L'Echo libéral - édition 2021

Les Bourgmestres libéraux dans l’histoire de Ganshoren

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Ganshoren en 12 dates

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175 ans du libéralisme : interview croisée d’Alexia Bertrand et David Leisterh

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Notre préoccupation, c’est vous !

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1. Une future place à Ganshoren ?

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2. Un nouveau plan communal de mobilité

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3. Ferme Théo & Jeanine

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4. Quelle fiscalité communale ?

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Écologie et liberté

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Un entrepreneur à l’honneur : Maxime Maziers

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Les jeunes abstentionnistes, comment y remédier ?

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Who’s who

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Nous rejoindre

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L’ ÉCHO LI B ÉR A L Magazine annuel d’information communale

A

l’instar de 2020, cette année 2021 s’est avérée être une période particulière pour nous tous.

Les restrictions liées à la pandémie, la campagne de vaccination et l’incertitude économique ont été le lot de nombreux Ganshorenois.es. Cette incertitude a doucement fait place à l’espoir avec un relâchement progessif des mesures. Ces mesures qui ont mis entre parenthèses nos libertés auxquelles nous sommes toutes et tous attachés.

La seule solution pour retrouver nos libertés consiste à se faire vacciner. Malheureusement, force est de constater que la vaccination traine en Région bruxelloise et que le Gouvernement bruxellois peine à trouver des solutions en la matière. A l’heure d’écrire cet édito, le Gouvernement bruxellois entrevoit l’imposition d’un pass sanitaire si le taux de personnes vaccinées n’augmente pas. Pour ce qui concerne Ganshoren, fin de l’été, 63 % de la population adulte était vaccinée, soit un peu mieux que la moyenne en Région bruxelloise.

Stéphane

OBEID 1er Echevin

Président du MR de Ganshoren

Pour être au plus proche de vous et vous transmettre des informations importantes, la section MR de Ganshoren a décidé d’éditer ce magazine annuel dénommé L’Echo libéral.

Un magazine qui regroupe des thématiques qui touchent à notre belle commune de Ganshoren et au libéralisme. Pour cette deuxième édition, nous fêtons deux anniversaires et pas n’importe lesquels ! Le premier est celui de notre belle commune qui fête ses 180 ans cette année. A cet égard, nous reviendrons sur les six bourgmestres libéraux qui ont marqué l’histoire de Ganshoren ainsi que sur des dates importantes de l’histoire de la commune. Saviez-vous par exemple que Laurentius Heirbaut, Bourgmestre libéral de 1923 à 1927, favorisa grandement l’urbanisation de la commune et permit par-là l’approvisionnement en eau, gaz, électricité, la mise en place de réseaux d’égouts et d’éclairage ainsi que l’établissement d’une ligne de tramway ?

Le deuxième anniversaire est celui du libéralisme en Belgique qui fête ses 175 ans et pour lequel nous consacrons une interview croisée d’Alexia Bertrand, Cheffe de Groupe MR au Parlement bruxellois et David Leisterh, Député et Président du MR bruxellois. Ils décriront notamment ce que signifie être libéral pour eux et nous livrerons leur point de vue quant à l’équilibre entre sécurité sanitaire et liberté.

Ensuite, nous passerons en revue l’actualité politique locale avec le projet de place à l’avenue Broustin, le nouveau plan communal de mobilité, la ferme Théo et Jeannine ainsi qu’un bref état des lieux sur la fiscalité communale. Cette édition de l’Echo libéral contient également une interview du Chef Maxime Maziers ainsi que des cartes blanches de nos mandataires ayant trait à l’écologie libérale ainsi que les solutions afin de faire face à l’abstentionnisme des jeunes. Au nom de la section MR de Ganshoren, je vous souhaite une bonne lecture de cette édition de L’Echo libéral ainsi qu’une rentrée riche en découvertes et en libertés retrouvées.

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e 31 mars de cette année, notre commune a soufflé ses 180 bougies. En effet, le 31 mars 1841, Ganshoren est érigée en commune autonome après d’âpres discussions et une pétition afin de se désolidariser de Jette. Depuis lors, notre commune a été dirigée par 18 bourgmestres. Bien que la grande majorité des Bourgmestres de Ganshoren aient été étiquetés «catholiques», notre commune a également compté six bourgmestres libéraux. La plus longue période où les libéraux ont occupé le mayorat ganshorenois sans discontinuité est celle de l’entre-deux-guerres de 1923 à 1939.

Retour sur ces six bourgmestres qui ont marqué l’action libérale dans notre commune.

L AURENTIUS HEIRBAUT

ALPHONSE HELLINCK X

Rentier et premier Bourgmestre libéral de Ganshoren entre 1923 et 1927, Laurentius Heirbaut fut également échevin des Travaux publics.

Durant son mayorat, il favorisa grandement l’urbanisation de la commune et permit par-là l’approvisionnement en eau, gaz, électricité, la mise en place de réseaux d’égouts et d’éclairage ainsi que l’établissement d’une ligne de tramway.

Une rue perpendiculaire à l’avenue Charles-Quint porte son nom aujourd’hui, bien que son prénom ait été francisé.

Né à Bruxelles en 1872, cet ancien fonctionnaire communal de Koekelberg fut élu conseiller communal de Ganshoren en 1924. Militant laïc dans une commune encore fortement marquée par le catholicisme, il devient bourgmestre en 1927 en coalition avec les socialistes et meurt en fonction 10 ans plus tard. L’avenue Charles-Quint fut tracée sous son mayorat. Alphonse Hellinckx favorisa également des œuvres libérales dans la commune telles que la fanfare Kunst en Vrijheid ou encore le mensuel Le Petit Bleu - Het Blauwtje.

(1923-1927)

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(1927-1936)

HERVÉ GILL ARD

(2013 - 2017)

OSCAR M AESSCHALCK

(1936-1939)

A la suite du décès d’Alphonse Hellinckx, le libéral Oscar Maesschalck reprit le mayorat en coalition avec les catholiques. Après les élections communales de 1938, il fut remplacé par Joseph Peerebom, socialiste.

M AURICE HELLINCK X

(1959-1960)

Né à Saint-Gilles le 23 décembre 1901, fils d’Alphonse Hellinckx, il combattit durant la première guerre mondiale et fut membre de l’Organisation Militaire Belge de Résistance durant la seconde guerre mondiale. Après la guerre, il devint bourgmestre libéral de Ganshoren en 1959. Son mandat fut toutefois très bref puisqu’il décéda à Bruxelles le 21 juin 1960. Son successeur fut son premier échevin de tendance sociale-chrétienne, Richard Beauthier, lequel rétablira ensuite pendant près de quarante années l’hégémonie politique socialechrétienne sur la vie politique communale.

Né le 3 août 1967, Hervé Gillard est licencié en Sciences économiques et titulaire d’un DEA en économie. Il a débuté son parcours politique en travaillant dans des cabinets ministériels.

Premier échevin de Ganshoren entre 2000 et 2006, il en devient le bourgmestre en 2013 après avoir été conseiller communal de l’opposition pendant 6 ans. Amoureux de sa commune, il lui avait consacré deux ouvrages : « Ganshoren un passé plein d’avenir » et « Il était une fois dans le Nord-Ouest de Bruxelles ».

Hervé Gillard s’est éteint le 18 janvier 2017 après une longue maladie, il avait 49 ans.

ROBERT GENARD

(2017 - 2018)

Né à Uccle le 17 août 1946, Robert Genard déménage à Ganshoren à l’âge de 10 ans. A l’âge de 23 ans, il s’engage au sein de la section PLP-PVV et devient trésorier sous la Présidence de Jean Gilson. Robert Genard reprend la Présidence de la section au début des années 80. Il a fallu attendre 1982 afin que les libéraux reviennent au sein du conseil communal. En 1988, Robert Genard a été nommé conseiller CPAS, mandat qu’il occupe pendant 18 ans. En 2017, à la suite du décès de Hervé Gillard, il est désigné Bourgmestre de la commune de Ganshoren par 17 conseillers communaux.

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1801 Ganshoren et Jette sont réunies

administrativement

1905 Pose de la première pierre

1128 Premier texte connu qui cite

communauté villageoise de Ganshoren le nom de la

Basilique du Sacré-Cœur de la

1841 La section de Ganshoren est érigée

commune indépendante en

et se sépare définitivement de Jette

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1920 Création de la société de logements sociaux

1970 Rondpoint de la Liberté Création du

1999

“Les Villas de Ganshoren”

1954 Inauguration de la cité résidentielle du

Groupe B.A.M.

Décès du Bourgmestre

Richard Beauthier après

quarante ans de mayorat

1979 Inauguration du

commissariat de police, avenue Van Overbeke

1983

1949

Le Château et le domaine

Rivieren

de sont classés comme monument et site à protéger

Acquisition par la commune de

immeuble

l’ anciennement occupé par l’émetteur de Radio Conférence au n°140 de l’avenue CharlesQuint, actuelle maison communale

1960 Construction du quartier résidentiel

Parc Albert

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e parti libéral belge est le plus vieux parti d’Europe continental. En effet, c’est le 14 juin 1846 que s’est tenu le premier congrès libéral de Belgique au sein de la salle gothique de l'Hôtel de Ville de Bruxelles. Ce congrès a lancé notre mouvement politique, premier parti politique de la jeune Belgique. Les grandes figures libérales de l'époque participent entre autres à la sécularisation de l'enseignement, à la rédaction de la Constitution, à la création de l'Université libre de Bruxelles, de la Banque Nationale de Belgique, du Crédit Communal, de la caisse générale d'épargne retraite et des premières lois réglementant le travail dont notamment la diminution des heures de travail et l'interdiction du travail des enfants.

175 ans plus tard, qu’est-ce que cela signifie d’être libéral ? Quels sont les enjeux pour demain et particulièrement à Bruxelles ? Rencontre avec Alexia Bertrand (AB), Cheffe du Groupe MR au Parlement bruxellois, et David Leisterh (DL), Député et Président du MR bruxellois.

Alexia Bertrand

ÊTRE LIBÉR AL AUJOURD’HUI, QU’EST-CE QUE CEL A SIGNIFIE POUR VOUS ?

AB : Selon moi, la liberté de l’homme est au cœur de toute vie privée ou publique. Être libéral finalement, c’est donner à chacun les moyens de s’épanouir au mieux de ses capacités en disposant du plus de choix possibles. Être libéral cela implique également un questionnement sur les institutions car il faut garantir les libertés individuelles face au pouvoir. Avec la crise du Covid, cela a une signification encore plus forte, car on n’a pas toujours valorisé l’exercice de nos libertés à leur juste valeur mais quand elles sont limitées et contraintes on s’en rend compte. Finalement, être libéral c’est défendre l’idée que l’on donne toutes les conditions pour que les hommes et femmes soient debout, autonomes, libres.

DL : Être libéral, c’est aussi être héritier d’un courant philosophique qui s’est battu pendant des années pour les droits de l’homme, l’émancipation et les libertés. Cela nous paraît aussi évident aujourd’hui mais il n’y pas si longtemps que cela un individu n’était pas aussi libre qu’aujourd’hui que ce soit pour s’exprimer, lancer son entreprise ou encore avoir sa liberté de culte. C’est grâce aux libéraux que nous avons acquis ces libertés, nous en sommes aujourd’hui les héritiers. En filigrane, l’état doit garantir une égalité des chances, une égalité des possibles pour que ces libertés puissent rester effectives pour tous.

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QUE PENSEZ-VOUS DE L’ÉQUILIBRE ENTRE SÉCURITÉ SANITAIRE ET LIBERTÉ DUR ANT L A CRISE DU COVID-19 ?

DL : Il faut d’abord dire que l’on a basculé dans une situation totalement inédite. Un élément important au début de cette crise c’est la solidarité vis-à-vis des plus fragilisés par la crise.

Ensuite, un débat est rapidement arrivé, celui de restreindre les libertés si et seulement si c’est absolument nécessaire. Le MR a porté ce message et le porte encore aujourd’hui et j’ai été rassuré que beaucoup ont également porté ce message. La crise du COVID a démontré que la sécurité y compris sanitaire n’est pas absolue.

Les libéraux et le libéralisme ont une longueur d’avance sur le point d’équilibre entre sécurité et liberté.

AB : Au début, tout le monde a accepté les restrictions des libertés dans les premières semaines. On a vite compris que certains grands principes devaient être conservés, les restrictions de liberté doivent rester l’exception, être strictement nécessaires et proportionnées mais également que les parlements doivent rester impliqués. Sur ce dernier point, on a raté cela.

Ensuite, il y a un équilibre à maintenir entre trois éléments : la santé physique et mentale,

« Les restrictions de liberté doivent rester l’exception » l’économie et la préservation des libertés et de la vie privée. Parmi ces libertés, il y a une balance à faire. Par exemple, le fait de porter le masque c’est du bon sens, le coût/bénéfice est clair.

Par contre, les privations de libertés comme le couvre-feu et les bulles sociales doivent faire l’objet de débats démocratiques qui ont été insuffisants sur ces questions. Toutes les libertés ne sont pas les mêmes.

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David Leisterh

QUELLE EST L’ACTION POLITIQUE QUE VOUS AVEZ MENÉE DONT VOUS ÊTES LE/L A PLUS FIER(E) EN TANT QUE LIBÉR AL ?

AB : L’action dont je suis la plus fière, c’est l’opposition que l’on mène à Bruxelles. C’est d’être la première force de propositions, ne pas faire d’attaque ad hominem et surtout de respecter nos valeurs que ce soit dans des débats très difficiles comme les questions de neutralité, d’emploi. Je suis fière que l’on ait une ambition pour Bruxelles compte tenu que le MR est écarté du pouvoir depuis 17 ans.

DL : J’ai mené une initiative au sein du CPAS de Watermael-Boitsfort qui s’appelle job yourself qui donne les outils psychologiques, logistiques et financiers afin d’accompagner les personnes qui ont connu un revers dans leur vie dans le but de créer leur propre emploi.

Au travers de cela, on accompagne des électriciens, des boulangers, des fleuristes qui créent leur propre emploi.

Certaines de ces personnes arrivent à offrir par la suite un emploi, c’est gratifiant et j’en suis fier.

QUEL EST LE PLUS GR AND ENJEU POUR LE MR À BRUXELLES ?

DL : Je suis convaincu de deux choses : Bruxelles a tous les atouts pour devenir grande d’une part mais les choix posés nous amènent dans la mauvaise direction d’autre part.

L’enjeu du MR à Bruxelles c’est de ramener les politiques menées dans la bonne direction.

Deux exemples : il faut pouvoir développer les systèmes qui permettent de faire émerger les talents, on ne fait pas assez pour les garder mais également pour en créer davantage. A Bruxelles, on ne donne pas suffisamment la chance pour créer leur succès. Il y a un wagon qui est train de passer c’est le développement du numérique et de l’intelligence artificielle. Il faut former les codeurs de demain, les casseurs de code de demain. C’est cette pépinière que l’on doit mettre en place pour faire émerger ces talents. Le deuxième volet, c’est la qualité de vie. On a besoin que les habitants restent à Bruxelles et qu’ils s’y sentent bien. La manière dont on développe les bâtiments, les espaces verts et que l’on gère la mobilité est essentielle.

AB : La lutte contre la fracture à Bruxelles et la dualité de Bruxelles est un réel enjeu. La Région représente 18 % du PIB national mais a un revenu moyen au plus bas, il faut mettre les habitants au niveau de la richesse produite de sa région et pour cela il faut miser sur l’emploi et la formation. Le nombre de jeunes qui n’ont pas leur CESS c’est effrayant, le nombre de Bruxellois qui naissent dans des familles sans aucun revenu du travail. Il faut faire en sorte que les communes soient reliées entre elles et ne plus avoir cette fracture à Bruxelles.

Cela passe également par le fait de lutter véritablement contre les discriminations sans communautarisme, sans effet d’annonce et sans faire croire que c’est en détricotant la neutralité que l’on y arrivera.

VOUS AVEZ TR AVAILLÉ POUR DIDIER REYNDERS, QUELLE CHOSE VOUS A-T-IL APPRISE ET DONT VOUS VOUS SERVEZ ENCORE AUJOURD’HUI ?

DL : Ce qu’il m’a appris c’est sa capacité à prendre une distance vis-à-vis des événements. Il parvenait à rester au-dessus de la mêlée, il dégage une force mentale bien qu’il soit un homme politique bien plus sensible qu’il n’y paraît.

AB : Choisir ses combats. Didier Reynders n’essayait pas de marquer chaque point et chaque but. Les combats qu’il choisissait, il les gagnait et c’est quelqu’un qui assume ses choix ainsi qu’une grande créativité lorsqu’il était confronté à des négociations complexes.

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1. UNE FUTURE PL ACE BROUSTIN À GANSHOREN ?

Dans ce contexte, vos échevins MR soutiennent et portent un projet de piétonisation d’une partie de l’avenue Broustin.

Faisant face à la Basilique du Sacré-Cœur et jonchant le parc Élisabeth, l’espace public qui est formé par le croisement entre l'avenue Broustin, l'avenue des Gloires Nationales et l'avenue J. Sermon renferme un potentiel attractif qui demande à être mieux exploité.

Cette piétonisation permettrait de créer les conditions pour sensiblement améliorer la qualité de vie dans ce quartier de standing ainsi que la qualité de l’espace public, d’y privilégier les fonctions de séjour, la sécurité routière et la diminution de la pression automobile.

Il convient en effet d’y développer un pôle économique et touristique disposant d’une visibilité régionale voire nationale et de renforcer les relations territoriales et sociales entre ses différents quartiers ; d’augmenter la cohésion de cette zone, frontalière de trois communes, mais fracturée entre ses différents espaces patrimoniaux, culturels, récréatifs et les axes de circulation encombrés.

En effet, suite aux nombreux accidents sur ce tronçon, la Région a récemment été amenée à envisager plusieurs scénarios pour limiter le trafic de transit. Un test de fermeture du croisement formé par l'avenue Broustin, l'avenue des Gloires Nationales et l'avenue J. Sermon est réalisé par Bruxelles-Mobilité durant 6 mois afin de « transformer ce quartier en un espace public de qualité ». Si le test s’avère concluant, une demande de permis d’urbanisme pourrait être introduite pour un projet qualitatif à cet endroit.

Ce quartier qui subit un trafic de transit important est par ailleurs victime de nombreux accidents graves qui ont lieu au carrefour formé par l’avenue Broustin et l’avenue de la Constitution dus à la dangerosité du rond-point à hauteur du carrefour traversable en ligne droite sans qu’il soit nécessaire de réduire la vitesse. Entre 2004 et 2019, 10 accidents avec lésions corporelles et 16 blessés légers dont 8 dans un accident impliquant 1 bus ont été recensés par Bruxelles-Mobilité.

© Architecten.atelier PV

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Profitant de cette occasion pour mettre en valeur le site en l’aménageant et pour mobiliser les citoyens autour de projets communs de réappropriation de l’espace public, à l’initiative de nos échevins MR, le Collège des Bourgmestre et Echevins a répondu à un appel à projet de la Région pour la mise en œuvre de projets de « mobilité durable » favorisant la « réappropriation de l’espace public ».

© Architecten.atelier PV

L’objectif de ce volet est de tester des aménagements et de repenser l’espace public dans la perspective d’une mobilité durable, active et intégrée.

Ce projet se concrétisera par l’aménagement provisoire du haut de l'avenue Broustin en place piétonne afin (1) de mettre à disposition des citoyens, le temps d’un été, cet espace public actuellement utilisé par des véhicules motorisés et (2) in fine de tester le réaménagement de la zone avant pérennisation éventuelle en tenant compte des adaptations nécessaires et des aménagements suggérés par les citoyens et mis en exergue grâce à cette expérimentation.

Cet espace qualitativement aménagé, apaisé, verdurisé, propice aux rencontres intergénérationnelles et aux échanges a été mis à disposition - entre le 15 juillet et le 22 septembre 2021 - de ses différents usagers au travers d’un programme d’activités élaboré par la commune et des initiatives citoyennes.

En effet, à plus long terme, ce projet doit s’intégrer dans une vision globale que sera déclinée sous la forme d’un plan communal de mobilité (PCM) et de contrats locaux de mobilité (CLM) visant à mettre en œuvre des solutions globales pour créer des quartiers apaisés sur l’ensemble de la zone.

EN QUELQUES CHIFFRES 37 activités culturelles, sportives et de loisir du 16 juillet jusqu’au 22 septembre 10 concerts Près de 1.000 participants

Ces solutions sont en cours d’élaboration et les résultats du test mobilité doivent justement nous permettre de définir le scénario des solutions et aménagements à mettre œuvre de manière à maximiser le bien-être collectif en diminuant les nuisances et en renforçant la sécurité pour tous.

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2. EN ROUTE POUR UN NOUVEAU PL AN COMMUNAL DE MOBILITÉ !

PA R M A G A L I C O R N E L I S S E N - É C H E V I N E E N C H A R G E D E L A M O B I L I T É

Depuis quelques années, la mobilité est au cœur de toutes les attentions et de tous les discours politiques à Bruxelles. Et pour cause : jamais il n’a été aussi compliqué de se déplacer dans notre Région, et ce quel que soit le mode de déplacement pour lequel on opte ! C’est d’autant plus vrai que les pratiques de déplacement ont beaucoup évolué ces dernières années et que la tendance pourrait s’accentuer suite à la crise sanitaire que nous traversons.

A Ganshoren, le dernier Plan communal de mobilité a été établi en 2007. Il n’est donc plus à jour et doit être intégralement revu, pour tenir compte de ces nouveaux enjeux et intégrer les principes du nouveau Plan régional de mobilité (appelé « Goodmove »). C’est pourquoi, à l’initiative de l’échevine MR de la mobilité, 2021 marque le début des travaux pour un nouveau Plan communal de mobilité.

A quoi ça sert ?

Un Plan communal de mobilité est un outil stratégique qui vise à faciliter la planification de la mobilité à l’échelle de la commune. Son principal objectif ? Améliorer la mobilité, l’accessibilité, la sécurité routière et, surtout, la qualité de vie des habitant.e.s tout en assurant un bon équilibre entre tous les modes de déplacements (automobiles, transports en commun, piétons, deux-roues motorisés ou non, …). Il s’agit aussi d’accompagner le développement économique et démographique du territoire.

Un tel plan vise avant tout à agir à la source pour résoudre les problèmes actuels ou à venir, plutôt que d’agir ponctuellement au cas par cas sur les effets de ceux-ci.

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Comment ça marche ?

Le processus se déroule en trois grandes étapes : → une exploration du territoire pour établir un diagnostic → une analyse de ce diagnostic pour définir les priorités → l’établissement d’un plan d’actions concrètes que la Commune devra mettre en œuvre.

Qui s’en charge ?

Pour élaborer ce nouveau plan, le service mobilité de la Commune se fait accompagner par un bureau d’étude indépendant, spécialisé en mobilité (le BRAT), et collabore avec les services publics compétents (Bruxelles Mobilité, services de police, STIB, etc.).

Mais ce n’est pas tout : les citoyens seront appelés à participer activement à chaque étape du processus. Il s’agit d’élaborer un plan qui tienne compte des constats et difficultés de tous les usagers et non de l’une ou l’autre catégorie d’entre eux.

Les appels ont été lancés notamment via le journal communal et le site internet de la Commune à la rentrée.

N’hésitez pas à y répondre et à apporter votre pierre à l’édifice !

3. CHEZ “THÉO & JEANINE” On disait d’elle que c’était la dernière ferme en activité à Bruxelles… Au décès de Théo Hoogstijns, le 11 juillet 2018, la ferme de la rue de Termonde mettait un terme à ses activités et à l’exploitation du Zavelenberg.

Afin de protéger le site et d’y maintenir une activité en adéquation avec son histoire, la Commune, à l’initiative de son échevine MR en charge de l’Agenda 21 et de la Culture française, interpelait la Région, en janvier 2019, afin d’examiner ensemble des solutions pour préserver le site. C’est ainsi que Citydev a acquis la ferme en avril 2020 en vue, d’une part, d’y développer, à terme, des logements conventionnés et, d’autre part, en collaboration avec Bruxelles Environnement, d’y mettre sur pied des activités d’alimentation et d’agriculture urbaine comme activités économiques pourvoyeuses d’emplois bruxellois. Il s’agira donc d’un projet mixte, baptisé FarmCity, dont le second volet maintiendra concrètement le lien avec l’exploitation agricole du Zavelenberg.

A côté de ce projet culturel communal, que complète encore un potager urbain hors sol, d’autres conventions d’occupation ont été conclues, notamment avec un berger dont les moutons occupent une partie du corps de ferme. C’est donc tout naturellement que, parmi ses premières activités, le café pop-up « Chez Theo et Jeanine » a organisé des ateliers autour de la laine, de la tonte des moutons au tissage en passant par le cardage, le filage ou encore le feutrage.

Ce nouvel espace culturel, situé au 122 de la rue de Termonde, accueillera encore de nombreuses activités et se veut à la disposition des habitant.e.s. N’hésitez donc pas à en pousser la porte !

4. GANSHOREN : QUELLE FISCALITÉ SUR LE TR AVAIL ?

Le travailleur belge demeure le plus taxé au monde, surtout s’il n’a pas d’enfants. L’OCDE (Organisation pour la coopération et le développement économiques, basée à Paris) vient encore de le confirmer dans son rapport "Taxing wages 2021", qui compare le niveau de taxation des salaires dans le monde. Le travailleur belge isolé est prélevé à hauteur de 51,5%.

Cette fiscalité qui pèse sur le travail au travers de l’Impôt sur les personnes physiques, les communes y contribuent via des additionnels à l’Impôt sur les Personnes Physiques (ci-après IPP).

Où se situe Ganshoren par rapport aux autres communes bruxelloises ?

A l’échelle de la Région, Ganshoren est la quatrième commune qui impose le plus le travail avec une taxe sur les additionnels à l’Impôt sur les Personnes physiques fixée à 6,9 % alors que la moyenne de cette taxe à Bruxelles se situe à 6,3 %.

En attendant le développement du projet définitif, les services communaux des Cultures Française et Néerlandaise ont conclu une convention d’occupation temporaire d’une partie du site afin d’y développer un espace d’exposition et de programmation culturelle et environnementale. L’objectif est d’y organiser des expositions, des concerts acoustiques, des jeux de café, des ateliers, des cafés philo ou poésie, etc., en collaboration avec divers partenaires locaux. C’est dans ce cadre que le café pop-up « Chez Théo et Jeanine » a été inauguré le 28 mai dernier dans l’ancienne étable dédiée aux vaches. Baptisé du nom de ses anciens propriétaires, les époux Théo Hoogstijns et Jeanine Vanden Broeck, ce café se veut une interprétation contemporaine des laiteries et estaminets d’antan.

Le MR de Ganshoren a réussi à enclencher une diminution progressive de cette taxe qui était fixée à 7 % et a la volonté de poursuivre cette diminution dans les années à venir afin de tendre vers la moyenne régionale. Cette diminution ne peut pas se faire via une augmentation d’une autre taxe importante pour les finances locales, à savoir les centimes additionnels au précompte immobilier comme l’ont fait plusieurs autres communes bruxelloises : cela revient à donner d’une main et reprendre de l’autre et conduit de facto les propriétaires à ajuster le prix des loyers qui ne sont pas toujours accessibles à Bruxelles. En outre, notre commune se situe dans la moyenne des 19 communes bruxelloises en termes de centimes additionnels au précompte immobilier fixées à 2990 et les coûts directs et indirects du logement acquisitif y sont déjà importants.

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L’

écologie est un mode d’organisation visant à faire coexister de manière optimale l’humanité et son environnement. Les questions touchant à la nature, à la protection de l’environnement et au devenir de la planète sont d’une grande complexité.

Cependant, l’écologie ne peut être dogmatique, intolérante et culpabilisatrice. Elle ne peut pas non plus entraver voire carrément enlever la liberté de choix de tout.e un.e chacun.e !

SAVIEZ-VOUS QU’IL EXISTE DE NOMBREUX POINTS DE CONVERGENCE ENTRE L’ÉCOLOGIE ET LE LIBÉR ALISME ?

Toutes deux ont pour objet la gestion des biens rares et toutes deux s’appuient sur des valeurs et des idées communes : la promotion et la préservation de la diversité, la volonté d’aménager un cadre de vie qui fait coexister harmonieusement le développement humain et l’évolution de son environnement, le caractère cyclique des phénomènes naturels et humains, l’exploitation rationnelle et optimale des ressources.

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L’ ÉCHO LI B ÉR A L Magazine annuel d’information communale

Le libéralisme et « l’écologie de liberté » libèrent et responsabilisent le citoyen mais en aucun cas ne le régentent ni le contraignent. Nous sommes toutes et tous individuellement responsables de l’environnement dans lequel nous vivons et évoluons et il est bien connu que les véritables changements éthiques importants se font par des remaniements intimes.

Si un changement de comportement, d’affection, de centre d’intérêt et de conviction se fait de manière réfléchie et est profondément et intérieurement choisi, il aura beaucoup plus de chance d’être pérenne.

Pour la préservation de l’environnement et des ressources, il est un fait indéniable que nous ne pouvons continuer certains modes de fonctionnement, de consommations actuelles.

C’est pourquoi il est primordial de faire progresser la société dans tous les domaines au plus grand bénéfice des générations futures. L’environnement nous concerne bien toutes et tous ! N’oublions jamais et gardons toujours à l’esprit que nous, humains, avons besoin de la planète et non l’inverse.

Alors si nous commençons toutes et tous par d’abord essayer de se changer soi-même mais toujours en toute liberté, en âme et conscience, nous arriverons à changer le monde dans lequel nous évoluons car ne dit-on pas que les petites rivières font les grands fleuves ?!

POUVEZ-VOUS VOUS PRÉSENTER ?

Je suis le Chef du restaurant Bruneau

by Maxime Maziers que j'ai repris en mars 2018. C'est une maison mythique à Bruxelles qui a plus de 30 ans et que l’on essaye au fur et à mesure de faire rajeunir tant dans la décoration que dans les plats.

QUEL A ÉTÉ VOTRE PARCOURS ?

J'ai été diplômé de l'école hôtelière de Namur en 2006. J'ai ensuite travaillé quelques mois pour Alain Senderens, Chef étoilé à Paris, avant d’arriver chez Monsieur Bruneau qui avait 2 étoiles. À l’époque, on se formait dans plusieurs maisons dans des délais relativement courts pour apprendre un maximum de choses. J’ai donc poursuivi mon apprentissage chez le traiteur Loriers, qui était traiteur de la Cour. Ensuite je suis retourné dans le sud de la France chez Wout bru, chef belge qui fut le premier à avoir 2 étoiles en tant que Belge en France. Après cette expérience, je suis revenu chez Monsieur Bruneau où je suis resté 5 ans comme sous-chef.

Ensuite, j'ai repris la cuisine du Bowery. Après quoi j’ai été engagé comme Chef à l’Écailler du Palais Royal, où l’on a obtenu très rapidement une étoile. C’était une maison un peu en déclin qu'on a voulu rajeunir.

Lorsque Monsieur Bruneau a arrêté sa carrière, j'ai repris son établissement qui était à vendre.

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QU’EST-CE QUE TU AS CHANGÉ PAR RAPPORT À TON PRÉDÉCESSEUR ?

Mon style qui s'apparente vraiment à quelque chose de, je pense, un peu plus jeune. On a également refait toute la déco des salles et la terrasse. On a refait une salle totalement privative qui accueille 10 à 14 personnes au premier étage.

Je pense que dans le style, dans l'ambiance, l’ensemble est rajeuni, notamment au niveau du service le dimanche où nous proposons un brunch par exemple, qui permet une réunion vraiment familiale, quelque chose de beaucoup plus détendu, beaucoup plus sympa et qui nous amène également une nouvelle clientèle plus jeune. Nous avons également revu le style moins ostentatoire et plus décontracté avec des prix y afférent.

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L E S J EUN ES AB ST ENTION N ISTES , comment y remédier ?

PA R R O M A I N B E A U M O N T JEUNE MR

N

ous observons un nombre croissant de jeunes adultes abstentionnistes lors des élections. Il existe pourtant un nombre important de solutions visant à remédier à cette situation. Mais quels sont-ils ?

Ces programmes prennent généralement la forme d’ASBL. Nous pouvons par exemple citer l’initiative de « Parlement Jeunesse » permettant aux jeunes volontaires de se glisser à la place d’un député de la FWB. Cela se déroule pendant une semaine et leur permet d’apprendre les mécanismes de la politique. En outre, nous pouvons également mentionner la volonté de la communauté française de faire des jeunes des « CRACS », autrement dit, des Citoyens Responsables, Actifs, Critiques et Solaires.

Cela peut se réaliser tantôt à l’école, tantôt au Forum des Jeunes, mais aussi par les nombreuses organisations de jeunesse politique, que ce soit la jeunesse d’un parti ou un mouvement idéologique pour étudiants ou jeunes.

Des « débats apprentis-citoyens » sont organisés dans les écoles.

Nous constatons cependant que, malgré les nombreuses initiatives mises en place, les jeunes peinent à relever la barre de l’abstention.

Le manque de conscience et d’information peut expliquer ce phénomène de désintérêt. Une priorité du monde politique actuel tend à vouloir renverser cette situation en communiquant de plus en plus envers l’avenir de notre pays. Nous le voyons notamment à travers la présence des politiciens sur les réseaux sociaux notamment Instagram, Tik-Tok, étant populaires chez les plus jeunes, ou encore YouTube sur lequel le MR a lancé sa chaîne « DREAMR ».

Finalement, dans l’idée d’inciter les jeunes à s’intéresser à la politique et à notre démocratie, pourquoi ne pas imaginer un modèle de formation à l’école ? Par exemple via un cours d’Institutions Politiques Belges pour le troisième degré de secondaire comme il est déjà dispensé dans certains cursus universitaires. Cela amènerait les élèves à avoir toutes les cartes en main pour voter. Tout simplement parce qu’à la sortie de l’école après obtention de leur CESS, généralement à 18 ans, connaître le paysage politique belge est important. C’est d’ailleurs et surtout à ce même âge, celui de la majorité, que le droit de vote leur est accordé.

Tu as entre 16 et 35 ans et tu souhaites rejoindre les Jeunes MR de Ganshoren ?

Contacte-nous via ganshoren@jeunesmr.be

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Steven Lam

Stéphane Obeid

Robert Genard

Président du MR de Ganshoren 1er Echevin

Président d’honneur du MR de Ganshoren

Président des Jeunes MR de Ganshoren Conseiller CPAS

Magali Cornelissen

Serge Janssen

David Brancaleoni

Secrétaire politique Echevine

Conseiller communal et de police

Tresorier du MR de Ganshoren

Sabrina Baraka

Natacha Vanbrabant

Vice-Présidente Echevine

Mandataire Lojega Société de logements sociaux

Lionel Van Damme Vice-Président - Chef de groupe au Conseil communal Mandataire Lojega

Corinne Van Laethem Conseillère CPAS

JEUDI 21 OCTOBRE - 19H Sophie Wilmès, Vice-première ministre et ministre des Affaires Étrangères, viendra à Ganshoren pour la conférence « Gouvernement Vivaldi : ses enjeux, sa vision, ses actions ».

Hall des Sports R. Beauthier, rue Vanderveken 114 RSVP : mrganshoren@gmail.com

NOM

TALON À RETOURNER À:

PRÉNOM

Monsieur Stéphane OBEID Avenue Mathieu de Jonge 6 1083 GANSHOREN

ADRESSE

COURRIEL

ou par courriel à mrganshoren@gmail.com

TÉLÉPHONE

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