Gazette Marandaise numéro 446 mai 2021

Mensuel gratuit

N° 446

La Gazette Marandaise

Mai 2021

Tirage : 10 000 exemplaires I.S.S.N. 0247-0314 - dépôt légal n° 127 Gazette Marandaise BP- 60011 /// 17230 Marans

Votre actualité : nord-Aunis / sud-Vendée / val de Sèvre

La citation du mois : « La confiance est une plante très délicate, elle ne repousse pas à volonté. », Victor Cherbuliez.

Crédit photo :Aline Rainteau-Taillieu - La Sèvre Niortaise et le Pont de Pierre - Marans - 2018

Et au milieu coule une rivière

Dans ce numéro Le projet éolien à Andilly

P.4

Piéger les frelons asiatiques

P.12

Opération baskets aux pieds

Prochaine parution Distribution à partir du 1

P.22

er

juin

Donner textes et publicités Au plus tard le

15 mai

C

omme vous avez pu le lire dans notre numéro 444 de mars, nous avons eu la triste surprise de voir que la nouvelle municipalité de Marans avait commis quelques maladresses lors de la conception de son bulletin municipal en faisant quelques emprunts caractérisés à notre mensuel.

Malgré nos échanges cordiaux et bienveillants qui y ont fait suite, on constate à la lecture de leur numéro suivant qu’absolument rien n’a changé malgré les engagements pris.

Alors quand une maladresse est connue et répétée, on peut a minima parler d’irrespect à défaut d’employer des mots plus forts.

Contrairement à plusieurs lecteurs avec qui j’ai pu avoir des échanges sur ce sujet, une régie publicitaire pour financer une communication municipale ne me choque pas spécialement. Cela soulève néanmoins quelques questions.

Concernant la Gazette Marandaise qui existe grâce à ce type de fonctionnement, la concurrence ne nous gêne pas (pour peu qu'elle soit respectueuse). Sur ce point, nous sommes confiants sur les réponses professionnelles que nous sommes en mesure d’apporter pour donner le meilleur à nos annonceurs (la meilleure preuve est que nous sommes copiés !). Là où l’exercice peut-être plus délicat pour l'annonceur, c’est sur la coloration politique qui peut être attachée à une communication dans un bulletin municipal, et par extension, un soutien supposé.

Dans son bulletin n°2, la municipalité affirme vouloir « favoriser le tissu économique local ». Il est donc tout à fait étonnant que dès le troisième, il y soit fait la publicité d’entreprises non marandaises et parfois même dans le même corps de métier que plusieurs de leurs annonceurs, bien Marandais eux. Là encore pouvons-nous simplement parler de maladresse ? Le budget de la commune pour informer les habitants de Marans est-il à ce point limité ?

L’association qui soutient notre mensuel depuis sa création l’a manifesté dans son communiqué (voir ci-contre) : notre confiance a été bafouée. Dorénavant, nous agirons donc en conséquence. Certaines informations marandaises seront traitées de manière différente, et avec un ton peutêtre un peu moins bienveillant que celui que nous choisissons d’adopter habituellement.

Nous ne prendrons pas nos lecteurs en otages et continuerons bien évidemment à les informer tous les mois tel que nous le faisons depuis plus de 40 ans dans le respect de la pluralité et des différences. Que les associations marandaises ne s’inquiètent pas, une place de choix leur sera toujours réservée dans nos colonnes.

Manquer de respect à la Gazette, c’est aussi manquer de respect à plus de 30 000 lecteurs tous les mois, et cela, ce n’est pas acceptable.

Anthony POILASNE, directeur de la publication

Andilly - Charron - Longèves - Marans - Saint-Ouen - Villedoux Communiqué Rien de nouveau… Dommage Alors que le maire de Marans avait considéré comme acceptables les demandes légitimes faites par les responsables de l’association « La Gazette Marandaise » (voir la Gazette du mois de mars), force est de constater que rien n’a été modifié dans la présentation du bulletin n° 3 de la ville de Marans.

l ne s’agissait que de quelques modifications Idans à apporter au bulletin municipal de la Ville sa mise en page - notamment publicitaire

- afin que les deux parutions proposent une présentation légèrement différente, affirmant ainsi leurs personnalités respectives autant que leur complémentarité. Les choix qui avaient été faits par les responsables du bulletin municipal dans ce domaine, ressemblant trop à la Gazette Marandaise. À ce sujet, il faut rappeler que le directeur de la publication, responsable de la régie publicitaire, demeure propriétaire de la composition des visuels publicitaires qu’il a lui-même créés, et que l’intégralité des choix et la couleur des bandeaux est propre à la charte graphique identitaire de la Gazette Marandaise.

Cette similitude a pour conséquence d’entraîner une certaine confusion dans l’esprit de nos lecteurs qui n’ont pas manqué de le faire remarquer.

Une attitude peu conciliante (je mettrais plutôt décevante) Alors que le maire, qui nous a reçus le 18 février dernier, semblait avoir entendu les sollicitations de la Gazette marandaise, et que les quelques modifications demandées paraissaient possibles, il n’en a rien été.

Nous regrettons, en découvrant ce troisième bulletin de l’équipe municipale en place à Marans, qu’il n’ait pu y avoir le moindre geste à ce propos et que les engagements pris lors de notre entrevue avec le premier édile de la commune n’aient pas été suivis.

Une fois le sentiment premier d'indignation passé, c’est plutôt la tristesse et la déception qui nous habitent. Mais ainsi va la vie, elle est souvent jalonnée de confiance bafouée.

Nous finirons sur les mots d’Henri Jeanson, écrivain du XXe siècle : « Le travail est un trésor. Le travail des autres, cela va de soi ».

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La Gazette Marandaise

t pour nous éclairer, qui de mieux que Eprésident Bernard Ferrier, ancien maire de Marans et durant quinze années de la Gazette

Marandaise. Contacté par nos soins, il a bien voulu partager avec nous son point de vue.

La première réaction de cet ancien élu, fut, bien sûr, de considérer que toute copie est plutôt flatteuse pour celui qui en est l’objet.

La seconde précisait qu’il avait – du temps où il était aux responsabilités à la mairie – « toujours refusé d’accueillir dans le bulletin de la ville toute publicité évitant ainsi le mélange des genres et, ceci, malgré d’alléchantes propositions financières, alors que la Gazette Marandaise se chargeait d’assurer, déjà à l’époque, la promotion des entreprises marandaises ».

Les temps ont bien changé : le monde marchand dans lequel nous vivons nous fait oublier les vertus de l’indépendance, où, chacun, dans son domaine, trouvait la place de s’exprimer dans le respect de l’autre.

Nous laisserons le dernier mot à nos lecteurs qui sauront juger du bien fondé de notre démarche en songeant, avec humour, que l’emprunt non consenti est souvent une solution de facilité, là où l’on attend création et originalité.

L’équipe de rédaction de la Gazette Marandaise

Le Comité de rédaction de la Gazette Marandaise

Charron Le canal maritime se refait une beauté Depuis plusieurs semaines, la drague aspiratrice de l’Institution Interdépartementale du Bassin de la Sèvre Niortaise (IIBSN) est en action à proximité des écluses du Brault.

La drague aspiratrice de l’IIBSN est en action depuis début mars sur le canal maritime en amont de l’écluse du Brault.

est d’envergure et doit se Lde ’opération poursuivre jusqu’en août 2021. L’objectif est retirer 30 000 m de vases du canal maritime.

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Les différentes opérations doivent se réaliser de manière à ne pas perturber l’écoulement normal des eaux vers l’estuaire en temps normal ou lors des crues, à maintenir la circulation des bateaux sur le canal maritime, et ne pas perturber la migration des poissons entre leurs zones de croissance et de reproduction (alternativement eau douce et eau salée). Un cahier des charges conséquent donc.

Jouer avec les marées

Gazette Marandaise N° 446 mai 2021

Parole d’ancien maire

Il nous a semblé intéressant d'avoir le point de vue d'un élu au sujet de la trop grande proximité entre le bulletin municipal et notre magazine mensuel.

Crédit photo D. Picou

L’édito.

Nord Aunis

Puisant dans le canal maritime, les vases sont aspirées par la drague hydraulique stationnaire à raison de 400 m3 par jour. Elles sont ensuite refoulées lors des jusants* au moyen d’une colonne pour partie flottante et pour autre partie positionnée en berge, afin d’être rejetées directement en Sèvre maritime, ceci lors de

coefficients de marées supérieur à 60.

Le principe de la chasse d’eau

Une seconde opération sera ensuite mise en œuvre dans la Sèvre maritime. Elle consiste, à l’aide d’un bac à râteaux, à remettre en suspension les sédiments lors des jusants d’un coefficient de marées supérieur à 80.

Pour appuyer cet effet de chasse, des lâchés d’eau depuis le canal maritime ou le bassin d’eau seront réalisés au même moment afin de soutenir l’effet de la marée. Les éléments en suspensions devraient ainsi rejoindre l’estuaire, toutefois un suivi du bouchon vaseux est prévu pour la fin de l’hiver et le printemps prochains.

Une activité d’importance, observable depuis les écluses du Brault.

Christian GIRAUDET, correspondant Source : site internet IIBSN, arrêtés préfectoraux 18-EB-1401 et 21-EB-0105 des 27/11/18 et 26/2/21

* marées descendantes

Le projet éolien, où en est-on ?

Andilly Mi-mars, le comité de pilotage du projet éolien d’Andilly-Sérigny tenait une conférence de presse pour informer sur son avancement. projet, largement soutenu par la CDC Lpriseepuisqu’il répond aux enjeux de l’orientation de faire de la CDC Aunis-Atlantique un

territoire à énergie positive à l’aube de 2050, a vu le jour en octobre 2017. La commune a, dans son projet, prévu la création d'une société citoyenne pour la gestion du site et a confié à Valorem, entreprise française privée spécialisée dans les installations de production d’énergie renouvelable, la réalisation du projet.

Trois éoliennes

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Bernard LOSFELD, correspondant

(1) Fonds d’investissements créé à l’initiative de la région Nouvelle-Aquitaine, mais détenu majoritairement par les partenaires privés, il a pour but de participer au capital des sociétés de projet dans toutes les énergies renouvelables.

(2) Association créée en 2017 qui accompagne les citoyens dans la construction de projets solidaires et participatifs de transition énergétique sur l’Aunis, Oléron et Ré.

Éoliennes : un projet qui ne fait pas l’unanimité Andilly

mounier17@orange.fr

164, route de La Rochelle BAT 1 -

MARANS

Depuis début 2020, un certains nombres d'Andillais se sont organisés en asscoiation pour faire entendre leurs voix contre ce projet d'éoliennes sur leur territoire.

Crédit photo Pexels

Fabrication & rénovation Dépannage 7/7

Le comité de pilotage, composé de la municipalité, la CDC, l’entreprise Valorem, Terra Énergies(1) et l’association À nous l'énergie(2) a déterminé l'implantation des éoliennes qui seront au nombre de 3, d'une hauteur de 200 m en haut de pale et 135 m en haut de la nacelle. Leur puissance unitaire sera de 6 Mwh, et la production annuelle annoncée de 34 à 42Gwh/h, correspondant à la consommation électrique de 9500 foyers. Leur durée de vie est estimée à 30 ans. Un dossier a été déposé à la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement pour autorisation.

renouvelables dont les statuts sont en cours d'élaboration devrait voir le jour d’ici fin d'année 2021. Citoyens, collectivités et structures privées pourront prendre des parts du capital. La société vendra l'électricité à un distributeur choisi après consultation. Les dividendes obtenus serviront en premier lieu au financement de projets, projets qui devraient permettre la création d’emplois et de retombées économiques dans la CDC, la rémunération des investisseurs ne venant qu’en second lieu.

Une enquête publique a été menée du 29 mars au 29 avril 2021. Le rapport et ses conclusions sera remis courant mai.

En septembre, la Préfecture devrait prendre un arrêté d'exploitation et les travaux devraient débuter en 2023 pour une mise en service en 2024.

Trois éoliennes devraient s'ériger entre Andilly et Sérigny

Des études environnementales

techniques

et

Pendant douze mois, la société Valorem a réalisé des études techniques et environnementales, principalement sur l'impact paysager dans un rayon de 20 km et les migrations des oiseaux.

Concernant les nuisances sonores, c’est un bureau d'étude extérieur qui a fait des relevés de bruits sur 8 points différents. Ils seront comparés à ceux relevés après l'installation des éoliennes.

Des mesures de protection

Pendant les travaux, il est ainsi prévu un suivi par des écologues et d’éviter de commencer les travaux quand les oiseaux nichent et pendant la moisson. Pendant l'exploitation, sont prévus un plan de bridage des éoliennes contre les nuisances sonores et durant les travaux agricoles, un suivi de mortalité des oiseaux et des chauves-souris, une plantation de haies bocagères, des actions pour rétablir la réception de la télévision en cas de brouillage…. La liste n’est pas exhaustive.

Une société citoyenne de production d’énergies renouvelables

Une société citoyenne de production d'énergies

des éoliennes d’Andilly ne fait Là laepasprojet l’unanimité. En janvier 2020, suite présentation du projet au public, une

quarantaine de questions ont été posées aux porteurs du projet. Restés sans réponse, des habitants se sont réunis autour d’une association dont les statuts ont été déposés à la préfecture : le Collectif Andillais Contre les Éoliennes (C.A.C.E.), qui compte aujourd’hui 70 adhérents.

Une page Facebook a été créée et compte 315 membres.

Pas opposé à l'éolien mais...

Bruno Cohades, président de l’association, précise que le collectif ne s’oppose pas directement au principe de l’éolien d’une manière générale, mais dénonce le choix de l’emplacement, qui, selon l’association est trop proche des habitations, avec les risques d’impacts sur la santé et sur la valorisation des biens immobiliers que cela incombe. Il craint également des nuisances en termes de bruit et de visibilité. « Il y a une école élémentaire à Sérigny, quel sera l’impact sanitaire de ces éoliennes sur les enfants ? ».

La hauteur des édifices est également décriée : « 206 m, c’est la hauteur de la tour Montparnasse, c’est démesuré », selon Jérôme Léchelle, l’un des fondateurs de l’association.

Un montage de projet qui pose questions

Mais c’est aussi sur le montage du projet lui-même que Bruno Cohades s’interroge, dénonçant une approche présentée comme valeureuse et participative, mais ayant en réalité, selon lui, une vocation purement marketing : « On nous parle de projet citoyen, dénonce-t-il, alors qu’en réalité seules 31% des parts reviendront aux actionnaires citoyens par le biais de l’association À nous l’Energie, 69% du capital restant aux mains de Valorem, de la CDC d’Aunis et Terra Énergies (Région). Les investisseurs particuliers resteront minoritaires et n’auront de ce fait pas leur mot à dire», s’insurge-t-il n’hésitant pas à évoquer une « tricherie médiatique ».

L’association s’est montrée particulièrement active ce mois d’avril durant la période de l’enquête publique, espérant être entendue.

Propos recueillis par Nathalie MONTELLE, pour la Rédaction

La Gazette Marandaise

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Philippe met les voiles Charron

Après 22 ans à Charron, Philippe Julien goûte une retraite méritée quelque part sur l'océan Atlantique. ’est en 1999 que Philippe Julien a installé C son entreprise de chantier naval et de port d’hivernage au Corps de garde à Charron.

Crédit photo H. Flamencourt

La compétence alliée à la sympathie du personnage conduisit au succès, et ce bon gestionnaire mis tout en œuvre afin que son savoir-faire, si indispensable à l’accompagnement de l’activité maritime de notre littoral, soit transmis.

En 2004, le jeune Benoît frappa à sa porte. Il l’embaucha d’abord comme apprenti puis, passionné par les activités de son patron, il devint son fidèle employé.

Cap à l'Ouest pour une retraite au soleil

L’âge de la retraite ayant sonné pour Philippe depuis le 1er janvier, c’est désormais Benoît qui assure la continuité de l’activité de l’entreprise.

Après quelques mois passé à fignoler des préparatifs de navigation, en cette fin du mois de mars 2021, Philippe a mis à l’eau son voilier de 9,30 m. Après une brève escale à La Rochelle, une fenêtre de temps favorable s’étant offerte, le voilà en escale à Madère avant de mettre le cap à l’Ouest, vers les Antilles.

Que les vents soient favorables à ce marin d’exception, à l’aller, et au retour.

Christian GIRAUDET, correspondant

lire et relire

On a lu pour vous Le mystère Henri Pick de David Foenkinos

Bretagne, un Etousnbibliothécaire recueille les livres refusés par

les éditeurs. Parmi les manuscrits, une jeune éditrice découvre une pépite écrite par un certain Henri Pick. Elle part à sa recherche et apprend qu’il est mort deux ans auparavant. Mais selon sa veuve, il n’a jamais écrit autre chose que des listes de courses…Auraitil eu une vie secrète ? Auréolé de ce mystère, le livre de Pick aura des conséquences étonnantes sur le monde littéraire.

L’avis de Robert

Ce récit est l’histoire d’une supercherie pleine de surprises, quelquefois cruelles, mais toujours étonnantes, dont la fin surprendra le lecteur. En cette période de confinement où les écrivains amateurs n’ont jamais autant proposé de manuscrits à des éditeurs qui commencent à les refuser, cette histoire originale interroge sur les relations singulières que les lecteurs entretiennent avec l’écriture.

Le mystère Pick a également été porté à l’écran.

Robert PELLETIER, correspondant

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Inauguration au Jardin en Folie

Andilly Le 20 mars, l’association le Jardin en folie inaugurait la nouvelle allée centrale de son jardin dont les travaux se sont déroulés cet hiver. haque association C dispose en général de locaux où les

Crédit photo B. Losfeld

d’accessibilité.

Une subvention de 1000 € a été accordée par adhérents peuvent se la municipalité pour retrouver et participer l’achat des matériaux. aux activités. Ainsi, Après de nombreuses les jeunes musiciens heures de travail, se retrouveront à les bénévoles de l’école de musique, les l’association ont donc footballeurs au stade, pu inaugurer en bonne les amateurs de lecture et due forme une à la bibliothèque, etc. nouvelle et accueillante Pour ce qui est du Jardin entrée et une allée en Folie, le rendez-vous centrale carrossable qui est donné… au jardin permettra désormais à de l’association bien sûr tous d’accéder au lieu. ! Ce jardin, cultivé avec La traditionnelle paire de ciseaux avait été remplacée... Et donc, le samedi amour par les bénévoles 20 mars, veille du est ouvert à tous pour une petite balade au printemps, le maire et quelques élus ainsi milieu des aromatiques et autres plantations. qu’une une trentaine de personne assistaient à la cérémonie. Le traditionnel ruban était tressé Des travaux d'accessibilité Seulement voilà, jusqu’à présent, ce jardin était de fleurs printanières, et il a été coupé, cela n’est difficilement praticable pour les poussettes pas commun, par un coupe branche ! et fauteuils roulants. Les jardiniers, dans leur Les jardiniers en folie invitent tous les lecteurs de grande sagesse, ont donc décidé d’y remédier La Gazette à venir se promener dans leur jardin et se sont attelés, cet hiver, à de grands travaux au 18.G rue du grand Moulin, l'entrée est libre.

Bernard LOSFELD, correspondant

Charron Le grand carénage du Boucholeur La première phase des travaux de restauration sur la réplique du bateau mytilicole des années 1950 est achevée. e projet de restauration était réparti en deux Ltravaux phases. Une grande part, environ 60% des seraient réalisés bénévolement par les adhérents de l’association, le reste serait confié à des entreprises spécialisées. Une petite marge de sécurité pour des travaux supplémentaires éventuels, un « pied de pilote » pour reprendre une expression maritime, étant prévue dans le budget.

professionnels, les passionnés ont consacré 400 heures à restaurer le tableau arrière, l’estain bâbord, le safran du gouvernail, les caps de mouton et cadènes, les supports de soutien du pont, le coffret de commandes des pompes de cales, la pompe à main, le tableau de commande du moteur, etc.

En mai, ce seront les interventions confiées aux sous-traitants qui vont prendre le relai afin que le Boucholeur soit en parfait état de navigabilité dans les semaines qui suivent et ainsi, reprendre ses sorties ouvertes au public dans la baie de l’Aiguillon.

Crédit photo leboucholeur.com

Un financement compliqué

La sortie au sec du Boucholeur pour l'hiver (10/2020)

Commencée le 15 novembre et dans le respect des mesures restrictives liées à la pandémie Covid19, la première tranche de la restauration est désormais achevée. Supervisés par des

D’un coût trop élevé pour les seules finances de l’association du Vieux tape-cul qui en est propriétaire, ces travaux d’ampleur avaient fait l’objet d’un appel aux dons (Gazette Marandaise n° 442) afin de boucler le budget.

Mais force est de constater, soulignent les responsables de l’association, que le financement n'a pas été simple, malgré quelques prestations offertes ou facilités consenties. Dans l’immédiat, 62% des promesses de dons ou de subventions ont été encaissées, elles seront suivies de versements complémentaires quand le dossier déposé à la Fondation Patrimoine Maritime et Fluvial sera accepté.

Christian GIRAUDET, correspondant

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Enquêtes au cimetière Direction Charron pour cette enquête au cimetière qui nous emmène sur les traces d'un ancien maire du village.

ans le cimetière de Charron trône un D magnifique monument funéraire. Tout en haut, il est indiqué « Sépulture de la famille SacréMoinard » et compte apparemment 9 personnes.

Une vraie saga familiale avec beaucoup de destins et surement d’histoires à découvrir, mais concentrons-nous sur : « Jean Augustin Sacré Veuf M[ar]ie Magd[elei]ne Honorine Moinard Ancien Maire Décédé le 14 décembre 1898 Agé de 75 ans »

Menons l’enquête !

Et elle nous fait remonter le temps. Nous sommes le samedi 17 décembre 1898, à quelques jours de Noël. Il fait très froid et nous sommes aux obsèques de Jean Augustin Sacré, ancien maire de Charron.

Il y a beaucoup de monde. On est venu de partout pour lui rendre un dernier hommage, de la Vendée, de La Rochelle, de Marans, de Courçon…

Un journaliste de l’Écho Rochelais prend des notes. Surpris par cette affluence, il écrira même dans son article « l’église de Charron ne vit peut-être jamais un aussi long défilé à l’offrande ».

Un très bel hommage lui sera rendu, à travers cet article, avec de grandes éloges sur ses qualités humaines : « M. Sacré avait au plus haut degré les deux qualités qui commandent le respect de l’homme public été la confiance de l’homme privé ; il était fidèle à ses convictions et dévoué à ses amis. Son administration municipale fut marquée à l’empreinte d’une prudence intelligente et aussi d’une grande fermeté. » Agriculteur de métier, il aimait profondément son métier et était perçu comme « un guide et un modèle » car « il avait donné à ses affaires agricoles une extension très rare dans notre pays ».

Sa vie

Jean Augustin Eugène Sacré est né en 1823 à Chaillé-les-Marais, d’un père journalier lettré (on remarque que sa signature est ferme en bas de l’acte de naissance), prénommé Jacques et de Jeanne Guérin.

En 1845, cultivateur, il se marie à Marans avec Marie Magdeleine Honorine Agathe Moinard, fille de cultivateurs marandais. On peut, comme pour son père jadis, admirer sa très belle signature en bas de son acte de mariage, signe d'une bonne maitrise de la lecture et de l’écriture. Les jeunes époux vivent à la Motte David dans le Marais sauvage à Marans.

Mais, dès 1846, ils quittent Marans pour vivre à Charron, à la cabane du Château.

Au cours de leur existence, Augustin et Honorine ont eu 8 enfants dont quatre sont décédés en basâge et un à l'adolescence. Seuls 3 ont atteint l'âge adulte et sont enterrés dans le caveau familial.

Il fut maire de Charron à plusieurs reprises. Veuf durant 37 ans, il décède à l’âge de 75 ans à la ferme du Château de Charron, le 14 décembre 1898.

Coralie VERDIER, chroniqueuse généalogiste

Les informations ont été collectées dans les différents registres (d’état civil, militaire, etc.) et journaux de l'époque.

22 ans de mandature

1874 et 1896, Augustin Sacré a fait ESa ntre plusieurs mandats de maire. mandature aurait été continue si un mandat

(1881-1888) ne lui avait pas échappé, pris par un dénommé Porché-Avrard.

Il est difficile aujourd'hui de connaître les raisons de cet échec, mais cela se situant lors des prémices de la loi de 1905 (loi de séparation des Églises et de l'État), il ne serait pas étonnant que Sacré ait été de droite, et que le sieur PorchéAvrard et ses suivants de gauche, mouvement qui avait le vent en poupe à l'époque... Mais cela ne sont que suppositions.

Christian GIRAUDET, correspondant

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AG Clim 17, experte du chaud et du froid éco

Créée en 2016 par Anthony Goumard, l'entreprise AG Clim 17 propose son expertise dans les domaines de la climatisation et des pompes à chaleur aussi bien aux particuliers qu'aux professionnels.

Les saints de glace

Ce que l’on appelle aujourd’hui les saints de glace représentent en fait trois jours du mois de mai où il est dit qu’il fait particulièrement froid.

n pratique, les statistiques météorologiques Eimportant montrent que le risque de gelée n'est pas plus durant ces trois jours-là que durant

les jours qui précèdent ou qui suivent. C'est plutôt toute cette période située sur la première quinzaine de mai qui est à craindre car on peut observer des descentes d'air froid sur la France. Il est conseillé au jardinier d'attendre pour mettre en place les plantes les plus frileuses ou de les protéger le cas échéant.

Un peu d’histoire

Crédit photo A. Poilasne

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Bernard le jardinier

G. Maury (à gauche) et A. Goumard (à droite)

n 2018, l'entreprise s'agrandit. Le gérant Ehommes s'associe avec Grégory Maury et les deux emménagent dans la ZAC d'Andilly.

Depuis début avril, ils disposent d'un nouveau showroom. On y retrouve les différentes gammes de produits pouvant être installés. Il est ouvert aux particuliers et aux professionnels du lundi au vendredi de 8 h à 12 h et de 14 h à 17 h.

Climatisation, pompe à chaleur et chauffeeau thermodynamique Sa certification RGE Qualipac autorise l'obtention de primes à la rénovation énegétique aussi bien pour l'installation d'une pompe à chaleur que celle d'un chauffe-eau thermodynamique, deux domaines dans lesquels elle s'est spécialisée.

L'entreprise compte actuellement 7 personnes.

Elle assure la pose, l'entretien et les dépannages afin de satisfaire sa clientèle sur le long terme.

Un service clé en mains

L'entreprise artisanale pour qui service de proximité n'est pas un vain mot, propose la gestion clé en mains du chantier, tant sur la réalisation que sur sa partie administrative.

Voir publicité en page 2.

Les trois saints en question sont saint Mamert, saint Pancrace et saint Servais aujourd'hui disparus de nos calendriers mais autrefois fêtés pour marquer la transition entre l'hiver et l'été.

Au milieu du 5e siècle, l'église de Vienne avait alors saint Mamert pour évêque. Des calamités en tout genre étant venus désoler cette province, il prescrivit 3 jours d'expiration durant lesquels les fidèles se livreraient aux œuvres de la pénitence et feraient la procession des rogations(1) en chantant des psaumes pour protéger les cultures durant ces jours critiques. Les 3 jours qui précédent la fête de la montée du Christ au ciel furent choisis pour l'accomplissement de cette pieuse résolution. Sans s'en douter l'évêque de Vienne jetait ainsi les fondements des fêtes de l’Ascension que l'Église entière allait adopter.

Les deux autres saints, Pancrace et Servais, n'ont guère de rapport avec la nature mais ils furent associés à saint Mamert dans les prières des paysans. Leur patronage ne se révélant pas toujours favorable, ils ont fini par incarner le retour du froid. Les saints de glace étaient nés.

Bernard LOSFELD, correspondant

(1) du latin '' rogatio '', prière de demande à Dieu pour avoir un climat plus favorable , une protection contre les calamités .

Anthony POILASNE, directeur de la publication

Contact : 05 46 55 14 83 // www.agclim17.fr

dans ma rue

La rue du Both courant Cette rue très paisible, parallèle à la Sèvre est tout à fait récente puisque créée en 1982.

sommes pourtant, ici au cœur d'un lieu de Nous vie très ancien et très actif.

Un bras de la Sèvre

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La chaussée actuelle a été constituée à l'emplacement d'une ancienne voie d'eau, appelée depuis toujours le Bot courant. Celui-ci correspond au canal extérieur de la levée Norbeck creusé lors du dessèchement du marais du même nom en 1770.

Il s'agit cependant de la dérivation d'un cours d'eau plus ancien mentionné dès 1571 correspondant à « un bras naturel de la Sèvre, qui aurait son origine entre la hutte de St Amand et celle de la Morue » comme le précisaient les recherches faites par René Durand. À l'origine, le cours d'eau passait même au pied du château et formait ses douves (actuelle rue Gambetta), puis empruntait le parcours de la rue Carnot, pour finalement rejoindre la Sèvre au niveau de la place de la République. Encore visible à l'extrémité est de la rue, il est désormais souterrain et ressort sur le quai Maréchal Joffre.

De nombreux petits ports

Les ruelles du Port des Dames, Port Loizeau, Puits Barreau qui y débouchent, gardent le souvenir des petits ports installés le long du bot courant. Ils concentraient une importante activité économique liée au marais et donnaient accès aux mottes situées entre la Sèvre et le Bot courant. Sur celles-ci, on cultivait des jardins et l'on déchargeait et stockait du bois. Des pêcheries étaient également installées le long du cours d'eau, comme « le bouchaut du Lozeau » (port Loizeau) mentionné en 1664.

Le grand port de la Grève disparu avec le comblement des douves du château se situait quant à lui à l'angle des rues Gambetta, de la Grève et Port Tabarit. Le Port Sicard en était probablement le dernier vestige.

Jusqu'à la première moitié du XXe siècle

Les plans anciens de la ville datant du XVIIIe permettent d'imaginer la multitude de jardins entre Sèvre et Bot Courant et tous ces petits ports.

Plus récemment, des photos et des témoignages du début du XXe permettent aussi de se faire une idée des lieux avant le comblement du cours d'eau.

Ils révèlent une image de Marans aujourd'hui disparue que l'on peine malheureusement à reconnaître dans la configuration actuelle des lieux.

Alexandra PÉLUCHON, chroniqueuse Source : Viviane Bachelier, Marans et ses rues à travers les siècles, Les quartiers de l'est de la ville, cahier nos 4&5, 2011, pp. 62-64

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Paroisse

Horaire des messes

Samedi 1er mai : 17 h 30 à St-Ouen Dimanche 2 mai : 10 h 30 à Marans Samedi 8 mai : 17 h 30 à Villedoux Dimanche 9 mai : 10 h 30 à Andilly Jeudi 13 mai : 10 h 30 à Marans (Ascension) Samedi 15 mai : 17 h 30 à St-Ouen Dimanche 16 mai : 10 h 30 à Esnandes Samedi 22 mai : 17 h 30 à Charron (Pentecôte) Dimanche 23 mai : 10 h 30 à Marans (Pentecôte) Samedi 29 mai : 17 h 30 à Marans Dimanche 30 mai : 10 h 30 à Longèves (sous réserve de nouvelles normes sanitaires) Messe les mardis et mercredis à 9 h à l’oratoire du presbytère de Marans ; tous les vendredis à 16 h 30 à l’EHPAD d’Aligre à Marans.

Presbytère, 21 rue Dinot 17230 Marans, ouvert du lundi au samedi de 9 h 30 à 12 h sauf jours fériés.

Contact : 05 46 01 11 15.

Marans

Boutique solidaire

Dès la fin du confinement, la boutique solidaire du Secours catholique Côté coeur, côté fringue déstockera les vêtements tous les jours d'ouverture jusqu’à épuisement des stocks.

Les deux boutiques (vêtements et meubles) sont ouvertes les mardis et jeudis et le 2e samedi matin du mois. À noter : la boutique de vêtements sera exceptionnellement ouverte tous les samedis matin du mois de mai.

Dans les deux boutiques, le port du masque est obligatoire et les règles sanitaires doivent être respectées.

CSC Les Pictons centre est ouvert au public du lundi au Lportevendredi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h. Le du masque est obligatoire et les gestes barrières et le protocole sanitaire doivent être respectés.

Internet, aide aux démarches administratives L’espace multimédia est ouvert les mardis de 9 h 30 à 11 h 30 et les jeudis de 14 h à 16 h avec un animateur présent pour accompagner et aider.

Jeunes enfants

Les professionnels du LAEP la P’tite tribu accueillent, sur inscription et pour un nombre de places limité, les mercredis de 9 h 30 à 11 h 30 et les vendredis de 9 h à 11 h.

Vie professionnelle

Sur rendez-vous, un conseiller en insertion professionnelle reçoit pour aider à faire démarrer ou évoluer sa vie professionnelle. Ce service est ouvert à tous.

Prévention Jeunes

Une professionnelle est disponible pour des entretiens.

Enfants et ados

L’équipe jeunesse est joignable par téléphone et par le biais des réseaux sociaux pour transmettre les informations sur le programme des ateliers et sorties proposés aux jeunes.

Vie de famille

Les ateliers Le Cercle des Parents, Le 2e jeudi soir du mois et Un temps pour soi, le dernier vendredi soir du mois, sur Inscriptions, proposent des temps de discussion entre parents et avec des professionnels sur la thématique de la famille avec tout ce qu’elle peut avoir de compliqué parfois.

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La Gazette Marandaise

Bon à savoir Piéger les frelons asiatiques : la bonne période Arrivé en Europe occidentale il y a une vingtaine d’années, le frelon asiatique continue de faire des dégâts et le piégeage est, à l’heure actuelle, la seule défense que nous ayons pour nous protéger.

Vespa velutina nigrithorax serait arrivé L2000,’insecte discrètement en France au début des années de Chine, non pas à pied mais par bateau, une seule reine de frelon était en hibernage à l’intérieur d’une poterie importée.

Pourvu de capacités exceptionnelles d’expansion, en moins de deux décennies, il a colonisé la totalité du territoire français, puis progresse à présent dans neufs autres pays européens.

Gourmands d'abeilles

Pour se nourrir, le frelon effectue une redoutable prédation sur les abeilles domestiques, mais aussi et surtout sur les insectes sauvages, ces derniers représentant les 2/3 de son bol alimentaire en

engagé des actions de lutte. Elles consistent du côté des collectivités territoriales, à informer les administrés de la présence de nids et parfois vont jusqu’à prendre en charge leurs destructions par des entreprises spécialisées. Par ailleurs, un piégeage du frelon est réalisé à l’initiative des particuliers et associations.

C’est le moment !

Mais afin que l’impact réduise la population de frelons asiatiques, l’action doit être commune à l’échelle d’un territoire, et après les frimas d’avril, c'est le bon moment pour piéger.

Quand la température atteint entre 12 et 15°C, les pièges peuvent être mis en place à proximité d’arbres en fleurs, de points d’eau, entre 0,50 m et 1,50 m de hauteur, exposés au soleil le matin.

On trouve dans les commerces des pièges à peu de frais, mais l’on peut aussi les fabriquer.

Il convient ensuite d’y mettre des attractifs, par exemple 2/3 de bière alcoolisée plus 1/3 de sirop de fruits rouges (grenadine ou cassis). Ça fonctionne aussi avec du panaché auquel on ajoute du vin blanc. À noter que ces liquides, qui sont à renouveler tous les huit jours, doivent toujours contenir un minimum d’alcool pour repousser les abeilles.

Tous renseignements complémentaires sont consultables sur le site internet du Syndicat Apicole Départemental 17.

Christian GIRAUDET, correspondant

Contact : sad17/informations/ frelon asiatique/piégeage

Le frelon, un caractère irritable Crédit photo C. Giraudet

n sait son appétit insatiable envers les O abeilles, et donc sa présence à proximité des ruches. Mais le frelon est aussi attiré par

Les pièges faits maison fonctionnent très bien

zones rurales. Le nombre de pollinisateurs en est affecté à tel point qu’une équipe universitaire française a estimé à 80 millions d’euros par an le déficit induit par le manque de pollinisation.

Face à ce ravageur, l’inaction de l’État français est pointée du doigt. Mais, devant le danger qu’il représente tant pour l’environnement que pour les humains, de nombreuses collectivités territoriales, associations et particuliers ont

les zones de pêche, de marchés où il apporte une nuisance sur les stands de poissons, de viandes, de boulangeries-pâtisseries...

Son comportement fait que lorsqu’il chasse ou butine, il a tendance à ignorer l’être humain. En revanche, à proximité de son nid, qui n’est pas toujours facile de localiser, il peut se montrer très agressif, et c’est souvent là que les accidents graves surviennent. Si les nids sont souvent hauts perchés dans les arbres, ils peuvent aussi se trouver dans une haie, sous un toit, dans une embrasure de porte, un compteur d’eau, etc. Prenez-garde !

Christian GIRAUDET, correspondant

Marans Temps fort au collège : ce n'est que partie remise La veille des vacances de Pâques, toutes les classes du collège Marie-Eustelle devaient participer à une journée particulière, sur le thème du partage. Le 3e confinement national l’a malheureusement empêché.

Le matin, une marche dans Marans était proposée à toutes classes avec un départ d’un lieu différente et symbolique pour chacune. À la manière d'un rallye, chaque lieu choisi devait permettre d'engager la conversation sur une idée, un mot, et aurait amené le groupe vers une valeur partagée par l'ensemble scolaire MarieEustelle.

Durant la pause méridienne, collégiens et professeurs partageait un repas solidaire. La différence de coût avec un repas traditionnel devant être reversé à une association d'entreaide.

L'après-midi, chaque classe visionnait simultanément dans leur salle un documentaire sur les actions réalisées par cette association.

Enfin, une dernière surprise attendait les collégiens avant la sonnerie annonciatrice du départ en vacances.

Un projet fort de sens qui n’est que partie remise. Les équipes gardent espoir de réaliser cette sortie dès que possible.

La Rédaction

Crédit photo Ensemble scolaire Marie-Eustelle

roposé par la Vie scolaire à l'équipe P pédagogique, cette journée s’articulait en quatre temps.

La cour du collège, désespérement vide de ses élèves

La Gazette Marandaise

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Pour réaliser un piège sélectif Il faut : 2 bouteilles d'eau en plastique, des mèches à percer 8, 6 et 4 mm, du scotch large, du sirop de grenadine ou de cassis, de la bière ou du vin.

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Étape 1 : Couper le haut de la première bouteille ; Avec la mèche de 8 mm, percer un trou sur le bouchon, par exemple en la chauffant. C'est par ce trou que le frelon entrera ; Avec la mèche de 6 mm, percer plusieurs trous dans le corps de la bouteille. Par ces trous, les abeilles et autres insectes entrés dans le piège pourront sortir, le frelon, trop gros, ne pourra pas ; Dans le fond de la bouteille, avec la mèche de 4 mm, percer plusieurs trous qui laisseront passer les effluves du liquide sans que le frelon ne se noit dedans (tant qu'il est vivant et qu'il vole, il attire plus de congénères) ; Étape 2 : Couper le haut et le bas de la deuxième bouteille (le haut ne servira pas) ; Dans la partie du milieu, couper un cercle du diamètre de la bouteille;

Étape 3 : Retourner le haut de la première bouteille au bouchon percé ; Dans le bas de la deuxième bouteille, placer le mélange fait alcool-sirop (2/3 de bière alcoolisée (brune par exemple) et 1/3 de sirop de fruits rouges) ; Fixer les différentes parties avec le scotch large ; Étape 4 : Placer la partie découpée dans l'étape 2 sur le dessus du piège, elle le protègera de la pluie ; Créer un système de fixation, en insérant un petit bâton qui traversera les deux parties par exemple, et fixer le piège à une branche (voir photo) Illustrations ©La Gazette Marandaise

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Un drame évité dans l'église de Marans

un peu d’histoire Le 8 mai 1892 aurait pu être une journée tragique pour les Marandais. Mais ce que la population qualifia de miracle a sauvé la situation. 'histoire commence par une découverte. La Lplaque découverte, par le père Pierre Loriaud, d'une commémorative au presbytère de Marans

relatant un événement ayant eu lieu le 8 mai 1892 dans l'église, pendant la cérémonie des communions.

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La plaque (photo prise par Michel Rechain)

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Sur cette plaque offerte par « les Mères » en l'honneur de Marie pour en perpétuer le souvenir, il est question d'un mouvement de panique, d'un début d'incendie et d'un miracle.

Deux articles retrouvés dans les journaux locaux de l'époque permettent de reconstituer en partie les faits.

Un mouvement de panique

Au cours de la cérémonie de la première communion, au moment où les 150 enfants regroupés dans le chœur vont se consacrer à la sainte Vierge avec leurs cierges allumés, une femme se serait levée et aurait poussé un cri, déclenchant ainsi un mouvement de panique … et pas une petite panique ! L'article relate : « Voilà l'assemblée prise de peur, les hommes se précipitent des tribunes à travers les escaliers, les femmes crient, la panique est générale : on encombre les portes ; les enfants et les vieillards roulent sous les pieds, les jeunes communiants n'entendent plus la voix de leurs catéchistes ni de leurs maîtres ; les filles pleurent appelant leurs mères, les mères demandent leurs filles (...) » .

Heureusement le curé, l'abbé Hippolyte Chauvereau, pense aussitôt aux cierges allumés que les enfants, dans l'affolement général, ont laissé tomber à leurs pieds, menaçant d'enflammer les costumes des jeunes communiants.

Mais pourquoi un tel mouvement de panique ?

L'histoire fait frémir et l'on voit bien que la cérémonie est passée à deux doigts de la catastrophe, mais pour quelle raison ?

C'est dans un petit article tiré de l'Indépendant de la Charente-Inférieure que l'on trouve un début d'explication : « Depuis quelques temps, le bruit courait que l'église sauterait ce jour-là. » Dans ce contexte, il aura juste fallu qu'une personne « effrayée par la lumière du soleil qui se reflétait dans les vitraux » pousse un cri pour déclencher un mouvement de foule.

L'origine de cette rumeur n'est pas connue, peutêtre était-elle due à l'état de vétusté dans lequel se trouvait l'église ? Précisons que l'église dont on parle était certainement l'église Saint-Étienne, dans le cimetière. De plus en plus délabrée, elle souffrait de sa position excentrée et il était question de démolir la petite église des Capucins pour y construire un nouveau monument, la future église Notre-Dame-de-l'Assomption.

L'article de l'Écho Rochelais fait quant à lui le lien avec le contexte social de l'époque en France : « Hélas ! En France, les esprits sont montés, partout les bons tremblent, ils sentent qu'ils ne sont pas soutenus; les méchants, au contraire, ont toutes les audaces, ils sentent qu'ils sont protégés ». Dans un style plein d'emphase, on peut supposer qu'il s'agit d'une allusion à la vague d'attentats anarchistes qui secoue la France en ce début d'année 1892.

Alexandra PÉLUCHON, chroniqueuse Sources : L'Echo Rochelais, 14 mai 1892, p.3-4 L'Indépendant de la Charente-Inférieure, 17 mai 1892, p.3-4

La catastrophe miraculeusement évitée

Un témoin raconte : « Oui, j'ai vu, et la foule a vu la flamme s'arrêter, inoffensive, sur les gazes légères, brûler sans enflammer les tulles inflammables des robes, j'ai dû repousser les jeunes filles pour éteindre sous mes pieds les cierges qui flambaient sans les incendier. J'ai crié miracle et la foule l'a répété avec moi (...) ».

Le mouvement de panique prend fin grâce à l'action deux gendarmes présents dans l'assemblée et au curé qui, tentant de calmer les esprits, « eut l'heureuse idée de faire chanter le Salut ». L'article précise que « les cérémonies se terminèrent comme à l'ordinaire ».

La presse de l'époque se faisait régulièrement l'écho des attentats anarchistes (Le Petit Journal du 8/11/1892)

La photo en Une C'est la Sèvre Niortaise et son fameux pont marandais qui sont en Une de cette 446e Gazette. ais les puristes M rétorqueront : « Mais la Sèvre n'est pas une

rivière, c'est un fleuve ! » C'est tout à fait vrai, mais ils nous pardonneront cette petite inexactitude dictée par la poésie du titre du film de 1992 de Robert Redford qui nous semblait convenir tout à fait à l'ambiance du moment.

La Sèvre Niortaise est donc un fleuve côtier qui prend sa source dans la commune de Sepvret, au nord-est de Melle. Longue de quelque 158 km, elle devient navigable à partir de Niort.

Puis, elle s'écoule jusqu'à la baie de l'Aiguillon, traversant trois départements et 19 communes.

Le pont - si cher à La Gazette Marandaise qu'il en est l'emblème depuis plus de 40 ans -qui la traverse à Marans date du XVIIIe siècle. Achevé en 1782 sous le règne de Louis XVI, il fait partie des travaux engagés à l'époque pour relier Bordeaux à Saint Malo par la route.

La Rédaction Photographie : Aline Rainteau-Taillieu

La Gazette Marandaise

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Couvre-feu et éclairage public environnement

Cette interdiction qui est imposée à la population de circuler dans les rues durant une certaine période, généralement la nuit et tôt le matin, vient d’un passé lointain.

’usage général au Moyen Âge, et ce D surtout en temps de guerre, c’est au son de la cloche d’une église ou d’un village, le soir,

que les habitants devaient rentrer chez eux puis éteindre les feux dans les cheminées en recouvrant les flammes du foyer à l’aide d’un couvercle. Ainsi serait née, vers le XIIIe siècle, l’expression « couvre-feu ».

Puis le couvre-feu réapparut. Nos aînés l’ont connu sous l’occupation allemande pendant la seconde guerre mondiale. Puis ponctuellement, il fut réinstitué lors d’événements particuliers en 1961, 2005 et 2018 par exemple.

Extinction des feux ?

Pour ce qui concerne le couvre-feu actuel qui constitue un moyen de lutte contre la pandémie Covid 19 et dont le bien-fondé est généralement compris et supporté autant que chacun le peut, il pose questions. En effet, certains s’étonnent qu’il ne soit pas accompagné, dans nos communes, d’une extinction de l’éclairage public après 19 h et avant 6 h, ce dernier ne semblant plus se justifier puisque la quasi-totalité des personnes ne peuvent pas circuler dans l’espaces public.

Leur argumentation ajoute les conséquences positives qui en découleraient en matière d’économies pour les municipalités toujours à la recherche de subsides, et d’impact positifs sur la faune et la flore.

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Christian GIRAUDET, correspondant

Et la lumière fut...

B

CC BY-SA 4.0

ien qu’on trouve des témoignages de l’existence d’un éclairage public dans les cités dès l’époque romaine, il semble que ce ne soit qu’à partir de la moitié du XVIIe siècle que certaines villes, dont Paris, instaurent l’établissement d’un éclairage des rues.

L’allumage des lampes (des lanternes garnies de chandelles), qui étaient placées aux deux extrémités et au milieu de chaque rue, est confié, dans chaque quartier, à des habitants désignés par les autorités. Ils sont en charge d’allumer les lanternes à horaire fixe tous les soirs. Un impôt de « boues et lanternes » est même créé et dû par tous les propriétaires parisiens pour « l’entretien des rues et des lanternes ».

Vers 1760, les lanternes sont remplacées, pour le plus grand bonheur des citadins (et des chiens), par des réverbères à huile. Puis, dans les premières années du XIXe, c’est le gaz qui permet d’éclairer les rues. Ce sont les allumeurs de réverbères, ou Un allumeur de réverbères, falotiers, qui les Londres, vers 1900 allument tous les soirs. L'électricité arrivera quelques années plus tard.

Des rues plus sûres ?

Si, l’objectif de départ était bien la sécurisation de l’espace public, la lumière faisant espérer une diminution de la délinquance, on sait aujourd’hui qu’il n’en est rien. Pour preuve, lors de certains regroupements menaçant l’ordre public, les autorités compétentes coupent l’électricité de la zone concernée avec pour résultat le retour du calme.

Alors, éclairage public ou pas éclairage public ? Chacun se fera son avis, mais ce qu’on peut dire, c’est qu’ assurément, à un moment donné, ça va être tout noir…

La Rédaction

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La Sainte Vierge au Brault un peu d’histoire

De visu, il n’y a eu aucun témoin, mais qui mettrait en doute la parole de la plus haute autorité du royaume de France ?

ais reprenons quelques éléments de cette M affaire.

Pour franchir la Sèvre Niortaise, le lieu le plus en

aval où l’on pouvait franchir le fleuve à gué à travers la vase se nommait Brauld (ou Brault, Braud, Bron, Brou selon les époques et les rédacteurs). Les chroniqueurs du XVIe siècle le décrivait comme incommode, et praticable seulement à marée basse et l’été.

Malgré cela, il semble pourtant que certains l’empruntaient l’hiver, comme en témoigne ce récit de février 1568 « …et s’en allèrent jusqu’à Marans par le passage du Braud, dont les anciens étoient fort mouillés et embrisés* jusqu’au fesses, car le Braud n’est en ce temps assez propre pour passer ».

Une réconciliation royale

Toujours est-il qu’aux XV et XVIe siècle, ce lieu devait être des plus fréquenté car un certain 5 (ou 7) septembre 1469, le roi Louis XI y tenta une réconciliation avec son frère Charles de France, duc de Guyenne.

L’affaire n’étant pas gagnée d’avance et la méfiance étant de mise, toutes les précautions furent alors prises afin que les deux frères puissent se rapprocher l’un de l’autre sans risque.

Pour cela, il fut construit, à l’aide de bateaux, une sorte de pont flottant sur la Sèvre au passage du Brault, et pour qu’ils puissent parlementer sans risque d’agression l’un vers l’autre, il avait été disposé au milieu de ce passage temporaire une tente séparée en deux par une grille de fer.

Toute cette infrastructure fit que l’entrevue fut un succès qui déboucha sur une réconciliation totale suivie d’échanges de provinces.

Une absence de marée « miraculeuse »

Il semble même que Dame Nature accompagna cet instant mémorial (cependant un peu oublié) d’un phénomène exceptionnel, qualifié alors par les marins et le monarque de « merveilleux ». En effet, alors que cette réunion se déroulait à proximité de l’équinoxe d’automne par un gros coefficient de marée, il ne se produisit pas la grande amplitude entre la haute et la basse mer qui était prévisible, du jamais vu de mémoire d’homme proclamaiton à l’époque, ce qui facilita vraisemblablement le maintien en lignes des embarcations.

Cela étant, avant d’aller passer la nuit dans le village tout proche de Puy Reveau (Puyravault), l’heureux dénouement de cette affaire et l’incroyable bienveillance des flots, furent attribués par le roi à la protection de la Vierge. Sa Majesté exprima alors « Dieu et Notre-Dame en soit loués ».

Si le roi le dit…

Christian GIRAUDET, correspondant Source, (pour partie) Les marais de la Sèvre niortaise et du Lay, Étienne Clouzot, éd. Clouzot à Niort 1904

* peut vouloir exprimer « enlisé dans le bri », cet argile bleuâtre de nos côtes

Course nature

Quatrième édition de l’Envolée longevoise organisée par l'Association Longevoise des Parents d'Élèves, le dimanche 13 juin à partir de 9 h 30 au départ de la salle de spectacle L’Envol.

Deux distances proposées : 5 km ou 10 km sur deux parcours distincts.

Départ commun à l'Envol à 9 h 30 (selon le protocole sanitaire le départ sera masqué).

Frais d'inscription : 7€ pour 5 km ; 10 € pour 10 km.

Retrait des dossards le samedi 12 juin de 15 h à 18 h et le dimanche à partir de 8 h, à l'Envol.

Renseignements : www.courirencharentemaritime.fr

patrimoine

Le Noah

’est un cépage qui fut importé d’Amérique C en France pendant la crise du phylloxéra.

On ne lui trouva alors que des qualités : la

résistance aux maladies qui permettait d’éviter les traitements, une grande facilité de culture car il ne demandait pas de greffage, un haut degré alcoolique, une productive fructification qui intervenait tardivement évitant ainsi les risques de gel…

Mais voilà qu’avec le temps, il lui fut attribué aussi de rendre les grands consommateurs du délicieux nectar qui en était extrait, fous et aveugles.

Et les griefs ne manquaient pas, l’époque s’y prêtant.

Il fut avancé son importante teneur en méthanol, bien que celle-ci n’était, parait-il, guère plus élevée que celle d’autres cépages autorisés. Sa résistance aux maladies ne fut pas, non plus, vue d’un bon œil par l’industrie chimique qui n’appréciait pas ce nouveau cépage exempt de traitement. Et puis, en ces années 1930, le marché était inondé de la surproduction de vins en provenance d’Algérie, dont le coût de revient était bas grâce à une main d’œuvre peu chère, ainsi qu’une quasi absence de taxes.

Pour réduire la production, nonobstant toute préoccupation écologique, les cépages les plus productifs étaient visés.

Instiguée peut-être par des groupes d’intérêt, une loi interdisant six cépages qui recouvraient alors le tiers de la surface viticole française (dont le Noah faisait partie) fut votée. Un vote définitif en catimini qui eut lieu un 23 décembre 1934, publié au J.O. du 25 décembre sous la date du 24.

Au cours des débats qui précédèrent le vote, parmi les propositions cherchant à trouver une solution pour écouler la surproduction vinicole, il est rapporté à titre anecdotique celle d’un député qui proposa que l’on passe la ration de vin du soldat de 0,5 à 1 litre par jour. À cela le président du Conseil acquiesça par ces mots « Je suis tout à fait d'avis que, dans la période où le vin est bon marché, on fasse un gros effort pour en assurer la consommation et que la troupe bénéficie de plus fortes rations ».

Depuis 2003, l’interdiction de commercialiser du vin issu de certains cépages, dont le Noah, est maintenue, mais leur culture pour la consommation familiale est tolérée, pour faire des confitures par exemple, mais pas du vin.

Par sa saveur très identifiable et son absence de traitement, quelques amateurs attachés au patrimoine de nos territoires préservent encore ci et là quelques ceps de ce délicieux raisin pour leur usage personnel.

Christian GIRAUDET, correspondant

La Gazette cherche un distributeur

Après quelques années de bons et loyaux services, deux de nos distributeurs prennent une retraite bien méritée. Nous cherchons donc leurs remplacants. a mission est Lrépète durable et se chaque mois,

nous cherchons donc des personnes qui sont prêtes à s’engager sur le long terme.

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Q u e l q u e s conditions sont pré-requises. Tout d'abord avoir un véhicule motorisé ; être disponible quelques jours au début de chaque mois et pouvoir les consacrer pleinement pour assurer la distribution sur plusieurs communes.

Le travail se fait en autonomie : les horaires, jours de travail et le mode de déplacement pour faire la distribution restent libres. L’utilisation d’un vélo peut être une solution optimale mais les tournées dans chaque village se font très bien à pied aussi.

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La Rédaction

Andilly La musique connectée Depuis plusieurs mois, l’école de musique L’Accord Parfait vit crescendo, decrescendo entre cours présentiels et distanciels.

ortement soutenus par les professeurs, les Fartistique. élèves continuent à renforcer leur talent En visio ou pas, la musique continue

de résonner. Côté danse, c’est plutôt une longue pause… Valérie, la professeure, retrouvera avec bonheur ses petites danseuses dès l’annonce de jours meilleurs.

Des projets à venir

Des projets fourmillent au sein de l’association : auditions instrumentales avant l’été, nouvelles activités de danse et de musique en septembre,

Crédit photo V. Vasnetsov

Longèves

Les cours reprendront dès que possible.

concert à l’automne. Et aussi un projet créatif avec les familles et une collaboration nouvelle à un festival de musique mais chut, c’est une info pour une future Gazette…

L’Accord Parfait dynamise de plus belle son offre d’enseignement artistique et lancera avant l’été le programme des animations et des cours 20212022. À suivre donc dans un prochain article.

C. BELLOUARD et C. BARRE, pour L’Accord Parfait

La Gazette Marandaise

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La Gazette Marandaise

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Mosaïque est un de ces lieux. Après Lpass’Espace vérification de l’éligibilité du demandeur, le numérique est remis. Il permet de profiter

de 5 à 10 cours informatiques gratuitement pour apprendre à réaliser ses démarches en ligne, naviguer sur internet, échanger des mails ou tout simplement apprendre à utiliser un ordinateur.

Les mairies de Courçon et de Marans sont également habilitées à remettre les pass numérique via le Conseil départemental.

Les cours sont dispensés par une animatrice multimédia à l’Espace Mosaïque de Courçon sur rendez-vous uniquement.

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accueils LAEP (Lieu d’Accueil Enfants LtousesParents) « Pomme de Reinette » sont ouverts les mercredis de 9 h 30 à 11 h 30 à l’école de Cram-Chaban et tous les vendredis à Nuaillé, salle de la Métairie, de 9 h 30 à 11 h 30.

Ils sont réservés aux familles, grands-parents avec enfants de quelques mois à 6 ans, ou encore, futurs parents. Ils sont libres et gratuits, uniquement sur inscription.

Sur place, des jeux et jouets sont mis à disposition.

Courçon

Le parcours O.D.A.S. est un programme adapté et individualisé pour se remettre le pied à l’étrier dans sa recherche d’emploi.

reprendre confiance en soi et se projeter vers un nouvel avenir professionnel, identifier ses points forts et ses talents, trouver l’envie, le plaisir et l’energie pour avancer.

Un programme individualisé mais en groupe

Le programme s’il est adapté à chaque participant, profitent des effets positifs du travail en groupe.

L’accent est mis à la fois sur le regard que le stagiaire porte sur soi avec des conseils pour la valoriser et gérer ses émotions et des jeux de rôles pour mieux se connaître et améliorer ce regard, mais aussi sur les compétences de chacun notamment à l’écrit avec des ateliers d’écriture pour retrouver le plaisir d’utiliser les mots, de développer son expression orale et écrite, et des ateliers informatiques pour développer ses compétences digitales.

Informations prtaiques

Le programme se déroule sur 3 mois, à raison d’un jour et demi par semaine au maximum.Huit 8 personnes maximum forment le groupe et des entretiens individuels sont prévues régulièrement. Enfin le dispositif O.D.A.S. est gratuit.

Une nouvelle session débute à l’Espace Mosaïque à partir du lundi 17 mai.

Se renseigner à l’accueil ou par téléphone.

La Rédaction

La Chinetterie

uverture du mardi au vendredi de 14 h à 18 h O et le samedi de 10 h à 18 h. Les dépôts sont autorisés pendant les horaires d’ouverture.

Contact : lachinetterie.com

La Rédaction

Espace Mosaïque - 27, rue de Benon 17170 Courçon // 05 46 01 94 39 // www.espacemosaique.fr

humour

Si t’m’avais dit qu’au l’était dau bon...

vouère comme t’chau fi d’garce de FL’auteaut Morchu bouait la vinasse. jour, l’a été chez Ferdinand. Avec sa jambe

de boué, l’aurait bé pu guiller en descendant dans la cave, mais au s’est bien passé. Pendant que l’bavassion, dans un vessia qu’était un p’tit lugroux, Ferdinand li a dounné, pas ine lichette, mais ine grande verrasseille d’54. T’connais Morchu, l’est pas zirou, pi au l’est pas un gars qui gavagne. L’au a épouésé en moins d’temps qu’au l’en faut pour au dire.

Ferdinand li a d’mandé : « Alors, ké t’au qu’t’en penses d’mon 54 ? » Morchu li a répondu : « Bon d’ju, si t’m’avais dit qu’au l’était dau bon, y l’aurais goûté. Doune-moi z’en ine aute verraseille, y vais t’dire c’que y’en pense ! » (une histoire authentique) Christian GIRAUDET, correspondant

Si tu m’avais dit que c’était du bon...

Il faut voir comme ce malin de Morchu boit le vin.

L’autre jour, il s’est rendu chez Ferdinand. Avec sa jambe de bois, il aurait bien pu glisser en descendant dans la cave, mais ça s’est bien passé.

Pendant qu’ils discutaient, dans un récipient qui n’était pas très propre, Ferdinand lui a servi, pas une petite quantité, mais un grand plein verre de cépage 54. Tu connais Morchu, il n’est pas trop regardant à la propreté du récipient, et ce n’est pas un gars qui gaspille la marchandise. D’emblée, il a vidé son verre.

Ferdinand lui a demandé : « Alors, qu'est-ce que tu en penses de mon (cépage) 54 ? » Morchu lui a répondu : « Bon sang, si tu m’avais dit que c’était du bon vin, je l’aurais goûté. Redonnem’en un autre verre afin que je te dise ce que j’en pense. »

Installation Thermique Sanitaire 17

Val de Sèvre

La Gazette Marandaise

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Sud-Vendée

Aisne, Chaillé-les-marais, Le Gué-de-Velluire, L’Ile d’Elle, Le Sableau, La Taillée, Vouillé-les-marais.

Vouillé La gym a repris !

Une petite bise soufflait, mais le soleil brillait pour la toute première séance de gymnastique volontaire de 2021, après 6 mois d’interruption.

’est la halle du Gué-de-Velluire qui a accueilli C les participants. Le lieu a en effet l’avantage d’être en plein air et de permettre de s’abriter en

Crédit photo MC Pelletier

cas de pluie.

Un rendez-vous qui était attendu par les adhérents

Ce fut un plaisir de se retrouver pour partager ce moment de détente privilégié si nécessaire !

Les séances en vidéo concoctées par Clémence ont heureusement permis à celles et ceux qui le souhaitaient de pratiquer à la maison, cependant, rien ne vaut les cours en commun.

Les vacances scolaires de Pâques n’ont pas permis encore à tous de se retrouver, mais cela ne saurait tarder tant le besoin d’activité physique en cette période de confinement est important.

De nouveaux horaires

Le couvre-feu mis en place depuis un mois a nécessité quelques aménagements d’horaires.

Ainsi, les différentes séances auront lieu : le mardi de 9 h 30 à 10 h 30, de 10 h 30 à 11 h 30 et de 17 h 30 à 18 h 30 avec Anne-Marie ; le mercredi de 17 h à 18 h avec Clémence.

Chacun peut, bien sûr, assister à la séance de son choix, voire à plusieurs séances, toujours en respectant les règles sanitaires en vigueur.

Marie-Claude PELLETIER, présidente

Champagné

Collecte de textiles

Organisée par L’Amicale Laïque et l’école publique les samedis 1er, 8, 15 mai et dimanche 23 mai de 13 h à 14 h, au garage de l’Amicale, place de la garderie.

Peuvent être apportés (dans le respect des consignes de tri et consignes sanitaires) : vêtements propres et secs, chaussures liées par paires, petite maroquinerie (ceintures, sacs à main, portefeuilles), linge de maison. Les chaussures, la maroquinerie et les textiles seront dans des sacs séparés.

Contact : 06 85 84 39 35 // 02 51 56 52 09.

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Inscriptions pour la rentrée scolaire L’Île-d’Elle

En raison du protocole sanitaire contraignant, la journée portes-ouvertes de l’école Saint-Hilaire du samedi 13 mars 2021 a dû être annulée.

Entreprise de jardins espaces verts

es nouvelles inscriptions pour la rentrée Lconséquence, 2021 devaient commencer ce jour-là. En la direction de l’école informe

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Au Jean-Baptiste

Chaillé

Les dates de la programmation présentée cidessous seront maintenues en fonction des décisions sanitaires nationales.

expo

L’école de Chaix

élèves de de l’atelier d’arts plastiques de LuneesChaix, animé par Danièle Filâtre, exposent partie de leurs travaux du 23 mai au 13 juin.

Accueil les dimanches 23 et 30 mai et les 6 et 13 juin, de 15 h à 18 h et sur rendez-vous.

Le vendredi 21 mai à 18 h.

Entrée libre.

danse

Luttes au féminin

le travail de ses élèves LaavecCieuneC3Dmiseprésente en scène adaptée.

Le vendredi 28 mai à 20 h 30, le samedi 29 mai à 15 h et à 20 h 30, le dimanche 30 mai à 15 h, Entrée : 5 €.

lectures

Des hommes... et le travail

lecture du JB présente des extraits de Ldes’atelier romans actuels sur le thème « Des hommes, femmes et le travail ».

tous les parents des élèves et des futurs élèves qu’ils peuvent contacter dès maintenant Flavie Druard, la directrice de l’école.

Michel PELTIER, correspondant

Contact: direction@liledelle-sthilaire.fr

Champagné

Vide-greniers

Organisé par l’Amicale Laïque de Champagné au profit de l’école publique Jean Macé, le dimanche 30 mai, dans le parc Waldeck Rousseau sur le site de l’ancien terrain de camping.

Ouverture au public de 9 h à 17 h avec restauration et buvette sur place et jeux pour les enfants. Dans le respect des consignes sanitaires du moment.

Infos exposants : Installation des exposants à partir de 7 h ; 3 € le mètre linéaire.

NDLR : la manifestation présentée ci-dessus sera maintenue en fonction des décisions sanitaires nationales. Se renseigner auprès de l’association au préalable.

Renseignements et inscriptions : 02 51 56 52 09.

Mickaël, les baskets aux pieds pour Youssef Chaillé

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Éloge de la différence

ue faire quand son petit frère est différent Q et que le monde entier semble n’y rien comprendre ? « Mon frère, ma princesse » un spectacle jeune public de Catherine Zambon. mis en scène par la Cie Double Soleil.

Le vendredi 11 juin à 18 h 30.

Entrée : 5 € et 4 €.

Spectacle

De sang et de lait

«L

es temps qui courent...

De sang et de Lait » est un spectacle où Bernadette Bidaude, conteuse, porte la voix d’Élisabeth Eidenbenz, une jeune institutrice de 25 ans, qui créa une maternité de fortune près de Perpignan et permis à plus de 600 enfants de nationalités européennes de naître à l’écart des camps de concentration du sud de la France.

Un spectacle émouvant et plein d’espoir. Tout public à partir de 14 ans.

Le samedi 12 juin à 20 h 30.

Entrée : 12 €, 8 € et 5 €.

Toutes les représentations du Jean-Baptiste sont organisées dans le respect des gestes sanitaires en vigueur.

Contact. : 02 51 56 78 78 // contact@theatre-lejeanbaptiste.fr

Crédit photo M. Faucher

Le samedi 5 juin à 20 h 30.

Entrée : 5 €.

Le 22 et 23 mai, Mickaël Faucher, habitant à Chaillé, courra 180 km sur le GR8, en Vendée, depuis La Barre-deMonts jusqu’au pont du Brault. jour, après LBarreeunpremier départ à 6 h, à la de Monts il prévoit

Mickaël court pour Youssef, d’arriver au remblai des Sables d’Olonne gravement malade

vers 17 h, après avoir parcouru 85 km. Le lendemain, nouveau départ du remblai des Sables, à 6 h du matin, pour une arrivée au pont du Brault, vers 18 h, après avoir parcouru 95 km.

Un défi personnel et solidaire

Mickaël Faucher soutient l’association « Baskets aux pieds » (BAP) qui accompagne et soulage le quotidien des enfants hospitalisés de l’hôpital parisien Armand Trousseau, en leur faisant découvrir la nature vue du ciel, via une technologie de réalité virtuelle. En faisant cela, il réalisera aussi une prouesse physique et un dépassement de lui-même pour surmonter la difficulté de l’épreuve.

Une course pour Youssef

En cette année 2021, une grande opération de parrainage d’enfants hospitalisés a été lancée par l’association BAP. Mickaël Faucher qui est le parrain de Youssef, l’un d’entre eux, portera son dossard sur son sac à dos.

Sur le GR8, le long de la côte vendéenne du nord au sud du département, des paysages variés seront traversés entre dunes, forêts et marais.

De quoi faire une belle vidéo pour Youssef et les autres enfants malades soignés dans le service d’oncologie de l’hôpital Armand Trousseau.

Il est possible de faire un don pour l’association BAP, une cagnotte est ouverte par Hello Asso.

Marcelle BONNEAU, correspondante

Contact : 06 78 78 23 62 // mickael-faucher@orange.fr www.basketsauxpieds.fr

La Gazette Marandaise

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Un parcours artistique, entre vigne et marais Vix

C’est une initiative insolite et inspirante qui va être inaugurée à Vix le dimanche 6 juin. L’association Renc’Arts propose un circuit de découverte artistique, culturelle et touristique à parcourir seul, en famille, ou entre amis, à pied, à vélo ou en voiture.

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uN projet ?

Nous avoNs

l’expertise !

aloriser le patrimoine naturel de la commune V de Vix en organisant un parcours ponctué d’étapes artistiques et gourmandes, c’est le défi que s’est lancé l ‘association Renc’Arts à Vix. Ce projet verra le jour le dimanche 6 juin à l’occasion d’une journée festive qui démarrera à 9 heures place de l’église et se terminera par un apéro musical à 18 h 30.

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Le sculpteur Duo Coudreau exposera un de ses œuvres

Parcours artistique, accordéon et bourriche d’huîtres

Tout au long de la journée, le public sera invité à découvrir, sur un parcours balisé de 18 km, les oeuvres de onze sculpteurs qui ont travaillé sur le thème « la vigne et le marais ». Les artistes seront présents sur leur site d’exposition tout l’aprèsmidi, et il sera possible d’échanger avec eux, sur un air d’accordéon, à 11 heures sur la place de l’église, autour d’une bourriche d’huîtres.

A 17 h 30, le public pourra apprécier une représentation théâtrale de sketchs et saynètes offerte par la troupe « Théâtre Ados ».

Les artistes au travail à partir du 15 mai

Pour celles et ceux qui souhaitent voir les artistes à l’œuvre, quatre d’entre eux réaliseront leur travail en symposium à l’entrée du village à partir du 15 mai.

Une application mobile, Baludik, permettra de se repérer sur le circuit et, tel un guide, apportera toutes les informations sur le patrimoine historique et naturel vizeron, sur les artistes et leurs œuvres.

Soutenu par les acteurs économiques et institutionnels du secteur, ce parcoursdécouverte restera permanent et en accès libre pour le public.

Le dimanche 6 juin au départ de la place de l’église de Vix.

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Une séance de futsal pour les élèves de CM1 et de CM2 de l’école de Chaillé-Les-Marais avec Hugo Grelaud.

a section futsal du FC2 Sud Vendée compte Lseniors 65 licenciés. Elle présente deux équipes qui évoluent toutes deux au plus haut

niveau régional. Elles sont d’ailleurs les uniques représentantes vendéennes à ce niveau. Une école homologuée de futsal est également ouverte aux jeunes de 6 à 17 ans.

Pour les raisons sanitaires qu’on connait, l’ensemble des activités sportives sont actuellement à l’arrêt, cependant, l’école de futsal avec des petits rassemblements extérieurs sur de petits stades poursuit son activité dans le respect du protocole sanitaire.

Découverte du futsal à l’école

Le club, en collaboration avec le District de Vendée, a mis en place, par l’intermédiaire d’Hugo Grelaud, actuellement en formation BMF (Brevet de Moniteur de Foot) en alternance au sein du FC2 Sud-Vendée, un cycle de découverte du futsal dans les écoles. Ainsi, de mars à juin, tous les élèves de CM1 et CM2 des écoles du canton de Chaillé, avec lesquelles une convention a été signée pour intervenir dans le cadre des EPS, découvriront ce sport qui a de plus en plus d’amateurs en France et au-delà.

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Le Futsal

mot est issu de la contraction de l’espagnol LLa e« discipline futbol sala », football en salle. a été inventée en Uruguay dans les années 1930 suite au succès de la Coupe du Monde de football organisée cette année-là dans ce pays et au manque cruel d’infrastructures footballistiques à l’époque.

Basket, handball, water-polo...

Les règles s’inspirent de plusieurs sports autres que le foot : le basket, auquel le futsal a emprunté le nombre de joueur sur le terrain et la durée des matchs (40 minutes), le handball, pour les dimensions du terrain et des buts, et le water-polo pour les règles du gardien de but.

Le jeu se joue entre deux équipes de 5 joueurs (avec une rotation de 9 joueurs remplaçants, soit 14 joueurs par équipe). Le ballon utilisé est plus petit qu’au football, plus dur et moins rebondissant. Les contacts sont moins présents que dans le football traditionnel. Le futsal se joue aussi bien en salle fermée qu’en extérieur.

En plus d’être un sport professionnel à part entière, avec des championnats nationaux et internationaux, il est également considéré comme éducatif pour le football à onze. En France, ce sport est rattaché à la Fédération Française de Football.

Michel PELTIER, correspondant

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Distribution Responsable distribution tous secteurs : Anthony POILASNE 06 63 35 32 92

Responsable distribution Le Gué-de-Velluire / La Taillée : Daniel Grelaud 02 51 00 49 84

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Rédacteur en chef : Christian GIRAUDET 06 37 44 97 13

Gazette Marandaise - BP 600 11 - 17230 Marans

Directeur de publication (V109) : Anthony POILASNE Secrétaire de rédaction : Aline RAINTEAU-TAILLIEU (pour V109) Graphisme & mise en page : VISIONère 109

e.mail : gazettemarandaise@gmail.com

Anthony POILASNE

06 63 35 32 92

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Correspondants nord-Aunis : Andilly-Sérigny :

Bernard Losfeld - ba.losfeld@gmail.com Charron : Christian Giraudet - christian-giraudet@orange.fr Marans : La rédaction - gazettemarandaise@gmail.com val de Sèvre : Courçon/ St Jean gazettemarandaise@gmail.com - sud-Vendée : Le Gué-de-Velluire : Marcelle Bonneau - bonneau.marcelle@gmail.com La Taillée : Marcelle Bonneau - bonneau.marcelle@gmail.com Vouillé-les-marais : Robert Pelletier - robert.pelletier305@ orange.fr L’Ile d’Elle : Guy Soulaine - dg.soulaine@orange.fr, Michel Peltier - mptturbo@hotmail.fr

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MÉDECINS DE GARDE

Centre social Espace mosaïque 27, rue de Benon Courçon........................................................Tél. 05 46 01 94 39

INFIRMIERS CABINET ET À DOMICILE Anne-Marie FERNAND - Sabine MIMMAS - Isabelle SIGNOROTTI - Marie MARTIN 24 bis, rue de la Paix - Andilly............Tél. 05 46 01 40 01 Régine YOU (Infirmière à domicile) 21, route de Villedoux - Charron.......Tél. 05 46 01 57 60 Julie FAURE & Georges MACHETEAU 24, rue d’Aligre - Marans ....................Tél. 05 46 35 13 36 Sylvia AVRARD - Laurence GAUFFIER 8, grande rue- Courçon........................Tél. 05 46 01 65 24 ROUCHERAY Charlène 22, rue du Fief 14 - St Ouen-d’Aunis .Tél. 06 22 52 10 73

Charente-Maritime

Sabrina BOUYER - Frédérique BONNET 39, route de La Rochelle - Charron ..Tél. 06 72 68 30 59

N° unique pour les gardes : ................................................ 15 N° appel urgence : ........................................05 46 27 55 20

Marguerite MATRINGE -BA - Pascal LIBRE 1, place de la mairie - La Ronde ........Tél. 06 30 74 44 88

Vendée

Stéphanie BRISSET Anne-Sophie CASADEI - Nathalie LE BRAS 4, bis rue du 19 mars 1962 - St Jean De Liversay ......................................................................Tél. 05 46 01 95 87

N° unique pour les gardes : ....................... 02 51 44 55 66

PHARMACIENS DE GARDE N° unique pour les gardes : ...........................................3237

Cabinet Sophie. BILLARD - J.HERMOUET 60, rue d’Aligre - Marans ....................Tél. 05 46 01 04 67

AMBULANCES

Marianne MASSE -Céline BARBOTIN 11bis, rue Nationale - L’Ile d’Elle .......Tél. 02 51 52 02 41

Nuits, dimanches et jours fériés : n° unique pour les gardes : ................................................................................................................... 15

LABORATOIRE D’ANALYSES MÉDICALES Laboratoire de marans 77 ter, rue d’Aligre - Marans ........................................................................Tél. 05 46 01 49 89

MÉDECINE DU TRAVAIL APAS - 14 quai Foch, RDC porte 1 - Marans .........................................................................Tél. 05 46 35 26 90

PÔLE MEDICO-SOCIAL 35, av. du Général de Gaulle Accueil - 05 46 67 15 03 Centre Médico-psychologique (C.M.P): Permanence infirmière le mardi et le jeudi - Tél. 05 46 01 19 23 - Consultation Médecin Psychiatre sur rdv Tél. 05 46 45 60 70 Centre Médico-Psycho Pédagogique (C.M.P.P.) : Centre de soins et d’aide ambulatoire pour enfants et adolescents en difficultés .................................................... Tél. 05 46 01 18 08 Délégation du Pays d’Aunis (Conseil général de la Charente-Maritime) : Service social - Protection Maternelle Infantile (PMI) - Accueil public 8h30 à 12h30 et 13h30 à 17h15...................................................................Tél. 05 46 66 17 11 A.D.M.R. : Aides ménage et vie quotidienne, travailleuses familiales, permanences du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17hTél. 05 46 01 95 29­ Santé au Travail d’Aunis ........................ Tél. 05 46 50 07 10

CENTRES SOCIAUX CSC Les Pictons 2, rue Dinot - Marans

.........................................................................Tél. 05 46 01 10 40

Cabinet infirmeier ADMR 6, rue de l’an VI - Chaillé-les-Marais.Tél. 02 51 56 71 38 Véronique CLÉMENT - Yves LEMERCIER 6, rue de L’Église- Courçon..................Tél. 05 46 01 68 48 Cindy et Julien QUINT 4, rue Paul Bourgeon Charron.......... Tel. 06 30 66 12 88

PSYCHOLOGUES Claire CHAPELAIN 24, rue d’Aligre - Marans ......................................................................Tél. 06 21 09 12 95

OSTÉOPATHES Frédéric BOLLEY 8, rue de l’Eglise, Courçon ......................................................................Tél. 05 17 26 68 66 FILLONNEAU POULARD 22, rte de Normandie - St Cyr Vanessa FILLONNEAU........................Tél. 06 50 12 72 71 Stephen POULLARD............................Tél. 06 63 62 29 31 Annaelle PELOIL 3, rue Beauséjour - St J- de Liversay .............................. Tél. 05 46 09 26 31 ou 06 73 49 36 42 David GRIGNARD - Charlotte MARY DIT PICOT Viktor Gay 39, rue de la Rochelle - Charron ............................................................. Tél. 06 81 44 34 06 Adeline THOMAS - Alexandre GILBERT 24, rue d’Aligre - Marans............................... Tél. 05 46 67 12 66 Armelle DELAVAL 6 rue du Bosquet - St J- de Liversay. ............................................................. Tél. 05 46 00 35 75

PÉDICURES-PODOLOGUES Aude VIVIER - 3, rue Beauséjour - St Jean de Liversay soins au cabinet et à domicile.

..................................... Tél. 05 46 01 49 85 ou 06 01 88 11 54

VÉTÉRINAIRES DE GARDE 7 j / 7 - 24 h/24 Cabinet vétérinaire des Mizottes 34 rue Neuve Marans & 19bis rue de l’An VI Chaillé-les-Marais ..................................................................... Tél. 02 51 56 71 97 ......................................................................Tél. 02 51 56 00 33

TAXIS Taxi Marans N°1 BOURJOT - Place Cognacq Marans ............................................................ Tél. 06 29 90 30 62 Mizottes - Marans / Chaillé-les-marais ............................................................ Tél. 06 09 71 01 12 Taxi de l’Ile d’Elle - L’Ile d’Elle ................................ Tél. 02 51 00 16 92 ou 06 23 92 61 39

MAIRIES

Nord Aunis

Andilly-les-Marais 30, rue de la Paix - 17230 Andilly ...................................................... Tél. 05 46 01 40 17 Charron 5, rue des écoles- 17230 Charron .................................................................... Tél. 05 46 01 50 22 Longèves 33, rue de Curzay s- 17230 Longèves .................................................................... Tél. 05 46 37 02 31 Marans Place Ernest Cognacq - 17230 Marans .................................................................... Tél. 05 46 01 10 29 St-Ouen-d’Aunis 61, rue Marie Louise Cardin- 17230 St Ouen......................................................... Tél. 05 46 01 40 64 Villedoux 4, rue de la mairie - 17230 Villedoux .................................................................... Tél. 05 46 68 50 88

Val de Sèvre Courçon Place de la Mairie - 17170 Courçon ...................................................... Tél. 05 46 01 60 50 La Grève-sur-Mignon 33, route de Courçon - 17170 La Grève sur Mignon................................. Tél. 05 46 01 63 66 La Ronde 43, rue de l’Église - 17170 La Ronde .................................................................... Tél. 05 46 27 80 64 Taugon 1, rue du Marais 17170 Taugon .................................................................... Tél. 05 46 09 76 15 St Jean-de-Liversay 16, rue du Docteur Quoy - 17170 St Jean de Liversay............................... Tél. 05 46 01 84 17

Sud Vendée Chaillé-les-Marais rue du 11 novembre - 85450 Chaillé-les-marais.................................. Tél. 02 51 56 72 98 Le Gué-de-Velluire 27, rue de l’Église- 85770 Le Guede-Velluire............................................... Tél. 02 51 52 52 52 L’Ile-d’Elle 1, rue de la Mairie- 85770 L’Ile d’Elle .................................................................... Tél. 02 51 52 00 39 La Taillée 61, rue du 8 mai- 85450 La Taillée...................... .................................................................... Tél. 02 51 52 52 05 Vouillé-les-Marais place de la mairie - 85450 Vouilléles-Marais................................................ Tél. 02 51 52 55 04

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