NECAAYO, ECAMOM, COAFAN… En règle générale, les noms des groupes de producteurs ivoiriens sont de longs acronymes offrant une seule certitude : le C signifie « coopérative ». Et le souhait de ces coopératives est de vendre un maximum de cacao produit par leurs membres, à des conditions aussi favorables que possible. Tout sauf évident.
Si elles ne manquent jamais d’enthousiasme, leurs aptitudes commerciales sont souvent lacunaires, ce qui a conduit le Trade for Development Centre (TDC), un programme d’Enabel (l’Agence belge de développement) à leur proposer un coaching en marketing. Huit coopératives ivoiriennes de cacao sont actuellement encadrées par des coaches du TDC. Une belle occasion de partager leurs expériences.