Nos salariĂŠs ont du TALENT
Sommaire 2. 4. 6. 8.
Jérémy
Manager et pilote d’endurance
10. 12.
Ronald
14.
Manuel
16.
Un champion du monde d’athlétisme chez ALTEN
Artiste peintre & sculpteur
18.
Céline
20.
Pilotes et voltigeurs aériens
Nicolas
Ingénieur et sportif de haut niveau en rallye automobile
Delphine & Antoine
Marraine Elles bougent et pompier volontaire
Vincent
Responsable d’agence et pandathlète
Fabien
Au top de la Cyber-sécurité !
Naïm
Consultant, présente l’association Colombbus
Marine
Key user ADV et bénévole à l’institut de coopération internationale en Inde
Dans le cadre de notre programme de sponsoring « Nos salariés ont du talent », créé il y a 5 ans, nous avons apporté notre soutien à plus de 40 collaborateurs, dont les qualités, la performance ou l’engagement nous ont paru en cohérence avec les valeurs du Groupe. Nous avons retenu quelques histoires que nous sommes heureux de vous présenter dans ce portfolio. Nous espérons illustrer ainsi la variété de ces talents que nous sommes fiers de compter dans nos équipes. La Direction de la Communication
Jérémy Manager et pilote d’endurance Quand les sportifs de haut niveau parviennent à franchir des étapes d’excellence métier : portrait de Jérémy Reymond, Responsable d’Agence Confirmé pôle Transport Terrestre et pilote d’endurance sur les plus grands circuits internationaux. Jérémy, l’un des pilotes de circuit les plus prometteurs de sa génération, a intégré ALTEN en 2010. Diplômé de Polytech Lyon, cet ingénieur passionné d’innovation technologique dirige au sein du Groupe une Business Unit composée d’une soixantaine d’ingénieurs. Conforté dans sa volonté d’atteindre toujours le plus haut niveau d’excellence, il se fixe sur le plan sportif des challenges pour la saison 2015 qu’ALTEN soutient activement. L’esprit entrepreneurial au coeur des enjeux de performance professionnelle et sportive
« Pugnacité, challenge et compétition sont les valeurs communes que j’ai réussi à partager avec l’ensemble de mes collaborateurs. L’excellence du savoir-faire métier que chacun de nous met au service des clients est maintenue grâce à une qualité relationnelle, qui nous donne toujours plus envie de réussir. Ces principes sont aussi valables dans le monde du sport, particulièrement dans la course de circuit automobile, où la recherche de partenaires financiers impose d’être au plus haut niveau de la performance personnelle et collective », précise Jérémy.
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Deux courses internationales majeures en 2015 et viser le championnat du Monde Fils d’un ancien pilote en championnat d’Europe des rallyes, Jérémy baigne dans le sport automobile depuis sa plus tendre enfance et atteint très tôt le plus haut niveau de la compétition sur circuit. Il a côtoyé Romain Grosjean (pilote de F1) et Sébastien Loeb (champion de rallye) au cours de sa carrière. Au volant d’une voiture « prototype » d’une puissance supérieure à 570 CV du constructeur européen GC Automobile, Jérémy se sent prêt à réaliser de vraies performances aux « 24h de Paul Ricard by Hankook » du 10 au 12 juillet 2015 ainsi qu’aux « 24h de Barcelone by Hankook » du 4 au 6 septembre 2015. "Ces deux courses doivent me permettre d’atteindre le championnat du monde et les 24h du Mans en 2017. A 31 ans, je suis en position très favorable pour réaliser des objectifs ambitieux dans les deux prochaines années » conclut-il.
Nicolas, Ingénieur et sportif de haut niveau en rallye automobile ALTEN a intégré depuis 2011 le premier Champion de France Junior de Rallye automobile, Nicolas Romiguière, diplômé de l’INSA Toulouse. Cet ingénieur mécanique de 26 ans, passionné de technologies automobiles prépare une saison sportive 2015 ambitieuse avec comme objectif de réintégrer le circuit français et européen au plus haut niveau. Une gestion de carrière sportive menée en parallèle à une carrière d’ingénieur, que le Groupe ALTEN soutient activement. En 2011 Nicolas remporte le titre de Champion de France Junior de Rallye automobile et devient Pilote Officiel de l’Ecurie Renault Sport. Il intègre les équipes d’ALTEN en qualité d’ingénieur aéronautique et bénéficie d’un aménagement de son temps de travail pour poursuivre sa carrière de sportif.
« L’automobile comme l’aéronautique sont deux secteurs qui m’ont permis d’exprimer ma passion pour la mécanique, de développer mes capacités de management d’équipe et d’optimiser la qualité de chaque prestation, qu’elle soit professionnelle ou sportive. Les années de crise que nous venons de traverser m’ont appris à calculer avec justesse nos chances de succès dans les compétitions de rallye automobile et nous abordons l’année 2015 avec de vrais challenges », précise Nicolas. L’obejctif 2015 : passer en R3 (Rallye niveau 3) et viser les championnats de France et d’Europe L’exigence, l’anticipation et la gestion du stress font partie du quotidien de Nicolas qui prépare son équipe à passer une étape clé en 2015. Entouré de son copilote Alexis Negre et du Team Daumas Sport, Nicolas tentera d’accéder à la catégorie supérieure R3 au volant de la Renault Clio 4 R3T, véhicule de compétition homologué (juillet 2014). Il participera à une nouvelle formule de promotion avec l’objectif de décrocher un nouveau volant officiel. Il ne lui reste plus qu’à boucler les partenariats financiers pour relever ce défi aux objectifs plus que réalisables.
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« Il est essentiel pour progresser en rallye automobile de trouver un équilibre de vie et de maintenir une dynamique stimulante pour se lancer des défis réalisables. Mes activités professionnelles chez ALTEN me font évoluer depuis trois ans dans un univers d’excellence et de hautes technologies avec mes différents projets sur les programmes A380/A320-NEO/A330-NEO au sein du département calcul structure des entrées d’air Airbus. C’est un terrain de motivation solide et irremplaçable qui m’entretient dans un mental très positif » conclut Nicolas.
Ronald Un champion du monde d’athlétisme chez ALTEN ALTEN a intégré Ronald Pognon, champion du monde au 4X100 mètres et gagnant de la coupe d’Europe au 100 mètres en 2005, au sein de ses équipes comme chargé de recrutement pour le secteur Banque/Assurance. Le sportif de haut niveau ambitionne de devenir manager. Exigeant, s’épanouissant dans des univers très stimulants, il vise aussi les Jeux Olympiques de 2016. Ronald Pognon a suivi une formation intensive métier. En un mois seulement, il était en mesure de mener sa première mission et a signé son premier contrat de recrutement. Le secteur de la Banque/Assurance est très demandeur de talents d’ingénieurs. Ronald Pognon collabore avec huit managers ALTEN et sélectionne une trentaine d’ingénieurs par semaine. « Je ne me suis jamais senti aussi bien dans mon sport et dans mon métier. Pour la première fois, il y a une totale complémentarité entre mes deux activités et une parfaite affinité sur les objectifs d’excellence et d’efficacité » explique Ronald.
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Manuel Artiste peintre & sculpteur Après des études à l’École d’Art Graphique Corvisart de Paris, Manuel Gomes travaille comme infographiste pour des grandes maisons telles que Guerlain ou la Roche-Posay. Dans la lignée de ses maîtres – Schiele, Monet, Gauguin, Lucian Freud – de longues années de pratique du dessin académique lui permettent de perfectionner son trait et de développer un univers plastique original, un style graphique vif et alerte. Depuis 2007 et une première exposition à la Galerie Thuillier de Paris, Manuel passe du dessin à la peinture en grand format. Ses sujets de prédilection sont la femme, les musiciens, les personnages mythologiques, dessinés avec des notes joyeuses et pleines de vie. Il aime associer des univers différents, créant des situations amusantes et fantasmagoriques. Manuel travaille également le volume, la sculpture et le modelage où il puise cet aspect brut et esquissé de la matière que l’on retrouve sur ses oeuvres en deux dimensions. La toile « Le Violoncelliste » a été sélectionnée pour le premier festival franco-japonais des Arts Plastiques en 2008 et exposée dans des lieux prestigieux. Ses toiles et ses dessins rencontrent un fort succès, en particulier auprès de la clientèle américaine.
manelart.fr 8
Delphine & Antoine
Pilotes et voltigeurs aériens
Delphine Lacoste et Antoine Rogues ont au moins deux points communs. Ils sont tous les deux collaborateurs du Groupe ALTEN, l’une en tant que relais recrutement, l’autre comme consultant en projet chez AIRBUS, et ils partagent une même passion, qu’ils pratiquent au même endroit. Delphine et Antoine sont en effet pilotes et voltigeurs aériens, et volent dans le même aérodrome, à Villeneuve-sur-Lot. Delphine, 27 ans, a commencé à piloter en 2003 à 16 ans et a obtenu sa licence de pilote à 19 ans. L’envie lui est venue alors qu’elle participait enfant à des meetings aériens. « A force d’en voir, raconte-t-elle, on finit par se dire : pourquoi pas moi ? ». Uniquement inscrite à des rencontres amicales jusqu’à présent, elle a débuté la compétition en 2014, dans la catégorie « Espoir». Antoine, 29 ans, habite Toulouse et vole à l’aérodrome de Villeneuve-sur-Lot par amitié pour son instructeur. « Je pratique cette activité depuis l’âge de 14 ans, car je voulais être pilote de ligne. Ça faisait donc partie d’un plan de carrière. Plus tard, j’ai changé de voie, mais j’ai continué à voler. Tout comme Delphine, je suis pilote privé. » L’apprentissage se fait dans un avion deux places, moins puissant qu’un monoplace. Il faut justifier de 45 h de vol pour prétendre à la licence, validée à l’issue d’un examen théorique et d’un examen pratique, et renouvelable tous les deux ans. « C’est la voltige qui m’a amenée au pilotage classique (dit pilotage à plat) et non l’inverse, se souvient Delphine. La voltige permet de perfectionner la technique de pilotage ». Antoine n'a pas toujours pratiqué la voltige, encore moins la compétition, faute d'avion et d'instructeur qualifié. En revanche, il est lui-même instructeur depuis plusieurs années, et, à ce titre, vole tous les weekends. Voler, des sensations uniques « Le fait de se sentir au-dessus de tout, au calme, est à la fois relaxant et synonyme de sensations fortes indescriptibles, qu’aucun manège, par exemple, ne procure, explique Delphine. Et puis il y a le challenge personnel, l’envie de se dépasser techniquement et mentalement, et particulièrement en compétition. Mon ambition est pour le moment de prendre du plaisir. Mais si je peux gagner en compétition, pourquoi pas ? ». « Le pilotage, ajoute Antoine, c’est la liberté. On peut aller n’importe où en France, et il est même très simple de passer une frontière. Piloter, c’est voyager librement et facilement ». Ils évoquent également la sensation physique très particulière liée à la voltige, qui multiplie le poids du corps par trois ou quatre. « Il faut être précis, commente Antoine. C’est un gros travail. Une figure doit être extrêmement cadrée, et il est toujours possible de l’améliorer ». A noter, la France est actuellement championne du Monde et d’Europe de voltige aérienne. Antoine, soutenu par ALTEN, a participé à la Coupe de France de voltige aérienne du 12 au 15 juillet 2014 à Châteauroux. ème
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sur 29 participants et s’est ainsi qualifié pour les compétitions du niveau supérieur en 2015 : le niveau « Promotion ».
La voltige est un sport mécanique aérien très spectaculaire. Son objectif ? La perfection du geste et la parfaite symbiose entre le pilote et la machine. La discipline se pratique sur des avions à moteur spécialement adaptés pour effectuer des évolutions, indifféremment sur le ventre ou sur le dos. En compétition, trois types de programmes existent : • Le connu : programme imposé par la Fédération Nationale et Internationale. Différent chaque saison, il est connu à l’avance. • Le libre : programme composé par le compétiteur luimême, faisant toutefois apparaître des familles de figures obligatoires. • L’inconnu : programme qui n’a jamais été effectué à l’entraînement. Elaboré par le Jury, il n’est connu que quelques heures avant le vol. Le pilote exécute ces programmes dans un volume d’évolution d’1 km3, appelé le « box ». Par ailleurs, six niveaux sont proposés de la catégorie Espoir (débutants) à la catégorie Illimitée (As de la voltige). Le passage d’un niveau à l’autre peut se faire chaque année selon la moyenne des notes obtenues lors des compétitions qualifiantes. La France est la nation la plus titrée et son palmarès est éloquent : plusieurs fois Championne du Monde et Championne d’Europe, elle évolue sur des machines de plus en plus puissantes. L’AVION : Cap 10-C : F-GGYL Le Cap 10 est l’avion qui permet de débuter et de progresser en voltige. Conçu par Auguste Mudry puis par Apex Aviation, il a été construit à près de 300 exemplaires. En 2002, un longeron bois / carbone lui permet alors un taux de roulis plus important. Nombre de places : 2 Puissance : 180 ch Vitesse de croisière (à 75% de la puissance) : 235 km/h Facteurs de charge : +5,0 g / -3,5g (consigne club) Taux de roulis : 180 °/secondes Équipements : COM VHF, transpondeur mode C
Céline, Marraine Elles bougent et pompier volontaire Céline Delhau, 25 ans, consultante ALTEN en projet chez Dassault Aviation, est une jeune femme engagée. Marraine de l’association Elles Bougent, elle est également sapeur pompier volontaire depuis huit ans. Céline, qu’est-ce qui est à l’origine de ta vocation ? Je ne suis pas issue d’une famille de pompiers, et pourtant j’ai toujours eu cette envie. J’avais quinze ans quand je me suis engagée à l’école des aspirants. Je suis devenue pompier volontaire en 2005. Je pense que ce qui me motive est le désir d’aider les autres, de fournir un effort civique et psychologique, et de me dépasser, aussi. Sur quel type d’interventions es-tu engagée ? Incendies, secours aux personnes, protection des biens et de l’environnement… Les interventions peuvent être très simples, comme c’est le cas lors d’un accident dans une école ou pour une aide aux personnes âgées, ou nous placer devant des situations beaucoup plus lourdes telles que les accidents de la route ou du travail, les tentatives de suicide, les hospitalisations d’urgence. Comment êtes-vous organisés ? Une équipe repose sur deux binômes, pour l’alimentation en eau et l’attaque du feu. On doit avoir une confiance totale dans son partenaire. Les valeurs qui nous permettent de fonctionner sont la solidarité et la cohésion, avant tout. Dans le camion, l’équipe comprend un chef, un conducteur, et un binôme, dont l’un des membres est dédié à l’alimentation en eau et l’autre à l’attaque du feu et au sauvetage. Je suis moi-même chef d’équipe feu, avec le grade de caporal. Comment gère-t-on les situations critiques ? Techniquement, nous avons une formation théorique sur les feux et nous savons réagir aux conditions aggravantes lors des incendies. Sur un plan humain, on peut être surpris de ses propres réactions pendant les interventions. On supporte parfois mieux qu’on ne le pensait des situations horribles, selon le recul qu’on réussit à garder, et, souvent, le fait qu’on ait assisté à la scène ou non. Certains collègues parents, par exemple, vivent très mal les interventions dans lesquelles sont impliqués des enfants. Comment se passent les gardes ? Le weekend et la nuit, je peux être de garde de 19h à 7h du matin. Je dois en plus une nuit par semaine. Le bip peut sonner à n’importe quel moment lorsqu’on est à la caserne. On sent alors l’adrénaline monter et on est tout de suite dans l’action. Quand tous les moyens sont mis en œuvre et qu’on sauve des personnes, là, c’est gratifiant ! J’ajoute qu’il est important de rester humble, aussi.
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C’est une activité perçue comme plutôt masculine. Est-il plus compliqué pour une femme de s’imposer ? Oui et non. En formation, les épreuves sont les mêmes, mais une femme doit, en effet, montrer plus de performance pour arriver à la même reconnaissance. Notre caserne de Marly-le-Roi comprend environ soixante-dix volontaires, dont cinq femmes actuellement (un pourcentage important par rapport à la moyenne nationale), et deux professionnels. Les rapports hiérarchiques et interpersonnels sont de toutes manières différents de ceux qui existent dans le milieu professionnel. Par exemple, l’un de mes collègues qui est chef d’entreprise, a le grade de sapeur (1er grade). Notre place est donc différente, au sein de la caserne, et même, parfois, inversée.
Vincent, Responsable d’agence et pandathlète avec le soutien d’ALTEN En juin 2013, Vincent Hoffman et son équipe ont participé, sous les couleurs d’ALTEN, au Pandathlon, une course organisée par le WWF au cœur du Massif du Mont Blanc. Outre l’engagement écologique, nos compétiteurs sont parvenus à terminer dans les 10 premiers. Le Pandathlon est une éco-randonnée de 18km et 1500m de dénivelé qui allie sport, nature, convivialité et solidarité. L’enjeu de cet événement est de mobiliser autour d’un projet fort et novateur tout en œuvrant à la protection d’un patrimoine naturel européen riche en biodiversité, les Alpes. Grâce aux participants et partenaires de cette course, plus de 90 000€ ont été récoltés cette année. Notre équipe qui s’est classée à l’arrivée parmi les 10 premières. www.pandathlon.fr
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Fabien, Au top de la Cyber-sécurité ! C’est ce qu’on appelle une entrée fracassante ! Fabien Sinet, avant même son intégration au sein de l’agence Nord en février 2015, faisait honneur à son nouvel employeur en remportant un challenge d' "Ethical Hacking" organisé lors du Forum International de la Cyber-sécurité les 21 et 22 janvier à Lille. ALTEN a voulu en savoir plus... Fabien, pourquoi participer à ce challenge ? « Je suis Ingénieur Réseaux Sécurité. Je m’occupe de la maintenance sur des systèmes de production et je suis passionné par la Sécurité des Systèmes d'Information. Je connaissais déjà le Forum International de la Cyber-sécurité, qui a pour vocation de rassembler les acteurs du monde de la sécurité informatique, et que je trouve utile pour approfondir ou mettre à jour mes connaissances dans ce domaine. C’est ma troisième participation, j’ai concouru avec un ami, et nous avons remporté l’un des trois challenges organisés ! » Comment se déroulent ces challenges ? « Ils sont tous différents. Celui-ci était organisé en plusieurs niveaux successifs mettant à l’épreuve des compétences en Sécurité des Systèmes d'Information. Comme dans un jeu vidéo, il n’était possible de passer à l’étape suivante que si l’on n’avait réussi à aller au bout du niveau en cours. Le challenge faisait appel à des techniques diverses. • Le “hacking”, tout d’abord. Au sens large, cela signifie “bidouiller” : ce sont toutes les activités visant à détourner un objet de sa fonction première comme par exemple un site Web ou une boîte mail. Le forensics, en second lieu. C'est l'investigation, la collecte et la récupération d’information numérique. • La cryptologie, ensuite. Il s’agit de comprendre des informations rendues inintelligibles. • Enfin, la stéganographie : certaines informations sont alors dissimulées par des techniques diverses et il faut les retrouver. Le challenge que nous avons gagné durait quatre heures et simulait un test d'intrusion (Pentest) en entreprise. La méthode consiste généralement à simuler une attaque d'un utilisateur ou d'un logiciel. On analyse alors les risques potentiels dus à une mauvaise configuration d'un système, d'un défaut de programmation ou encore d'une vulnérabilité liée à la solution testée. Le principal objectif de cette manœuvre est de trouver des vulnérabilités exploitables, en vue de proposer un plan d'action pour améliorer la sécurité d'un système. » Et qu’as-tu retiré de tout cela ? « De nouvelles connaissances techniques, le plaisir d’être reconnu pour mes compétences métiers et de contribuer à faire connaitre le monde de la sécurité... et une PS4 ! »
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Naïm, Consultant, présente l’association Colombbus ALTEN soutient le projet Tangara mené par l’association Colombbus Ses objectifs sont multiples : favoriser une utilisation « active » de l’ordinateur, sensibiliser aux domaines du numérique, permettre la réussite de tous et l’égalité des chances, valoriser la créativité et l’esprit d’entreprendre. Colombbus emploie 7 personnes à temps plein : un Directeur, un Responsable projets Web, un Coordinateur technique, un Chargé de partenariats et de la communication, un Encadrant technique, un Animateur multimédia et une Educatrice spécialisée. L’association travaille sur plusieurs volets : la formation, l’insertion et l’éducation. Le chantier d’insertion 10mentionWeb par exemple, a pour objectif d’embaucher des personnes éloignées de l’emploi. Il s’agit d’une formation d’un an pour devenir développeur Web. La première promotion est sortie en 2014 et les retours sont déjà positifs. Sur 10 personnes, la moitié a trouvé un emploi ! En plus de ces axes formation et insertion, Colombbus lutte contre le décrochage scolaire et propose différents programmes : • L’Accompagnement pluriel est un projet de prévention au décrochage scolaire et de remobilisation avec des programmes d’enseignement ludiques et adaptés notamment grâce aux TIC. • Les Ateliers micro-trottoir sont des initiations au reportage vidéo sur un sujet de société. • Les Ateliers Tangara qu’ALTEN a choisi de soutenir en 2015. Ces ateliers d’apprentissage de la programmation informatique sont dédiés aux collégiens des quartiers populaires d’Ile de France. Le projet annuel consiste à concevoir en groupe un petit programme informatique autour du jeu vidéo. Une journée de clôture des ateliers avec remise de prix est organisée à la Mairie de Paris. Au cours de l’année 2015, ces ateliers verront le jour sous une autre forme. Un déploiement national est prévu grâce à la mise en place d’une plateforme ludique pour les enfants et les enseignants dès le mois de septembre. « L’association est située dans mon quartier, Belleville, et mes plus jeunes frères y fréquentent l’atelier du mercredi, explique Naim Mejaat. J’ai tout naturellement sympathisé avec les responsables. Le logiciel Tangara, purement français, me semble être un excellent moyen d’attirer les jeunes vers les métiers du numérique. La difficulté des responsables est de diffuser ce projet. Ils se déplacent dans les collèges, organisent des concours de développement, et mettent tout en œuvre pour créer des réseaux afin d’amener le plus d’enseignants possible à s’y intéresser. Pendant mon temps libre, je m’investis autant que je peux pour l’association. Je souhaite, pourquoi pas, m’engager en mécénat de compétence pour accompagner le déploiement du logiciel dans les collèges le plus largement possible à partir de septembre prochain. »
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Marine, Bénévole à l’institut de coopération internationale en Inde Marine Puyou, Key User ADV (Administration Des Ventes), est très investie dans le milieu associatif. A titre d’exemple, elle est engagée en tant que volontaire depuis plus de quatre ans dans une association de réduction des risques en milieu festif en France. En 2014, elle a choisi de mettre ses compétences au profit de l’Institut de Coopération Internationale en Inde. « J’ai tenu à mettre à profit mes heures de DIF pour suivre une formation en Gestion de Projet de Développement (Humanitaire). Cette formation est suivie d’un stage de quatre semaines auprès d’une ONG locale partenaire de l’institut de formation. » Le 2 septembre 2014, après un voyage de presque trente heures, Marine atterrit à Madras en Inde, direction l’association ADECOM Network. ADECOM Network est une ONG qui aide les femmes issues de minorités en Inde du Sud à exercer leurs droits politiques, sociaux et économiques. Dès son arrivée, elle est briefée sur sa mission, les personnes de l’association, les usages du pays…« J’avais hâte de rencontrer l’équipe de bénévoles et mes futurs élèves » nous confie-t-elle. Dans le cadre de sa mission, Marine a enseigné chaque jour l’informatique à des jeunes filles issues de la caste des intouchables (Dalit). Toutes n’étaient pas anglophones, l’une des élèves était chargée de faire la traduction en Tamoul. Pas toujours simple, surtout qu’à cela s’ajoutait un réseau électrique local défaillant avec de fréquentes coupures qui compliquaient l’apprentissage et le travail sur ordinateur. « Il m’a fallu quelques jours pour prendre mes repères et connaître l’équipe au complet, mais j’ai été très bien accueillie et j’ai vécu des moments très forts. »
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