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Les entités non humaines
humaine est une partie du Divin (sans connotation religieuse) qui, à partir de sa création, doit s’élever sur différents plans de conscience (toujours des fréquences).
Pour ce faire, cette âme vit, au fil de ses incarnations, de multiples expériences dans la matière qui, lorsqu’elles sont réussies du point de vue de la compréhension de l’âme, lui permettent de gravir un échelon dans la conscience.
Mais même si cette âme est une partie du Divin, elle est par définition (et concrètement) aussi incarnée dans un corps physique le temps de son passage sur terre. Elle est alors séparée de son « savoir » divin pour habiter pleinement cet humain soumis à l’ego et aux émotions.
Si le sujet vous intéresse, nous vous recommandons chaudement les enseignements de Sri Aurobindo et de la Mère (voir ci-contre).
LES ENTITÉS NON HUMAINES
Une entité non humaine, dans notre formulation, est une charge énergétique qui n’a jamais été humaine en tant que telle. Dans certains ouvrages ou sur Internet, les âmes humaines (donc un pléonasme) peuvent être nommées « entités ». Rien n’est vraiment faux, c’est une question de définition.
Donc, lorsque nous parlons d’entités non humaines (encore un pléonasme pour nous), il s’agit bien de charges énergétiques d’origine émotionnelle le plus souvent mais jamais incarnées dans un corps physique.
SRI AUROBINDO ET LA MÈRE Sri Aurobindo naît en 1872 à Calcutta. Après une carrière politique axée sur l’indépendance de l’Inde, il se consacre entièrement, à partir de 1910, à une vie spirituelle. Dès lors, à Pondichéry, il crée le yoga intégral. Le but est de libérer la conscience de l’homme et ainsi de transformer sa nature par une réalisation spirituelle. La Mère, de son vrai nom Mirra Alfassa, naît à Paris le 21 février 1878. Elle s’applique dès son enfance une discipline intérieure et vit différentes expériences spirituelles. À partir de 1920, elle travaille avec Sri Aurobindo au développement du yoga intégral. Elle est à l’origine de la ville expérimentale d’Auroville, en Inde. Ils ont travaillé toute leur vie pour que soit manifesté un monde de conscience bien au-delà de l’esprit, appelé « supramental ». La Mère laisse de nombreux enseignements regroupés par un de leurs disciples français, Satprem, dans les treize tomes de L’Agenda de Mère.
Ainsi, la mémoire des murs est composée de l’impact des émotions liées aux événements passés mais aussi de celui des présences d’âmes et d’entités. Ces deux types de présences étant vibratoirement basses, elles se trouvent être dans le « plan astral », et elles aussi sont soumises aux émotions. Nous pouvons donc rencontrer des âmes toujours en colère, d’autres d’où émane une tristesse infinie, d’autres rongées par la culpabilité, etc. Et des entités aussi de colère, de