Activité physique et sportive : facteur de santé, par le Collège français des enseignants en médecine et traumatologie de l'exercice et du sport (CFEMTES), 2019, 80 pages.
Anatomie pathologique, par le Collège français des pathologistes (CoPath), 2019, 472 pages.
Chirurgie maxillo-faciale et stomatologie, par le Collège hospitalo-universitaire français de chirurgie maxillofaciale et stomatologie, 4e édition, 2017, 408 pages.
Dermatologie, par le Collège des enseignants en dermatologie de France (CEDEF), 7e édition, 2017, 472 pages.
Endocrinologie, diabétologie et maladies métaboliques, par le Collège des enseignants d'endocrinologie, diabète et maladies métaboliques (CEEDMM), 4e édition, 2019, 568 pages.
Gériatrie, par le Collège national des enseignants de gériatrie (CNEG), 4e édition, 2018, 384 pages.
Gynécologie – Obstétrique, par le CNGOF (Collège national des gynécologues et obstétriciens français), 4e édition, 2019, 768 pages.
Hématologie, par la Société française d'hématologie, 3e édition, 2018, 400 pages.
Hépato-gastro-entérologie, par la Collégiale des universitaires en hépato-gastro-entérologie (CDU-HGE), 4e édition, 2018, 536 pages.
Imagerie médicale – Radiologie et médecine nucléaire, par le Collège des enseignants de radiologie de France (CERF) et le Collège national des enseignants de biophysique et de médecine nucléaire (CNEBMN), 2e édition, 2019, 584 pages.
Immunopathologie, par le Collège des enseignants d'immunologie, 2e édition, 2018, 400 pages.
Maîtriser la LCA en anglais – Méthodologie et entraînement, par le Collège universitaire des enseignants de santé publique (CUESP), 5e édition, 2019, 248 pages.
Médecine cardiovasculaire, par le Collège national des enseignants de cardiologie – Société française de cardiologie (CNEC-SFC), 1re édition, 2019, 540 pages.
Médecine intensive, réanimation, urgences et défaillances viscérales aiguës, par le Collège des enseignants de médecine intensive – réanimation (CEMIR), 6e édition, 2018, 656 pages.
Médecine légale – Médecine du travail, par la Société française de médecine légale, le Collège des enseignants hospitalo-universitaires de médecine et santé au travail, 2019, 272 pages.
Médecine physique et réadaptation, par le Collège français des enseignants universitaires de médecine physique et de réadaptation (COFEMER), 6e édition, 2018, 296 pages.
Neurologie, par le Collège français des enseignants en neurologie (CEN), 4e édition, 2015, 600 pages.
Nutrition, par le Collège des enseignants de nutrition, 3e édition, 2019, 256 pages.
Ophtalmologie, par le Collège des ophtalmologistes universitaires de France (COUF), 3e édition, 2017, 336 pages. ORL, par le Collège français d'ORL et de chirurgie cervico-faciale, 4e édition, 2017, 432 pages.
Parasitoses et mycoses des régions tempérées et tropicales, par l'Association française des enseignants de parasitologie et mycologie (ANOFEL), 6e édition, 2019, 504 pages.
Pédiatrie, par A. Bourrillon, G. Benoist, le Collège national des pédiatres universitaires, 7e édition, 2017, 1016 pages. Rhumatologie, par le Collège français des enseignants en rhumatologie (COFER), 6e édition, 2018, 456 pages.
Santé publique, par le Collège universitaire des enseignants de santé publique (CUESP), 4e édition, 2019, 472 pages.
Urologie, par le Collège français des urologues (CFU), 4e édition, 2018, 448 pages.
Neurochirurgie
Collège de Neurochirurgie
Coordonné par :
Jean-Rodolphe Vignes
Professeur des universités-praticien hospitalier (PU-PH), CHU de Bordeaux
Préface du Professeur Pierre-Hugues Roche
2e édition
Elsevier Masson SAS, 65, rue Camille-Desmoulins, 92442 Issy-les-Moulineaux cedex, France
Neurochirurgie, 2e édition, sous l'égide du Collège de Neurochirurgie.
Les figures 1.3 à 1.5, 2.1, 3.1, 5.1, 5.18, 6.1, 6.3, 6.4, 7.1 à 7.3, 7.7, 8.2, 9.1, 9.2, 9.10, 12.2, 12.3, 12.5, 13.1, 17.1 à 17.4 et 17.10 ont été réalisées par Carole Fumat.
Les figures 5.8 et 5.9 sont reproduites avec l'aimable autorisation de Frédéric Barral, directeur de la société Lecante S.A, dont le siège est basé à Lyon.
Les figures, tableaux et encadrés sans source spécifiée proviennent soit des fonds des auteurs soit du fonds du Collège de neurochirurgie.
Les praticiens et chercheurs doivent toujours se baser sur leur propre expérience et connaissances pour évaluer et utiliser toute information, méthodes, composés ou expériences décrits ici. Du fait de l'avancement rapide des sciences médicales, en particulier, une vérification indépendante des diagnostics et dosages des médicaments doit être effectuée. Dans toute la mesure permise par la loi, Elsevier, les auteurs, collaborateurs ou autres contributeurs déclinent toute responsabilité pour ce qui concerne la traduction ou pour tout préjudice et/ou dommages aux personnes ou aux biens, que cela résulte de la responsabilité du fait des produits, d'une négligence ou autre, ou de l'utilisation ou de l'application de toutes les méthodes, les produits, les instructions ou les idées contenus dans la présente publication.
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Table des matières
Table des compléments en ligne
Les auteurs
Préface
I Connaissances
I. Rappels anatomiques
II. Évoquer le diagnostic : interrogatoire et examen clinique
III. Formes cliniques principales
IV. Confirmer le diagnostic : examens complémentaires
V. Étiologie des compressions médullaires non traumatiques
VI. Conduite à tenir thérapeutique
Item 91 – UE 4 Syndrome de la queue de cheval
I.
3
Item 93 – UE 4 Radiculalgie
I. Diagnostiquer une radiculalgie
IV. Cas particulier de l'exposition professionnelle pour les affections dégénératives lombaires
V. Les situations d'urgence et leur prise en charge
VI. Attitude thérapeutique et suivi du patient
4 Item 93 – UE 4 Syndromes canalaires
I. Démarche diagnostique
II. Syndromes canalaires principaux du membre supérieur
III. Syndromes canalaires principaux du membre inférieur
5 Item 329 – UE 11 Prise en charge d'un traumatisé du rachis
I. Épidémiologie
II. Stabilité, instabilité
III. Structures nerveuses
IV. Prise en charge du traumatisé rachidien
V. Tableaux cliniques
VI. Bilan radiologique
VII. Critères de gravité
VIII. Principes du traitement
IX. Principaux types lésionnels
IV. Complications précoces des traumatismes crâniens
V. Complications retardées et séquelles neurologiques ...............................
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Les auteurs
Collège de Neurochirurgie
Pr Pierre-Hugues Roche, Président.
Pr François Proust, Vice-Président.
Pr Hugues Loiseau, Président du Conseil National des Université, section 49.2.
Coordination de l'ouvrage
Jean-Rodolphe Vignes, professeur des universités-praticien hospitalier, CHU de Bordeaux.
Je tiens à remercier tous les membres du Collège de Neurochirurgie, particulièrement le Pr Philippe Paquis ainsi que ceux qui ont contribué à la rédaction et la relecture de cet ouvrage.
Rédacteurs
Nozar Aghakani, professeur des universités-praticien hospitalier, Paris
Richard Assaker, professeur des universités-praticien hospitalier, Lille
Gilles Brassier, professeur des universités-praticien hospitalier, Rennes
François Caire, professeur des universités-praticien hospitalier, Limoges
Rémi Chaix, chef de clinique-assistant, Clermont-Ferrand
Guillaume Coll, maître de conférence des universités-praticien hospitalier, Clermont-Ferrand
Sophie Colnat-Coulbois, professeur des universités-praticien hospitalier, Nancy
Arnaud Dagain, professeur agrégé des Armées, Toulon
Philippe Decq, professeur des universités-praticien hospitalier, Paris
Stéphane Derrey, professeur des universités-praticien hospitalier, Rouen
Federico Di Rocco, professeur des universités-praticien hospitalier, Lyon
Henry Dufour, professeur des universités-praticien hospitalier, Marseille
Sandrine Eimer, maître de conférence des universités-praticien hospitalier, Bordeaux
Evelyne Emery, professeur des universités-praticien hospitalier, Caen
Thomas Gaberel, maître de conférence des universités-praticien hospitalier, Caen
Philippe Rigoard, professeur des universités-praticien hospitalier, Poitiers
Romuald Seizeur, professeur des universités-praticien hospitalier, Brest
Laurent Thines, professeur des universités-praticien hospitalier, Besançon
François Vasal, praticien hospitalier, Saint-Étienne
Mathieu Vinchon, professeur des universités-praticien hospitalier, Lille
Thomas Wavasseur, assistant hospitalo-universitaire, Bordeaux
Ilyess Zemmoura, maître de conférence des universités-praticien hospitalier, Tours
Michel Zerah, professeur des universités-praticien hospitalier, Paris
Relecteurs
François Caire, professeur des universités-praticien hospitalier, Limoges
Dominique Liguoro, professeur des universités-praticien hospitalier, Bordeaux
Philippe Paquis, professeur des universités-praticien hospitalier, Nice
Laurent Riffaud, professeur des universités-praticien hospitalier, Rennes
Pierre-Hugues Roche, professeur des universités-praticien hospitalier, Marseille
Jean-Rodolphe Vignes, professeur des universités-praticien hospitalier, Bordeaux
Nous tenons à remercier les étudiants qui nous ont aidés : Paul Roblot, Laetitia Le Petit, Mathilde
Guilbourd de Luzinais, Mohamed Karat, Gaetan Lainé, Arthur Durouchoux, internes en neurochirurgie ; Clarisse Habbouche, externe en médecine ; Candice Castello, étudiante au Louvre.
Préface
Chères étudiantes, chers étudiants,
Les enseignants du Collège de Neurochirurgie proposent, à l'attention des étudiants du deuxième cycle des études médicales, la deuxième édition du référentiel de neurochirurgie. Vous aviez évalué très positivement et plébiscité la première édition publiée en 2016. Cette nouvelle version est coordonnée par le Pr Jean-Rodolphe Vignes, rompu à cet exercice, et nous saluons la dynamique avec laquelle il a mené à bien ce projet. Cette actualisation a été rendue nécessaire par les évolutions des connaissances et la consolidation de certaines recommandations dans différents domaines de notre spécialité, particulièrement en neuro-oncologie, en pathologie vasculaire, en neurotraumatologie.
Définir le périmètre des items à aborder ne se restreint pas aux questions de l'ECN habituellement traitées par les neurochirurgiens dans leur enseignement facultaire ; en effet, si nous sommes parfois les acteurs exclusifs dans certains actes techniques, notre expertise quotidienne s'intègre plus largement dans le diagnostic et le traitement de pathologies transversales. Il est donc essentiel que soient abordés par le prisme neurochirurgical certains items transdisciplinaires sans vouloir rendre les choses plus complexes mais avec un objectif pédagogique d'enrichissement et de clarification des connaissances.
Les vidéos et nombreuses illustrations, les encadrés sur les notions clés, mais aussi les évaluations sous forme de dossiers progressifs proposés servent ce même objectif.
Puisse ce document, à côté des stages cliniques qui constituent un formidable terrain d'apprentissage, être un vecteur de votre réussite à l'ECN. Nous vous souhaitons de prendre du plaisir à le consulter et vous en approprier le contenu que nous continuerons de faire évoluer.
Professeur Pierre-Hugues Roche
Président du Collège de Neurochirurgie XV
Avant-propos
Après le succès du premier référentiel, nous sommes heureux de vous proposer une deuxième version, fruit du travail de tout le Collège de Neurochirurgie. Nous avons souhaité mettre l'accent sur l'« explication » pour une meilleure assimilation des connaissances. Nous avons ainsi rajouté des éléments d'anatomie, de physiologie, tout en gardant une part importante aux signes cliniques. Chaque chapitre est illustré avec une iconographie renouvelée, adaptée et permettant une meilleure compréhension.
Ces notions théoriques représentent un socle de savoir ; elles ne sauraient se substituer à une connaissance pratique, notamment la maîtrise de l'examen neurologique. Comme disait Montaigne, « il est bon d'apprendre la théorique de ceux qui savent bien la pratique ». L'enseignement clinique reste donc fondamental et indispensable pour tout médecin en devenir ; il deviendra même un élément important de l'évaluation (ECOS).
Nous avons bien pris en considération la nouvelle réforme de l'internat, qui finalement ne modifiera pas la base des connaissances nécessaires à acquérir pour entreprendre un troisième cycle de médecine.
Ce référentiel comporte un chapitre dédié à l'auto-évaluation des connaissances et des compétences. Il a été conçu pour vous, et notre volonté est de valoriser le raisonnement clinique, celui qui permet d'aller des symptômes exprimés par le patient vers un diagnostic, puis vers une prise en charge adaptée. Quelle que soit votre orientation de carrière, apprendre à bien penser vous sera toujours utile. Des compléments d'informations sont disponibles sur le site du Collège de Neurochirurgie (http://campus.neurochirurgie.fr/).
Nous espérons que ce livre puisse vous accompagne tout au long de vos études, et vous aide dans votre formation ; il sera là pour compléter les autres formats pédagogiques qui se mettent en place (ateliers de simulation, formations en ligne, etc.).
À titre personnel, je remercie le Pr P.-H. Roche pour m'avoir renouvelé sa confiance. Je souhaite à chacun l'épanouissement procuré par l'exercice médical. Vous vous rappellerez en temps utile que cette médecine n'est rien sans une éthique professionnelle. Très bonne lecture à tous.
Professeur Jean-Rodolphe Vignes Collège des Enseignants de Neurochirurgie Responsable du Deuxième Cycle
1 Item 91 – UE 4 Compression médullaire non traumatique
I. Rappels anatomiques
II. Évoquer le diagnostic : interrogatoire et examen clinique
III. Formes cliniques principales
IV. Confirmer le diagnostic : examens complémentaires
V. Étiologie des compressions médullaires non traumatiques
VI. Conduite à tenir thérapeutique
VII. Conclusion
Objectifs pédagogiques
Diagnostiquer une compression médullaire non traumatique. Identifier les situations d'urgence et planifier leur prise en charge.
Décrire les principes de prise en charge des déficiences, incapacités et du handicap secondaires à une compression médullaire non traumatique.
Pour comprendre
Les compressions non traumatiques de la moelle spinale sont des situations d'urgence fréquentes. Le pronostic fonctionnel est directement lié à la précocité du diagnostic et à la rapidité de la prise en charge thérapeutique – chirurgicale dans la majorité des cas. Il est donc indispensable de savoir évoquer ce diagnostic précocement afin d'organiser un bilan étiologique rapide. Le diagnostic de compression médullaire repose sur une triade clinique classique : syndrome rachidien, syndrome lésionnel, syndrome sous-lésionnel
I. Rappels anatomiques
• La moelle spinale est contenue dans un étui dure-mérien à l'intérieur du canal vertébral (ou canal rachidien) et s'étend du bord supérieur de l'atlas (C1) au bord supérieur de la vertèbre L2. La moelle spinale est donc plus courte que le canal rachidien, ce qui explique un décalage entre le niveau vertébral et le niveau métamérique, donc médullaire (loi de Chipault, voir chapitre 5) (fig. 1.1 et 1.2).
• La dure-mère spinale, au contraire de la dure-mère crânienne, n'adhère pas au squelette. Il existe un espace extradural (ou épidural) qui contient un tissu graisseux et un réseau veineux très développé qui peut rendre compte de saignements (hématorachis).
Renflement cer vical
Renflement lombaire Queue de cheval
Filum ter minale
Fig. 1.1. Schématisation de la moelle spinale de face et de profil. La moelle s'étend du bord supérieur de l'atlas (juste en dessous du foramen magnum) jusqu'au bord supérieur de L2. Il existe donc une différence de croissance entre la moelle et son étui osseux (qui débute à partir du 4e mois de vie intra-utérine), expliquant l'obliquité de plus en plus importante des nerfs spinaux (sens craniocaudal). La moelle a une longueur moyenne de 45 cm, et un diamètre moyen de 1 cm. il existe deux épaississements, les renflements : au niveau cervical (de C5 à T1 pour les membres supérieurs) et au niveau lombaire (de T10 à L5 pour les membres inférieurs). Le cône terminal de la moelle correspond aux derniers métamères (de S1 à S5 pour les membres inférieurs et le périnée). Le filum terminale solidarise la moelle à la partie caudale de la dure-mère (ou cul-de-sac dural).
• Comme au niveau intracrânien, le liquide cérébrospinal (LCS) circule dans les espaces sousarachnoïdiens et, de façon pathologique, dans la moelle (syringomyélie).
• L'extrémité inférieure de la moelle spinale constitue le cône terminal.
• Enfermée dans ce canal inextensible, la moelle spinale est sensible aux processus mécaniques directs ou aux perturbations circulatoires entraînant une ischémie qui, si elle est persistante, provoque des lésions irréversibles.