Cet automne, la police municipale de Lausanne a organisé des cours sur les trottinettes électriques, notamment en accompa gnant des usagers à travers des parcours d’obstacles. Lors de cette campagne de prévention, le TCS Vaud a mis en jeu une trottinette électrique d’une valeur de 800 francs. Patrick Pollen, chef de la prévention routière à la police municipale de Lausanne, et Sonia Glassey, du TCS Vaud, entourent l’heureux gagnant, qui a reçu son prix le 19 octobre. C.H.
Etre visible de tous sur la route, c’est une ques tion de sécurité. La 16E Journée de la lumière était là pour nous le rappeler.
En cette saison, la prudence impose aux cyclistes et à toute personne se déplaçant à pied ou en trottinette d’être vus dans l’obscurité. Mais pas seulement, il faut également que les automobilistes soient au clair avec l’état de leurs phares. Le mois dernier, à l’occasion de la 16E édition de la Journée de la lumière organisée par le TCS, des contrôles gratuits étaient proposés au Centre de mobilité à Cossonay. «Il est important de vérifier au moins une fois par mois l’état des phares de son véhicule», rappelle Patrick Staub, Chef Technique au TCS Vaud. Pour cet hiver, il est toujours possible de prendre rendez-vous pour le Test hiver TCS de son véhicule, dans lequel les phares sont examinés. Si le contrôle des phares était gratuit durant cette dernière édition de la Journée de la lumière, il s’agira maintenant de débourser 30 francs (prix pour les membres TCS) pour ce contrôle de 40 minutes.
Le TCS Vaud a poursuivi son action en se rendant le 4 no vembre sur le campus de l’EPFL, près de Lausanne. «Durant cette campagne, nous avons soutenu financièrement l’achat de sets d’éclairage vendus au Point-vélo présent sur le campus. Une centaine de sets ont trouvé preneur», indique Arnaud Blaser, Chef Marketing au TCS Vaud. C.H.
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Rédaction: helene.isoz@tcs.ch tcs-vd.ch tcs-vd.ch/blog
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Le scénario est courant. Je circule sur l’autoroute sur la voie de gauche, car je dépasse quelques véhicules moins rapides. Soudain, un panneau annonce la suppression de ma voie de circulation, il va falloir se rabattre sur l’autre. Ce que j’essaie de faire après avoir remonté la file de véhicules qui s’est formée à ma droite dès l’apparition du panneau informatif. Or, très souvent, cette démarche entraîne coups de klaxon et foudres qui sanctionnent mon insolence de vouloir ainsi me rabattre. Les usagers veulent me montrer leur mécontente ment et leur désapprobation à me laisser rentrer dans cette unique file, en se rapprochant de surcroît de façon dangereuse du véhicule qui les précède, alors que j’essaie simplement d’appliquer les règles de circulation. Sain et sauf, je suis enclin ici à rappeler le fameux principe de la fermeture éclair.
Impressum éditeur
TCS Section vaudoise
Tirage 140 000 expl. Paraît 7 fois l'an
Président Yves-Stéphane Kellenberger
Rédaction et Layout
Hélène Isoz / Sara Bönzli
Directeur artistique Alban Seeger
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Imprimerie Swissprinters AG Brühlstrasse 5, 4800 Zofingen Téléphone 058 787 30 00
Image de couverture Olivier Fatzer
En effet, il est bon, à l’approche des futurs déplacements massifs occasionnés par les départs en vacances de ski et de nombreux travaux de réfection de nos routes nationales, de rappeler certaines nouvelles règles de la circulation, qui améliorent la sécurité routière et la fluidité du trafic. Emises par l’Office des routes, lesdites règles sont entrées en vigueur en janvier 2021 déjà.
En cas de suppression d’une voie de circulation, le principe de la fermeture éclair s’applique obligatoirement. Ce principe vaut à la fin de chaque voie.
Par exemple, lors d’un passage de trois à deux voies ou en présence d’un accident ou d’un chantier. Il consiste à utiliser les deux voies de circulation jusqu’à la suppression de voie. Les véhicules circulant sur la voie maintenue ouverte laissent les autres usagers s’insérer à tour de rôle dans leur file.
L’objectif est d’éviter que les conducteurs se placent trop tôt sur l’autre voie, comme c’est encore trop souvent le cas aujourd’hui, et ceci dans le but de permettre au trafic de mieux s’écouler. Les conducteurs qui doivent se rabattre ne doivent toutefois pas forcer le passage, ils n’ont pas la priorité Le principe de la fermeture éclair est également applicable en cas de ralentis sement sur les bretelles d’accès autorou tières. Le non-respect de cette règle est puni d’une amende d’ordre.
À l’approche des Fêtes de fin d’année et malgré l’incertitude du lendemain, je vous souhaite à vous et à vos proches, un Joyeux Noël, et formule mes Meilleurs Vœux pour 2023.
Yves-Stéphane Kellenberger, Président du TCS Vaud
Fruit d’un compromis bien de chez nous, les premières zones de tranquillité de la faune dans les Alpes vaudoises viennent d’entrer en vigueur. Gare aux amendes.
La nouvelle est presque passée inaperçue cet automne. Pourtant, elle concerne une bonne partie de la population, puisque les Suisses sont des marcheurs en puissance, paraît-il. Alors, dès cet hiver, que vous randonniez en raquettes ou à peaux de phoque, vous aurez l’obligation de respecter des zones dites de tranquilli té de la faune dans les Alpes vaudoises. Après une année de sensibilisation, les contrevenants, s’ils sont pincés, devront payer une amende de 150 francs. Une sanction qui peut surprendre, mais qui s’explique, selon le Canton.
Cheffe de projet pour le Canton de Vaud, Najla Naceur, de la Direction générale de l’environnement (DGE), estime en effet
qu’il y a urgence de protéger notre faune. «On ne va pas dire qu’elle n’est pas présente dans les Alpes vaudoises. Mais les espèces sur liste rouge sont de plus en plus nombreuses. Randonner en dehors des itinéraires définis peut, par exemple, engendrer du stress et diminuer la fertilité.»
La saison qui s’ouvre est particulièrement critique pour de nombreuses espèces, à l’image du tétras-lyre, du lièvre variable ou du chamois. D’éventuels dérange ments pourraient leur être fatals. «En canalisant les usagers et en limitant les impacts sur la faune, les zones de tranquillité visent à concilier la pratique d’activités de loisirs avec les besoins de
la faune sauvage», appuie le Canton dans une communication officielle. Répondant à des normes uniformisées au niveau fédéral, le concept de balisage de ces zones est en cours d’élaboration. Dès cet hiver, les randonneurs découvri ront les premières indications concer nant ces nouveaux espaces. Il s’agira tout d’abord de panneaux qui seront notamment posés dans les lieux facile ment accessibles par les baliseurs, comme les parkings, étant donné la saison.
Durant cette première année, des dépliants seront aussi distribués dans le but de sensibiliser les pratiquants d’activités de loisirs.
Ces zones de tranquillité ne sont pas nées du jour au lendemain, et sans douleur. Il a fallu plusieurs années de travail et beaucoup de discussions menées dans le cadre d’une démarche participative entre 2017 et 2018. Sous la conduite de Najla Naceur, ce processus a réuni un panel de près de 200 personnes, incluant les autorités locales, les acteurs du tourisme et des loisirs, ainsi que les milieux de la protection de la nature. «Au début, les partenaires économiques n’ont pas vu d’un très bon œil la création de ces zones de tranquillité. Ils ont vu cela comme l’addition de nouveaux espaces avec de nouvelles restrictions, explique Najla Naceur. Mais d’un autre côté, beaucoup d’entre eux sont aussi des amoureux de la nature, qui ont parfaitement conscience des consé quences que peut avoir une surutilisation de la montagne.»
Un compromis vaudois
Municipal du tourisme à la commune de Bex, qui abrite notamment la partie vaudoise du Grand Muveran, Emmanuel Capancioni affirme que Bex se sent finalement «assez à l’aise avec ces zones de tranquillité. Cela représente une certaine cohérence avec les actions que nous menons en faveur de la mobilité douce, de la protection de l’environne ment. Notre territoire propose tellement d’autres endroits pour les amoureux de la nature, où l’on peut randonner sans causer de nuisances.»
À quelques cols de là, Myriam Dégallier, directrice de Pays d’Enhaut Région, Economie et Tourisme opine du chef. Certes, les prestataires de loisirs, comme les entreprises de rafting qui sont actives sur la commune de Château d’Oex, ont déjà dû beaucoup s’adapter ces dernières années. Dans la région, certains secteurs sont en effet désormais protégés d’une manière ou d’une autre, comme la zone alluviale d’intérêt national de la Sarine. Certaines pentes ne peuvent plus accueillir les parapentistes prêts à faire le grand saut. «Mais, la plupart des acteurs touristiques savent aussi qu’il est important de conserver ce paysage, qui représente la carte de visite numéro 1 de notre région», souligne Myriam Dégallier. Lors de l’élaboration de ces zones de tranquillité, un effort a donc été fait des deux côtés. «Et à la fin, nous obtenons un résultat très vaudois. Un compromis avec lequel nous pourrons vivre», conclut-elle.
Une issue bien éloignée des balbutie ments du projet. Alors municipale aux Diablerets, Myriam Dégallier se souvient d’une tout autre ambiance, à l’époque: «Lorsque nous avons pris connaissance pour la première fois des zones de tranquillité envisagées par le Canton dans la région des Diablerets, certains ont sauté au plafond, car ils avaient l’impression que la randonnée ne devenait simplement plus possible.» Un cri du cœur qui a donc été entendu par le Canton. «Il sera toujours possible d’aller en montagne dans de très beaux endroits, insiste Najla Naceur. Ce que nous voulons, c’est seulement éviter la dispersion des randonneurs sur toute la montagne. C’est pourquoi nous leur demandons de rester sur des itinéraires qui figurent sur les cartes. Je pense que le résultat obtenu est raisonnable. Mais si des comportements égoïstes devaient malgré tout se répéter, nous n’aurons aucune compassion et les personnes seront amendées.»
Il faut dire que la montagne connaît toujours de nouvelles nuisances. Bien que la technologie des drones s’améliore au fil du temps, ces appareils bour donnent de plus en plus en altitude. Or, s’ils agacent aussi les amoureux de la montagne qui souhaiteraient, enfin, déjeuner en paix, ces engins sont perçus comme une menace par la faune. Lorsque le pilote s’émeut de voir un lièvre partir en courant sur son petit écran, la bête, elle, prend en réalité ses pattes à son cou, «car elle a peur», rappelle Najla Naceur.
Les Alpes vaudoises comptent au jourd’hui 24 zones de tranquillité de la faune couvrant plus de 100 km². Sept de ces zones font l’objet de recommanda tions. Les 17 autres présentent un caractère contraignant. Ces zones sont ainsi soit interdites d’accès, soit il est obligatoire d’y respecter les itinéraires officiels, durant certaines périodes de l’année et en fonction des espèces à protéger. Dans les secteurs restant accessibles, les chiens doivent être tenus en laisse. Et dans tous les cas, l’usage de drones y est interdit. Hélène Isoz
Les cartes des zones de tranquillité peuvent être téléchargées sur vd.ch/biodiversite, biotopes et sites protégés.
Le Vaudois Bernard Matthey-Doret est aussi responsable des baliseurs dans le canton. Il vous donne ici des conseils pour randonner en sécurité.
Tout d’abord, si votre excursion a lieu en hiver, gare à la signalisation! Ne suivez que le balisage hivernal officiel reconnaissable à sa couleur rose. Pour votre sécurité, mais aussi pour la tranquillité de la faune, «si ce balisage est absent, n’y allez pas.» Les itinéraires roses sont contrôlés tous les jours. Concernant le matériel, Bernard Matthey-Doret souligne l’importance du choix des chaussures et de l’habillement. Il faut être prévoyant et avoir des vêtements qui s’adaptent à la météo qui évolue vite en altitude. Il faut bien sûr partir avec de l’eau. Et en hiver, si la virée dépasse 2 heures, emportez une boisson chaude. Attention, si vous comptez sur votre téléphone portable pour vous guider. Le froid, mais aussi le manque de réseau à certains endroits, que ce soit en plaine ou en montagne d’ailleurs, peut le rendre inutilisable. Bernard Matthey-Doret conseille ainsi de télécharger complètement la carte que vous aurez, par exemple, repérée sur SuisseMobile ou sur Suisse Rando, et aussi de l’étudier avant le départ. Cet examen pourrait notamment vous indiquer des chemins fermés. Le baliseur recommande aussi de mettre votre téléphone sur mode avion dès que possible. Il admet aussi préférer les cartes papier.
Si vous randonnez en été, faites attention au temps de marche indiqué sur les panneaux officiels. Ce sont des valeurs correspondant à une personne de 40 ans. «Elles vous permettent de savoir si votre randonnée aller-retour est possible dans la journée, par exemple».
H.I.Retrouvez des infos sur ces zones de tranquillité des Alpes vaudoises sur tcs-vd.ch/blogCrédit: Roman Tyulyakov
Paul Merz, 36 ans, le dit franchement: «Pour moi, la voiture, c’est fini, je suis en train de vendre la mienne.» Venu du monde de la tech, il a fait le choix du vélo électrique en reprenant la marque Motosacoche, une entreprise genevoise qui a eu son heure de gloire au siècle dernier. Elle était en effet pionnière dans la fabrication de vélomoteurs et elle a travaillé avec l’armée suisse durant la guerre de 1914-1918. «Aujourd’hui, la mobilité est en train de changer, et c’est un domaine passionnant», confie l’entrepreneur. Son
Un entrepreneur a redonné vie à l’ancienne marque Motosa coche, pionnière dans les moteurs pour vélos. Il se lance dans les vélos électriques haut de gamme, fabriqués en Suisse.
créneau: le marché des vélos électriques de luxe, avec la production d’une série limitée à 100 exemplaires. «Nos clients vont bientôt pouvoir rouler avec!» C’est le résultat d’une campagne de pré-commandes sur Internet. Mais comment peut-on dépenser des milliers de francs sans avoir essayé le produit? «Nos clients ont vu que nos vélos étaient différents des autres. Nous ne faisons qu’une petite série, il y a un côté exclusif. Les moteurs de ces vélos sont particulièrement puissants, ils peuvent aller jusqu’à 45 km, y compris en montée. De plus, nos vélos ont un style très reconnaissable et nous utilisons des matériaux nobles. Nous avons fait le pari que les personnes qui roulaient en berline de luxe allaient changer pour un vélo de luxe.» Ce style et ce haut
standard de qualité, c’est aussi une sécurité contre le vol. «Cela les rend très difficiles à revendre, de plus, nous assurons l’entretien, personne d’autre que nous ne peut le faire. Les voleurs cherchent la facilité et ce ne sera pas le cas avec nous», souligne Paul Merz. De plus, une puce GPS trace les vélos de Motosacoche à chaque instant.
«Les moteurs de nos vélos sont fabriqués en Suisse, la conception se fait en Suisse, et on a d’autres composants qui viennent d’un peu partout en Europe. Le tout est assemblé à Genève», complète l’entrepreneur.
A moyen terme, il souhaite relancer la production de motos, le secteur historique de la marque. C.H.
Plus d’infos sur motosacoche.ch
Après dix mois de chantier, le Grand-Pont rouvre à la circulation dès le 3 décembre. Le temps des voitures est cependant compté. Les commerçants sont inquiets.
Dans tous les cas, Florence Germond estime que les commerces en ville de Lausanne sont et resteront attractifs: «Les transports publics amènent plus de clients que le trafic automobile.» Un avis que beaucoup de commerçants ne partagent pas. A l’image du boulanger, pâtissier, confiseur Laurent Buet, bien connu à Lausanne: «Tout est fait pour décourager le chaland. Et cela fonc tionne. Très souvent, des clients nous disent qu’ils ne veulent plus venir au centre, parce que c’est trop compliqué.»
Circulez, c’est ouvert! Axe d’importance à Lausanne, le Grand-Pont a terminé sa gigantesque mue. Ainsi, le tablier du pont a été démoli pour résoudre les problèmes d’étanchéité, et le nouvel éclairage public permet d’économiser 75 % d’énergie, entre autres. «La Ville de Lausanne s’était engagée auprès des commerçants à terminer les travaux avant les Fêtes de Noël», relève Florence Germond, municipale en charge des Finances et de la Mobilité. Pari gagné.
Les transports publics, les piétons et les vélos pourront traverser le Grand-Pont à leur guise, dès le 3 décembre. En revanche, pour les voitures, cet accès est «provisoire». Entendez par là que la Ville
a l’intention de leur barrer cette route à une date inconnue. «La Municipalité ne s’est pas encore positionnée sur ce sujet», précise Florence Germond. Cependant, sa vision du Grand-Pont dans 10 ans est claire: «Avec l’arrivée du tram et des bus à haut niveau de service, il était prévu depuis plusieurs années que le GrandPont soit dès lors réservé aux transports publics, aux vélos et piétons pour des raisons de capacités notamment.» En attendant, la réouverture de l’ouvrage aux voitures apparaît comme un geste en faveur des commerçants, afin qu’ils lèvent leur opposition à la suppression de la rampe Vigie Gonin, qui bloque les travaux du dernier tronçon du tram jusqu’à la place de l’Europe, comme l’a récemment expliqué le journal 24 heures.
Aussi touchés par cet immense chantier, les tl tirent un bilan positif de leur réorganisation durant cette année, à tel point que les lignes 8, 16 et 21 garderont leur nouvelle configuration.
Bien que l’avenir du pont semble en bonne partie tracé, les discussions autour de son accès s’annoncent très animées.
Au TCS Vaud, Laurence Cretegny, présidente de la commission politique de la mobilité, tient en tout cas à rappeler l’importance de la complémen tarité des moyens de transport. «Des itinéraires et des accessibilités à travers Lausanne doivent donc être garantis à toutes les mobilités.»
Catherine Hurschler et Hélène Isoz
Développement de cet article sur le Grand-Pont à Lausanne sur tcs-vd.ch/blog
Le bâtiment historique des voyageurs de Morges sera détruit d’ici quelques années. Deux connaisseurs retracent l’histoire de ce lieu dans un ouvrage.
Dans un avenir proche, la gare de Morges aura un nouveau bâtiment, l’existant étant voué à la démolition, selon la volonté des CFF. Sur la demande de la Fondation Bolle, les Morgiens Salvatore Gervasi et Jacques Longchamp ont pris leur plume pour immortaliser sur le papier l’histoire de cette gare, de 1855 à nos jours.
«Nous avons remarqué que cette gare n’avait fait l’objet d’aucun livre, ce qui est incroyable. Il faut savoir que dans les années 1900, la gare de Morges était la deuxième plus importante du canton, après celle d’Yverdon-les-Bains. Elle était
centrale pour le transport des marchandises, du matériel militaire et des soldats qui se rendaient à la caserne de Bière. Les passagers qui voulaient aller en Italie prenaient le train jusqu’à Morges, puis le bateau jusqu’à Evian et de là, à nouveau le train».
Les auteurs ont documenté leur propos avec plus d’une centaine de photos de la gare, issues à la fois des archives de privés et de leurs dossiers personnels. Les CFF leur ont également donné du matériel. «Nous avons, par exemple, une
carte postale datant de 1907, postée un vendredi à midi à Zurich et qui est arrivée à Morges le samedi matin avec le message suivant: «Nous arrivons dans l’après-midi», c’est extraordinaire! A cette époque, le train faisait quatre services de courrier par jour», relève Salvatore Gervasi.
Une exposition gratuite à la Fondation Bolle complète cet ouvrage. Elle sera ouverte du 3 décembre 2022 au 1er janvier 2023. C.H.
Le livre «Morges, chronique d’une gare, 1855 à nos jours», éditions Fondation Bolle, est disponible en librairie ou sur commande, en ligne, à l’adresse: info@ museebolle.ch; 35 francs.
Dès 2023, certaines prescriptions sur le niveau sonore des véhicules seront durcies. Pour rappel, les véhicules doivent respecter certaines valeurs limites en matière d’émissions sonores fixées par la loi (ordonnance concernant les exigences techniques requises pour les véhicules routiers OETV) pour pouvoir être immatriculés. Ces prescriptions sont uniformes au niveau européen et sont mises à jour dans le but de rendre les véhicules de plus en plus silencieux. Actuellement, les valeurs limites sont fixées à 75 dB(A) pour les voitures de tourisme, à 75 dB(A) respectivement 77 dB(A) pour les motocycles dont la cylindrée n’excède pas 80 cm3 et 175 cm3, ainsi qu’à 80 dB(A) pour ceux dont la cylindrée est supérieure à 175 cm3. Le niveau sonore est mesuré dans des conditions strictes (stations d’essais) au passage du véhicule dont la vitesse est comprise entre 20 et 80 km/h. Dès 2023, la plage de mesurage pour les
motocycles sera élargie de 20 à 100 km/h et de nouveaux points de mesures aléatoires (libre choix de la vitesse dans la plage de mesurage, de l’accélération, etc.) pourront être contrôlés. Cela devrait permettre de tenir compte du fait que certains véhicules sont plus bruyants en dehors de la plage d’essai actuelle (de 20 à 80 km/h). Dès 2024, un abaissement de 2 dB(A) de la valeur limite sera en outre prévu pour toutes les voitures de tourisme. Précisons que les véhicules doivent respecter les valeurs limites en vigueur au moment de leur immatriculation et durant toute leur utilisation. Toutefois, les nouvelles prescriptions s’appliquent uniquement aux nouveaux véhicules; elles ne valent pas rétroactivement pour les véhicules plus anciens.
Parallèlement à ces prescriptions techniques, il existe aussi des règles de la circulation qui visent le bon usage des véhicules et qui permettent de réduire autant que faire se peut le bruit (art. 42
al. 1 LCR, art. 33 OCR, etc.). Du reste, ce sont bien souvent des comportements excessifs sur la route qui génèrent un bruit gênant et évitable, davantage que le bruit d’émission inhérent à tout moteur.
A titre d’exemple, il est interdit de faire tourner à vide un moteur à un régime élevé, de circuler à un régime élevé en vitesse lente, etc. Les «rodéos routiers» sont particulièrement visés.
Enfin, il convient de répéter que lors d’un contrôle routier, la police peut certes procéder à un mesurage à proximité de l’échappement à l’aide d’un microphone.
Toutefois, il ne peut s’agir que d’un test préliminaire; si la valeur mesurée est supérieure à celle figurant dans le certificat de conformité européen ou sur la carte grise, le détenteur du véhicule devra être convoqué pour un contrôle subséquent plus précis.
Jean-Marc Courvoisier, avocat-conseil du TCS Vaud
Chères et Chers membres du TCS Vaud, notre président débutait son édito de février 2022 par «Et voilà, 2022 com mence sur les chapeaux de roues»… eh bien, je peux vous assurer que nous avons tenu un rythme soutenu tout au long de l’année! Dans cette même édition, je donnais les grandes lignes directrices pour 2022. Voici où nous en sommes.
La rénovation du bâtiment Juniors, à Cossonay, sera terminée dans un mois environ, avec des choix de construction intelligents, au vu de l’actualité: nous avons opté pour la géothermie concer nant le chauffage et le refroidissement du bâtiment, avec cinq sondes. La partie technique est en sous-sol pour privilégier la plus grande surface exploitable en toiture pour les panneaux solaires. Les trois faces du «Totem» – en veloppe autour des escaliers et de l’ascenseur – seront aussi recouvertes de panneaux solaires.
Durant ces travaux, les canalisations datant de 1968 ont été remplacées. Vous le voyez, la commission du chantier de votre section a une vision sur du long terme, tout comme nos prédécesseurs. Vous serez bien évidemment invités au printemps pour l’inauguration du site! Concernant notre station de contrôles mobiles, n’ayant malheureusement pas trouvé d’emplacement fixe, nous avons pris la décision de nous en séparer. Plusieurs demandes de reprise sont en cours à l’heure où je vous écris. Nous n’avons finalement pas fait le test d’un Point de Contact commun avec la Section genevoise à Nyon. Toutefois, avec notre Point de Cntact mobile (bus) nous avons sillonné le canton durant plus de 50 jours. Ce concept a été présenté à toutes les sections du TCS et le modèle a été repris par certaines. Succès aussi pour Le Grand-Prix et le Ciné Drive-in 2022, qui ont été à l’image de votre section: rassembleuse, familiale
et proche de ses membres. Les cours, les contrôles techniques, les conseils et ventes de produits TCS se portent bien. Quant aux membres vaudois, leur nombre est stable, voire en augmenta tion. Le président et moi-même vous ferons un point de situation prochaine ment. En 2022, nous avons aussi été très actifs dans le domaine de la sécurité routière et de la mobilité et sur le plan politique. Ces domaines figurent également en bonne place dans mon agenda 2023. En début d’année, notre président écrivait que j’allais travailler avec une équipe très soudée. C’est vrai, votre section est une belle et grande famille. Des collaboratrices et collabora teurs, au comité, en passant par le bureau exécutif, sans oublier les commissions et groupements, tous sont motivés et très impliqués dans les devoirs du TCS Vaud. Je les remercie du fond du coeur. Je termine en vous souhaitant à toutes et tous de belles fêtes de fin d’année et, avec un peu d’avance, une excellente année 2023.
Michele Convertini Directeur du TCS VaudLe printemps 2023 s’annonce riche en découvertes avec un splendide voyage à travers l’Albanie. Les passionnés de motos pourront rouler en toute liberté, avec un guide à leurs côtés.
Du 27 mai au 3 juin 2023, les amoureux de la moto seront comblés avec cette semaine en Albanie organisée conjointement par le TCS Vaud et l’Atelier du Voyage. L’Albanie, c’est une frontière naturelle entre l’Orient et le continent européen, riche en sites archéologiques. Au programme, plusieurs villes, comme
la capitale Tirana et la ville de Shkodër pour les premiers 200 kilomètres à moto. En matière de trafic, Valbone Hoxha, directrice de l’Atelier du Voyage, donne les conseils suivants: «Dans les grandes villes, il faut être un peu plus attentif, particulièrement dans les ronds-points. Dans le reste du pays, il faut faire attention aux autres usagers, parfois des animaux sauvages ou des troupeaux de moutons ou de chèvres. Les groupes de
motards sont respectés par les automobilistes albanais.» Un guide sera présent tout au long du séjour. «Il se nomme Armand Pasho. S’il adore le sport et la nature, sa passion première reste la moto. Il est encore partagé entre la mythique Harley et son bruit caractéristique et l’adrénaline de la GS BMW. Il est passionné par son pays et il adore son métier», complète Valbone Hoxha.
Pour préparer ce voyage, le TCS Vaud offre aux participantes et participants un cours «Moto route», le 12 mai au Centre de Cossonay. Objectif: perfectionner les techniques de pilotage et tester les limites de la moto. Il y a une partie théorique et des exercices sur route, filmés et visionnés pour des corrections. L’inscription se fait lors de la réservation du voyage. D’avance, bonne route! C.H.
Les personnes à mobilité réduite passent leur permis de conduire presque comme tout le monde. Explications avec le moniteur spécialisé Marc Belloteau.
Le moniteur vaudois Marc Belloteau accompagne chaque année une dizaine d’élèves-conducteurs ayant une mobilité réduite vers l’acquisition de leur indépendance: leur permis de conduire. «Tout d’abord, merci d’en parler dans vos pages, c'est un thème qui est encore méconnu, y compris chez les personnes à mobilité réduite», nous dit-il. Obtenir son permis dans ces conditions, c’est un parcours plus ou moins similaire au permis «classique», avec seulement
En tant qu’entreprise familiale respon sable, dirigée par la troisième génération, nous nous engageons à agir de manière durable et à respecter l’homme, l’envi ronnement et la nature. Egalement présente à Aclens, notre entreprise a ainsi mis en place le concept «Green Logistics by Galliker». Avec cela, notre but est de réduire en permanence les impacts nuisibles sur l’environnement et l’utilisation de ressources non renou velables, dans les processus logistiques. De fait, nous misons sur des infrastruc tures efficaces sur le plan énergétique, sur des technologies de véhicules alternatives et nous encourageons les concepts de transport et de logistique respectueux de l’environnement.
Par exemple, en 2021, nous comptions 23 véhicules avec des systèmes de propulsion alternatifs. En 2050, nous souhaitons atteindre la neutralité CO2 sur la route. Pour atteindre cet objectif, nous nous sommes fixés des étapes intermédiaires ambitieuses, dont la mise
davantage de points administratifs et médicaux au départ. «Ces élèves viennent avec des questions sur la faisabilité du projet, sur l’achat ou non d’un véhicule adapté avant ou après la formation. Contrairement aux autres, ils ne peuvent pas être accompagnés par leurs proches pour compléter leurs heures de conduite. Sur leur permis d’élève figure le code 112, qui les en empêche. Cet obstacle peut être levé auprès du SAN, sur notre appréciation», explique Marc Belloteau.
Peu de moniteurs spécialisés «J’ai les mêmes attentes et les mêmes exigences avec tous mes élèvesconducteurs. Il y a uniquement une petite adaptation à faire en fonction du type de handicap au niveau technique, comme un accélérateur à gauche si la personne ne peut pas utiliser sa jambe
droite ou un arceau installé sur le volant.» Les élèves doivent avoir un moniteur spécialisé, déclaré auprès du Service des automobiles et de la navigation (SAN). «Dans le canton, nous sommes quatre au maximum. J’ai une voiture équipée, je n’ai pas besoin de louer un véhicule pour les élèves à mobilité réduite», relève le moniteur, responsable de l’auto-école AutoSimplon à Lausanne.
Ces élèves s’impliquent dans la préparation de leur permis, qu’ils obtiennent en quelques mois. Le SAN a élaboré une brochure avec les démarches administratives. Elle est disponible sur le site du canton de Vaud, rubrique mobilité. Catherine Hurschler
Apprenez-en plus sur le permis pour personnes à mobilité réduite sur tcs-vd.ch/blog
en œuvre est déjà en cours. La direction et les cadres donnent l’exemple de la durabilité, ce qui motive également nos collaboratrices et collaborateurs à s’améliorer en matière de durabilité et à contribuer activement à la réalisation de nos objectifs.
La société Galliker soutient aussi les start-up dans leur rôle de pionnières dans le développement de systèmes de propulsion durables. Nous sommes par exemple membre de l’association de promotion de la mobilité H2 en Suisse et nous faisons partie des premières entreprises de transport en Suisse à utiliser des véhicules utilitaires électriques à hydrogène Hyundai. Nous avons déjà 6 camions à hydrogène sur les routes. Avec l’acquisition de camions électriques lourds dotés d’une batterie d’une puissance unique, nous avons soutenu activement l’entreprise suisse Designwerk Group dans le développement de ces premières mondiales (photo). Grâce à cette prestation pionnière, «Engineered in Switzerland», nous sommes désormais en possession de deux tracteurs routiers
entièrement électriques de 40 tonnes avec une capacité de stockage de la batterie de 900 kWh, ce qui permet une autonomie de 500 km. Notre parc de véhicules comprend aussi le premier transporteur de voitures entièrement électrique au monde. L’acquisition d’autres camions lourds entièrement électriques de Designwerk, équipés de grands packs de batteries, est prévue. Avec 3300 collaboratrices et collabora teurs, des sites dans 6 pays, il est de notre responsabilité d’agir de manière durable pour notre personnel, clients, partenaires commerciaux et la population.
Peter Galliker, PDG de Galliker TransportAG
Toute l’équipe du TCS Vaud vous remercie pour votre confiance et vous souhaite de belles fêtes.
Les jeunes entre 16 et 18 ans peuvent s’initier à la conduite et découvrir quelques points de mécanique durant un week-end avec les Cours Juniors. «Les jeunes qui y participent n’ont pas encore demandé leur permis d’élèves-conduc teurs. C’est une manière de débuter avec les bons gestes», commente Grégory Junod, Chef Formation et Perfectionne ment au TCS Vaud.
Les élèves découvrent également les règles de la circulation et révisent la théorie en compagnie de moniteurs d’auto-école indépendants. Les véhicu les, à doubles commandes, sont fournis par le TCS.
Et pour les élèves qui visent leur permis de conduire, ils peuvent compter sur le Camp auto-école pour passer en sept jours intensifs les premières étapes avec un accompagnement professionnel. Le prochain débute le samedi 11 février 2023, avec l’examen théorique le mardi 14 février au Service des automobiles et
Encadrés par des professionnels de la route, les jeunes qui n’ont pas encore 18 ans peuvent faire leurs premières expéri ences au volant en toute confiance.
de la navigation à Lausanne. Cela conditionne le reste de la semaine, «mais cette épreuve est généralement passée haut la main, avec un taux de réussite très proche des 100 %», dit Grégory Junod. Unique prérequis pour s’inscrire: posséder l’attestation de premiers secours. Ce camp s’adresse aux jeunes
âgés de 17 à 26 ans, avec au maximum 24 personnes pour une ambiance d’apprentissage agréable. Le TCS Vaud fournit les voitures, et les jeunes sont encadrés par des moniteurs d’auto-école professionnels indépendants. C.H. Informations et inscriptions au 021 863 22 22 ou en ligne sur tcs-vd.ch/cours.
C’est la question-piège à chaque fois que les conditions de route s’annoncent difficiles en hiver: faut-il mettre les chaînes? Parfois, cette mesure s’impose d’elle-même face au panneau «Chaînes à neige obligatoires» sur une portion de route déterminée. Et là, quand c’est obligatoire, cela l’est aussi pour les véhicules à quatre roues motrices, dont la stabilité est souvent surestimée. «Tout est dans le pneu», rappelle Grégory
En cette saison, rouler avec des pneus d’hiver irréprochables est une condition sine qua non pour se déplacer en toute sécurité. Les chaînes à neige sont aussi un point important, à condition de savoir anticiper leur usage.
Junod, Chef Formation et Perfectionnement au TCS Vaud. «Il est essentiel de vérifier ses pneus, leur état et leur profil et de vérifier la pression. Nous conseillons de commencer l’hiver avec un profil supérieur à 4 mm. La marque peut avoir une influence sur l’adhérence sur la neige.» Pour notre expert, les conducteurs doivent faire preuve de bon sens. «Aujourd’hui, les voitures sont bardées d’aides à la conduite, mais elles ne font pas tout, le conducteur doit savoir réagir.»
Le conducteur doit aussi s’arrêter au bon moment pour poser les chaînes. «Le mieux, c’est sur une place sécurisée, hors du trafic, et avant d’être mis en difficulté par la neige pour monter les chaînes»,
Le module «Dompter les glissades» vous prépare à la conduite en conditions hivernales. Dispensé en fin de journée, il se déroule surtout sur piste glissante.
Prochaines dates: 12, 14 et 20 décembre 2022 10, 16, 19, 25 janvier 2023
Prix
Membre 180 francs Non-membre 230 francs
Conçu par des professionnels de la conduite et de la formation routière, ce cours, en deux parties, permet de tester son expérience et de reprendre confiance.
Prochaines dates: 6 décembre 2022 25 janvier 2023
Prix Membre 120 francs Non-membre 170 francs
complète Grégory Junod. Le problème, c’est de se rappeler comment faire, car en Suisse, le recours aux chaînes n’est pas si fréquent. «Il y a un manque de pratique, même si ce secteur a évolué vers des systèmes plus faciles à manipuler, comme les «chaussettes à neige» ou les tracks. Cela reste quelque chose que l’on oublie très vite», souligne notre expert. «A la montagne, les gens pensent toujours à arriver à destination, mais les chaînes peuvent être utiles pour redescendre en plaine. Mais attention, elles ne sont pas faites pour rester sur le véhicule plus que nécessaire, sur une route sèche, elles font du bruit pour rien et elles peuvent se briser», dit-il. Un dernier conseil? Avoir les pneus d’hiver dès que les températures affichent 7 degrés ou moins.
Perfectionnement intensif de la conduite grâce à des informations théoriques et beaucoup d’exercices pratiques sur les pistes du Centre TCS à Cossonay.
Prochaines dates: 15 décembre 2022 17 janvier 2023
Prix
Membre 240 francs Non-membre 290 francs
Nos cours pour particuliers et entreprises tcs-vd.ch/cours 021 863 22 22
C.H.
Les véhicules sont de plus en plus souvent équipés de systèmes d‘aide à la conduite. Exploitez toute l’efficacité de vos caméras et radars. Nos professionnels disposent d’appareils de pointe. Cette prestation est disponible pour les véhicules de toutes les marques.
Prix Membre 180 francs Non-membre 270 francs
C’est bientôt les vacances d’hiver? Faites contrôler votre véhicule par nos spécialistes, afin d’éviter des pannes ou d’autres mauvaises surprises sur un petit ou sur un long parcours. Savez-vous par exemple dans quel état sont vos pneus? Et votre batterie?
Prix Membre 40 francs Non-membre 60 francs
Votre voiture doit bientôt passer le contrôle technique? Laissez-vous conseiller par nos experts, afin de savoir quels défauts doivent être corrigés pour passer l’expertise. Cet examen est particulièrement recommandé pour les véhicules plus anciens.
Prix Membre 60 francs Non-membre 140 francs
Contrôles
lundi–vendredi 7h30–17h30 jeudi 7h30–18h15 samedi 7h30–16h
Renseignements: lundi–vendredi 7h30–17h
Etes-vous de ceux qui changent de vignette déjà en décembre ou de ceux qui la collent à la dernière minute, juste avant que la nouvelle vignette ne soit obligatoire?
Ce n’est pas encore la fin de l’année, mais nos Points de Contact TCS ont déjà à disposition la vignette 2023. Les plus jeunes, âgés entre 16 et 25 ans et qui sont membres TCS avec dépannage, sont choyés avec un joli cadeau: 10 francs de rabais, soit une vignette à 30 francs au lieu de 40 francs. La vignette 2022 demeure valable au plus tard jusqu’au 31 janvier. Ensuite, attention aux amendes!
La vignette est attendue en format électronique courant 2023, mais elle ne remplacera pas la vignette adhésive; les deux variantes seront utilisées en parallèle. La vignette électronique sera liée à la plaque d'immatriculation et non plus au véhicule. Cela permet de ne pas acheter de vignette en plus lors d'un changement de véhicule ou de l'utilisation de plaques interchangeables, indique le site du Parlement. Avant de conclure, petit test de mémoire: quel était le point commun entre la vignette de l’année 1988 et celle de l’année 2000? C.H.
Réponse: elles avaient un fond blanc.
«Mobile, sympa, facile à manoeuvrer.» Manuel Dimache, Chef des Points de Contact, ne tarit pas d’éloges sur le nouveau bureau mobile à la disposition de son équipe: un bus-camping tout équipé, parfait pour sillonner le canton à la rencontre des Vaudoises et des Vaudois. «Pour cette première année, mes collègues ont accueilli plus de 400 personnes sur 50 journées de déplacement, venues tant pour poser des questions sur l’offre du TCS Vaud que pour conclure des nouveaux sociétariats. Nous comptons une cinquantaine de nouveaux membres grâce au bus, complète Manuel Dimache. Dans un passé encore proche, nous utilisions une remorque et on restait plusieurs jours au même endroit. Maintenant, il est plus facile de se rendre par exemple à Montreux, au Sentier ou encore à Vallorbe.»
Ce bus est également un outil précieux pour Arnaud Blaser, Chef Marketing au
A l’hypromat du TCS Vaud, un support permet désormais de maintenir son vélo dans une position idéale pour le laver sans se salir.
Il est désormais beaucoup plus pratique de nettoyer sa monture à l’hypromat du TCS Vaud à Cossonay. Plus besoin de prendre avec soi son support ou d’appuyer son vélo contre le mur avec le risque qu’il tombe. Avec le nouveau type de support proposé, l’étape du nettoyage devient vraiment facile et presque agréable: «Lorsque nous avons vu qu’un fabricant proposait cette solution, nous nous sommes dit que c’était un élément que nos membres allaient apprécier, explique Franck Miéville, Chef des infrastructures au TCS Vaud. Surtout pour les e-bikes, qui sont plus lourds et qui n’ont généralement pas de pied pour les maintenir verticalement.» En cycliste passionné, le respon sable rappelle que le nettoyage est un point important dans l’entretien de son vélo.
F.M. / C.H.
C’est un succès dès ses débuts! Mis en service en mars, le bus du TCS Vaud est allé à la rencontre des habitants du canton. Mieux, il a conquis une cinquantaine de nouveaux membres.
TCS Vaud. «Nous l’avons utilisé lors des manifestations que nous couvrons, comme par exemple le slowUp à la vallée de Joux ou lors du passage du Tour de France à Lausanne cet été. Il était également de la fête à Château-d’Oex, lors du meeting des VW Coccinelles. Cet hiver, le bus reprendra du service
vers février dans une station de ski vaudoise. Il sera présent lors des quatre girons organisés en 2023 par la Fédération vaudoise des jeunesses campagnardes.» Là, le TCS Vaud co-organisera un service de navettes pour rentrer à la maison en toute sécurité à la fin de ces girons.
C.H.On débute par le sous-sol avec la visite fort bien commentée des Salines de Bex, ce 6 octobre. Hors des galeries, c’est une vraie «carte postale» d’automne; le car nous mène par Villars et Barboleuse, avec la plaine du Rhône et les Dents du Midi en toile de fond, jusqu’à Solalex.
Après un repas «Chasse» copieux, l’air de la terrasse est bien apprécié! Le cirque grandiose du massif de l’Argentine et le soleil automnal offrent alors le décor pour une présentation de Marc Volte nauer, romancier et fin connaisseur des Alpes vaudoises.
51 Seniors ont apprécié cette jour née conviviale, nourrie d’échanges et de détente.
Voici le programme 2023 du TCS camping club Vaud
18 mars 2023
Assemblée générale à Cossonay 30 mars 2023
Cours de conduite à Cossonay 7 au 10 avril 2023
Pâques au camping Le nid du parc à Villars-les-Dombes 18 avril 2023
Cours de conduite à Cossonay 29 avril 2023
Journée d’entretien au camping de La Murée 27 au 29 mai 2023
Rencontre Romande au Bouveret 31 juillet 2023
Fête du 1er août au camping de La Murée 16 au 18 septembre 2023
Camping de l’Escale au Grand Bornand 30 septembre 2023
Journée d’entretien au camping de La Murée
Pour des renseignements sur les sorties, vous pouvez vous adresser à Carole Rittener au 079 245 33 30 ou par courriel à carole.rittener@gmail.com.
Apprendre à conduire en toute sécurité, c’est le but de la L-Box TCS, qui contient notamment des cours d’auto-école avec un moniteur de votre région et le cours 2-phases. Au préalable, il faut avoir réussi son permis d’élève.
L-Box 5: 5 leçons de conduite + une gratuite et autres avantages), dès 750 francs
Ce booster (modèle AL-JP16) est la version portable la plus légère sur le marché. Il fonctionne avec toutes sortes d’appareils, notamment les téléphones et les ordinateurs portables, ainsi que les voitures. Recharge complète en 4 h.
Prix: 169 frs pour les membres, 189 frs pour les non-membres
Les membres peuvent ouvrir un compte épargne en faveur d’un enfant ou d’un jeune de moins de 18 ans, Ce compte, avec un taux d’intérêt de 1 %, se transmet sur donation, dès que le bénéficiaire a 16 ans. Capital maximal: 15 000 francs.
Plus de détails et conditions sur: tcs-vd.ch/avantages
• Être membre TCS, c’est aussi bénéficier de rabais dans votre quotidien ou lors de vos loisirs. Le programme d’avantages TCS Benefits vous permet aussi d’économiser de l’argent.
• Tous les avantages TCS Vaud sur tcs-vd.ch/avantages
• Tous les avantages TCS et programme TCS Benefits sur tcs.ch/benefits
N’oubliez jamais d’en profiter!
