Tout réparer MAISON
DANS LA Économique, écologique, on a tous à y gagner !





artificielles, pourrions-nous un jour être taxés de maltraitance ? En tout cas, croyezen mon expérience, pour avoir commencé tôt — même trop tôt pour mes parents pour lesquels les appareils domestiques des années 1970 n’avaient ni le temps de vieillir ni de tomber en panne — accordez à vos mains ce qu’elles méritent pour le plaisir et la maîtrise de cette activité qui vous le rendra. Alors, amusez-vous bien…
Vous trouverez dans cet ouvrage quelques principes et règles, notamment des informations clés sur les bonnes pratiques et précautions d’usage à prendre, lorsque l’on entreprend de réparer un appareil électrique.
Le Net est un outil très utile, il permet d’accéder à de nombreuses explications, tutos, recherches de références, commandes de pièces détachées. Tapez un mot-clef et c’est parti !
L’entretien d’un appareil reste primordial et plus encore pour les appareils dotés de réchauffeurs d’eau
Mais ne brûlons pas les étapes, essayons d’abord de déterminer votre profil…
Vous êtes débutant
Cessez de vous interdire, gardez la tête froide, raisonnez, commencez à agir, et le reste viendra…
Ce livre a pour vocation de vous amener à une approche graduée des problèmes posés en s’adressant aux grands débutants qui ont pour atout leur volonté et pour inconvénient leur ignorance. La première des missions, vous en conviendrez, est de comprendre comment fonctionne l’appareil, l’entretenir quand cela est nécessaire ou en suivant les indications du constructeur. Pour ce qui concerne les imprévus, nous comprenons bien que le premier écueil du débutant sera d’être pris au dépourvu par « la défaillance ». La parade consiste alors pour ceux qui veulent
faire un premier pas vers l’autonomie, à « respirer… », se poser les bonnes questions, vérifier visuellement le bon ordre des choses, consulter la notice constructeur rubrique « défaillances », apprendre sereinement à distinguer une panne « source de la défaillance » et la conséquence de cette panne « le dysfonctionnement constaté » ; faire quelques tests basiques et tirer des premières conclusions.
Pendant que l’on est dans cette démarche, on ne subit pas ; on agit, on expérimente.
Cette première étape ne nécessite pas d’ouvrir la machine, celle-ci exclut tout risque d’exposition électrique, appréhension numéro un du débutant qui voudrait se lancer. En effectuant ces premières constatations dans un ordre plutôt méthodique, le gros du travail se fait, ce qui reste déterminant pour la suite.
Vous êtes curieux
L’apprenti bricoleur qui ne se prend pas au sérieux.
La suite s’adresse aux curieux, aux attentifs à presque tout. Plutôt opportuniste, le curieux veut savoir, veut connaître et a déjà quelques petites expériences dispersées à son actif. Une opportunité par-ci, une question par-là ; l’air de rien, il se promène incognito au pays du bricolage. Et si on lui demandait comment il en est arrivé là, il vous dirait que lui-même ne sait pas. Il ne cherchera pas à aller plus loin, il agit juste pour son besoin. Sous l’apparence d’un bricoleur qui s’ignore, le curieux ne sait pas mais ne tarde pas à savoir. Il fait
occasionnellement des choses sans en faire des caisses… et ne se sent pas obligé de réussir pour apprendre, et c’est pour ça qu’il casse, rate, se trompe, recommence, réussit, ou réussira mieux la prochaine fois. Avec peu de contenance pour son désir d’agir, il se rapprochera facilement de l’autre. Il inspecte, étudie, cherche… voire papillonne, il pourra se perdre et ne reviendra qu’avec la curiosité rassasiée.
À ce stade, et sans être à l’affût d’un quelconque motif pour y mettre son grain de sel, le curieux se rapproche de la vérité, et pourrait même y croiser le chemin du débrouillard…
Vous êtes débrouillard
La ruse au service du résultat.
Plus qu’une posture, c’est un état d’esprit. À ce stade, la débrouille habite l’individu. Il a cette intuition pour franchir « la » difficulté et aboutir à « la » solution. Il s’approprie la situation telle qu’elle se présente, et s’en arrange pour mieux s’en saisir. Cet astucieux crée ses propres raccourcis pour en venir à bout. En effet, la première règle du débrouillard serait qu’il n’y en a pas. Hormis sa sécurité, quand il intervient. Le reste n’est qu’idées, intuition et pratique.
Il a de la réussite en contrepartie de quelques échecs et accepte donc de perdre pour mieux gagner. Entre-temps, il en aura plus appris…
Aurait-il ce talent de cultiver ce cercle vertueux ? Cet état peut être inné, mais c’est aussi une qualité qui se travaille.
Changer nos habitudes
Bon nombre d’appareils passent entre nos mains parce qu’ils ne marchent plus, ont le profil d’appareils mal utilisés ou non entretenus, et je ne parle pas d’obsolescence. L’entretien d’un appareil reste primordial et plus encore pour les appareils dotés de réchauffeurs d’eau, ou autres petites usines à gaz bourrées de technologie truffées de capteurs analysant la moindre anomalie pour s’immobiliser et vous coller un code « défaut ». Qui n’a pas connu cette sensation de se retrouver un jour dans cette position de novice avec comme bagage la certitude d’un grand vide de connaissances ? Se retrouver seul face à un appareil défaillant, bloqué et pris au dépourvu. Face à une telle déconvenue, la solution la plus simple, hors garantie de l’appareil bien sûr, est de s’en séparer, acte réflexe chez un grand nombre de désemparés. Se payant ainsi le tiercé gagnant : du moins de stress (on ne se pose pas la question de…), du moins consommateur de temps (par une acquisition immédiate du neuf), du prix attractif et ses facilités de paiement.
Le débutant peut à son niveau intervenir sur son appareil par différents biais.
Ce qu’il faut comprendre
La bonne utilisation d’appareils domestiques reste primordiale, le premier conseil étant de respecter les entretiens, remplacements ou nettoyages de consommables prescrits par le constructeur. Si nous voulons enrayer cette dynamique
consumériste pour laquelle nous avons été largement complices. « Rien ne sert de gueuler, il faut réparer à point. » Nous avons aussi au nom du progrès participé à la suppression de commerces SAV indépendants et de fait, à l’asphyxie de formations en relation directe avec ces services. Nous pensions nous en tirer à bon compte et avons aujourd’hui l’air malin avec des machines qui nous causent (peut-être !) mais qui ne se réparent pas toutes seules. La nature ayant horreur du vide, les repair cafés ne sont ni plus ni moins que la résurgence d’un besoin qui, j’espère, suscitera des vocations, voire remettra certaines pratiques collectives ou individuelles au goût du jour, ce qui est l’objet de ce livre.
Vous le verrez au travers des cas décrits, entretenir un appareil lui permet de fonctionner dans des conditions proches de celles du neuf. C’est la base du dimensionnement de leurs composants, à condition que le fabricant joue le jeu ! C’est après tout ce pourquoi la machine a été conçue et pour les services qu’elle doit rendre. Fonctionner dans des conditions optimales et notamment des plages de températures raisonnables évite une usure des composants et des casses plastiques. L’énergie a ses propres lois ; toute surchauffe, bruit, forçages mécaniques ou mauvais contacts électriques entraînent de l’usure et de la surconsommation. Passez le temps raisonnable à l’entretien de vos appareils ; vous y gagnerez. « Le temps c’est de l’argent. »
Alors ne perdez plus de temps, suivez le guide…
LE MATÉRIEL DE BASE
Vous avez décidé de vous lancer dans la réparation de vos différents objets ou appareils électriques, vous avez envie de faire par vous-même des petits travaux. Pour cela, il est nécessaire d’avoir quelques outils de base.
Où se les procurer ?
Le Café des Bricoleurs vous conseille de vous les procurer au fur et à mesure de vos besoins et de choisir de bons outils. Vous pourrez ensuite compléter votre liste en fonction de vos domaines d’intervention : plomberie, électricité, bois, métaux, peinture…
Vous pouvez soit les acheter dans les magasins spécialisés en bricolage soit dans une « ressourcerie » ou un dépôt-vente. On peut trouver de très bons outils d’occasion.
Pour les outils onéreux ou que vous êtes certain de ne pas utiliser souvent, nous vous conseillons de les louer.
POUR VOUS PROTÉGER
Gants souples
Une paire de lunettes protectrices
Masques (travaux dans un environnement poussiéreux)
Un bon escabeau (travaux en hauteur)
Avant de commencer vos travaux, assurez-vous d’être dans de bonnes conditions de sécurité pour vous et ceux qui sont avec vous.

« Les bons outils font les bons ouvriers. »
Où les ranger ?
Pour ne pas les égarer, vous pouvez stocker vos outils dans une boîte à compartiments pour les retrouver plus facilement. Elle doit être légère, facilement transportable pour l’emmener sur votre chantier. À compléter avec une mallette pour ranger toute votre quincaillerie (vis, clous, boulons, écrous, rondelles…) et autres matériels (ruban adhésif, colle…).

Boîte à outils
Mallette de rangement pour quincaillerie

– Marteau
Les indispensables pour les débutants
– Pinces universelle, multiprise, coupante – Jeu de tournevis plats, jeu de tournevis cruciformes (vous

pouvez également acquérir des boîtes contenant divers
embouts magnétiques pour choisir celui dont vous avez besoin au moment de faire votre travail)
– Clé à molette
– Cutter
– Une paire de ciseaux
– Un niveau à bulle
– Un mètre
– Une règle équerre métallique

Les outils électriques pour tous
– Visseuse-dévisseuse sans fil avec différents modèles d’embouts
– Perceuse électrique (si vous devez faire des trous dans le béton, optez pour une perceuse à percussion)
– Forets acier, à bois et à béton


Les outils en plus pour les débrouillards

– Un jeu de clés Torx (pour appareils électriques)
– Un jeu de clés Allen (pour montage de meubles)
– Une petite vrille
– Une lime plate et une lime ronde à métaux
– Un jeu de clés plates
– Un petit étau
– Une scie multi-matériaux
– Une petite brosse en acier
– Une agrafeuse
– Un fer à souder
– Un multimètre

LE DÉMONTAGE ET SES SURPRISES
Vous voulez vous lancer. Mais par où commencer ? De ce que nous entendons lors de nos séances de Café des Bricoleurs, les outils et « les » connaissances tiennent le hit-parade des motifs qui feraient que l’on ne commence par rien. Et pourtant, les volontés de faire sont bien présentes… Mais que faire pour être le moins surpris possible ?
Vous essayez d’accéder à des composants qui vous sont cachés, que vous n’avez pas encore identifiés, et que vous n’avez peut-être jamais vus. Le tout étant rendu invisible, sous un carcan de plastique ou quelque autre matériau, quand parfois l’objet est aussi lisse qu’un œuf. Et c’est bien là que tout commence. Comment démonter sans casser ?
Le lieu
La première chose est de se trouver un endroit. En dehors du fait de se lancer à la conquête des grands secrets que renferment les problèmes du gros électroménager, vous pouvez démarrer sur une table avec un appareil à la hauteur de vos ambitions. Tout en sachant que ce que vous entreprenez peut être interrompu à n’importe quel moment et pour n’importe quel motif, le premier étant la simple envie d’arrêter pour passer à autre chose. Préparez donc une boîte qui pourra héberger l’ouvrage, car rien ne se fait en 5 minutes. Prenez votre temps. Chaque étape du démontage a son importance. Prenez au-

tant de photos que nécessaire, dans des phases de découverte et d’apprentissage, ne déléguez pas tout à votre mémoire. Ces « vues » que vous aurez prises vous remettront sur le chemin de la certitude.
Les outils
On peut démarrer avec une panoplie complète, tel le golfeur avec tout l’attirail, mais qui débute. Et comme le dit si bien l’adage « l’habit ne fait pas le moine ». Donc être suréquipé n’est pas déterminant. Votre mémoire sera plus marquée par ce qui vous manquera et peut-être trouverez-vous une ruse ou un bon voisin, avec qui vous pourrez partager le problème pour mieux le contourner. Les outils restent le prolongement de nos mains. Si vous entreprenez de vous équiper, commencez avec des outils



conventionnels, puis lancez-vous, au fur et à mesure de vos avancées, vous serez confronté à des empreintes de vis qui pour vous n’auront pas de nom. Certaines têtes de vis ressemblent à des étoiles, d’autres à des triangles… Plus vous serez amené à démonter des objets, plus vous vous équiperez en conséquence, à la hauteur de vos besoins et de votre budget. Ceci pourra vous amener à passer la porte du magasin de bricolage du coin pour demander à un vendeur un embout de tournevis « bizarre » pendant qu’il vous regardera d’un air bizarre. Puis vous repartirez avec un outil (et son petit nom) qui vous permettra d’aller un peu plus loin.
Les vis, quel vice… ?
On se retrouve souvent, dès le départ, au pied du mur quand l’objet n’a rien à dire quant à la position des vis. Bien qu’on l’observe et qu’on prenne le temps, il ne livre aucune information quant au fait de se laisser ouvrir. C’est tout simplement parce que les vis sont bien cachées. Partant de ce postulat et du fait que les objets sont 80 à 90 % assemblés par des vis, il ne reste plus qu’à redoubler d’observation pour détecter les étiquettes, les cabochons ou pastilles et le tour est joué. Pour le reste, ils sont soit clipés, dans le pire des cas collés ou moulés.

Pour finir
Démonter est riche d’enseignements. Démonter, c’est décoder… Il faut imaginer, interpréter ce qui n’est pas visible, deviner, manipuler, lancer des hypothèses, respecter un certain ordre et se plier aux exigences de ce qui est dans nos mains.
Cette activité fait appel à une pleine et entière mobilisation de l’esprit. Pour ceux qui débutent, le cerveau se met à travailler d’une façon inhabituelle, il chauffe, c’est normal, il apprend, tout simplement.
LA SÉCURITÉ POUR SOI ET LES AUTRES
Afin que cedit loisir ne se transforme pas en cauchemar ou se termine aux urgences, il est important de faire un petit rappel concernant de comportements de base à respecter.
Pour débuter, je vous conseille de vous faire la main sur tous les appareils à piles ou ceux raccordés par une alimentation inférieure à 12 V, à l’exclusion des batteries de véhicules. Il y en a pléthore ; une vie ne suffirait pas pour explorer toutes les problématiques que peuvent générer ces appareils. Pour cette catégorie, vous pouvez y aller seul. Pour le reste, vous débutez, faites-vous assister par une personne ayant déjà une expérience dans le domaine et qui pourra vous guider à chaque étape.
L’électricité : si l’appareil se branche sur le secteur, toujours se renseigner préalablement sur l’appareil que l’on va démonter, ça ne mange pas de pain. Ne jamais ouvrir ou démonter un appareil pendant qu’il est branché sur le secteur. Un appareil débranché est ce qu’il y a de plus sûr. Méfiezvous des appareils générant de la haute tension type micro-ondes ou vieux téléviseurs à tubes cathodiques et quelques autres d’usage moins courant mais circulant encore pour lesquels il faudra prendre des précautions pour sa propre sécurité, celle des tiers et de l’appareil.


Se méfier aussi des appareils à chaudières type fers à repasser ou cafetières qui, pris par le calcaire, génèrent des fuites après remontage. Se renseigner avant de commencer quoi que ce soit.
Ne jamais laisser un appareil ouvert branché, un tiers non averti pourrait y mettre le doigt et risquer l’accident. Pour essayer votre appareil après remontage, toujours vous brancher sur une prise de courant équipée d’un dispositif 30 mA (interrupteur différentiel ou disjoncteur différentiel, voir p. 17).
Les gros des appareils électroménagers type lave-linge sont tout aussi dangereux, car ils engagent des puissances et vitesses importantes. Attention donc à vos mains pour ce qui concerne moteurs et courroies d’entraînement.
Ne jamais retirer un composant sans en connaître le rôle, à plus forte raison si l’appareil semble encore fonctionner après avoir retiré ledit composant. Les appareils sont souvent équipés de sécurités contre les surchauffes, protections en courant ou des contacts de capot protecteurs pour ce qui concerne les appareils coupants. Se passer de ces composants revient à prendre des risques.
LES PRÉCAUTIONS DE SÉCURITÉ AVEC L’ÉLECTRICITÉ
Pour ne plus avoir peur des 220 volts dans votre logement… Un disjoncteur qui saute, un grand bruit, tout s’éteint. Pas de panique, un peu d’organisation, quelques connaissances sur votre installation électrique et tout devient facile.
À SAVOIR
La réglementation en vigueur pour les installations électriques des locaux d’habitation est la norme NF C 15-100. Destinée à assurer la sécurité et le bon fonctionnement des installations électriques, elle concerne les installations neuves des bâtiments dont les permis de construire ont été déposés à partir du 27 novembre 2015.
Lors de rénovation ou si vous faites faire des travaux sur votre installation électrique, vous devez respecter cette réglementation.

PETITE EXPLICATION SIMPLE SUR L’ÉLECTRICITÉ DANS
VOTRE LOGEMENT
En France, le courant fourni pour votre appartement ou votre maison est un courant alternatif monophasé (Ampère) de fréquence 50 Hertz-Hz (le courant change de sens 50 fois par seconde).
Ce courant monophasé est distribué par 2 fils conducteurs, la phase et le neutre sous une tension de 220 à 230 Volts jusqu’à votre tableau électrique.
La consommation d’énergie s’exprime en Kilowattheures (Kwh) pour les usages domestiques. Elle s’obtient en multipliant la puissance de l’appareil (affichée sur votre appareil) par la durée d’utilisation en heure.
Exemple : une plaque de cuisson de 2 000 W (ou 2 Kw). Si elle est allumée pendant 1 heure, la consommation sera de 2 000 Wh ou 2 Kwh.
Acheminement du 220 V du fournisseur vers votre tableau électrique (ancien modèle de compteur)
Réseau électrique
Neutre Phase

COMPTEUR
DU FOURNISSEUR D’ÉLECTRICITÉ
Fil rouge : phase
Fil bleu : neutre
Fil jaune-vert : terre
DISJONCTEUR D’ABONNÉ MONOPHASÉ

TABLEAU ÉLECTRIQUE

Terre
Circuits électriques du logement


POUR VOTRE SÉCURITÉ
Lors d’intervention sur une prise électrique : couper le disjoncteur général.
Ne jamais utiliser un appareil électrique, même un téléphone, les mains mouillées ou les pieds dans l’eau. L’eau est conductrice.
Débrancher toujours vos appareils électriques pour les nettoyer.
Éviter les rallonges électriques.
Éviter les empilages de prises électriques : risque de mauvais contact et d’incendie.
Remplacer toujours un fusible fondu par un fusible de même diamètre et de même ampérage.
−
Ne plus utiliser de douilles métalliques pour votre support ampoule.
N’utiliser que des ampoules à LED (moins de risque de brûlure et plus économiques).
Préférer les prises ou rallonges électriques avec protections enfants.
Tout réparer MAISON DANS LA
Économique, écologique, on a tous à y gagner !
LE CAFÉ DES BRICOLEURS
Chaque année, en France, ce sont plus de 20 kg de déchets électriques par personne qui finissent à la poubelle. Pourtant, certains de ces appareils auraient pu être réparés… En partant de leur expérience au Café des Bricoleurs, les auteurs de cet ouvrage vous expliquent comment entretenir et réparer vos objets du quotidien :



- 30 fiches classées par pièce de la maison ;
- 3 niveaux de difficulté, du débutant au débrouillard ;
- les mesures de sécurité avec le matériel électrique.
ALORS PAS DE PANIQUE
SI LE GRILLE-PAIN NE SAUTE PLUS, SI LA CHASSE D’EAU COULE À GRANDES
EAUX ET SI L’ASPIRATEUR N’ASPIRE
PLUS... À VOS CLÉS ET TOURNEVIS !




MDS : RU19416 / 14,95 € TTC
