Le monod-Poly n°07

Le Monod-Poly n°07 - janvier 2019

"Pas besoin d'argent pour être gagnant"

La Grande Guerre : un autre regard Reportage

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Les élèves de Monod aux célébrations officielles du Centenaire

Les tirailleurs sénégalais

SOMMAIRE 3

Editorial par Mme Cazaurang

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reportage Les élèves de Monod aux célébrations du 11 novembre.

Par Lilia

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L'invité : M. Thuillier rencontre avec Eva, Garance et Vanessa.

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Battlefield 1 Journal d'Adèle Par Léo et Magdaléna "Je t'écris de dessous la tente Tandis que meurt ce jour d'été" Appolinaire

11 Monod-Bloc (notes) par Magdaléna et Léo

Figures de la guerre : les tirailleurs sénégalais par Lina

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10 Monod-Culture

Marie Curie

12 L'oeil de Lilya Photo mystère et photo de l'équipe. par Lilya, Lilia et Léo

par Lilya

"And now we lie in flander fields" John Mac Crae

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Monod-Zoo Les animaux , ces héros.

Par Eva et Perrine

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Monod-cooking A la table des poilus Par Lilia et Magdaléna

photo de couverture : Le sergent Stubby, chien le plus décoré de la guerre . photo : https://terriermandotcom .blogspot.com

Le Monod-Poly : directeur de la publication : S. Lafitte Rédactrices en chef : C.-L. Colpin-Ferrey, M.L. Féry-Oger Rédacteurs : Perrine Douwes, Vanessa Duong, Lilya Hafir, Garance Joyez, Eva Le Groux-Valéry, Lilia Najimi, Lina N'Diaye, Léo Savidan, Magdaléna Zante.

Adresse : Collège Jacques Monod - 1 rue Saint-Lazare - 60200 Compiègne tel : 03 44 40 24 00 Le Monod-poly est enregistré sous licence Creative Common : CC BY-NC-ND "attribution - pas d'utilisation commerciale - pas de modification" 2

Le Monod-Poly 07 - janvier 2019

EDITORIAL par Mme Cazaurang

Dimanche 11 novembre 2018 : le ciel est bas, chargé, on n'y verrait pas le haut d'un casque à pointe. La sonnerie aux morts résonne, la Marseillaise tonne. Seuls les poppies et les bleuets nous éclaboussent de couleur ; c'est déjà mieux que les torrents de larmes et les mares de sang, comme cent ans avant ! Et le reportage des élèves sur les cérémonies à la clairière de Rethondes et à Paris va vous le prouver !

Parce qu'on commémore toujours avec gravité, tristesse, on oublie que le 11 novembre, c'est d'abord le retour de la paix qu'on célèbre.

Parce que l'Histoire, et le travail de mémoire, ça ne sert pas juste à faire pleurer dans les chaumières, à assombrir les salles de classe, et à nous rappeler que novembre sous le ciel picard, c'est le début de six mois à hiberner comme dans une tranchée.

Voilà pourquoi l'équipe du Monod-Poly a choisi de vous proposer un regard décalé sur la Grande Guerre : à l'époque, les pigeons étaient moins rapides que Snapchat pour transmettre les messages, Marie Curie et les tirailleurs sénégalais n'étaient pas des héros de la guerre, et surtout la patate du soldat n'était pas la recette que vous auriez voulu déguster les pieds dans la boue sous une pluie d'obus. Et ce n'est pas le merveilleux Docteur Thuillier qui nous dira le contraire : il a accordé une interview exclusive au Monod-Poly ! Preuve que l'Histoire, c'est d'abord de la curiosité, et ça doit être savouré !

n’est pas adapté : les baraqueyyy

En prime, des cartes postales de ma collection personnelle, créées pendant la Première guerre : colorées, romantiques, kitsh à souhait. Improbable, et pourtant... !

H. Cazaurang

Parce qu'on commémore toujours avec gravité, tristesse, on oublie que le 11 novembre, c'est d'abord le retour de la paix qu'on célèbre.

Le Monod-Poly 07 - janvier 2019

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Monod-reportage

Reportage du 10 et 11 Novembre

Photo de groupe à Paris en attendant MM. Trump et Poutine (Photo de M. Grados)

Photo de groupe avec les portedrapeaux. ( Photo de M. Grados )

Le précieux selfie de M. le président, Kathusca Andriamanjaka et Eléonore Mineur en arrière plan. (Photo : K.A.)

«Ce ne sont pas des soldats : ce sont des hommes. Ce ne sont pas des aventuriers, des guerriers, faits pour la boucherie humaine […] Ce sont des laboureurs et des ouvriers qu’on reconnaît dans leurs uniformes. Ce sont des civils déracinés.»

Henri BARBUSSE

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Nous sommes partis à Rethondes, un petit village à coté de Compiègne où se trouve la clairière de l'Armistice. Nous y avons commémoré le centenaire de la guerre 14-18. A cette occasion, nous avons pu voir M. le Président Macron. Cette journée sera gravée à jamais dans nos mémoires car nous avons passé de très bons moments et nous avons eu l'honneur d'être invités aux premières loges. Nous avons eu beaucoup de plaisir à être ensemble mais ce que nous retiendrons avant tout c'est le courage des soldats qui se sont battus pour nous et notre liberté.

Le Monod-Poly 07 - janvier 2019

Nous sommes partis à 6h30 du collège pour rejoindre Paris. A 8h du matin M. Lafitte a emmené certains élèves au Mcdonald's pour "petit déjeuner". Nous nous sommes installés dans les gradins... mais nous avons été surclassés pour une raison inconnue ! Nous attendions Donald Trump avec impatience mais il est arrivé en retard. Après un long temps d'attente nos doutes se sont confirmés...

Donald Trump ressemble vraiment à une orange sanguine. Puis M. Poutine, est arrivé lui aussi. Nous sommes partis ensuite pour retourner à Compiègne.

Lilia

l'invité : Monsieur Thuillier

1) Comment ressentez-vous cette guerre ?

C’est la première des guerres mondiales et jusqu’à là, personne n’avait ressenti autant de violence.

Cela a était terrible pour des millions d’êtres humains car ils ont été confrontés à un déluge de feu et d’acier.

2) Quelles sont selon-vous , les personnes les plus importantes de ce conflit ?

Tous simplement les soldats.

3)Avez-vous de la famille qui a participé à cette guerre ? Si oui avezvous une anecdote à ce propos ?

- 4 arrières grand-pères dont un qui a été fait prisonier en Allemagne ; - 3 arrières grand-oncles morts.

C’étaient 3 frères : le 1er est mort à 20 ans, le 2ème à 22 ans et le dernier à 25 ans.

Mon arrière grand-mère allait à Reims en vélo pour aller voir son mari qui avait été mobilisé.

4) Que souhaitez-vous transmettre à vos élèves quand vous enseignez la Grande Guerre ? Que voulez-vous que vos élèves en tirent ?

Que la guerre est une bêtise. Il faut tout faire pour éviter la guerre, sauf sacrifier sa liberté.

5) Quelle période historique est oubliée par les programmes et que vous voudriez enseigner ?

Il n'y a pas de périodes oubliées mais il y a des moments de l'histoire qui sont peu traités , par ex : l'histoire des Gaulois en 6ème , ou en 3ème la crise de 1929 qui n'a pas été assez évoquée. De manière plus générale , par exemple à la télévision, on parle très peu du Moyen Age.

6) Quel est votre personnage historique préféré ?

Le général De Gaulle, pour ses actions.

7) Et votre période historique préférée ?

L'Antiquité romaine.

Il faut tout faire pour éviter la guerre, sauf sacrifier sa liberté.

8) Pensez-vous que vos élèves s'intéressent à cette guerre ?

OUI !

9) Avez-vous une pensée pour les soldats de la guerre ?

Bien sur ! Parce qu'on les a envoyés au sacrifice et ils n'ont pas été récompensés d'une bonne manière.

M.Thuillier a fait une thèse qui montre que la forêt de Compiègne n'existait pas durant l'Antiquité ; elle nait au début du Moyen Age.

M.Thuillier à son bureau pendant l’interview. (photo de mme Colpin)

Eva, Garance, Vanessa.

M. Thuillier vous conseille: Pour les 6ème : La grande guerre racontée aux enfants (C. Groux G. Lehideux) Pour les 3ème : A l’ouest rien de nouveau (E.M Remarque)

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Figures de la guerre

tirailleur sénégalais (image provenant du livre : "Sur la piste du soldat inconnu "

tirailleurs 1918 (auteur inconnu)

Les tirailleurs sénégalais Entre 1914 et 1918 , 181 512 tirailleurs sénegalais se battent dans l'armée française.

Les tirailleurs sont des troupes d'infanterie coloniale recrutés dans toute l'Afrique. Les premiers soldats noirs à servir la France sont d'anciens esclaves, les "laptots" .

D'où vient le terme "sénégalais"?

Le terme "sénégalais" leur est donné du fait que le premier régiment a été crée à Saint-Louisdu-Sénegal.

Le recutement des tirailleurs : Le recrutement n'était pas encore trés important en Afrique mais dès le début de 1915 on procède à de nouveaux recrutements parce qu'il faut renouveler des hommes : on manque de soldats dès cette époque. Mais très vite le volontariat cède place à la contrainte qui ressemble à une véritable chasse à l'homme.

La relation entre les soldats: Il est très étonnant de constater que tout le long de leur histoire les tirailleurs sénégalais ont été l'objet d'une perception mitigée de la part des autres soldats : il y a ceux qui 6

les considèrent courageux, dévoués, efficaces... et ceux qui les jugent inefficaces et pas adaptés à la guerre moderne.

Leurs conditions de vie et l'exemple du camp du Courneau : Serge Simon, a révélé dans un reportage les conditions infâmes infligées aux soldats africains dans ce "camp de la misère" situé dans la zone marécageuse du Courneau, près de Bordeaux. Il montre leurs conditions de vie et les révoltes d’appelés contre leur enrôlement.

Serge Simon rappelle d'abord le caractère d’urgence qui a motivé la construction de ce camp en 1916 : c’est le début de l’enracinement du conflit, Il y des centaines de milliers de blessés, c’est une catastrophe sanitaire. Le service de Santé des Armées est dépassé. Un problème particulier se pose en plus pour les soldats africains : ils supportent très mal le froid de l’hiver français. On décide donc de construire des camps d’hivernage dans le Sud de la France, afin qu'ils s'habituent au climat. Il faut trouver un site, vite ; mais Le Courneau se révèle Le Monod-Poly 07 - janvier 2019

rapidement être inadapté : les baraques en carton goudronné explosent avec les premières pluies, le sol en terre battue devient une funeste mare, pas de couvertures, pas de chauffage. Le froid, l’humidité, la promiscuité font le lit d’une épidémie de pneumonies. Près d'un millier de tirailleurs meurent au camp du Courneau.

Quelle reconnaissance pour les tirailleurs sénégalais ?

Malheureusement les tirailleurs sénégalais de la 1er Guerre Mondiale n' ont été reconnus ou considérés que très récemment. Le dernier tirailleur, Abdoulaye N'Diaye, est décedé en 1998 et a été décoré de la Légion d'honneur à titre posthume. « Passants, ils sont tombés fraternellement unis pour que tu restes Français » Léopold Sédar Senghor.

Lina Serge Simon, Une pensée du Courneau , France3 Aquitaine, 2010, 52 min.

Figures de la Guerre Marie Curie (1867-1934) : une scientifique au service des soldats Quand on parle de guerre,on pense souvent aux blessures des soldats,des gueules cassées... mais qu'en est-t-il des blessures au combat ? Et qui était là pour les diagnostiquer ?

Focus sur Marie Curie, physicienne généreuse.

Maria Sklodowska a 24 ans quand elle quitte la Pologne pour rejoindre sa soeur Bronia à Paris.

Elle entend parler du radium et commence des recherches approfondis sur le sujet.

Entre temps, elle rencontre Pierre Curie, un étudiant en physique comme elle , et , tous les deux vont consacrer leur vie au radium.

Grâce à toutes leurs recherches, Marie et Pierre obtiennent le prix Nobel de physique en 1903 (avec Henri Becquerel).

Hélas en 1906 Pierre meurt écrasé sous un camion hippomobile : un évenement qui abat Marie, mais ne l'empêche pas de poursuivre leur oeuvre : En 1911 , elle obtient seule le Prix Nobel de Chimie.

Quand le conflit mondial éclate, elle n'hésite pas à s'investir dans l'effort de guerre.

Elle s'engage donc au front avec sa fille Irène à bord des "petites Curies", camions équipés de matériel radiologique.

Marie Curie a apporté de bonnes choses à la période de la guerre; elle a sauvé des vies .

Quelques citations de la grande physicienne: "Dans la vie, rien n'est à craindre, tout est à comprendre."

"Premier principe: ne jamais se laisser abattre par des personnes ou par des événements."

"Vous ne pouvez pas espérer construire un monde meilleur sans améliorer les individus."

Ses actions: - 20 voitures radiologiques sur le front.

"J'ai appris que la voie du progrès n'était ni rapide ni facile."

- 200 postes fixes dans les hôpitaux

"Pensez à être moins curieux des personnes que de leurs idées."

- 180 manipulatrices radio formées dans son école.

- plus d'un million de soldats secourus par ses installations et 1000 d'entre eux secourus par ses propres mains !

"Nous devons croire que nous sommes doués pour quelque chose, et que cette chose, à n'importe quel prix, doit être atteinte."

"C'est toujours bon d'épouser votre meilleur ami."

Le saviez-vous? Lorsque Marie était victime de calomnies c'est le grand physicien Albert Einstein qui la réconfortait.

Lilya Marie Curie, pendant la guerre, au volant d'une "petite curie"

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Monod-zoo Les meilleurs amis de l'homme, même en guerre...

Même en guerre chiens, chevaux, ânes, oiseaux... tous restent fidèles aux hommes malgré les batailles.

Tous les animaux ont leur utilité : les chevaux servent à apporter les munitions et des approvisionnement, les pigeons voyageurs servent

à envoyer des messages ...

Environ 14 millions d'animaux qui ont participé a la guerre , c'est 6 millions de plus que les hommes.

Vaillant et Satan Vaillant est un pigeon voyageur qui transmit un message très important,grâce à lui tout un regiment échappa à la mort.

Satan,lui est chien, et lui aussi sauva un régiment.

Ce sont tout deux des animaux et pourtant ils ont realiseé de grande choses.

Vaillant et son équipement (photo : http://wwhistoblog.blogspot.com)

L'âne , l'ami des tranchées On parle très souvent des chevaux ou encore des mûlets mais pas souvent des ânes alors qu'ils ont une place importante dans la guerre.

Ils avaient les mêmes missions que les chevaux : Apporter le ravitaillement, les munitions...

Ils venaient chercher les morts ou les blessés au front.

Ils étaient moins rapides que les chevaux mais 8

portaient des charges beaucoup plus lourdes.

Les ânes étaient si importants qu'ils avaient un hôpital pour se faire soigner.

L'hôpital se trouvait a Neuville-lès-Vaucouleurs dans la Meuse Il a acceilli les ânes lors de la bataille de Verdun, à 100 kms de là.

Eva et Perrine Le Monod-Poly 07 - janvier 2019

A Neuville-lès-Vaucouleurs, un monument garde le souvenir de l'hôpital qui accueillait des ânes blessés sur le champ de bataille de Verdun. (Photo MLFO)

Monod-cooking

La patate du Poilu par lilia et Magdalena

- Laver des pommes de terre - Cuire les pommes de terre dans une casserole d'eau à ébulition pendant 20 à 25 minutes - Epelucher les pommes de terre - Ecraser les pommes de terre - Faire une assiette avec l'écrasé de pommes de terre et du lard Votre patate du poilu est prête !

Patate du poilu faite par nos soins (photo L.N.)

La patate d'aujourd'hui - Laver les pommes de terre - Faire des trous à l'aide d'une fourchette (important) - Cuire la pomme de terre au four emballée dans du papier alluminium à 180 degrès pendant 50 min - Couper finement de la ciboulette - Ajouter la ciboulette dans avec deux yaourts dans un bol - Assaisoner à votre goût - Déballer les pommes de terre et faire une entaille au milieu - Rouler une tranche de jambon et placer la dans l'entaille.

Patate d'aujourd'hui faite avec amour (photo L. N.) Le Monod-Poly 07 - janvier 2019

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Monod-Culture intensive Le Journal d'Adèle de Paule Du Bouchet Cette oeuvre a été écrite par Paule du Boucher.

Il raconte l'histoire d'une jeune fille, Adèle, qui rêve de devenir institutrice. Adèle va rencontrer des obstacles, la guerre qui l'empêche d'aller à l'école et un père qui s'oppose à son rêve. Ses deux grands frères vont être mobilisés et son petit frère va vivre avec elle. Les soldats vont réquisitionner de la nourriture et des chevaux. Son père va être mobilisé à son tour et Adèle va devenir marraine de guerre pour un soldat dénommé Lucien.

Dans le livre, on peut ressentir l'angoisse qu'éprouvaient les gens qui vivaient à "l'arrière".Va-t-elle pouvoir réaliser son rêve? vous le découvrirez au fil des pages. Bonne lecture !

Magdaléna

folio junior, 140 p. disponible au CDI

Battlefield 1 Les jeux videos sur la première Guerre Mondiale peuvent apporter une certaine compréhension de la gravité de la guerre, de ses conséquences, des blessures et de leur profondeur. La violence des combats fut sans égale (et je l'espère le restera). Ce jeu video le retranscrit vraiment bien pour que le joueur soit immergé dans l'histoire, pour qu'il se mette à la place du personnage qu'il joue . Battlefield 1 nous plonge dans l'année 1918, lors les derniers combats de ce conflit meurtrier.

Léo. www.flickr.com stefans 02

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Monod-Bloc (notes)

14-18 : maux croisés 1 - et boum !

2- Un animal des plus têtus.

3 - En Russie en 1917.

4 - Bien bétonnée ches les Allemands 5 - La clairière la plus célèbre du monde.

6 - Soldat français.

7 - Bataille la plus emblématique de 14-18

13 - Toujours abondant du côté français.

8 - Ils pullulent dans les tranchées.

14 - Kaiser

9 - Au bout des fusils.

15 - devenu symbole de la Première Guerre mondiale grâce à John McCree.

10 - général qui arrive en 1917, mais décisif quand même !

11 - et reboum !

12 - Gaz qui ne vient pas de Dijon.

Le Monod-Poly 07 - janvier 2019

Léo et Magalena 11

l'oeil de Lilya

photo mystère

Toute l'équipe vous dit à bientôt !

Mme Féry-Oger offrira un cadeau aux trois premiers élèves qui viendront lui dire où se trouve cette image au collège !

de gauche à droite : Vanessa, Garance, Mme Colpin-Ferrey, Perine, Eva, Lilya, Magdaléna, Léo, MMe féry-Oger,Llilia, Lina.

Le Monod-Poly 07 - janvier 2019

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