livret du pèlerin

Lundi
Mercredi
Jeudi
Vendredi
54 Refrains de Taizé et autres
70 Esprit de Dieu, souffle de vie Page
54 Bienheureux le peuple des élus
55 Disciples de Jésus
56 Magnificat des Équipes Notre Dame
57 Bienheureux qui te reçoit
58 Prenez et mangez
58 Je vous salue Marie
59 Bienheureux qui te reçoit
59 Mon père je m’abandonne à toi
59 Dieu nous a tous appelés
60 Que soit parfaite notre unité
61 À l’image de ton amour
62 En toi Seigneur mon espérance
62 Bénis le Seigneur Ô mon âme
63 Annonce du Jubilé
64 Christ aujourd’hui nous appelle
65 Jubilez, criez de joie
65 Qui mange ma chair
66 Allez par toute la terre
67 Prenez et mangez
67 Debout resplendis
68 La première en chemin
69 Peuple de lumière
69 Ave Maria
Nouveaux pèlerins ou habitués, jeunes reconnaissables à vos bobs, malades ou personnes en situation de handicap, hospitaliers, soyez les bienvenus à Lourdes !
Que nous venions du Roannais, du Rhône Vert ou de l’agglomération lyonnaise, nous sommes venus confier à Marie nos vies, les intentions de prière que les proches ou la communauté nous ont confiées. Nous sommes venus chercher réconfort, force et consolation en ce lieu magnifique où les souffrants ont la première place.
En cette année de jubilé, les paroles du prophète Isaïe résonnent tout particulièrement : « Le Seigneur m’a envoyé annoncer la bonne nouvelle aux humbles, guérir ceux qui ont le cœur brisé, proclamer aux captifs leur délivrance, aux prisonniers leur libération, proclamer une année de bienfaits accordée par le Seigneur » (Is 61, 1-2). Tout notre pèlerinage avec ses célébrations, ses rencontres, le geste de l’eau, les chemins de croix, est chemin ensemble vers le Christ avec Marie. Elle nous invite à aller boire à la source et nous y laver. Elle reçoit nos prières et nos découragements, nos désirs et nos impatiences, nos rires et nos larmes, nos cris et nos silences. Elle intercède pour nous. Devant la grotte et les brûloirs, nous pouvons sentir le poids de nos prières et nos désirs de vie et de conversion monter au ciel, nous pouvons percevoir tout l’amour de Dieu pour nous.
« Lourdes est le miracle », miracle d’être aimé tel que nous sommes avec nos forces, nos faiblesses, nos souffrances. Ici les personnes malades ou en situation de handicap ont la première place. Comme un avant-goût du Royaume de Dieu pendant une semaine !
Vous trouverez tous les temps proposés dans le livret. Puisque nous sommes différents, il y a différentes propositions, il ne s’agit pas de tout faire. Il y a les deux incontournables de la messe d’ouverture mardi matin et de la messe d’envoi. Nous vous invitons aussi particulièrement à vivre les temps de relecture à partir du récit des Béatitudes chaque jour à 18h, en constituant des petits groupes paroissiaux, dans les accueils ou en venant salle Jean XXIII.
En cette année jubilaire, pendant le pèlerinage vous est offerte la possibilité d’accomplir la démarche jubilaire complète et de recevoir l’indulgence plénière.
Bon pèlerinage à tous !
Responsable du service des pèlerinages du diocèse de Lyon.
Leme, Responsable du Pôle Diaconie
Pour confier vos intentions à la prière de tous les pèlerins, déposez vos intentions de prières aux Laudes ou aux permanences ou avec le QR code
18h15 20h30 8h 8h45 9h15 10h30
14h30-15h30 14h30 15h
16h-16h30
17h30-18h30
17h-19h 18h-19h
20h30-21h45
20h30-21h30 20h30
Messe
Célébration d’ouverture
Permanence du service des pèlerina
Laudes
Répétition chorale
Messe d’ouverture
Photo du diocèse
Témoignage OCH
Célébration de la croix
Procession de la croix
Célébration de la Résurrection
Rencontre des pèlerins malades
Préparation sacrement des malades
Rencontre jeunes avec Mgr Loïc Laga
Film sur Lourdes
Temps de relecture de la journée
Temps de relecture de la journée
Rencontre jeunes avec Mgr Loïc Laga
Film sur Lourdes
Témoignage d’Emmanuel Tran
Permanence du service des pèlerinages : de 9h à 12h à l’entrée
pèlerins en accueil
église de l’Immaculée Conception
église Sainte-Bernadette côté grotte
ges : à partir de 20h à l’entrée de l’église Sainte-Bernadette côté grotte.
basilique du Rosaire
église Sainte-Bernadette en entier
basilique du Rosaire
basilique du Rosaire
salle Mgr Jean XXIII
église Sainte-Bernadette en entier
esplanade vers le Calvaire des Bretons
église Sainte-Bernadette en entier
accueils Marie Saint-Frai et Notre-Dame
salle cardinal Gerlier
dec à la chapelle Notre-Dame
église Sainte-Bernadette côté grotte
salle Jean XXIII
accueils Marie-Saint-Frai et Notre-Dame
dec à la chapelle Notre-Dame
église Sainte-Bernadette côté grotte
église Sainte-Bernadette côté Carmel
de l’église Sainte-Bernadette de 14h à 17h - porte Saint-Joseph
8h 8h
9h-11h
9h30-11h 11h-12h 14h-16h 14h 15h30 16h30-17h45
18h-19h 18h-20h 20h-22h 21h
Mercredi 4 juin
Chemin de croix
Laudes
Témoignage d’Emmanuel Tran
Messe internationale
Catéchèse évêque “Signes de Lour
Témoignage d’Emmanuel Tran
Visite “sur les pas de Bernadette”
Chapelet
Rencontre des pèlerins avec l’arch
Temps de relecture de la journée
Temps de relecture de la journée
Visite de l’archevêque à hospita
Soirée pour les jeunes
Procession mariale
Permanence du service des pèlerinages : porte Saint-Joseph
Jeudi 5 juin (matin)
8h 8h
9h45-10h45 10h-10h45 11h15 12h-14h
Chemin de croix
Laudes
Messe des jeunes
Messe à la grotte
Liturgie d’introduction à la démarc
Visite de l’archevêque
Espélugues
basilique du Rosaire
pour les jeunes - église Sainte-Bernadette côté Carmel
basilique Saint-Pie X
des et espérance” - salle Jean XXIII pour les jeunes - église Sainte-Bernadette côté Carmel
et pèlerinage à Bartrès, RDV à la Chapelle Notre-Dame
grotte
evêque à la chapelle Notre-Dame
salle Jean XXIII
accueils Marie-Saint-Frai et Notre-Dame
lité Notre-Dame
église Sainte-Bernadette côté Carmel
Esplanade ou basilique Saint-Pie X en fonction de la météo pèlerins en accueil
de 9h à 12h et de 16h à 18h30
Espélugues
basilique du Rosaire
Sainte-Bernadette côté grotte
et de l’autre côté du Gave pour les pèlerins en hôtel
he de Réconciliation - église Sainte-Bernadette côté grotte
accueil Marie Saint-Frai
14h-16h
14h30-15h30
15h15
17h-18h
17h-18h
18h-19h
17h30-19h30
20h-22h
(après-midi)
Confessions pour les pèlerins en h
Témoignage OCH pour les jeunes
Cérémonie des engagements des hospi
Procession eucharistique
Préparation du sacrement des mala
Temps de relecture de la journée
Temps de relecture de la journée
1ère veillée de la Miséricorde pour les
2e veillée de la Miséricorde pour les
Permanence du service des pèlerinages : porte Saint-Joseph
8h
8h
9h30-11h30
9h30-11h30
14h-15h
15h15-17h
18h-19h 20h15 10
Chemin de croix
Laudes
Liturgie de l’eau, suivie de l’onc
Forum des vocations
Passage des malades à la grotte
Messe d’envoi
Temps de relecture de la journée
Temps de relecture de la journée
Veillée d’action de grâce
Permanence du service des pèlerinages : porte Saint-Joseph
ôtel - chapelle Notre-Dame
salle de la Forêt
taliers église Sainte-Bernadette côté grotte
au centre de la basilique Saint-Pie X
des - salle Jean XXIII
salle Jean XXIII
accueils Marie-Saint-Frai et Notre-Dame
jeunes - église Sainte-Bernadette en entier
jeunes - église Sainte-Bernadette en entier
de 9h à 10h et de 15h à 17h
Espélugues
basilique du Rosaire
tion des malades à la basilique Saint-Pie X
chapelle Notre-Dame grotte
église Sainte-Bernadette en entier
salle Jean XXIII
accueils Marie Saint-Frai et Notre-Dame
église Sainte-Bernadette côté grotte pèlerins
de 9h à 10h, église Sainte-Bernadette de 14h30 à 17h
Le pape a déclaré l’année 2025 « année sainte » : une année privilégiée pour se trourner vers Dieu, un « jubilé » sous le signe de l’espérance.
« Il m’a envoyé [...] annoncer une année favorable accordée par le Seigneur »(Luc 4, 18-19). Depuis des siècles, l’Église, en se basant sur la Bible et sur la foi des fidèles, offre une année de grâce, où tous les chrétiens sont invités à faire une démarche de conversion particulière. En pèlerinage à Lourdes, nous sommes particulièrement invités à participer à cette magnifique démarche de foi et d’amour, à nous mettre en chemin pour redire à Dieu que nous L’aimons et que nous voulons nous rapprocher de Lui. Le sanctuaire de Lourdes a été choisi pour proposer aux pèlerins la démarche jubilaire, par laquelle ils peuvent recevoir une indulgence plénière.
Père céleste,
En ton fils Jésus-Christ, notre frère, Tu nous as donné la foi, Et tu as répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint, la flamme de la charité
Qu’elles réveillent en nous la bienheureuse espérance de l’avènement de ton Royaume.
Que ta grâce nous transforme, Pour que nous puissions faire fructifier les semences de l’Évangile, Qui feront grandir l’humanité et la création tout entière, Dans l’attente confiante des cieux nouveaux et de la terre nouvelle, Lorsque les puissances du mal seront vaincues, Et ta gloire manifestée pour toujours.
Que la grâce du Jubilé, Qui fait de nous des Pèlerins d’Espérance, Ravive en nous l’aspiration aux biens célestes
Et répande sur le monde entier la joie et la paix De notre Rédempteur.
À toi, Dieu béni dans l’éternité,
La louange et la gloire pour les siècles des siècles.
Amen
Pape François
Qu’est-ce que l’indulgence jubilaire ?
« Dans le sacrement de réconciliation, Dieu pardonne les péchés, et ils sont réellement effacés, cependant que demeure l’empreinte négative des péchés ». Cette empreinte négative désigne entre autres les dégâts que la personne qui a péché s’est infligée à elle-même en faisant le mal.
« Nous sommes conscients d’être appelés à la perfection (cf. Mt 5, 48), mais nous ressentons fortement le poids du péché. La miséricorde de Dieu est cependant plus forte que ceci. Elle devient indulgence du Père qui rejoint le pécheur pardonné ».
(Pape François, Misericordiae, n°22)
Parmi les moyens de purification, il en est un précieux dont dispose le pécheur pardonné, que nous appelons l’indulgence : c’est Dieu lui-même qui libère le pécheur pardonné de tout ce qui reste en lui des conséquences du péché.
Les conditions pour recevoir l’indulgence plénière au sancturaire de Lourdes
• Participer à un chemin de croix, ou à la prière du chapelet, ou à une procession mariale, en pratiquant une œuvre de charité.
• Le désir de conversion et la renonciation au mal
• Recevoir le sacrement de pénitence et de réconciliation
• Communier
• Prier aux intentions du pape
« Ô Dieu, dans la série des successeurs de Pierre tu as choisi ton serviteur (nom du pape), comme vicaire du Christ sur la terre et pasteur de tout le troupeau ; fais qu’il confirme ses frères, et que toute l’Église soit en communion avec lui dans le lien de l’unité, de l’amour et de la paix, pour que tous les hommes reçoivent de toi, pasteur et évêque des âmes, la vérité et la vie éternelle. Amen »
AVEC MARIE, PÈLERINS D’ESPÉRANCE
AVEC MARIE, PÈLERINS D’ESPÉRANCE
Lecture de l’Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 5, 1-16)
01 Voyant les foules, Jésus gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui.
02 Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait. Il disait :
03 « Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux.
04 Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.
05 Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage.
06 Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.
07 Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde.
08 Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu.
09 Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu.
10 Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux.
11 Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi.
12 Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ! C’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui vous ont précédés.
13 « Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel devient fade, comment lui rendre de la saveur ? Il ne vaut plus rien : on le jette dehors et il est piétiné par les gens.
14 Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée.
15 Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison.
16 De même, que votre lumière brille devant les hommes : alors, voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux.
Quelle béatitude me parle le plus ?
Quelle béatitude pourrait être le fil conducteur de ma vie ?
Comment ce texte m’ouvre à l’espérance et pourquoi ?
Lecture de l’Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 5, 1-2)
01 Voyant les foules, Jésus gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui.
02 Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait.
Je suis à Lourdes et je viens aussi me laisser regarder par le Christ.
Qu’est-ce que je souhaite présenter à Jésus de ma vie, quelle difficulté, quel lieu de guérison intérieure ou physique ?
Le Seigneur veut s’adresser à moi quelle parole je souhaiterais entendre sortir de sa bouche.
Lecture de l’Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 5, 4-9)
04 Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.
05 Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage.
06 Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.
07 Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde.
08 Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu.
09 Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu.
Acceptons-nous d’être des pauvres de cœur et que veut dire pauvre de cœur ?
Si je devais définir cette pauvreté, avec quelle béatitude pourrais-je l’exprimer ?
Quels exemples me viennent spontanément en tête ?
Lecture de l’Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 5, 10-12)
10 Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux.
11 Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi.
12 Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ! C’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui vous ont précédés.
Être persécuté n’est pas un état enviable, pourtant nous connaissons tous des situations où nous sommes sinon persécutés, au moins malmenés à cause de nos choix de vie, de notre foi, de notre situation.
Que pouvons-nous nous partager ?
Le Seigneur nous promet une grande joie, avons-nous déjà au terme d’un chemin de difficultés goûté à la consolation que le Seigneur nous offre ?
Lecture de l’Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 5, 13-16)
13 « Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel devient fade, comment lui rendre de la saveur ? Il ne vaut plus rien : on le jette dehors et il est piétiné par les gens.
14 Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée.
15 Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison.
16 De même, que votre lumière brille devant les hommes : alors, voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux.
Être sel et lumière est une espérance concrète qui nous ouvre à nos frères et nous fait devenir témoins de l’amour du Christ. En relisant notre histoire et le parcours que nous offrent les béatitudes, pouvons-nous rendre grâce à Dieu de la vie que nous avons et manifester sa présence à nos côtés à chaque instant de nos vies ?
Quelle béatitude au terme de ce parcours est celle qui a guidé notre vie ou ce séjour à Lourdes ?
Chant d’ouverture
Bienheureux le peuple des élus (P. 54)
Chant de communion
Disciples de Jésus (P. 55)
Chant de sortie
Première lecture
Livre de l’Apocalypse de saint Jean. (12, 10-12a)
Moi, Jean, j’entendis dans le ciel une voix forte, qui proclamait : « Maintenant voici le salut, la puissance et le règne de notre Dieu, voici le pouvoir de son Christ !
Car il est rejeté, l’accusateur de nos frères, lui qui les accusait, jour et nuit, devant notre Dieu. Eux-mêmes l’ont vaincu par le sang de l’Agneau, par la parole dont ils furent les témoins ; détachés de leur propre vie, ils sont allés jusqu’à mourir. Cieux, soyez donc dans la joie, et vous qui avez aux cieux votre demeure ! »
Psaume (33)
R/ Ils étaient tout joyeux d’avoir souffert pour le Christ
Je bénirai le Seigneur en tout temps, sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur : que les pauvres m’entendent et soient en fête !
Magnifiez avec moi le Seigneur, exaltons tous ensemble son nom.
Je cherche le Seigneur, il me répond : de toutes mes frayeurs, il me délivre.
Qui regarde vers lui resplendira, sans ombre ni trouble au visage. Un pauvre crie ; le Seigneur entend : il le sauve de toutes ses angoisses.
L’ange du Seigneur campe à l’entour pour libérer ceux qui le craignent.
Goûtez et voyez : le Seigneur est bon ! Heureux qui trouve en lui son refuge !
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens (2, 1-14)
Frères, vous le savez bien vous-mêmes, notre venue chez vous n’a pas été inutile. Nous venions de souffrir et d’être outragés à Philippes, comme vous le savez ; nous avons cependant trouvé en notre Dieu pleine assurance pour vous annoncer, au prix de grandes luttes, l’Évangile de Dieu. Et quand nous vous exhortions, ce n’était pas avec des doctrines fausses, ni des motifs impurs, ni par ruse. En effet, pour nous confier l’Évangile,
Dieu a éprouvé notre valeur, de sorte que nous parlons, non pas pour plaire aux hommes, mais à Dieu, lui qui met nos cœurs à l’épreuve.
Jamais, nous n’avons eu un mot de flatterie, vous le savez,
jamais de motifs intéressés, Dieu en est témoin ; jamais nous n’avons recherché la gloire qui vient des hommes, ni auprès de vous ni auprès d’autres personnes. Alors que nous aurions pu nous imposer en qualité d’apôtres du Christ, au contraire, nous avons été pleins de douceur avec vous, comme une mère qui entoure de soins ses nourrissons. Ayant pour vous une telle affection, nous aurions voulu vous donner non seulement l’Évangile de Dieu, mais jusqu’à nos propres vies, car vous nous étiez devenus très chers. Vous vous rappelez, frères, nos peines et nos fatigues : c’est en travaillant nuit et jour, pour n’être à la charge d’aucun d’entre vous, que nous vous avons annoncé l’Évangile de Dieu. Vous êtes témoins, et Dieu aussi, de notre attitude si sainte, si juste et irréprochable envers vous, les croyants.
Et vous savez bien que nous avons été pour chacun de vous comme un père avec ses enfants : nous vous avons exhortés et encouragés, nous vous avons suppliés d’avoir une conduite digne de Dieu, lui qui vous appelle à son Royaume et à sa gloire.
Et voici pourquoi nous ne cessons de rendre grâce à Dieu : quand vous avez reçu la parole de Dieu que nous vous faisions entendre, vous l’avez accueillie pour ce qu’elle est réellement, non pas une parole d’hommes, mais la parole de Dieu qui est à l’œuvre en vous, les croyants.
En effet, frères, vous avez imité les Églises de Dieu qui vivent en Judée dans le Christ Jésus, parce que vous avez souffert de la part de vos compatriotes de la même manière qu’elles ont souffert de la part des Juifs.
Alleluia. Alleluia.
« Si l’on vous insulte pour le nom du Christ, heureux êtes-vous, parce que l’Esprit de gloire, l’Esprit de Dieu, repose sur vous ».
Alleluia
12-19)
Jésus disait à ses disciples :
« On portera la main sur vous et l’on vous persécutera ; on vous livrera aux synagogues et aux prisons, on vous fera comparaître devant des rois et des gouverneurs, à cause de mon nom.
Cela vous amènera à rendre témoignage.
Mettez-vous donc dans l’esprit que vous n’avez pas à vous préoccuper de votre défense. C’est moi qui vous donnerai un langage et une sagesse à laquelle tous vos adversaires ne pourront ni résister ni s’opposer.
Vous serez livrés même par vos parents, vos frères, votre famille et vos amis, et ils feront mettre à mort certains d’entre vous.
Vous serez détestés de tous, à cause de mon nom. Mais pas un cheveu de votre tête ne sera perdu.
C’est par votre persévérance que vous garderez votre vie. »
Chant d’ouverture
Bienheureux qui te reçoit (P. 57)
Chant de communion
Prenez et mangez (P. 58)
Chant de sortie
Je vous salue Marie (P. 58)
Première lecture
Livre des Actes des Apôtres (20, 17-27)
En ces jours-là, depuis Milet, Paul envoya un message à Éphèse pour convoquer les Anciens de cette Église. Quand ils furent arrivés auprès de lui, il leur adressa la parole : « Vous savez comment je me suis toujours comporté avec vous, depuis le premier jour où j’ai mis le pied en Asie : j’ai servi le Seigneur en toute humilité, dans les larmes et les épreuves que m’ont values les complots des Juifs ; je n’ai rien négligé de ce qui était utile, pour vous annoncer l’Évangile et vous donner un enseignement en public ou de maison en maison.
Je rendais témoignage devant Juifs et Grecs pour qu’ils se convertissent à Dieu et croient en notre Seigneur Jésus. Et maintenant, voici que je suis contraint par l’Esprit de me rendre à Jérusalem, sans savoir ce qui va m’arriver là-bas.
Je sais seulement que l’Esprit Saint témoigne, de ville en ville, que les chaînes et les épreuves m’attendent.
Mais en aucun cas, je n’accorde du prix à ma vie, pourvu que j’achève ma course et le ministère que j’ai reçu du Seigneur Jésus : rendre témoignage à l’évangile de la grâce de Dieu. Et maintenant, je sais que vous ne reverrez plus mon visage, vous tous chez qui je suis passé en proclamant le Royaume.
C’est pourquoi j’atteste aujourd’hui devant vous que je suis pur du sang de tous, car je n’ai rien négligé pour vous annoncer tout le dessein de Dieu. »
Psaume (67 (68), 10-11, 20-21)
R/ Royaume de la terre, chantez pour le Seigneur
Tu répandais sur ton héritage une pluie généreuse, et quand il défaillait, toi, tu le soutenais. Sur les lieux où campait ton troupeau, tu le soutenais, Dieu qui es bon pour le pauvre.
Que le Seigneur soit béni !
Jour après jour, ce Dieu nous accorde la victoire.
Le Dieu qui est le nôtre est le Dieu des victoires, et les portes de la mort sont à Dieu, le Seigneur.
(Jn 17, 1-11a)
En ce temps-là, Jésus leva les yeux au ciel et dit : « Père, l’heure est venue.
Glorifie ton Fils afin que le Fils te glorifie.
Ainsi, comme tu lui as donné pouvoir sur tout être de chair, il donnera la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés.
Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. Moi, je t’ai glorifié sur la terre en accomplissant l’œuvre que tu m’avais donnée à faire. Et maintenant, glorifie-moi auprès de toi, Père, de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde existe. J’ai manifesté ton nom aux hommes que tu as pris dans le monde pour me les donner. Ils étaient à toi, tu me les as donnés, et ils ont gardé ta parole.
Maintenant, ils ont reconnu que tout ce que tu m’as donné vient de toi, car je leur ai donné les paroles que tu m’avais données : ils les ont reçues, ils ont vraiment reconnu que je suis sorti de toi, et ils ont cru que tu m’as envoyé.
Moi, je prie pour eux ; ce n’est pas pour le monde que je prie, mais pour ceux que tu m’as donnés, car ils sont à toi.
Tout ce qui est à moi est à toi, et ce qui est à toi est à moi ; et je suis glorifié en eux.
Désormais, je ne suis plus dans le monde ; eux, ils sont dans le monde, et moi, je viens vers toi. »
Méditations écrites par des membres de l’association Lourdes Cancer Espérance Lyon et à partir de textes de Mgr Alfred Ancel.
Lecture du livre de Ben Sira le Sage (24,1.9-12.18a.19-22)
La Sagesse divine proclame son propre éloge, au milieu de son peuple elle célèbre sa gloire.
« Dès le commencement, avant les siècles, il m’a créée, et pour les siècles je subsisterai ; dans la demeure sainte, j’ai assuré mon service en sa présence.
Ainsi, je me suis fixée dans Sion, il m’a fait demeurer dans la cité bien-aimée, et dans Jérusalem j’exerce ma puissance. Je me suis enracinée dans un peuple glorieux, dans le domaine du Seigneur, dans son héritage :
J’habite au milieu de l’assemblée des saints. Je suis la mère du bel amour, de la crainte de Dieu et de la connaissance et aussi de la sainte espérance.
Venez à moi, vous qui me désirez, rassasiez-vous de mes fruits. Mon souvenir est plus doux que le miel, mon héritage, plus doux qu’un rayon de miel.
[Mon souvenir demeure dans la suite des âges.]
Ceux qui me mangent auront encore faim, ceux qui me boivent auront encore soif.
Celui qui m’obéit ne sera pas déçu.
Ceux qui travaillent avec moi ne seront pas pécheurs.
[Ceux qui me mettent en lumière auront la vie éternelle.] »
Psaume (Lc 1,46-55)
R/ Vierge Marie, notre espérance, nous te saluons.
Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon
Sauveur !
Il s’est penché sur son humble servante ;
désormais tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom ! Sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent.
Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (2,1-11)
En ce temps-là, il y eut un mariage à Cana de Galilée. La mère de Jésus était là. Jésus aussi avait été invité au mariage avec ses disciples. Or, on manqua de vin. La mère de Jésus lui dit : « Ils n’ont pas de vin. » Jésus lui répond : « Femme, que me veux-tu ? Mon heure n’est pas encore venue. » Sa mère dit à ceux qui servaient : « Tout ce qu’il vous dira, faites-le. »
Or, il y avait là six jarres de pierre pour les purifications rituelles des Juifs ; chacune contenait deux à trois mesures, (c’est-à-dire environ cent litres).
Jésus dit à ceux qui servaient : « Remplissez d’eau les jarres. »
Et ils les remplirent jusqu’au bord. Il leur dit : « Maintenant, puisez, et portez-en au maître du repas. » Ils lui en portèrent. Et celui-ci goûta l’eau changée en vin.
Il ne savait pas d’où venait ce vin, mais ceux qui servaient le savaient bien, eux qui avaient puisé l’eau. Alors le maître du repas appelle le marié et lui dit : « Tout le monde sert le bon vin en premier et, lorsque les gens ont bien bu, on apporte le moins bon. Mais toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à maintenant. » Tel fut le commencement des signes que Jésus accomplit.
C’était à Cana de Galilée. Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui.
Chant d’ouverture
Dieu nous a tous appelés (P. 59)
Chant de communion
Que soit parfaite notre unité (P. 60)
Chant de sortie
Magnificat de Taizé (P. 54)
Première lecture
Livre des Actes des Apôtres (Ac 22, 30 ; 23, 6-11)
En ces jours-là, Paul avait été arrêté à Jérusalem. Le lendemain, le commandant voulut savoir avec certitude de quoi les Juifs l’accusaient. Il lui fit enlever ses liens ; puis il convoqua les grands prêtres et tout le Conseil suprême, et il fit descendre Paul pour l’amener devant eux.
Sachant que le Conseil suprême se répartissait entre sadducéens et pharisiens, Paul s’écria devant eux : « Frères, moi, je suis pharisien, fils de pharisiens.
C’est à cause de notre espérance, la résurrection des morts, que je passe en jugement. »
À peine avait-il dit cela, qu’il y eut un affrontement entre pharisiens et sadducéens, et l’assemblée se divisa.
En effet, les sadducéens disent qu’il n’y a pas de résurrection,
pas plus que d’ange ni d’esprit, tandis que les pharisiens professent tout cela.
Il se fit alors un grand vacarme.
Quelques scribes du côté des pharisiens se levèrent et protestèrent vigoureusement : « Nous ne trouvons rien de mal chez cet homme.
Et si c’était un esprit qui lui avait parlé, ou un ange ? »
L’affrontement devint très violent, et le commandant craignit que Paul ne se fasse écharper. Il ordonna à la troupe de descendre pour l’arracher à la mêlée et le ramener dans la forteresse.
La nuit suivante, le Seigneur vint auprès de Paul et lui dit :
« Courage ! Le témoignage que tu m’as rendu à Jérusalem, il faut que tu le rendes aussi à Rome. »
Psaume (Ps 15 (16), 1-2a.5, 7-8, 9-10, 11)
R/ Garde- moi, mon Dieu : j’ai fait de toi mon refuge.
Garde- moi, mon Dieu : j’ai fait de toi mon refuge.
J’ai dit au Seigneur : « Tu es mon Dieu ! Seigneur, mon partage et ma coupe : de toi dépend mon sort. »
Je bénis le Seigneur qui me conseille : même la nuit mon cœur m’avertit.
Je garde le Seigneur devant moi sans relâche ; il est à ma droite : je suis inébranlable.
Mon cœur exulte, mon âme est en fête, ma chair elle-même repose en confiance : tu ne peux m’abandonner à la mort ni laisser ton ami voir la corruption.
Tu m’apprends le chemin de la vie : devant ta face, débordement de joie !
À ta droite, éternité de délices !
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (Jn 17, 20-26)
En ce temps-là, les yeux levés au ciel, Jésus priait ainsi : « Père saint, je ne prie pas seulement pour ceux qui sont là, mais encore pour ceux qui, grâce à leur parole, croiront en moi.
Que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et moi en toi. Qu’ils soient un en nous, eux aussi, pour que le monde croie que tu m’as envoyé.
Et moi, je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, pour qu’ils soient un comme nous sommes UN : moi en eux, et toi en moi.
Qu’ils deviennent ainsi parfaitement un, afin que le monde sache que tu m’as envoyé, et que tu les as aimés comme tu m’as aimé.
Père, ceux que tu m’as donnés, je veux que là où je suis, ils soient eux aussi avec moi, et qu’ils contemplent ma gloire, celle que tu m’as donnée parce que tu m’as aimé avant la fondation du monde. Père juste, le monde ne t’a pas connu, mais moi je t’ai connu, et ceux-ci ont reconnu que tu m’as envoyé.
Je leur ai fait connaître ton nom, et je le ferai connaître, pour que l’amour dont tu m’as aimé soit en eux, et que moi aussi, je sois en eux.»
Chant
Aimer, c’est tout donner (P. 71)
Chant
En toi, j’ai mis ma confiance (P. 70)
Psaume (Psaume 85, 1-17)
Écoute, Seigneur, réponds-moi, car je suis pauvre et malheureux.
Veille sur moi qui suis fidèle, ô mon Dieu, sauve ton serviteur qui s’appuie sur toi.
Prends pitié de moi, Seigneur, toi que j’appelle chaque jour.
Seigneur, réjouis ton serviteur : vers toi, j’élève mon âme !
Toi qui es bon et qui pardonnes, plein d’amour pour tous ceux qui t’appellent, écoute ma prière, Seigneur, entends ma voix qui te supplie.
Je t’appelle au jour de ma détresse, et toi, Seigneur, tu me réponds.
Aucun parmi les dieux n’est comme toi, et rien n’égale tes œuvres.
Toutes les nations, que tu as faites, viendront se prosterner devant toi et rendre gloire à ton nom, Seigneur, car tu es grand et tu fais des merveilles, toi, Dieu, le seul.
Montre-moi ton chemin, Seigneur, que je marche suivant ta vérité ; unifie mon cœur pour qu’il craigne ton nom. Je te rends grâce de tout mon cœur, Seigneur mon Dieu, toujours je rendrai gloire à ton nom ; il est grand, ton amour pour moi : tu m’as tiré de l’abîme des morts.
Mon Dieu, des orgueilleux se lèvent contre moi, des puissants se sont ligués pour me perdre : ils n’ont pas souci de toi.
Toi, Seigneur, Dieu de tendresse et de pitié, lent à la colère, plein d’amour et de vérité !
Regarde vers moi, prends pitié de moi. Donne à ton serviteur ta force, et sauve le fils de ta servante.
Accomplis un signe en ma faveur ; alors mes ennemis, humiliés, verront que toi, Seigneur, tu m’aides et me consoles.
(24, 13-35)
13 Le même jour, deux disciples faisaient route vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem, 14 et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé.
15 Or, tandis qu’ils s’entretenaient et s’interrogeaient, Jésus luimême s’approcha, et il marchait avec eux. 16 Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.
17 Jésus leur dit : « De quoi discutez-vous en marchant ? » Alors, ils s’arrêtèrent, tout tristes.
18 L’un des deux, nommé Cléophas, lui répondit : « Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem qui ignore les événements de ces jours-ci. »
19 Il leur dit : « Quels événements ? » Ils lui répondirent : « Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth, cet homme qui était un prophète puissant par ses actes et ses paroles devant Dieu et devant tout le peuple : 20 comment les grands prêtres et nos chefs l’ont livré, ils l’ont fait condamner à mort et ils l’ont crucifié. 21 Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël. Mais avec tout cela, voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c’est arrivé. 22 À vrai dire, des femmes de notre groupe nous ont remplis de stupeur. Quand, dès l’aurore, elles sont allées au tombeau, 23 elles n’ont pas trouvé son corps ; elles sont venues nous dire qu’elles avaient même eu une vision : des anges, qui disaient qu’il est vivant. 24 Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau, et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ; mais lui, ils ne l’ont pas vu. »
25 Il leur dit alors : « Esprits sans intelligence ! Comme votre cœur est lent à croire tout ce que les prophètes ont dit ! 26 Ne fallait-il pas que le Christ souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? »
27 Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes, il leur interpréta, dans toute l’Écriture, ce qui le concernait.
28 Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient, Jésus fit semblant d’aller plus loin. 29 Mais ils s’efforcèrent de le retenir : « Reste avec nous, car le soir approche et déjà le jour baisse. » Il entra donc pour rester avec eux.
30 Quand il fut à table avec eux, ayant pris le pain, il prononça la bénédiction et, l’ayant rompu, il le leur donna. 31 Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent, mais il disparut à leurs regards.
32 Ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? »
33 À l’instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem. Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons, qui leur dirent : 34 « Le Seigneur est réellement ressuscité : il 32
est apparu à Simon-Pierre. » 35 À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route, et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux à la fraction du pain.
Pour lire le récit de la rencontre de Jésus avec les disciples d’Emmaüs
Favoriser un climat de recueillement et de prière.
• Regarder Cléophas et son compagnon de route et suivre leur itinéraire de l’échec à l’espérance et la joie.
• Regarder Jésus, comment il se fait proche de Cléophas et de son compagnon.
• Les disciples ont reconnu Jésus à la ‘‘fraction du pain’’.
À quoi puis-je reconnaître la présence de Dieu dans ma vie ?
Qu’est-ce qu’elle produit ? Comment transforme-t-elle ma vie ?
Reste avec nous, car le soir approche » (Lc 24, 29)
Reste avec nous, Seigneur, quand l’espérance se couche et que la nuit de la déception décline.
Reste avec nous parce qu’avec Toi, Jésus, le cours des évènements change et l’émerveillement de la joie renaît de l’impasse du découragement.
Reste avec nous, Seigneur, car avec Toi la nuit de la douleur se change en un matin radieux de la vie. Nous disons simplement : reste avec nous, Seigneur, parce que si Tu marches à nos côtés, l’échec s’ouvre à l’espérance d’une vie nouvelle.
Pape François, extrait de l’homélie du 28 juillet 2022
Laissons Jésus nous appeler nous aussi par notre nom !
• Le Seigneur veut rester avec moi, il vient transformer mes échecs en espérance, pour faire de ma vie un don d’amour.
• J’accueille avec confiance le regard d’amour et de tendresse que le Christ porte sur moi.
• Je me souviens des moments où la Parole du Christ est venue éclairer ma vie, où j’ai ressenti la miséricorde, l’amour de Dieu dans ma vie.
• Je regarde en face mes petitesses, mes manques d’amour envers Dieu, les autres ou moi-même.
- à l’égard de moi-même
- à l’égard des autres
- à l’égard de Dieu
- à l’égard de la Création
« Nous avons demandé pardon pour les péchés dont nous avons honte, tout en intercédant pour les victimes du mal. Nous avons appelé nos péchés par leur nom : contre la paix, contre la création, les peuples indigènes, les migrants, les enfants, les femmes, les pauvres, l’écoute et la communion. »
Pour une Église synodale : communion, participation, mission n°6
Seigneur, tu connais notre faiblesse, Mais sans te lasser, tu viens à notre secours.
Donne-nous de savoir le reconnaitre dans la joie, Et de trouver dans ton amour
La force de vivre comme tes fils.
Par Jésus, le Christ, notre Seigneur
Oraison - n°122 - Rituel sacrement de pénitence et de réconciliation
« Nous avons besoin d’être aimés d’un amour unique » une parole de Mgr Alfred Ancel
« Quand je suis avec quelqu’un, je tâche de l’écouter, jusqu’à ce que j’aie découvert comment Dieu l’a aimé dans sa vie. Ensuite, j’essaye de lui montrer ces signes de l’amour. Tout seul, nous n’arrivons pas à les découvrir ; nous avons besoin qu’un autre nous les montre. Être aimé comme tout le monde, ça ne nous suffit pas ; nous avons besoin d’être aimés d’un amour personnel, comme si nous étions seuls au monde ; nous avons besoin d’être aimés d’un amour unique, de sorte que personne n’a été aimé par Lui de la même manière que nous. Nous avons besoin de savoir qu’il nous a aimés sans illusion, en connaissant notre misère jusqu’au fond, en sachant d’avance tous les péchés que nous commettrions. Nous avons besoin de sa patience ; nous avons besoin de son pardon ; nous avons besoin de son amitié ; par-dessus tout, nous avons besoin qu’il nous fasse confiance ! »
Mgr Alfred Ancel - www.leprado-france.fr/le-message-denoel-2024/
« Le pardon n’est pas le fruit de nos efforts, mais c’est un cadeau, c’est un don de l’Esprit Saint, qui nous comble de la fontaine de miséricorde et de grâce qui jaillit sans cesse du cœur grand ouvert du Christ crucifié et ressuscité. En second lieu, il nous rappelle que ce n’est que si nous nous laissons réconcilier dans le Seigneur Jésus avec le Père et avec nos frères que nous pouvons être vraiment dans la paix. Et cela, nous l’avons tous ressenti dans le cœur quand nous allons nous confesser, avec un poids sur l’âme, un peu de tristesse ; et quand nous recevons le pardon de Jésus nous sommes en paix, avec cette paix de l’âme si belle que seul Jésus peut donner, seulement Lui. »
Pape François audience générale, 19 février 2014
• S’accueillir mutuellement en Église, devant Dieu
Je peux dire, par exemple : « Père, bénissez-moi parce que j’ai péché » puis faire ensuite le signe de la croix.
Je peux ensuite choisir de commencer par la prière du Je confesse à Dieu qui exprime la dimension ecclésiale de la démarche.
• Reconnaître l’amour de Dieu qui me sauve et veut me relever sans cesse.
• Reconnaître ce qui m’éloigne de Dieu, des autres, de moi-même. Dire mes péchés.
Je peux dire ce que je voudrais changer dans ma vie pour vaincre les vrais obstacles à une rencontre avec Dieu avec les autres.
• L’acte de contrition
Lorsque j’ai fini d’exprimer ce que je dois convertir en moi, je peux dire l’acte de contrition qui signifie combien je regrette et combien j’ai le désir réel et profond de changer, avec la grâce de Dieu.
• Accueillir l’absolution
Le prêtre me donnera ensuite l’absolution sacramentelle qui est la manifestation de la Miséricorde de Dieu qui me pardonne tous mes péchés. Il peut me donner une pénitence, c’est-à-dire un acte que j’aurai à poser devant Dieu pour confirmer mon intention de changer.
Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant vous frères et sœurs , que j’ai péché en pensée, en parole, par action et par omission. Oui, j’ai vraiment péché.
C’est pourquoi je supplie la bienheureuse Vierge Marie, les anges et tous les saints, et vous aussi frères et sœurs, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
Père, Dieu de tendresse et de miséricorde, j’ai péché contre Toi et mes frères.
Je ne suis pas digne d’être appelé ton enfant mais près de Toi se trouve le pardon.
Accueille mon repentir.
Que ton Esprit me donne la force de vivre selon ton amour.
Par Jésus Christ, ton Fils Notre Seigneur. Amen.
Célébration de l’onction des malades et liturgie de l’eau
Chant d’ouverture
À l’image de ton amour - Couplets 1-3 (P. 61)
Chant pendant l’onction des malades
En toi Seigneur mon espérance (P. 62)
Chant
Bénis le Seigneur ô mon âme (P. 62)
Chant sur l’eau qui donne vie
Refrain
Annonce du Jubilé (P. 63)
Chant de sortie
Christ aujourd’hui nous appelle (P. 64)
Psaume 22
Le Seigneur est mon berger, rien ne saurait me manquer
Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien. *
Sur des prés d’herbe fraîche, il me fait reposer. Il me mène vers les eaux tranquilles et me fait revivre ; il me conduit par le juste chemin pour l’honneur de son nom. Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ton bâton me guide et me rassure.
Tu prépares la table pour moi devant mes ennemis ; tu répands le parfum sur ma tête, ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m’accompagnent tous les jours de ma vie ; j’habiterai la maison du Seigneur pour la durée de mes jours.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (Jn 11, 21-27)
Marthe dit à Jésus : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant encore, je le sais, tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera. »
Jésus lui dit : « Ton frère ressuscitera. »
Marthe reprit : « Je sais qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. »
Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »
Elle répondit : « Oui, Seigneur, je le crois : tu es le Christ, le Fils de Dieu, tu es celui qui vient dans le monde. »
Chant d’ouverture
Jubilez, criez de joie (P. 65)
Chant de communion
Qui mange ma chair (P. 65)
Chant de sortie
Allez par toute la terre (P. 66)
Livre des Actes des Apôtres (Ac 25, 13-21)
En ces jours-là, le roi Agrippa et Bérénice
vinrent à Césarée saluer le gouverneur Festus. Comme ils passaient là plusieurs jours, Festus exposa au roi la situation de Paul en disant : « Il y a ici un homme que mon prédécesseur Félix a laissé en prison. Quand je me suis trouvé à Jérusalem, les grands prêtres et les anciens des Juifs ont exposé leurs griefs contre lui en réclamant sa condamnation.
J’ai répondu que les Romains n’ont pas coutume de faire la faveur de livrer qui que ce soit lorsqu’il est accusé, avant qu’il soit confronté avec ses accusateurs et puisse se défendre du chef d’accusation.
Ils se sont donc retrouvés ici, et sans aucun délai, le lendemain même, j’ai siégé au tribunal et j’ai donné l’ordre d’amener cet homme.
Quand ils se levèrent, les accusateurs n’ont mis à sa charge aucun des méfaits que, pour ma part, j’aurais supposés. Ils avaient seulement avec lui certains débats au sujet de leur propre religion, et au sujet d’un certain Jésus qui est mort, mais que Paul affirmait être en vie.
Quant à moi, embarrassé devant la suite à donner à l’instruction, j’ai demandé à Paul s’il voulait aller à Jérusalem pour y être jugé sur cette affaire.
Mais Paul a fait appel pour être gardé en prison jusqu’à la décision impériale.
J’ai donc ordonné de le garder en prison jusqu’au renvoi de sa cause devant l’empereur. »
(Ps 102 (103), 1-2, 11-12, 19-20ab)
R/ Le Seigneur a son trône dans les cieux.
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
bénis son nom très saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme, n’oublie aucun de ses bienfaits !
Comme le ciel domine la terre, fort est son amour pour qui le craint ; aussi loin qu’est l’orient de l’occident, il met loin de nous nos péchés.
Le Seigneur a son trône dans les cieux : sa royauté s’étend sur l’univers.
Messagers du Seigneur, bénissez-le, invincibles porteurs de ses ordres !
Évangile de Jésus-Christ selon Saint Jean (Jn 21, 15-19)
Jésus se manifesta encore aux disciples sur le bord de la mer de Tibériade.
Quand ils eurent mangé, Jésus dit à Simon-Pierre :
« Simon, fils de Jean, m’aimes-tu vraiment, plus que ceux-ci ? »
Il lui répond :
« Oui, Seigneur ! Toi, tu le sais : je t’aime. »
Jésus lui dit :
« Sois le berger de mes agneaux. »
Il lui dit une deuxième fois :
« Simon, fils de Jean, m’aimes-tu vraiment ? »
Il lui répond :« Oui, Seigneur ! Toi, tu le sais : je t’aime. »
Jésus lui dit :
« Sois le pasteur de mes brebis. »
Il lui dit, pour la troisième fois :
« Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? »
Pierre fut peiné parce que, la troisième fois, Jésus lui demandait :
« M’aimes-tu ? »
Il lui répond :
« Seigneur, toi, tu sais tout : tu sais bien que je t’aime. »
Jésus lui dit :
« Sois le berger de mes brebis.
Amen, amen, je te le dis : quand tu étais jeune, tu mettais ta ceinture toi-même pour aller là où tu voulais ; quand tu seras vieux, tu étendras les mains, et c’est un autre qui te mettra ta ceinture, pour t’emmener là où tu ne voudrais pas aller. »
Jésus disait cela pour signifier par quel genre de mort
Pierre rendrait gloire à Dieu.
Sur ces mots, il lui dit :
« Suis-moi. »
Les méditations ont été écrites par LCE Lourdes Cancer Espérance
1ère station : Jésus est arrêté
À peine arrivé, Judas, s’approchant de Jésus, lui dit : « Rabbi ! » Et il l’embrassa.
Les autres mirent la main sur lui et l’arrêtèrent.
Or un de ceux qui étaient là tira son épée, frappa le serviteur du grand prêtre et lui trancha l’oreille. Ils emmenèrent Jésus chez le grand prêtre. (Mc 14, 45-46)
Méditation LCE : Il est arrêté et trahi par son ami. Comment faire si on ne peut plus avoir confiance ?
Dans la vie on est bien portant et puis on est trahi par la maladie. On ne comprend pas ce qui se passe.
La présence de copains, de ma femme me donne plus de tonus. Je m’accroche. Judas n’a pas compris que Jésus lui avait pardonné. L’appât du gain et la maladie peuvent nous amener à trahir notre foi en Dieu, mais « la lumière brille dans les ténèbres ».
Intention : Seigneur, nous te confions toutes les personnes malades, handicapées, âgées, en particulier celles qui vont bientôt te rejoindre, celles qui se croient punies ou qui voient en toi un justicier vengeur.
Comme Pierre était en bas, dans la cour, arrive une des jeunes servantes du grand prêtre. Elle voit Pierre qui se chauffe, le dévisage et lui dit : « Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth ! » Pierre le nia : « Je ne sais pas, je ne comprends pas de quoi tu parles. » Puis il sortit dans le vestibule, au dehors. Alors un coq chanta. (Marc 14, 66-68)
Le grand prêtre l’interrogea de nouveau : « Es-tu le Christ, le Fils du Dieu béni ? » Jésus lui dit : « Je le suis. Et vous verrez le Fils de l’homme siéger à la droite du Tout-Puissant, et venir parmi les nuées du ciel. » Alors, le grand prêtre déchire ses vêtements et dit : « Pourquoi nous faut-il encore des témoins ? Vous avez entendu le blasphème. Qu’en pensez-vous ? » Tous prononcèrent qu’il méritait la mort. (Marc 14, 61-64)
Pilate, voulant contenter la foule, relâcha Barabbas et, après avoir fait flageller Jésus, il le livra pour qu’il soit crucifié. Les soldats l’emmenèrent à l’intérieur du palais, c’est-à-dire dans le Prétoire. Alors ils rassemblent toute la garde, ils le revêtent de pourpre, et lui posent sur la tête une couronne d’épines qu’ils ont tressée. Puis ils se mirent à lui faire des salutations, en disant : « Salut, roi des Juifs ! » Ils lui frappaient la tête avec un roseau, crachaient sur lui, et s’agenouillaient pour lui rendre hommage. (Marc 15-19)
Quand ils se furent bien moqués de lui, ils lui enlevèrent le manteau de pourpre, et lui remirent ses vêtements. Puis, de là, ils l’emmènent pour le crucifier. (Marc 15, 20)
« Comme ils l’emmenaient, ils prirent un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix pour qu’il la porte derrière Jésus. » (Luc 23, 26)
Méditation LCE : Comme aidante je suis comme Simon de Cyrène. Je n’ai rien demandé mais j’obéis. Alfred Ancel a été mis en cause par l’Église. Il a toujours obéi. Il a été mal compris des évêques et des ouvriers. Aider quelqu’un dans sa souffrance, sa maladie, son angoisse et sa détresse, c’est obéir à ce que Dieu nous demande et c’est ainsi que l’on coopère au Salut du monde.
Intention : Seigneur, nous te confions tous les soignants, les hospitaliers et les aidants. Nous te confions tous ceux qui prennent soin des autres.
C’est ta face, Seigneur, que je cherche : ne me cache pas ta face. (Psaume 26,9)
Méditation LCE : « Où est ton Dieu ? C’est celui qui est pendu au gibet ! » cela renvoie à la croix. Ce n’était pas une imitation. Il a réellement souffert et mort pour nous. On est en rapprochement avec Jésus par la souffrance. Jésus s’est rapproché de toutes les souffrances humaines, toutes les souffrances de l’existence humaine. Cela aide à supporter sa propre souffrance avec du recul. Malgré la peur et l’effroi de l’être qui souffre, l’aidant garde le courage de la bonté et de la compassion et contribue par là au Salut du monde.
Intention : Seigneur, nous te confions toutes les personnes qui ne se sentent plus dignes de ton amour, ou de l’amour de leurs proches. Nous te confions ceux et celles qui essuient les visages des malades. Ceux et celles qui sourient aux mourants. Ceux et celles qui continuent à faire les gestes de soin essentiels et quotidiens avec dévouement et douceur.
VIIIe station, Jésus rencontre les femmes de Jérusalem
« Le peuple, en grande foule, le suit, ainsi que des femmes qui se frappent la poitrine et se lamentent sur Jésus. Il se retourna et leur dit : - Femmes de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez sur vous-mêmes et sur vos enfants ! » (Luc 23, 27-28)
IXe station, Jésus tombe pour la troisième fois
Je vacille, mes oppresseurs exultent. (Psaume 12,5)
Xe station, Jésus est crucifié.
« Au lieu-dit du Crâne en hébreu, Golgotha, ils le crucifient ainsi que les malfaiteurs : un de chaque côté. Et Jésus dit : - Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu’ils font. » (Luc 23, 33-34.)
Méditation LCE : Ce qui est au centre c’est le pardon. Jésus nous pardonne nos fragilités, nos faiblesses. Ceux qui ne reconnaissent pas leur faute, Jésus demande à son Père de leur pardonner quand même. Malgré notre pauvreté et notre souffrance qui sont multiformes, il faut comme Jésus savoir pardonner à ses ennemis et ainsi réconcilier l’homme avec Dieu.
Intention : Seigneur, aide-nous à accueillir ton pardon et à pardonner à ceux qui nous ont fait du mal.
XIe station, Jésus sur la croix, sa mère et le disciple.
« Or, près de la croix de Jésus se tenait sa mère, et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas et Marie Madeleine. Jésus, voyant sa mère, et près d’elle, le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : Femme, voici ton fils. Puis au disciple : Voici ta mère. » (Jean 19, 25-26.)
Méditation LCE : Marie est particulièrement partie-prenante de notre vie. C’est elle qui a le mieux compris son fils. Alfred Ancel l’avait bien compris. Je vois mon épouse « crucifiée » par l’approche de la mort et qui me confie ceux qu’elle aime, en m’enjoignant ainsi de continuer à vivre … avec la proximité de Marie qui est là comme une mère qui nous aide.
Intention : Marie, toi qui as été au pied de la croix et qui as vu souffrir et mourir ton propre fils, aide nous à vivre dans l’espérance.
Dire ensemble la prière : Je vous salue Marie
« Il est déjà presque midi ; l’obscurité se fait dans tout le pays jusqu’à trois heures, car le soleil s’est caché. Le rideau du Temple se déchire par le milieu. Alors Jésus pousse un grand cri : Père, entre tes mains, je remets mon esprit. Et après cela, il expire. » (Luc 23, 44-46.)
Méditation LCE : Il me parle. La mort est une libération, une fin sur terre. Ça pose la question du royaume de Dieu, de l’Éternité. La foi chrétienne est ouverte, ça ouvre un avenir. La vie n’est pas finie. «Tu pourras continuer à aimer, remercier Dieu de m’avoir accompagné. Mais pourquoi est-ce si est dur pour celui qui reste ? Parce qu’on ne vit pas avec Dieu !» Je n’attends pas la libération. Je peux voir des réalisations du Royaume de Dieu aujourd’hui.
Devant notre impuissance et la défaite que représentent la mort d’un proche, Dieu se manifeste et nous dit tout de suite que la mort n’est qu’un passage qui conduit à la résurrection et à la vie éternelle ; si par notre foi qui est notre lien avec Dieu, nous croyons en l’amour éternel, il faut forcément une résurrection qui mènera à la vie éternelle ?
Intention : Seigneur, nous te confions ceux qui meurent seuls, ceux qui sont préparés comme ceux qui sont surpris, ceux qui sont angoissés, comme ceux qui sont paisibles, ceux qui se rebellent comme ceux qui sont résignés, ceux qui appellent la mort et ceux qui se la donnent. Seigneur, nous te confions tous les endeuillés.
XIIIe station, le cœur de Jésus est transpercé
« Quand les soldats voient que Jésus est déjà mort, ils ne lui brisent pas les jambes, mais l’un d’eux, de sa lance, lui perce le côté, et il sort aussitôt du sang et de l’eau. » (Jean 19, 33-34.)
XIVe station, Le corps de Jésus est descendu de la croix et déposé au tombeau.
« Joseph d’Arimathie descend le corps de Jésus de la croix, il l’enveloppe d’un linceul et le dépose dans un sépulcre neuf taillé dans le roc. » (Luc 23, 53.)
Méditation LCE : Quand on cherche ce qu’il y a de positif, y a-t-il un rapport avec la résurrection ?
Je pense à Clément, mon petit-fils dans son mot à l’occasion de sa profession de foi : «Je t’ai choisi pour partager quelque chose de très fort avec toi, pour qu’il y ait à jamais un lien entre nous.»
Le joug, faire équipe avec Jésus comme le jeu des enfants qui s’attachent une jambe avec l’autre et courent ensemble.
Nous n’abandonnons pas le corps de notre défunt sans l’accompagner vers le repos avec un rituel ; et ce corps qui rejoint la terre portera, comme le grain tombé en terre, beaucoup de fruit : nos défunts sont présents dans notre esprit et, par ce lien, nous aident.
Intention : Seigneur, nous te confions les personnes qui traversent la désespérance, donne-leur la force de persévérer et de résister dans l’attente de goûter ton espérance.
Dire ensemble la prière du Notre Père.
Bénédiction par l’animateur du chemin de croix.
Que le Seigneur notre Père vous bénisse et vous garde dans son amour, Amen
Que son Fils Jésus-Christ vous réconforte, Amen
Que le Saint Esprit vous éclaire et vous conseille, Amen
Que Dieu Tout-puissant, Père, Fils et Esprit Saint vous bénisse et vous garde dans sa paix.
Boire et se laver sont les deux gestes réalisés à Lourdes, à l’invitation de la Vierge Marie.
Cette démarche a commencé juste après le 25 février 1858, le jour où la Vierge Marie a indiqué à sainte Bernadette l’endroit où creuser pour trouver la source.
C’est à cette source, qui coule au fond de la Grotte, que Notre-Dame de Lourdes nous invite à venir « boire et nous y laver ».
• Des hospitaliers et hospitalières vous accueillent aux piscines pour vous accompagner dans la démarche du « geste de l’eau » qui peut se faire seul, en groupe, en couple, en famille, entre amis… en Église.
• Vous pouvez accomplir également la démarche personnelle de boire et vous laver le visage avec l’eau de la source qui coule aux dix-huit fontaines situées à côté de la Grotte. Le nombre dix-huit nous rappelle le nombre des apparitions.
C’est le 19 février 1858, que Bernadette s’est rendue à la Grotte pour la première fois avec un cierge et c’est le 7 avril, mercredi de Pâques que la flamme du cierge qu’elle tenait en main, lui a léché les doigts sans les brûler.
Seigneur Jésus, lumière du monde, je te présente ce cierge. Qu’il symbolise mon désir de te faire l’offrande de ma vie. Réchauffe mon cœur, brûle tout égoïsme.
Que ce cierge symbolise mes prières pour ma famille, mes collègues, mes amis, ma paroisse, tous ceux qui ont demandé que je prie pour eux en ce lieu béni.
Que ta lumière illumine le monde entier.
« Le Seigneur est ma lumière et mon salut ; de qui aurais-je crainte ?
Le Seigneur est le rempart de ma vie ; devant qui tremblerais-je ? » Ps 26,1
QU’EST-CE QU’UN DIZAINIER ?
L’origine ce sont les dix grains du chapelet que les chrétiens récitent pour confier leur prière à l’intercession de Marie. Il est utilisé pour aider à la prière.
COMMENT FABRIQUER UN DIZAINIER ?
Rien de plus facile : enfiler dix perles sur une corde fine et solide, et boucler le tout avec une croix aux goûts et couleurs de chacun.
La corde est le fil qui relie les perles. Quel est le fil de ma vie ? Quel est le fil qui me relie à d’autres, à la création, au Seigneur ?
La perle est précieuse comme celle de l’Évangile (« Le Royaume des cieux est comparable à un négociant qui recherche des perles fines. Ayant trouvé une perle de grande valeur, il va vendre tout ce qu’il possède et il achète la perle. » Mt 13,45-46). À quoi renoncerais-je pour garder la perle à laquelle je tiens par-dessus tout ?
La croix rappelle celle de mon baptême. Le Christ est-il mon premier de cordée ? Vers quel sommet m’emmène-t-il ?
Dix visages : Pour chaque perle je pense à quelqu’un que j’ai rencontré dans la journée, ou pour qui je veux prier.
Dix joies : une rencontre, un cadeau, un plaisir, une réussite, un projet. « Marie gardait toutes ces choses dans son cœur » dit l’Évangile.
Dix mercis : pour tout ce que j’ai reçu des autres, de la création, et de Dieu.
Dix pardons : pour ce regard détourné, ce mot de trop, cette pensée méchante, cette minute de haine, ce manque d’amour ou de confiance… pardon Seigneur. « Sainte Marie, prie pour nous, pauvres pécheurs ».
Dix pensées : mon cœur fait le tour de la planète, de « notre maison commune » et dix fois je pense à un pays, à un peuple, à des créatures, à un évènement que je confie à Marie.
Dix « Je vous salue » : je récite lentement la prière à Marie. Pour chacune, je peux avoir une intention, un regard, une pensée ou contempler Marie dans un évènement de sa vie (l’annonciation, la visitation, la nativité, la fuite en Égypte...).
Avec Marie, je redis oui au Seigneur.
Je confesse à Dieu tout-puissant, Je reconnais devant vous, frères et sœurs, que j’ai péché en pensée, en parole, par action et par omission ; oui, j’ai vraiment péché.
C’est pourquoi je supplie la bienheureuse Vierge Marie, les anges et tous les saints, et vous aussi, frères et sœurs, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
Gloire à Dieu, au plus haut des cieux,
Et paix sur la terre aux hommes qu’il aime.
Nous te louons, nous te bénissons, nous t’adorons,
Nous te glorifions, nous te rendons grâce, pour ton immense gloire,
Seigneur Dieu, Roi du ciel,
Dieu le Père tout-puissant,
Seigneur, Fils unique, Jésus Christ,
Seigneur Dieu, Agneau de Dieu, le Fils du Père,
Toi qui enlèves les péchés du monde, prends pitié de nous
Toi qui enlèves les péchés du monde, reçois notre prière,
Toi qui es assis à la droite du Père, prends pitié de nous
Car toi seul es saint,
Toi seul es Seigneur,
Toi seul es le Très-Haut,
Jésus Christ, avec le Saint-Esprit
Dans la gloire de Dieu le Père.
Amen.
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant,
Créateur du ciel et de la terre.
Et en Jésus Christ, son Fils unique, notre Seigneur ; qui a été conçu du Saint Esprit, est né de la Vierge Marie, a souffert sous Ponce Pilate, a été crucifié, est mort et a été enseveli, est descendu aux enfers ; le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant, d’où il viendra juger les vivants et les morts.
Je crois en l’Esprit Saint, à la sainte Église catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés, à la résurrection de la chair, à la vie éternelle.
Amen
Priez, frères et sœurs : que mon sacrifice, qui est aussi le vôtre, soit agréable à Dieu le Père tout-puissant.
Assemblée : Que le Seigneur reçoive de vos mains ce sacrifice à la louange et à la gloire de son nom, pour notre bien et celui de toute l’Église.
• Jésus le Christ, lumière intérieure, Ne laisse pas mes ténèbres me parler.
Jésus le Christ, lumière intérieure, Donne-moi d’accueillir ton amour.
• Dans nos obscurités, allume le feu qui ne s’éteint jamais qui ne s’éteint jamais (bis)
• La ténèbre n’est point ténèbre devant toi la nuit comme le jour est lumière.
• Le Seigneur est mon espérance, le Seigneur est chant, c’est de lui que vient le pardon, En lui j’espère je ne crains rien (bis)
• Magnificat, Magnificat,
Magnificat anima mea Dominum.
Magnificat, Magnificat, Magnificat anima mea.
(CFC Fr. M. Coste-Tamié /J. Berthirer - Éditions Studio S.M.)
Amis de Dieu, heureux êtes-vous ! Saints de toutes races et de toutes nations, gens illustres, gens obscurs, heureux êtes-vous Car Jésus vous accueille, dans la gloire du Père !
R/ Alléluia, Alléluia, Bienheureux le peuple des élus ! Alléluia, Alléluia, Il s´avance à la lumière du Seigneur !
J’ai demandé une chose au Seigneur, La seule que je cherche : Habiter la maison du Seigneur
Tous les jours de ma vie.
Seigneur mon partage et ma coupe :
De toi dépend mon sort.
La part qui me revient fait mes délices ; J´ai même le plus bel héritage !
Le Seigneur est ma force et mon rempart ;
A lui mon cœur fait confiance : Il m´a guéri, ma chair a refleuri, Mes chants lui rendent grâce.
Tu m´as délivré de la mort
Et tu préserves mes pieds de la chute, Pour que je marche à la face de Dieu
Dans la lumière des vivants.
(D. Rimaud / J. Berthier - Éditions Fleurus)
Disciples de Jésus, vous êtes invités au banquet de Cana. Venez, venez, venez avec Marie et partagez sa joie ; Le vin est préparé et le pain est rompu.
R/ Vous qui avez faim, vous qui n’avez rien, Venez ! Dieu vous fait justice.
Vous qui avez faim, vous qui n’avez rien, La terre vous est promise.
Si le vin vous a manqué
Pour chanter vos chants d’amour, venez, venez !
Si vous n’êtes abreuvés
Que de larmes sans mesure venez, venez !
Si le pain que vous mangez
Est un pain mêlé de cendres venez, venez !
Si vous êtes humiliés
Par les grands que vous servez…
Si vous êtes méprisés avec ceux de votre race…
Si vous n’avez pas de nom, pas de droit pour vous défendre…
R/ Vous qui avez faim, vous qui n’avez rien,
Venez ! Dieu vous fait justice.
Vous qui avez faim, vous qui n’avez rien,
La terre vous est promise.
Si le deuil a remplacé
L’allégresse des chansons…
Si le rire a déserté
Votre cœur et votre bouche…
Si vos corps ne savent plus
Ni la fête ni la danse…
Si vous n’avez eu le temps
Ni d’aimer, ni d’être aimés…
Si vous êtes dans ce temps
Sans avoir le temps de vivre…
Si vous avez seulement
Le temps de crier misère…
Si vous êtes sans argent
À la porte des festins…
Si vous êtes étrangers,
Dans les foules sans visage…
Si vous êtes sans berger,
Loin des sources d’espérance…
(A.E.L.F. / J. Berthier - Éditions : Bayard Liturgie)
R/ Magnificat, magnificat anima mea Dominum (bis)
Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur
Il s’est penché sur son humble servante désormais, tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles
Son amour s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras, il disperse les superbes. Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël, son serviteur, il se souvient de son amour, De la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et de sa race, à jamais.
(C. Bernard / J. Akepsimas - Éditions : ADF Musique)
R/ Bienheureux qui te reçoit, Tu le conduis vers l’eau vive de ta joie. Bienheureux qui te reçoit, tu fais de lui le serviteur de ta joie.
Fils de l’homme à la croisée de nos chemins, Sois béni de proclamer « Heureux les pauvres ! »
Tu le dis car Dieu te donne un cœur de pauvre, Le Royaume des cieux t’appartient.
Toi le Maître provoqué par les violents, Tu nous montres la douceur qui est ta force : Chant nouveau couvrant les cris de nos révoltes, Résistance au pays des vivants.
Toi qui pleures avec tes frères dans la nuit, Tu choisis de communier à toute peine.
Par l’Esprit consolateur tu nous relèves, L’espérance avec toi refleurit.
Toi le Juste en qui rayonne le Dieu saint, Grand Prophète avec des mots criant justice, Creuse en nous la soif de vivre à ton service ; Il viendra, le moment du festin.
Jésus Christ ressuscité, tu nous envoies.
Serons-nous des messagers « sel de la terre » ?
Dans nos vies, que resplendisse ta lumière, Nous serons serviteurs de ta joie.
(A. Broeders - Éditions de l’Emmanuel)
R/ Prenez et mangez, ceci est mon corps, Prenez et buvez, voici mon sang !
Ouvrez vos cœurs ! Vous ne serez plus jamais seuls : Je vous donne ma vie.
Demeurez en moi, comme je demeure en vous, Qui demeure en mon amour, celui-là portera du fruit.
Comme Dieu, mon Père, ainsi je vous ai aimés, Gardez mes paroles, vous recevrez ma joie.
Je vous ai choisis pour que vous portiez du fruit. Gardez mon commandement et vous demeurerez en moi.
Comme je vous aime, aimez-vous d’un seul Esprit.
Je vous donne ma vie : vous êtes mes amis !
Je vous enverrai l’Esprit-Saint le Paraclet.
Il vous conduira au Père et fera de vous des témoins.
Cherchez, vous trouverez, demandez, vous obtiendrez, Afin que le Père soit glorifié en vous !
(Fr J-B. du Jonchay - Éditions de l’Emmanuel)
Je vous salue, Marie, comblée de grâce. Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes, Et Jésus, votre enfant, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, Priez pour nous, pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen, Amen Alléluia
(C. Bernard / J. Akepsimas -Éditeur ADF-Musique)
R/ Bienheureux qui te reçoit, tu le conduis vers l’eau vive de ta joie.
Bienheureux qui te reçoit, tu fais de lui le serviteur de ta joie.
Fils de l’homme à la croisée de nos chemins, Sois béni de proclamer « Heureux les pauvres ! »
Tu le dis car Dieu te donne un cœur de pauvre, Le Royaume des cieux t’appartient.
(J.-F. Léost - Communauté de l’Emmanuel)
Mon Père, mon Père, je m’abandonne à toi, Fais de moi ce qu’il te plaira.
Quoi que tu fasses, je te remercie.
Je suis prêt à tout, j’accepte tout.
R/ Car tu es mon Père, je m’abandonne à toi, Car tu es mon Père, je me confie en toi. (bis)
Mon Père, mon Père, en toi je me confie.
En tes mains je mets mon esprit
Je te le donne le cœur plein d’amour.
Je n’ai qu’un désir, t’appartenir.
(J. Berthier / D. Rimaud)
R/ Nous sommes le corps du Christ, Chacun de nous est un membre de ce corps.
Chacun reçoit la grâce de l´Esprit pour le bien du corps entier.
Chacun reçoit la grâce de l´Esprit pour le bien du corps entier.
Dieu nous a tous appelés à tenir la même espérance, Pour former un seul corps baptisé dans l´Esprit.
Dieu nous a tous appelés à la même sainteté, Pour former un seul corps baptisé dans l´Esprit.
R/ Nous sommes le corps du Christ,
Chacun de nous est un membre de ce corps.
Chacun reçoit la grâce de l´Esprit pour le bien du corps entier.
Chacun reçoit la grâce de l´Esprit pour le bien du corps entier.
Dieu nous a tous appelés à chanter sa libre louange, Pour former un seul corps baptisé dans l´Esprit.
Dieu nous a tous appelés à l´union avec son Fils, Pour former un seul corps baptisé dans l´Esprit.
(D. Rimaud / J. Berthier - Éditions S.M.)
R/ Que soit parfaite notre unité que soit parfaite notre joie !
Ainsi le monde connaîtra les œuvres de Dieu (bis)
Comme le Père m´a envoyé,
A mon tour je vous envoie.
Je vous envoie dans le monde
Comme des brebis au milieu des loups.
Comme le Père qui est vivant m´a envoyé, Et comme je vis par le Père, Celui qui me mangera vivra, lui aussi, par moi !
Le serviteur est comme le maître, L´envoyé comme celui qui l´envoie :
On m´a persécuté, vous serez persécutés ; On a méprisé ma parole, on méprisera la vôtre.
L´Esprit que le Père enverra en mon nom
Vous enseignera toute chose ;
Il vous fera vous souvenir
De tout ce que je vous ai dit.
Je vous ai donné la Parole du Père,
Et le monde a de la haine pour vous,
Car vous n´êtes pas du monde,
Comme moi je ne suis pas du monde.
Recevoir celui que j´enverrai,
C´est me recevoir moi-même ;
Et me recevoir,
C´est recevoir celui qui m´a envoyé.
(J-P. Lécot /S. Temple - Éditeur Meta-Ed)
Seigneur Jésus, tu nous as dit
Je vous laisse un commandement nouveau
Mes amis, aimez-vous les uns les autres
Écoutez mes paroles et vous vivrez
Devant la haine, le mépris, la guerre
Devant les injustices, les détresses
Au milieu de notre indifférence
Ô Jésus, rappelle-nous ta parole
Tu as versé ton sang sur une croix
Pour tous les hommes de toutes les races
Apprends-nous à nous réconcilier
Car nous sommes tous enfants d’un même père.
R/ Fais-nous semer ton évangile
Fais de nous des artisans d’unité
Fais de nous des témoins de ton pardon
À l’image de ton amour
(T. Jean Servel M. : Choral Anglais - Éditions ??)
En toi Seigneur, mon espérance
Sans ton appui, je suis perdu
Mais rendu fort par ta puissance,
Je ne serai jamais déçu.
Sois mon rempart et ma retraite,
Mon bouclier, mon protecteur
Sois mon rocher dans la tempête
Sois mon refuge et mon sauveur.
Lorsque du poids de ma misère
Ta main voudra me délivrer
Sur une route de lumière
D’un cœur joyeux je marcherai.
De tout danger garde mon âme,
Je la remets entre tes mains,
De l’ennemi qui me réclame
Protège-moi, je suis ton bien.
(l’Emmanuel / E. Perrot - Éditions Communauté de l’Emmanuel)
R/ Bénis le Seigneur, ô mon âme,
Du fond de mon être, son Saint Nom.
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
Et n’oublie aucun de ses bienfaits.
Le Seigneur est tendresse et pitié,
Lent à la colère et plein d’amour,
Sa justice demeure à jamais.
Bénis le Seigneur, ô mon âme !
Il pardonne toutes tes fautes,
De tes maladies il te guérit, À la fosse il rachète ta vie.
Bénis le Seigneur, ô mon âme !
Comme un père pour ses enfants, Tendre est le Seigneur pour qui le craint, De son cœur jaillit l’amour.
Bénis le Seigneur, ô mon âme !
La bonté du Seigneur se répand Sur qui accomplit sa volonté, Attentif à sa Parole.
Bénis le Seigneur, ô mon âme !
Vous les anges, les saints du Seigneur, Tous ses serviteurs, toutes ses œuvres, Dans la joie bénissez-le.
Bénis le Seigneur, ô mon âme !
(Jean-Paul Lécot - U27-12 / I27-12)
R/ Jubilate Deo, Jubilate, omnis terra, Jubilate Deo.
Parole du Seigneur à son peuple : «Vous ferez retentir le cor dans tout le pays, Vous proclamerez la libération pour tous ses habitants !»
En cette année du Jubilé, Mettez mes lois en pratique, Et vous habiterez en sûreté dans le pays !
Que personne n’exploite son frère, Que personne n’use de violence envers lui, Car c’est moi le Seigneur votre Dieu !
Si vous gardez mes commandements,
La terre donnera ses produits,
Et les arbres donneront leurs fruits !
Vous mangerez de votre pain à satiété,
Vous vivrez en sûreté,
Je mettrai la paix dans votre pays !
Je me tournerai vers vous,
Je vous ferai fructifier ;
Je maintiendrai mon Alliance avec vous !
Je mettrai ma demeure au milieu de vous,
Je marcherai avec vous ;
Je serai votre Dieu et vous serez mon peuple».
(C. Bernard / M. Wackenheim - Éditions Studio SM)
R/ Christ aujourd’hui nous appelle
Christ aujourd’hui nous envoie
Vive le Seigneur qui nous aime
Dieu nous donne sa joie (bis)
Ses chemins vous conduisent vers la vie
Partez loin, l’aventure est infinie
Vous serez ses témoins
Vous qu’il nomme ses amis
Ses chemins sont amour et vérité
Le bon grain, Dieu lui-même l’a semé
Vous serez ses témoins
La parole va germer
(J-B. Du Jonchay - Éditions du Carmel)
R/ Jubilez, criez de joie ! Acclamez le Dieu trois fois Saint Venez le prier dans la paix, témoigner de son amour
Jubilez, criez de joie pour Dieu, notre Dieu
Louez le Dieu de lumière. Il nous arrache aux ténèbres
Devenez en sa clarté Des enfants de la lumière
Ouvrez-vous, ouvrez vos cœurs Au Dieu de miséricorde
Laissez-vous réconcilier, Laissez-vous transfigurer
Notre Dieu est tout Amour, Toute paix, toute tendresse
Demeurez en son Amour Il vous comblera de Lui
À l’ouvrage de sa grâce, Offrez toute votre vie
Il pourra vous transformer, Lui, le Dieu qui sanctifie
Louange au Père et au Fils, Louange à l’Esprit de gloire
Bienheureuse Trinité, Notre joie et notre vie.
(D. Rimaud /J. Berthier - Éditions Fleurus)
R/ Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui (bis)
Si vous ne mangez pas la chair du Fils de l´homme, Vous n’aurez pas la vie en vous.
Si vous ne buvez pas le sang du Fils de l´homme, Vous n’aurez pas la vie en vous.
Je suis le pain vivant :
Celui qui vient à moi n’aura plus jamais faim ; Celui qui croit en moi, Plus jamais n’aura soif.
Ma chair est une vraie nourriture, Mon sang est une vraie boisson :
Si vous mangez ma chair, si vous buvez mon sang
au dernier jour je vous ressusciterai.
Le véritable pain du ciel,
C’est mon Père qui le donne.
C’est moi qui suis le pain de Dieu, Le vrai pain qui donne la vie !
Le pain que je donne, c’est ma chair ;
Ma chair pour la vie du monde.
Tel est le pain qui descend du ciel :
Celui qui le mange ne meurt pas !
(A.E.L.F. / J. Berthier - Éditions Bayard liturgie)
R/ Allez par toute la terre, annoncer l’Évangile aux nations !
Allez par toute la terre, Alléluia !
Chantez au Seigneur un chant nouveau,
Chantez au Seigneur terre entière,
Chantez au Seigneur et bénissez son nom !
De jour en jour proclamez son salut,
Racontez à tous les peuples sa gloire,
A toutes les nations ses merveilles !
Rendez au Seigneur, familles des peuples,
Rendez au Seigneur la gloire et la puissance,
Rendez au Seigneur la gloire de son nom !
Adorez le Seigneur, éblouissant de sainteté.
Allez dire aux nations : Le Seigneur est roi !
Il gouverne les peuples avec droiture
(A. Broeders - Communauté de l’Emmanuel)
R/ Prenez et mangez ceci est mon corps, Prenez et buvez, voici mon sang !
Ouvrez vos cœurs !
Vous ne serez plus jamais seuls :
Je vous donne ma vie.
Demeurez en moi, comme je demeure en vous,
Qui demeure en mon amour, celui-là portera du fruit.
Comme Dieu mon Père, ainsi je vous ai aimés.
Gardez mes paroles, vous recevrez ma joie !
Je vous ai choisis pour que vous portiez du fruit.
Gardez mon commandement et vous demeurerez en moi.
Comme je vous aime, aimez-vous d´un seul Esprit, Je vous donne ma vie : vous êtes mes amis !
Je vous enverrai l’Esprit Saint, le Paraclet.
Il vous conduira au Père et fera de vous des témoins.
Cherchez, vous trouverez, demandez, vous obtiendrez,
Afin que le Père soit glorifié en vous !
(d‘après Is 60 / Communauté de l´Emmanuel, J.-M. Morin)
Debout, resplendis, car voici ta lumière, et sur toi la gloire du Seigneur. (bis)
Lève les yeux et regarde au loin, que ton cœur tressaille d´allégresse.
Voici tes fils qui reviennent vers toi, et tes filles portées sur la hanche.
R/ Jérusalem, Jérusalem, quitte ta robe de tristesse !
Jérusalem, Jérusalem, chante et danse pour ton Dieu !
Toutes les nations marcheront vers ta lumière, et les rois à ta clarté naissante. (bis)
De nombreux troupeaux de chameaux te couvriront,
les trésors des mers afflueront vers toi.
Ils viendront d’Epha, de Saba, de Qédar, faisant monter vers Dieu la louange.
Les fils d’étrangers rebâtiront tes remparts et leurs rois passeront par tes portes. (bis)
Je ferai de toi un sujet de joie on t’appellera “Ville du Seigneur”,
Les jours de ton deuil seront tous accomplis, parmi les nations tu me glorifieras.
(Sœur Marie-Colette Guédon / Georges Lefebvre)
La première en chemin, Marie, tu nous entraînes à risquer notre « oui » aux imprévus de Dieu.
Et voici qu’est semé, en argile incertaine
De notre humanité Jésus-Christ, fils de Dieu
R/ Marche avec nous Marie sur nos chemins de foi
Ils sont chemins vers Dieu (bis)
La première en chemin en hâte tu t’élances,
Prophète de Celui qui a pris corps en toi.
La parole a surgi, tu es sa résonnance
Et tu franchis des maux pour en porter la voix
La première en chemin pour suivre à Golgotha
Le fils de ton amour que tous ont condamné,
Tu te tiens là debout au plus près de la croix
Pour recueillir la vie de son cœur transpercé
R/ Marche avec nous Marie sur nos chemins de foi
Ils sont chemins vers Dieu (bis)
La première en chemin avec l’Église en marche
dès les commencements tu appelles l’esprit !
En ce monde aujourd’hui, assure notre marche ;
Que grandisse le corps de ton fils Jésus-Christ !
(Singer/Kempf/Studio SM)
R/ Peuple de lumière, Baptisé pour témoigner, Peuple d’évangile, Appelé pour annoncer
Les merveilles de Dieu
Pour tous les vivants.
Vous êtes l’Évangile pour vos frères, Si vous gardez ma Parole, Pour avancer dans la vérité, Bonne nouvelle pour la terre !
Vous êtes l’Évangile pour vos frères,
Si vous suivez mon exemple, Pour demeurer dans la charité.
Bonne nouvelle pour la terre !
ô, Vierge Marie, le peuple chrétien, À Lourdes vous prie, chez vous il revient.
R/ Ave, Ave, Ave Maria (bis)
Le fond de la roche s’éclaire un instant : La Dame s’approche, fait signe à l’enfant
« Venez, je vous prie, ici, quinze fois, Avec vos amies, entendre ma voix. »
Avec insistance, la dame, trois fois,
A dit « pénitence ». Chrétien, c’est pour toi !
À cette fontaine venez et buvez ; Dans l’eau pure et Sainte allez vous laver.
« Je veux qu’ici même, au pied de ces monts, Le peuple que j’aime vienne en procession. »
« Et qu’une chapelle bâtie en ce lieu
Aux hommes rappelle qu’il faut prier Dieu. »
(J.-M. Morin / P. et V. Mugnier - Communauté de l’Emmanuel)
R/ Esprit de Dieu, souffle de vie
Esprit de Dieu, souffle de feu, Esprit de Dieu, consolateur, Tu nous sanctifies !
Viens, Esprit, viens en nos cœurs
Viens, Esprit nous visiter.
Viens, Esprit nous vivifier, Viens, nous t’attendons.
Viens, Esprit de Sainteté
Viens, Esprit de vérité.
Viens, Esprit de charité, Viens, nous t’attendons.
Viens, Esprit nous rassembler, Viens, Esprit nous embraser.
Viens, Esprit nous recréer, Viens, nous t’attendons.
(C.-E. Hauguel, Éditions de l’Emmanuel)
En toi j’ai mis ma confiance, ô Dieu très saint, Toi seul es mon espérance et mon soutien ; C’est pourquoi je ne crains rien, j’ai foi en toi, ô Dieu très saint, C’est pourquoi je ne crains rien, j’ai foi en toi, ô Dieu très saint. Cela ne me sert à rien !
(Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et Co13, G.Croissant, Communauté des Béatitudes)
R/ Aimer, c’est tout donner
Aimer, c’est tout donner
Aimer, c’est tout donner
Et se donner soi-même.
Quand je parlerais les langues des hommes et des anges,
Si je n’ai pas l’Amour, je suis comme l’airain qui sonne
Ou la cymbale qui retentit
Si je prophétisais et connaissais tous les mystères, Si j’avais la Foi à transporter des montagnes, Sans l’Amour, je ne suis rien !
Quand je distribuerais ce que je possède en aumônes, Et si je livrais mon corps à brûler dans les flammes, Cela ne me sert à rien !
LES BASILIQUES
Basilique Notre-Dame du Rosaire
Basilique de l’Immaculée Conception et crypte
Basilique souterraine
Saint-Pie X
ÉGLISES ET CHAPELLES
Église Sainte-Bernadette
PÈLERINAGE
Chapelle des confessions
Chemin de croix des Espélugues
Chemin de croix de la Prairie
Piscines
Adoration
ACCUEIL ET SERVICES
Accueil
Librairie
Offrandes de messes et dons
Bureau des constatations médicales
Hospitalité Notre-Dame de Lourdes
ACCUEIL ET SERVICES
Accueil Notre-Dame
Village des jeunes
Cité Saint-Pierre
Maison Saint-Pierre et Saint-Paul
Hospitalet
Marthe et Marie
Hospitalité Notre-Dame de Lourdes
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