54-55
LE GRAU-DU-ROI pages 74-75
LE LÉRINS....................... pages 132-133
LES CINQUE TERRE ......... pages 154-155
LES EMBIEZ pages 102-103
LES SAINTES-MARIESDE-LA-MER pages 78-79
L'ESTARTIT pages 24-25
MARSEILLAN .................. pages 60-61
MARSEILLE / CALANQUES pages 92-93
MARSEILLE / PORT pages 86-89
MENTON........................ pages 140-141
MÈZE pages 60-61
NICE .............................. pages 138-139
PALAMOS....................... pages 22-23
PALAVAS-LES-FLOTS pages 68-69
PORQUEROLLES ............. pages 116-117
PORT-BARCARÈS pages 46-47
PORT-DE-BOUC pages 80-81
PORT-LA-NOUVELLE pages 50-51
PORT-LEUCATE ................ pages 48-49
PORT-MIOU pages 94-95
PORT-SAINT-LOUISDU-RHONE ..................... pages 80-81
PORT-VENDRES pages 36-37
RIVIERA LIGURE .............. pages 144-145
SAINT-CYPRIEN............... pages 42-43
SAINTE-MAXIME pages 128-129
SAINT-MANDRIER ........... pages 108-109
SAINT-RAPHAËL pages 130-131
SAINT-TROPEZ / GOLFE pages 124-125
SAINT-TROPEZ / PORT ..... pages 126-127
SANARY pages 100-101
SANREMO...................... pages 146-147
SAUSSET-LES-PINS .......... pages 82-83
SÈTE pages 62-63
THAU (BASSIN) ............... pages 58-59
TOULON / BAIE .............. pages 106-107
TOULON / PORT pages 110-111
TOULON / RADE ............ pages 104-105
TOULON / VILLE pages 112-113
Ce guide adressé aux plaisanciers répertorie 60 escales réparties sur toute la côte méditerranéenne, de Barcelone en Catalogne jusqu’au golfe de Gênes en Italie, en passant par tous les ports petits ou grands qui permettent de relier Sète, Marseille, Toulon, ou Saint-Tropez.
Pour chacune de ces escales, les auteurs, qui ont eux-mêmes souvent caboté le long de ces côtes, livrent des informations utiles sur les ports et la navigation mais aussi et surtout leurs connaissances, leurs idées et leurs bons conseils pour profiter au maximum des villes, des monuments et des paysages qui émaillent ce magnifique littoral si prisé des navigateurs… À juste titre !
MDS : VA08718 www.vagnon.fr
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