INTACT HYMEN MACHINE GLOBALE
Texte : Christian Sabas
L’Œuvre fixe l’œil convoque le regard et dénude le faiseur il demande en des considérations ouvertes de bien vouloir la porter au lisible, au visible en quelque sorte… quelque part… d’un indicible… d’un vif touchant essentiellement une qualité, une possibilité… un être… un moins mourir à coup sûr… l’autre s’y attelle au sens où, entrant dans le tableau, les pieds propres, les mains gantées de velours, la pensée peinte d’élégantes égratignures, de légendes, de blocages,… nu… le vide l’invective… Le noir au bord du trou dandine… il essayera d’en dire… d’un imaginaire confus… de la différence aux semblables… d’un vrai sur l’illusoire, des origines au néant… de l‘animal l‘humain… en son tréfonds et ses lointains… ses sources. il sera question d’en dédire tout le long que donne l’acte… tout le temps que danse le sang… toute la peur qu’indique, qu’inquiète le double… que le regardeur endure donc… et ne s’assoupisse pas… Fixant le tableau… donc hors-d’œuvre… il s’en ira… décodant, déclarer :