Tête-à-tête avec une StammLady

Sara Arzan

Présentez-vous. Décrivez votre relation avec EHL et le réseau.

Je m’appelle Sara Arzan. J’ai obtenu mon diplôme EHL en juillet dernier pendant la pandémie de Covid et j’ai poursuivi ma passion pour l’entrepreneuriat grâce à mes études de maîtrise dans une école à Londres. Avec l’augmentation du nombre de roumains au sein d’EHL, EHL et moi pensions que la création de Stamm Roumanie était essentielle. En ce qui concerne le réseau, lorsque j’ai fait mon premier stage à Genève, le directeur général était un ancien élève d’EHL, ce qui m’a donné une connexion automatique.

Quels sont les principaux facteurs et les principales motivations pour devenir une Stammlady ?

Tout d’abord, la motivation est dérivée de la connaissance des différents Stamms à travers le monde. Il était regrettable de ne pas en avoir un en Roumanie parmi tous les Stamms existants dans le monde. Tout d’abord, on peut dire qu’un Stamm est un endroit pour établir des relations et créer des amis. Surtout maintenant qu’EHL dispose d’une nouvelle plateforme des anciens appelée Connect, il est plus facile pour les gens de suivre et de retracer les opportunités et le réseau. C’est une excellente occasion de rencontrer tous les anciens élèves ou les étudiants EHL dans le pays. Cela permet d’aider les autres à entrer en contact avec d’autres anciens élèves EHL dans le pays. C’est appréciable de voir chaque membre prendre des nouvelles au sein du comité. Si quelqu’un cherche un emploi ou un poste vacant, le comité Stamm est essentiel et bénéfique.

Sara Arzan (AEHL 2020) StammLady of Romania

Avec le premier événement de Stamm Roumanie devenu réalité, quels sont les projets futurs en termes d’événements et pour la communauté EHL en Roumanie ?

Notre premier événement s’est déroulé en avril. C’était un événement en ligne et j’étais heureuse de voir de nombreuses personnes s’inscrire et se présenter. À l’heure actuelle, nous poursuivons les événements en ligne. Comme je l’ai mentionné précédemment, de nombreux anciens élèves et étudiants roumains d’EHL ne sont pas actuellement dans le pays, si bien que les gens peuvent toujours participer facilement aux événements. Le plus gros problème est de réfléchir à une manière de rassembler tout le monde, en face à face, et pas seulement en ligne.

Les comités sont composés de personnes de différents groupes d’âge. Nous espérons attirer des personnes d’autres groupes d’âge afin d’établir une nouvelle perspective et image du Stamm lui-même, avec des personnes très expérimentées et des personnes qui débutent dans le secteur. Le Stamm luimême est très jeune. Par conséquent, nous avançon pas à pas pour développer le Stamm, en organisant éventuellement des événements, et en rendant le Stamm plus actif.

Où vous voyez-vous dans cinq ans ? Et le Stamm en Roumanie ?

Je pense que c’est une question difficile dans un contexte de Covid, mais à l’heure actuelle, tout va changer très rapidement. Depuis que j’ai obtenu mon master en entrepreneuriat, je suis très intéressée par les événements et le développement durable. Par conséquent, je veux ouvrir ma propre entreprise sur les événements à l’avenir. Actuellement, je travaille pour une société de technologie hôtelière ; je travaille avec eux depuis mon deuxième stage. En ce qui concerne le Stamm, j’espère que nous atteindrons 100 personnes d’ici là, des personnes qui échangent des idées et des connaissances, qui travaillent potentiellement les unes avec les autres et qui se valorisent mutuellement comme faisant partie de la « famille ». Le projet du comité est de créer des activités où les gens peuvent compter sur de nouvelles connaissances.