LUNDI
REIMS ET SA RÉGION
20
11 MARS 2019
Damien et Fabrice, du groupe Acorps de Rue.
Les Soviet Suprem, Sylvester Staline et John Lenine, ont mis le feu. Le groupe se distingue par son univers et ses tenues directement venues de l’ex-URSS.
COURCY En dix ans, l’idée de faire une soirée-concert avec des groupes locaux a fait son chemin. Ce sont désormais deux soirées et un concert enfant le dimanche qui font de Courzik’ un festival reconnu.
MUSIQUE
Courzik’ à guichets fermés es groupes nationaux tels que Elmer Food Beat ou les Fatals Picards s’y sont déjà produits ! Cette année, pour la première fois, Courzik’ Festival affichait complet avant son coup d’envoi. Une belle récompense pour la cinquantaine de bénévoles qui œuvrent depuis plusieurs mois à la réussite de cette 10e édition. Guillaume Jolly, l’un des organisateurs, explique ce succès : « Nous avons toujours voulu garder le côté convivial, festif et familial, la programmation est orientée depuis le début sur la chanson française accessible à tous pour toucher toutes les générations, peu importe le style musical, du moment que tout le monde se retrouve pour passer une bonne soirée ». Et la soirée a été intense, pour ce premier soir ! Devant 500 spectateurs se sont succédé le duo de Nancéiens Acorps de Rue, « de la chanson à texte dans un univers festif », le groupe local La Villa Ginette (mélange de rap, de hiphop) et, en point d’orgue, Soviet Suprem, mixte de rap, punk et musique traditionnelle des Balkans, composé de Sylvester Staline et de John Lenine. Le festival devait se poursuivre samedi soir et dimanche après-midi. De notre correspondant STÉPHANE WATIER
La Villa Ginette, du rap local à écouter sans modération.
D
Un public conquis, ravi d’avoir décroché un billet d’entrée !
Le côté familial de Courzik' n’est pas à démentir.
sur le web
LUNION.FR/LARDENNAIS.FR Ce qui fait la force de ce festival : il est intergénérationnel !
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