TRAVAUX PERSONNELS
2008-2014
- Adrien DUSSOUCHET -
adussouchet@gmail.com tél: 06.68.11.59.88
TRAVAUX AU SEIN DE BUREAUX D’études et d’associations TFE - atelier de projet - STAGES AUTRES PROJETS ASSOCIATIFS - réalisations DIVERS
4 - 19 20 - 47 48 - 61 62 - 63
A
A
telier d’
rchitecture
Projet «R-Urban», stratégie de résilience urbaine
A
travail en association / coo r d i n at i o n de p r o j et Acteurs, partenaires et porteurs de projet
utogérée
COMPLÉMENTARITÉS
financement
IMPLICATIONS
€
RÔLES opération éco-pilote réhabilitation du batî existant revalorisation de friches maintien de l'agriculture soutien au réseau local
FINANCEMENT partenaires
€ financiers
Colombes - juillet 2012 > janvier 2014
maîtrise d'ouvrage
BES
OM
COL
/
R-Urban est d’abord «une proposition de projet-pilote pour des villes européennes durables», projet lauréat du Programme Life+ de la Communauté Européenne. Ce projet s’est concrétisé en 2010 à travers un partenariat entre AAA (association porteuse du projet), la ville de Colombes, la Région Ile-de-France, le Conseil Général 92, l’association PublicWorks (UK) et de nombreux autres acteurs locaux et nationaux depuis.
maîtrise d'oeuvre
IS
partenaires
€ institutionnels
MAÎTRISE D'OEUVRE
/ /
Moe
R PA
maîtrise d'usage
maîtrise d'ouvrage co-responsable logements sociaux innovants réhabilitation du batî existant stratégie d'éco-rurbanité
MAÎTRISE D'OUVRAGE
MO
maîtrise d'oeuvre écologique auto-construction
€ bailleur social
€ aaa
MU
auto-construction habitat écologique habitat coopératif économie d'énergie auto-production alimentaire éco-gîte urbain maîtrise d'usage création d'activités
HABITANTS 40 % €
habitants investis à long terme
€
€
auto-financement
30 %
location
20 %
résidence
(artistes / étudiants)
locataires de
logements sociaux
habitat écologique
10 %
locataires éco-gîte
urbain
auto-production alimentaire agriculture biologique agriculture urbaine création d'emploi saisonniers
producteur(s) agricole(s)
agriculture biologique
PROD. AGRICOLE / ALIMENTAIRE
échanges en nature / services
échanges / services
producteur(s) d'économie
producteur(s) de culture
associations travailleurs locaux
(sociale, solidaire, alternative)
économie solidaire
ecohab
agrocité
€
savoirs-faires locaux économie solidaire échanges non monnétaires production culturelle locale création d'emploi
autres partenaires échanges / services
€
recyclab
échanges de services réseau local
PARTENAIRES LOCAUX
partenaires locaux
commerçants
ÉCONOMIE LOCALE SOLIDAIRE
culture locale
production locale culturelle diffusion cuturelle et des savoirs ateliers et formation
CULTURE LOCALE
expérimentation des usages validation par l'usage expertise citoyenne évaluation en temps réel
MAITRISE D'USAGE
Unités pilotes et cycles écologiques
et laire ie so ouvelable n énerg gie re éner
POURQUOI R-URBAN
iente consc tion er mma e nanci né ir gain) fi conso ison o et ra brage (v equili
able
épuis
i in quas
an le l / m2. ckab et sto = 700 le luvia ndante France eau purce abo en Ile de resso ométrie (pluvi
-50%
consommation d'électricité
20%
réseau public
autoconstruction
élément autoconstruit
redistribution possible localement
ECO CONSTRUCTION recyclage de matériaux
-50%
d'émission de CO2
-50%
+10%
-30% déchets ménagers
consommation d'eau pour l'habitat
réhabilitation de bâti ancien
surface
vée
e culti
agricol
+20
espace d'activité économique
emplois créés pour 30 habitants
céréales
élevage / fructiculture /
maraîchage
CULTURE LOCALE restaurant coopératif résidence étudiants / artistes espace corps/santé classe verte activités enfants
AMAP partenariat habitants / maraîcher
R-URBAN est une stratégie participative pour la création de € réseaux de résilience basés sur des circuits courts écologiques, économiques, sociaux et culturels à partir d’une série de pratiques et d’activités quotidiennes (habitat, travail, économie sociale et solidaire, transport, agriculture + %ation at em20 urbaine). -o5ns0 omm habit po plo c u pour l' ur is Ces réseaux d'ea formeront dans le 30 cr temps des nouveaux équilibres habéiétas nt s durables entre les différentes échelles territoriales (locales, régionales et internationales).
%
PRODUCTION CULTURE LOCALE
10%e sol yag nettovoirie et
R-URBAN propose donc des outils pour faciliter cette implication citoyenne en accompagnant notamment des projets émergents à échelle locale et régionale et qui peuvent s’inscrire progressivement dans ces réseaux de résilience à grande échelle. 2 ation nspir ° o-tra tion -1 évap talisa végé
AB ECOioHn, s
ation form ntissage appre rtion reinse
s rvice n de se ature nge n satio échanges en mutuali écha -aide et e tr en 20%
biocapacité environnementale
ECONOMIE LOCALE ET SOLIDAIRE échanges de services échanges en nature entre-aide et mutualisation
Confrontées à des crises radicales (pollution, changement climatique, affaiblissement de l’économie LAcoBconstruction CYtiCo21ème locale, etc.), les villes du E n, é chets € Rcu era dé p ge de cycla siècle doivent devenirréet replus résilientes.
tion péra récu ure it en to
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5
7
AGROCITé
La «ferme urbaine»
CONTEXTE : R-URBAN À COLOMBES Plusieurs projets pilotes sont développés actuellement à Colombes, une ville de 80000 habitants dans la banlieue Nord-Ouest de Paris. Dans cette phase d’initiation, le projet propose la création d’un réseau de résilience autour de trois unités prototypes avec des fonctions urbaines complémentaires, en fédérant des projets citoyens émergents et en impliquant activement les habitants de Colombes et des environs : L’Agrocité est l’une des 3 unités du Projet R-Urban à Colombes. Il s’agit d’une unité d’agriculture urbaine civique qui consiste en une micro-ferme expérimentale, des jardins collectifs, des espaces pédagogiques et culturels et des dispositifs de production énergétique, de compostage et de collecte d’eau pluviale. L’ AgroCité est conçue pour initier et soutenir des dynamiques civiques d’agriculture urbaine et pour accompagner des activités culturelles et pédagogiques reliées au projet R-Urban, qui émergent sur la ville Colombes. L’unité est composée de trois parties : une zone dédiée aux activités liées à la nature et à l’agriculture une zone dédiée aux activités d’agriculture urbaine civique un AgroLab spécialisé dans l’expérimentation et la production agricole organique et intensive
Les trois zones partageront des terrains cultivables et incluent : une ferme expérimentale d’agriculture urbaine un jardin partagé pour les habitants du quartier un jardin pédagogique une serre partagée pour la production de plants et les semis, des équipements pour la collecte de l’eau pluviale, un bac de phytoépuration qui traite les eaux grises du bâtiment, un parc de production d’énergie solaire et biogaz, des toilettes sèches et leurs composteurs...
CARCTÉRISTIQUES DE SOL ET TECHNIQUES DE CULTURES
tTECHNIQUES CULTURALES
AMENDEMENTS lLASAGNES
Situé dans le lit majeur de la Seine, urbanisé depuis plusieurs décennies, le sol de l’Agrocité rentre dans la catégorie des dits « technosols ». Le socle argilo-limoneux n’apparaît qu’à plusieurs mètres de profondeur, le terrain ayant été recouvert par des couches successives de remblais – déblais en tout genre. Les études de sols entreprises dès l’installation de l’association sur le terrain ont révélées la présence de métaux lourds et d’hydrocarbures, dans des proportions qui sont toutefois inférieures aux limites admises pour la culture maraîchère. Cependant ce sol montre d’importantes carences en azote, matières organiques…et contient de nombreux déchets grossiers de différentes natures ( mâchefers, gravas, plastiques…). L’amélioration du support de culture (sol) et de sa structure en général ( drainage, épierrage) constitue donc l’un des objectifs fondamentaux du projet depuis son commencement. C’est pourquoi la production de compost, puis de lombricompost constituent un projet dans le projet, non seulement du point de vue pédagogique (réduction des déchets, recyclage…) mais aussi dans le développement d’une véritable filière qui permettent d’alimenter les parcelles cultivées et de progressivement recréer un sol sain et riche sur le site (cf filière compost p. ).
DÉFRICHAGE DES PARCELLES
Par ailleurs, il semble important de préciser l’absence totale de mécanisation du travail et d’intrants chimiques, les interventions se faisant uniquement manuellement et les amendements étant produits exclusivement sur site (compost, lombricompost, purin d’ortie, purin de consoude, thé de compost…). Le potager est divisé en 11 parcelles de 9 mètres sur 4, soit 36 m² par parcelle et un total de 396 m² cultivés. Sur chacune des parcelles, nous travaillons sur des planches permanentes de 75 cm ou 90 cm (lasagnes) de large. Différents profils de buttes ont été expérimenté (cf schemas) en fonction des besoins de chacunes des espèces cultivées. La majorité des planches et allées ont été paillées en utilisant différents substrats en fonction de leur disponibilté ( paille, déchets verts séchés, broyat..).
PAILLAGE DES ALLÉES
Les constructions incluent des prototypes bioagro-intensifs et une série d’équipements autour de savoirs faire et de dynamiques collectives et sociales, parmi lesquels : une bibliothèque de graines un marché de légumes et des produits agricoles locaux une AMAP un café associatif un four à pain et un brasero collectif
Juillet 2013 CHASSIS EN MATÉRIAUX RECYCLÉS
lPurIN DE CONSOUDEn / THÉ DE COMPOST
sERRES-TUNNELS EN MATÉRIAUX RECYCLÉS
9 5T / A N
UN PÔLE DE RECHERCHE POUR L’AGRICULTURE URBAINE ET LES PRATIQUES CULTURALES ALTERNATIVES
G U M ES /
6T
LÉ
AN
AGROllLAB
12
unNE PLATEFORME CULTURELLE POUR LES ÉCOLES, LES ASSOCIATIONS ET LES HABITANTS DU QUARTIER
zZONE D’EXPÉRIMENTATION AGRICOLE PLAN DE PLANTATION
CALENDRIER DES PLANTATIONs
Scarole "reine des glaces" Laitue Laitue "cressonette du maroc" Laitue batavia comice Laitue "feuille de chêne" Fève Oignon rouge Chou cabus Chou brocoli Chou portugais Chou cavalier Maïs roumain Radis "sora" Radis rond écarlate Radis de 21 jours Capucine Rose d'Inde Betterave rouge "nobel" Navet de Nancy Navet rave hâtif d'Auvergne Navet blanc globe à collet violet Persil Persil géant d'Italie
préparation préparation du sol etdu mise solen etculture mise en culture pratiQues culturales pratiQues de culturales la création de d’un lasol création à la plantation d’un sol à la plantation
Thym Pomme de terre "amandine" " Pomme de terre "ratte Pomme de terre "chérie" Pomme de terre "stemster" " Pomme de terre "vitelotte
amenNDEMENTS ET PROTECTION DU SOL paillis de chanvre lombri-compost paille de fumier paille pré-compsté
paillage carton terreau
mars avril mai juillet aout
terre nue sang séché
Haricot de Soissons à rames Haricot mogette f" Tomate "coeur de boeu Tomate cerise Tomate "marmande" Poivron doux des Landes Celeri rave "monarch" Celeri branche Tournesol Courges et potirons Blette rouge Blette Rhubarbe Poireau Oseille Epinard "parys" Epinard géant Poirée verte à couper
+
ir so ro
ir so ro
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au
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te ra
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à os cr er fumi
e
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à os cr er fumi
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décembre
gr
novembre
gr
novembre
à os cr er fumi
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ir so ro
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auto-compostage
octobre
7 second faux semis 7 second faux semis 6 dressage de la6planche butte : second de la griffage butte : second griffage 5 rabattement de 5 larabattement dressage de la planche
ar
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te ra
à os cr erir miso furo ar
e
iff
à os cr er fumi
gr
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iff
à os cr er fumi
gr
à os cr er fumi
ue
ue
ho
faux
faux-semis
octobre
01-2012
03-2012
04-2012
05-2012
10-2012
lasagn compost
PRATIQUES agrICOLES
4 dressage de la4butte 2 premier travail 2 dupremier sol : houage travail du sol : houage dressage - premier de la faux butte semis - premier faux semis 3 second travail3dusecond sol : griffage travail du sol : griffage ho
faux
mi-septembre
corne torréfié BRF
DÉLIMITATION DES PARCELLES
PRÉPARATION DU SOL ET MISE EN CULTURE
mi-septembre
e
e
préparationpréparation du sol du sol 1 défrichage : fauchage 1 défrichage : fauchage
UN LIEU PÉDAGOGIQUE POUR APPRENDRE ET EXPÉRIMENTER LE MARAÎCHAGE, LE RECYCLAGE ET LES PRATIQUES ENVIRONNEMENTALES DURABLES
jardIN CuLTlturelL etT PÉDAGOGIQUE
faux-semis
PRÉPARATION DU SOL
PLANTATION SUR “LASAGNES”
L’ATELIER
LEÇONS DE JARDINAGE POUR LES ENFANTS AVEC LE CSC DES FOSSÉS-JEAN
UN BÂTIMENT POLYVALENT, FACILEMENT DÉMONTABLE ET RELOCALISABLE
UN BÂTIMENT CONSTRUIT EN GRANDE PARTIE AVEC DES MATÉRIAUX RECYCLÉS
auto-compostage
décembre
janvier
janvier
février
février
mi-mars
mi-mars
mise en culture mise en culture 10 paillage de chanvre 10 paillage de chanvre 9 binage - sarclage (désherbage-ratissage) travail du sol (désherbage-ratissage) + plantation +9 plantation binage - sarclage 8 travail du sol 8
12 amendement 12 14 récolte 13 13 désherbage manuel au sang amendement séché (pour au les sang plantes séché nitraphiles) (pour les plantes nitraphiles) désherbage manuel
11 arrosage soutenu 11 arrosage soutenu
14 récolte u de ea er ut co aîch mar
u de ea er ut co aîch mar
ir so ro
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bine
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iff
bine
gr
gr
te ra
bine
PLANCHES DE SÈCHAGE DE PARPAING > RÉUTILISÉES COMME PLANCHER POUR LES CONSTRUCTIONS
PRotTOTYPES D’HYDROPONIE ET d’AQUAPONIE
PLANCHES DE PALETTES À PAVÉS > RÉUTILISÉES COMME BARDAGE
*
GRAVAS DE CHANTIER > RÉUTILISÉS POUR L’ÉDIFICATION DE MUR DE SOUTÈNEMENT
PRODUCTION D’ENERGIE ET RECYCLAGE : CIRCUITS INTERNES
*culture hors-sol réalisée sur substrat neutre et inerte et irrigué en continu avec des apports nutritifs mi-mars
mi-mars
avril
avril
mai
mai
juin
juin
juillet
03-2012
juillet
aout
aout
mi-sptembre
04-2012
DRESSAGE DES BUTTES
05-2012
PREMIER TRAVAIL DU SOL :HOUAGE
5T / A N
G U M ES /
6T
LÉ
AN
jardIN PARTAGÉ
12
mi-sptembre
08-2012
09-2012
CONFECTION DE PLANCHES EN “LASAGNE”
DESHERBAGE MANUEL
UNE ANNÉE D’ATELIERS, DE SORTIES OU DE CHANTIERS PARTICIPATIFS POUR LES COLOMBIENS Amicale des locataires de la tour Z
LES aCTIVITÉS DÉVELOPPÉES AU SEIN DU JARDIN Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site internet : www.r-rurban.net
RECYCLAB
03-2012
10-2011 01-2012
ECOLE ROUSSEAU/ ECOLE LANGEVIN/ CENTRE SOCIoCULTUREL/ MAISON DE RETRAITE DES BOUVIERS
01-2012
BAR L'OISEAU/ HABITANTS/ MARCHE MaRCEAU
E ECHANG
SUPERMARCHE LECLERC / SUPERMARCHE DIA / BRICORAMA
AGROCITE
R
02-2012
Porteur du projet
eCO-COMMUN* 1
PUBLIQUE - CONFÉRENCE- DÉBAT SUR DES * PRÉSENTATION THÉMATIQUES EN RAPPORT AVEC LE PROJET RURBAN -
ECO-CommuN 2n
E-C1: ATELIER BRICOLAGE RECYCLAGE AVEC LA PARTICIPATION DE PUBLIC WORKS
jardIN PÉDAGOGIQUE
jardIN PARTAGÉ
VISITE DES JARDINs atssoCIATIFs LOCAUX AVEC LA PARTICIPATION DES JARDINS D’EDEN ET D’AUDRA
CONSTRUCTION DE LA SERRE - INVENTAIRE FLORISTIQUE ET ÉCHANGE AVEC CAMPO ADENTRO ET LE SERVICE D’ESPACES VERTS DE LA VILLE DE COLOMBES
Communication et éducation autour du projet (ateliers...)
05-2012 03-2012
04-2012
03-2012
06-2012
EDUCAT ION
05-2012
Grands partenaires
“PRINTEMPS DES POÈTES”
INAUGURATION INAUGURATION DE L’AGROCITÉ AVEC LES ÉLUS DE LA MAIRIE DE COLOMBES, LA REPRÉSENTANTE DU PROGRAMME “LIFE +” ET LES HABITANTS DE COLOMBES
ECO-CommuN 3
PLANTATION DE LA HAIE VIVE
atTELIER COMPOST
REPIQUAGE EN PLEINE TERRE
PRÉSENTATION DU TRAVAIL DE ROTOR ET EXTRAMUROS SUR LE RÉEMPLOI DES MATÉRIAUX
09-2012
07-2012 06-2012
PRÊT DU JARDIN D’AUDRA POUR L’AGROCITÉ
ATELIER “LASAGNE”* *QUILA CONSISTE LASAGNE EST UNE TECHNIQUE MARAÎCHÈRE À CRÉER UN SOL EN SUPERPOSANT PLUSIEURS COUCHES DE MATIÈRE ORGANIQUE ET CARBONNÉE EN DÉCOMPOSITION
06-2012
TRANSPORT DU FOUR À PAIN
09-2012
eCO-COMMUN 4 ATELIER COLLECTIF AUTOUR DU RECYCLAGE ET DE LA RÉDUCTION DE CO2 EN COLLABORATION AVEC LE CENTRE NATURE, NATURE ECOLOGIE ET EXTRAMUROS
CHANTIER PARTICIPATIF 1
CHANTIER PARTICIPATIF 2 SUITE DU CHANTIER DE CONSTRUCTION AVEC LA PARTICIPATION DU RÉSEAU ASSOCIATIF ECO NOMADIC SCHOOL
RÉUNION DES JARDINIERS
Petits commerces/ Individuels/ "arrangements"
Education
Production
Déchets ménagers
LA PRODUCTION DE COMPOST ET DE LOMBRICOMPOST : DÉVELOPPEMENT D’UNE FILIÈRE l’Agrolab dispose de plusieurs unités de compost :
10-2012
-compost classique : 3 unités de compost sont délimitées par des palettes récupérées. Le compost avance d’unité en unité suivant son stade de maturation. Seule une des 3 unités accueille les matières fraîches.
09-2012
AVEC LA PARTICIPATION DU COLLECTIF ETC POUR LA CONSTRUCTION DES AMÉNAGEMENTS EXTÉRIEURS DU JARDIN (TERRASSE-PERGOLA), DES TOILETTES SÈCHES ET DU LOMBRICOMPOSTEUR
PR ODU CTIO N
04-2012
03-2012
RÉCITS POÉTIQUES AVEC LA PARTICIATION DU HUBLOT(THÉÂTRE DE COLOMBES) ET DES COMÉDIENS DU STUDIO D’ASNIÈRES
Récupération du marc de café
Habitants impliqués individuellement
ATELIER RÉPARATION VÉLO ORGANISÉ PAR L’ASSOCIATION “COLOMBES À VÉLO”
COLLECTE DES DÉCHETS ORGANIQUES POUR LE COMPOST
ATELIERS BRICOLAGE
-lombricompost : une fois arrivé au stade demi mûr, le compost passe dans une autre unité de lombricompost. Il est affiné par les vers, puis utilisé dans le jardin. Principales matières apportées : épluchures de légumes apportées par des habitants du quartier ; restes de légumes abîmés du marché ; marc de café du café l’oiseau en face de l’Agrocité ; herbes issues du désherbage du potager (certaines fraîches et d’autres séchées) ; boîtes d’œuf ; paille ; broyat. Très ponctuellement, du fumier a été récupéré et mélangé au compost. Même si les jardiniers participent à l’entretien et l’approvisionnement du compost, le compostage est globalement géré par un maître-composteur qui se rend sur place régulièrement.
Bio-déchets
Transport d'un site à l'autre de rurban Habitants/Jardiniers impliqués dans l'agrocité
Déchets des marchés
300 litres de déchets organiques
ECOHAB
11
QUELQUES PHOTOS DE L’AGROCITÉ EN 2013... LE JARDIN PARTAGÉ
AGROLAB
AMAP
toiture et façades végétalisées
PHYTOÉPURATION
13
RECYCLAB
Ateliers de recyclage et de réemploi des matériaux de construction atelier pédagogique (containers de réemploi)
toiture végétalisée
écran pour projection porte coulissante
(planches de séchage recyclées)
bureaux
espace documentation
iques et de le et en lien
plancher extérieur
espace cuisine
potager vertical
panneaux solaires
espace expo porte coulissante
ateliers de fabrication
OLOMBES
(containers de réemploi)
é à Colombes otes (Agrocité, ui seront reliées vec d’autres et des projets contribuant à é de résilience
toiture végétalisée
vers
l’a86
té d’agriculture consiste en expérimentale, , des espaces urels et des on énergétique, e collecte d’eau
ité d’économie spécialisée en onstituée autour ents permettant tériaux et leur sous-ensembles s écologiques.
t coopératif et ar un nombre de aux et d’espaces o-construits
n Ile-de-France, ance participent
espace de stockage intérieur (container de réemploi)
espace de stockage extérieur
rd uleva le bo vers y m l de va
reCYCLAB est une ressourcerie s’installant de façon temporaire sur le boulevard d’Achères, qui est aujourd’hui une impasse inutilisée.
espace de stockage intérieur (container de réemploi)
et sociales et a c.
• Les modules, qui suivent la trame des arbres existants, seront réversibles et rélocalisables sur un autre terrain si nécessaire. Le montage du projet de fonctionnement est réalisé en partenariat avec Extramuros. Recyclab a pour but de:
-18
LES OBJECTIFS du reCYCLAB
• recycler des objets et déchets à échelle locale en leur donnant de nouveaux usages et en les utilisant comme matière première pour des chantiers d’écoconstruction
CO2 /
7T
• réaliser des aménagements écologiques avec des techniques d’éco-construction (matériaux recyclés localement, énergies renouvelables, etc.) afin de développer des activités d’économie sociale et solidaire à Colombes
REDUCTION DE 187 tT D’EMISSION DE CO2 PAR AN
4
• initier de nouvelles pratiques urbaines, à partir d’actions pédagogiques, afin de propager des pratiques éco-responsables telles que la réduction des déchets ménagers, la réparation et le réemploi em
plois lo
ca ux
CRÉATION DE 2 A 4 NOUVEAUX EMPLOIS ESS EN ECO-CONSTRUCTION ET ECO-DESIGN 75 T PAR AN DE REDUCTION DE DECHETS DE CONSTRUCTION PAR LE REEMPLOI ET LE RECYCLAGE PEDAGOGIE, APPRENTISSAGE ET DISSEMINATION DE PRATIQUES ÉCOLOGIQUES COHÉSION SOCIALE, COOPÉRATION, RE-INSERTION PROFESSIONNELLE
75
T / AN
• réduire la consommation d’énergie des opérations de construction sur l’ensemble du projet
15
MB
travail en agence / p r o j et u r b a i n de g r a n de a m p l eu r
paysage
principes de gestion des eaux
Bureau de maîtrise d’oeuvre Marocain RABAT - juillet 2010 > janvier 2012
les différentes échelles de gestion des eaux pluviales
étant donné les enjeux politiques liés à ce projet et le devoir de confidentialité auquel je dois me soumettre, il m’est impossible de vous communiquer la localisation exacte du site ainsi les données nécessaires à la compréhension du projet d’ensemble. Il s’agit d’une extension de ville de 100 000 habitants au coeur du Maroc, dans un espace trop longtemps délaissé par des pouvoirs publics qui ont concentrés l’essentiel de leurs efforts sur villes côtières (poids du tourisme dans l’économie marocaine). Cependant , il est aujourd’hui question de pallier ces carences avec des projets d’envergures nationales en des points stratégiques de l’arrière-pays. Celui -ci s’attache particulièrement à la dimension écologique et durable de la ville future puisqu’il espère obtenir le label «LEED Platinium» et ainsi disposer d’une reconnaissance internationale. L’une des contraintes majeures de cette entreprise fut de développer des stratégies permettant des recréer des conditions écologiques optimales sur des centaines d’hectares, étant donné l’état actuel du site situé dans une zone aride et surpâturée, dont la seule ressource se trouve être le fameux phosphate marocain. Microclimat humide au coeur de l’oasis
recréer des microclimats adaptés à la forme urbaine
mutualiser la gestion des eaux et l’effort pour la biodiversité Reboiser lis
s
ent
em
ois
/b ière
bras mort en eau
bras mort à sec
uns
m
com
pério de es
tivale
lisières urbaines ( boisements hauts + landes)
boisements communs ( petits arbres de milieux secs + lande)
lisières urbaines ( boisements hauts sans strate basse )
Recréer un sol - diversifier l’agriculture re os tu ad ul des c e a rm iqu pe techn La
re
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u yc ol
p
arboriculture - AGROFORESTERIE - pâturage
Arganier
amandier
OLIVIER
caroubier + patûrage
pério
de H I
VER NAL
E
100 ans 50 ans 20 ans 10 ans 5 ans 2 ans
projet en cours
17
travail en agence / p r o j et u r b a i n de g r a n de a m p l eu r
projet en cours
L’ossature «verte» structure la trame urbaine, deux talwegs traversent le site et récupèrent les eaux pluviales des espaces publics hors îlots (voiries, places...). La coulée verte constitue l’épine dorsale de la ville, elle est traversée par ces deux talwegs, et jalonnée d’oasis, des espaces publics aménagés et plantés, qui concentrent l’essentiel des équipements. Sur la majorité de sa surface, elle est composée des boisements (différents cortèges) et d’espaces agricoles urbains.
1 S I S OA
2 S I OAS
3 S I S OA OASIS 1
4 S I S A O
OASIS 3
OASIS 4
OASIS 2
19
travail en agence / su i v i de cha n t i e r
talweg nord
talweg sud
----- Suivi de chantier du JARDIN ZOOLOGIQUE NATIONAL DE RABAT / août 2010-décembre 2011
talweg nord
Transplantations
talweg sud
Intégrer la dimension de « développement durable» au projet urbain dans ce pays est une idée très novatrice, étant donné l’essor économique et touristique qu’il connaît, dans un contexte très différent du «modèle» européen pour qui cette logique s’est aujourd’hui imposée comme incontournable. Un projet passionnant donc, très ambitieu, où l’on est directement confronté à l’incroyable complexité de la ville et de ses mécanismes. Il nous fallait appréhender son évolution dans le temps, mais aussi et surtout, considérer l’avenir des hommes qui la construisent et qui bientôt y viveront...
La réalisation d’un Zoo s’avère être une entreprise assez complexe étant donné la diversité des contraintes techniques (sécurité - sanitaire) d’une part, biologiques d’autre part (recréer les différents biotopes représentés dans un même milieu, ex: désert et forêt tropical pour un même sol, un même climat; créer des espaces adaptés au spécificités de chaque animal) et enfin esthétiques (intégrer le point de vue du visiteur tout au long de la conception)
21
TFE
études / p r o j et de d i p l ô m e
Ecole Nationale Supérieure de le Nature et du Paysage
De l’écriture d’un mémoire au dessin d’un projet
travaux de fin d’études (TFE)
ENTRE L’HOMME ET L’EAU, QUEL AVENIR POUR LES MARAIS DE REDON
Blois-Redon - septembre 2009 > juin 2010
Situé à environ 40 km de l’estuaire de la Vilaine, au carrefour entre les départements de la Loire Atlantique et du Morbihan et de l’Ille-et-Vilaine, la ville de Redon fut longtemps, de par sa situation géographique, une place stratégique et un pôle d’échange rayonnant sur l’ensemble de la Bretagne. Le pays de Redon, ainsi que la basse et moyenne Vilaine sont caractérisés par un chapelet de marais sur lesquels sont venus s’installer au fil des siècles, villes, agriculture et industries . Depuis l’époque romaine, l’homme des marécages a cherché à maîtriser son espace. Il a assainit des zones humides « hostiles »,réalisé de nouvelles cultures... La région est restée très traditionnel dans le domaine agricole, notamment dans les marais, essentiellement cultivé pour le foin. Redon est devenue un véritable port de commerce au XIX siècle, période durant laquelle le commerce fluviale trouvait son apogée (canalisation de la vilaine, canal de Brest à Nantes). L ‘installation d’une industrie, souvent lourde et/ou chimique, a totalement métamorphosé le paysage local. Aujourd’hui, soumise aux aléas de la rentabilité, l’industrie redonnaise est en chute libre, totalement dépassée par le développement des villes plus importantes comme Rennes et Nantes. Le commerce fluvial a disparu sous la pression du commerce routier pour laisser place à la navigation de plaisance sur la vilaine et ses affluents. Une nouvelle forme d’industrie s’est implantée dans les marais après de vastes travaux de remblaiements alors que d’énormes friches restent inexploitées en plein coeur de ville. Depuis leur création, ces zones industrielles « modernes » ont maintes et maintes fois été recouvertes par les eaux, causant de grave problèmes de pollution. Elles sont à leur tour peu à peu abandonnées et les élus locaux semblent incertains quant à leur avenir. Ce chapelet industriel redonnais illustre bien la problématique de gestion de l’eau et des sols qui s’étend à l’échelle du bassin versant de la Vilaine. Etant donné la complexité et l’importance du réseau hydrologique, les marais de Redon et de Vilaine ont toujours été soumis à d’énormes inondations. Le barrage d’Arzal, situé à l ‘embouchure de la Vilaine, fut construit en 1970 pour tenter de résoudre ces problèmes de montée des eaux, faciliter la navigation, mais aussi voire surtout de permettre un franchissement de la Vilaine par la côte. D’autre part, les
* mémoire
institutions étatiques à l’origine de ce projet pensait aussi pouvoir mettre en place une agriculture à forte valeur ajouté par l’ « assainissement » des marais. Echec total. Ce barrage est à l’origine d’une véritable catastrophe écologique. L’équilibre fragile des marais est brisé. La biodiversité est gravement atteinte, et l’économie qui y était liée d’autant plus (conchyliculture, pêche, exploitation des marais... ). Les inondations non seulement perdurent mais font aussi de plus en plus de dégâts (pollution industrielle) et de plus en plus souvent. L’estuaire de la Vilaine doit faire face à des problèmes d’envasement désastreux. Les espoirs quant au développement agricole ont très vite disparus. Par ailleurs,les pollutions liés à l’agriculture locale et régionale, quasi exclusivement de l’élevage ( bovin, ovin, porc et volaille), s’avèrent catastrophiques pour les sols comme pour l’eau. C’est l’ensemble du bassin versant de la Vilaine qui est concerné. Façonné par l’eau, remodelé par l’homme, le territoire montre bien la complexité de la relation qu’entretiennent ces deux acteurs au dépend du socle qui les supporte. L’Homme, obnubiler par son développement, a voulu maîtriser coûte que coûte le tracé de la vilaine et de ses affluents. Dépassé, il subit aujourd’hui les conséquences de ses excès. Les marais, lieux de pêche, de pâture et de récréation, comme les infrastructures industrielles sont néanmoins des lieux identitaires qui ont marqués l’histoire et les mémoires des Redonnais. Aujourd’hui, leur évolution suscite une vive polémique (entre lobbying écologistes / agriculteurs /industriels ). Aussi, le pays de Redon et ses marais souffrent terriblement de la conjoncture économique, en terme d’agriculture comme d’industrie, et doit faire face à des problématiques environnementales considérables, à l’échelle locale et régionale. Comment préparer l’avenir de ces marais si l’on considère ces enjeux économiques, sociaux et environnementaux ? Ainsi, jusqu’où l’homme peut-il prétendre maîtriser cet environnement ? De quelle manière peut-on envisager un juste équilibre entre espace naturel et espace anthropisé dans une optique de développement durable? Comment peut-on continuer à exploiter l’ eau en tant que ressource, tout en participant au maintient voire au développement de la biodiversité dont elle est garante?
23
REDON, VILLE MAGNÉTIQUE EN TERRE MARAÎCHINE CONFLUENCE BRETONNE
canal de
Nantes à
Brest
CARREFOUR BIOLOGIQUE
NOEUD DE COMMUNICATIONS
Ma ye nn e
Ran
Canal d’Ille et Rance
ce
Aulne
FRONTIÈRE ADMINISTRATIVE
t
ve
Sarthe
Vila ine
Bla
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Sèv e
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Nan
Petite Maine
1L’ÎLE GARNIER le grand mail des marais
Le bras-mort industriel
La ville fluviale
a
Les marais pâturés
LES BERGES HABITÉES
st
Ou
ne
lai
Vi
b
LE FLEUVE RESSOURCE
sentier de la confluence
ER LA CEN
TRALITÉ DE
REDON À L ’ÉCHELLE D
U PAYS
RÉTABLIR
LA CONTIN
UITÉ DES M
ARAIS
c
2 LE MARAIS PARTAGÉ LES BERGES COLONISÉES
2000
1/
École Nationale Supérieure de la Nature et du Paysage - Diplôme de fin d’étude - juin 2010 - Adrien DUSSOUCHET
N
RÉAFFIRM
NOUVELLE INTERFACE VILLE-MARAIS
25
l
béton lissé béton lissé coloré pavés granit (15 x 15) ponton en bois (châtaignier) stabilisé carrossable dalle béton gazon Populus nigra ‘italica’ Platanus acerifolia
500
1/
N
Quercus robur
Requalification d’une ancienne usine de machinerie agricole en centre culturel local travail sur les franchissements de cours d’eau les axes de communications et les cheminements augmentation de la capacité d’accueil du bassin à flot, berges habitées...
e projet porte donc sur la requalification d’un patrimoine industriel en plein coeur de ville, noeud de communication à l’échelle régionale, et par ailleurs questionnait l’avenir de l’interface villle-marais. Il s’agit d’un site très complexe, où les différentes strates historiques se sont superposées sans trop s’écouter. Aujourd’hui, il s’agit de lui redonner une cohérence, de recréer un lien entre l’homme et ses marais, d’accepter les erreurs du passé et même de reconstruire avec. C’est la façon de reconstruire et surtout la manière d’occuper ce territoire qui harmonise cette relation hommemarais.
LES QUAIS, ESPACE PUBLIC À TRAVERS LA VILLE
réseau piéton réseau cyclable
mail de platanes
stationnement accès privé
LE PASSAGE
1 L’ÎLE GARNIER, UNE NOUVELLE CENTRALITÉ POUR LE PAYS DES MARAIS quais pavés
le site des Amis du Transformateur
7,50
2,50 0,50 1,80 2
4,50
60
2,50 0,50 2,50
6
2,50
2
mail de peupliers
ILA
2,50
TR AV E
RS E
R
LA V
2 1,80
IN E
les Marais
allée couverte
passerelle-écluse
passage public à travers le bâtiment
espace public ouvert sur le port
bac à traille
la confluence
TRAVERSER L’ÎLE POUR REJOINDRE LES MARAIS
BASSIN À FLOT 44
10
5
90
15
TOI
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12,5
12
LES ATELIERS
LA FRICHE GARNIER, CENTRE CULTUREL ET ASSOCIATIF, ESPACE PUBLIC URBAIN OUVERT SUR LES MARAIS
VILAINE 15
rt
e
ICH
E
Sskatepark couvert
Musée de la batellerie
Maison de l’eau
Entrepôt des artistes
Ateliers d’artistes
S alle d’exposition libre
Foyer des artistes
C ommerces et services
Bar-restaurant
S alle de spectacle
A ccueil, salon, loges
1300 m2
500 m2
500 m2
3500 m2
3000 m2
2150 m2
100 m2
1500 m2
850 m2
2000 m2
250 m2
L’ESPLANADE
18
27
2 LE MARAIS PARTAGÉ, ESPACE DE TRANSITION ENTRE TERRITOIRES URBAIN ET RURAL PHASE 1
PHASE 2
29
PHASE 3
feraillerie
mur d’escalade
décharge
étable temporaire
entrepôt de stockage des matériaux de construction
N
bergerie
0
200 m reprofilage des douves déconstruction et réouverture des parcelles publiques en friche 0
requalification de la voirie
200 m
création de nouveaux cheminements
prairies paturées toute l’année (cheptel des amis du transformateur + moutons)
sentiers agricoles
berges paturées périodiquement par les moutons
sentier de la confluence (GR)
connexion du réseau hydraulique agricole avec le réseau de douves de la zone industrielle
STATUT FONCIER
«DÉPRIVATISATION» DES BERGES
GÉNIE HYDRAULIQUE
TERRASSEMENT
RECYCLAGE
GESTION AGRICOLE
RECONNEXION DES RÉSEAUX DE DOUVES
RÉUTILISATION DES MATÉRIAUX DISPONIBLES
STOCKAGE DES DÉBLAIS SUR LE SITE
0
DÉFRICHAGE
CLÔTURAGE PÉRIPHÉRIQUE
1
2
(fossés industriels/douves agricoles)
CRÉATION D’UN RÉSEAU DE SENTIERS AGRICOLE ET PIÉTON
MOUTONS D’OUESSANT
+
NOUVEAU STATUT INTERCOMMUNAL
RÉOUVERTURE DE L’ANCIEN COURS DE L’OUST
CHEPTEL DES AMIS DU TRANSFORMATEUR (VACHES NANTAISES)
RECONQUÊTE DES BERGES PAR LA FLORE LOCALE
RÉEXPLOITATION DU SURPLUS DE MATÉRIAUX SUR LES CHANTIERS LOCAUX
1
3
DÉCONSTRUCTION
PÂTURAGE
200 m réouverture de l’ancien cours de l’Oust
RACHAT DES PARCELLES INDUSTRIELLES EN FRICHE PAR LA C.C
REPROFILAGE DES DOUVES
DÉCLÔTURAGE
0
TRI ET STOCKAGE DES MATÉRIAUX
VAINE PATÛRE
2
TRANSPORT FLUVIAL
3
NOUVELLES CONSTRUCTIONS SUR PILOTIS
CHEPTEL DES AMIS DU TRANSFORMATEUR + BÉTAIL DES ÉLEVEURS LOCAUX
4
31
LE MARAIS PARTAGÉ,, ESPACE DE TRANSITION ENTRE TERRITOIRES URBAIN ET RURAL
a LES BERGES HABITÉES, ALTERNATIVE URBAINE ENTRE LES DEUX PORTS sentier de la confluence
L’AXE SUD, DE LA VILLE À LA CONFLUENCE
Acer negundo
sentier agricole
ponton d’accès aux péniches
Quercus robur
rigole d’infiltration
(végétation spontanée)
containers sentiers agricoles prairies pâturées liaisons piétonnes et cyclables
A
LE GRAND MAIL DES MARAIS
A’ 4,50
0,50
sentiers de la confluence tranchée
ÉQUIPEMENTS DES BERGES (bail-location)
0,50
2
0,50
6,50
0,50
2
0,50
2
ponton d’accès aux péniches habitées
(public)
(réseau d’eau et éléctricité)
2
(privé)
containers (privé)
B B’
garage
point d’eau
alimentation local poubelles électrique
B
ILÔTS PRIVÉS SUR BERGES PUBLIQUES 2,50
A’
500
1/ accès carrossable réservé aux riverains
N
A
10
B’
33
C
ette interface ville marais soulève de nombreuses problématiques: zones inondables remblayées, polluées, activité industrielle en déclin, verrue dans le paysage des marais.... Le projet accepte et même anticipe le départ progessif de l’industrie tout en dévellopant certaines de ces activités existantes, lorsqu’elles sont en rapport direct avec la vie du fleuve et des marais.
C C’
D
passage le long du quai D’
port de commerce stationnements pontons (châtaignier et autres) observatoire douves reprofilées sentier à travers la prairie mise à l’eau sentier de la confluence bande boisée («rideau»)
E
plage (sable de la sablière) hangar de stockage bâtiments réhabilités racks
500
1/
N
E’
Port de commerce existant: développement de l’activité existante et d’autres nouvelles activités autour du fleuve (plaisance-garage à bateau...)
35
LE MARAIS PARTAGÉ, ESPACE DE TRANSITION ENTRE TERRITOIRES URBAIN ET RURAL
b LE FLEUVE RESSOURCE
RÉOUVERTURE DE L’ANCIEN COURS DE L’OUST boutures de saules
( 0 2-4cm / l = 40-100cm )
tressage
natte géotextile
(pieux et branches de saules)
matériaux terreux
PROFIL EXISTANT DES DOUVES
extension du quai ponton flottant
prairie
C
PORT DE COMMERCE
clôture des prairies pâturées (piquets de châtaigniers)
bois dur
bois tendre
LE PONTON DE LA SABLIÈRE
C’
Volume total du déblais: 35 000 m3
REPROFILAGE DES BERGES, BOUTURAGE, TRESSAGE
prairie
graminées ripicoles
2
tour observatoire -nichoir cabane de location de matériel nautique
D
sentier de la confluence
plage
BASE NAUTIQUE
végétation aquatique
D’ 25
7
2
22
RECONQUÊTE DE LA FLORE SPONTANÉE
matériel d’entretien des douves
( bateau herseur,pelles, traîne, houlette...) Oenanthion Trifolium fistulosae michaelianum
racks à bateaux
Carex divisa
Juncus gerardii
Clematis vitalba
Prunus spinosa
Ulmus Fraxinus Hypericum excelsior androsaemum campestris
Salix atrocinerea
Alnus glutinosa
Solanum dulcamara
Gratiola officinalis
Scirpus lacustris
Carex acuta
Carex Eleocharis Glyceria Lurorium Potamogeton limosa palustris aquatica natans natans
sentier de la confluence
Laboratoire d’expérimentation végétale et animale
ponton réservé à la mise à l’eau des bateaux
E
PORT À SEC 4
E’ 10
18
L’OBSERVATOIRE
Promontoire sur les marais
LE MARAIS PARTAGÉ, ESPACE DE TRANSITION
c LES BERGES COLONISÉES, PANORAMA SUR LA CONFLUENCE clôture à mouton
gîtes de randonnée
20
cabanes partagées (carrelet)
2
10
PRINCIPES DE CONSTRUCTION
PH
PH
AS
AS
E1
:P
E2
:P
PH
ILO
LA
TIS
AS
NC
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:C
HA
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EN
TES
moutons d’ouessant
N
Aulnes glutineux (Alnus glutinosa), frênes (Fraxinus excelsior), prunelliers (Prunus spinosa), chênes pédonculés (Quercus robur), saules blancs (Salix alba), saules roux (Salix acuminata), saules des vanniers (Salix viminalis)
500
1/
sentier de la confluence (platelage) sentier à travers la pâture
cabanes partagées gîtes de randonnée
entrepôt (stockage des matériaux de récupération) bergerie (cheptel ovin du camping)
camping passage à mouton
pâture permanente berges paturées périodiquement
Bois : chataîgnier (Castanea sativa), chêne pédonculé, frêne) Matériaux recyclés: taule, feraille (IPN), plastiques, verre...
a
lolit
PH
AS
E4
:T
OIT
UR
ES
PASSAGE À MOUTON
DÉTAIL DES PONTONS
®
37
39
A
telier de 4ème année :projet de paysage
Notion de grand territoire: étude propective sur la rade de Lorient Blois - 2008
va t’on vers une conurbation autour de la rade de lorient?
études / p r o j et de p a y sa g e
41
ĂŠtudes / p r o j et de p a y sa g e
43
S
tage de 4ème année : Sativa Paysage
Conception d’un parc multi-usages à gadhames Paris - Avril-Mai 2008
études / sta g es
45
ĂŠtudes / sta g es
47
ĂŠtudes / sta g es
49
autres projets associatifs - réalisations / co n st r uct i o n s - ou v r a g es
E N co-
omadic-
S
chool
Construction d’une bergerie dans les Carpates Brezoï - Roumanie - Novembre 2012 Le réseau «Rhyzom» (http://www.rhyzom.net/projects/) est né d’une initiative inter-associative européenne financée notamment par le programme européen «Grundwig». Il rassemble des associations de France, d’Angleterre, d’Irlande, d’Allemagne, des Pays-bas et de Roumanie. Chacun des acteurs de ce réseau organise des événements (workshops, visites, débat-conférences...) sur leur territoire d’action. Le projet présenté ici est à l’initative de l’association FCDL (Fundatia Communitara de Dezvoltare Local) qui oeuvre pour le maintien de l’agriculture, l’élevage et les savoirs-faire tradtionnels de cette région des Carpates. Il s’agissait de construire une «Odaie», bergerie traditionnelle des alpages, qui constituerait une Ecole pour la transmission de ces savoirs-faire qui disparaissent peu à peu, les jeunes de la région ayant tendance à fuir vers la capitale ou vers l’étranger. En 10 jours furent construit des blocs sanitaires (douches solaires et toilettes sèches, ainsi que les fondations et la charpente de la future école.
Roumanie
Brezoi BUCAREST
51
L
es belvédères de la Vilaine
RENNES
Chantier construction à la Carrière du Bellion
Fégréac - Février 2013 La Carrière est une association située à : Fégréac, Loire-Atlantique, pays de Redon, constituée en 2005 autour du metteur en scène Christophe Rouxel et du paysagiste Gabriel Chauvel «L ‘association a pour objet la création et le développement d’actions artistiques et jardinières à partir de la carrière de la butte St Jacques au Bellion, à Fégréac.» (extraits des statuts) Elle est portée par plus de 450 bénévoles depuis 2005. Il s’agit ici projet d’aménagement artistique de deux belvédères se faisant face sur les coteaux de la Vilaine, à Rieux (56) et à Fégréac (44). Participation collective avec l’artiste Nikolay Polissky.
LORIENT
VANNES
REDON
Fégréac NANTES
53
55
C
irque des Lises
onception - réalisation en chantier participatif / projet associatif
le cirque des lises
ª
Présentation publique de l’esquisse et visite sur site
Réhabilitation d’une ancienne carrière d’argile à Saint-Jean-la-Poterie (56) avec l’association «Les amis du transformateur» ( Analyse-Esquisse-Chantier participatif ) - 2008-2011
atelier poterie
accès piéton
la placette du village
le verger
accès piéton
Premier chantier participatif ( reconstruction d’un mur de soutainement en pierre sèche) / septembre 2009
la source
le jardin d’eau
(zone humide)
accès piéton le préau-atelier
les géants sculptés
la prairie humide
la retenue d’eau
Création d’un chemin carrossable en graves- finition de clôture à mouton - test pour ouvrage hydraulique (ruisseau) - abbattage d’arbres coupe et réutilisation in situ pour les différent ouvrages - réalisation d’un ponton en bois - / mars 2010
ancienne poche d’argile le pré des moutons
la cabane
ancienne poche d’argile accès voiture
l’atelier «musique des bois»
la clairière
Inauguration du site ( construction d’un four traditionnel-marché de potiers-atelier torchis (ouvrage d’art) - repas géant et concert / septembre 2011 jeux pour enfants
centre Glet
57
c
hapitre zéro
Installation spontanée sur l’espace public parisien Deuxième chantier participatif avec les habitants de la commune (clôturage-plantation d’un verger- régénération de haie - débroussaillage...) septembre 2009
Paris XIX & XX - 2013
PARIS
Le projet du «Chapitre zéro» est né suite à la rencontre de membres de différents collectifs d’architectes, d’artistes-plasticien et d’autres -champs d’action lors d’un rassemblement organisé par le collectif etc, qui clôturait leur «détour de France» (http:// www.collectifetc.com/realisation/le-detour-de-france-du-collectif-etc/). Nous étions donc membres de plusieurs collectifs (Atelier d’Architecture Autogérée, Exzyst, Cochenko, Quatorze, Y+K...) de Paris ou de région parisienne, mais ne nous connaissions pas véritablement, ayant seulement «entendu parlé» de ce que nous faisaient les uns les autres. Puis l’idée est venue de se retrouver ponctuellement, le soir, dans les rues de Paris, d’y recueillir tous matériaux inspirants ou utiles dans un premier temps, de les rassembler en un lieu propice à la construction où nous nous pourrions laisser libre cours à notre imagination.
Ces «encombrants» comme on les appelle trouvent ainsi une seconde vie sur l’espace public, comme sur cet exemple avec un bar de rue le long du canal de l’Ourcq.
59
L L
Les grands enjeux du projet
a ferme de la Touche
Le projet global est une réponse à plusieurs objectifs complémentaires, objectifs qui s’inscrivent dans des perspectives de développement local, sur un territoire qui souhaite valoriser son patrimoine et ses savoir-faire :
les
rritoria ivités te
ieu de production, de transformation et d’apprentissage
Collect
Producteurs et artisans locaux
Public intéressé
Entrep rise
s spéc
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en bio
-const ru
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Mise en valeur de l’artisanat et de la production locale en circuit court.
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Chitenay - Mars-Avril 2012
par l’AB
Org
Diversification de l’offre touristique et culturelle à l’échelle du pays des chateaux et de l’agglomération.
Res
rate ur
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écoles lo cale
Il s’agit d’un projet de dévellopement associatif, touristique et pédagogique autour de la culture paysanne et biologique
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lité icipa
Mun ay iten
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eau
x as
socia tifs
évolution et répartition des usages sur la ferme On distinguera 3 grands usages sur la future exploitation : - Lieu de production agricole - Lieu de vente et de services - Lieu d’herbergement et de loisirs Un quatrième «usage» est à prendre en compte dans la répartition des 3 autres et dans la façon d’aménager l’ensemble de l’exploitation, c’est l’usage privé. L’ouverture de la ferme au public nécessite la prise en compte de ce facteur important pour des raisons de sécurité, de bien-être et d’efficacité.
3 1 unité d’habitation (privé)
2
zone d’exploitation (SAU à préserver)
zone équestre
(pâture, aire de travail T.A, abris-box)
zone d’accueil du public
N
(parking, resto-boutique, placette)
0
50m
le jardin habité
(cabanes-gîte, lieux communs, zone d’expérimentation)
Phasage Aux trois grands volets de développement du projet correspondent trois temps, un premier qui consolide l’existant, un second qui développe une nouvelle stratégie commerciale à travers l’élargissement de la gamme de produits, la transformation, et la restauration sur site, puis enfin, un troisième temps pour la création d’une structure à vocation pédagogique et de loisirs au sein de la ferme.
Création d’une plateforme d’échange sur les valeurs de l’agriculture biologique et paysanne, à travers la découverte des produits du terroir, la formation et l’expérimentation sur le lieu de production.
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C
abane «à la sauce Béarnaise»
Une cabane dans les arbres
BAYONNE BIARRITZ
Bédeille (64) - Aout 2012
Bédeille PAU TARBES
Nous sommes à Bédeille, petite commune du Béarn, situé au coeur du piémont des Pyrénées Atlantiques.
Dans la Ferme de Jougla, on élève et on gave des canards sur une exploitation d’environ 50 hectares. Les terres s’étalent du plateau jusqu’aux confins d’un vallon où coule le ru du Grand Lées. La famille Bies-Turon se partage un grand corps de ferme dont plutieurs bâtisses ont été réhabilitées ou transformées en lieux de vie. Un important stock de bois des anciennes charpentes (poutres et planches de chêne) prenait la poussière dans l’ancienne étable, occupée autrefois par un cheptel de blonde d’Aquitaine. Au pied de l’ancien lavoir, alimenté par une petite source, un grand chataîgner prône fièrement à la lisière entre les anciennes patûres et le bois dense du fond de vallon. C’est ici, qu’avec des amis, nous avons entrepris de construire «la cabane». Constituée uniquement de bois de Chêne (poutres et planches) et de Frêne (chevilles), elle grimpe sur trois étages, et constituent le répère des enfants, et le perchoir du chasseur de palombes...
PAMPLONA
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DIVERS / f r es q ues - to i l es
Divers / f r es q ues - to i l es - Hand Made Home Mad -
100 x 50 cm
- Le monde -
50 x 50 cm
----- Réalisation de fresques pour enfants dans une école de la médina de Rabat (MAROC) / 2010-2011
2010
- Mohamed -
120 x 60cm
- STOP! -
140 x 60cm
2011
- D’ici et d’ailleurs -
- Sur les chemins de ... -
100 x 65 cm
- L’addition -
50 x 50 cm
120 x 84 cm