MODIFICATIONS APPORTÉES À « LES DROITS DES ENFANTS DANS L'AIDE À LA JEUNESSE » ‐ brochure traduite à l'attention des parents et des adultes responsables de l'éducation des mineurs Situation : Depuis le 12 juillet 2013, un nouveau décret relatif à l'aide intégrale à la jeunesse est en vigueur. Ce décret a également un impact sur les droits des mineurs et des parents dans l'Aide à la jeunesse. Les brochures traduites ne sont momentanément pas réimprimées. Afin de vous fournir malgré tout, en votre qualité de parent ou de responsable de l'éducation, des informations actuelles, nous énumérons ci‐après les principaux ajouts et changements. Nous faisons à chaque fois référence aux chapitres de la brochure où les changements doivent être apportés.
‐ « VOTRE ENFANT OU VOTRE FAMILLE REÇOIT DE L'AIDE ‐ VOS DROITS EN TANT QUE PARENT OU RESPONSABLE DE L'ÉDUCATION » Le paragraphe suivant a été ajouté à ce chapitre : «Selon le nouveau décret relatif à l'aide intégrale à la jeunesse, les parents, et le cas échéant les responsables de l'éducation, possèdent également des droits explicites en tant que partenaire dans l'Aide à la jeunesse : le droit de demander de l'Aide à la jeunesse le droit au respect de leurs caractéristiques culturelles, de leur situation socio‐économique et de leur éventuel handicap de la part de l'Aide à la jeunesse le droit d'accepter le service d'Aide à la jeunesse extrajudiciaire le droit de participer au service d'Aide à la jeunesse et à toute modification de celui‐ci le droit d'accès au dossier du mineur le droit à une évaluation périodique de l'Aide à la jeunesse et de participer à cette évaluation le droit à l'intimité le droit de porter plainte »
‐ « APERÇU DES ONZE DROITS »
2. « Droit à l'assistance » Ce point est remplacé par : Un mineur qui cherche ou reçoit de l'aide peut toujours se faire accompagner ou assister par une personne de son choix en qui il a confiance (une personne de confiance). Tout le monde ne peut pas prêter assistance à un mineur. Il peut uniquement choisir quelqu'un qui : est mineur, et qui n'est pas impliqué dans le service d'aide aux mineurs, et qui dispose d'un extrait du casier judiciaire modèle 2 (mieux connu sous le nom de certificat de bonne vie et mœurs, modèle 2) Par exemple, votre fils fume régulièrement un joint et vous prenez contact avec le « Centrum voor Levens en Gezingsvragen » (Centre de planning et de consultation familiale et conjugale) à ce sujet. Le psychologue en parle à votre fils. Il peut se faire assister au cours de cette discussion par une personne de confiance.