MUST 23

3 l e d é f i c o c k ta i l s

&

la rétro

MODE

Young

07 sommaire

YAKUZA A.E.N. architecture

numérique

VOYAGE afrique du sud legend

golf & safari

ROUE LIBRE

RIDGELINE SPORT HONDA

numéro 23

DOSSIER

06

Quintessence d’une élégance exclusive, la nouvelle BMW Série 6 Gran Coupé redéfinit les standards du luxe. Son design visionnaire aux proportions parfaites, son habitacle luxueux aux matériaux raffinés, ses performances sublimées par les technologies BMW EfficientDynamics font du premier coupé quatre portes de BMW un véritable phénomène.

cycle mixte 63 m daN de couple - BVA Sport 8 rapports - 0-100 Km/h en 5,4 s

LE GOÛT UNIQUE D’UNE 1664*

06

* La bière 1664 est brassée avec le plus fin des houblons : le Strisselspalt.

L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ. À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.

Edito

staff

Directrice de publication Joana Chergui Rédaction en chef Maxime Le Bras Direction artistique, maquette et mise en page Virginie « Purple » Le Quéau Comité de rédaction Maxime Le Bras / Matthieu Lextrait / Sydelia Guirao Joana Chergui / Frédérique de Jode / Alex Le Bras Equipe commerciale Jeanne B. / Caroline Gumpper / Marine Méline Stéphanie Leclercq / Joana Ghergui

Mode

Direction artistique Virginie « Purple » Le Quéau Coordination Mode Marine Méline / Claudine Teuruarii Photographe Marc Le Chellard Maquillage Karine Coen Coiffure Eva du Salon Dock’R Modèles Marine Méline / Christian Bui / Thierry Bui Judicaël Dang / Yorick Dang

Impression

Artypo Tirage 3 000 exemplaires

Distribution

TOTEM Numéro ISSN 1955 5997 Ce numéro 23 de Must est une publication trimestrielle réalisée par AMAZONE, distribuée dans tous les points de presse de Nouvelle-Calédonie. Toute reproduction, même partielle, des textes et des photos réalisés pour cette parution est interdite, sauf autorisation écrite de l’éditeur. Edition trimestrielle des mois de septembre, octobre et novembre 2012.

Contacts

Amazone 13 quai Jules Ferry – Immeuble Cheval BP 12721 - 98802 Nouméa Cedex Téléphone 26 20 10 Joana Chergui : direction@must.nc – 77 79 77 Rédaction : redaction@must.nc – 26 20 10 Virginie Le Quéau : pao@must.nc Jeanne B : jeanneb@must.nc – 77 17 50 Caroline Gumpper : caroline.gumpper@must.nc – 78 49 69 Marine Méline : marine.meline@must.nc – 26 20 10 Stéphanie Leclercq : stephanie.l@nautile.nc – 99 85 10

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Belle couverture, n’est-ce pas ? Pour un Must 23 spécial Japon (dossier Geishas, Week-End Pacifique au Japon, l’Histoire avec les 120 ans de la présence Japonaise en NouvelleCalédonie), on n’allait pas se priver d’un shooting mixant Katanas, Yakusas, Kill Bill et autres références Mangas ! … Banzaiiiiiii ! … Oui… chez Must, on est un peu Geeks sur les bords…

Et alors ? Nous ne sommes pas les seuls ! Actuellement au box-office, les super-héros se disputent les premières places du classement avec « The Avengers », « The Dark Knight Rises », et l’arrivée du très attendu « The Hobbit » en décembre prochain (sans parler des vampires de Twilight en novembre). Cela ne fera que confirmer ce que tout le monde sait déjà : le podium cinéma 2012 sera celui de la S.F et de l’Héroïc-Fantasy. La culture Geek se répand à tout va, distillant toute la richesse artistique qu’elle contient, et ce n’est pas notre faute si Must est aussi contaminé que les autres (si ce n’est davantage…).

Le quotidien de MUST aujourd’hui, magazine haut de gamme par définition, est aussi bien rythmé par ses rubriques aînées telles que Beauté, Mode ou Déco, que par les petites dernières qui grandissant à toute vitesse comme High Tech, CineMust ou Jeux-Vidéos. Les multiples sources d’inspirations qui existent au sein de notre équipe, aussi bien grisée par le dernier défilé Prada que par la sortie du prochain « Assassin’s Creed », nous offrent au moins une certitude : vous offrir à chaque numéro un magazine toujours plus riche, tendance… dans l’air du temps !

MUST Un tas d’histoires. Un seul magazine.

Maxime Le Bras Rédacteur en Chef

‘‘

Photo de couverture © marc le chélard

05 édito

06

S O MnuméroM"JapA" I R E P P P P P P P P P P P P P P

08 10 12 20 22 26 36 40 46 60 66 84 88 90

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Fax ITV décalée : linda terii Week end Pacifique : fuji-san Caprice de Star Podium D’Ailleurs Décriptage Local : champagne impact Beauté sport : pga tour Mode : young yakuza Voyage : legend safari & golf resort Dossier : geisha Mad Men Must High Tech Roue Libre : honda ridgeline sport

07 sommaire

P P P P P P P P P P P P P

96 ------------ Jeux Vidéos 100 ---------- Cine Must 106 ---------- Vie des Entreprises 120 ---------- Deco Le Goût des Autres 126 ---------- Deco High-Tech 130 ---------- Déco aen architecture 138 ---------- Assiette Gourmande : Astrolabe 142 ---------- Agenda Culturel 148 ---------- Musik 150 ---------- Page à Page 152 ---------- News du Monde 154 ---------- Histoire : l’immaigration japonaise en nc 162 ---------- Carnet pratique

fax

Par maxime le bras

08

iPhone 5 bientôt disponible… Les plus belles

Alors que la présentation de l’iPhone 5 a récemment eu lieu, voilà que la date de commercialisation de l’appareil vient elle aussi de tomber. C’est un des salariés de l’opérateur américain Verizon qui aurait vendu la mèche, annonçant que la firme refusait de laisser ses salariés partir en vacances du 21 au 30 septembre. Un tel refus ne laisse évidemment supposer qu’une seule chose… l’iPhone 5, of course.

De plus, si l’on suit formellement le planning de sortie du précédent smartphone d’Apple, l’iPhone 4S, ce dernier a été commercialisé une grosse semaine après sa présentation. Les différentes dates correspondent donc, même si pour le moment la firme de Cupertino n’a pas confirmé la chose. Quoi qu’il en soit, la longue attente des Apple fanboys semble toucher à sa fin.

Et en prime, on ne résiste pas au plaisir de vous montrer les fantasmes iPhoniques signés par le designer Federico Ciccarese. Au moins comme ça, plus possible de l’égarer !

photos du monde

A une époque, certains craignaient qu’Internet tue l’art de la photographie. Raté !

Les nouvelles technologies, les sites et les forums spécialisés ne font, de toute évidence, qu’encourager les artistes à se dévoiler, comme le prouvent les milliers de clichés que le magazine National Geographic a reçus pour son concours annuel : le National Geographic Traveler Magazine Photo Contest. Des photos magiques et étourdissantes… à retrouver dès maintenant sur internet !

Louis Vuitton rend hommage

à Mohammed Ali

Dans sa nouvelle campagne de communication, Louis Vuitton rend hommage à l’immense champion qu’a été Mohammed Ali. Basée sur deux petits clips (que l’on doit à l’agence Ogilvy Paris) intitulés Dream et Word, cette campagne s’inspire des mots prononcés par la champion qui sont devenus « Rumble In The Jungle », du nom du combat historique qui l’opposa à George Foreman en 1974. Pour ces deux petits films, Louis Vuitton a fait appel à Yasin Bey (acteur et rappeur) et à Niels Shoe Meulman, un calligraphiste et street artiste basé à Amsterdam.

09 fax

Linda Terii

On lui donne un petit air de Charlotte Gainsbourg. Peut-être pour cette apparente fragilité ou son extrême sensibilité ? À peine débarquée sur le Caillou, Linda Terii a déjà fait parler d’elle, recevant lors de la 14 ème édition du Festival de La Foa, le prix d’interprétation pour son rôle dans « Secrets de Femmes », un court-métrage de Sophie Eugène. Une comédienne talentueuse qui s’épanouit autant au théâtre qu’au cinéma, dans la danse comme dans la chanson. Toujours en recherche de nouvelles expériences. propos recueillis par Frédérique de Jode

© Théo Rouby

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MUST : Alors pas trop déçue que ton courtmétrage, « Qui suis-je ? », présenté lors de la 16e édition du Festival de La Foa, n’ait pas été primé ? linda terii : Non pas du tout car c’était la première fois que je passais à la réalisation. Je suis franchement ravie d’avoir eu le prix d’interprétation pour le rôle de Lisa. C’est le prix que je désirais recevoir car il me permet d’avancer en tant que comédienne.

D’où vient ta préférence pour les rôles dramatiques ?

J’ai l’impression de ressentir plus intensément les personnages de l’intérieur quand j’aborde un rôle dramatique.

Mais attention, jouer un rôle dramatique ne signifie pas que l’on va exprimer du début à la fin du film de la tristesse ou de la souffrance, il y a évidemment des respirations joyeuses où l’on rit. Je trouve qu’un comédien peut plus facilement exprimer un panel d’émotions extrêmement riches et différentes. D’ailleurs, en tant que spectatrice, je préfère les films dramatiques qui me bouleversent et me font poser un tas de questions, à la différence des comédies pour lesquelles je passe certes un bon moment, le temps de la projection, mais qui ne marquent pas mon esprit.

Tu aimes te voir à l’écran ?

J’ai beaucoup de mal. J’adore jouer mais me voir à l’écran est déconcertant.

J’ai l’impression que lorsque je joue un personnage, je le vis de l’intérieur et je suis envahie par tellement d’émotions que lorsque je me vois à l’écran, il y a comme un voile, un filtre, un décalage entre ce que j’ai ressenti de l’intérieur et ce que j’ai montré à l’extérieur. C’est cette différence d’intensité qui me perturbe. Je me demande alors si les spectateurs perçoivent toutes les émotions qui m’ont traversées et que j’ai exprimées.

Quelles sont tes qualités en tant qu’actrice ?

Quels sont tes projets ?

Je pense que je sais jouer sur l’émotivité.

Et j’essaye d’être à l’écoute du réalisateur et des comédiens. Je reste également concentrée et centrée sur mon personnage. Ce qui n’est pas toujours évident car au cours d’un tournage, on attend longtemps entre les prises.

Lorsque l’on doit tourner une scène où il faut pleurer, on doit pouvoir être immédiatement dans son rôle.

Je poursuis dans la réalisation et je travaille sur mon second court-métrage, dont le thème est l’enfance et le métissage. Je vais également tourner dans une comédie, un court-métrage qui devrait être présenté au prochain Festival de La Foa. La comédie, c’est une première pour moi! Actuellement, j’ai intégré une troupe de danse tahitienne HAA MOURA qui se produit dans des soirées.

Enfin, j’ai envie de reprendre la chanson, et je travaille en ce moment avec un guitariste pour constituer un répertoire que nous jouerons sur scène.

Tu es une artiste « touche à tout », faisant de la danse, du théâtre, du cinéma, chantant tes propres textes. Est ce que tu n’as pas l’impression de te disperser ?

Oui, c’est peut être pour ça qu’après mes études, j’ai mis un peu de temps à trouver ma voie car j’aime toutes ces disciplines artistiques, autant la danse, le théâtre que le cinéma et la chanson. J’ai fait du théâtre avec une troupe, des courts-métrages, tout en écrivant des textes que je chantais avec un ami dans des salles intimistes. À partir de 2010, j’ai mis de côté le théâtre pour tourner dans des courtsmétrages en métropole, puis lorsque je suis arrivée en Nouvelle-Calédonie, j’ai eu la chance de continuer ma carrière au cinéma mais je suis enchantée d’avoir retrouvé les planches en jouant le personnage d’Elena, dans la pièce d’Emmanuel Roblès, Montserrat, adaptée par la compagnie « Les Incompressibles. »

Qu’est-ce qui t’a poussée à venir en NouvelleCalédonie ?

J’étais venue simplement passer les fêtes de Noël avec mon père et ma famille paternelle tahitienne qui habitent sur le Caillou. J’ai eu tout de suite des propositions de tournage, des rôles au théâtre et j’ai donc décidé de rester pour le moment. Ces opportunités sont arrivées aussi à une période où j’avais envie de vivre d’autres expériences et de découvrir d’autres horizons.

11 interview

Âge : 28 ans Signe : taureau Le mot qu’elle préfère : Liberté Le mot qu’elle déteste : Haine Son film préféré : La leçon de piano de Jane Campion Si elle avait été un personnage de fiction : Princesse Mononoke Si elle avait fait un autre métier : Un métier en rapport avec des enfants Son in sur le Caillou : la mer, le soleil Son out sur le Caillou : ma famille en France qui me manque Livre de chevet : Montserrat d’Emmanuel Roblès Un plat : Végétarien avant tout

weekend pacifique

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Pa r m at t h i e u l e x t r a i t

Fuji-san 13 weekend pacifique

vu du Lac À seulement deux heures de route de l’agitation tokyoïte et de sa débauche de haute technologie, la Région des Cinq Lacs Fuji (Fujigoko) se dévoile comme un océan de pureté aux pieds du majestueux mont Fuji. Le volcan en sommeil et vénéré depuis des siècles par le peuple japonais vous ouvre les portes d’un monde plein de tradition et de spiritualité.

weekend pacifique

H么tel Onsenji Yumedono

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Yumedono, littéralement le Palais des Rêves, est une magnifique auberge japonaise située à proximité du lac Kawaguchiko, le plus grand et le plus populaire des cinq lacs qui bordent la face Nord du mont Fuji. Le style épuré et typique de la décoration vous plonge immédiatement dans l’ambiance d’un ancien temps, celui du Japon médiéval, de ses

samurai et de ses geisha, de la poésie et du zen. À vous de choisir entre une chambre traditionnelle et ses tatami pour une immersion complète ou, si vous préférez le confort occidental, une chambre classique. Dans tous les cas, le service sera exclusif et personnalisé, et chaque chambre dispose même de son propre onsen, un bain à ciel ouvert alimenté par

source thermale. La cuisine y est authentique et typique, et les repas sont apportés directement à votre chambre. Et si le grand luxe vous tente, une annexe, baptisée Shikibu vous accueillera à l’écart des autres chambres. Cette suite est dotée d’un grand salon et d’un jardin privatif, et il va sans dire que le personnel est aux petits soins de ses hôtes.

15 weekend pacifique

La Région des Cinq Lacs Fujigoko accueille toute l’année campeurs, pêcheurs, randonneurs et autres amoureux de la nature, du haut de ses mille mètres d’altitude. Elle est composée des lacs Kawaguchiko, Saiko, Yamanakako, Shojiko et Motosuko, le premier étant le plus accessible au grand public. La région est célèbre pour ses nombreuses sources thermales et musées, tels que le Kubota Art Museum dédié aux kimono et aux arts textiles ou le village des artisans traditionnels Iyashi no Sato. Les bains publics et onsen de la région possèdent presque tous une vue sur le mont Fuji, et c’est un véritable délice que de s’y prélasser en admirant la montagne. Un peu plus retranché, et ne bénéficiant malheureusement pas d’une telle vue, nous vous conseillons malgré tout le cadre magnifique de Tensui Kawaguchiko, grand onsen perdu dans la forêt surplombant le Kubota Art Museum.

Le Temple Fujiyoshida Sengen Vous ne vous en doutez peut-être pas, mais le mont Fuji abrite une déesse. Déité shintô symbolisée par les pétales de cerisiers, Konohanasakuya est la fille du Dieu des montagnes et de la guerre Ohoyamatsumi, et est considérée comme un symbole de la vie, éphémère comme les cerisiers en fleurs. De nombreux temples lui sont consacrés, notamment afin d’implorer sa pitié et d’éviter les éruptions du volcan où elle demeure. Parmi ces temples, l’un des plus grands est situé sur la face Nord : le Fujiyoshida Sengen est le point de départ traditionnel pour l’ascension du mont Fuji depuis près de quatre-cents ans. Il est enfoui dans une forêt dense et accessible par un chemin bordé de cèdres immenses et de lanternes de pierre. Après une courte prière dans la grande salle de l’autel, contournez le bâtiment principal par la droite et vous apercevrez la grande arche (torii) qui marque le point de départ du Yoshida trail, votre chemin vers Fuji-san.

L’Ascension du mont Fuji Culminant à presque 3800 mètres d’altitude, le mont Fuji fascine autant le peuple japonais que les touristes étrangers, en particulier durant l’été. Comptez facilement cinq heures de marche à partir du temple de Fujiyoshida afin d’atteindre la cinquième station de Kawaguchiko, située à mi-chemin de la montée, où vous trouverez un restaurant, des magasins où acheter le matériel qui pourrait vous manquer, un temple, des boutiques de souvenirs et une vue imprenable sur

Fujigoko. Il est possible de monter jusqu’à cette station en bus si vous souhaitez gagner du temps ou si vous n’avez pas l’habitude des longues randonnées. L’ascension via la face Nord vous permettra d’admirer le plus beau lever de soleil de l’archipel nippon, pour peu que le ciel soit dégagé. Pour cela, il est conseillé de se mettre en route à partir de la cinquième station avant l’aube, sachant que les marcheurs les plus aguerris mettront cinq heures pour atteindre le sommet, les plus

© hokusai

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lents environ sept heures. Une autre option est de partir en journée, puis de passer la nuit dans un des nombreux refuges qui bordent la route, afin de reprendre la randonnée un peu avant le lever du soleil le lendemain matin. Notez que, si le parcours en lui-même est bien indiqué et assez simple pour les randonneurs, il est toutefois déconseillé aux non-initiés de s’y attaquer entre septembre et juin car les températures rendent le voyage bien plus éprouvant.

17 weekend pacifique

Europe

Séoul

Votre compagnie vous ouvre le monde

Amérique

Corée du Sud

Japon Osaka Tokyo

Amérique Asie Tahiti Wallis Papeete & Futuna Vanuatu Port-vila Fidji Nandi

Australie

Brisbane Sydney

Avec Aircalin, découvrez les îles du Pacifique Sud, l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou encore le Japon ou la Corée. De là, des dizaines de correspondances avec nos partenaires vous permettent de gagner rapidement l’Europe, l’Amérique et le monde entier. À bord de nos Airbus A330 et A320, détendez-vous et laissez notre personnel de bord prendre soin de vous, dans la plus pure tradition des îles du Pacifique et de la Nouvelle-Calédonie.

Nouvelle-Calédonie Nouméa

Auckland

Nouvelle-Zélande Aircalin Compagnies partenaires

Le voyage aux couleurs du Pacifique

Quatre saisons, Quatre visages

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La vie dans la Région des Cinq Lacs, comme dans tout Honshù (la plus grande île de l’archipel nippon), suit le rythme des saisons. Les paysages changent et les traditions diffèrent selon la période de l’année, aussi il est possible de revenir plusieurs fois afin de redécouvrir l’endroit sous un angle différent, magnifié par les couleurs froides en hiver ou encore sous le soleil de plomb de l’été.

L’été est le moment le plus propice à l’ascension du mont Fuji, de préférence en semaine et au début du mois de juillet, afin d’éviter les hordes de touristes qui s’abattent sur ses chemins. De plus, c’est la période de l’année où vous aurez le plus de chances d’avoir un ciel dégagé une fois parvenu au sommet. En ville, vous découvrirez le festival du Tanabata le 7ème jour du mois de juillet, célébrant les retrouvailles dans les cieux des divinités Orihime et Hikoboshi (respectivement les étoiles Vega et Altaïr), ou encore la fête des lanternes de papier le 19 juillet, ainsi que d’autres festivals plus modestes durant tout le mois d’août.

Pour y aller : www.onsenji.com/en/ onsenji@abeam.ocn.ne.jp +81 0555 72 6111

L’automne n’est pas en reste : si les températures commencent à chuter, la montagne reste accessible au grand public, et les paysages sont admirables du fait des couleurs chatoyantes de la saison.

L’hiver est rude pour qui désire s’aventurer dans Fujigoko passé le mois d’octobre, mais si vous aimez les sports d’hiver, vous serez servis ! Les fêtes de fin d’année sont aussi l’occasion d’assister à de nombreux feux d’artifice lors des festivals locaux. De plus, le jour de l’an, une prière dans un temple (la plupart sont ouverts au grand public) vous permettra de conjurer la mauvaise fortune et de vous attirer les bonnes grâces des esprits pour l’année qui commence, voire de formuler un vœu en espérant que les kami le réalisent.

Parmi les plus belles expériences que les amoureux de la contemplation peuvent s’offrir, la période du Ohanami est immanquable. A la fin du mois de mars, alors que le printemps commence, voir les premières fleurs de sakura –les cerisiers du Japon- éclore est un spectacle touchant. Et lorsque, en quelques jours à peine, ce sont des forêts entières qui deviennent rose pâle, et qu’en toile de fond, le majestueux mont Fuji n’a pas encore perdu son sommet enneigé, il est difficile de ne pas se sentir happé par la magie du moment. Profitez-en pour aller pique-niquer dans un parc en compagnie des habitants de la région qui seront ravis de partager ce bentô (repas) avec des étrangers. Car malgré les barrières de la langue et de la culture, les Japonais se montrent toujours extrêmement chaleureux et accueillants avec les touristes, surtout en période de fête ! l

19 caprices de stars

caprices de

Par joana chergui

Le Parfum N°1, par Clive Christian

Le caviar Almas : c’est bon mais 20

…c’est cher !

Considéré comme le caviar le plus rare au monde, ce béluga blanc scintillant est un produit légendaire recueilli par les pêcheurs de la Mer Caspienne. Son appellation « Almas » signifie diamant en persan. Récolté en très faible quantité - 3 à 5 kilos par an - il est extrêmement prisé. Provenant des œufs d’un esturgeon albinos ou d’une variété spécifique de très gros esturgeons osciètres, âgés d’au moins 60 ans, ce caviar distille une saveur très délicate à la consistance crémeuse et subtile. La légende raconte qu’il n’était consommé que par le Shah d’Iran et toute personne surprise à en vendre ou à y goûter était amputée de la main...

Présenté dans une boîte en or massif, son prix atteint en moyenne 18 300 € le kilo.

Athènes…

« Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse », disait Alfred de Musset.

Ici pourtant, le flacon n’est pas un détail.

Homologué par le Guinness des Records comme étant le parfum le plus cher au monde, le nouveau N°1 de la maison de luxe britannique Clive Christian, limité à dix exemplaires, est présenté dans une bouteille avoisinant les 160.000 euros. Le flacon de 500 ml est en cristal de Baccarat, orné d’or 18 carats et incrusté d’un diamant 5 carats. Mais outre le flacon déjà très luxueux, la fragrance est aussi d’une grande rareté. Elle se compose d’ingrédients parmi les plus rares et les plus coûteux au monde, le bois de santal d’Inde et la vanille de Tahiti entre autre.

Chaussures Aston Martin

signées John Lobb Dernière nouveauté côté produits dérivés chez Aston Matin, “la Winner Sport” est une chaussure de conduite élégante et ultralégère, dotée d’une semelle spécialement étudiée pour favoriser le pilotage. Développée par le chausseur John Lobb, la Winner Sport est réalisée en cuir de vachette pleine fleur doublé de cuir de mouton assoupli nécessitant près de 190 étapes de fabrication et proposée dans un nuancier inspiré des tons de carrosserie de chez Aston Martin !

L’envie comme le caprice est fille

ou NYC ?

Vegas…

Quels sont les hôtels

les plus chers du monde ?

Le classement a récemment été dévoilé : penthouses extravagants, suites monumentales, site majestueux… Pour y passer une nuit, il faut casser sa tirelire !

Lagonissi Resort d’Athènes : 39 500 euros la nuit

La villa royale du Grand Resort Lagonissi d’Athènes offre, en plus de la chambre, un vaste salon et une salle à manger. L’ensemble de la suite s’étend sur 410 m² mais le luxe ne s’arrête pas là. Une terrasse de 670 m² équipée d’une piscine chauffée (et privée, bien sûr) de 47 m² seront également à la disposition du chanceux qui viendra y passer ses vacances.

Le Palm Resort de Las Vegas : 29 000 euros la nuit

Le créateur de la revue masculine Playboy a donné son nom à cette suite monumentale destinée à héberger les plus grandes stars comme en témoigne... une salle de presse ! Le morceau de bravoure de cette chambre, toute en gigantisme et en exubérance est sans conteste son jacuzzi marqué du fameux symbole en tête de lapin et qui offre une vue imprenable sur le Strip, l’avenue principale de Las Vegas.

Le Four Seasons de New York : 24 500 euros la nuit

La suite la plus chère du Four Seasons de New York s’appelle la «Ty Warner Penthouse» du nom du milliardaire qui a fait fortune dans l’industrie du jouet. Composée de 9 pièces particulièrement spacieuse (en témoigne la verrière en photo), elle dispose également de son propre jardin zen, d’un accès privé au spa de l’hôtel et d’une très grande bibliothèque qui donne à la chambre un cachet particulier. Le tout en plein cœur de Manhattan, bien sûr.

de la liberté.

Francis Bossus

21 caprices de stars

d'ailleurs

Par virginie le quéau

s croisière 2013 Vu sur les collection

Givenchy

ETRO

Peter Pilotto

Altuzarra

Blanco

22

wild wild west

Versace

Totem

Imprimé navajo, motifs ikat : la tendance amérindienne souffle sur notre dressing d’été. Entre artisanat apache et culture boho, le style « wild west » s’impose aux modeuses en quête d’évasion. Cap sur les plaines arides de la Pampa, mais avec le bon look. Avant toute chose, on se débarrasse des clichés, il ne s’agit pas d’intégrer la communauté sioux mais seulement de s’en inspirer. Ces motifs très colorés, dans des tons vifs et estivaux, étant visuellement forts, une seule pièce suffit (même discrète) pour donner du style à une tenue. Notons par ailleurs que les franges sont d’une manière ou d’une autre à proscrire de ce look sauvage. Car même si la mode amérindienne nous fait sérieusement de l’oeil, inutile d’accorder notre robe aztèque à des boucles d’oreilles plumes, des bracelets brésiliens et un sac à franges… Pour se donner une allure farouche, on s’ébouriffe les cheveux, et pour celles qui veulent se donner des airs d’aventurière, on s’arme de quelques récits de voyages authentiques pour épater la galerie.

Diane Von Furstenberg

Tibi Ralph Lauren

Moschino

BCBG Max Azria Sergio Rossi

sortez vos stabilos Plébiscité dans les années 1980, le fluo fut longtemps relégué au rang des couleurs has been réservées aux fringues de sport. Faisant un retour fracassant sur les podiums l’année dernière, cette tendance nous avez trouvé frileux, tant notre subconscient mode était habitué a hurler : “Non !” Mais il faut bien l’avouer, à force de mattraquage… cette année, on se laisserait bien tenter.

Parce que si Louis Vuitton, Ô grand maître, pare de fluo les sacs qu’on aime tant, on peut bien, nous, appliquer la tendance stabilo à nos stilettos !

collection croisière/resort… kesako ?

L’initiative des premières collections ‘croisière’ ou ‘resort’ revient à des maisons de couture comme Chanel ou Yves Saint Laurent.

L’objectif pour ces griffes de luxe était de satisfaire leur clientèle partant en villégiature sous les tropiques à l’approche de l’hiver et qui avait besoin de tenues d’été, impossibles à trouver à ce moment-là de l’année.

Aujourd’hui plus que jamais, les destinations de vacances de nos amis métropolitains ne se limitent plus à la plage en été et aux pistes de ski en hiver. Ils aspirent au dépaysement toute l’année et les voyages longue distance ne sont plus l’apanage des très fortunés.

Que ce soit pour proposer une offre demi-saison, ou pour ranimer la fièvre acheteuse de leurs clientes, beaucoup de créateurs se sont lancés dans cette valse des collections à quatre temps : défilé automne/hiver, collection croisière/resort, défilé printemps/été et collection ‘pré-fall’.

Les créateurs ont bien compris que présenter pendant 6 mois les mêmes modèles dans leur boutique finissait par refroidir l’ardeur des clientes même les plus addicts.

ton

L

Vuit s i u o

23 podiums d’ailleurs

d'ailleurs

Eté 2013

intemps/ r P s é l i f s dé Vu sur le

le triangle des bermudas Interrogé en marge du défilé de la marque japonaise « Issey Miyake Men », Jean-Paul Goude s’est réjoui de la présence en force de bermudas : « Cela fait 35 ans que je ne porte que ça. C’est une formidable confirmation que mon intuition était bonne ! ».

Messieurs donc, « out » les shorts et pantacourts, seul achat obligatoire pour l’été qui s’annonce : le bermuda, coupé juste sur le genou. C’est pas moi qui le dit, c’est Jean-Paul Goude. Si le bermuda s’inspire au départ de silhouettes sportswear, il se portera plutôt en mode urbain, empruntant aux codes tailoring ses pinces et ses coupes. Confort, mais pas casual, quoi. Une certaine sophistication du look s’impose, donc point de simple tee-shirt envisageable : c’est le bermuda en mode anti « basic ».

di

ar uss

Tr

Prada

Vivienne Westwood

Diesel Black Gold

Hermès

Dsquared

Versace

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faites la mode,

Kenzo

Burberry

Dries Van Noten

Valentino

pas la guerre

À l’instar des pois ou du liberty, l’imprimé camouflage fait partie des ces lubies graphiques revenant régulièrement sur le devant de la scène. Et alors que les conflits armés ne cessent de se multiplier, les créateurs ont semble-t-il eu besoin d’exorciser leurs angoisses en injectant à leurs collections une bonne dose d’influences army, du kaki aux rangers, en passant par les vestes de généraux.

Cet imprimé a une immense capacité à relever n’importe quelle tenue s’il est utilisé avec parcimonie. Donc n’en faites pas trop, le but n’est pas de ressembler à un militaire, ou pire, à un punk à chien.

Le camouflage doit être une œuvre personnelle, loin des surplus de l’Armée du Salut. L’idée serait plutôt : « Moi, homme, je survis dans la jungle urbaine à l’aide de ma jolie carapace sensible…».

25 podiums d’ailleurs

l e d é f i c o c k ta i l s

&

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La Rétro ! &

l e d é f i c o c k ta i l s

3 Par maxime le bras © photos : aerial prod

C’était le 26 Juillet dernier, Champagne Impact, la soirée Must à ne pas rater ! Cette année, le cocktail Fight ultime organisé à l’Endroit rassemblait pas moins de 11 bartenders contre 6 l’an dernier. Flash-back sur une troisième édition qui, comme la précédente, s’est soldée par la victoire de Francisko, qui repart une nouvelle fois avec la Ceinture du gagnant.

l e d é f i c o c k ta i l s

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&

décriptage local

Des invités sur leur 31, un staff aux petits soins et du Champagne Piper à volonté, la soirée était rythmée aux sons des bouchons qui s’envolent et des flûtes qui trinquent, le tout accompagné par DJ Teiho derrière ses platines. Pour animer la soirée, Graig Garibaldy et Aloha Mariot, micros à la main, jouaient les speackers et assuraient le show au moins autant que les barmen. « On a eu droit à une excellente soirée », de l’avis de Graig. « Nous étions inquiets pour certains candidats qui semblaient anxieux avant le début de la compétition, à cause du public, du manque de temps etc… mais au final tout le monde a joué le jeu. A refaire l’an prochain avec grand plaisir ».

Propos étayés par Aloha qui rajoute : « … une super soirée qui permet aussi de médiatiser le métier de barman qui n’est pas un métier facile ! ».

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Le jur y Cette année encore, un jury de choc était là pour départager les candidats, composé des représentants des différents partenaires de l’événement, à savoir Hélène Antiphon pour Must, Nicolas Hermann pour Sodival, François Cardonna pour le lycée Jean XXIII et Dominique Annonier pour la Vinothèque. Ludovic Maillot, barmen au Jp’s Bar et deux fois finalistes dans les précédentes éditions de Champagne Impact était également présent pour juger ses confrères.

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Une ambiance pétillante

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Témoignage du jury : n : n a m r r e H veau Nicolas u o n à » it « C’éta belle soirée s une trè « Avant toute chose, un grand merci à tous les candidats d’avoir su répondre présent et défendre les couleurs de leur établissement. Nous avons eu la chance d’avoir onze participants cette année ce qui prouve un certain intérêt pour l’épreuve. Dans l’ensemble nous avons assisté à de bonnes prestations, la différence entre les candidats s’est faite sur le cocktail imposé. Maxime du 1881 m’a à nouveau fait bonne impression (travail soigné, respect du produit), bonne performance également pour Anthony du MV Lounge. On se doit également de noter l’excellente prestation de l’élève du Lycée Jean XXIII, Télésia. Francisko a une nouvelle fois démontré sa maîtrise de la mixologie, très classique certes au niveau de la présentation mais au final…. ça gagne ! ».

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1 Joana Chergui (Must) entourée de Christophe et Vaïc de L’Endroit 2 Salon de beauté Haarmony 3 Coco et Deborah Saturnin 4 Les candidats au titre de Champion 2012 5 Anne Fourré (Médiane), Mélanie Zlotkowski (Le Gratuit), Jean-Claude Bougras (S.G.I.A) et Jeanne B. (Must) 6 Jacques, Nicolas (Mirage Voyages), Stéphanie (Must) & Emmanuel Colas (Mc Marine) 7 Nicolas Mohli & Jeanne B. 8 Fréderic Copier, Jérôme Couturier, Isabelle Chuvan, Frédérique Pentecost, Pascale (Prunelle) & Laurent Coustes

9 L’équipe de la boutique Ciao Amore 10 Coco Munier et Karine Coën (Style Me Pin-Up), complice de nos photo-shoots !

11 Olivier du MV Lounge et … des amis 12 Bruno Simon, Thierry Guerreski, Pascale Coustes & Patrick Dahan 13 Christian Fabreguettes (Rêves d’O) son amie & Marie la fille de Christian !

14 Etianis Corigliano et une amie 15 Irwin Ponthieu (IP Config) et encore… Nicolas !

16 Stéphane du Lycée jean XXIII et ses élèves

17 Pierre Desrues du Royal Tera & un ami 18 Nicolas Herrmann(Sodival) & son épouse Sally 19 Cédric (Dlys de Georges) & Cécile Pons (Groupe Cuenet) 20 L’équipe Commando 21 Eva du Salon Dock’R & Joana 22 Mais qu’est-ce qu’elle fait avec son iPhone ?

23 Julien Ravel (Télé NC) & Camille Cress 24 Samuel Hnepeune entouré de Stéphanie, Jean-Michel, Céleste Barreteau (Betico) & encore Joana

25 Nos animateurs chéris et plein de gens 26 Marie & Elodie Valet (U.S Automobiles) 27 Joana & Frederic Guepy (Oenosprestige/Reprex) 28 Alain & Christine Prieto (Photodiscount) 29 Teddy (Form+), Sebastian Houssaye (City Design), Nicolas & Christelle Macia 30 Marine Eymard, Yorick Dang (SIDAPS) & sa femme, Nicolas & Céleste 31 Mario & Anouk Lopez 32 Jennifer Potin, Caroline Musy & Mélanie Bertrand (CFAO) 33 Les complices & supporters….

Des invités... so glam !

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Témoignage du jury : &

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Des challengers... au top !

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nna : o d r a C s Françoi ne ambiance on « une b derie » ra de cama

« Le déroulement a été fort bien réussi, les temps de passage respectés, pas de temps morts, et une bonne cadence.

Certains candidats étant bien entendu plus à l’aise que d’autres mais je crois qu’ils ont pris un réel plaisir à la compétition, et ce dans une bonne ambiance de camaraderie. Le Lycée Jean XXIII était là pour sponsoriser une partie de la soirée avec la production et la distribution de canapés pour accompagner le champagne ! C’est ici la filière alimentation, section traiteur qui s’est chargée de confectionner les produits. Des élèves volontaires sont venus prêter main forte pour assurer le service des boissons mais aussi le nettoyage de la salle durant toute la soirée. Une de nos élèves de Mention Complémentaire Bar, Télésia, a également eu le droit participer (mais pas de concourir, le concours étant réservé aux professionnels). Elle est arrivée en tête de la première épreuve pour la réalisation du cocktail imposé en respectant

le dosage exact d’un classique du bar américain « le Champagne Cocktail » : un quart de sucre en morceau, un trait d’angostura dessus, seulement 1 cl de cognac et 11 cl de champagne avec un zeste d’orange.

Les créations ont permis aux participants une meilleure expression de leurs talents !

Les décorations, l’aisance et la dextérité ont révélé certains candidats qui visiblement, malgré le stress lié au temps, ont réussi de beaux et bons cocktails. Francisko et Anthony se sont donnés à fond pour l’épreuve finale, pas si facile car les produits découverts au dernier moment sur le chariot n’étaient pas évidents à travailler. Francisko a su faire la différence sur le seul critère du goût, tous deux ayant obtenu le même score sur les autres critères d’évaluation. J’ai beaucoup aimé le côté show et festif d’Anthony et de Cassio. J’ai aussi apprécié l’ambiance entre les candidats, le côté sympa, tous à s’encourager les uns les autres ».

Chergui, agazine Must et a n a o J e d ion du m Le mot t t a c i l b u p de agne Impac irée Champ directrice o s a l e d ice organisatr

Modèle

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39, rue Sébastopol, Nouméa Tél. : 27 58 53

Du lundi au vendredi 8h-18h en continu - Samedi 9h-12h / 14h30-17h30

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Irresistible

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Le Studio.nc

« Je suis véritablement ravie du déroulement de la soirée, du travail mis en commun avec tous les partenaires, MUST, Sodival et le Lycée Jean XXIII. J’en profite aussi pour remercier Artypo qui est l’un de nos partenaires depuis 3 ans et l’imprimeur de notre magazine depuis 6 ans aujourd’hui. L’événement est de plus en plus réussi chaque année, les candidats plus nombreux et les invités répondent présents. L’équipe de l’Endroit a été très accueillante, très disponible pour l’organisation. Je félicite l’ensemble des candidats qui ont tous été exceptionnels, les habitués comme les nouveaux et chapeau à Francisko qui est décidément un cocktail-man talentueux. Enfin, la soirée a été l’occasion de faire connaître en avant-première notre nouveau parfum « Un Des Sens » de Must, eau de toilette féminine qui sortira bientôt en flacon 100ml et sera distribué dans plusieurs commerces de Nouméa ».

Francisko repart donc une nouvelle fois avec le trophée tant convoité (une ceinture de boxe réalisée par Adjé qui viendra décorer le mur de l’Etrave pour la deuxième année consécutive) et un chèque de 150 000 XPF. Une victoire en toute humilité pour le champion en titre qui n’envisageait pas de gagner… juste de s’amuser !

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L’interview du gagnant

MUST : Deuxième victoire d’affilée, tu deviens l’homme à abattre ! Pourtant, la rumeur disait que tu voulais céder ta place…

Francisko : Le fait de gagner le concours pour la seconde fois me ravi c’est certain mais je n’avais pas l’esprit de compètition ce soir-là, au point de modifier la recette de mon cocktail créa à la dernière minute, avec le sirop de concombre au lieu de la liqueur de melon verte ! Et ça a plu ! Même si je voulais céder ma place à quelqu’un d’autre, le jury en a décidé autrement...

Bon, bien sûr, d’un autre point de vue un chèque de 150 000 XPF, je ne dis pas non (rires). L’année prochaine je vais devoir à nouveau remettre mon titre en jeu. Certes je suis celui à détrôner mais personne n’est imbattable…

MUST : Comment était l’ambiance entre les candidats cette année ?

Francisko : Parmi les participants nous avons essayé de nous connaître un peu plus, certains étaient plus timides que d’autres, mais le fait de faire connaissance avec tout le monde a fait baisser un peu la tension et l’appréhension de concourir.

J’ai aimé l’animation de Graig et d’Aloha, tous deux se mariaient bien et la musique était top, surtout ce fameux générique a chaque passage...

MUST : Quels sont alors les fameux ingrédients de ton cocktail gagnant ?

Francisko : Pour le cocktail gagnant, nous avons été très limité sur les produits par rapport à l’année précédente mais c’est ce que j’ai aimé dans cette partie de la soirée, le fait de trouver sur le moment un cocktail improvisé. Le mien était à base de jus de mangue, de liqueur de banane, de midori, de sirop de grenadine et d’un peu de citron pressé complété au Piper champagne... D’ailleurs, vous pourrez l’apprécier toute l’année à l’Etrave, il se nomme « the Tropic’Sun ».

ng Soon ! mi Co 4… ct pa Im e Champagn à peine remis de la troisième édition, l’équipe organisatrice se remet au travail pour l’an prochain. On ne peut certes rien promettre pour le moment mais ce qui est sûr, c’est qu’il y aura des surprises. De nouvelles épreuves, des défis plus coriaces encore… Un bar sur l’eau peut-être… et pourquoi pas des démonstrations de flair couplées à de la pyrotechnie ? Rendez-vous le 26 juillet 2013 !

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Cosmétiques Dior disponible en parfumerie

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rouge dior Nude

La nouvelle crème de nuit anti-âge global expert qui régénère et répare la peau en profondeur, qui diminue visiblement les taches brunes et qui triple le pouvoir régénérant nocturne des cellules souches grâce à l’extrait de Kalamansi dans ses actifs. Chaque matin, les signes de l’âge et les taches brunes s’estompent visiblement.

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LE NOUVEAU SOIN ANTI-FATIGUE SIGNE NICKEL Nickel innove encore avec un nouveau choc anti-fatigue, véritable energy drink pour la peau en manque d’énergie.

Inspiré du cocktail Mojito, Electro Shock propose en effet un soin qui, avant la fête, permet de tenir le choc jusqu’au bout de la nuit et le lendemain matin, d’affronter une journée de travail.

Sa recette ? Un extrait de guarana pour un effet énergisant, de la menthe poivrée pour une action anti-teint terne, du citron vert pour la fraîcheur, un agent liftant et du sucre de canne pour l’hydratation.

Avec son flacon à pompe auto-bloquante et son petit format nomade, c’est le soin à avoir toujours avec soi pour que fête après fête, la peau reste toujours parfaite.

SILHOUETTE EXPERT contient des extraits de thé vert, d’algue brune et de café vert brûleur de graisses sélectionnées pour une action globale sur la silhouette.

Ses principes actifs : Extrait de café vert décaféiné qui favorise le déstockage des graisses et limite l’assimilation des sucres par l’organisme.

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Mélatogénine AOX Probiotics AOX PROBIOTICS, une combinaison inédite d’antioxydants ultra puissants et de probiotiques boosters de défenses naturelles. Cette technologie unique offre un résultat anti-âge global.

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Les bienfaits reminéralisants de l’eau de mer sont dans OLIGOMER® DRINK ; il délivre sa force minérale à l’organisme pour contribuer à la relaxation et au bien-être.

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Parfums

bientôt disponible en parfumerie

FAME, LE PARFUM DE LADY GAGA 38

Composé de larmes de Belladone, de cœur écrasé d’orchidée-tigre avec un voile noir d’encens, d’abricot pulvérisé et des essences combinés ainsi que du safran et des gouttes de miel, le parfum sera disponible en deux versions.

Il est nspiré par la déclaration de l’artiste

« si vous n’avez pas de côté sombre, vous n’êtes pas dans la lumière ». « Mother Monster » a sollicité un groupe de créateurs afin de donner vie à son premier parfum. Le Maître Parfumeur Richard Herpin, a rassemblé des ingrédients rares.

Le Faiseur d’Images Steven Klein a trans-

formé ce parfum de séduction en une réalité visuelle. Toutes les facettes de la célébrité sont ainsi réunies, de ses aspects lumineux à sa part la plus sombre. Comme à son habitude, la chanteuse ne fait pas dans la dentelle et c’est nue qu’elle pose sur la campagne de lancement.

LA PETITE ROBE NOIRE, GUERLAIN

MADEMOISELLE RICCI, nina ricci

Miss Dior Le Parfum, Dior

Une création parfumée absolument indispensable et totalement irrésistible.

Le flacon mythique « cœur inversé » est revisité avec audace et modernité. Dans sa transparence cristalline, se dévoile en ombre chinoise la silhouette de la petite robe noire, prête à danser !

La maison Nina Ricci continue de nous faire rêver, avec sa nouvelle Eau de Parfum Mademoiselle Ricci : une véritable ode à la romance. Cette nouvelle fragrance, sensible et originale, repose sur un bouquet rose, comme une déclaration d’amour faite aux femmes. Un accord mêlant Eglantine, Rose Centifolia, Poivre Rose et Laurier Rose, exprime chacune des facettes de la personnalité de Mademoiselle Ricci.

La prestigieuse maison de luxe Dior s’apprête à lancer la version « extrait de parfum » de son parfum Miss Dior, qui sera ainsi baptisé Miss Dior Le Parfum... Cette délicieuse fragrance concoctée par François Demachy sera plus intense, plus riche et surtout plus florale par rapport à l’originale !

On y retrouvera des notes de mandarine, de roses bulgares, de roses turques, de patchouli, d’ambre et de vanille.

Son concepteur confie : « Je voulais apporter quelque chose de précieux et de lumineux à la composition de Miss Dior Le Parfum, comme des bijoux orientaux ou les reflets de tissu chatoyant ».

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So Go ut Ch lf h 2 em am O Pa e pe cif p ed io n ic it ns io h n ip

Par Maxime Le Bras © Photos : Eric Deroche

Du 26 au 29 septembre prochain, pour la deuxième année consécutive, le golf de Tina accueillera le South Pacific Golf Open Championship, ou SPGOC. Rencontre golfique de haut niveau, le tournoi compte pour le prestigieux PGA Tour of Australasia et offre la chance aux amateurs locaux de se mesurer à des joueurs professionnels internationaux.

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Pa at s m 18 tend oins de cir 000 us cu $, l cet qu it d e at t es cha e an re-v to mp né in ur ion e. gt s no p is gag En ma ne pl art u jeu ra s ic rs un de ipan du e en re ts To tr mp so ur ée or nt Au da te st ns r ra lie le n.

PGA Tour of Australasia en quelques mots

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Circuit de golf professionnel masculin créé en 1973 sous le nom de PGA Tour of Australia, il adopte son nom actuel en 1991 en s’ouvrant au continent asiatique. Les meilleurs joueurs sont ainsi intégrés dans le Tour Asia One fondé en 2009 et qui regroupe la PGA Tour of Australasia, la China Golf Association, la Korean Golf Association et la PGA Corée. L’an dernier, pour la première fois, le Pacifique Sud faisait son entrée dans le PGA Tour of Australasia avec le South Pacific Golf Open Championship, en Nouvelle-Calédonie.

Du NC Golf Championship au South Pacific Golf Open Championship Tout a commencé en 2008 avec le New Caledonia Golf Championship qui a vu le jour grâce à la volonté de Patrick Koch et Melville Proud de la PGA Australie division NSW. La première épreuve avait regroupé une trentaine de joueurs. Forte de son succès et de sa renommée grandissante (et après d’intenses négociations !), elle devint en 2011 une étape du PGA tour Australasia (pour une durée de 5 ans) et fut renommé South Pacific Golf Open Championship.

South Pacific Golf Open Championship Pourquoi Open ? Parce que certains amateurs peuvent participer à condition d’avoir un index de jeu inférieur à 8,4 (première série française).

Le mot de Patrick Koch president de l association Tina Golf Club et du SPGOC

« Etre une étape du PGA Tour of Australasia est une réussite considérable pour Tina Golf Club et la Nouvelle-Calédonie, nous en sommes très fiers. C’est une vitrine énorme pour notre pays. Sur le plan sportif, offrir la possibilité à des amateurs locaux de se mesurer à des joueurs pros est un vrai coup de pouce pour le golf en Nouvelle-Calédonie. Pour nos pros locaux la possibilité de se frotter aux meilleurs du circuit Ausralasia et le droit de rêver en cas de victoire : l’accès aux majeurs Australiens dont le premier prix est de 6 500 000 $. Pour cette année, mes attentes sont simples... encore plus de très bons joueurs ! Je souhaite voir le parcours s’améliorer d’année en année... car c’est important de faire vivre un parcours et de le faire évoluer en permanence. Il ne faut pas oublier le Pro-Am du mardi 25 Septembre, dont Must fut le parrain pendant plusieurs années. C’est une épreuve « récréative » où chaque équipe est composée d’un Pro du circuit et de trois amateurs (débutants ou confirmés). C’est une occasion unique pour ces joueurs du week-end de pouvoir jouer et bénéficier des conseils de pros du tour. Pour finir, je tiens à remercier les collectivités et les sponsors privés, qui nous soutiennent, et sans qui rien ne serait possible ».

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Le mot de Matthew Griffin vainqueur du premier South Pacific Golf Open Championship « La réalisation de ma première victoire professionnelle lors du SPGOC a été extrêmement spéciale et est certainement un souvenir inoubliable. C’était une grande semaine de golf l’année dernière, alors je suis heureux de voir la NouvelleCalédonie de retour sur le calendrier 2012 ».

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Le mot de Brian Thorburn chef de la direction de la PGA Australie « Le circuit de la PGA of Australasia est impatient de retourner en Nouvelle-Calédonie. C’est fantastique que nos professionnels soient en mesure de visiter de belles destinations comme Nouméa et, plus largement, que le PGA Tour of Australasia contribue à la croissance de la pratique du golf dans de nouveaux endroits. »

Tina Golf Club est l’un des trois parcours de golf de 18 trous en NouvelleCalédonie. A seulement 10 minutes du centre-ville, le par 72 Tina Golf Club exploite la diversité géographique locale le long de la rive, les mangroves et les plages. Tina, avec son club-house dont la terrasse surplombe la zone d’entraînement, est considéré par les golfeurs chevronnés comme l’un des meilleurs terrains de golf dans le Pacifique Sud.

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de gauche à droite : yorick / Chemise « Anama » (Manhattan) Costume 2 pièces « Fabio & Livi » (Complicité de Paris) cravate Kenzo & chaussures en cuir (St Germain) Bandana (American Store) judicaël / T-Shirt, Jean noir « Parasucojean », Veste en cuir (Mango) chausures en cuir (U-man) christian / Chemise noire « Anama », Manhattan, pantalon « Fabio & Livi », Complicité de Paris, Bandana noir, American Store, Chaussures en cuir, St Garmain. thierry / T-Shirt, ceinture en cuir (Manhattan) pantalon « Fabio & Livi » (Complicité de Paris) chaussures en cuir (U-man) marine / Pull col roulé (Benetton) pantalon cigarette (Adresse 33) bottes « Zulia » (Max Mara)

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marine / Chemise « Dolce & Gabbana » (adresse33) Jupe kilt « Pourquoi pas », veste « Lili la Tigresse » (Corner 39) cravate « Kenzo » (St Germain) Munchaku (Fight Shop)

Costumes unis et rayés 2 pièces « Adimo Cerimonia » (Frou Frou) Chemises blanches « Tarocash » (U-man) Chemises blanches « Adimo Cerimonia » (Frou Frou) cravates « Kenzo » (St Germain)

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Masques faits main par Joana Chergui & Claudine Teuruarii

marine / Pull col roulĂŠ (Benetton) Sabre (Fight Shop)

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En arrière plan : Le Toyota Tundra V8 yorick / Chemise « Anama », Jean « Parasucojean » ceinture en cuir (Manhattan) Veste en cuir (Mango) lunettes de vue « Dolce Gabbana » (Optique Betrancourt) judicaël & christian / Chemises « Tarocash » & Costumes 2 pièces « Fabio & Livi » (Complicité de Paris) cravates « Kenzo » (St Germain) Lunettes solaires « Maui Jim » (Optique Betrancourt) Mallettes alu. « Davidt’s » (Le Bagage Calédonien)

thierry / Gilet rayé “Adimo Cerimonia” (Frou Frou) Sabre (Fight Shop) yorick / Chemise “Adimo Cerimonia” (Frou Frou) Cravate “Kenzo” (St Germain) Veste de costume “TAROCASH” (U-man)

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marine / Robe zip “Lili la tigresse” (Corner 39) Bottes « Zulia » (Max Mara) Eux / Costumes unis et rayés 2 pièces Mateo « Adimo Cerimonia » (Frou Frou) Chemises blanches « Tarocash » (U-man) cravates « Kenzo » (St Germain) Bandana Blanc (American Store) Sabres (Fight Shop)

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PHOTOGRAPHE : marc le chélard post-production : purple coordination : marine méline & claudine teuruarii modèles : Christian / Marine / Thierry / Judicaël / Yorick maquillage : karine coen / coiffure : Eva du Salon Dock’R Un grand Merci à l’hôtel Royal Tera Resort pour son accueil et la gentillesse de son personnel ainsi qu’à Marine Eymard pour nous avoir prété son Kimono japonais…

8/12

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Partenaire premium du championnat de golf PGA de Nouvelle-Calédonie

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voyage Par maxime le bras © photos dr

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le paradis des golfeurs Avec 5 à 6 millions de touristes internationaux par an, l’Afrique du Sud apparaît aujourd’hui comme la première destination du continent africain. Comptabilisant 450 parcours de golf pour seulement 140 000 licenciés, le pays est également un terrain de jeu rêvé pour les golfeurs du monde entier. Si le territoire offre des parcours d’exception de par leur beauté, leur technicité ou leur histoire, il en est un qui ne laisse aucun golfeur insensible : le parcours du Legend Golf & Safari Resort, et son 19ème trou… surnommé 19ème trou de l’Extrême !

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Au cœur de la brousse Africaine

Le Legend Golf & Safari Resort se trouve en pleine nature, dans la réserve d’Entabeni Safari, situé dans le Waterberg, dans la province du Limpopo; à 35 minutes en avion ou à deux heures et demie en voiture de Johannesbourg. Au coeur de 22 hectares d’une terre préservée, on trouve ici 300 espèces de plantes, 50 variétés d’herbes, 380 espèces d’oiseaux et 55 espèces animales. La réserve animalière à l’intérieur de laquelle le lodge organise ses safaris, abrite les fameux « Cinq Grands » : les lions, les léopards, les éléphants, les rhinocéros et les buffles.

Outre un centre de bien-être, le Legend Golf & Safari Resort possède une piscine extérieure, un espace de réunion comprenant un vaste centre de conférences et des salles de banquet, un centre de fitness et un club pour enfants. Les chambres, bénéficiant chacune d’une décoration personnalisée, donnent sur un patio avec vue sur la montagne ou sur le désert. Mais ce qui rend cet hôtel particulièrement unique, c’est, bien entendu, son parcours de golf.

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Un parcours de Légende Elu Meilleur Nouveau Parcours de Golf en Afrique du Sud par le magazine Golf Digest, le parcours a été dessiné par 18 champions et golfeurs de référence, originaires du monde entier, parmi lesquels on peut citer Trevor Immelmann (Afrique du Sud), Thomas Bjorn (Danemark), Jim Furyk (États-Unis), Bernhard Langer (Allemagne), Michael Campbell (NouvelleZélande), Colin Montgomerie (Écosse) ou encore Mike Weir (Canada).

Généralement, un parcours de golf fait 18 trous. Ici, il y a un 19ème trou… celui de l’extrême ! Devenu légendaire au point d’attirer les golfeurs du monde entier, ce 19ème trou du parcours vaut à lui seul le déplacement. Le tee de départ se trouve au sommet de la Montagne du Hanglip, une cime mystique qui offre une vue panoramique sur la savane africaine. Du sommet, accessible uniquement en hélicoptère, le golfeur verra, à 430 mètres en contrebas, un green gigantesque en forme de continent africain. Ce célèbre Par 3 est le plus haut et le plus long du monde, mesurant une distance de 361 mètres du tee de départ jusqu’au green. Le 19ème trou extrême promet un tee shot inoubliable et tout à fait hors du commun.

Un lieu unique au monde qui crée de fortes sensations golfiques sans aucune comparaison possible ! Envahi par une impression de domination du golf avec pour décor la savane africaine à perte de vue, contrebalancée par un sentiment d’impuissance procuré par ce green qui semble inaccessible, le tee shot ne sera jamais évident… Toutefois, cela vaut le coup d’essayer quand on sait qu’il y a une récompense d’1 million de dollars à la clef pour celui qui arrivera à faire le trou en un seul coup ! Si l’on arrive à viser près du trou, la balle peut rester jusqu’à 30 secondes en l’air avant de toucher le sol.

Le leaderboard des golfeurs ayant tenté l’expérience extrême du 19ème trou est disponible en ligne : on peut noter le bogey de Raphaël Jacquelin, le par de Padraig Harrington, et comme ici, tout est permis, il y a même des birdies !

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dossier Par sydélia guirao © photos : dr

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Dame de compagnie raffinée réservée à une clientèle très aisée, la Geisha dédie sa vie à la pratique d’excellence des arts traditionnels Japonais. Si l’institution multi séculaire des Geishas a toujours entretenu un rapport étroit et complexe avec le phénomène de la prostitution, l’octroi de faveurs sexuelles par la Geisha à son client n’a jamais été entendu comme systématique ou allant de soi.

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Qu’est ce qu’une Geisha « Gei » se rapporte aux arts du jeu shamisen (instrument de musique traditionnel à cordes pincées), « Sha » signifie personne. Une Geisha est donc une personne qui pratique et vit par le biais de l’art. Une sorte d’hôtesse professionnelle entraînée aux arts du divertissement. Elle se doit de maîtriser l’art de la toilette et de la coiffure comme celui du rituel du thé. Elle possède la science du chant et de la danse. Elle joue d’instruments de musique traditionnels et connaît l’arrangement floral, la calligraphie, la comédie, la grâce sociale, est capable d’entretenir une conversation plaisante, nourrie de réparties intelligentes. Elle fait l’amour avec une science et un art éprouvés, selon les traditions érotiques chinoises et japonaises. En dehors des banquets et des maisons de thé, les Geishas donnent des spectacles publics pour célébrer certains évènements. La Geisha est une forme « d’art vivant ».

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Histoire L’ouverture des maisons de thé dans les quartiers de plaisir en 1712 marque le début du métier de Geisha. Les Geishas sont le résultat de l’évolution des taikomochis, équivalents japonais des bouffons du Moyen Âge en Europe. Ainsi, les premieres Geishas étaient des hommes, dont le travail était principalement de divertir, par des chants et de la musique, les clients des maisons de thé. Au début de leur intégration aux Geishas, dans les années 1750, les femmes étaient appelées Onna Geisha ou Geiko à Kyoto. Elles devinrent rapidement plus nombreuses que les hommes. À partir de 1800, toutes les Geishas étaient des femmes.

En 1779, le gouvernement japonais officialisa le métier de Geisha et créa un bureau d’enregistrement, destiné à recenser les Geishas et à faire respecter la loi. Celle-ci indiquait que seules les prostituées patentées pouvaient avoir des relations sexuelles avec leurs clients, et pas les Geishas.

Jusque vers la moitié du 18ème siècle, on pouvait consommer la prostitution à plusieurs niveaux, soit dans les rues, soit dans les maisons closes des quartiers chauds. Les reines de cette époque étaient les Tayus ou « Grandes Courtisanes », qui surclassaient les prostituées de rues par la finesse de leurs manières et le luxe dont elles faisaient étalage. Mais les Tayus étant fort coûteuses, on commença à former des femmes qui pouvaient allier plusieurs aptitudes à la beauté afin de divertir les bourgeois noceurs. Dans les réceptions, on fit de plus en plus appel à ces personnes capables de danser, chanter, jouer d’instruments différents, raconter des histoires, faire des acrobaties ou donner de petits spectacles. Ce désir de marier tous les plaisirs en une seule personne fit naître le concept de la Geisha tel que nous le connaissons aujourd’hui. La Geisha, désormais bien plus qu’un taikomonchi, allait incarner la plus esthétique des manifestations de l’exaltation des sens et du divertissement.

Jusqu’au début du 20ème siècle, les Geishas étaient considérées comme à la pointe de la mode, à tel point qu’avec l’occidentalisation du Japon dans les années 1920-1930, on vit apparaître des Geishas s’habillant et dansant à l’occidentale, surnommées dansu Geisha. Ce fut une période de confusion pour les Geishas. Beaucoup d’entre elles finirent par s’opposer à cette modernisation et se positionnèrent en gardiennes de la tradition japonaise, ce qui est toujours le cas actuellement.

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En 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement fit fermer les quartiers de plaisir et envoya les Geishas travailler en usine pour soutenir l’effort de guerre. Les prostituées appelées « des filles de Geisha » par les troupes américaines (les G.I. ignorant les nuances) créèrent la confusion quant à ce qu’était une véritable Geisha. A leur retour, les Geishas étaient peu nombreuses et vues par beaucoup comme des prostituées. Dès lors, les Geishas durent renoncer à leurs statut de

reines et devinrent les conservatrices des arts et des divertissements traditionnels.

L’interdiction totale de la prostitution en 1957 démarqua définitivement les Geishas des prostituées. À la même époque, de nouvelles lois sur le travail des enfants et la scolarité obligatoire interdirent aux filles de devenir Maiko (apprenti Geisha) avant quinze ans.

En 1965, on dénombrait à Kyoto 65 Maikos, chiffre qui chuta ensuite jusqu’à 28 en 1975, avant de remonter et de se stabiliser à une

moyenne de 60 Maikos dans les années 1990. Ces dernières années, un engouement nouveau a été observé pour la profession de Geisha au Japon, avec pour la première fois en avril 2008 plus de 100 Maikos (101 exactement) à Kyoto. Il semblerait que cet engouement soit notamment dû au nombre grandissant d’informations disponibles sur ce métier : livres, reportages et documentaires télévisés, mais aussi blogs et sites web personnels de Maikos ou de Geishas.

Geisha d’autrefois

Une vie d’apprentissage à l’Okiya

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La maison des Geishas, l’Okiya, accueille les apprenties Geishas.

La profession s’exerce en général de mères en filles, mais on trouve beaucoup de filles pauvres, parfois vendues par leur famille qui s’assure une éducation correcte pour l’enfant.

Dès son plus jeune âge, la petite fille rejoint donc l’Okiya, basée selon le modèle hiérarchique familial. A sa tête une mère, Mama San, gère toute la maison. L’Okiya se compose des Geishas qui travaillent pour rembourser les frais de leur formation (repas, cours, frais de médecine, acquisition des costumes, etc.) et des apprenties Geishas, qui apprennent leur art « gratuitement » (sous condition de rembourser plus tard) en allant à l’école et par l’intermédiaire de leurs grandes soeurs Geisha. La hiérarchie est basée sur l’ancienneté des filles. L’apprentissage est long et difficile.

Des jeunes filles d’âges différents sont prises dans la maison, et effectuent diverses corvées tout en observant les Geishas et les Maikos. Elles sont appelées les Tamagos, qui signifie « oeufs ». Quand elles atteignent 17 ans, elles peuvent devenir Maikos, elles apprennent leurs leçons de shamisen, de danse et des autres arts nécessaires pour être Geisha. Elles assistent aux réunions, mais en simple spectatrice.

Une fois qu’une Maiko est prête, vers

l’âge de 20 ans, elle passe par la cérémonie d’Erikae : sa tenue change, puis elle subit le Mizuage, une cérémonie qui tourne autour de la perte de sa virginité, vendue au plus offrant.

Avant qu’une Maiko ne devienne une Geisha, elle doit payer son apprentissage, en travaillant en tant que servante auprès de l’Okiya. Si une Geisha veut arrêter, elle doit payer le reste dû à l’Okiya. Pour s’acquitter de ses dettes, elle peut se faire payer de deux manières : en travaillant en tant que Geisha pendant plusieurs années pour l’Okiya ou en ayant un patron riche qui rachète ses dettes. Si une Geisha travaille longtemps, elle peut parvenir à économiser assez d’argent pour faire des affaires ou ouvrir son propre Okiya.

Les Geishas continuent à se perfectionner durant toute leur carrière professionnelle.

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«La Grande soeur»

Quand une fille est prête à devenir apprentie Geisha, elle doit nouer une relation avec une Geisha plus expérimentée, la « Grande Sœur ». Cette dernière n’est pas forcément plus âgée que la future Geisha dont elle assure la formation. Il suffit qu’elle soit son aînée d’un jour. Lorsque deux filles deviennent soeurs, elles procèdent à une cérémonie qui ressemble à celle d’un mariage. Après quoi, elles se considèrent comme parentes et s’appellent « Grande Sœur » et « Petite Sœur », comme dans une vraie famille.

La Grande Sœur enseigne à sa cadette tout ce qu’elle sait et s’assure que la novice saura attirer l’attention des gens qui lui seront utiles. Le soir, elle l’emmène dans les maisons de thé, pour la présenter à ses clients et autres protecteurs. L’un d’entre eux finira probablement par apprécier sa compagnie et par la prendre sous son aile.

Une Grande Sœur aura tout intérêt à ce que sa cadette « réussisse » car, dans ce cas, tout le monde en profite : l’apprentie peut payer ses dettes et la Grande Sœur, elle, touche une part des honoraires de sa cadette, ainsi que les maîtresses des différentes maisons de thé que l’apprentie Geisha fréquente.

Les protecteurs Traditionnellement, chaque Geisha avait un protecteur, un Danna : un homme riche qui lui versait une pension mensuelle et la payait lorsqu’elle participait à un banquet. Traditionnellement, le dépucelage de la Geisha était la prérogative du Danna, mais dans certains cas, la maison en confiait le soin à un homme choisi pour sa délicatesse et qui payait très cher pour ce privilège, surtout si la Geisha était convoitée et qu’elle excellait dans son art. Tant qu’elle était dans la profession, la Geisha n’avait pas le droit de se marier.

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La premiere nuit Autrefois, la « première nuit » d’une Geisha était nommée « Mizuage ». Les clients intéressés se manifestaient et la jeune Geisha évaluait (avec la maîtresse de son Okiya) l’intérêt économique de s’offrir à tel ou tel client. La Geisha offrait alors un « Ekubo » (un gâteau de riz sucré) a chacun des prétendants sélectionnés.

Ce geste était le point de départ de véritables enchères entre les prétendants. Naturellement, la Geisha faisait don de sa virginité au meilleur offrant.

Certains Mizuages atteignirent des montants astronomiques. Après la première nuit, d’autres nuits suivaient et se monnayaient très cher. On n’achetait pas une seule nuit, mais un ensemble de rencontres amoureuses étalées sur une longue période, généralement d’un an.

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Les Geishas, les Tayus et les Oirans Les Oirans (premières fleurs) étaient des courtisanes et prostituées de haut rang. Il arrivait qu’elles soient rivales avec les Geishas pour séduire les puissants seigneurs du japon. Parmi les Oirans, celles de la plus haute classe étaient appelées Tayus (or).

Les courtisanes avaient peu de chances de quitter les quartiers qui leur étaient réservés et pouvaient encore moins s’en échapper. Celles qui tentaient de s’enfuir étaient toujours rattrapées et sévèrement punies. À partir de 18h, chaque soir, ces femmes étaient exposées derrière les barreaux du rez-de-chaussée de la maison, comme des mannequins dans une devanture. Les clients potentiels s’arrêtaient devant ces « vitrines-prisons » pour regarder les courtisanes et en choisir une. Suivant le rang de la prostituée, l’affaire était plus ou moins vite réglée. Les Tayus n’avaient pas de relations avec le client avant sa troisième visite, toute aussi onéreuse que les deux premières.

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Les courtisanes de haut rang avaient souvent deux apprenties, appelées Kamuros, qui les accompagnaient et les servaient. En échange de la formation qui leur était donnée, les apprenties s’habillaient selon les goûts de la courtisane. Les Kamuros sont souvent facilement reconnaissables sur les estampes car, en dehors de leur obi (ceinture) noué sur l’avant comme la courtisane, elles portent chacune exactement le même kimono.

En aucun cas une Oiran ne pouvait atteindre la considération et la place d’honneur dans la société japonaise qu’avait une Geisha.

Le cout de l’art Le but des Geishas est d’atteindre la perfection dans leur art. En raison du coût élevé de leur style de vie (chaque kimono coûte extrêmement cher, sans compter les ceintures et tabis (chaussettes) qui sont faits main) beaucoup de Geisha comptent sur leur « Danna ». Ces hommes fournissent aux Geishas les kimonos et l’argent, et en retour sollicitent une attention plus particulière ; cela peut inclure des faveurs sexuelles, tout dépend des souhaits des Geishas.

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Le maquillage Le maquillage que l’on associe aux Geishas est en réalité celui des Maikos.

Le visage est entièrement fardé de blanc, par-dessus une couche d’huile appelée bintsuke-abura. Le maquillage est étalé à l’aide d’une brosse de bambou, puis l’excédent est tamponné avec une éponge. Autrefois, ce maquillage contenait du plomb, si bien que beaucoup de Geishas souffraient de maladies et de problèmes de peau.

De nos jours, il est à base de poudre de riz. La nuque est également maquillée de blanc, en laissant apparaître une partie de la peau de la Geisha. Les joues, les yeux et les lèvres sont maquillés de rose et de rouge. Les sourcils et le contour des yeux sont tracés avec un bâtonnet de charbon de paulownia, ou avec du khôl. La bouche peut être entièrement teintée de rouge, mais beaucoup de Maikos maquillent uniquement leurs lèvres inférieures, de façon à avoir un air boudeur.

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La coiffure Les Geishas portent des chignons compliqués, reproduisant les coiffures de l’ère d’Edo. Ces coiffures imposent des heures d’arrangements, et bien sûr d’avoir des cheveux longs, coiffés à l’huile de camomille. Comme elles doivent changer de coiffure à chaque danse, elles ont adopté, dans les années 60, le port de la perruque, ou Katsura, toujours faites de vrais cheveux et donc très chers. La coiffure de « shimada » est la plus connue. Le shimada de taka est un chignon haut, porté par les plus jeunes.

Le shimada de tsubushi est plus plat, et porté par les Geishas plus âgées.

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Les costumes Le vêtement des Geishas est un kimono de soie décolleté dans le dos, surnommé obebe dans le dialecte de Kyoto. Les couleurs du kimono se choisissent selon la saison, mais aussi selon l’âge de la porteuse : les jeunes femmes portent des couleurs vives tandis que les Geishas de plus de trente ans choisissent des couleurs plus discrètes.

Assemblé de plusieurs morceaux, il est très lourd mais somptueux, égalant en richesse et en raffinement le kimono du mariage. Entièrement réalisé à la main, il arbore de délicats motifs de décoration et nécessite à peu près 24 mètres d’étoffe pour le confectionner.

Une ceinture, l’obi, est nouée dans le dos à l’inverse des prostitués qui la noue sur le ventre.

En guise de sous-vêtements, les Geishas portent un koshimaki ou « couvre-hanches », une simple bande de tissu fin enroulée autour des hanches, puis une combinaison. Cette combinaison doit être en harmonie avec les couleurs du kimono, car elle apparaît en deux endroits : au niveau des chevilles quand la Geisha relève son kimono pour marcher, et au niveau du col. Ce col est traditionnellement cousu chaque matin à la combinaison choisie par la Geisha, puis décousu le soir pour être lavé. Il est rouge — couleur associée à l’enfance — pour les Maikos et blanc pour les Geishas confirmées Une Geisha possède environ une quinzaine de kimonos, dont le prix peut varier de 1,4M XPF et 2,7M XPF. Achetés par la Mama San de sa maison, ils seront remboursés au fur et à mesure des gains obtenus par la Geisha. Ce remboursement s’étale généralement sur plusieurs années. La garde-robe de la Geisha lui permet ainsi de se changer deux ou trois fois au cours d’un même dîner, comme il se doit.

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De nos jours Aujourd’hui, les Geishas n’entrent plus dans les maisons de Geisha dès leur enfance.

Devenir une Geisha est désormais un acte entièrement volontaire, qui se fait souvent à dix-sept ou dix-huit ans. L’apprentissage reste néanmoins long et difficile ; cependant, les Geishas étant de plus en plus difficiles à recruter, les apprenties sont souvent chouchoutées par leurs aînées, ce qui contraste avec l’époque où leur travail était volontairement difficile, voire épuisant. l

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Par maxime le bras

secrets agents des bre è l é c L’expo du plus En plus des Jeux Olympiques, Londres aura abrité, du 6 juillet au 5 septembre dernier, une exposition sur l’univers 84 de James Bond. De « DR No » à « Skyfall », 50 ans de Glamour & Gadgets.

une entrée mythique

gadgets à gogo

Les visiteurs étaient accueillis par une réplique plus vraie que nature de l’acteur Sean Connery, détendu mais très élégant devant l’Aston Martin DB5 gris métallisé, immortalisée dans Goldfinger (1964). Ensuite, instant magique avant d’entrer au cœur de l’exposition, les visiteurs devaient passer par un immense canon de fusil : clin d’œil à la séquence d’ouverture des films James Bond. C’était le moment ou jamais de sortir l’appareil photo et de prendre la pose !

Au total, plus de 400 documents d’archives et objets emblématiques de l’espion 007 étaient exposés au centre multiculturel Barbican à Londres : des armes comme le revolver en or du tueur à gages Scaramanga, des costumes comme le smoking de Pierce Brosnan dans GoldenEye (1995) ou la tenue en cuir sexy de Madonna dans Meurs un autre jour (2002), mais aussi des gadgets comme l’attaché-case de l’agent 007 rempli de tubes de dentifrice renfermant des explosifs ou encore le chapeau aux bords d’acier d’Oddjob. Vu qu’il était impossible de le faire voler comme un frisbee, l’équipe des effets spéciaux avait équipé d’un petit moteur électrique le chapeau en feutre noir. La mâchoire en acier de Requin, avec laquelle il sectionne le câble d’un téléphérique dans Moonraker (1979), était très inconfortable. « Entre chaque prise », l’acteur Richard Keil « devait l’enlever », raconte le réalisateur Lewis Gilbert. « Les décors, les costumes, les gadgets » des films de James Bond « sont considérés de nos jours comme aussi emblématiques que l’homme lui-même, et c’est ce que nous voulons mettre en valeur », résume le conservateur de l’exposition, Bronwyn Cosgrave.

« Les films de James Bond ont évolué. Ils sont devenus beaucoup plus internationaux. Au début, c’était un phénomène anglais qui a gagné le monde entier », déclare Lindy Hemming, costumière sur de nombreux James Bond.

Pour rester dans l’ambiance James Bond, le visiteur pouvait conclure l’exposition par une halte au Bar Martini pour un Vodka Martini, la boisson préférée de l’agent 007, « frappé mais pas remué ».

Depuis Londres, l’exposition a entamé son tour du monde, qui durera trois ans, à commencer par une halte à Toronto au Canada en octobre.

le parfum øø7 Toujours à l’occasion des 50 ans de James Bond et de la sortie prochaine de « Skyfall », Eon Production et Procter & Gamble ont eu l’idée de sortir une fragrance 100% mâle nommée « James Bond 007 ».

Bill Brace, vice-président de Procter & Gamble Prestige explique le choix des notes du jus : « La fragrance aromatique de la fougère est devenue connue dans les années 60. A l’époque cette fragrance était sans conteste masculine et moussue. Mais ça, c’était il y’a très longtemps, alors nous avons voulu la remettre au goût du jour en la modernisant et la sophistiquant, c’est la raison pour laquelle on retrouve de la pomme, de la cardamome, du bois de santal et du vetiver dans le jus ».

les montres øø7 Rolex Oyster Submariner Date : l’Ex de James Bond

Omega Seamaster Diver 50 ans James Bond : la nouvelle petite amie de 007

Elle a longtemps habillé le poignet du plus célèbre des agents secrets. De 1961 aux années 80, c’est elle qui donne l’heure à 007, qu’il prenne les traits de Sean Connery comme de Roger Moore.

Elle joue notamment les vedettes dans « Dr No » de 1961, Goldfinger sorti en 64 ou encore dans « Vivre et laisser mourir » en 1973. La Rolex Submariner est bien armée pour faire chavirer James. Sa ligne sobre et indémodable sied aussi bien dans une soirée chic, qu’en mission sous la mer ou dans les airs. Son boîtier en acier de 40 mm résiste à 300 mètres de profondeur. Pourtant, rien n’y fait elle s’est fait chiper son bel espion par une copine suisse impitoyable.

L’année 1995 marque un changement d’importance dans la garde-robe de James Bond. A cette date, le célèbre espion britannique change de montre !

Il passe à Omega. Depuis le film « Goldeneye », 007 porte en effet une Seamaster. Ce modèle de plongée automatique l’accompagne encore dans Casino Royal sorti en 2006. Alors, volage James ? Moins en matière de montres que de femmes, semble-t-il. Ainsi, l’on verra encore une Seamaster au poignet du célèbre espion dans Skyfall, le prochain opus avec Daniel Craig, qui sortira à la rentrée prochaine. La lune de miel continue donc...

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Catwoman Forever Michelle Pfeiffer

Lee Meriwether

Le dernier volet de la trilogie « The Dark Knight » de Christopher Nolan aura laissé place à la féline Catwoman, personnage crée par Bill Finger et Bob Kane en 1940. Si The Cat connut de nombreuses évolutions à travers les comics, la télé et le cinéma, elle n’en a jamais perdu pour autant ses griffes de femme fatale.

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Catwoman, de son vrai nom Selina Kyle est l’une des ennemies de Batman les plus populaires. Originellement, elle n’était qu’une cambrioleuse digne des autres adversaires de Batman. Alors que les scénarios se peaufinèrent et qu’on la rendit plus attrayante, une idylle se dessina entre elle et le chevalier de Gotham City. Selon la version en vogue (films, dessins animés ou B.D.) et selon les époques, l’origine de Selina Kyle est très différente. Richissime écologiste fanatique des félins, secrétaire tuée par son patron puis ramenée à la vie par les chats de ruelles, prostituée assassinée par son proxénète, etc. Elle est très souvent l’incarnation d’une femme abusée, violentée qui doit mourir pour changer d’identité, prendre le contrôle de sa vie et se venger. Sans jamais renoncer à sa féminité (sa meilleure arme), Catwoman est une héroïne prenant le pouvoir sur l’homme. Indomptable, même pour Batman, elle est la protectrice des « femmes sans défense ».

Depuis les années 1990, DC Comics, l’éditeur des comics de Batman décida qu’il était temps de donner à Catwoman sa propre série. Cette dernière met en scène une Catwoman au look plus moderne, librement inspiré de celui qu’elle a dans « Batman Le Défi », mais plus adapté à la vie de monte-en-l’air de Selina Kyle. C’est d’ailleurs ce design qui a servi de base à la Catwoman du dessin animé The Batman.

Dans la culture populaire occidentale, Catwoman est devenue un symbole de la femme fatale, associant élégance, indépendance, beauté et ambivalence.

Avec l’association Harley Quinn/Poison Ivy, elle incarne l’aspect féministe de l’univers Batman et même au-delà.

Ses costumes ont été très différents selon les époques. À l’origine, elle ne portait qu’un masque de chat avec une robe. Puis un bonnet à oreillettes suivit. Un costume vert et violet composé d’une cape et de lunettes apparurent dans les années 1960.

On l’accessoirisa d’un fouet (ou d’une cravache) à la même époque. Dans les années 1980 et au début des années 1990, elle porta des collants une-pièce de couleur pourpre et ses cheveux devinrent frisés et longs. La prestation de Michelle Pfeiffer dans le film « Batman, le défi » en 1992 vint changer la donne - Catwoman se rapprocha sensiblement de l’apparat fétichiste en vinyle reluisant noir, griffes pointues et masque décousu. Depuis, le noir sert généralement dans l’accoutrement de Selina Kyle, mais on y ajouta des lunettes stylisées se rapprochant de celles utilisées pour la pratique du ski.

Anne Hathaway

Les Catwomen du 7 ème art

Vamp de geek

Anne Hathaway, «The Dark Knight Rises» (2012) Moins SM que son aînée Pfeiffer dans le deuxième Batman de Burton, Anne Hathaway n’en est pas moins féminine et constitue un des atouts du troisième volet des aventures de la chauvesouris selon Christopher Nolan. Une belle vamp de troisième millénaire, fantasme geek assurément.

SM soft

Michelle Pfeiffer dans «Batman, le défi» (1992) Après le volume surnaturel des boucles d’or de Basinger dans le premier volet des aventures de Batman, Michele Pfeiffer (autre reine eighties blonde) prend le relais en chaton de cuir irrésistible. De quoi réactiver un peu la libido de la bête volante. Catwoman est sans doute le personnage le plus délicieusement érotique de la filmo’ de Burton - tantôt dominatrice, tantôt dominée - parfaitement moulée dans une combi’ cuir.

pin-up 60’s

Lee Meriwether dans «Batman» (1966) Lee Meriwether est la première actrice à interpréter Catwoman sur grand écran. Dans ce Batman vintage, elle forme une joyeuse bande de criminels avec le Joker, le Sphinx et le Pingouin, bien décidés, une fois de plus, à réduire l’humanité en miettes. Moulée dans sa combinaison en lycra à paillettes, les oreilles de chat s’échappant d’une imposante chevelure brushinguée, elle incarne à merveille la pin-up 60’s.

87 MMM

high-tech

Geek sans limite Pa r m at t h i e u l e x t r a i t

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neuron Vos pensées à l’écran Ah ! Qu’il serait rapide et efficace, le métier de chroniqueur, s’il suffisait de penser son texte plutôt que de le taper au clavier… Eh bien figurez vous que nous n’en sommes plus très loin ! La technologie Neuron, mise au point par l’équipe du professeur Yuki Kamitani, est la première étape d’une grande avancée dans le décryptage du travail neuronal : après avoir étudié et enregistré le schéma de l’activité cérébrale lorsqu’un stimulus visuel était présenté au cobaye (par exemple le dessin d’une ligne horizontale ou verticale), le programme est capable de reconnaître cette forme lorsqu’elle lui est de nouveau présentée en analysant son activité neuronale. Plus impressionnant, et à partir d’une base de données de formes géométriques simples, le programme s’avère capable de recréer virtuellement de nouvelles formes plus complexes lorsque celles-ci sont présentées à l’œil du cobaye.

Le but avoué de cette technologie ? Arriver à décrypter suffisamment le traitement des images par le cerveau afin de permettre, dans un futur assez proche, d’enregistrer nos rêves la nuit et de pouvoir les projeter sur un écran au réveil. Un projet un peu fou, sans doute inspiré par la machine d’Aki Ross dans le film d’animation « The Spirits Within », mais surtout, une prouesse technologique qui nous laisse… rêveurs.

Smartoilet / LOCAL Haut de gamme au petit coin

Pour faire des économies, un geste pour l’environnement, pour ajouter du confort dans vos toilettes, ou juste pour le plaisir d’amener le High-Tech jusque dans une pièce de la maison où on ne l’attendrait pas, la société Smartoilet se lance dans la distribution grand-public de sièges de toilettes nouvelle génération. L’abattant dispose ainsi de plusieurs fonctionnalités, et les lecteurs ayant voyagé au Japon le connaissent déjà, ce modèle étant très à la mode au pays du soleil levant. Tout d’abord, le confort : l’abattant est chauffé et c’est vous qui décidez de la température ! Ça n’en a pas l’air, mais en saison fraîche, ça fait du bien… De plus, grâce à un filtre spécial, l’air est purifié et les mauvaises odeurs neutralisées en permanence. Plus besoin de papier toilette puisque le siège possède une buse dotée d’un jet d’eau (eau chauffée également, à votre convenance) pour le nettoyage et le rinçage. A noter qu’une fonction « massage » est disponible, et aide notamment à apaiser les problèmes d’hémorroïdes. Après cela, le séchage est assuré par la machine, toujours à la température désirée. Tout cela est contrôlé par la télécommande livrée avec la lunette, qui existe en deux modèles : accrochée sur le côté du siège ou bien amovible et accompagnée d’un réceptacle fixable au mur. Cette télécommande permet d’enregistrer jusqu’à quatre pré-configurations pour que chaque membre de la famille ait son réglage favori en un seul clic, et si vous avez des enfants, il est possible d’enclencher un mode « sécurité » afin d’éviter les petits incidents (eau trop chaude, puissance du jet trop forte…). De plus, la lunette Smartoilet est amovible à volonté, vous ne la laissez donc pas derrière vous en cas de déménagement ! Pour plus de renseignements, la société Smartoilet vous accueille au 79 route de l’Anse-Vata.

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ort p S Ridgeline 90

La Nouvelle-CalÊdonie ne manque pas de terrains difficiles. Honda l’a bien compris en proposant son nouveau pick-up polyvalent, une camionnette dans le segment des demi-tonnes à priori parfait pour sillonner toutes les routes du territoire : le Ridgeline Sport !

Par alex le bras

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Design Design 92

Les touches de design à l’extérieur de la Sport donnent à ce pick-up une certaine altitude. Tout commence avec son allure impressionnante : 5.2 m de longueur, 1.98 de largeur et 1.79 de hauteur. Le Sport Ridgeline est le seul modèle à posséder des roues noires en alliage d’une taille de 18 pouces.

Les améliorations aérodynamiques révèlent sur le nouveau véhicule des lignes droites et puissantes. Les verres arrières sont teintés, et le contour des phares et des feux de freinages est assorti à la couleur de la voiture. On apprécie la couleur noire de la grille de calandre, une des nombreuses attentions qui font une grande différence.

Intérieur Intérieur

Comme de nombreux pick-up, on est étonné par l’espace disponible une fois à l’intérieur, et le rangement n’est pas en reste : la console dispose d’un bac accoudoir coulissant à deux niveaux, avec deux zones de stockage superposées. Les sièges arrières disposent en dessous d’un placement assez grand pour contenir un sac de golf. La position de conduite offre un bon accès aux commandes. En plus des fonctions standards comme les 6 hauts-parleurs de 100 Watts, le modèle Sport possède un volant inclinable gainé de cuir et une auxiliaire prise d’entrée audio.

Le lit, quant à lui, est complètement séparé de la cabine. Il est long de 152 cm et large de 122 cm, afin de pouvoir stocker le plus d’objets possibles « à plat ». L’espace de chargement mesure 125cm de large, 52,5 de profondeur et 152 de long, des dimensions capables d’accueillir les motos et les VTT. Comme le modèle Ridgeline standard, le modèle Sport est un demi-tonne et reste un petit camion avec une capacité de remorquage de 2268 kg. Une nouvelle touche intéressante est son coffre In-Bed Trunk, une cinquième porte sous-plancher intégré dans le lit donnant accès à un coffre verrouillable et étanche de 240 L.

port S eline Ridg

Conduite conduite Le Ridgeline Sport possède un moteur V6 essence de 3,5 litres produisant jusqu’à 250 chevaux. La consommation du Ridgeline standard est déjà inférieure d’au moins 30% par rapport à celle d’une camionnette pleine grandeur, le modèle Sport quant à lui a connu des retouches sur le moteur qui amende encore sa longévité. À la clef : encore 2,5% d’économie de carburant et une pollution réduite. Une économie poussée donc, qui n’est pas négligeable dans cette catégorie d’automobile.

Son système à 4 roues motrices (VTM4) et la gestion automatique du couple permet un fonctionnement optimal et sûr sous la pluie, sur le sable ou encore la boue. En cas de remorquage, un bouton de verrouillage sur le tableau de bord permet au conducteur de maintenir l’engagement des deux roues arrières pour faciliter la traction. On note aussi que le Ridgeline Sport possède une suspension avant et arrière indépendante, assurant une conduite fluide et une tenue de route réactive. u

93 roue libre

FICHE TECHNIQUE Ridgeline

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Sport

Modèle

3,5 SPORT

Transmission

5AT/4WD

Moteur

Type Alimentation Alésage x course (mm) Cylindrée (cm3) Taux de compression Puissance max. (ch à tr/min) Couple max. (Nm à tr/min) Carburant Consommation (L/100km) En ville Hors aglomération

VTEC V6 PGM-FI 89 x 93 3471 10,0 à 1 250 à 5700 247 à 4300 Sans Plomb 13,6 9,6

dimensions

Longueur hors-tout (mm) Largeur hors-tout (mm)

5255

Hauteur hors-tout (mm)

1808

Poids à vide en ordre de marche (kg)

2065

Empattement (mm)

3100

Garde au sol (mm)

208

1976

95 roue libre

Jeux Vidéo par Matthieu Lextrait

Les super-héros du gamepad

The Secret World

(PC,XBOX360)

MMO sur terre

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Si vous avez toujours été intéressé par les univers persistants et le principe du massivement online, mais que farmer, des heures durant, dans un énième clone de World of Warcraft vous donne des nausées, vous risquez fort d’être séduit par The Secret World, et son monde contemporain et réaliste (enfin, réaliste comparé aux autres jeux du même genre, bien sûr).

Ici, le monde tel qu’on le connait est en fait dirigé dans l’ombre par trois grandes organisations secrètes : les Templiers en Europe, les Illuminati en Amérique du Nord et les Dragons en Extrême-Orient. Il vous faudra choisir un camp lorsque vous découvrirez que votre avatar vidéo-ludique possède des dons magiques et des pouvoirs accessibles uniquement à une poignée d’humains. La première claque est graphique, alors que vous déambulerez dans des paysages réalistes et recherchés des quatre coins du

monde. La deuxième claque, quant à elle, moins impressionnante mais tout de même sympathique, se trouve au niveau des missions. MMO oblige, on retrouve

des missions classiques où il faudra se farcir un certain nombre de bestioles dans une zone déterminée pour avancer, mais à côté de cela, on découvre avec joie des missions d’infiltration et de recherche où, pour une fois, on ne nous tient pas la main pendant tout le parcours ! Oui, ça n’a l’air de rien, mais ça fait du bien d’utiliser son cerveau pour mener à bien une enquête. A côté de ça, on appréciera le système d’évolution du personnage, qui oublie le système de classe ou de métier afin de vous laisser personnaliser tous les aspects, pouvoirs, caractéristiques de votre avatar in-game au fur et à mesure que vous engrangez l’expérience. FunCom réussit ici à renvoyer la concurrence à la maison en insufflant un peu de nouveauté dans un genre qui tourne trop souvent en rond. Espérons que cela donnera des idées aux autres éditeurs.

The Amazing Spider-Man

(PS3,XBOX360,PC)

Enfilez vos collants !

Pour tous les fans de l’homme-araignée, ces dernières années ont été très décevantes, que ce soit du point de vue cinématographique ou vidéo-ludique.

L’injustice est corrigée avec un reboot explosif au cinéma (qui prend autant de libertés vis-à-vis du comic-book original qu’il lui rend hommage, n’en déplaise aux puristes), et sa prolongation directe en jeu vidéo : The Amazing Spi-

der-Man. Plutôt que réaliser un jeu basé sur l’histoire du film, les scénaristes ont préféré raconter la suite de celui-ci, ce qui s’avère être une idée sympathique, même si elle pousse le joueur à d’abord voir le film avant de se lancer dans le jeu (ce n’est pas obligatoire, bien sûr, l’intrigue reste dans l’ensemble relativement basique). Si le gameplay reste en général du déjà-vu (un monde ouvert

avec des déplacements d’immeubles en immeubles, des combats chorégraphiés et des plates-formes, des quêtes annexes…), le tout est réalisé efficacement, les mouvements sont fluides et les contrôles agréables, les graphismes sont très corrects, et on se retrouve très vite happé dans l’univers de l’araignée, ce Manhattan rempli de bandits à corriger et de secrets à découvrir…

97 jeux vidéo

Jeux VidéoNews Hiroyuki Ito à la tête de FF15 ?

Si le nom ne fait pas « tilt » tout de suite, ne vous inquiétez pas, sachez simplement que ce monsieur a occupé des places de réalisateur et de game-designer sur les Final Fantasy 6, 9, 12, Tactics… Excusez du peu ! De ce que l’on sait aujourd’hui, Final Fantasy quinzième du nom est attendu comme un titre phare pour les consoles Next-Gen (PS4 et XBOX720),

c’est-à-dire pas pour tout de suite, mais le fait de retrouver à la production une figure emblématique qui a travaillé sur les épisodes les plus respectés (au moins en terme de scénario et de background) de la série est un bon signe pour tous les fans qui commencent à se lasser du ton super-héroïque/manga que connaît la franchise depuis quelques années.

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La fin des Freemiums ?

Les « freemiums », ces jeux qui pullulent sur Facebook et autres réseaux sociaux, dont le principe est de proposer un contenu gratuit aux joueurs, qui pourront par la suite payer pour obtenir plus de bonus ou d’options de jeu, risquent bel et bien de connaître leur dernière heure. A l’image de Zynga, la société responsable du bien connu Farmville, et qui a perdu 70 % de sa valeur en bourse ces derniers mois, ou encore de OMGPOP, qui a créé Draw Something et dont le succès a à peine duré quelques semaines avant de sombrer dans l’oubli. Les analystes sont formels : crise oblige, les gens ne sont plus enclins à payer pour obtenir des bonus d’ordre immatériel, et se contentent par conséquent de la partie gratuite que les jeux mettent à leur disposition.

Ouya des jeux, y’a du plaisir

Alors qu’il n’est plus à prouver que la scène indépendante du jeu vidéo est devenue tout aussi importante que celle des grosses productions (voir le succès de MineCraft, Super Meat Boy et autres Angry Birds si besoin est), voilà qu’on nous annonce l’arrivée d’une console de salon « alternative » spécialement conçue pour les éditeurs indépendants. Basée sur l’OS Android et intégrant une puce Tegra 3, à l’instar de la plupart des tabletpc actuellement disponibles, le projet un peu fou est en passe de devenir réalité grâce au financement collaboratif via le site Kickstarter.com. Près de 40 000 personnes ont ainsi fait des promesses de don pour un total d’environ cinq millions de dollars à l’heure actuelle, ce qui est un bon signe pour l’avenir de la console indie. La Ouya devrait donc voir le jour aux alentours du mois de mars prochain, et a toutes les chances de séduire suffisamment de joueurs pour devenir rentable rapidement, avec un prix initial assez faible, de même que des jeux à prix réduit voire quasiment gratuits, et une mise initiale finalement peu élevée pour les éditeurs, financement collaboratif aidant.

99 jeux vidéo

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Par maxime le bras

l a c o L

le film de Terence “Tesh“ Chevrin Le synopsis

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(Interdit au moins de 12 ans)

Dans un futur proche, la Nouvelle-Calédonie est une terre déserte, ravagée par un virus qui transforme ses habitants en créatures déshumanisées, assoiffées de sang. Alors que les rescapés s’éloignent de Nouméa vers Païta pour fuir à bord de cargos, un jeune homme, Miko, se dirige seul, sabre au flanc, vers une capitale livrée aux flammes et aux « infectés », transportant sur lui un objet mystérieux qu’il est prêt à défendre au péril de sa vie…

Un film apocalyptique La peur et la tension sont au rendez-vous, incontestablement. Caméra à l’épaule, Terence Tesh Chevrin nous embarque avec lui dans une Nouvelle-Calédonie dévastée, livrée à la barbarie. Les « infectés », le visage rongé et les yeux révulsés par la maladie, tuent à coups de crocs tous les bien-portants qui ne courent pas assez vite pour leur échapper. La brousse et ses herbes hautes sont une savane au milieu de laquelle un prédateur peut surgir à chaque instant et la vision de Nouméa, transformée en une ville fantôme avec ses rues parfois désertes et ses places jonchées de cadavres, vaut à elle seule le détour. En bref, un film d’un genre et d’une qualité inédite pour le Territoire !

Si le réalisateur préfère ne pas insister sur les idées que son film véhicule, il serait difficile, après visionnage, de ne pas en décrypter certaines. En effet, au-delà du divertissement, Terence Tesh Chevrin nous livre ici une œuvre nourrie de ses craintes, un film d’anticipation quasi sans dialogues, mettant en scène des habitants qui s’entretuent, dans un pays d’une beauté rare et pourtant ravagé par le feu. Avec ses métaphores, Ni 28 nourrit le débat et y jette une lumière différente. Le cinéma est aussi fait pour ça.

Premier film d’une trilogie Ambitieux, Terence Tesh Chevrin ne compte pas se limiter à ce seul film et a déjà achevé l’écriture de « Ni 28 - Strate II », un préquel narrant les évènements précédant le premier film. « Ni 28 - Strate III » sera quant à lui l’épilogue de la série. Deux projets lourds comprenant des cascades, des manifestations, des effets spéciaux… Le tournage de la Strate II devrait commencer début 2013.

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Making Of

Local

Au cours de son périple, le héros se retrouve réfugié dans une cuve sous une éolienne. La construction de ce décor a été de loin la plus importante du film. Elle s’est menée durant le tournage, alors que le doute de pouvoir l’achever était encore présent. Tout a été mis en place dans le garage familial. La chance d’avoir trouvé les matériaux de récupération (peinture, palettes de bois et récup en tout genre, à la fois pour la construction et pour la décoration), ainsi que l’ingéniosité du constructeur et accessoiriste Mathieu Tremblais, a permis à l’équipe d’achever sa réalisation la veille des deux jours alloués au tournage des séquences de la cuve. Le raccord physique a, quant à lui, été réalisé sur un terrain de Nakutakoin, au pied d’une éolienne, où l’équipe avait creusé un trou et installé une trappe, d’où pouvaient sortir et entrer les comédiens.

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Pas encore construit, déjà effondré La présence du pont de Ko Wé Kara, effondré sur la voix de circulation, est une des belles surprises FX du film. Mais il faut savoir que le pont n’était même pas encore construit au moment du tournage.

L’équipe a fait des recherches précises quant à son emplacement, son aspect (via les plans d’architectes) et sa couleur, pour ensuite le créer numériquement (matte-painting), puis le détruire et l’abîmer. « On ne pouvait zapper la présence du pont puisque le film se passe dans un futur proche », explique Terence. Le souci du détail quoi !

Une équipe d’amateurs passionnés Pour des questions de budget et de moyens, l’équipe était en grande partie composée d’amateurs et de passionnés. La majorité des petites séquences ont été tournées à la sortie du travail des techniciens, de 16h à 18h. Ce rythme constant a obligé l’équipe à être créative, à aller à l’essentiel dans la mise en scène. En ce qui concerne les grosses séquences, elles étaient tournées le week-end. « Obtenir un Nouméa désert, ça n’a rien d’évident. Nous devions parfois patienter des heures, attendre l’instant « T » durant lequel plus aucune voiture, plus aucun passant n’était présent à l’image.

C’est aussi pour ça que nous avons travaillé essentiellement avec des amateurs : il fallait être capable d’accepter des situations de tournages particulières et éprouvantes. »

103 cinémust

Tourné fin avril 2011, quelques semaines avant le Festival de La Foa, le film durait théoriquement 1 heure, mais pour convenir aux critères du festival (30 min. maximum), seules les séquences résumant l’essentiel de l’histoire furent montées et travaillées. Ce n’est que fin 2011, après avoir reçu une subvention de la Province Sud, que la post-production du film entier a pu être mise en place.

Projeté le 4 juillet dernier au Rex devant 200 personnes, Ni 28 - Strate I/III sera prochainement disponible en DVD+Blu-Ray et peut-être (on l’espère !) proposé dans différentes salles du territoire.w

Coming soon

PACIFIC RIM 104

On s’en souvient, il y a quelques années, Guillermo Del Toro passait les reines du projet « The Hobbit » à Peter Jackson pour se consacrer à un projet plus personnel : « Pacific Rim ». A l’occasion du Comic Con 2012 à San Diego, le réalisateur de « Hellboy » a présenté les premières images d’un film qui risque de mettre Goldorak, Patlabor et autre Gundam aux rayons

des antiquités. Prévu pour l’été 2013, « Pacific Rim » met en scène une guerre entre les Kaiju, créatures monstrueuses surgies des flots et de gigantesques robots, les Jaegers, contrôlés simultanément par deux pilotes qui communiquent pas télépathie. Alors que la défaite paraît inéluctable, les forces armées qui protègent l’humanité n’ont d’autre

choix que d’avoir recours à deux héros hors normes : un ancien pilote au bout du rouleau et une jeune femme en cours d’entraînement qui font équipe pour manœuvrer un Jaeger légendaire, quoique d’apparence obsolète. Ensemble, ils incarnent le dernier rempart de l’humanité contre une apocalypse de plus en plus imminente… Bref, ça promet !

Le coin des séries

sleepy hollow

Après Sleepy Hollow, le film de Tim Burton sorti en 1999, les Chaînes CW et FOX sont actuellement sur les projets de séries télévisées inspirés de la nouvelle écrite par Washington Irwing au 19ème et narrant les aventures d’Ichabod Crane, inspecteur new-yorkais débarquant en Nouvelle-Angleterre pour résoudre une enquête impliquant des cadavres retrouvés sans tête. D’un côté, CW a engagé Grant Scharbo et Patrick Macmanus, les auteurs de Missing (déjà annulée) pour orchestrer la modernisation de l’intrigue : Ichabod Crane sera cette fois un agent du FBI... De l’autre, FOX a fait signer deux

mastodontes du script hollywoodien : Roberto Orci et Alex Kurtzman. Les deux hommes sont responsables des scripts de Transformers et Star Trek au cinéma et ont l’habitude de travailler pour la télévision puisqu’on leur doit les scénarios d’origine d’Hawaï Five-0 et Fringe.

Dans leur version, Ichabod Crane collabore avec les autorités de Sleepy Hollow pour maintenir la paix dans la ville.

La FOX a déjà commandé un épisode pilote. Malgré le léger avantage de son concurrent, la chaîne de la Warner Bros parviendra-t-elle à rattraper son retard ?

Réponse dans quelques mois…

NOUVEAU

JEEP COMPASS

LIBRE ET AUTHENTIQUE 105 cinémust

Photo non contractuelle.

À PARTIR DE 3 090 000 F

US AUTOMOBILE 192, de rueMagenta J. Iékawé - PK4 - Tél. : 43 77 09 - Email : usa@hgj.nc SODAUTO : Aérodrome - Nouméa - Tél: 43 : 2577051905- Fax - E-Mail : sodauto@hgj.nc

Nos agents : Parking du- 27 Nord Tél. : Nord 47 50 automobile Tél. : 47 10 / ALV Poindimié - Tél. : 42 58 00 Nos agents : Nouméa technic auto 27 12-/ Parking - 47 60 50 60//GN GN Automobiles KoumacKoumac - 47 10 05 /-ALV Poindimié - 4205 58 00

Quoi de neuf sur le caillou ?

vie des entreprises Les nouveaux restos, les nouvelles boutiques, les bons plans et les adresses à connaître...

C’est ici !

© photos Thomas Guiarioni et Sophie Vuillard

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Les bonnes adresses du Royal Tera Il fait bon vivre en ce moment au Royal Tera. On ne vous parle pas du spa (déjà fait !), ni même de l’hôtel (le formidable décor du shooting mode de ce numéro !), mais du restaurant La Pirogue, du salon de thé l’Escale et du café-théâtre le Deck qui ont récemment ouvert leurs portes au rez-de-chaussée de l’établissement. Discret, l’ensemble a néanmoins tout ce qu’il faut pour devenir un nouveau « place to be » !

Le restaurant la Pirogue est une invitation au voyage et à la découverte des saveurs des 4 coins du monde au travers de plats originaux (« Pressé de chèvre », « Chiffonnade de magrets de canard » et autres « Sucettes de profiteroles revisités » ne sont qu’un avantgoût de ce qui vous y attend). Le salon de thé l’Escale est, à toute heure, une invitation à la détente et à la gourmandise, avec son choix de thés, d’infusions, de viennoiseries et de pâtisseries. Pour finir le voyage, le café-théâtre Le Deck est un endroit cosy à la lumière tamisée, dans lequel il fait bon dîner le soir ou déguster un cocktail avec, au choix, la vue sur l’océan ou sur les artistes qui se produisent sur scène.

Contact : 140 Prom. Roger Laroque - Anse Vata – Tél. : 29 64 00

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Quoi de neuf sur le caillou ?

vie des entreprises Hestia Gouvernantes : faut qu’ça brille !

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Happy Box Pacifique :

plaisir garanti !

Déclinée en six thématiques (Bien être Privilège, Instant Détente, Escapade Romantique, Table Gourmande, Sports Aventures et Prêt-à-Porter) la Happy Box est un coffret contenant un chèque cadeau et un livret d’informations déclinant la liste des entreprises participantes (magasins de prêt-à-porter, bijouteries, centres esthétique, hôtels…).

Enfin un cadeau qui plaira à coup sûr !

Points de vente : Librairie As de Trèfle, 5ème km.

Compact Megastore, Centre-Ville

De manière ponctuelle ou régulière, Hestia Gouvernante intervient depuis 5 ans chez des particuliers qui, en toute confiance, confient le bon soin de leur intérieur à des intervenants professionnels et équipés.

Rien ne leur échappe, pas même les acariens, moisissures et autres saletés invisibles à l’œil nu. Plus que de la propreté, une hygiène parfaite ; une simple démonstration avec bac transparent suffit à convaincre.

Quant à l’aspect administratif, tout est pris en charge !

Renseignements au 75 12 33 ou sur hestia-gouvernantes.com

07 sommaire

Quoi de neuf sur le caillou ?

vie des entreprises

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Boutique Savage : axée 100% access !

Du côté de la galerie marchande de Port-Plaisance, la nouvelle boutique Savage est une adresse à connaître. On y trouve un large choix d’accessoires (pailletés, colorés, bref originaux !), des bijoux fantaisies aux sacs à mains, en passant par les parapluies, les foulards, les barrettes, les coques de téléphones, les pochettes à maquillage, les portefeuilles… On en passe et des meilleurs ! Mais en résumé, si vous êtes une femme entre 7 et 77 ans ou un homme en quête d’un cadeau (pour une femme toujours entre 7 et 77 ans !), vous êtes assurés d’y trouver votre bonheur !

Galerie Port Plaisance Ouvert du lundi au samedi de 9h à 18h30

World of Feng Shui à Ducos Le Centre Le 25 août dernier, World of Feng Shui ouvrait ses portes à Ducos. Science ancienne qui tire ses racines dans la vision chinoise de l’Univers, où toutes les choses sur Terre sont classées en cinq éléments de base, le Feng Shui est aussi un art : celui d’organiser la vie immédiate et son espace de travail pour renforcer équilibre vital et harmonie. Ainsi, le magasin World of Feng Shui propose des produits pour harmoniser, protéger, activer les maisons, les bureaux… pour que la vie soit plus équilibrée, sans embûches.

Ducos Le Centre - Forum – Tél. : 70 18 68

Placer un Bouddha riant chez vous pour vous assurer richesse et bonheur.

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Maud ESTRADE

Audioprothésiste diplômée d’état

Correction auditive

Tél.: 27 30 50

centredelaudition@gmail.com

Face à la gare maritime 19, rue Jules Ferry - Centre Ville BP 17 311 - 98 862 Nouméa Cedex

Quoi de neuf sur le caillou ?

vie des entreprises SmartToilet Si vous vous êtes déjà rendu à la rubrique High Tech de ce numéro (P. 88), vous aurez sans doute pris le temps de lire la description détaillée des sièges de toilettes nouvelle génération proposée par la société SmartToilet, dont le point de vente a tout récemment ouvert ses portes route de l’Anse Vata. Lumineux et design, le magasin propose également une sélection de savons et d’encens bio.

SmartToilet 79 Rte de l’anse-Vata ­– Tél. : 25 20 44

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Salon Electropac à noter : les 27 et 28 septembre prochain, le salon Electropac (société spécialisée dans le matériel électrique) accueillera une dizaine de fournisseurs venus d’Europe afin qu’ils puissent présenter leurs nouveaux produits (protection habitat tertiaire et industriel, câbles, appareillage, lustrerie…). L’événement est dédié à l’inauguration du nouveau bâtiment : depuis le 2 juillet, l’espace de vente d’Electropac est en effet passé de 600m² à 1500m² (agrandissement du show room et de l’espace de stockage). Le 28 septembre aura également lieu le tirage au sort du grand Jeu Electropac et la remise des lots : un quad, un écran plat, un iphone etc.

2 rue Bon, Trianon (route de l’Anse Vata) Tél. : 27 36 90

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Quoi de neuf sur le caillou ?

vie des entreprises

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« Journée de la Tendance » Modulia

Pas moins de 40 architectes avaient rendez-vous fin juin au Golf de Tina, pour participer à la Journée de la Tendance organisée par Modulia, spécialiste entre autres des sols et revêtements pour particuliers et professionnels. En présence de marques européennes incontournables du secteur tels que Marazzi et Weber & Broutin, les invités ont pu assister à la présentation en exclusivité des nouvelles tendances en matière de carrelage, de décoration et de produits techniques. L’exposition des dernières nouveautés était suivie d’une initiation au golf l’après-midi… ou comment allier travail et plaisir !

21, rue Fernand Forest - 26 26 26

Toilettes à compost Ce n’est plus un secret, l’heure est au développement durable et les toilettes sèches, ou toilettes à compost, offre une solution hygiénique, inodore et simple d’entretien pour recycler urines et matières fécale en humus. à Dumbéa, Elad Halfon, plombier depuis 15 ans, a lancé son entreprise « toilettes à compost » il y a maintenant 2 ans et propose un système de toilettes comprenant système de ventilation et chambre de compostage, capable de vous procurer un amendement de qualité pour vos sols. Les conditions sont simples à réunir : apport de carbone (copeaux de bois / papier toilette), apport d’azote (urines / matières fécales), température supérieure à 13° et humidité, présence naturelle de micro-organismes et de bactéries aérobies. Encore inédit sur le territoire, ce système est déjà très développé ailleurs dans le monde, comme chez nos voisins Australiens.

Renseignements Elad HALFON – 75 52 69 http://www.toilettesacompostnc.com

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Quoi de neuf sur le caillou ?

vie des entreprises

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16ème Festival Femme Funk : le 6 Octobre 2012 au centre Tjibaou En 2011, le FFF réalisait l’une de ses plus belles éditions et revient cette année encore avec de la scène artistique locale et internationale. Notons la présence de la chanteuse Anaïs, du duo Prem Sé ou encore de la chanteuse soul Ngaire originaire de Papouasie Nouvelle-Guinée. Outre la programmation du festival, cette édition fera la part belle au respect de l’environnement et à la limitation des impacts nuisibles pour ce dernier (optimisation des transports, réduction des déchets, maîtrise de la consommation d’énergie…), afin de mieux relayer les actions environnementales menées actuellement en NouvelleCalédonie. Un festival dans l’air du temps !

ZeShop : gogo gadgeto !

L’humour et le fun sont maîtres au nouveau magasin ZeShop, ouvert depuis le 1er août au Quartier Latin. En plus d’un grand choix de gadgets rigolos et pratiques, la boutique propose des T-shirts, sweets, casquettes et autres sacs à dos de la marque parisienne « Goéland », réputée pour ses imprimés drôles et décalés. Homme, femme, enfant, il y en a pour tous les âges !

Rue Charles Verneilh, Quartier Latin Tél. : 28 58 18

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Quoi de neuf sur le caillou ?

vie des entreprises Peugeot 208 :

la saga continue

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Certaines voitures traversent les générations sans jamais cesser d’être une référence.

Chez Peugeot par exemple, la 205, produite dès 1983, s’est vendu à 5 millions d’exemplaires et sera la voiture la plus produite jusqu’à ce que la 206, créée en 1998, ne batte ce record en 2006 avec 6 millions d’exemplaires. L’année suivante, la 207 est la voiture la plus vendue en Europe. C’est donc avec une certaine émotion que, sur invitation de Menard Automobiles, nous sommes allés découvrir en avant-première la nouvelle Peugeot 208 (3 et 5 portes), petite dernière qui n’a rien à envier à ses aînées. Esthétisme extérieur et intérieur, confort, innovation technologique, respect de l’environnement, toutes les données sont réunies pour faire de la 208 une nouvelle référence. A retrouver sur les routes de Nouvelle-Calédonie dès le 21 septembre 2012.

21, rue Jean Chalier – Tél. : 41 44 70

119 dĂŠco

déco Par sydélia guirao © photos : dr

Must vous invite à un voyage à travers le monde et le temps, à la recherche des architectures et décoration les plus inventives, afin d’inspirer votre propre créativité.

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Salon façon

musée moderne La « zénitude » d’une décoration peut parfois donner un peu de froideur à un intérieur. Ce salon, d’une demeure d’Amérique du Sud, a parfaitement réussi le challenge de lier chaleur et zen dans cette déco à l’allure de musée moderne. Un jardin de roche japonais au cœur de la pièce, la blancheur des murs et du sol apportent un encrage terrestre à la pièce, tandis que les tableaux colorés amènent un brin de folie et de fantaisie. Les meubles restent sobres, et la salle dans son ensemble épurée. Une belle idée à voler, pour ceux qui ont misé sur trop de design dans leur intérieur et désirent y remettre un peu de vie.

un salon enflammé

Nous avons eu suffisamment froid cet hiver pour penser à préparer le prochain! Designs, élégantes, modernes, la maison Focus crée et commercialise depuis près de 40 ans des cheminées contemporaines en acier et verre. Une soixantaine de modèles composent la gamme : cheminées suspendues, sculptées, encastrées ou encadrées… Pour les aventuriers, la Bathyscafocus, cheminée suspendue version « Hublot » semblant inspirée du Nautilus de Jules vernes, est

d’un encombrement restreint et propose un modèle au foyer fermé et pivotant, permettant d’orienter son ouverture à 360°. Pour les artistes, la gamme des Métafocus propose des portes sculpturales numérotées en acier rouillé ou en bronze et signées Dominique Imbert. Pour les romantiques, un feu de salon pour rappeler les soirées à la plage. La cheminée devient un élément de déco incontournable pour habiller son salon de vie.

121 déco

déco La jungle beach house 122

Cette maison sur pilotis se trouve à l’orée d’une forêt tropicale humide et d’un bord de mer. Pour sa construction, les concepteurs se sont inspirés de l’architecture Vedic pour trouver les meilleures solutions en matière de ventilation et d’énergie solaire. Ils ont utilisé un mélange de cadre de fer et de panneaux en aluminium afin de préserver l’environnement. La forme carrée permet de faire circuler toutes les énergies dans le salon, ce dernier étant le centre vide de la maison. Le niveau supérieur possède trois chambres et trois salles de bains. Le toit et le rez-de-chaussée sont ouverts sur la nature de façon à offrir le maximum de coins de relaxation.

osée et colorée

La maison des designers Cris et Marcelo Rosenbaum située à São Paulo au Brésil est un véritable puits à idées. La déco est osée, espiègle, elle utilise des bases sombres et froides ; murs noirs, ciment ciré, carrelage désuet gris et blanc, mobilier moderne et contemporain, et rehausse le tout avec des couleurs tenues apportées par des artefacts ramenés de voyages et des éléments de bois afin d’apporter de la chaleur et de l’humanité. Un style urbain-bohème, chaud et confortable, inspirant pour des esprits créatifs !

Les volets

Éléments de décoration à part entière, ils rentrent dans nos intérieurs pour donner un air de jardin d’hiver. Ils peuvent décorer un mur si on les accroche de part et d’autre d’un meuble ou d’un canapé, se détourner en tête de lit, ou séparer une pièce comme ici, une chambre de sa salle de bain. Ils peuvent être montés en paravent, délimiter des zones dans une grande pièce ou être détournés en range cd, en les retournant pour que les fentes soient inclinées du bon côté. Le caillou ne manque pas de volets récupérés sur des vieilles maisons coloniales, alors en route pour la récup !

Les livres 123 déco

Vous avez besoin d’une idée pour décorer les murs de la chambre de votre enfant, de l’entrée du salon, ou du bureau, mais pour l’instant le portefeuille fait grise mine ? Pas de panique, allez acheter quelques livres de seconde main aux cou-

vertures colorées, ou que vous recouvrirez de papiers colorés, et telle une tapisserie collez-les sur votre mur en dégradé de couleurs. Effet garanti. En plus d’une décoration, c’est une multitude de sujets de conversation que vous poserez sur votre mur !

déco

le canapé du futur La société de design « B-équilibre » a présenté un canapé aux couleurs naturelles, fait de rotin synthétique avec un cadre en aluminium. Sa particularité : être ultra modulable !

Vous avez l’humeur changeante et aimez que votre décoration le reflète ? Ce meuble est fait pour vous ! Son élégance

extraordinaire permettra d’orner avec luxe votre piscine, terrasse ou jardin et grâce à son design inspiré des pétales de fleurs, vous pourrez créer un bouquet de meubles différents et composer chaque fois que cela vous chante des espaces nouveaux qui vous ressemblent.

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une maison flottante Voici une maison flottante imaginée et créée par le studio de design et d’architecture Steeltec37. Construite sur le lac Lusatian en Allemagne, sa structure est faite à partir de tubes en acier rectangulaires, la matière principale utilisée est l’aluminium.

La maison est conçue pour utiliser au maximum les énergies naturelles. Le toit prend la forme d’une voûte, afin de rappeler l’image des voiliers, et pour tous ceux qui rêvent de vivre sur l’eau, sachez qu’un complexe d’appartements flottants est sur le point de voir le jour aux Pays-Bas sous le nom de « The Citadel new Water ».

www.atelierb2.com

OFFREZ-VOUS UNE PARENTHÈSE DE BIEN-ÊTRE ET DE SÉRÉNITÉ

Parcours Aquatonic® : un lieu unique en Nouvelle Calédonie pour profiter des bienfaits de l’eau et des bulles sur près de 300m².

Découvrez un concentré de détente et de bien-être : Parcours Aquatonic® Sauna & Hammam Aquagym & Aquacycling Soins du visage Modelages du corps Solutions Minceur Soins d’eau Beauté des mains / pieds Epilations

Horaires du bassin Lundi au vendredi 08h - 19h30 Samedi 08h - 12h et 13h - 17h30 Dimanche 09h - 12h et 13h - 17h30

Contactez-nous : spa-aquatonic@aquaroyalspa.nc

Horaires d’ouverture Lundi au vendredi 08h - 20h Samedi 08h - 18h Dimanche 09h - 18h Informations & Réservations 140 Promenade Roger Laroque Val Plaisance - Nouméa Tél. 29 64 44 - Fax 29 64 45

Retrouvez-nous sur : www.aquaroyalspa.nc

déco Hi-tech Par sydélia guirao

Une poubelle motorisée Fantasme de geek? Pas vraiment puisque cette poubelle existe...

Mise au point par un modder japonais qui utilise le surnom de F.R.P, la poubelle motorisée est capable de récupérer toute seule, des objets que l’on jette dans sa direction. Imaginez-vous confortablement installé dans votre canapé devant un bon film, sirotant tranquillement votre boite de soda préféré. Une fois le soda fini, pas besoin de vous lever, jetez la boite. La poubelle se déplacera vers elle et la réceptionnera au vol. Incroyable !

Autre type de découverte, la poubelle « Open Up », avec une ouverture automatique grâce à son système infrarouge. Le couvercle s’ouvre et se referme instantanément dès que vous en avez besoin...

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Un tapis digital qui réagit à vos mouvements Système interactif d’animation visuelle extraordinaire par projection sur le sol. Attiré dans un premier temps par un mouvement graphique, le spectateur découvre pas à pas, son influence sur l’image. La palette d’effets interactifs et les contenus visuels sont réalisés sur mesure avec toutes les variations possibles (logos, images, vidéos…).

Fauteuil home Cinéma LoftGoods, une entreprise de la Caroline du Nord, a intégré un système de hautparleurs à la chaise. Puis le concept a été poussé pour les amateurs de jeux vidéo et de cinéma maison, afin que ceux-ci puissent profiter au maximum de leur expérience virtuelle. LoftGoods a créé, de toutes pièces, une première génération de chaises Gamepod. Le concept est simple : un système de haut-parleurs et de minuscules moteurs permet de recréer les vibrations et les mouvements associés au jeu vidéo ou au film regardés. De quoi ravir les vrais amateurs de sensations virtuelles !

127 déco

Des boutiques à l’heure de la technologie Un nouveau concept de déco pour les boutiques : la vitrine intéractive.

Un écran holographique recouvre la surface de la vitrine permettant aux passants d’interagir directement avec le contenu vidéo projeté sur l’écran : renouveler la vitrine, obtenir des informations, changer les vêtements d’un mannequin, se maquiller sur un miroir virtuel, regarder un mannequin holographique défiler derrière la vitre… Voici l’avenir de la PLV (Publicité sur le Lieu de Vente). Un système susceptible de se démocratiser rapidement, le pouvoir d’attractivité de ces vitrines faisant de cette technologie un outil particulièrement efficace du marketing direct.

Frigo intelligent 128

Avec son screen Fridge, il offre au propriétaire de regarder la télévision grâce à une connexion sans fil haute vitesse.

L’écran tactile de 15 pouces permet de naviguer sur Internet, de passer des appels téléphoniques, d’écouter la radio ou de la musique en format MP3.

Une caméra intégrée offre la possibilité de laisser des messages vidéo aux membres de la famille. Électrolux a poussé la formule encore plus loin en permettant de mémoriser l’inventaire des aliments à acheter au supermarché. D’autres entreprises, comme la société coréenne LG, offrent également leur version du réfrigérateur intelligent.

Tables tactileS Quelques concepteurs commencent à intégrer des écrans à cristaux liquides et des ordinateurs à leurs meubles.

Martin Kufner, un designer autrichien, est l’inventeur de la « _able », la table à café multimédia. Munie d’un ou de deux écrans tactiles connectés à Internet par un récepteur Wi-Fi, les convives peuvent surfer sur le Web, consulter le guide horaire de la télévision ou télécharger de la musique. « C’est le début d’une ère nouvelle », selon Martin Kufner. « Les possibilités sont infinies ! ».

129 dĂŠco

déco FOCUS

Par maxime le bras © plans : A.E.N

130

A.E.N.

(Architecture & Etudes Numériques)

© marc le chélard

LE Cabinet d’architecture

Créé il y a 7 ans par l’ingénieur Samuel Beraha et l’architecte Jean-François Beltrano, le cabinet AEN a, dès ses débuts, connu l’engouement en répondant à une demande locale en termes de modernité et de design, pour l’architecture extérieure comme pour la décoration intérieure.

Etoffée par l’arrivée du concepteur Alexander Oesterlin en 2007, l’équipe signe aujourd’hui des réalisations à la fois contemporaines, créatives et audacieuses, à l’inspiration contagieuse !

« Une chambre de maître mariant design épuré et noblesse des matériaux » La tête de lit en bronze, conçue par le cabinet, a été exécutée en Australie via le procédé Axolotl ©. Breveté, celui-ci permet de faire de la projection métallique sur n’importe quel type de support (pvc, bois…). Un matériau luxueux très en vogue chez nos voisins.

© marc le chélard

Dans cet appartement privé du OuenToro, l’aspect épuré du design laisse toute la place aux matériaux nobles de s’exprimer, comme ce parquet en chêne de Tasmanie importé de Nouvelle-Zélande.

La salle de bains haut de gamme comporte une baignoire Victoria & Albert.

Vous remarquerez peut-être qu’elle ne comporte pas le moindre joint et pour cause, cette coquille d’œuf géante est taillée dans une seule et même pièce d’acrylique.

131 déco

« Un appartement décloisonné où les espaces communiquent entre eux » 132

Dans cet appartement privé, la communication recherchée des différentes pièces de vies (salons, bar, cuisine, salle à manger…) est soulignée par la mise en place, dans les deux salons, de trois piliers. En plus de séparer les différents espaces sans obstruer la lumière, ces trois piliers sont une marque de fabrique chez AEN. Leur signature.

Le cloisonnement de la cuisine a été fait avec un calepinage particulier en oberflex : un plaquage bois véritable traité couleur cendrée et retravaillé à la main pour lui donner un aspect ciselé.

L’espace bar est travaillé avec des matériaux modernes : du corian© pour les parties horizontales et de la laque auto pour les parties verticales. Un backlight, réalisé en verre opale, permet de changer l’ambiance lumineuse autour du bar.

© Christian Bruges

Le faux plafond a été agrémenté de différents niveaux d’éclairage, des rubans de led pour l’aspect déco ainsi qu’une casquette feuilletée servant d’éclairage secondaire.

Les luminaires en suspension, outre leur touche décorative, délimitent les différents espaces à la nuit tombée.

133 dĂŠco

« Une villa, deux architectures. » Situé sur l’un des points les plus élevés de Nouméa et jouissant d’une vue à 360 degrés sur la mer, cette villa privée a permis de travailler avec la lumière et la ventilation naturelle.

L’équipe a joué sur les volumes en créant une villa avec deux corps séparés, un coin jour et un coin nuit. La toiture de la partie jour étant complètement encas-

© Christian Bruges

134

trée, elle est invisible, tandis que la partie nuit est surmontée d’un monopan avec débord de toiture d’un mètre. Deux aspects architecturaux qui donne son côté moderne à la villa.

Le choix des matériaux exprime un certain retour aux sources, avec du béton pour le côté inerte et du bois brut pour le deck, travaillé sans vernis ni lasures et qui

grisera naturellement avec le temps. Les braquons de soutien en métal ajoutent une touche contemporaine. à mi-chemin entre l’ingénierie, la déco et l’architecture, la mise en place d’une joue balancée servant de mur de refend signe la maison d’un point de vue design.

« Des bureaux modernes style Beaubourg. » Ce projet d’aménagement intérieur pour un groupe privé comprenait 700m2 de bureaux avec 200m2 de réserve.

L’équipe a choisi de ne pas installer de faux-plafond, laissant apparaître tous les organes fluides et électriques avec des chemins de câbles et des gaines zinguées, sur un fond de sous dalle peint en gris anthracite. Ambiance esthétiquement industrielle !

© Patrick Chalas

Ici, l’espace a été entièrement travaillé sur la clarté. Des châssis vitrés offrent des vues traversantes sur plus de 100 mètres et la lumière naturelle domestiquée pénètre au plus loin dans les locaux.

Ne répondant à aucun critère de mode actuel, les locaux dégagent un aspect étonnamment intemporel et épuré, qui ne passera pas avec le temps.

Entretien avec Samuel Ber aha, gér ant d’A.E.N. MUST : Y’a-t-il un style A.E.N. ?

Samuel Beraha : Nous sommes réputés pour réaliser des projets d’architecture très techniques pour l’extérieur et plutôt « décodesign » pour l’intérieur. Généralement, lorsqu’on nous laisse nous exprimer sur un projet, nous ne restons pas dans notre périmètre de sécurité et nous préférons prendre des risques, tout du moins des risques maîtrisés puisque nous nous entourons à chaque fois de bureaux d’études spécialisés. Ce qui nous permet de livrer des réalisations audacieuses et modernes. Nous sommes en recherche permanente d’innovations en termes de gestion de l’énergie, de mise en place des matériaux, d’intégration à l’environnement… Les gens viennent nous voir pour notre regard sur l’architecture ou quand ils ont vu quelque chose dans un autre pays, au cours d’un voyage, et qu’ils voudraient transposer ici, à leur habitat, leur siège social, leur entreprise…

M. : Travaillez-vous essentiellement pour des particuliers ?

S.B. : Non, nos plus gros clients sont des groupes privés. Il y a également les marchés publics. Les particuliers sont en quelque sorte triés sur le volet car il s’agit de chantiers particulièrement délicats. Ce sont des projets personnels, des projets de vie. A chaque fois que nous acceptons un chantier, c’est en étant certain de contrôler l’envergure du projet et le temps que nous pourrons y consacrer. Ces projets touchent les gens dans leur intimité. Une maison d’architecte, c’est du sur-mesure, c’est un temple, un espace protégé dans lequel la famille va pouvoir s’exprimer selon ses habitudes de vie, et chaque famille est très différente.

M. : Quelle est votre méthode de travail ?

S.B. : On emploie une méthode très tramée qui agit en forme d’entonnoir. On va du général au particulier : plus on avance dans le projet, plus on resserre l’étau autour d’une solution unique. C’est une méthode itérative, de la dichotomie, ça commence toujours par l’expression des besoins du client.

135 déco

M. : Est-ce une consécration d’être en charge de la réalisation du musée de la seconde Guerre Mondiale ?

S.B. : Dans la vie d’un cabinet, c’est assez exceptionnel. La ville de Nouméa nous a fait confiance et ce projet a été riche intellectuellement parlant car il nous a poussé à faire beaucoup de recherches et à avoir un regard très urbanistique. Un musée est à but pédagogique et culturel et s’adresse à une population très large, notamment les scolaires, les touristes… C’est galvanisant de créer un bâtiment qui va être ainsi fréquenté. Il s’agit donc d’un projet passionnant, parce que symbolique, mais nous ne perdons jamais de vue que ce n’est pas le musée en lui-même que les gens iront voir mais bien les objets qui y seront exposés. Il doit être capable de s’effacer.

« Une vision de l’espace claire et moderne. »

Le défi de ce projet était d’offrir à un archétype d’architecture calédonienne (villa en bipan à étage) un cachet plus design.

Pour ce faire, l’équipe a créé une terrasse en porte-à-faux et un grand monopan en sur-toiture. L’installation de murs cloison-

nant la villa a permis à l’équipe de s’exprimer au niveau des matériaux en utilisant entre autre de la brique lamellaire, ainsi que de l’acier et du bois. Le résultat : des façades autrement plus rythmées.

Dans la chambre, une fenêtre adopte la forme d’un châssis triangulaire et un miroir

prend son exemple de l’autre côté de la pièce, éclatant les volumes et poussant les perspectives au plus loin. Les sols ont été travaillés en parquet de Mirebeau.

La chambre en elle-même est un espace très ouvert, sans cloisonnement, offrant une vision de l’espace clair et moderne.

136

« Un voyage dans le temps » (Musée de la seconde guerre mondiale, 2013, Centre ville) En 2011, le cabinet a été sélectionné pour réaliser le musée de la Secondaire Guerre Mondiale à l’intérieur d’une des seules demi-lunes de 1940 encore présentes sur le Territoire. Un volume original mais qui présentait alors l’inconvénient, du fait de la simple peau métallique qui recouvrait ses membrures, de se transformer en véritable étuve sous la chaleur du soleil.

Aussi, l’équipe dut, en premier lieu, réaliser une étude thermique avec le concours du cabinet Geome puis créer une double peau tout en veillant à ce que le galbe et l’aspect métallique d’origine soient respectés.

Le musée comporte une extension, reconnaissable par une grande joue maçonnée de 6 mètres de haut venant contrebalancer l’aspect demi-lune et qui servira de « sas temporel ». A leur arrivée dans le musée, les visiteurs découvriront d’abord un accueil aux volumes et aux matériaux modernes. Ensuite, passées les portes automatiques, ils pénétreront dans un tout autre univers, celui des années 40, avec les matériaux de l’époque : des grilles de déchargement en guise de garde-corps et des ventilateurs aux airs d’hélices de B-52. Un véritable voyage dans le temps qui ouvrira en début d’année prochaine.

07 sommaire

l’assietteGourmande Crème Brûlée au Foie Gras

Pommes Confites à la Cannelle et Mouillettes Une fois n’est pas coutume, pour cette troisième Assiette Gourmande, le chef Rodolosi nous fait découvrir une entrée aux airs de dessert. Originale et sophistiquée, mariant des saveurs sucrées et salées, voilà une recette qui charme et étonne les sens !

138

La recette Crème Brûlée au Foie Gras

Avec René Rodolosi, chef de l’Astrolabe

1 2 3 4

Ingrédients pou

x 150g de f r 4 p e r s o n n e s x 10 cl de laoie gras cru x ½ l de crè it x 4 jaunes me fraîche x 5 cl de vind’œufs x 30g de su blanc x Sel et po cre roux ivre

Mixer le lait et le foie gras. Clarifier le blanc des jaunes et réserver les jaunes dans un bol.

Ajouter le lait avec le foie gras, le vin blanc, la crème fraîche, le sel et poivre dans un bol avec les jaunes.

Bien mélanger le tout.

Cuir au four à 100°C pendant 1 heure.

Laisser refroidir. Une fois refroidie, ajouter le sucre roux sur la surface de la crème au foie gras puis brûler à l’aide d’un chalumeau.

139 assiette gourmande

Pommes Confites à la Cannelle x 3 pommes x 100g de sucre x Une cuillère à café

x x

de cannelle 10 cl de Ca lvados 20 g de beur re

1 2 3 4

Eplucher les pommes puis les couper en petits dés.

Faire revenir celles-ci, ajouter le sucre et laisser caraméliser.

Faire flamber au calvados puis ajouter le beurre.

Laisser cuire quelques minutes à couvert puis débarrasser. Servir tiède.

La recette (suite)

les mouillettes x Pain de x Beurre mie

Le dressage 140

Dôme de Caramel

1 2 3 4 5

Réaliser le caramel : sucre + 5cl d’eau + 1cuillière à café de jus de citron.

1 2

Couper le pain de mie en bâtonnet puis napper de beurre clarifié.

Cuir au four à 200 °C durant 5 à 7 minutes.

cre

x 250 g. de su x Eau citron x Jus de

Stopper la cuisson du caramel en plongeant le fond de la casserole dans un récipient d’eau froide.

Attendre que le caramel fasse un « filet ».

A l’aide d’une fourchette trempée dans le caramel, faire de petits allers-retours au-dessus d’un support (ex : un ramequin légèrement huilé).

Passer plusieurs fois en croisant pour former une sorte de treillis…

Décoller le dôme délicatement.

Le conseil

du chef

Servir avec un vin Muscat.

à vos fourneaux !

141 cuisine

agenda Culturel MEL, MEC*

Hommage à Adrien Ukane Trohmae, artiste peintre (1971-2010)

exposition

142

Les œuvres de l’artiste, empreintes d’une grande vitalité, ont été exposées à travers le monde.

Aujourd’hui, pour lui rendre hommage et pour faire écho à d’autres talents océaniens, l’exposition regroupe, sous forme d’une rétrospective, ses oeuvres éparpillées entre de nombreux mécènes et quelques institutions dont, notamment, l’ADCK-centre culturel Tjibaou avec son Fond d’art contemporain kanak et océanien. « Il y a douze ans, quand j’ai fait sa rencontre à Tingeting, il peignait debout sur sa toile. Absorbé par son oeuvre, il m’avait alors longuement parlé de ses sources d’inspiration : de la vie, de la danse et de la mort. A partir de sa gestuelle abstraite et de ses sources d’inspiration issues profondément de sa terre d’origine, de son environnement culturel riche, Adrien s’est ouvert une voie difficile, libre et indépendante. », Florence Rortrais, commissaire d’exposition.

* Mel, mec, « la vie et la mort » en langue drehu (Lifou).

Vernissage ouvert au public : le mardi 25 Septembre, à 18h entrée libre et gratuite.

Exposition temporaire : du mercredi 26 septembre 2012 au dimanche 24 Février 2013, Salle Kavitara, centre culturel Tjibaou

Septembre Octobre Novembre

De Jane Campion, 1992, 1h55, V.O. sous-titrée FR Avec Holly Hunter, Harvey Keitel, Anna Paquin et Sam Neill. 3 oscars 1994.

Au 19ème siècle, en NouvelleZélande, Ada, mère d’une fillette de neuf ans, s’apprête à suivre son nouveau mari au fin fond du bush. Il accepte de transporter tous ses meubles à l’exception d’un piano qui échoue chez un voisin illettré. Ne pouvant supporter cette perte, Ada accepte le marché que lui propose ce dernier : regagner son piano touche par touche en se soumettant à ses fantaisies.

Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles (400) Le 4 Octobre, à 18h15, Salle Sisia, centre culturel Tjibaou

cinéma

La leçon de piano

Tout doit disparaître, le monde peut attendre

Avec la participation exceptionnelle du Kaohsiung Museum of Fine Arts, Taiwan.

Vernissage ouvert au public : mardi 16 octobre, à 18h (entrée libre et gratuite) Exposition temporaire : du 17 octobre 2012 au 24 février 2013 salle Komwi, au centre culturel Tjibaou

143

exposition

Avec la participation exceptionnelle du Kaohsiung Museum of Fine Arts, Taiwan.

Cette exposition fait suite aux résidences d’artistes programmées entre le Kaohsiung Museum of Fine Arts (KMFA, ville de Kaohsiung, Taiwan) et l’ADCK-centre culturel Tjibaou, entre 2007 et 2008. Le projet regroupera des œuvres issues de la collection d’art du musée des BeauxArts de la ville de Kaohsiung. Il est aussi le fruit d’un échange culturel effectué en 2007, lorsque Susan Cochrane a présenté, pour la première fois, au KMFA une sélection du Fond d’art contemporain kanak et océanien (Across Oceans and Time. Art in the Contemporary Pacific).

L’exposition présentera quelques-uns des artistes les plus importants de Taiwan (Anli Genu, Walis Labai, Yuma Taru).

Elle résulte d’une mission entreprise au mois de mars, qui a reçu le soutien de l’ADCK, du musée de Kaohsiung et de Mme Tseng Mei-chen (département de la Recherche).

agenda

agenda Culturel

Septembre Octobre Novembre

THOMAS ENHCO TRIO Thomas Enhco au piano, Chris Jennings à la contrebasse et Nicolas Charlier à la batterie.

Les 24, 25 26 octobre au Conservatoire de Musique et de Danse de Nouvelle-Calédonie

concert

144

Thomas Enhco est né à Paris le 29 septembre 1988. Il commence le violon à 3 ans et le piano à 6 ans, étudiant le classique et le jazz sur les deux instruments. A 12 ans, il entre au Centre des Musiques/Didier Lockwood. Il compose et enregistre son premier album, « Esquisse », paru en mars 2006 chez Ames/Harmonia Mundi ; la même année, il est élu Talent du Fonds d’Action Sacem. Depuis, il donne de nombreux concerts en France et dans le monde entier (Chine Japon, Cambodge, Philippines, USA, Maroc, Algérie, Liban, Burkina-Faso…), au piano comme au violon, et est régulièrement l’invité des chaînes de radio et de télévision françaises. Il crée le spectacle « Le Jazz et la Diva Opus II », mis en scène par Alain Sachs (plus de 200 représentations en France), et fait partie du groupe Didier Lockwood and The Jazz Angels. Son deuxième album, Someday My Prince Will Come, sorti en juillet 2009 au Japon (Blue in Green/Universal) et en mars 2010 en France (Ames/Harmonia Mundi) est élu « Must TSF Jazz » et « Django d’Or », est un succès public, critique et médiatique.

Thomas Enhco, que le public calédonien a pu découvrir en 2011 au coté de Didier Lockwood, revient cette année avec Nicolas Charlier à la batterie et Chris Jennings à la contrebasse, aux côtés desquels il explore et mélange les éléments qui font sa culture (jazz, musique classique, pop et musiques du monde) avec une intelligence et une énergie fantastiques, pour un concert où son immense talent de pianiste est mis à l’honneur.

WAAN* DANSE / Franchir le pas

festival

Après avoir « fait grandir la danse », il est temps aujourd’hui de « franchir le pas », et c’est avec cette maxime que, les 10 et 11 novembre, le centre culturel Tjibaou vous invite à participer à la deuxième édition du festival Waan* Danse.

Durant deux jours, avec près de 14 troupes de danse pour un total de plus de 150 danseurs, le festival réunira dans ses espaces tous les genres chorégraphiques présents dans le pays, de la danse traditionnelle au hip-hop, en passant par la danse contemporaine, avec un mot d’ordre cette année : franchir le pas et marier les genres. Chaudron d’idées et de talents, le festival Waan Danse accueillera également de la danse internationale avec la venue de compagnies de France, d’Australie et de Nouvelle-Zélande. Deux journées de fête durant lesquelles vous pourrez prolonger l’ambiance du festival au coeur du village Waan Danse animé par l’association Kassiopée avec ses stands d’artisanat, de restauration et ses happenings improbables. Les plus petits auront aussi leur place et pourront découvrir la danse au travers de spectacles et d’ateliers confectionnés à leur mesure.

Cie Nyan (NC) et Cie Julien Lestel (France) – Le Sacre

* Contemporain :

Créations de Régine Chopinot de la Cie Cornucopiae (France) avec les Danseurs du Wetr (NC)

* Hip-Hop / contemporain : Cie Posuë – Mataora (NC)

* Solo chorégraphique contemporain avec projections : Cie Traversées – Mimésia (NC) * Acrobatie / danse traditionnelle kanak : Cie Violaine Maheu – ACRO DANSE K (NC)

* Hip-Hop / contemporain :

Cie Troc en Jambes – TROC EN JAMBES (NC)

* Théâtre jeune public :

Cie Cri Pour Habiter Exils – Maloya (NC)

* Danse traditionnelle / slam :

Paul Wamo et les Jeunes Danseurs Du Wetr – Shock ! (NC)

D’autres spectacles à venir… *Waan : « racine » dans certaines langues de l’aire coutumière Hoot ma Whaap.

Samedi 10 et dimanche 11 novembre au centre culturel Tjibaou

agenda

De septembre à novembre

* Contemporain / néoclassique :

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Ces mois-ci, à partager

au centre culturel Tjibaou...

EXPOSITION

septembre PATRIMOINE 01, 02 Journées du patrimoine THÉÂTRE / CRÉATION 13, 14, 15 Confessions d’un singe blanc - Cie les Artgonautes du Pacifique THÉÂTRE 20, 21, 22 Le destin de Cowadis - Cie le Chapitô

25/09/12 au 24/02/13 Mel, mec - Hommage à Adrien Ukane Trohmae, artiste peintre (1971-2010) Vernissage le 25/09

octobre CINÉMA 04 La leçon de piano De Jane Campion

novembre SPECTACLE 09, 10, 11 Festival Waan Danse avec « le Sacre » (Cie Nyian/Julien Lestel), Rù (Cie Posuë), Mawa Masks (Cie Zugubal)...

EXPOSITION 16/10/12 au 24/02/13 Tout doit disparaître Le monde peut attendre.

Vernissage le 16/10 - Avec la participation du Kaohsieung Museum of fine arts, Taiwan

ngan jila, la maison des richesses.

Pour plus d’informations : Renseignements : 41 45 45 www.adck.nc adck@adck.nc

agenda Culturel

Septembre Octobre Novembre

AGUIRRE,

la colère de Dieu

cinéma

1972, de Werner Herzog, avec Klaus Kinski, Ruy Guerra En 1560, une troupe de conquistadors espagnols descend de la montagne à la recherche de l’Eldorado. Mais l’équipée s’enlise dans les marais. Une plus petite expédition est alors constituée, placée sous la conduite de Pedro de Ursua et de son second, Lope de Aguirre, qui devra reconnaître l’aval du fleuve sur des radeaux. Aguirre, aventurier ambitieux et brutal, manoeuvre habilement pour proposer à ses compagnons un nouveau chef, le falot Fernando de Guzman, promu solennellement «empereur du Pérou et de l’Eldorado»...

SIGRIST refait l’actu

théâtre

146

One-Man Show/Café théâtre

le 14 novembre à 18h, au Théâtre de Poche

Frédérick Sigrist est (im)pertinent.

Dans son dernier spectacle, ce noir modéré, politiquement incorrect, souvent borderline, passe tous les sujets d’actu à la moulinette. Armé d’une plume acerbe et de textes ciselés, cyniques et terriblement perspicaces, ce Barack Obama du rire tire sur tout ce qui bouge, la droite, la gauche, la crise, les médias, la religion, le terrorisme, le monde, mais surtout lui-même. Un portrait quotidiennement remis à jour de notre société vue par la lorgnette de l’humour noir. Mais surtout un antidote à la morosité ambiante.

Du 8 au 18 novembre au théâtre de poche

La maîtresse en maillot de bain (À partir de 10 ans) De Fabienne Galula – Compagnie Atchoum

Quand une psychologue est envoyée par l’éducation nationale dans une école maternelle elle n’y est pas forcément la bienvenue. Pourtant, ce lieu entouré d’innocence et de joie spontanée va devenir le prétexte à découvrir des personnages drôles et fragiles. Des instituteurs au bout du rouleau, une psy décalée... Avec délicatesse, le texte et les comédiens nous entraînent dans une cascade de rires. « On sort de là en se demandant depuis quand on n’avait pas autant ri, et on se surprend à penser au Père Noël et à se dire que cette maîtresse a bien des côtés Splendid. » Rue du Théâtre.

Les 18, 23, 24 et 25 novembre au Théâtre de l’Île

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07 sommaire

dressing

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93 32 15

Musique Pa r m at t h i e u l e x t r a i t

148

Claque électro-pop Spandex et Paillettes Ça n’arrive pas souvent, mais certaines fois en farfouillant dans les nouveautés et en cherchant des sons différents, on découvre des OVNIs qui nous font réfléchir sur tout ce que l’on pensait connaître de la musique moderne. An Awesome Wave, premier album de Alt-J en est un très bon exemple. Déjà, avec un nom de scène aussi nerdy, il faut s’attendre à quelque chose de spécial et, Joe Newmann et sa bande ne déçoivent pas sur ce point ! Déjà, la voix du leader, nasillarde, à la limite du murmure, nous prend par surprise. Les arrangements, à base de guitare et de samples, alternent entre douce mélodie et drôle de boucan. De plus, on appréciera l’usage intelligent des silences, technique tellement simple mais ô combien inusitée dans le domaine de la musique pop. Les morceaux s’enchaînent et nous plongent dans un coma artificiel avant de nous réveiller de force, tel un tour dans les montagnes russes. Les rushes succèdent aux temps morts et les rythmes à la fois lourds et aériens ne laissent jamais la routine s’installer. Une jolie découverte que ces doux-dingues d’Alt-J !

Alt-J An Awesome Wave

Qu’on soit fan ou pas, les années 80 reviennent à la mode, et tout le monde essaie de ramener un peu de la grande époque sur le devant de la scène. Que ce soit en reprenant des vieux tubes ou en les transformant en comédie musicale (par pitié, plus jamais ça, Tom Cruise…), chacun s’y hasarde avec plus ou moins de succès. Le jeune groupe Crown Jewel Defense, mené par le charismatique Taylor Wood au chant et à la guitare, réussit un pari très osé en mélangeant des gros riffs de guitare (si vous ne succombez pas à la puissance de All I Need, alors c’est que les Dieux du Rock vous ont abandonné) et des rythmes de Heavy Metal avec une ambiance pop et électro très actuelle. Des sources d’inspiration aussi antithétiques que Guns’n’Roses et Miley Cirus se rencontrent afin de créer une sorte de « Pop-Metal » très glam et très pêchue d’un point de vue technique. A la production, on retrouve Elvis Baskette, qui s’est assuré de fournir du très gros son à un groupe qui a maintenant de quoi enflammer les stades comme cela ne s’était pas vu depuis au moins vingt ans !

Crown Jewel Defense Start Your Engines

prêcher les convaincus Après un premier opus acclamé par la critique et le public, Florence Welch et ses compagnons de la Machine relèvent le défi du très redouté second album, celui qui consacrera le groupe sur le long terme ou qui leur fera tout perdre. Pour Florence + The Machine, on penche plus sur la première option, car l’ensemble est très réussi et vous transporte dans une autre dimension musicale. Premier point marquant, la voix de Florence Welch, ancienne choriste d’église, est envoûtante à souhait, et très puissante, encore plus que sur le premier album « Lungs ». Autre superbe réussite, le travail des percussions apporte un souffle nouveau à la musique pop, faisant la part belle aux tambours, timpani et autres cloches. La production donne auusi une importance particulière aux synthés, aux orgues, aux grosses réverbérations et délais, et nous offre ainsi une ambiance de cathédrale où Florence se plaît à nous raconter la mort, l’amour et les regrets. Et nous de contempler et d’écouter religieusement ses psaumes mélodiques et ses rythmes évangéliques.

Florence + The Machine Ceremonials

149 Musique

page Par maxime le bras

page

OH…

150

Productrice de cinéma à succès, Michèle vient d’être violée.

Mais cette femme forte, fille d’un assassin emprisonné à perpétuité, cache cette agression à son entourage. Il faut dire qu’elle a de quoi faire, entre son ex-mari, Richard, qui tente de refaire sa vie avec une jeunette, sa mère de 75 ans qui veut se remarier, et son fils Richard qui travaille au McDo pour subvenir aux besoins d’une petite amie que Michèle ne supporte pas. Et il y a aussi Patrick, un voisin très (trop ?) entreprenant, ou encore Anna, son associée qu’elle adore bien qu’elle vive une aventure avec le mari de celle-ci…

On retrouve dans ce texte nerveux, racontant trente jours de la vie de l’héroïne d’un seul trait, les composantes grâce auxquelles Djian atteint son meilleur. Un climat lourd, parfois malsain, alors que l’auteur prend un malin plaisir à briser sa continuité narrative avec des flash-backs brefs mais lourds de sens. L’auteur de « 37,2 le matin » retrouve ici cette écriture cinématographique qui le caractérise.

Oh… Philippe Djian Parution le 30 août Editions Gallimard

trois fois le loyer

Saturnine (soit « fille de Saturne », le dieu qui dévore ses enfants) devient la colocataire de don Elemirio Nibal y Milcar, grand d’Espagne, alors que les huit autres femmes qui l’ont précédée ont disparu. Bientôt consciente du danger qu’elle encourt, Saturnine se transforme peu à peu en otage atteint du syndrome de Stockholm.

A travers son nouveau roman (le vingtième), Amélie Nothomb propose sa propre version de « Barbe bleue », différente de celle de Charles Perrault à qui elle reproche d’avoir présenté son personnage principal « comme un pur monstre, sans explication ». « Perrault fait un traitement indigne à Barbe Bleue, j’ai horreur du personnage qu’il en fait alors qu’intimement je sens que c’est un type bien ! Je voulais donc me libérer de cela ».

Barbe Bleue Amélie Nothomb Parution le 23 août Editions Albin Michel

‘‘

151 page à page

Extraits :

« Il ne les a pas tuées ! Les colocataires ont disparu, ça les regarde, sans doute ne sait-il pas où elles sont ! » « Même le sinistre « Si vous entriez dans cette chambre, je le saurais et il vous en cuirait » n’était pas une menace, mais un avertissement. » « Saturnine en conclut qu’elle était amoureuse d’un malade mental, d’un homme infatué, d’un être parfaitement biscornu, mais pas d’un assassin. »

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barbe bleue

Jeunes parisiens idéalistes, Cyril et Pauline décident de s’installer ensemble.

Lui est photographe de presse, elle cuisinière free-lance. Lorsque le deuxpièces qu’il convoitaient leur échappe à la dernière minute, le jeune couple n’a que quelques jours pour trouver une solution de rechange. Afin de s’en sortir, ils sont forcés de se tourner vers le moyen le plus rapide de gagner de l’argent : le poker. Ils devront apprendre à jouer et bluffer, mettant ainsi leur amour à l’épreuve dans les méandres du jeu.

Note de l’éditeur « L’argent ne fait pas le bonheur. Mais, une fois qu’on a le bonheur, comment on fait pour l’argent ? » Trois fois le loyer raconte une quête. Peut-être pas la plus arthurienne des quêtes, mais pas forcément la moins épique, une quête de nos jours : trouver un appartement, et les moyens de se l’offrir. C’est l’histoire d’un couple qui a commis une erreur : se convaincre qu’il fallait faire ce qu’on aime dans la vie. (…) Ils n’auraient rien contre un chez-eux confortable, dans un quartier populaire de Paris ripoliné façon Hollywood-inMontmartre. (…). Les visites et les semaines passent, ils sont recalés à une cadence de métronome. Cyril a une idée (…) il apprend qu’un tournoi de poker d’une nature inédite va être organisé, dont l’enjeu est un joli loft quelque part dans les arrondissements où il fait bon vivre. Or le règlement est formel : la compétition n’est ouverte qu’aux couples et doit se jouer impérativement à deux. Il va falloir apprendre le poker à Pauline. Il va falloir faire équipe au-delà des bonnes intentions et des jolis sentiments.

Trois fois le loyer

Julien Capron

Parution le 22 août

Editions Flammarion

Des Nouvelles du monde

Par sydelia guirao

Argentine : Le livre

dont l’encre s’efface 152

au bout de 2 mois

Des voitures

à air comprimé en Inde Afin de contrer la numérisation systématique des contenus littéraires, la maison d’édition Eterna Cadencia avec l’agence Draftfcb ont mis au point « El libro que no puede esperar », littéralement « Le livre qui n’attend pas » ; un livre dont l’encre disparaît avec le temps, au contact de la lumière, laissant alors place à des pages totalement blanches… Les lecteurs ont ainsi deux mois, à partir de l’ouverture des premières pages, pour parcourir l’œuvre.

L’éditeur espère ainsi contrer la popularité croissante des eBooks, qui livrent une concurrence forte au support papier. Et le pari semble réussi puisque Eterna Cadencia est en rupture de stock, et projette d’étendre ce concept à d’autres auteurs.

Des voitures à air comprimé, les « Mini Cat », développées par l’ex-ingénieur de Formule1 Guy N. de MDI basé au Luxembourg, pourraient sillonner les rues indiennes à la fin de l’année. Le système utilise l’air comprimé pour pousser les pistons du moteur. Il n’y a pas de clé, juste une carte d’accès. Capable de monter jusqu’à 105 km / heure, la Mini Cat coûtera moins de 50 roupies (soit moins de 100 F cfp) pour 100 km parcourus ; c’est à peu près un dixième du coût d’une voiture fonctionnant au gaz. Le remplissage de la voiture pourra se faire dans les stationsservice adaptées avec des compresseurs d’air spéciaux, ce qui prendra deux à trois minutes, ou à la maison avec son compresseur de bord en trois ou quatre heures. Son prix est estimé à 625 000 XPF.

à 9 ans, Kieron Williamson

devient millionnaire

grâce à ses tableaux

Les toiles du jeune britannique Kieron Williamson, 9 ans, s’arrachent pour plusieurs dizaines de milliers d’euros. Alors qu’il n’a que 5 ans, de retour d’un voyage familial dans les Cornouailles en 2008, Kieron exprime l’envie de peindre. Inscrit par ses parents à des cours, l’enfant y révèle un talent extraordinaire. En quatre ans, il devient un véritable phénomène sur le marché de l’art et devient millionnaire à tout juste 9 ans ! Le « mini-Monet », surnommé ainsi car son style rappelle celui du maître de l’impressionnisme, Kieron peint des paysages, notamment ceux du Norfolk, sa région d’origine. Il peint 3 toiles par semaine en utilisant aquarelle, pastel ou peinture à l’huile. Sa dernière vente a battu des records : les vingt-quatre toiles ont rapporté plus de 320 000 livres, et le tout a été vendu en 15 minutes dans le monde entier.

Allosphère Joann Kuchera-Morin, directrice du centre Research in Electronic Art Technology (CREATE) de l’université de Santa Barbara, a récemment créé avec son équipe un dispositif de navigation visuelle, auditive et interactive de données : l’Allosphère. Imaginez une immense sphère, traversée en son centre par une passerelle suspendue dans le vide. La passerelle peut accueillir une vingtaine de personnes qui ensemble naviguent dans la représentation graphique des données et interagissent avec elles. Projetées sur l’écran tridimensionnel, les informations sont représentées sous forme graphique. Les applications médicales sont évidentes, on peut entrer dans l’infiniment petit ou naviguer dans une représentation du cerveau et simuler des actions, injecter du code, un peu comme une « bactérie » et analyser la réaction en temps réel. C’est un véritable centre d’immersion dans lequel 20 scientifiques ou artistes peuvent plonger. Un dispositif aux possibilités infinies.

153 news du monde

histoire

154

Par maxime le bras

L’immigration Japonaise

en Nouvelle-Calédonie 155 histoire

à partir de 1892, les premiers Japonais débarquent sur le territoire pour combler le manque de main-d’œuvre dans l’exploitation minière. Au fil des décennies, certains de ces immigrants s’installent sur le territoire, y fondent une famille et participent à la vie économique du territoire… jusqu’à la rupture en 1941.

L es p r emi er s tr av ail l e u r s japona is Dès la fin du XIX e siècle, la raréfaction de la main-d’œuvre pénale incite les autorités de Nouvelle-Calédonie à rechercher une main-d’œuvre abondante et bon marché pour la mise en valeur de la colonie et l’exploitation des gisements miniers en particulier. Après des essais infructueux auprès des sources européennes, mélanésiennes, indiennes, indochinoises, chinoises, le gouvernement japonais approché dès le 30 mars 1890 par le sous-directeur de la SLN, n’autorise que le 10 novembre 1891 l’émigration de ses ressortissants en NouvelleCalédonie.

156

Contrairement aux autres engagés asiatiques (Indochinois et Javanais), les Japonais bénéficient du régime de droit commun appliqué aux travailleurs européens. En outre, le contrat initial de cinq, puis quatre ans, passé avec la société d’émigration, comporte des clauses particulières relatives au salaire, à l’équipement fourni (bol à riz, natte de jonc, cuillères en bambou …) et à la nourriture (riz, miso rouge, shoyu, légumes et poissons salés, thé vert …). Mais les conditions de recrutement offertes ne suffisent pas à stabiliser, voire à implanter ces migrants puisque moins de 7000 Japonais

ont débarqué. Sans aucune formation aux techniques de la mine, insuffisamment encadrée par des surveillants et des interprètes, cette population a du mal à s’adapter. Un taux important de retour anticipé est observé, dû à la pénibilité du travail à la mine. Sans oublier que les engagistes n’ont pas souhaité que cette main-d’œuvre vienne en famille constituée.

Quelques dates

1892 : Arr ivée nais des 5 à TH 99 IO. I les ls tr premiers mine a s Japo va PAUL de M INE. EH, T illeron t su OUMO r UROU et L 31 D a éc Japo embre 19 nais 05 : , par A le s le PO rrivée d eul navi WATH e 51 femm re à 0 A es (6 tran N qui se 0) et ra s port des e er d nfan Déce es ts. mbre 1908 arri : Sur vés e les n 1 se so nt év 905, il e 510 Japo nais n re a ont st été r dés, 4 so Déce mbre nt dé e 376. 11 apat 4 riés cédé 1 89 à s et Noum 910 : Arr au J 1 6 i é a v a. Pl pon.

9 mor us ta ée de 190 ts, 4 5 Jap rd on rapa onai triés parl s e de . ...

1911 120 é : 268 à TH : 111 IO, v adés 5 Maru Japo à POR . nais O, arri vent à bo rd d u KO TOHI RA

L’intérêt des Industriels Japonais A partir de 1916, des entreprises nipponnes approchent les sociétés locales pour l’achat de minerai de nickel et de chrome. Du 6 août au 19 octobre 1918, une mission japonaise visite le sud de l’île : Port boisé, Yaté, Goro, Unia et Port Bouquet, où se trouvent les plus riches gisements de fer. Les industriels japonais amènent avec eux leurs spécialistes et leur matériel d’exploitation minière.

Dans la Société Le Fer, société franco-japonaise qui gère la mine Cascade à Goro, la plupart des matériaux de construction, les équipements, les divers approvisionnements ainsi que le personnel spécialisé, viennent directement du Japon.

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157 histoire

Après la mine…

Au lendemain de la Grande Guerre (19141918), la demande de main-d’œuvre sur les mines faiblit. En 1919, date du dernier des 21 transports maritimes des travailleurs immigrés, 6879 Japonais sont recensés, sans compter l’immigration libre d’environ deux mille personnes. à la fin de leur contrat, une grande partie des Japonais rentre au pays. D’autres profitent d’une convention de commerce passée avec la France, le 21 avril 1911, pour s’ établir en toute liberté sur l’ensemble de la Grande-Terre. Outre l’activité minière, les immigrés libres japonais excellent dans la plupart des petits métiers : tailleurs, charpentiers, coiffeurs, photographes, maçons, forgerons, etc …

Ils ont appris toutes ces techniques artisanales après leur départ de la mine. Mais c’est surtout dans le commerce qu’ils bâtissent leur réputation.

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Les freins à l’immigra tion japonaise

La Nouvelle-Calédonie n’a pas connu cette fièvre touchant les candidats à la migration vers les plantations d’Hawaï où les Japonais ont représenté jusqu’à 43 % de la population totale (1920). Sur le territoire en effet, ils n’ont jamais dépassé 5% (1916). Plusieurs facteurs sont venus freiner cette migration, comme la quasi impossibilité de droit d’entrée des femmes. Un seul convoi en 1905 embarque quelque 10 % de l’effectif global, soit 60 femmes.

Pourquoi cette situation ? Tout d’abord, les employeurs préfèrent engager des célibataires, moins onéreux que des hommes mariés avec leur famille pour lesquels il faut prévoir outre les frais de transport et une logistique d’accueil. La deuxième raison correspond à une volonté affichée de ces migrants de se considérer en transit (leur salaire leur permettant de nourrir leur famille restée au pays) et de ne pas s’y établir, encore moins d’y fonder une famille. Enfin, les employeurs n’avaient pas de postes particuliers pour les femmes et les contrats offerts aux hommes étaient limités à cinq ans. Les premiers convois amènent donc en Nouvelle-Calédonie un grand nombre de célibataires, respectueux des traditions en matière de mariage.

Néanmoins, les Japonais qui décident de ne plus repartir au Japon choisissent de s’unir librement avec des non-Japonaises : Javanaises, Mélanésiennes et Européennes. Les Japonais sont, semble-t-il, appréciés par les Européennes pour être des hommes sobres, économes et attentionnés à l’égard de leur famille. Ainsi à Koné sur 118 Japonais, on trouve, mariés au Japon (12), mariés en Nouvelle-Calédonie (7 dont 6 avec une Européenne et un avec une Javanaise), union libre (19 dont 10 avec une Mélanésienne, 5 avec une Javanaise et 4 avec une Européenne). Les célibataires représentent quelque 32,20 % de la communauté de Koné.

Un autre frein à l’immigration : la langue, la religion et les rites familiaux. Cantonnés dans les centres miniers, en présence d’un interprète ou éparpillés ensuite dans les agglomérations de la colonie, les chefs de famille japonais gardent pour les grandes occasions entre compatriotes (visite du consul, fête de l’empereur, etc.) l’usage de la langue et des rites sociaux. Dans ces familles fondées par des Japonais avec des nonJaponaises l’éducation, la langue et la religion des enfants restent celles de la mère, et la culture paternelle ne s’enracine pas. On assiste très vite à une francisation passive des comportements. Les enfants issus de la deuxième génération passent tous par le même système scolaire et n’ont plus que de vagues notions de leurs différences.

159 histoire

La rupture Le 7 décembre 1941, le Japon attaque la base navale américaine de Pearl Harbour, à Hawaï. Le lendemain de cette agression, 1117 Japonais sont arrêtés, ramassés et internés à Nouville, sur décision du haut-commissaire de France pour le Pacifique. Leurs biens sont mis sous séquestres, leurs femmes et enfants, abandonnés malgré eux, se retrouvent dans le dénuement le plus total. Certains Japonais ne furent pas arrêtés : soit parce qu’ils étaient naturalisés français, soit parce qu’ils étaient mariés à une française, soit encore parce qu’ils avaient un fils dans l’armée française.

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De décembre 1941 à mai 1942, quatre rotations maritimes transporteront ces Japonais vers les camps d’internement de Tatura (près de Melbourne), Hay (près de Sydney) et Loveday (près d’Adelaïde), en Australie. Ils y seront retenus jusqu’à la mi-février 1946, avant d’être renvoyés au Japon, sans choix possible de retour en Nouvelle-Calédonie. Seule une quinzaine d’entre eux reviendront par la suite, après que leurs familles aient fait des démarches administratives et financé le voyage de retour.

12 000 descendants en Nouvelle-Calédonie Cette année, les descendants de Japonais sur le territoire (on estime leur nombre à 12 000), toutes générations confondues, ont célébré le 120ème anniversaire de l’arrivée de leurs aïeux. Courant juillet, des manifestations, de portée historique et à caractère culturel, ont ainsi eu lieu à travers tout le territoire. l

Cérémonie oecuménique au cimetière de Thio le 5 juillet 2012, pour la pose de la 1ère pierre du mémorial Japonais (qui sera inauguré en fin d’année, clôturant ainsi le 120ème anniversaire), en présence du moine Sogen Yamakawa, du Père Jean et des autorités et partenaires.

L’architecte, Yukiyoshi Matsuda, dont le père a vécu à Thio, était lui-même présent.

samedi 6 octobre :: ilôt canard :: 20h00/04h00

TRANSIT 07 sommaire

Billetterie :: Ticket ::5000 Fr (Pass + Taxi Boat A/R + 1 conso) uniquement en prévente à partir du 17, jusqu’au 30 septembre.

Interdit aux canetons de -18 ans

Infos :: Entrée limitée à 300 canards.

Restauration Snack toute la nuit.

Navette aller de 20h à 23h.

Embarquement au ponton du Méridien.

Prévente :: L C I (Faubourg Blanchot) Megafun (centre Alma) Photo Discount (A.Vata) Atelier Gauthier (av.Foch)

Web :: myspace.com/transiteventsnc FaceBook :: cocco musik

Carnet pratique Mode

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Frou Frou 28 L’adresse 33 28 Optique Betrancourt 27 Fight Shop 23 St Germain 28 U-man 28 Corner 39 28 Max Mara 26 Adresse 33 28 Benetton 28 American Store 28 Manhattan 24 Complicité de Paris 28 Le Bagage calédonien 24 Mango 23

18 54 35 35 58 53 70 87 22 48 60 01 11 19 13 66 35 35 22 00 35 30 71 51 10 90 04 53 83 00

Art, culture & nature Centre Culturel Tjibaou Théâtre de l’Ile Centre d’Art Conservatoire de musique Compact Mégastore As de trèfle

41 25 25 24 24 27

45 50 07 63 35 82

45 50 50 15 35 41

Beauté Imporlux 25 04 04 Passion Beauté 27 30 47

Auto HONDA 24 13 13

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