Octavian Goga sau Ecoul cântecului pătimirii noastre în mileniul III
Les bois qui nos frères sont Frissonnent à l‘infini Disant que le vieil Olt, De larmes est construit. On a un rêve inaccompli, Enfant de la souffrance, Les vieux et les parents aussi, Ont succombé à sa malchance. Des vieux oubliés temps Regardant les souffrances lourdes, La vanité d‘un rêve sourd, Nous l‘arrosons de larmes.
MON AMOUR Ovidiu Andrei Goglinache Școala Gimnazială „Mihai Viteazul”, Brăila Prof. Silvia Necula Dans les montagnes avec des crêtes grises, du blanc cœur de roche, On a formé le lac et de profonds abysses Il a surmonté la terre. Pour toujours instable dans la poitrine Il grandit aujourd‘hui et grandit demain, avide du ciel et de lumière. Parce qu‘il a de l‘amour avec le ciel pour garder l‘eau en mouvement Et dans son agenouillement païen, elle était au bord des trous, Fracasse des coups de poing la terre et hurle la douleur qui lui fait mal. Vers le ciel étend ses bras - que son époux vienne: Ciel ! Quand les rayons insatiables embrassent la face claire de l‘onde, Honteuse, la mousse blanche trésaille prolongement et passionnément, Tant d‘arcs-en-ciel tremblent dans son tourbillon de pics,
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