Jardin
2024
CONSEILS, DICTONS, GESTES, PLANTES, BIODIVERSITÉ
• Choyer les plantes vertes d’appartement et les orchidées en vaporisant de l’eau à température ambiante mais non calcaire sur les feuilles.

• Maintenir en place les paillages et, plus précisément, protéger les plantes sensibles au froid par un matelas de feuilles sèches.


• Arroser modérément les pélargoniums, les lantanas, les lauriers-roses et toutes les autres plantes en pots hivernées à l’abri du gel.
• Profiter d’une période de redoux pour tailler les arbustes caducs de floraison estivale, comme l’hibiscus, les millepertuis, le buddléia et le caryoptéris.
C’est le moment !







Taillez vos lauriers-roses Qu’il soit cultivé en pot et tenu à l’abri en hiver ou planté en pleine terre dans la zone de l’olivier, le laurier-rose poursuit sa remarquable floraison de juillet à octobre. Pas d’hésitation : coupez court les tiges longues et rigides de l’année précédente tout près de leur point de naissance. Votre floraison cet été n’en sera pas diminuée, au contraire. La plupart des plantes à floraison estivale fleurissent sur la pousse de l’année. Plus vous taillez court avant le départ de la végétation, plus vous favoriserez le départ de jeunes pousses et plus leur floraison sera spectaculaire cet été.
Le saviez-vous ?
Recouvert d’écailles charnues, le bulbe est un organisme souterrain de réserve qui permet à toute la plante de se maintenir au jardin malgré des conditions climatiques hivernales ou estivales difficiles.


Faisons connaissance… Le rouge-gorge


Il est très familier, venant très près de l’homme lorsque celui-ci travaille le sol ; guettant les éventuels vers ou insectes soulevés par la binette ou le croc. En hiver, c’est un des hôtes les plus assidus des mangeoires, il vient dans les nichoirs de type ouvert. Le chant du rouge-gorge est très pur, il vocalise du soir au matin.



Les érables à peau de serpent



Ces érables surprenants se distinguent par leurs rameaux recouverts d’une écorce verte et luisante marquée de stries plus claires, extrêmement décorative en hiver. Ils ne relèvent pas d’un type unique mais recouvrent plusieurs espèces, comme l’érable du père David (Acer davidii) et sa variété ‘Grosseri’.




L’érable jaspé (Acer capillipes) et celui de Pennsylvanie (Acer pennsylvanicum) leur ressemblent au point d’être parfois confondus par les pépiniéristes eux-mêmes.







<< Quand il ne pleut pas en janvier, il faut étayer le grenier. >>
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Notes
• Tailler avant la reprise de végétation les groseilliers à grappes et à maquereau ainsi que les cassissiers, les framboisiers et les noisetiers.
• Par températures positives, tailler les arbustes et les arbres qui le nécessitent.


















• Nettoyer les massifs d’heuchères, de bergénias et des autres vivaces persistantes.

• Remettre en végétation les géraniums hivernés en plaçant les potées à une température ambiante de 18 à 20 °C et en augmentant progressivement l’arrosage. Tailler les feuilles et les pousses de l’année précédente si cela n’a pas déjà été fait.


C’est le moment !










Plantez un bouleau de l’Himalaya Profitez d’une belle journée, ni trop chaude ni trop froide, pour planter ce bouleau à l’écorce immaculée. Installez-le dans un endroit dégagé, car, avec les années, il atteindra la taille du bouleau commun. Aérez la terre en profondeur avec une fourche-bêche et ameublissez-la en surface avec une griffe avant d’ouvrir un trou de plantation à peine plus volumineux que la motte. Posez celle-ci au fond, sa surface supérieure devant affleurer le sol. Vérifiez que votre arbre est bien positionné à la verticale et recouvrez la motte avec de la terre fine. Aménagez une cuvette d’arrosage et arrosez copieusement pour aider à la reprise.






Le saviez-vous ?
La violette de nos jardins fleurit deux fois. De fin février à mars-avril, apparaissent les fleurs violettes que tout le monde connaît, très odorantes mais stériles. Beaucoup plus discrète, une seconde floraison en été permet à la plante de produire de nouvelles graines.









Faisons connaissance… Le geai




En pleine saison, le geai passe son temps à récolter des glands qu’il stocke pour l’hiver. Très méfiant, il est difficile à voir, c’est surtout le matin très tôt qu’il viendra en plein hiver se nourrir dans les mangeoires, particulièrement s’il y a des cacahuètes ou des restes de légumes. Il a un chant très varié et est capable d’imiter ceux d’autres oiseaux comme les buses et les corbeaux.
Les orchidées d’appartement


Pour les Grecs anciens, ces intrigantes exotiques seraient arrivées sur terre dans les plis de l’écharpe qu’une déesse déchira jadis aux rochers du rivage de la mer Égée. Plus prosaïquement, les espèces d’orchidées qui poussent dans nos appartements sont originaires des régions tropicales de l’Ancien Monde et du Nouveau Monde. Ainsi, les cymbidiums et les phalaenopsis nous viennent d’Asie du Sud-Est, d’Australie et de Nouvelle-Guinée, alors que les odontoglossums, les oncidiums ou les miltonias poussent à l’état naturel en Amérique du Sud.

<< Les pluies du mois de février valent du purin. >>
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Notes
• Procéder à la première coupe de vos haies et topiaires.
• Tailler les arbustes à floraison de fin de printemps ou d’été comme les lavandes et les glycines de Chine.
• Rempoter les diverses plantes hivernées en cave, tels les géraniums, les fuchsias et les lauriers-roses. Reprendre l’arrosage et la fertilisation.
• Planter tous les arbres et arbustes, tant fruitiers qu’ornementaux.


C’est le moment !









Divisez les hostas







Attendez que pointent les premières pousses pour déterrer la plante entière avec une fourche-bêche. Divisez la souche en petits éclats à l’aide d’une serpette en veillant à ce que chaque tronçon comporte quelques racines et un ou plusieurs bourgeons. Replantez-les aussitôt dans un sol bien ameubli et nouvellement enrichi de compost, en les distançant de 40 cm. Tassez raisonnablement et arrosez copieusement. Si vous souhaitez maintenir la plante en place, prélevez délicatement un éclat en périphérie sans arracher la motte.













Le saviez-vous ?
Les brugmansias furent longtemps appelés Datura. De fait, les daturas véritables sont des plantes herbacées à vie brève, aux fleurs dressées assez petites et aux fruits en capsules hérissés et piquants.




Faisons connaissance… Le gendarme



Il vit en groupe au pied des arbres et perce les écorces avec son rostre pour absorber la sève. Il se nourrit aussi de graines et de cadavres d’insectes. L’accouplement, très spectaculaire, peut durer plus de 30 heures, femelle et mâle sont collés par l’arrière. La femelle tire le mâle, obligé d’avancer à reculons. Totalement inoffensifs, ils sont la proie de nombreux oiseaux.

Les gaillardes vivaces

Elles sont appréciées pour leurs longues floraisons estivales.
Leurs inflorescences en marguerite peuvent atteindre jusqu’à 12 cm de diamètre. Contrairement aux vraies marguerites qui fleurissent blanc, les gaillardes s’épanouissent toujours dans des tons chauds, jaune, rouge, orangé ou pourpre-brun. Les larges fleurs de ‘Burgunder’ se teintent d’une couleur grenat, celles de ‘Dazzler’ de jaune orangé vif autour d’un disque amarante. ‘Kobold’ est remarquable par son port compact qui ne dépasse pas 30 cm de haut et ses fleurs rouge vif ourlé de jaune.
Toutes résistent à tout : chaleur, sécheresse, froid, sol pauvre, vent.
<< Le mois de mars sec et beau remplit caves et tonneaux. >>
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Notes
Printemps
Pâques
• Aérer à la griffe le sol des massifs d’arbustes et de rosiers après avoir taillé ceux qui fleuriront cet été.
• Tailler les premiers arbustes printaniers tels le forsythia et le cognassier à fleurs parvenus au terme de leur floraison.






• Semer directement en pleine terre les nigelles de Damas, les soucis, les cosmos, les gaillardes annuelles, les zinnias, les godétias, le pavot de Californie et toutes les annuelles à développement rapide.




• Remettre en végétation les potées et balconnières de géraniums droits maintenus à l’abri des froids pendant l’hiver.


• Rempoter les plantes d’intérieur qui le nécessitent.




C’est le moment !

Plantez un figuier










Dans le Sud, le figuier atteint 7 à 8 m de haut alors qu’au nord il dépasse rarement 3 à 4 m. Ce petit arbre au port largement étalé ne craint pas les fortes chaleurs estivales et supporte les gelées d’hiver jusqu’à – 15 °C. Il est peu exigeant en matière de sol et sa puissance d’enracinement lui permet de s’implanter partout. Plongez le conteneur dans une bassine d’eau pendant quelques minutes. Aérez le sol avant d’ouvrir à la fourche-bêche un trou à peine plus volumineux que la motte d’origine. Si celle-ci est dense et compacte, débrouillez les racines à la main pour en faciliter la reprise. Positionnez votre figuier et comblez le tour de la motte avec de la terre fine. Tassez énergiquement avec le talon. Aménagez une cuvette d’arrosage et arrosez copieusement au goulot.

Le saviez-vous ?
La tradition anglo-saxonne effeuille la pâquerette à l’instar de la marguerite. De façon moins romantique cependant ! « Riche, pauvre, mendiant, voleur, médecin, avocat, commerçant, directeur » – le dernier pétale indiquant la situation du futur conjoint.
Faisons connaissance… Papillon petite tortue Appelé aussi la vanesse de l’ortie, c’est l’un des premiers papillons à se montrer au printemps grâce aux individus issus de la seconde génération et qui ont hiverné à l’abri d’un arbre creux, dans les greniers et même dans les maisons. Les ailes de couleur orange sont bordées de taches bleues. Comme son nom scientifique l’indique, c’est une espèce strictement inféodée à l’ortie.












Les géraniums parfumés Certains géraniums odorants sont issus d’anciennes hybridations datant du début du XIX e siècle.






D’autres, comme ‘Citronella’, ‘Fruity’ ou ‘Concolor Lace’, sont beaucoup plus récents. Leurs fleurs roses ou mauves sont plus frêles et beaucoup moins spectaculaires que celles des pélargoniums classiques. Selon la variété, leurs parfums puissants évoquent celui de l’eucalyptus, de la menthe, du citron, du clou de girofle, de l’anis, de la pomme, de la rose et de la noix de coco.





<< Ne crois point que l’hiver soit passé sans retour, quand la lune d’avril n’a pas fini son tour. >>
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Notes
À FAIRE CE MOIS-CI

• Semer en massifs les cosmos, les tournesols, les juliennes de Mahon, les scabieuses et les soucis qui fleuriront tout l’automne.
• Planter les pieds de tomates au potager.
• Tailler, selon la chute des fleurs, les arbustes à floraison printanière comme les forsythias, les deutzias, les cognassiers à fleurs, la corète du Japon, etc.


















• Rempoter en jardinières et balconnières les pélargoniums, les surfinias, les verveines retombantes, les sanvitalias, les diascias et autres fleurs d’été. Après le 15 mai, toutes les annuelles à floraison estivale seront mises à l’extérieur.




C’est le moment !

Semez des gauras







La silhouette gracile et diffuse des gauras de semis se couronne de juin aux premières fraîcheurs de l’automne de légères fleurs blanches semblables à des papillons. Sensibles aux mauvaises conditions hivernales, les gauras sont généralement cultivés en annuelles. Épandez les graines sur une terre aérée en profondeur et ameublie en surface. Griffez le sol afin d’incorporer la graine superficiellement, tassez avec le dos du râteau, puis arrosez en pluie. En laissant s’épanouir les fleurs sans les prélever une fois desséchées, vous permettrez à la graine de mûrir et de se ressemer spontanément.
Le saviez-vous ?
Originaires de la côte ouest des États-Unis, les éphémères fleurs en coupe orange vif des eschscholzias sauvages sont devenues, avec le temps, emblème floral officiel de l’État de Californie.
Faisons connaissance… La chrysope
Crépusculaire, elle fréquente les plantes envahies par les pucerons, car elle se délecte du miellat qu’ils produisent. Elle pond aussi sur ces plantes.









À l’éclosion, les larves mangent les pucerons en absorbant leur contenu. Cet insecte est très utile au jardin car chaque larve est capable d’engloutir jusqu’à 50 pucerons par jour.

La lavatère d’Hyères
La lavatère d’Hyères ( Lavatera olbia ‘Rosea’) est une variété semi-persistante de 1,50 m de haut. Une plantation tardive ne l’empêchera pas d’épanouir ses nombreuses fleurs d’un rose profond pendant tout l’été. Taillez-la en fi n de floraison, généralement à la fi n août, afi n de lancer une nouvelle pousse et une remontée de floraison. La lavatère est un arbuste éphémère qui se maintient rarement au jardin plus de 2 ou 3 ans. Pour la voir refleurir tous les ans, bouturez-la en juillet ou en août.
<< Lorsqu’il pleut le trois mai, point de noix au noyer. >>
Fête du Travail
Victoire 1945 Ascension
À FAIRE CE MOIS-CI



















• Déposer un mulch de compost au pied de vos gazanias.
• Supprimer les fleurs fanées des rhododendrons et tailler les branches défleuries du lilas.








• Semer les delphiniums vivaces, les campanules à grosses fleurs, les gypsophiles, les primevères du Japon, les pavots, les digitales et les roses trémières qui fleuriront l’an prochain.
• La plupart des plantes vertes apprécient un séjour estival à l’extérieur.




C’est le moment !
Marcottez votre chèvrefeuille

En fin de floraison, un toilettage de votre chèvrefeuille s’impose afin de provoquer une seconde floraison. Retaillez à la cisaille les ramilles défleuries et profitez-en pour faire s’enraciner un jeune rameau vigoureux. Ouvrez à la serfouette, au pied de votre chèvrefeuille, un court sillon de 30 cm de long environ et 20 cm de profondeur. Ameublissez finement le fond. Sélectionnez un long rameau souple et courbez-le vers le sol. Au besoin, utilisez un cavalier métallique pour maintenir la branche en place. Rebouchez ensuite le trou avec une terre meuble. Posez un tuteur, puis ramenez la pousse terminale à la verticale pour la palisser. Dès l’automne prochain, déterrez votre marcotte racinée et plantez-la à sa place définitive.



Le saviez-vous ?
Utilisé pour stimuler le système nerveux et combattre la fatigue ou pour lutter contre les migraines, le basilic – comme la plupart des plantes condimentaires – possède un long passé thérapeutique. Ses propriétés anti-infectieuses et hypotensives restent tout à fait d’actualité.














Faisons connaissance… L’hirondelle de cheminée Au printemps, les hirondelles venues d’Afrique reviennent dans les jardins où elles retrouvent les nids où elles sont nées. À l’automne, elles se rassemblent en grand nombre sur les fi ls électriques puis repartent vers leur station hivernale. Cet oiseau se nourrit uniquement en happant les insectes en plein vol.




Les cosmos ‘Chocolat’ Cosmos atrosanguinea sont originaires de la région de Mexico. Hauts de 70 cm, ils se reconnaissent aisément en été à la couleur brun pourpré des fleurs et à leur insolite parfum vanillé nuancé de chocolat. Comme ils sont peu rustiques, la grande difficulté est de leur faire passer l’hiver. Cultivez-les en pot ou hivernez les tubercules en cave, enterrés dans de la tourbe à peine humide. Remettez-le en végétation en mars, au chaud, et installez-les au jardin en mai.


<< Si, en juin, il vient grand chaud, tous les blés seront creux et hauts. >>
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Notes
des Pères
RETROUVEZ TOUS LES MOIS
À FAIRE CE MOIS-CI
• Déposer un mulch de compost au pied de vos
• Supprimer les fleurs fanées des rhododendrons et tailler les branches défleuries du lilas.



• Semer les delphiniums vivaces, les campanules à grosses fleurs, les gypsophiles, les primevères du Japon, les pavots, les digitales et les roses trémières qui fleuriront l’an prochain.
• La plupart des plantes vertes apprécient un séjour

















C’est le moment !
Marcottez votre chèvrefeuille
En fin de floraison, un toilettage de votre chèvrefeuille s’impose afin de provoquer une seconde floraison. Retaillez à la cisaille les ramilles défleuries et profitez-en pour faire s’enraciner un jeune rameau vigoureux. Ouvrez à la serfouette, au pied de votre chèvrefeuille, un court sillon de 30 cm de long environ et 20 cm de profondeur. Ameublissez finement le fond. Sélectionnez un long rameau souple et courbez-le vers le sol. Au besoin, utilisez un cavalier métallique pour maintenir la branche en place. Rebouchez ensuite le trou avec une terre meuble. Posez un tuteur, puis ramenez la pousse terminale à la verticale pour la palisser. Dès l’automne prochain, déterrez votre marcotte racinée et plantez-la à sa place définitive.

Le saviez-vous ?
Utilisé pour stimuler le système nerveux et combattre la fatigue ou pour lutter contre les migraines, le basilic – comme la plupart des plantes condimentaires – possède un long passé thérapeutique. Ses propriétés anti-infectieuses et hypotensives restent tout à fait d’actualité.
Faisons connaissance… L’hirondelle de cheminée

Au printemps, les hirondelles venues d’Afrique reviennent dans les jardins où elles retrouvent les nids où elles sont nées. À l’automne, elles se rassemblent en grand nombre sur les fils électriques puis repartent vers leur station hivernale. Cet oiseau se nourrit uniquement en happant les insectes en plein vol.
<< Si, en juin, il vient grand chaud, tous les blés seront creux et hauts.
aisément en été à la couleur brun pourpré des fleurs et à leur insolite parfum vanillé nuancé de chocolat. Comme ils sont peu rustiques, la grande difficulté est de leur faire passer l’hiver. Cultivez-les en pot ou hivernez les tubercules en cave, enterrés dans de la tourbe à peine humide. Remettez-le en végétation en mars, au chaud, et installez-les au jardin en mai.









Juin
Textes : Robert Elger


Crédits iconographiques :














Couverture : Shutterstock.








































































Intérieur : iStock et Shutterstock, sauf B&G Médias/Rustica mars (hg), avril (g), juin (g) ; Franck Boucourt/Rustica septembre (g) ; Éric Brenckle/Rustica : janvier (hd), février (hd)
Frédéric Marre/Rustica : février (hg, bd), mars (bd), mai (g), juin (bd), août (g), novembre (g) ; Virginie Quéant/Rustica décembre (g).
Direction Guillaume Pô
Direction éditoriale : Élisabeth Pegeon
Édition Liza Person-Lisiecki
Direction artistique : Julie Mathieu
Couverture : Mathilde Corbel
Mise en pages : Véronique Sommeilly
Direction de fabrication : Thierry Dubus
Suivi de fabrication : Julia Mirenda
© 2023 Éditions Rustica, Paris
Dépôt légal : août 2023
1re édition N° d’édition 23L0310
ISBN : 978-2-8153-2069-6
Code MDS : RU20696






Achevé d’imprimer en juillet 2023 en Slovénie par GPS sur du papier certi é FSC ® (issu de forêts gérées de façon responsable) et avec des encres végétales.

• Les gestes et plantes de saison à ne pas manquer.
• Des astuces et conseils précieux à adopter au jardin et dans la maison toute l’année.
• Une présentation d’un animal sauvage fréquent dans les jardins.