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Mon pre

er comme l r o v e d a n a m o r s o m ie r g r

Une vie de rmie stva elle a Une nou

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Titre original : « Mon big à moi » : Lolita Star # 1 Ma nouvelle amie © Andara éditeur, Blainville, Québec, Canada

Dans la même collection : Série Lolly Pop : Les secrets de Lolly Pop (Tome 1)

Lolly Pop et les bonbons magiques (Tome 2) Série Jeux vidéo : Les aventuriers des jeux vidéo (Tome 1) Destination Jeux vidéo (Tome 2) Série Scarlett 007 : Une mission ultrasecrète (Tome 1)

Direction : Guillaume Arnaud, Guillaume Pô Direction éditoriale : Sarah Malherbe Édition : Anna Guével, assistée de Timothée de Marliave Direction artistique : Élisabeth Hébert Mise en pages : Les Paoïstes Direction de la fabrication : Thierry Dubus Fabrication : Florence Bellot © Fleurus, Paris, 2017, pour l’ensemble de l’ouvrage.

ISBN : 978-2-2151-3349-0 MDS : 652646 Tous droits réservés pour tous pays. « Loi n°49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse. »

N° d’édition : J17188 Achevé d’imprimer en juin 2017 par Lego S.p.A., en Italie Dépôt légal : août 2017

J

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a d D is o n� te x te s d e m a r il o u c e tu r q u o is ’ li a d s n o ti a tr s lu Il

Une vie de rmie stva elle a Une nou

fleurus

*

Les mots les plus difficiles sont suivis d’une Êtoile ( ).

Reporte-toi au lexique p. 416 pour tout comprendre.

Bonne lecture !

e r t i p a h C

1

L ’ a r r i v ée ro c a m b ole sq ue d e s nou v eaux v o i s ins

C

omme tous les matins, Rosalie Sans-le-sou soupire en observant le magnifique champ de fleurs qui borde sa maison. C’est le seul moment où elle se sent en paix. Tranquille.

Où personne ne vient l’embêter. Contrairement au reste de la journée… où ses camarades de classe s’amusent à lui faire des commentaires méchants 7

dès qu’elle met les pieds à l’école. « Heureusement que cet endroit existe », se dit la fillette de huit ans en prenant une grande inspiration. Un parfum floral envahit ses narines et la fait sourire aussitôt.

Puis, c’est déjà la routine* du matin qui s’installe.

Vite, elle doit se choisir une tenue pour la journée.

Pas trop éclatante (pas question d’attirer davantage l’attention), mais pas trop terne* non plus (la bande des filles de sa classe trouve n’importe quel prétexte pour se moquer d’elle).

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Un pull vert pomme et un pantalon noir feront l’affaire. Si Rosalie se sentait mieux dans sa peau, peut-être enfileraitelle la jolie jupe rose (sa couleur préférée) couverte de marguerites que lui a offerte sa marraine pour Noël.

Mais c’est loin d’être le cas. Rosalie ne demande qu’à passer inaperçue.

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Pourtant, elle aurait tant à offrir à une meilleure amie. Elle a un très bon sens de l’humour, s’amuse d’un rien, est gentille avec un peu tout le monde et n’est pas susceptible du tout ! Mais ça, personne ne semble s’en rendre compte.

Non… La seule chose qu’on remarque, quand on regarde Rosalie, c’est ce défaut. Qui la défigure et la fait paraître idiote.

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Ces horribles lunettes !!!

Si Rosalie n’était pas myope*, aussi !

Elle pourrait dévoiler ses jolis yeux verts. À la place, elle doit les cacher derrière des verres aussi gros que des soucoupes.

Car en plus, comme ses parents n’ont pas beaucoup d’argent, ils ont choisi pour elle les plus affreuses lunettes du monde !

Ces trucs immondes dont la couleur jaunâtre lui donne un teint hideux.

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Et la font paraĂŽtre malade.

Rosalie déteste ses lunettes presque autant qu’elle déteste être pauvre. Mais elle n’a pas le choix. Elle doit accepter son sort. Pour le moment, du moins. En attendant, le seul point positif dans sa vie est le fait que sa maison est située tout au bout de la rue. Construite loin des autres, à l’extrémité du quartier pauvre de la ville, 15

elle est si vieille qu’elle semble prête à s’effondrer.

Et derrière la maison, un champ n’appartenant à personne lui permet tous les matins d’admirer les fleurs qui y poussent.

Non, Rosalie n’est pas tout à fait à plaindre.

En revanche, ce qu’elle ignore, c’est que son destin est sur le point de basculer… Car, alors qu’elle s’habille et file dans la cuisine pour y avaler en vitesse son maigre déjeuner, elle n’entend pas le bruit des hélicoptères, loin dans le ciel.

! c a t c Tacta 17

La voilà déjà qui pousse la porte de sa maison et qui court dans la rue, en direction de son école.

Dommage, Rosalie… tu es en train de rater l’arrivée rocambolesque* de tes nouveaux voisins !

Pourtant, ceux-ci ne sont pas du genre discret, au contraire. Si tu tournais la tête, tu verrais quatre appareils qui volent 18

dans le ciel en soutenant, grâce à de larges câbles, un énorme, un gigantesque, un éléphantesque*, bref, un vraiment GRAND… MANOIR* !

Oui, oui, rien de moins !

Un bâtiment si grand qu’il manque, de quelques mètres seulement, d’arracher arbres et poteaux électriques. Mais les hélicos en prennent à peine conscience, occupés à se rendre à bon port.

C’est que le manoir doit être installé dans le quartier le plus riche de la ville à midi pile. Heure à laquelle les nouveaux 20

propriétaires arriveront chez eux.

Les pilotes accélèrent donc la cadence, de peur de ne jamais y parvenir à temps ! Car, en plus de devoir déposer le manoir à l’emplacement prévu, il faut qu’ils s’assurent que celui-ci n’est pas penché 21

(personne ne voudrait d’une maison inclinée !), qu’ils n’ont pas perdu quelques briques en chemin et que les meubles sont bien en place, malgré les secousses.

En apercevant le champ fleuri près de la maison de Rosalie, l’un des pilotes sent que son nez commence à le chatouiller. C’est que l’homme est allergique* 22

aux ventilateurs, aux antidouleurs*, aux best-sellers* mais aussi, et surtout, aux fleurs !

Il se pince les narines d’une main, pour éviter d’éternuer, mais cela l’oblige à lâcher les commandes de son appareil… pour son plus grand malheur !

L’hélicoptère commence à se balancer d’un bord, 23

puis de l’autre, tandis que le pilote cherche un mouchoir un peu partout dans sa cabine. Rien à faire, il n’en trouve nulle part ! Il se résout donc à éternuer tout son soûl*, provoquant un fort tremblement dans l’appareil. Le câble retenant le bâtiment vibre à son tour et… Oh non !

Le voilà qui se décroche du manoir !

24

Celui-ci n’est plus retenu que par trois câbles, qui peinent à la tâche. Le manoir, penché d’un côté, arrache une partie du champ de fleurs de Rosalie.

Celles-ci volent en tous sens, accompagnées de mottes d’herbe et de vers de terre. Ça sent bon les roses et les lilas, mais cela n’aide en rien le pilote allergique, qui continue

sa crise d’éternuements, en filant droit vers la maison de Rosalie… À la dernière minute, après un centième « atchoum », il rouvre les yeux et rajuste son vol, remontant ainsi dans le ciel, à quelques centimètres seulement du toit de la bâtisse.

Ouf… Rosalie n’est pas passée loin de ne plus avoir quoi que ce soit pour 26

se protéger de la pluie à son retour de l’école !

Derrière le pilote enrhumé, les trois hélicos restants sont encore en mauvaise posture. Les pilotes, qui parlent entre eux à coups d’émetteurs radio, comprennent bien qu’ils ne se rendront jamais ainsi jusqu’au nouveau terrain où le manoir doit être déposé.

27

Et si…? se demandentils avec hésitation. Et si ce champ de fleurs servait de piste d’atterrissage ?

Après tout, il pourrait très bien faire l’affaire, se convainquent les hommes, désespérés. Prenant la seule décision qui leur paraît censée à ce moment 28

précis, ils défont donc les câblages et laissent retomber le bâtiment.

Advienne que pourra. Ici ou là-bas, c’est du pareil au même, non ?

C’est ainsi que le manoir échoue juste à côté de la maison de Rosalie. Permettant à deux fillettes, que tout séparerait en temps normal, de faire plus 29

ample connaissance.

Et peut-être même de devenir les meilleures amies du monde !

Alors que les quatre hélicoptères s’éloignent du champ fleuri, leurs pilotes se demandent 30

bien comment ils annonceront la nouvelle de l’atterrissage du manoir* (au mauvais endroit) à ses propriétaires…

31

La suite des aventures de

Lola STAR dans le

tome 2

LEXIQUE

p. 9 : la routine : habitude que l’on a de répéter certaines actions tous les jours, sans même y penser. p. 9 : terne : sans éclat, avec peu de couleur. p. 12, p. 354 : myope : qui est atteint de myopie, qui voit floues les choses éloignées. p. 18 : rocambolesque : qui donne lieu à des péripéties extraordinaires. p. 19, p. 62 : éléphantesque : énorme. p. 19, p. 31, p. 50, p. 62, p. 64, p.165, p. 246, p. 330 : un manoir : grande habitation de style ancien. p. 23, p. 25, p. 291 : allergique : qui a des allergies, des réactions anormales du corps au contact de certains éléments (aliments, particules). p. 23 : un antidouleur : médicament qui atténue la douleur. p. 23 : un best-seller : livre qui a été dans les meilleures ventes. p. 24 : tout son soûl : autant qu’il veut. p. 36 : être résigné : avoir accepté avec regret de faire quelque chose que l’on ne voulait pas. p. 40 : faire la sourde oreille : refuser d’entendre quelque chose. p. 41 : ondoyant : qui bouge comme des ondes, comme des vagues. p. 54, p. 58 : une vedette : célébrité. p. 59, p. 412 : Hollywood : ville américaine célèbre où se concentrent les studios de cinéma et où sont produits de nombreux films. p. 60, p. 201 : un tournage : étape de la création d’un film où les acteurs jouent et sont filmés. p. 63, p. 149, p. 304 : un concierge : personne dont le travail est de garder l’entrée d’une habitation ou d’un immeuble. p. 63, p. 149, p. 334 : un majordome : chef des domestiques d’une maison. p. 63, p. 191 : interloqué : que la surprise empêche de parler. p. 67 : le mobilier : ensemble des meubles. p. 67 : un lustre : appareil équipé de nombreuses lampes que l’on suspend au plafond pour éclairer une pièce. p. 70, p. 104, p. 172, p. 262, p. 350, p. 381 : marmonner : murmurer entre ses dents. p. 87 : avoir le ventre qui gargouille : entendre le bruit que fait un liquide dans nos intestins ou dans notre estomac. Peut-être le signe d’une grosse faim. p. 88 : une paye : argent reçu régulièrement en échange d’un travail. p. 89 : une collation : repas léger. p. 96, p. 196 : mauve : couleur entre le violet et le rose. p. 96 : rehaussé : amélioré, mis en valeur par quelque chose. p. 98, p. 101, p. 126 : un anchois : espèce de poisson. p. 98 : un muffin : pain au lait d’une forme particulière et d’origine anglaise. p. 100 : un comptoir : table surélevée, qui sert à préparer les plats dans la cuisine. p. 109 : un dédale : parcours compliqué avec des chemins différents où il est facile de se perdre. p. 110 : un lit à baldaquin : lit avec des colonnes, un toit de tissu et des rideaux. C’était un signe de richesse dans le passé. p. 111 : des chaussures à plateforme : chaussures avec des semelles épaisses. p. 114 : cheveux hirsutes : chevelure abondante. p. 117 : balayer une question d’une main : éviter de consacrer du temps à y réfléchir et passer à autre chose. p. 117 : un abonnement téléphonique : procédé qui consiste à payer de manière régulière un opérateur en échange d’un forfait, ce qui permet de passer des appels avec son téléphone et d’envoyer des messages. p. 133, p. 169 : abasourdi : dont la surprise donne la sensation d’être assommé. p. 141, p. 150 : une tourelle : petite tour. p. 162 : une gérante de magasin : personne qui est en charge des affaires quotidiennes du magasin. p. 166 : LoL : initiales de trois mots anglais qui expriment l’envie de rire. p. 167 : une abréviation : un ou plusieurs mots raccourcis. Par exemple, « LoL » est l’abréviation de « Lola ». p. 170, p. 181, p. 230 : une limousine : voiture de luxe très longue. p. 174 : des verres teintés : verres obscurcis qui dissimulent les yeux. Ils sont utilisés par les célébrités pour éviter d’être reconnus.

p. 182 : un regard nerveux : regard rapide qui trahit une certaine excitation. p. 187 : un geek : passionné d’un domaine particulier ou d’une activité.

On utilise souvent ce mot pour désigner les fans d’informatique ou de jeux vidéo. p. 190, p. 262 : tourner les talons : se retourner pour repartir d’où l’on vient. p. 190 : baisser les bras : abandonner, renoncer. p. 192 : une alliée : qui est « dans notre camp », dont on est sûr du soutien. p. 196 : une palette : petite planche de bois sur laquelle les peintres disposent leurs couleurs. Ici, correspond aux couleurs préférées. p. 198 : éberlué : très étonné. p. 213 : une méprise : c’est le fait de se tromper sur quelqu’un ou quelque chose. p. 214 : un symptôme : signe extérieur qui indique qu’une personne est malade. p. 214 : un mirage : quelque chose que l’on voit avec les yeux, mais qui est une illusion, qui n’existe pas vraiment. p. 220 : un spa : petit bassin très chaud alimenté par de forts jets d’eau et que l’on trouve souvent dans les hôtels. p. 226 : bavasser : parler beaucoup sans réfléchir. p. 229 : constructif : utile, qui fait progresser ou apprendre de nouvelles choses. p. 229 : marcher à pas feutrés : marcher très discrètement, sans faire de bruit. p. 232, p. 242 : une pétarade : série de bruits d’explosions. p. 237 : un trophée : objet donné en récompense au vainqueur d’un concours ou d’une épreuve sportive. p. 243 : blême : pâle, presque blanc. p. 252 : rageusement : avec colère. p. 255 : un cascadeur : personne dont le métier est de jouer les scènes dangereuses dans les films à la place des acteurs de cinéma. p. 258 : rester bouche bée : que l’étonnement empêche de parler. p. 269 : le plancher des vaches : la terre ferme. p. 291 : ingurgiter : manger rapidement, sans prendre le temps de mâcher les aliments. p. 306 : chauve : qui n’a pas de cheveux sur la tête. p. 306 : bedonnant : dont le ventre est arrondi à force de trop manger. p. 310 : grommeler : murmurer entre ses dents. p. 311 : avoir l’air pompeux : se comporter de manière trop solennelle. p. 312 : bomber le torse : gonfler la poitrine en signe de fierté. p. 312 : rebelle : qui refuse de respecter les règles. p. 325, p. 332 : un verdict : décision définitive sur un sujet particulier. p. 336 : la dentelle : tissu fin constitué de fils antrelacés formant des motifs décoratifs. p. 342 : chancelant : qui manque d’équilibre, au point de pouvoir tomber. p. 347 : se mordre les doigts d’avoir fait quelque chose : beaucoup le regretter. p. 347 : saugrenu : bizarre, original. p. 351 : des lentilles de contact : mini-disques fabriqués dans un matérieu très fin et posés sur les yeux pour corriger la vue. Elles peuvent remplacer les lunettes. p. 357, p. 380 : un sofa : canapé. p. 363 : se racler la gorge : tousser volontairement pour se désencombrer la gorge, notamment avant de parler. p. 364 : rester authentique : rester soi-même, ne pas essayer de passer pour ce que l’on est pas. p. 365 : des éloges : compliments. p. 367 : soupçonneux : qui a des doutes sur quelqu’un ou sur quelque chose. p. 370 : être à son avantage : paraître le plus beau que l’on puisse être, le mieux possible. p. 392 : l’élocution : manière de parler, d’articuler les sons et les mots avec sa bouche. p. 392, p. 394 : un dentier : objet utilisé par les personnes âgées pour remplacer leurs dents perdues. p. 397 : avoir l’air buté : paraître entêté, boudeur. p. 401 : rancunier : qui ne pardonne pas quelque chose à quelqu’un. p. 414 : le tofu : fromage de soja.

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ro ma n Mo n pr em ier gr os

a de vo re r co mm e le

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En rentrant de l’école, Rosalie découvre qu’un manoir a été parachuté dans le champ qui borde sa maison… et pas n’importe lequel : le manoir de la très célèbre vedette de cinéma Lola Star !

Lorsque Lola l’invite dans sa luxueuse maison, Rosalie découvre des choses vraiment étonnantes : une cuisinière aux goûts spéciaux, un inconnu qui sème des courants d’air glacés partout où il va… et, bientôt, s’organise une soirée pyjama. Pour que la fête soit réussie, Lola a besoin de l’aide de Rosalie, sa nouvelle amie !

UNE HISTOIRE INCROYABLE + DES MOTS SIMPLES + DE GRANDS CARACTÈRES + DE BELLES ILLUSTRATIONS = UN GROS ROMAN À DÉVORER COMME LES GRANDS ! nts, ce concept « Pour les débuta t ifiée est motivan de lecture simpl t en m de pi nfère ra parce qu’il leur co » . rt eur expe un statut de lect nante en CE1 ig se Cécile D., en

« Pour les enfants qui n’aiment pas lire, il peut être déclencheur. » Annick G., enseignante en CP

« L’enfant se rend compte qu’il peut lire ra pidement plusieurs pages. » Emmanuelle C.-C ., enseignante en CE 1 et CE2

« Quelle fierté pour les jeunes lecteurs de tenir entre leurs mains, et surtout de lire, un gros roman ! Ces ouvrages facilitent l’entrée dans la lecture longue. » Françoise S., enseignante en CE1 Collection 1,2,3... Je lis ! :

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