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spielend erholen
publié un livre intitulé «Wer wir sind und was wir wollen», qui figure sur la liste des best-sellers du Spiegel. A Berne, il a expliqué comment on peut encore toucher les jeunes à l’ère des réseaux sociaux: «Si un club de golf n’a pas de compte Facebook, il n’existe pas aux yeux des jeunes.» Lenzerheide, le club de golf «le plus liké» en Suisse, a par exemple 250 amis, ce qui est «la moitié des amis que possède un jeune normal sur Facebook». Et tous les autres clubs «en sont encore à des années-lumière». Cet étudiant, qui s’y connaît plus en mondes virtuels qu’en golf, a expliqué qu’au golf «on ne peut pas parler, on doit se déguiser et les téléphones portables sont en général interdits». En plus, il aimerait que le sport le fasse transpirer. D’un autre côté, Philipp Riederle observe une envie de «nature» chez les jeunes de son âge. Mais, précisait-il, le speed golf ou le cross golf, qui se pratiquent loin des terrains de golf, sont plus en adéquation avec l’art de vivre des jeunes d’aujourd’hui.

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