Manifestation massive à Niamey


Des milliers de Nigériens rallient le CNSP contre une intervention armée au Niger

La Base 101, symbole de résistance populaire
Manifestations sans relâche contre la présence militaire française P.7
Manifestation massive à Niamey
Des milliers de Nigériens rallient le CNSP contre une intervention armée au Niger
La Base 101, symbole de résistance populaire
Manifestations sans relâche contre la présence militaire française P.7
TIANI DÉFIE LA CEDEAO ET ANNONCE UNE TRANSITION RAPIDE
TIANI DÉFIE LA CEDEAO ET ANNONCE UNE TRANSITION RAPIDE
EditorialLe coup d'État qui a eu lieu au Niger le 26 juillet 2023 a suscité une vague de réactions internationales, no‐tamment de la part de la Com‐munauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), qui a condamné avec véhé‐mence cette prise de pouvoir par le CNSP. Aujourd'hui, la CE‐DEAO se montre même prête à intervenir militairement au Niger pour rétablir le président déchu Mohamed Bazoum. En effet, le commissaire aux af‐faires politiques, à la paix et à la sécurité de l’organisation régio‐nale, Abdel‐Fatau Musah, a af‐firmé que « la force de la
CEDEAO est prête à intervenir dès que l’ordre sera donné. Le jour de l’intervention a aussi été fixé ». Ces propos ont été tenus à l'issue d'une réunion des chefs d’état‐major des armées ouest‐africaines qui s'est dérou‐lée jeudi dernier à Accra.
Face à cette menace d'inter‐vention armée, les autorités de la transition nigérienne doi‐vent agir avec prudence et dé‐termination. La défense de la patrie est une mission sacrée que chaque citoyen doit assu‐
»
mer avec responsabilité et fierté. Il est donc crucial de préparer la population à cette éventualité. Dans l'urgence, le CNSP doit ou‐vrir des stands de tir aux pa‐triotes qui détiennent légalement des armes à feu et créer des centres de maniement des armes pour le plus grand nombre. Comme le disait le grand philosophe Jean‐Jacques Rousseau : "La liberté ne s'ob tient qu'au prix de la vigi lance".
En cas de guerre, nous devons faire face à l'adversité avec cou‐rage et solidarité. Nous ne pou‐vons pas laisser l'ennemi venir
Dévouement, courage et vision
Tiani, le Général du Peuple
à la nation du chef de l’Etat Discours à la nation du chef de l’Etat
«L’enfer, c’est les autres.» Comme cette phrase résonne à vos oreilles lorsque vous êtes au bureau ! Oui, il va falloir supporter vos collabora teurs les plus incivils et, pourquoi pas, réfléchir à votre propre comportement. Etes vous certain de rester courtois dans un open space ? Pensez vous à re mercier un client quand il vous a invité à déjeuner ? N’êtes vous pas trop ba vard devant la machine à café ? Dans ces 100 règles de la courtoisie et du sa voir vivre au bureau, l’on vous rappelle ces usages quelquefois oubliés et pour tant indispensables à votre réussite.
LORSQUE L'ENFANT PARAÎTRA
Il est toujours un peu angoissant d'annoncer la grande nouvelle à votre employeur. Sera‐t‐il furieux d'apprendre que vous serez absente durant plusieurs ? C'est possible mais vous pouvez déjà préparer votre départ : en expliquant à ceux qui prendront votre suite les pro‐blèmes que vous rencontrez sur un dossier, en vous mettant d'accord en amont sur qui fera quoi pendant votre absence. Bref, en organisant votre départ. Votre supérieur verra comme vous êtes organisée en plus d'être compétente ! Les premiers mois, ne parlez pas sans cesse de votre état. Oui, il est tentant de par‐tager avec les autres son bonheur, sauf que, s'ils sont contents pour vous, vos collaborateurs ont aussi du travail à fournir ! Et si vous vous sen‐tez nauséeuse, gardez ces désagré‐ments pour vous, ne racontez pas dans le détail ce que vous devez af‐fronter chaque matin. Quant à vos collègues, ils devront vous demander la permission avant de toucher votre ventre puisque certains ne peuvent s'empêcher de le faire... Et ne de‐vront pas non plus vous considérer comme une malade. C'est très gentil de leur part mais vous êtes seule‐ment enceinte et peut‐être heureuse de mener jusqu'au terme de votre grossesse une vie normale ! n
Mots et expressions utilisés à contresens ou faux sens à foison, imprécisions et confusions en tout genre, cette nouvelle rubrique aborde toutes les erreurs ou ma ladresses courantes en français sans ja mais les épuiser tant la tâche semble herculéenne et sisyphéenne !
Le pape François a appelé di‐manche à une solution diplo‐matique à la crise au Niger. «Je suis avec inquiétude ce qui se passe au Niger et je me joins à l'appel des évêques en faveur de la paix dans le pays et de la stabilité au Sahel», a déclaré le pontife de 86 ans après la prière hebdomadaire de l'An‐gélus. «Je m'associe par la prière aux efforts de la com‐munauté internationale pour trouver une solution pacifique le plus tôt possible pour le bien de tous», a‐t‐il ajouté. n
Présidentielle au Gabon : la principale coalition de l’opposition appelle à ignorer les législatives
La principale coalition de l’op‐position au Gabon, qui s’est ralliée vendredi derrière un unique candidat pour défier le président sortant Ali Bongo Ondimba à l’élection présiden‐tielle du 26 août, a appelé di‐manche ses partisans à ignorer les législatives qui se tiendront le même jour. n
Brics : ce sommet qui préoccupe l’Occident
Même si elles n’en soufflent mot, les chancelleries occi‐dentales suivent avec atten‐tion les préparatifs du quinzième sommet des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) qui doit se tenir à Johannesburg du 22 au 24 août. Et elles dressent scrupuleusement la liste de tous les participants. Sans l’exprimer ouvertement, les responsables occidentaux re‐doutent que ce sommet am‐plifie le divorce apparu lors du vote sur la guerre en Ukraine en mars 2022, lorsque quarante pays – et non des moindres – avaient choisi de s’abstenir ou de voter contre la résolution condamnant l’invasion russe. Durant dix‐huit mois, tous les responsables américains et européens ont tenté de briser cette fronde, déroulant le tapis rouge notamment au premier ministre indien Na‐dendra Modi et au président brésilien Lula da Silva. En vain. n
Mondial 2023 : les Espagnoles sacrées
Il avait promis que ses joueuses, «unies», seraient «les meilleures» en finale de la Coupe du monde sur la pe‐louse du Stadium Australia de Sydney. Jorge Vilda, le sélec‐tionneur de l’équipe d’Es‐pagne de football, ne s’est pas trompé. Les Espagnoles ont décroché dimanche leur pre‐mier titre mondial (1‐0 contre l’Angleterre). Ni les derniers mois à couteaux tirés entre le coach et une partie de son groupe, l’accusant de mé‐thodes «dictatoriales», ni une rouste (0‐4) infligée par le Japon en poules, n’ont eu rai‐son du collectif de la Roja. n
Parmi tant d’autres, un tic de langage omniprésent s’est fait jour voilà quelques années : celui qui consiste à utiliser, sous l’influence de l’usage an‐glophone, l’adverbe juste au sens de « vraiment », « franchement ». Autour de nous, ce ne sont plus que : « il est juste génial ! », « Elle est juste incroya‐ble ! », « C’est juste formidable ! » … Voilà qui est franchement horripilant ! Rappelons donc que juste, s’il est d’une grande richesse sémantique en français, n’a jamais présenté cette signification. En tant que qu’adverbe, il reprend les emplois de l’adjectif juste (hormis l’idée de justice et de bon droit, prise en
( Suite en page 6)
POUR REHAUSSER UN DISCOURS (ou une conversation)
Des mots pour échapper à la plati tude, voilà qui ne se refuse pas pour donner à nos conversations et nos discours davantage de force, de séduction et de panache. En étant plus précis : ainsi en est il de pléthorique, népotisme, sibyllin, concussion, sophisme, chaque mot étant raconté avec son étymologie et son histoire, assorties de cita tions. En étant plus élégant, plus émouvant : avoir de l’entregent, re mercier l’amphitryon, agir avec cé lébrité sont mieux dits qu’avoir du piston, dire merci, et faire vite. En étant plaisant : évoquer l’académie de quelque callipyge, homme ou femme, est certes coquin, mais en rien vulgaire, surtout si on est abs tème… En faisant appel à une cul ture sans cuistrerie : le rocher de Sisyphe, le tonneau des Danaïdes, la boîte de Pandore, jouer les Cassan dre, se montrer jacobin ou girondin, l’œcuménisme, l’équanimité ne sont pas des mots prétentieux, mais des concepts forts. Enfin, partager avec ses interlocuteurs les ori gines et les charmes d’un mot utile n’est jamais perdant !
« Il n'y avait rien de mal à recevoir de l'argent de madame Dulauron [...] pourvu qu'on le dépensât hic et nunc et qu'on ne thésaurisät pas. Hic et nunc est une façon de parler que Gre noble devait à son parlement. » Stendhal, Vie de Henry Brufard, 1836.
L'usage de cette locution latine se traduisant littéralement par ICI (hic, en latin) ET MAINTE NANT (et nunc), relève d'un re‐gistre juridique ou littéraire. Utilisée en tant qu'adverbe, la‐dite formule s'est installée en français au XIXe siècle. Balzac étant parmi les premiers à en faire usage, suivi par Jules Verne : « C'est encourir une assez grande responsabilité que de vous répondre HIC ET NUNC Cela demande réflexion », s'ex‐clame Mac Nabbs en 1868 dans Les Enfants du capitaine Grant Dès le XXe siècle, les philosophes n'hésitent plus à substantiver la locution : « L'ailleurs et le jadis sont plus forts que le hic et nunc », affirme Bachelard en 1957 dans la Poétique de l'espace EX ABRUPTO, bien que s'installant aussi dans le présent, se dis‐tingue en qualifiant une manière brusque, abrupte, SANS PRÉAMBULE ou encore SANS PRÉPARATION. Hic et nunc et ex abrupto, Rodrigue fit sa dé‐claration. n
La transition n'excédera pas trois ans
Le général Abdourahamane Tiani, chef de l’Etat et président du Conseil National pour la Sauve ‐garde de la Patrie (CNSP), s'est exprimé avec une fermeté remar‐quable lors de son allocution télé‐visée samedi soir. Dans un élan de transparence, il a assuré que la transition en cours au Niger n'al‐lait pas s'étirer indéfiniment : « Notre ambition n’est pas de con f isquer le pouvoir », a ‐ t ‐ il proclamé, confirmant que cette phase délicate « ne saurait aller au delà de trois ans ».
Mise en garde contre une intervention militaire de la CEDEAO
L'intervention de Tiani survient dans un contexte de tension pal ‐pable entre le Niger et la Commu‐nauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO).
Cette dernière, après avoir condamné le coup d'État du 26 juillet 2023, qui a renversé le pré‐sident Bazoum Mohamed, semble désormais envisager une réponse militaire. Une posture que le chef de l'État ne prend manifestement pas à la légère. «Si une agression devait être entreprise contre nous, elle ne sera pas la prome nade de santé à laquelle cer tains croient » , a ‐ t ‐ il prévenu avec vigueur, mettant en évidence son tempérament combattif et sa détermination à protéger la sou ‐veraineté du Niger avec le soutien résolu des populations.
Engagement envers un renouveau constitutionnel
Tiani n'a pas uniquement adopté une position défensive, le général a également parlé d'avenir et de reconstruction. Il a annoncé le lancement d'un « dialogue natio nal », avec pour objectif la formu‐lation, en l’espace de trente jours,
Le discours du général Tiani se distingue par sa fermeté et sa détermination. Il a non seule ‑ ment clarifié la durée de la tran sition mais a également exposé sa vision pour une refonte constitu ‑ tionnelle inclusive. Tout en appe lant à la concorde nationale, il n'a pas hésité à défendre avec vi ‑ gueur la souveraineté du Niger face aux menace de l’organisation régionale, qui, tout en jouant à l'apprenti sorcier avec ses me naces d'intervention, revendique en même temps une main tendue pour le dialogue. Ce double lan gage est l’illustration non seule ment d’un signe de faiblesse, d’une carence en matière de vi sion stratégique mais surtout d’un aveu d’échec d’une CEDEAO dont il est permis de douter de sa détermination à intervenir mili ‑ tairement au Niger.
de « propositions concrètes » pour établir « les f ondements d’une nouvelle vie constitution nelle ». Cette démarche témoigne d'une volonté d'inscrire le pays dans une nouvelle ère politique et de lui donner un nouvel élan.
Visite de la délégation de la CEDEAO
L'allocution du général Tiani est intervenue après la visite, plus tôt dans la journée du samedi 19 août, d'une délégation de la CE ‐DEAO au Niger. Cette délégation était venue chercher une solution pacifique à la crise politique qui sévit dans le pays depuis le coup de force du 26 juillet 2023. Toute‐fois, le président du CNSP a criti ‐qué l'attitude de la CEDEAO, qu'il a accusée de préparer une "agres sion" contre le Niger en collabo ‐rant avec une armée étrangère pour mettre sur pied une "armée d'occupation". Il a également dé ‐noncé les sanctions "illégales" et "inhumaines" de l'organisation ouest ‐ africaine contre le Niger. Depuis le 30 juillet, notre pays est en effet sous le coup de lourdes
sanctions financières, écono ‐miques et commerciales imposées par la CEDEAO, qui souhaite le re ‐tour du président déchu Moha ‐med Bazoum au pouvoir.
Le discours du général Tiani se distingue par sa fermeté et sa détermination. Il a non seule ‐ment clarifié la durée de la transition mais a également exposé sa vision pour une re ‐fonte constitutionnelle inclu ‐sive. Tout en appelant à la concorde nationale, il n'a pas hésité à défendre avec vigueur la souveraineté du Niger face aux menace de l’organisation régionale, qui, tout en jouant à l'apprenti ‐ sorcier avec ses me‐naces d'intervention, reven ‐dique en même temps une main tendue pour le dialogue. Ce double langage est l’illus ‐tration non seulement d’un signe de faiblesse, d’une ca ‐rence en matière de vision stratégique mais surtout d’un aveu d’échec d’une CEDEAO dont il est permis de douter de sa détermination à intervenir militairement au Niger. n
Depuis les temps immé‐moriaux de l'histoire ni‐gérienne, rares sont les figures qui ont autant marqué les esprits et les cœurs que le Géné‐ral Tchiani. Homme de vision, de poigne et d'intégrité, son ascen‐sion à la tête du CNSP, le Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, est l'aboutissement d'une carrière militaire aussi brillante qu'exemplaire.
Né dans les dunes majestueuses du Sahel, Tchiani a toujours eu un lien profond avec sa terre na‐tale. Ce lien a nourri en lui un sens aigu du devoir et un enga‐gement indéfectible envers la protection de la souveraineté du Niger. Ses détracteurs voient en lui le visage d'un putschiste, mais pour ceux qui connaissent vraiment l'homme derrière l'uniforme, il est avant tout un patriote passionné, un stratège hors pair, et un leader charisma‐tique.
Sa formation militaire, acquise dans les meilleures académies à travers le monde, a sculpté chez lui une rigueur et une discipline à toute épreuve. Mais ce n'est pas tout. Tchiani a le don rare de pouvoir conjuguer son expertise militaire avec une acuité poli‐tique, faisant de lui un acteur clé dans la stabilisation du Niger dans des moments de crises pro‐fondes.
Au fil des années, le Général a dé‐montré une capacité remarqua‐
Les FAN ont organisé ce 18 août une opération de convoyage, du Burkina Faso au Niger, de « 311 camions de transport de marchandises venus de plusieurs pays de la sous‐région ». Un dispositif militaire composé de moyens aériens et terrestres a été mis en place avec la collaboration des autorités Burkinabé. Une belle détermination à soutenir la population nigérienne mise sous embargo. n
L’UE a exprimé sa « profonde inquiétude » face à « la dé‐térioration des conditions de détention » de Mohamed Bazoum, et a réclamé de nouveau sa libération « immé‐diate et sans condition ». Au même moment, elle observe un silence total face à l'état de santé inquiétant de l'opposant Ousmane Sonko, en grève de la faim depuis le 31 juillet, date de son incarcération. Les droits humains se valent dans toutes les circonstances. n
ble à écouter, à apprendre et à s'adapter. Il n'a jamais hé‐sité à mettre sa vie en jeu pour défendre ce en quoi il croit, et cette bravoure est rapidement devenue au‐jourd’hui une source d'ins‐piration pour des milliers de jeunes Nigériens.
La décision de renverser le président Bazoum Moha‐med n'était pas le fruit d'un caprice ou d'une ambition personnelle, mais le résultat d'une analyse minutieuse de la situation nationale. Pour Tchiani, le salut du Niger passe avant tout. Son souci premier est le bien‐être de ses compatriotes, et son lea‐
La décision de renverser le président Bazoum Mohamed n'était pas le fruit d'un ca price ou d'une ambition per sonnelle, mais le résultat d'une analyse minutieuse de la situation nationale.
dership repose sur une vi‐sion claire de l'avenir, où la justice, la prospérité et la paix régneront.
L'avenir nous dira si le Géné‐ral Tchiani sera en mesure de réaliser ses rêves pour le Niger. Mais une chose est certaine : son dévouement et sa détermination font de lui un personnage hors pair, une étoile montante qui, es‐pérons‐le, guidera le pays vers des jours meilleurs. n
Si je possédais toutes les richesses présentes sur la Terre je les aurais données pour...
Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. D'après 'Amir : Lorsque 'Omar (qu'Allah l'agrée) a été poignardé, 'Abdallah Ibn 'Abbas (qu'Allah les agrée lui et son père) est entré auprès de lui et a dit : Reçois la bonne nouvelle d'Allah ô chef des croyants ! Tu as une an‐cienneté dans l'Islam, tu as accompagné le Prophète (PSL) et il est mort en étant satisfait de toi. Tu as été mis au pouvoir et tu as été juste puis tu as été tué comme un martyr. Alors 'Omar (qu'Allah l'agrée) a levé le regard vers lui puis a dit : « Malheur à toi ! Répète moi ce que tu as dit ». Alors il a répété et 'Omar (qu'Allah l'agrée) a pris une grande respiration au point où son âme allait sortir avec elle. Puis il a dit : « Par Allah ! Certes celui qui est trompé est celui que vous avez trompé ! Si je possédais toutes les richesses présentes sur la Terre je les aurais données pour être protégé de la difficulté de ce qui va arriver ». (*)
(Rapporté par 'Omar Ibn Chabah dans Akhbar Al Medina vol 3 p 130 et au‐thentifié par Cheikh 'Abdallah Douwaych dans sa correction de cet ouvrage)
(*) C'est‐à‐dire la tombe, la résurrection, le jugement... n
(Rassemblés par Abdallah Mohamédine)
“ Chaque coup douloureux vaut une leçon, et . . . chaque leçon se solde par un progrès. ” George R. R. Martin
“ Tout roi qui se croit obligé d'affirmer : « Je suis le roi », est tout sauf un véritable roi. ” George R. R. Martin
“ Les gens se prétendent volontiers affamés de vérité, mais ils la trouvent rarement à leur goût lorsqu'on la leur sert. ” George R. R. Martin
“ Parfois, il était plus facile de se fier aux mensonges qu'à la vérité. ” Orson Scott Card
“ On se fait toujours des idées exagérées de ce qu'on ne connaît pas. ” Albert Camus
“ Ils se croyaient libres et personne ne sera jamais libre tant qu'il y aura des fléaux. ” Albert Camus
“ L'habitude du désespoir est pire que le désespoir lui même. ” Albert Camus
“ On ne dépasse jamais le stade du pétrole. Pas tant qu'il y en a encore dans le sous sol. ” Dan Simmons
“ L'esprit a autant besoin de livres qu'une épée de pierre à aiguiser pour conserver son tranchant. ” George R. R. Martin
“ C'est trop tard que j'ai découvert qu'il n'est pas possible d'attendre d'être parfait, qu'il faut sortir dans la vie et tomber, et se relever, comme tout le monde. ” Ray Bradbury n
Un soir, deux fous regardent les étoiles. L'un d'eux dit à l'autre : ‐ Tu crois que la Lune est habitée ?
‐ Bah oui, regarde, il y a de la lu‐mière ! n
Un fou pêche au bord d'une rivière.
‐ Vous savez que c'est interdit de pêcher ici ? Lui dit le gendarme.
‐ Mais bien sûr, j'apprends juste à nager à mon ver de terre ! n Arroser les fleurs
Un homme rencontre un fou dans un jardin.
‐ Qu'est‐ce que vous faites ?
‐ J'arrose les fleurs.
‐ Je vois bien, mais elles sont en plastique !‐ Oui, mais mon arrosoir aussi est en plastique. n
Désagrément bien connu à l’ar‐rêt du tabac : la constipation matinale. La nicotine facilite le transit en stimulant la mobilité dans le colon et la production de mucus, les intestins ont donc souvent besoin d’appren‐dre, eux aussi, à s’en passer. Une bonne hydratation, des fi‐bres au menu et de l’exercice physique, particulièrement de la marche, aident à franchir cette étape. Le sevrage par patchs, gommes et vapotage, qui prive progressivement l’organisme de nicotine, ex‐pose moins les futurs ex‐fu‐meurs à la constipation. Alors, écrasez‐la ! n
Au lendemain du dis‐cours télévisé du géné‐ral Abdourahamane Tiani annonçant une pé‐riode de transition de trois ans maximum et une mise en garde contre une éventuelle intervention militaire, plusieurs milliers de personnes ont mani‐festé ce dimanche 20 août à la Place de la Concertation à Niamey en soutien au Conseil National pour la Sauve‐garde de la Patrie (CNSP), et ce, à l’appel des organisations de la société civile. Parmi les manifestants, on note la présence des épouses des membres des FDS et des ressortissants de pays membres de la CE‐DEAO. Les pancartes des manifestants pro‐clament : « Vive le CNSP » ; « Vive les Forces armées nigé‐riennes » ; « Nigériens, sauvegardons notre Pa‐trie ! » ; « Libérez les dé‐tenus politiques ! » ; « Le peuple exige l’arresta‐tion de Issoufou Maha‐madou, alias Charlie » ; « Non aux sanctions de la CEDEAO/UEMOA » ; « Non à une interven‐
tion militaire de la CE‐DEAO » ; « Le Peuple exige le départ des troupes fran‐çaises » ; « France, va‐t’en ! » ; « A bas la France » ; « A bas Macron » ; « A bas la CEDEAO ». Des portraits de Issoufou Mahamadou, Mo‐hamed Bazoum et Has‐soumi Massoudou sont barrés de peinture rouge.
D’après les organisateurs du meeting, un complot impé‐rialiste se prépare contre le Niger sous le fallacieux pré‐texte de rétablir dans ses fonctions un président ‘’dé‐mocratiquement élu’’. La France étudierait d’ores et déjà les voies et moyens de couper internet et les autres moyens de communication dans la perspective d’une intervention militaire. « La France se cache derrière la CEDEAO et des chefs d’Etat pantins pour attaquer notre pays. Mais la légiti mité, c’est le peuple. Et le peuple nigérien est engagé dans un combat noble pour la reconquête de sa dignité, de son indépen dance, de sa souverai neté… Nous invitons tous
les Nigériens à accompa gner fermement, sans vio lence, le départ des forces f rançaises de notre pays. Pas un seul jour, pas une seule heure, pas une seule minute supplémentaire ne doivent leur être accordés après l’expiration des dé lais conventionnels tels que stipulés dans les dé nonciations par le CNSP des accords de déf ense et de coopération. Nous nous organiserons en consé quence pour que cela soit ! » D’où ce message fort délivré : les Nigériens doi‐vent rester unis derrière le CNSP pour prendre leur destin en main. Les manifes‐tants, qui considèrent la CE‐DEAO comme une organisation à la solde de la France, alliée du PNDS‐Ta‐rayya, se disent prêts à dé‐fendre la Patrie contre toute attaque militaire extérieure, et ce, par tous les moyens. n
Des milliers de Nigériens rallient le CNSP contre une intervention armée
Après le renversement du président Mohamed Ba‐zoum, le Niger a connu une petite période de flottement au sommet de l’Etat. Et c’est ce mo‐ment que des individus qui ne crai‐gnaient ni Dieu, ni les lois du pays ont choisi pour s’accaparer des biens de l’Etat, notamment des vé‐hicules de l’Administration. Ces in‐dividus ont enlevé les plaques d’immatriculation de l’Administra‐tion et fait appel à des transitaires pour faire changer lesdites plaques au niveau du Guichet unique auto‐mobile (GUAN) géré par SONI‐LOGA. C’est ainsi qu’un véhicule V8 de l’Administration s’est retrouvé avec une nouvelle plaque d’imma‐triculation : BM 3774. Une somme d’un (1) million de francs avait été débloquée pour ce ‘’faux’’ dédoua‐nement. Un autre véhicule Land Cruiser Hard‐top a lui aussi perdu sa plaque d’immatriculation d’ori‐gine. Fort heureusement, les mili‐taires ont mené une opération de
( Suite de la page 2)
charge par le dérivé justement).
Tout d’abord, il sert à exprimer l’idée de justesse, d’exactitude : chanter juste, pen ser juste, voir juste , par exemple, c’est‐à‐dire « comme il convient », « sans erreur ». Ensuite, il permet d’insister sur la préci‐sion : viser juste ; il est alors synonyme de « précisément », « exactement » : « Il est midi juste », « Elle vient juste de partir », « Nous sommes juste à côté », « C’est juste le contraire ». Enfin, il peut marquer la no‐tion d’étroitesse, de restriction, et équi‐
tuer nos enfants, violer nos femmes, s'emparer de nos ri‐chesses, créer la désolation et le chaos dans notre pays. L'intégrité de notre territoire est en jeu, et nous ne devons pas céder un seul centimètre de notre sol à l'en‐nemi. Nous devons rester unis et déterminés à défendre notre na‐tion, notre peuple et nos valeurs.
Le grand écrivain Victor Hugo di‐sait : "La patrie est là où le cœur est." Notre cœur est au Niger, et nous devons protéger notre pa‐trie. Aux armes, citoyens ! Prépa‐rons‐nous à défendre notre pays, notre liberté et notre dignité. L'avenir du Niger dépend de notre engagement et de notre vo‐lonté à faire face à l'adversité. Soyons prêts à nous battre pour
vérification au niveau du GUAN. C’est ainsi que la supercherie a été découverte et stoppée nette. Mais d’autres véhicules n’avaient‐ils pas déjà changé de plaque d’immatriculation avant ce contrôle ? D’autres biens de l’Etat tels que des ordinateurs portables n’avaient‐ils pas aussi disparu ? Pour le savoir, le CNSP et le Gouvernement doivent lancer une enquête de contrôle de tous les biens de l’Etat. Ces biens étant normalement ré‐pertoriés, il ne devrait pas être difficile de récupérer les biens volés. On sait à qui ils avaient été attribués. Les biens publics sont sacrés et inviolables. n
vaut alors à « seulement », « à peine », « de justesse » : « Nous sommes juste amis », « Je vais vous le dire juste une fois », « Il est arrivé juste quelques minutes en retard ».
Ainsi, la phrase « C’est juste génial » signifie normalement « c’est à peine génial » … Ce qui, on le conçoit bien, se révèle un peu paradoxal. Evitez de dire : C’est juste incroyable ! Dites plutôt : C’est franchement in croyable ! n
notre pays et pour nos droits. Dans l'unité, la force et la déter‐mination, nous vaincrons.
La responsabilité de défendre notre patrie nous incombe à tous. Dans cette situation tendue, il est essentiel de ne pas succomber à la peur ou à la résignation. Au contraire, nous devons nous pré‐parer à défendre notre nation avec courage. Comme le disait l'historien et philosophe grec Thucydide : "La bravoure ne consiste pas à ne pas avoir peur, mais à vaincre cette peur." Alors, citoyens nigériens, faisons preuve de bravoure et préparons‐nous à défendre notre patrie. « Aux armes, citoyens ! ». L'histoire se souviendra de ce moment comme celui où le Niger, uni et déterminé, s'est levé face à l'adversité’’. n
10) D.
8) À l’instar du trèfle à quatre feuilles, la pat¬te de lapin est un porte‐bonheur. Cette croyance se retrouve dans plusieurs pays du monde depuis l’Antiquité. Du fait de sa grande capacité à se repro‐duire, le lapin est perçu comme un symbole de fécondité. 9) Les fleurs sont utilisées pour des couronnes funéraires et sont je‐tées à la mer lors du décès d’un marin. On pense donc qu’en ap‐porter sur un bateau pourrait « provoquer » la mort d’un mem‐bre de l’équipage.
7) C. Depuis l’Antiquité, le miroir est le reflet du corps, mais aussi celui de l’âme. Casser un miroir, c’est donc briser son âme… La durée de sept ans est quant à elle liée aux « cycles de la vie » des Romains.
6) B. Le geste était associé à la moisson et donc à la prospérité et à la fertilité. Et le blé étant à l’époque largement consommé par la population, ce sont donc ces grains que l’on jetait sur les nouveaux époux.
4) C. Le chiffre 4 porte particuliè‐rement malheur en Chine, car phonétiquement sa prononcia‐tion est très proche de celle du mot « mort ».
C. Au Moyen Âge, les empoi‐sonnements étaient un moyen discret et expéditif de se débar‐rasser de quelqu’un. Mieux valait donc surveiller son verre, et pour être certain des bonnes inten‐tions de son compagnon de bois‐son, on entrechoquait violemment son verre contre le sien. La tradition est restée, mais aujourd’hui, on court moins de risque en principe : trinquer les yeux dans les yeux permet sim‐plement de placer la soirée sous les meilleurs auspices.
3)
C. Les jours de pendaison des condamnés à mort, le bourreau avait droit à son pain, qui était déposé à l’envers pour le diffé‐rencier des autres.
2)
1) B. Selon la coutume, il faut éviter d’offrir un objet tranchant au risque de « couper » l’amitié ou bien l’amour. Pour conjurer le sort, la coutume veut que l’on donne une pièce, symboliquement, pour « acheter » ce cadeau et non se le faire of‐frir.
Réponses QUIZ :
5) A. Du sel répandu serait le présage d’une dispute avec la personne qui partage le repas, ou d’un malheur à venir. Cette superstition remonte à la Rome antique, époque durant laquelle le sel était un moyen de paie‐ment pour les légionnaires ro‐mains.
Le Conseil national pour la sauve‐garde de patrie (CNSP), l’organe politique créé par la junte mili‐taire qui a renversé le 26 juillet 2023 le régime du président Bazoum Mohamed, a sollicité la persévérance du soutien spontané apporté par les populations nigériennes à son action visant la sauve‐garde de notre patrie.
Cet appel du CNSP n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. De cette date mémo‐rable à ce jour, le soutien populaire des Nigériens à l’armée ne faiblit pas, en dépit des effets pervers des sanctions il‐légales et criminelles de la CEDEAO qui affectent durement le quotidien des po‐pulations à la base.
Des manifestations pacifiques de rue et déclarations de soutien au Général Tiani Abdourahamane et ses compagnons d’armes sont enregistrées chaque jour dans des villes, villages et même des ha‐meaux du pays. A cela viennent s’ajou‐ter des prêches et prières collectives organisés quotidiennement dans les lieux de culte pour contrecarrer les me‐naces d’agression armée proférées par la CEDEAO et la France contre notre pays pour libérer Bazoum et le rétablir dans son fauteuil présidentiel.
C’est la preuve patente de l’adhésion sans faille des Nigériens à l’action de leurs Forces de Défense et de Sécurité (FDS), qui est accueillie comme une vé‐ritable délivrance du Niger et son peu‐ple des mains d’un régime civil illégitime et corrompu, à la solde de cer‐taines puissances occidentales, la France en tête.
Les Nigériens des villes et des cam‐pagnes ont décidé de s’inspirer de l’exemple des peuples maliens, burki‐nabè et guinéens pour s’affranchir tota‐lement du joug de la France, se mobilisant contre vents et marées ‐comme un seul homme ‐ derrière leurs soldats libérateurs.
Le colonel Assimi Goïta et le capitaine Ibrahim Traoré
Un engagement populaire soutenu pour l’accession de leurs pays respectifs à la véritable souveraineté qui a porté ses fruits, les deux pays ayant désormais échappé au contrôle de l’ex‐puissance colonisatrice.
Les populations nigériennes sont aussi dans cette vive dynamique à travers les gigantesques manifestations pacifiques de rue qui ont cours ces jours‐ci dans le pays pour exiger le départ sans de l’ar‐mée française autorisée à s’installer il‐légalement sur notre territoire par le régime déchu des Renaissants.
Une requête formulée par la junte après la dénonciation de tous les accords mi‐litaires liant la France et notre pays et dont la majorité a été signée sous le règne de l’ancien président Issoufou Mahamadou.
Un délai d’un mois a été donné le 3 août 2023 aux forces françaises pour com‐mencer à quitter notre sol, à compter du 4 septembre prochain, rappelle‐t‐on.
Comment dans une telle rupture totale
La force Barkhane est sur notre territoire sur la base d’une simple légère modi fication de la Déclaration de politique générale du Premier ministre approu‑ vée par l’Assemblée natio nale, qui n’est pas un accord militaire en bonne et due forme. Nous allons continuer à nous mobiliser tous les jours s’il le faut pour la forcer à partir de chez nous ; nous n’avons plus besoin d’elle.
de confiance, la France peut‐elle se per‐mettre de violer jusqu’à deux reprises notre espace aérien pour faire même at‐terrir des aéronefs dans nos aéroports, faisant royalement fi de la décision de fermeture de celui‐ci par la junte jusqu’à nouvel ordre en vue de parer à toute agression surprise de notre pays par des forces étrangères avec les menaces d’in‐tervention armée de la CEDEAO, qui sont toujours suspendues sur nos têtes ?
Cette attitude inqualifiable de la France vis‐à‐vis des nouvelles autorités mili‐taires de notre pays, qui dit d’ailleurs ne plus reconnaître leur dénonciation des accords de coopération liant les deux pays dans le domaine, a exacerbé ces jours‐ci la colère des Nigériens contre la présence des soldats français au Niger. La base aérienne 101, lieu de convergence Depuis plus d’une dizaine de jours, les soldats français de la base aérienne 101 de Niamey vivent totalement reclus. Ils l’étaient déjà dès l’annonce officielle du renversement du président Bazoum par l’armée, à travers le dispositif de sécurité que cette dernière a mis en place pour éviter tout coup tordu de la France à par‐tir de cette base militaire.
Mais cette réclusion s’est renforcée avec la décision des populations de Niamey de prendre elles‐mêmes les choses en main, en organisant régulièrement des manifestations de rue au niveau du Rond‐Point escadrille pour exiger le dé‐part sans délai des militaires français stationnés dans cette base.
Rien que ce dimanche 20 août 2023 ‐ pa‐rallèlement à l’impressionnante mobili‐sation populaire de soutien à la junte à la place de Concertation‐ ils étaient en‐
Vivement que cette situation s’observe jusqu’au 4 septem bre prochain, date butoir accordée à la France pour commen cer les opérations de retrait de ses troupes de notre pays.
core des milliers de manifestants de tous sexes et de tous âges à se masser au ni‐veau du Rond‐Point escadrille pour pro‐tester contre la présence militaire française.
Samedi 19 août 2023, c’est à dire la veille, plusieurs dizaines de milliers de femmes s’étaient retrouvées à la même place dans la matinée pour formuler la même exigence de départ des militaires français.
‘’Nous nous sommes mobilisées ce matin ici pour montrer à l’armée fran çaise notre détermination à le f aire partir de notre pays où elle s’est instal lée illégalement et refuse aujourd’hui de partir, malgré l’injonction qui lui a été faite dans ce sens par nos nouvelles autorités militaires’’, a déclaré Naomi Binta Stansly de l’ONG Tedhelte‐Niger et membre du conseil d’administration du Rotab.
‘’La force Barkhane est sur notre terri toire sur la base d’une simple légère modification de la Déclaration de poli tique générale du Premier ministre ap prouvée par l’Assemblée nationale, qui n’est pas un accord militaire en bonne et due forme. Nous allons continuer à nous mobiliser tous les jours s’il le faut pour la f orcer à partir de chez nous ; nous n’avons plus besoin d’elle’’, a mar‐telé Naomi.
Aucun débordement violent des mani‐festants en colère n’a été enregistré jusqu’ici, Dieu merci, grâce au déploie‐ment systématique des forces de l’ordre sur le terrain pour empêcher toute ten‐tative de pénétration dans la base aé‐rienne française, qui aura inévitablement des conséquences dra‐matiques. Vivement que cette situa tion s’observe jusqu’au 4 septembre prochain, date butoir accordée à la France pour commencer les opéra tions de retrait de ses troupes de notre pays. n
1. Des individus qui désirent beaucoup le bien d’autrui 2. Epouse d’Abraham – Précéda Charles dans la musique noire américaine 3.Pas pour des chastes oreilles – Elles symbolisent la mutité 4. Publiés – Difficulté rencontrée 5. Futur gradé – Succès éponyme de Sadou 6. Voiture fran çaise – Des ingénieurs s’y activent pour améliorer les semis 7. Homme d’Etat malien (Initiales) – Artère retourné – Petit cube 8. Personnel – Se taper dans la main en guise d’accord 9. Désert – Instance européenne du foot 10. Magasin pour bagages au fond de l’avion – Ciel de lit
1. Les parents des générations passées 2. Graisse porcine – Travaux forcés en France occupée 3. Femelle dont le petit est un goret – Costume de danseuse 4. Brillante di vinité – Personnel familier – Vaccin antitétanique 5. Signe de fatigue aux yeux – Lar geur de coupon 6. Conviendras – Temps d’accouplement des animaux 7. Poisson –Combat livré dont on sait qu’il est perdu d’avance 8. Vent violent qui se déplace en tournant –Morceau de peau 9. Milieu d’épeires – Provocation 10. inciteras
Solution du numéro précédent
HORIZONTALEMENT : 1. PRATICIENS 2. EDFU-ORNAS 3. RFI-CLASSE 4.
VERTICALEMENT : 1. PEREMPTION 2. RDFN-IONIE 3. AFICIONADO 4. TU-EON-PAN 5. I-CNS-ETRA 6. COLS-AVE-T 7. IRA-ILE-BA 8. ENSP-I-SOL 9. NASSE-CEDE 10. SSE-VILLAS
LETTRES EN PLUS N°49
Règle du jeu : Composez un mot de 6 lettres avec la lettre en plus.
Loin de barricader
Garder sous le tapis
Voix publique
Arbre au bois léger
MIX LETTRES N°16
Règle du jeu : Composez quatre mots de huit lettres en écrivant les lettres au bon endroit dans les cases de même couleur.
QUIZ N°103
Ce jeudi 17 août, c’est la Journée mondiale du chat noir, qui a lieu neuf jours après la journée internationale du chat. Lancée par la Royal society for the prevention of cruelty to animals (RSPCA), cette journée vise à ré habiliter ces félins au pelage sombre, mal aimés parce qu’ils porteraient malheur… De nombreuses autres superstitions perdurent dans l’imaginaire populaire. Les connaissez vous ? À vous de jouer !
1) Offrir un couteau briserait l’amitié. Mais on peut casser cette malé diction à condition d’échanger le couteau contre…
A) une fourchette ; B) une pièce de monnaie ; C) du sel
2) Poser le pain à l’envers sur la table porterait malheur selon une su perstition qui remonte au Moyen Âge. À l’époque, à qui étaient destinées les miches que le boulanger plaçait ainsi ?
A) Au condamné à mort ; B) Aux paysans ; C) Au bourreau
3) La coutume de trinquer en se regardant dans les yeux remonte au Moyen Âge. Celui qui ne s’y pliait pas risquait de…
A) boire un verre de moins ; B) se faire empoisonner ; C) devoir affronter en duel celui avec qui il trinquait
4) Par superstition, on évite bien souvent d’être treize à table. Un héritage venu de la religion, faisant référence au dernier repas de Jésus entouré de ses douze apôtres, dont celui qui allait le trahir, Judas… En Asie, c’est un autre chiffre qui est considéré comme portant malheur, lequel ?
(Réponses en page 6)
A) 66 ; B) 1 ; C) 4
5) Lequel de ces objets ne faut il pas renverser au motif que cela porterait malheur ?
A) La salière ; B) Le pichet d’eau ; C) La bouteille d’huile
6) Lancer du riz sur les mariés est une tradition qui remonte à l’Antiquité. Mais à l’époque on lançait plutôt :
A) des fleurs ; B) du blé ; C) des feuilles de lauriers
7) Briser un miroir entraînerait sept ans de…
A) pauvreté ; B) solitude ; C) malheur
8) Quelle partie du lapin porte bonheur ?
A) Les pattes ; B) Les oreilles ; C) La queue
9) Que ne doit on pas emmener sur un bateau ?
A) Un bouquet de fleurs ; B) Du sel ; C) Une bûche de bois
10) La couleur verte est proscrite dans les spectacles de théâtre depuis le Moyen Âge car on pense qu’elle porte malheur. Laquelle de ces expli cations est fausse ?
A)L’oxyde de cuivre, qui servait à colorer les costumes au Moyen Âge, était très toxique ; B) Les comédiens qui jouaient Judas au Moyen Âge étaient vêtus de vert , C)Selon la légende, le jour de sa mort, Molière était habillé en vert
D)Le vert fait référence aux fruits pas mûrs