ITINÉRAIRE HISTORICO - CULTUREL
Centre historique 23
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bourg marchand de Bolzano. Elles correspondent au premier centre urbain fondé par les Princes Evêques de Trente au XIIe s. D’une longueur de plus de 300m, cette fut orientée d’est en ouest pour être abritée des vents du nord. Cette nouvelle ville comprenait un siège administratif épiscopal (sur le site de l’actuelle Place au Grain) et les maisons marchandes pourvues d’arcades qui nous sont parvenues intactes dans leur structure originale. Un maison marchande avait dans sa partie inférieure l’arcade avec les anciennes boutiques, aujourd’hui des magasins modernes, le logement dans la partie supérieure, et dans le soussol, de profondes caves de pierre destinées au stockage des marchandises (caves visitables au Palazzo Mercantile (31)). Les façades étroites le long de la rue se distinguent par leurs diverses couleurs, les oriels et les décorations en stuc de style rococo. Des passages étroits permettent de passer dans les rues arrière et de constater la structure de ces édifices développés en profondeur et interrompus par des cours intérieures et des volées d’escaliers. Le passage au N°30 est plus large et plus noble, c’est celui de l’ancien Hôtel de Ville, aux arcs décorés de fresques et aujourd’hui siège des Archives Historiques de la Commune.
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13 Via Portici - Laubengasse: Elles témoignent de la fondation du
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Arcades, la place est bordée de bâtiments importants. Sur la droite, le nouvel Hôtel de Ville, édifice réalisé sur les plans de K. Hocheder de Munich et de l’architecte de la ville G. Nolte (1903–1907) dans des formes néobaroques agrémentées de détails Jugendstil. Dans la salle du Conseil, fresques de G. Hofer (1908). Côté est, la maison Amonn décorée par R.Stolz et le passage ouvert en 1911.
Gare ferroviaire
Via Raiffeisen Str.
12 Piazza Municipio - Rathausplatz: Située à l’extrémité est des
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Via Marconi Str.
ISARCO - EISACK
Dépôt de bagages
Str.
12h30 sauf changement): Consacrée en 1180, d’une architecture simple avec clocher de pierre construit sur l’abside. La petite église à nef unique, véritable joyau de la ville, est entièrement recouverte de fresques réalisées par des artistes itinérants postérieurs à Giotto, elle fait partie des témoignages les plus importants de la peinture du XIVe s. dans toute la province. Les deux cycles présentant des scènes de la vie de St Jean Baptiste et St Jean Evangéliste ont un fort impact scénographique et sont d’un intérêt particulier.
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Centro Culturale Trevi Kulturzentrum Trevi
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Via Dr. Streiter
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Taxi
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11 Eglise St Jean - S. Giovanni in Villa - St Johann (sam 10h–
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Centre culturel Trevi
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sam 8h–18h, dim 10h–18h): Cette église fait partie de la Commanderie de l’Ordre Teutonique présent à Bolzano depuis 1203. Construite par des maîtres d’oeuvre souabes en style gothique à la fin du XIVe s., elle contient une collection de blasons, pierres tombales des Chevaliers, datant du XVIe au XIXe s., et de nombreuses bannières de l’Ordre. Elle renferme l’un des autels de marbre les plus importants de la ville, orné d’un tableau de M. Knoller (1799) représentant St Georges et le dragon.
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Musée
Via Vintler Str.
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30 10 Eglise St Georges, rue Weggenstein (lun–
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Théâtre
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Hôtel de Ville
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tiques du centre, elle doit son nom aux ateliers des tonneliers qui y travaillaient. Elle est caractérisée par les enseignes en fer forgé des anciennes auberges, témoin le „Cavallino bianco - Weißes Rössl“ à la façade ornée de fresques, ainsi que le moins ancien mais historique hôtel „Mondschein/Luna“. A l’angle nord de la rue se trouve le Musée des Sciences Naturelles (voir parcours musées) aménagé au siège original de l’administration de l’Empereur Maximilien Ier d’Autriche (début XVIe s.). A peine plus loin, la „Cà de Bezzi“, auberge historique fréquentée par de nombreux artistes au XIXe s.
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Université
Via Botta
9 Via dei Bottai - Bindergasse: L’une des rues les plus caractéris-
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Police
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zano de la deuxième moitié du XIXe s. La rue suit le tracé du fossé qui longeait les anciens murs médiévaux du nord de la ville. Parallèle à la rue des Arcades à laquelle elle est reliée par de nombreux passages originaux. Le n° 25 correspond à l’entrée de l’ancien Hôtel de Ville. En été la vie y est animée grâce aux nombreux bars et bistrots avec même un bar en plein air aménagé sur les anciens bancs de vente du poisson.
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Auditorium
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8 Via Dr. Joseph Streiter Gasse: Elle porte le nom d’un maire de Bol-
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10h–17h30, dim 14h30–17h30): Les Franciscains s’établirent en ville autour de 1221. Le bâtiment d’origine fut reconstruit en forme gothique au début du XIVe s. et modifié en partie au XVe. Eglise à trois nefs, choeur aux grandes fenêtres modernes trilobées de J. Widmoser. Précieux triptyque en bois sculpté, œuvre du sculpteur H. Klocker de Bressanone (1500) illustrant la Nativité. Le splendide cloître du XIVe s. à l’atmosphère particulière présente sur ses murs des fresques allant du XIVe au XVIIe siècle et 13 grandes toiles peintes retraçant des scènes de la vie de St François, œuvre du frère franciscain originaire de Bolzano H. Aufenbacher (1719).
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7 Eglise et monastère des Franciscains (lun–ven
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6 La Via Goethe Straße conduit au marché permanent, Piazza delle Erbe: par cette rue étroite bordée de maisons mediévales, on parvient à l’un des lieux les plus animés et pittoresques de la vieille ville, le marché historique des fruits, légumes et fleurs, riche en couleurs et parfums, ouvert toute la semaine sauf samedi après-midi et jours fériés. La forme particulière de cette place, allongée et courbe témoigne de son origine médiévale: elle fut en effet aménagée après l’abattage des murs de la ville en 1277 sur le tracé de l’ancien fossé défensif. Au coin de la rue, la Fontaine de Neptune, dénommée aussi „hôte à la fourchette“ (Gabelwirt), œuvre de J. Reis sur les plans de G. Mayr (1777). Au coin opposé, l’ancienne auberge „Al Sole-Zur Sonne“ (Soleil) porte une plaque relatant les séjours de personnages célèbres, tels que les poètes allemands Herder et Goethe ainsi que l’Empereur d’Autriche Josef II.
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le monastère annexe furent construits entre 1599 et 1606 sur l’emplacement de l’ancien château Wendelstein des Comtes de Tyrol. De l’ancien château, on peut encore voir quelques parties maçonnées et créneaux dans la ruelle Wolkenstein. L’autel baroque en bois sculpté et son tableau du peintre véronais Felice Busasorci (1600) qui représente St François recevant la Règle de fondation de l’Ordre est d’une importance notoire.
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5 Eglise des Capucins (lun–dim 7h–18h): L’église et
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Teatro Comunale Gries Grieser Stadttheater
Il s’agit là de la chapelle nobiliaire de la famille de’ Rossi Botsch, riches banquiers florentins établis à Bolzano, qui la firent décorer. De grand impact, la représentation du Triomphe de la Mort sur la paroi est. En général, dans les divers cycles concernant la Vie de Marie, les Scènes de la vie de St Jean Baptiste et St Jean évangéliste, et de la Vie de St Nicolas, ressortent le raffinement des cadres architectoniques, l’intensité des figures et les couleurs vives encore présentes dans de nombreux tableaux, ou le réalisme cru du Martyre de St Barthélemy sur la paroi nord. Dans le cloître attenant, au plan carré et aux petites colonnes de grès, les murs et les voûtes gardent des fresques des XIVe et XVe s. dont quelques-unes de Friedrich Pacher (mur sud-est, 1470-80). Sur le cloître donnent aussi, outre la chapelle St Jean, la salle capitulaire et la chapelle Ste Catherine avec ses fresques datant de la moitié du XIVe s. Fait aussi partie du complexe le Conservatoire Monteverdi, siège du prestigieux Concours International de Piano Ferruccio Busoni.
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12h–18h): Vaste complexe conventuel fondé en 1272 et construit par des maîtres d’œuvre nordiques, qui conserve, à côté d’une importante série de fresques votives, les témoignages de peinture de l’école de Giotto les plus importants de toute la province, malgré les démolitions partielles de la fin du XVIIIe s. lors des suppressions de l’Empereur Josef II et des graves destructions subies lors des bombardements de la dernière guerre. Il s’agit d’une église à trois nefs séparées par des piliers octogonaux, à voûte d’arête et profond choeur baroquisé. Sur le mur de droite, des fresques du XIVe s. parmi lesquelles une Madone à L’Enfant sur son trône dans un cadre richement décoré (1379), œuvre d’un peintre véronais, et Saint Georges et le dragon, fresque raffinée de style gothique international. Au mur gauche, la Chapelle des Marchands avec son autel baroque et le tableau du Guercino (1655) représentant la Visison de Soriano. La chapelle St Jean (accès possible du choeur et du cloître), entièrement décorée de différents cycles de fresques, est le premier exemple de peinture de l’école de Giotto dans cette région (env. 1329).
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4 Eglise des Dominicains (lun–sam 8h–18h, dim
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durement bombardée en 1943, a été fidèlement restaurée. Dédiée à Sainte Marie de l’Assomption, elle est co-cathédrale épiscopale du diocèse de Bolzano-Bressanone. Il s’agit là de l’église gothique la plus importante de la région. D’origine très ancienne, elle s’élève sur le site d’une basilique paléochrétienne du VIe s., à laquelle succède une construction du haut Moyen Age, puis une autre, romane, consacrée en 1180, modifiée ensuite par des maîtres lombards. Tranformée par la suite en style gothique, introduit à Bolzano par des maîtres d’oeuvre souabes qui le mènent à bonne fin entre la fin du XIVe et les premières décennies du XVe s. Le clocher, emblème de la ville, est l’œuvre en style gothique tardif du Souabe H. Lutz von Schussenried (1519). Cet élégant édifice est orné de balustrades ajourées, tourelles et clochetons. Extérieur : réalisé en grès, il présente une façade simple à double pente, un portail roman et un porche soutenu par des lions portant colonne. Porte en bronze illustrée par le sculpteur M. Defner d’Innsbruck (1989). A côté, une fresque votive de la fin du XVe s., représentant une Vierge à l’Enfant sur son trône. Le côté nord séduit par sa Crucifixion, œuvre d’un maître local de la fin du XIVe s. lié à l’école véronaise, et un petit ex-voto très évocateur représentant le pélerin Ulrich assommé par une cloche. A côté, la dite Petite Porte du Vin, élégamment décorée de sculptures, et ainsi nommée grâce à un privilège accordé en 1387 par le Duc Albert d’Autriche, qui permettait la vente du vin à sa proximité. Côté sud, le portail roman dit „des prêtres“, encadré de deux colonnes avec chapiteaux à fleur de lotus, est digne d’attention. A côté, petite tour d’accès au clocher, avec trois porte-lanternes en pierre. Intérieur : typologie nordique de la „Hallenkirche“, église-halle gothique présentant trois nefs de même hauteur. Construction divisée en six travées à voûtes d’arête et comportant dix piliers massifs à l’un desquels est accolée la chaire de style gothique tardif en grès décorée de reliefs portant des traces polychromes, œuvre de H. L. von Schussenried (1514). Dans le choeur, autel de marbre baroque réalisé par les Véronais G. B. Ranghieri et D. Allio sur les plans de J. Pozzo, avec huit grandes colonnes et de nombreuses statues (1710–1720), dépourvu du tableau d’autel ayant été détruit. Chœur entouré d’un déambulatoire sur lequel s’ouvre la chapelle baroque des Grâces décorée par le peintre Carl Henrici de scènes de la vie de Marie (1771). Sur l’autel se trouve la petite statue ancienne, très vénérée, d’une Maria Lactans. En face de la chapelle, la pierre funéraire de l’Archiduc Rainier et de son épouse Elisabeth de Savoie Carignano, qui vécurent longtemps à Bolzano et ont leurs tombeaux dans la crypte. Le mur sud présente des fragments de fresques de la deuxième moitié du XIVe s., entre autres des scènes de la vie du Pape Urbain IV. A l’extérieur, le monument à droite de la façade côté sud, réalisé sur les plans de G. Hauberisser, inauguré en 1900, est dédié à Peter Mayr qui combattit pour la liberté du Tyrol contre les troupes franco-bavaroises, et fusillé par celles-ci en 1810.
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3 Cathédrale (lun–sam 10h–17h, dim 11h–17h): L’église,
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2 Piazza Stazione - Bahnhofsplatz: Le bâtiment de la gare ferro-
viaire dans son aspect actuel fut réalisé à l’époque fasciste (1928) par Angiolo Mazzoni comme réfection de la gare du XIXe s. qui vers la moitié du siècle assurait la liaison Vérone – Innsbruck. Sa façade est ornée de sculptures allégoriques en porphyre représentant l’Electricité et la Vapeur et au pied de l’horloge l’allégorie des Rivières, œuvre de Franz Ehrenhöfer. En face, la Fontaine aux Grenouilles, une réfection de celle de 1930. Dans le parc de la gare se trouvait le Théâtre Civique Verdi, détruit par les bombes de la Seconde Guerre Mondiale.
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1 Piazza Walther Platz: réalisée en 1808 et dénommée d’après Maximilien de Bavière qui avait voulu son aménagement. Par la suite, elle prend le nom de l’Archiduc d’Autriche Jean (Johannesplatz) et en 1901 celui de Walther von der Vogelweide (l’un des poètes allemands les plus importants ayant vécu entre 1170 et 1230), nom qu’elle porte encore aujourd’hui après une brève interruption pendant l’entre-deux-guerres où elle fut nommée place Victor Emmanuel III. Walther von der Vogelweide a été sculpté en 1889 en marbre local par le sculpteur originaire du Val Venosta Heinrich Natter. La statue a été temporairement mise à l’écart à l’époque fasciste dans un petit square de la ville pour retourner à sa place d’origine, pour laquelle elle avait été conçue, en 1985.
Bureau de Tourisme
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14 Maison de la Balance - Casa della Pesa - Waaghaus: La Place au
grain où se trouve cet édifice faisait à l’origine partie du château des Princes Evêques de Trente, fondateurs de la ville, et qui fut détruit par le Comte Mainardo II de Tyrol pour obtenir le contrôle de ce bourg commercial. C’est là qu’avait lieu le marché des céréales et jusqu’à 1780 s’y trouvait la balance publique. Cette Maison de la Balance subit plusieurs modifications jusqu’au XVIIe s. mais elle reste l’un des édifices les plus anciens de la ville. Sans oublier le passage de la Balance, ancien accès aux Arcades. La grosse pierre placée devant la maison faisait partie de l’ancien mur d’enceinte. En face une plaque rappelle la présence de la chapelle palatine du château, dédiée à St André, détruite en 1785.
15 Via Argentieri - Silbergasse: Parallèle aux Arcades, elle correspond au fossé sud de la ville médiévale. Dans cette rue se dresse le Palazzo Mercantile, ancien tribunal du commerce, reconnaissable à ses escaliers et aux élégants portails, construit sur les plans de l’architecte véronais F. Perotti (1708–1729). C’est le siège du Musée du Commerce. De la maison Troilo décorée de fresques géométriques, on peut accéder aux Arcades par un étroit passage. 16 Via et piazza della Mostra - Mustergasse et Musterplatz: Rue
datant du XVIIIe s. bordée des élégants hôtels particuliers de la bourgeoisie commerçante de l’époque, tel le Palais Campofranco (à l’angle de la Place Walther), face au Palais Menz, et le Palais Pock qui encadre la petite place, avec le restaurant „Zur Kaiserkron“, tandis que sur le côté du bâtiment, dans la partie souterraine du restaurant „Fink“, se trouvaient les geôles de la ville.
17 Galerie Sernesi et Galerie Europa: Modernes galeries commerciales
conduisant respectivement à l’Université Libre de Bolzano (LUB), et de celle-ci, par la Galerie Europa, à la rue du Musée permettant de rejoindre le Musée Archéologique (pour les horaires, voir la rubrique Musées).
Gries 18 Monument de la Victoire et Piazza Vittoria - Siegesplatz:
Ceux-ci datent de la période fasciste, époque à laquelle furent projetées la modernisation et l’expansion de la ville (dite Nouvelle Ville) au-delà du Pont Talvera, par opposition au centre historique. Le complexe, d’où part aussi le Corso Libertà, comprend le monument, construit sur volonté du gouvernement fasciste et sur les plans de l’architecte du régime M. Piacentini pour commémorer les victimes et la victoire italienne de la Première Guerre Mondiale, et la place située à l’arrière. Inauguré en 1928, il présente des colonnes ornées des symboles fascistes et un relief de A. Dazzi, et sous l’arc monumental, des sculptures de grand intérêt de A. Dazzi, A. Wildt, L. Andreotti. Dans la vaste crypte décorée de fresques de G. Cadorin, on peut suivre un parcours d’exposition „Bz’18-’45. Un monument, une ville, deux dictatures“, inauguré en 2014, qui illustre l’histoire du monument avec une recherche dédiée aux évènements historiques complexes au Tyrol du Sud pendant le fascisme, et replacés dans le contexte national et international. Ouvert: du 1er avril au 30 septembre: mar–mer–ven–sam–dim 11h–13h, jeu 15h–21h; du1er octobre au 31 mars: mar–sam 10h30– 12h30 et 14h30–16h30,dim 10h30–12h et 15h–17h; fermé les 24, 25, 31 déc., 1er janv. et Pâques. La place est bordée de bâtiments de style classique impérial construits dans les années 30. C’est là que tous les samedis a lieu le marché de la ville.