L'Azenda hebdo du 18 mai 2018

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musique

SI ON SORTAIT ? LA SÉLECTION HEBDO DES SOIRÉES, CONCERTS, THÉÂTRE, ETC..

CONCERT

théâtre

VENDREDI 18 MAI 18:00 Entre Deux 18:30 St Joseph 18:30 St Denis 19:00 Les Avirons 19:00 St Leu 19:30 Ste Clotilde 19:30 Trois Bassins 19:30 L’Hermitage 20:00 St Paul 20:00 La Possession 20:00 La Saline 20:00 St Leu 20:00 St Denis 20:00 St Paul 20:00 St Denis 20:00 St Paul 20:00 St Leu 20:00 St Benoit 20:00 Le Tampon 20:00 Pl. Palmistes 20:00 St Pierre 20:30 Le Tampon 21:00 St Leu 21:00 St Pierre 22:00 Le Tampon

LES ÉBLOUIS - CIE YANN LHEUREUX

CONCERT

Vendredi 18 mai 19h | Les Avirons | Parvis de la salle Georges Brassens | nc Samedi 19 mai 17h | St Benoît | Les Bambous | nc

Q

Anagramme des « oubliés », qui devait être le titre à l’origine, « Les éblouis » se base sur un point de vue original. Inspiré de ce qu’il vit et découvre aux côtés de sa mère atteinte d’une maladie de type Alzheimer, Yann Lheureux choisit d’en « parler » en d’autres termes que ceux d’une perte (de la mémoire, d’autonomie, d’identité, d’activité…). Qu’est-ce qui, en parallèle, apparaît ? Comment ces gens, pris entre un passé évaporé et un futur sans projection possible, évoluent-ils en funambules sur le fil de l’instant ? Qu’auraient-ils à dire ?

Ils sont perdus éperdus Yann Lheureux n’est habituellement pas un adepte de ce genre de thèmes dans son travail de création. Après une parenthèse de plusieurs mois en Corée qui lui permet une prise de recul, il décide de changer de démarche pour cette fois. La maladie est entrée dans sa vie car elle touche sa mère. Il s’y intéresse donc depuis quelques années. Il entame alors un véritable travail d’investigation, dans des EHPAD, auprès de gériatres, de scientifiques, de patients, collectant ainsi témoignages médicaux et personnels. Nourri de toutes ces rencontres et observations, Yann rejoint la poésie de l’écrivain Christian Bobin, dans son ouvrage « la Présence pure », dont il s’inspire également. Il y a quelque chose de profondément touchant dans ce placement involontaire, irrémédiable, dans « l’effervescence » d’être dans l’instant et seulement cela. On oublie qui l’on est : nous voilà amené de façon

totalement incontrôlée à renégocier à chaque instant nos goûts, nos clichés. En effet, avec les souvenirs et les habitudes, se déconstruisent aussi les a priori intégrés et les croyances. Oublié, le passé : « on retente l’aventure » dans les petites choses de la vie (Yann parle de sa mère qui ne buvait jamais de vin et qui, l’ayant oublié, s’est trouvée à en apprécier un verre). Dans ce que l’on appelle « la perte des convenances », on peut de même voir une déshinibition de ce que sont les gens (pour le meilleur et pour le pire). Le chorégraphe s’est demandé « ne sont-ils pas plus eux-mêmes qu’ils ne l’ont jamais été ? », et d’ajouter « il y a moins de filtres, ils sont moins liquoreux, plus abruptes ». C’est aussi ce qu’avait relevé Christian Bobin : « la maladie d’Alzheimer enlève ce que l’éducation a mis dans la personne et fait remonter le coeur en surface ». UNE EXPÉRIENCE, UN PARTAGE « J’ai eu envie de créer un cycle de travail autour de ça, qui serait ponctué de chorégraphies », explique Yann Lheureux. Après deux résidences à la Réunion, le spectacle est prêt à être partagé. Créé pour les espaces publics, il s’inscrit dans une volonté de rappeler le droit de cité pour ces personnes « qu’on enferme bien volontiers, par pudeur, par honte, ou par facilité ». La compagnie revisite les espaces urbains, à la rencontre et en grande proximité avec les spectateurs. L’interaction avec le public est un enjeu majeur des Eblouis. Sur le plan dramaturgique, l’accent se porte davantage sur « une aventure sensible, poétique et physique » que sur une recherche de « spectaculaire » (bien qu’il y ait quelques passages de ce registre). Les artistes évoluent en une sorte de déambu-

© Nicolas Noël

ON VOUS LE CONTE AUTREMENT

Vendredi 18 mai 21h | St Leu | La Ravine | 30-45€

Yann Lheureux et sa compagnie ont décidé de bouleverser certaines habitudes, pour cette toute nouvelle création, « Les éblouis ». Le sujet est grave : la maladie d’Alzheimer implique de terribles et irréversibles pertes. Mais le chorégraphe explore le thème sous un autre angle, et avec une passion sincère. Cette œuvre est à découvrir de toute urgence et je m’en vais vous dire pourquoi. uand la mémoire et les repères s’étiolent, les perceptions changent. Perdus ou éperdus, oubliés ou éblouis, ou tout à la fois… Et si ces gens venaient raconter cette autre manière d’être au monde, à la vie, à soi ?

THE STANLEY CLARKE BAND

lation sur l’espace de jeu, sur des créations sonores intégrant des textes de l’écrivain François Beaune. Celui-ci a en effet été sollicité pour la mise en mots des témoignages et moments d’histoire racontés, entre fiction et réalité. Côté sonorisation, le dispositif est d’ailleurs très particulier : les danseurs portent les enceintes en bandoulière, dans une volonté de « spacialiser » le son. Ce défi technique répond au souhait de mobiliser le public, l’amener à se déplacer. Les 4 interprètes - de 20 à 57 ans ne sont pas seulement des danseurs (comédiens, circassiens…) et ont été choisis aussi pour la personnalité qu’ils expriment. VIVRE L’INSTANT : LE MAL DE NOTRE TEMPS ? Alzheimer est un des maux de notre époque. Qui n’a pas ressenti une fois ce besoin d’arrêter le brouhaha des cogitations pour vivre l’instant présent ? D’ailleurs, on nous sert l’expression à toutes les sauces, des divans des psy aux rayons développement personnel, ou encore du côté des enseignements spirituels… Pauvres de nous, « le passé nous écrase contre l’avenir », comme dit La Boétie, et nous voilà bien en peine de le saisir, ce fameux instant. Et ce temps, la maladie l’efface ou le redéfinit, et l’interprétation que l’on s’en fait, n’est peut-être qu’une question de point de vue… Mais je m’égare ! Sans verser dans la naïveté d’un regard faussement joyeux sur le drame humain, affectif et familial que constitue cette terrible maladie, « Les Eblouis » se veut un partage poétique, tendre, parfois drôle, curieux, se gardant de la stigmatisation ou du pathos qui enferme. Une expérience sous-tendue de sens, à voir, à vivre, à sentir… qui visiblement laisse aussi à réfléchir ! Lalou

Le Stanley Clarke Band à la Ravine Saint Leu : on en rêvait, ils l’ont fait. Qui « ils » ? Les organisateurs d’Opus Pocus, en marge mais dans la même veine que le festival high quality qu’ils nous préparent pour juillet. Assurément, la venue de cette légende vivante de la musique internationale, pour une date unique, marquera la saison culturelle du sceau de l’excellence. En d’autres mots, à St-Leu ce vendredi, se déroulera un événement de grande, très grande classe.

S

tanley Clarke est un dinosaure du jazz rock fusion, soit dit sans offense. Son parcours, on l’imagine façon biopic à l’américaine. La musique lui doit beaucoup, et c’est pas les bassistes qui diront le contraire. HASARDS ET RÉVOLUTIONS Quand il était enfant, Stanley voulait jouer du violon, mais l’instrument se révéla peu adapté à ses doigts qu’il jugeait trop épais ! Il s’est ensuite essayé au violoncelle, sans plus de succès. Et puis un jour, il a trouvé une vieille contrebasse acoustique, qui traînait dans un coin, à l’école. Bingo. Travailleur, doué, acharné, Stanley fait ses débuts professionnels (oui oui) à l’âge de quinze ans, invité par le saxophoniste Byard Lancaster, pour une série de spectacles. Cette expérience sera l’étincelle qui allumera l’inspiration et les ambitions musicales du bassiste pour des décennies. Quelque temps plus tard, Stanley Clarke quitte sa ville et la Philadelphia Music Academy pour rejoindre New York. C’est là qu’il rencontre et se lie d’amitié avec Chick Corea. Ensemble, ils fondent un des premiers groupes de Jazz Rock : « Return to Forever ». Au sein de cette formation

avant-gardiste, Stanley Clarke se fait largement remarquer, notamment pour sa dextérité de jeu littéralement envoûtante, mais aussi par son approche nouvelle. La basse se place en instrument lead, mélodique et harmonique. C’est une libération : l’instrument passe ainsi de l’arrière au devant de la scène. Son premier album (« Stanley Clarke », 1974), constitue déjà un coup de maître. Il connaît un succès mondial. Depuis, son œuvre n’a cessé d’influencer et d’inspirer toute une génération de musiciens. De collaborations en créations et tournées mondiales, il a partagé la scène avec les plus grands. Georges Duke, Jeff Beck, Stewart Copeland, Billy Cobbam, Lenny White, Jack DeJonhnette, Stan Getz, Paul McCartney, Quincy Jones, Marcus Miller, Aretha Franklin, Stevie Wonder, Herbie Hancock, trop nombreux pour les citer tous … Les années passent et l’étoile Clarke monte encore. Bassiste vedette du jazz fusion, il sait marier à la perfection l’énergie rock, les harmonies jazz et l’âme funk. Son talent et sa créativité sont sollicités pour le cinéma et la télévision. En parallèle, il compose au cours de sa carrière plus de quarante albums. L’art de Stanley se voit honoré de toutes les façons imaginables :

disques d’or, de platine, nominations aux Emmy, assez de Grammy Awards pour s’en faire des étagères, et même la clef de la ville de Philadelphie… Les magazines et critiques, spécialisés ou non, reconnaissent son génie. Il est probablement aujourd’hui le bassiste et contrebassiste le plus acclamé dans le monde. Mega star, Stanley Clarke n’en a pas pour autant oublié d’où il vient. Sa carrière s’est construite de hasards, de chances (qu’il a su saisir), de rencontres et de mains tendues. C’est pourquoi il se tourne lui-même vers la future relève, en encourageant et en invitant à son tour de jeunes musiciens [voir interview ci dessous]. C’est aussi pour lui une façon de faire vivre et perdurer la musique. COURS, PUBLIC, COURS À LA RAVINE ! La Réunion, parfois c’est loin, pour certaines choses. Parole de Yab la Plaine, un concert de ce genre relève du mythe. Vous l’aurez compris, Stanley Clarke en live à la maison, c’est une occasion qui ne se présentera peut-être plus. C’est le genre de concert dont vous pourrez dire « j’y étais », une chance à ne pas manquer pour tout mélomane qui se respecte. Lalou

organisateur des concerts « By Opus Pocus » et du festival du même nom.

2 QUESTIONS À YANN VALLÉ

4 QUESTIONS À STANLEY CLARKE

Faire venir une «légende vivante» : grande idée !... Pourquoi précisément Stanley Clarke ? Parce que c’est un immense musicien, jamais venu à La Réunion et que ce projet est particulièrement intéressant. Nous avions appris que le groupe préparait une tournée en Europe en mai 2018.

Comment vous est venue cette passion pour la musique et la création artistique ? D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours profondément aimé la musique. Ma mère avait l’habitude de chanter des airs d’opéra à la maison. Elle avait aussi un certain talent pour la peinture. Depuis mon plus jeune âge, elle m’a parlé et sensibilisé à l’art.

C’est quoi le concept «By Opus Pocus» ? Nous organisons d’autres

concerts dans l’année, sans lien direct avec le festival mais avec la même exigence artistique, la même attention portée à la technique (et généralement la même équipe technique), le même souci de l’accessibilité et de la convivialité. Il nous a paru intéressant de le faire savoir en regroupant ces différents projets hors-festival sous l’appellation « By Opus Pocus ». La fréquence n’est pas du tout arrêtée.

Stan Getz, Paul Mc Cartnez, Quincy Jones, Marcus Miller, Stewart Copeland,

JEUNE PUBLIC

TÊTE HAUTE

Jeudi 24 mai 19h | Vendredi 25 mai 20h | St Denis | Théâtre du Grand Marché | 5-20€

«

Vavang’Art Audito. H. Payet Ciné Lacaze Georges Brassens Ronda Chez Tiroule Téat Champ Fleuri La Souris Mécanik Relais l’Hermitage Léspas Oh Suzie Q! Les Cocotiers Le Bistrô Apoteek Bistrot de Saint-Paul Mahé La Bourdonnais La Cerise Yourtes en scène Bisik Luc Donat Guy Agenor Drôles De Zèbres El Latino La Ravine Le Toit Le Long Board

DANSE PROJECTION

GRATUIT

Soirée Salsa Maloya dousman Le Concours 6€ Les Eblouis De 3 à 5€ Sly Sugar festival du film d’aventure 2018 14€ Vinyls’Friday (Ragga/Dancehall) Artbis 36€ Marie-Alice Sinaman, avec Erick Fleuris et Wilfrid Themyr 18€ Ilda Park (Pop/Rock) Ben Dee Sylvia Pellegrini (Jazz/Blues) Bourbon Strings Parade (#BSP) (Jazz/Blues) Karma coustik (Variétés) Los Chilenos Tropicales (Latino) Loki Lonestar (Hard/Metal) Sly Sugar N/C Kozé Frédéric François 52€ Les Emigrés 10€/20€ Blue Yab’s Will funk The Stanley Clarke Band De 30 à 45 € Mounawar (World (Musiques du monde)) Migfy (chanson/folk)

SAMEDI 19 MAI

© Caroline Bigret

NI AVANT, NI APRÈS

© Raj Naik

ALL ABOUT THAT BASS

INTERVIEWS

© Nicolas Noël

danse

DANSE

L’AGENDA

THÉÂTRE

Parfois le choix d’un sujet tient à peu de choses. Un titre m’interpelle : «Tête haute». Tiens... Le spectacle s’adresse aux enfants... Voilà qui me semble partir bien. Banco je m’occupe du dossier. Je m’y penche et finis par avoir envie d’y plonger carrément.

Dans les couloirs du temps du monde d’avant, il était une dernière fois un roi et sa reine et ils attendent le prince qui sera leur enfant. Quand le prince vient au monde c’est une princesse dont une main est fermée comme un poing impossible à ouvrir, et de l’autre le pouce était absent. Ni le roi ni la reine ne voulait de cette enfant. Dans la nuit de colère noire qui suivit, neuf cavaliers masqués enlevèrent la princesse pour l’abandonner dans la lande sauvage. Et depuis le royaume de Nerville est à feu et à sang ». Nous partons donc visiblement sur la trame d’un conte. Une héroine rejetée pour n’avoir pas tiré le Y à la grande loterie de la génétique. Abandonnée sans prénom dans la forêt, cette enfant, comme on s’y attend, va rencontrer un « adjuvant ». Peu banal : il s’agit de Babel, un vieux dictionnaire, « qui lui apprend par le coeur tous les mots de toutes les langues ». Grâce à lui, la petite fille s’éveille, écrit, vit. Elle découvre aussi le sens du verbe, et apprend « l’indiscipline des mots ». « peur », « temps », « fierté »... La petite fille s’approprie le sens et Keith Richards, Aretha Franklin, Herbie Hancock… Vous avez travaillé avec les plus grands. Quelle(s) experience(s) de collaboration vous ont le plus marqué ? Ce que je retiens de ces expériences avec les autres musiciens, au-delà de ce qu’ils ont joué, c’est leur attitude et l’émotion qu’ils font passer à travers la musique. Le musicien le plus « positif » avec qui j’ai partagé la scène est probablement Stewart Copeland. On peut vraiment ressentir son engagement dans la musique, il s’implique. Herbie Hancock, c’est toute la confiance du monde. Quand je joue avec Herbie, je sais que la musique sera

trace sa route vers le Royaume d’où elle vient. Elle invente son chemin, tête haute. Hummm... comment vous dire ? merci messieurs d’avoir eu cette idée lumineuse de questionner un thème que l’on a trop tendance à mettre de côté, pour « plus tard, quand tu seras grand » ! Le questionnement de fond est intéressant, porteur de métaphores existencielles pour ceux qui voudront bien les y voir, et dont l’écriture promet une certaine poésie. Poursuivons : comment se présente l’affaire dans la forme ? NOUVELLES TECHNOLOGIES, NOUVEAU LANGAGE. Joël Jouanneau, l’auteur, explique : « le jeu video et le jouet électronique ont aujourd’hui pris la place de la toupie et du cheval à bascule, c’est un constat ». Son travail, comme celui du metteur en scène Cyril Teste, se veut étroitement lié à ces nouvelles technologies. L’idée est de composer une nouvelle écriture scénique et forcément spéciale. Il y aurait encore beaucoup à raconter !!! A la Réunion, vous allez être accompagné de 4 musiciens. Comment les avezvous rencontrés ? Lenny White et Chick Corea m’ont parlé de Beka Gochiashvili. Ils m’ont dit qu’il serait un des meilleurs, un musicien talentueux, professionnel depuis un âge précoce et qu’il était extrêmement compétent pour son âge. J’ai rencontré Cameron Graves alors qu’il était tout jeune. Il faisait partie d’un mouvement en plein essor à Los Angeles, appelé « the West Coast Get Down ». Ces

dramaturgique liée à ces outils et d’inventer de nouveaux modes narratifs, qui s’inscriraient dans l’environnement numérique devenu familier aux enfants de notre époque. Le résultat de cette recherche est une oeuvre « théâtrale qui s’appuie sur un dispositif cinématographique et e temps réel et sous le regard du public ». A la manière d’un livre pop up, l’histoire se déploie, entre théâtre d’ombres et film d’animation 3D. Je vois là une façon innovante de mêler le jeu du théâtre traditionnel, actif et instantané, aux possibilités visuelles virtuelles, pour obtenir un vrai spectacle vivant. Je vous le dis direct : la proposition m’emballe complètement. Le thème est profond, intelligent et original. Les techniques et le langage promettent une poésie tant dans les mots que dans l’univers visuel et imaginaire. Un spectacle pensé, inspirant, beau et à portée des enfants : j’y vais tête haute. Lalou

musiciens y sont pour beaucoup dans la récente et forte résurgence du jazz à LA, et maintenant à l’international. Shariq Tucker est un jeune batteur incroyable et une force de la nature. De nombreux batteurs me l’ont recommandé. Salar Nader est un joueur de tabla énorme, formé auprès du maître Zakir Hussain. Salar est un génie sur son instrument. C’est votre premier séjour à la Réunion. Vous connaissiez ? J’en sais très peu sur l’île et j’aimerais tout découvrir !

14:00 Aurère 14:00 L’Hermitage 16:00 Entre Deux 17:00 St Benoit 18:00 St Paul 18:00 A La Réunion 19:00 St Pierre 19:00 St Gilles 19:30 Boucan Canot 19:30 St Leu 20:00 St Paul 20:00 La Possession 20:00 St Denis 20:00 St Leu 20:00 Entre Deux 20:00 St Pierre 20:00 Trois Bassins 20:00 St Pierre 20:30 Le Tampon 20:30 St Denis 21:00 Le Port 21:00 St Paul 21:00 St Pierre

Mafate La Fêt’Mafate 10€ Lé Pié dan l’O Dj set | Beach Party Kollektiv Zusamme Vavang’Art Initiation Capoeira 10€ Les Bambous Les Eblouis N/C La Cerise Zétoile Nuit européenne des musées #14 L’Unikaz Boubacar Cissokho (World (Musiques du monde)) Au chapeau Le Grand Bleu Blue Yab’s N/C Hôtel Boucan Canot So Ouate (chanson/folk) Ronda Chez Tiroule Danyèl Waro (Maloya/Séga) Léspas Marie-Alice Sinaman, avec Erick Fleuris et Wilfrid Themyr 18€ Oh Suzie Q! Nicolas Paillet (Pop/Rock) Caveau Rontaunay Sylvia Pellegrini (Jazz/Blues) Le 211 Théâtre Il faut sauver Jeanne d’Arc 10€ Vavang’Art Wanaï Jan 15€ Drôles De Zèbres Simon Mullins La Souris Mécanik Dj set | Karl Hungus Belo Horizonte Minimal Swing Orchestra (Jazz/Blues) N/C El Latino Lady la fée Food Art’s Ibrahima Bah Le Kabardock Dolorès Boyer 8/10€ La Cerise Mlle Rouge Le Toit Soirée Studiotic

DIMANCHE 20 MAI

11:00 St Gilles Le Grand Bleu L A Cover (R&B/Soul/Funk/Disco) 14:00 L’Hermitage Lé Pié dan l’O DJ Set | Les Dimanches Electroniques 16:00 Boucan Canot Ti Boucan Bal Lontan (Maloya/Séga) 17:00 Rav. des Cabris Eglise W.A Mozart, Grande messe en Ut Mineur Kv427 (Classique) 17:00 Boucan Canot Hôtel Boucan Canot Charly Lambda 18:00 St Paul La Capitainerie Soft Quartet (Jazz/Blues) 18:00 La Saline Le Choka Bleu Ben H (Jazz/Blues/Latino) 19:00 St Leu Ronda Chez Tiroule Jaz’tafunk Collective 19:00 St Leu Ronda Chez Peria Iztamma (Pop/Rock/Reggae) 21:00 St Leu Le Namasté Mothra Slapping Orchestra (Pop/Rock)

MARDI 22 MAI 18:30 Piton St Leu 19:00 St Pierre 20:00 St Benoit 20:00 Le Tampon 20:00 St Paul

Le Séchoir Le Cabanon Média. A.L. Roussin Eglise La Chatoire La Cerise

MERCREDI 23 MAI 15:00 St Paul 19:30 St Gilles 19:30 St Gilles 19:30 L’Hermitage 20:00 St Gilles

La Cerise Hôtel Le Récif Le Sauvage Relais l’Hermitage Téat Plein Air

JEUDI 24 MAI 14:30 St Denis 18:30 St Denis 19:00 Grand Bois 19:00 St Denis 19:00 St Gilles 19:00 La Saline 20:00 Ste Clotilde 20:00 Le Port 20:00 Le Tampon 20:00 St Paul 20:00 St Benoit 20:00 Trois Bassins 21:00 St Pierre

N/C 10€

Maloya dousman 5€ Sylvia Pellegrini (Jazz/Blues) Sankara Mittérand De 4 à 13€ W.A Mozart, Grande messe en Ut Mineur Kv427 (Classique) 10€ Versions Françaises (chanson/folk) An lér piton So Ouate (chanson/folk) Les Nenettes du Vin Artbis IO Symphonic Orkestra - Lucie Hoareau

Cité des Arts Le Plaza Le Zinzin Th. du Grand Marché Kazbar Ronda L’uni Vert Téat Champ Fleuri Le Kabardock Luc Donat La Cerise Eglise La Souris Mécanik Le Toit

7€ 62€ 36€ De 10 à 19€

Comme si j’avais des ailes Festival du film Italien #6 3€/6€ Maya Kamaty (chanson/folk) 12€ Tête Haute De 5 à 20 € Los Chilenos Tropicales (Latino) Duo d’impro 5€ La raison d’Aymé 53.50 € Albin de la Simone (chanson/folk) 15/18€ Jarry 47€ Prof Jah Pinpin (Jazz/Blues) W.A Mozart, Grande messe en Ut Mineur Kv427 (Classique) 10€ La Nacht #8 Flo muzik

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