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charte de la cvci - principes régissant l’engagement politique de la cvci Contacts SERVICES POLITIQUE
Charte de la CVCI Moteur d’un développement équilibré Nous sommes l’interlocuteur et le porte-parole des entreprises privées acquises aux principes de l’économie de marché, qui souhaitent un développement économique, social, environnemental, équilibré et durable.
Indépendance et objectivité Nous sommes une organisation économique privée, politiquement et financièrement indépendante.
Accueil et ouverture Prestataire efficace Nous fournissons un nombre de services choisis et de qualité, au financement assuré, utiles à la marche des affaires de nos membres et qui complètent les services disponibles sur le marché.
Aiguillon politique Par des interventions appropriées, nous voulons obtenir des conditions-cadres favorisant à la fois la compétitivité et le développement harmonieux du secteur privé.
Nous sommes une structure associative à disposition de nos membres, auxquels nous offrons une plate-forme privilégiée de réunions, d’échanges et de discussions.
Employeur de qualité Nous entretenons en chaque collaboratrice et collaborateur le souci de l’excellence professionnelle et de la qualité du service aux clients et partenaires.
Principes régissant l’engagement politique de la CVCI A) Prises de position et activités publiques Dans ses interventions dites publiques (prises de position en vue de votations, fédérales ou cantonales, campagnes de récolte de signatures en vue du lancement d’une initiative ou d’un référendum, toutes activités à connotation politique et largement diffusées sur la place publique), l’engagement ou non de la CVCI et, le cas échéant, son intensité (simple prise de position, actions d’information et de sensibilisation, intervention active dans la campagne, participation à d’éventuels comités, conférences de presse, etc.), sont décidés par le Conseil stratégique, sur la base des critères suivants : intervention uniquement lorsque les sujets ont une incidence, sinon prépondérante, du moins significative sur l’économie et les conditions-cadres ou, à défaut, lorsqu’ils ont une importance considérable sur la structure de nos institutions comme par exemple les accords bilatéraux, le taux d’impôt cantonal unique, la réforme de l’Etat, la Constitution. B) Activités de lobbying Dans ses activités de lobbying (procédures de consultation, travaux de commissions, actions de sensibilisation auprès des élus, des exécutifs ou des autorités administratives), la Direction de la CVCI, au besoin après consultation du Conseil stratégique, définit les domaines d’intervention, sur la base de critères quelque
peu assouplis par rapport à ceux définis sous A) : en sa qualité d’association faîtière, interlocutrice privilégiée de l’Etat, sur le plan cantonal, en tant que membre important d’economiesuisse et de l’Union patronale suisse sur le plan fédéral, la CVCI se doit d’intervenir dans les discussions politiques qui s’ouvrent et sur lesquelles elle est consultée, même si l’impact direct sur l’économie n’est pas primordial (par exemple la formation de base, l’assurance-maladie, l’adhésion à l’ONU, les fonds en déshérence, etc.). En revanche, certains sujets manifestement marginaux ou éloignés de son champ de compétences sont laissés de côté (par exemple révision des dispositions sur le divorce, politique d’asile, législation sur les homosexuels). C) Elections En ce qui concerne le cas tout à fait particulier des élections législatives (Conseil national, Conseil des Etats, sur le plan fédéral, Grand Conseil, sur le plan cantonal), la CVCI continuera à encourager de manière générale les chefs d’entreprise à se présenter à de telles élections, afin de renforcer le poids de l’économie dans les parlements, et se bornera, le moment venu, à attirer l’attention de ses membres sur les candidats représentant l’économie (chefs d’entreprise ou cadres supérieurs d’entreprises en principe membres de la CVCI). Il en sera de même avec les candidats à l’exécutif cantonal.