ZoneConfort

Mai 2025 vol 24 numéro 05
Mai 2025 vol 24 numéro 05
Entrer sur son lieu de travail peut susciter toutes sortes d’émotions, comme l’excitation, l’appréhension et la détermination. Mais la dernière chose que nous souhaitons, c’est ressentir du dégoût ou de l’irritation face à un collègue qui ne respecte tout simplement pas nos limites. Chacun de nous a droit à un lieu de travail décent où nous sommes respectés par nos pairs. Nous avons besoin de respect non seulement pour notre travail, mais aussi pour la personne que nous sommes, et nous devons lui rendre ce respect. Il n’est pas difficile d’avoir de bonnes manières. Il est important de se rappeler que le lieu de travail n’est pas une zone de liberté où tout est permis. Nous devons
travailler ensemble chaque jour ; en fait, nous passons 40 heures ou plus par semaine ensemble. Le travail d’équipe est un élément essentiel du monde du travail d’aujourd’hui. Quels que soient nos postes ou nos titres, l’étiquette au travail se résume à notre capacité à être un membre efficace de l’équipe.
Voici quelques conseils d’étiquette au travail à prendre en compte :
• Faites attention à votre volume de voix lorsque vous parlez au téléphone. On a tendance à parler trois fois plus fort au téléphone qu’en personne.
• Habillez-vous de manière appropriée au travail. Réservez les robes transparentes,
• Protégez-vous contre le vol de voiture
• Bruit fort et perte auditive
• La sécurité des vélos électriques
• Sécurité et plein air
• Minimiser le risque de maux de dos
• Réduisez votre consommation de sodium
• La fatigue oculaire et appareils numériques
• Les pannes d’électricité par temps chaud
• La prévention de la fraude
• Protégez votre maison des catastrophes
• Maintenez vos dépistages à jours
• Consignes redonner vie à vos items
• La gestion des soignants
• La peau sèche vs l’eczéma
• Réunion de sécurité Risques d’empoisonnement
les shorts cyclistes en lycra, les débardeurs et les pantalons de yoga pour le télétravail.
• Évitez d’emprunter des objets sur le bureau des autres ou de voler des déjeuners sans permission.
• Nettoyez vos dégâts, que ce soit dans la cuisine ou devant la photocopieuse ; ne vous attendez pas à ce que les autres nettoient après vous.
• Évitez les potins. Évitez également de trop parler de votre vie privée.
• Soyez ponctuel aux réunions, aux conférences téléphoniques et aux rendezvous.
• Ce n’est pas parce que vos collègues se comportent mal que vous devez les imiter. Gardez toujours votre sang-froid et faites ce qui est juste, même si vous le faites seul. C’est important et cela se remarquera.
• Si le comportement d’un collègue vous empêche de bien faire votre travail, parlez-en directement à la personne concernée. Expliquez clairement l’impact de son comportement sur vous et, éventuellement, sur d’autres personnes. Demandez un changement de comportement en insistant sur les avantages que chacun pourrait en tirer. Si le problème persiste et dépasse le simple désagrément, signalez-le à votre supérieur.
• Et lorsqu’un changement positif se produit, n’oubliez pas de dire « merci ».
partenaires en communication santé et sécurité
Éditeur & PDG: Stefan Dreesen
Ventes: Alan Haycroft | Liz Slobodin | Kevin Harvey
Éditrice: Kate Van Hoof-Peeren
Auteurs Collaboratuers: Bryden Winsby
SANS FRAIS: 1-888-655-4800 info@smartworkplace.ca www.smartworkplace.ca
Le vol de véhicules est en hausse au Canada et peut toucher aussi bien les propriétaires de véhicules personnels que commerciaux. Que vous conduisiez une voiture familiale ou que vous gériez une flotte de camions de livraison, des mesures proactives peuvent contribuer à prévenir le vol et à vous offrir une plus grande tranquillité d’esprit. Voici quelques conseils simples pour protéger votre véhicule contre le vol :
Soyez prudent lorsque vous vous garez. La première étape pour prévenir le vol de véhicule est de toujours verrouiller vos portières, fermer vos fenêtres et emporter vos clés. Soyez attentif à l’endroit où vous vous garez et assurezvous de stationner dans des garages ou des endroits achalandés et bien éclairés autant que possible. Se garer entre d’autres véhicules réduit également votre vulnérabilité aux vols. Si vous avez un garage à la maison, assurez-vous de l’utiliser.
Installez un dispositif antivol. De plus en plus de Canadiens se tournent vers les dispositifs antivol GPS pour protéger leurs véhicules. Non seulement ces dispositifs dissuadent les voleurs, mais ils aident également la police à localiser votre véhicule en cas de vol. Différentes options sont disponibles selon les provinces ; parlezen à votre assureur pour savoir quel dispositif il recommande. L’installation d’un tel système améliorera non seulement la sécurité de votre véhicule, mais pourra également contribuer à réduire vos primes d’assurance automobile.
Soyez vigilants envers vos effets personnels et vos porte-clés. Ne laissez jamais d’argent ou d’objets de valeur à la vue de tous. Même des objets coûteux comme du matériel, des outils ou des appareils électroniques peuvent attirer les voleurs dans votre véhicule. Il est également important de garder vos clés ou votre porteclés sans clé loin des portes et des fenêtres. Les voleurs peuvent utiliser des attaques par relais pour intercepter les signaux des porteclés et déverrouiller les véhicules. Il existe des pochettes et des boîtiers métalliques bloquant les signaux qui peuvent empêcher ce type de vol lorsque votre porte-clés n’est pas utilisé.
Utilisez des mesures d’identification des véhicules. Pensez à faire marquer vos vitres et autres pièces importantes de votre véhicule avec votre numéro d’identification du véhicule (NIV). Cela rendra leur revente plus difficile pour les voleurs. Si vous possédez un véhicule utilitaire, pensez à ajouter une marque pour dissuader les voleurs en facilitant le suivi de votre véhicule.
Apprenez-en plus sur les conseils de prévention contre le vol de voiture sur le site National Action Plan on Combatting Auto TheftCanada.ca
Le bruit intense constitue une menace croissante pour la santé auditive au Canada. Pourtant, beaucoup d’entre nous ignorent sa prévalence et les mesures à prendre pour se protéger.
Les organismes sans but lucratif œuvrant dans le domaine de la santé auditive signalent que les dommages causés par le bruit sont l’une des principales causes de perte auditive aujourd’hui et résultent généralement d’une exposition cumulative à des sons modérés ou forts supérieurs à 85 décibels, soit des bruits plus forts que la circulation urbaine. Selon Statistique Canada, plus d’un million d’adultes au pays déclarent souffrir d’une déficience auditive.
De nombreux emplois exposent les travailleurs à des bruits forts qui peuvent endommager l’audition à long terme. Protéger son audition au travail est essentiel pour maintenir sa qualité de vie et prévenir les problèmes de santé à long terme.
Une exposition prolongée à des bruits forts peut entraîner une perte auditive permanente. Une fois endommagée, l’audition ne peut être restaurée, d’où l’importance de la prévention. L’audition est essentielle pour détecter les alarmes, les avertissements et autres sons importants sur le lieu de travail. Protéger votre audition contribue à assurer votre sécurité et celle des autres.
Voici quelques conseils pour protéger votre audition au travail : Utilisez des dispositifs de protection
auditive. Portez des bouchons d’oreilles ou un casque antibruit dans les environnements bruyants. Choisissez des appareils avec un indice de réduction du bruit (IRB) adapté à votre lieu de travail. Limitez l’exposition aux bruits forts. Faites des pauses régulières loin des zones bruyantes pour reposer vos oreilles. Si possible, alternez les tâches pour minimiser l’exposition continue aux bruits forts.
Respectez les réglementations de votre entreprise. Respectez les consignes et réglementations de sécurité de votre lieu de travail concernant l’exposition au bruit. Assurez-vous que des protections auditives sont fournies et utilisées correctement.
Entretenir le matériel. Assurez-vous que les machines et les équipements sont bien entretenus afin de minimiser le bruit excessif. Un entretien régulier peut contribuer à réduire les niveaux sonores et à améliorer la sécurité générale.
Faites régulièrement des tests auditifs. Planifiez des examens auditifs réguliers pour surveiller votre santé auditive. Un dépistage précoce de la perte auditive peut vous aider à prendre des mesures préventives et à obtenir un traitement adapté.
Réduisez le bruit de fond. Utilisez des matériaux et des barrières insonorisants pour réduire le bruit de fond sur le lieu de travail. Cela peut contribuer à réduire le niveau sonore global et à protéger votre audition.
L’information présentée dans Zone Santé provient de sources que nous croyons être exactes et fiables. Cependant, il ne faut pas assumer que toutes les mesures acceptables sont contenues dans cet article ou que des mesures supplémentaires ne sont pas nécessaires lors de situations particulières ou exceptionnelles ou par les propres procédures de votre entreprise ou par les lois fédérales ou les lois de l’état/provinciales ou les lois d’intérêt local. La mise en oeuvre de cette information sur un lieu de travail spécifique devrait être tout d’abord révisée par un professio
Les vélos électriques, ou vélos à assistance électrique (VAE), gagnent en popularité en tant que moyen de transport pratique et écologique.
Au Canada, un vélo électrique est défini comme un vélo à deux ou trois roues d’une puissance maximale de 500 watts et d’une vitesse maximale de 32 km/h sur terrain plat. Il faut être âgé d’au moins 16 ans pour conduire un VAE. Le port du casque est obligatoire pour tous les utilisateurs de VAE. Bien qu’il existe des directives fédérales, chaque province peut avoir des règles et des exigences supplémentaires. Tenez-vous au courant des réglementations et lois locales concernant l’utilisation des VAE. Certaines régions peuvent avoir des règles spécifiques concernant les endroits où les VAE peuvent être utilisés et la vitesse maximale autorisée. Voici quelques conseils pour vous aider à rouler en toute sécurité.
• Familiarisez-vous avec les fonctionnalités et les commandes de votre vélo électrique. Lisez le manuel d’utilisation pour comprendre le fonctionnement du moteur, de la batterie et des niveaux d’assistance. Entraînezvous à utiliser les modes d’accélération et d’assistance au pédalage dans un espace sûr et dégagé jusqu’à ce que vous vous sentiez à l’aise.
• Outre le casque obligatoire, pensez à porter des équipements de protection supplémentaires tels que des gants, des genouillères et des coudières, ainsi que des vêtements réfléchissants pour améliorer votre visibilité auprès des autres usagers de la route.
• Inspectez régulièrement votre vélo électrique pour détecter tout signe d’usure. Assurez-vous que les freins fonctionnent correctement, que les pneus sont gonflés
à la bonne pression et que la batterie est complètement chargée.
• Les vélos électriques sont soumis au même code de la route que les vélos traditionnels. Respectez tous les feux de circulation, les panneaux et le marquage au sol. Roulez dans le même sens que la circulation et utilisez des signaux manuels pour indiquer vos intentions aux autres usagers de la route.
• Restez vigilant et soyez toujours attentif à votre environnement. Faites attention aux piétons, aux autres cyclistes et aux véhicules. Évitez les distractions, comme l’utilisation de votre téléphone, en roulant. Soyez attentif aux dangers potentiels comme les nids-depoule, les débris et les surfaces mouillées ou glissantes.
• Équipez votre vélo électrique de feux avant et arrière, surtout si vous prévoyez de rouler de nuit ou dans des conditions de faible luminosité. Des réflecteurs sur votre vélo et vos vêtements peuvent également améliorer votre visibilité.
• Anticipez les actions des autres usagers de la route et soyez prêt à réagir. Maintenez une distance de sécurité avec les véhicules et évitez de rouler dans les angles morts. Soyez prudent aux intersections et partez toujours du principe que les conducteurs pourraient ne pas vous voir.
• Les vélos électriques peuvent atteindre des vitesses plus élevées que les vélos traditionnels. Il est donc important d’adapter votre vitesse aux conditions routières et à la circulation. Ralentissez dans les zones fréquentées et dans les virages ou les descentes.
Choisissez des itinéraires adaptés aux vélos et moins fréquentés. Utilisez les pistes cyclables autant que possible.
(EN) Avec l’allongement des jours et l’arrivée imminente de l’été, beaucoup d’entre nous se préparent pour une nouvelle saison d’aventures en plein air. Que vous preniez la route en camping-car, que vous rouliez sur l’autoroute à moto ou que vous pratiquiez le tout-terrain en VTT, voici quelques conseils utiles pour vous protéger et vous amuser cet été :
Préparez l’essentiel. Un équipement adapté peut faire toute la différence en cas d’urgence. Prévoyez du carburant, de l’eau, des collations, des vêtements et une trousse de premiers secours. Si vous prévoyez d’explorer un endroit isolé ou un terrain inconnu, il est important d’emporter des outils de navigation comme un GPS ou une carte, surtout dans les zones où le réseau cellulaire peut être instable. Effectuez une vérification de sécurité avant le départ. Avant de démarrer votre moto, votre VTT ou votre camping-car, il est important de procéder à une inspection complète de votre véhicule afin de vous assurer qu’il est en parfait état de marche. Vérifiez la pression des pneus, les freins, les phares et les niveaux de liquide, et assurezvous de porter un casque ou un équipement de protection pour éviter les blessures.
Connaissez votre itinéraire. Que vous exploriez les sentiers accidentés de TerreNeuve ou les pittoresques chalets de l’Ontario, il est important de connaître votre itinéraire et de vous familiariser avec le terrain. Consultez les cartes, l’état des routes et l’accessibilité des sentiers pour éviter les mauvaises surprises pendant votre randonnée.
Vérifiez votre assurance. Avant de vous lancer dans votre prochaine aventure, assurez-vous que vos véhicules récréatifs sont assurés pour plus de tranquillité d’esprit. Les accidents arrivent, et une bonne assurance peut couvrir les dommages, la responsabilité civile ou les frais médicaux en cas de problème. Respectez la réglementation provinciale et les consignes de sécurité. Des permis de sentier aux lois sur l’équipement de protection, chaque région a ses propres règles pour les véhicules récréatifs. Assurez-vous de bien connaître la réglementation locale avant de partir et emportez toujours vos pièces d’identité et tout permis nécessaire.
Soyez attentif aux conditions météorologiques changeantes. La météo canadienne peut être imprévisible : orages soudains, vents violents ou chaleur extrême sont autant de possibilités. Consultez les prévisions avant de partir et soyez prêt à ajuster vos plans si nécessaire. Habillezvous en plusieurs couches, emportez des vêtements imperméables et mettez-vous à l’abri ou à l’ombre en cas d’imprévus.
De nombreuses personnes souffrent de maux de dos à un moment ou à un autre de leur vie. En effet, plus on vieillit, plus le risque augmente, le vieillissement étant l’un des principaux facteurs de risque. Que ce soit au travail ou dans vos loisirs, il est essentiel de garder à l’esprit que l’excès de travail peut entraîner des problèmes. Des activités apparemment inoffensives peuvent provoquer des lésions tissulaires et des blessures si elles sont pratiquées de manière excessive.
Voici quelques-uns des principaux facteurs de risque professionnels pouvant provoquer ou aggraver les maux de dos :
• Flexion ou torsion de la colonne vertébrale sous une charge lourde, par exemple pour ramasser des objets ou pousser ou tirer des chariots.
• Flexion ou torsion de la colonne vertébrale aussi loin que possible, de manière répétée ou prolongée.
• Pousser, tirer, porter ou soulever des objets excessivement lourds, ou effectuer ces tâches à une fréquence élevée avec des objets plus légers.
• Station assise prolongée.
La clé pour maintenir un dos en bonne santé est de pratiquer toutes les activités avec modération et de les varier. Il est également important de prévoir des pauses de repos adéquates, en contraste avec vos tâches professionnelles.
Par exemple, si votre travail implique une position assise prolongée, faites des pauses pour marcher, ou si vous restez debout longtemps, prenez des pauses pour vous asseoir et vous reposer.
Voici d’autres moyens de réduire le risque de problèmes de dos :
• Maintenez la colonne vertébrale immobile lorsque vous soulevez et poussez. Cela peut être réalisé en mobilisant vos hanches lors des flexions et des torsions. Les articulations
des hanches sont conçues pour produire de la puissance grâce à une large amplitude de mouvement, contrairement à la colonne vertébrale.
• Adoptez une technique de levage appropriée. Écartez les pieds d’environ la largeur des épaules. Fléchissez les genoux. Saisissez fermement la charge. Maintenez-la près du corps. Contractez les abdominaux. Soulevez lentement et uniformément, en évitant les mouvements brusques et saccadés, ainsi que les mouvements simultanés de levage et de torsion. Lorsque vous changez de direction, avancez dans le sens de la marche, en tournant tout le corps au niveau des hanches. Évitez les torsions au niveau de la taille.
• Pour réduire le risque de lésions vertébrales dues à une charge excessive, utilisez des aides mécaniques ou demandez à une autre personne de vous aider à soulever des objets lourds.
• En cas de position assise prolongée, changez fréquemment de position et faites des pauses de marche régulières. En position debout, adoptez une bonne posture, portez des chaussures à semelles souples, utilisez des repose-pieds et ne bloquez pas vos jambes.
• Pratiquez régulièrement de l’exercice pour renforcer et améliorer la souplesse de vos muscles dorsaux et abdominaux. L’exercice physique atténue également la gravité des blessures au dos et favorise la guérison.
• N’oubliez pas que les glissades, les trébuchements et les chutes sont l’une des principales causes de blessures au dos. Un bon nettoyage des déversements et des débris, ainsi qu’un bon dégagement des allées de matériel et d’équipement, peuvent réduire considérablement le risque de blessures au dos causées par des chutes.
• Apprenez à vous détendre, ce qui peut réduire le stress et la tension musculaire qui s’accumulent dans le dos pendant la journée.
Des moyens simples pour réduire votre consommation de sodium
Bien que le sodium soit un nutriment essentiel présent dans le sel de table et de nombreux autres aliments, une consommation excessive peut entraîner de l’hypertension artérielle. La plupart des Canadiens, y compris les enfants, consomment trop de sodium.
Voici quelques idées pour toute la famille et réduire votre consommation de sodium :
• Magasinez intelligemment. Choisissez des aliments comme les légumes, les fruits, les céréales complètes et les aliments riches en protéines, avec peu ou pas de sodium ajouté. Consultez le tableau de la valeur nutritive pour choisir des aliments faibles en sodium. N’oubliez pas : 5 % de la valeur quotidienne, c’est peu, 15 %, c’est beaucoup.
• Privilégiez les aliments frais aux aliments transformés. Saviez-vous que près de 80 % de notre apport en sodium provient des aliments transformés et emballés ? Au Canada, le pain, la charcuterie, le fromage, les soupes en conserve et les plats préparés comptent parmi les principaux contributeurs à notre apport en sodium.
• Préparez plus souvent des repas plus sains à la maison. Cuisinez avec peu ou pas de sel ajouté. Utilisez des herbes et des épices pour parfumer vos aliments. Vos papilles gustatives s’habitueront à une alimentation moins salée. Essayez d’utiliser du basilic dans les pâtes, du cumin dans les soupes et les ragoûts, et du thym ou du romarin avec le poulet ou le bœuf.
• Faites des demandes spéciales même au restaurant. Les repas au restaurant sont souvent très riches en sodium. Pour réduire votre consommation de sodium tout en savourant un repas au restaurant, demandez à votre serveur des options à faible teneur en sodium, ainsi que de la sauce et de la vinaigrette à servir à part. Vous pouvez également commander une plus petite portion ou partager un plat.
Les pannes de courant sont souvent causées par des tempêtes ou des vents violents qui endommagent les lignes et les équipements électriques. Elles peuvent entraîner des pannes de climatisation, d’éclairage, d’eau chaude ou d’eau courante. De plus, il sera impossible de recharger les téléphones portables à domicile.
En cas de panne, suivez ces étapes de sécurité :
• Tout d’abord, déterminez si la panne de courant est limitée à votre domicile. Si vos voisins ont encore du courant, vérifiez votre tableau électrique ou votre boîte à fusibles. Si le problème ne vient pas d’un disjoncteur ou d’un fusible, inspectez les fils électriques qui mènent à votre maison. Si les fils sont visiblement endommagés ou au sol, tenezvous à au moins 10 mètres de distance et prévenez votre fournisseur d’électricité. Si vos voisins sont également privés d’électricité, contactez votre fournisseur d’électricité. Gardez tous les numéros d’urgence à portée de main.
• Éteignez toutes les lumières, tous les outils, tous les appareils et tous les équipements électroniques afin d’éviter tout dommage dû à une surtension lors du retour du courant. Le rétablissement du courant est plus facile sans surcharge du système électrique. Laissez une lumière allumée à l’intérieur et à l’extérieur pour signaler le retour du courant.
• N’utilisez pas de barbecues au charbon de bois ou au gaz, de chauffages de camping ou de générateurs domestiques à l’intérieur ou dans les garages en raison des émissions de monoxyde de carbone, qui peuvent causer des problèmes de santé et mettre la vie en danger.
• Utilisez des bougeoirs adaptés. Ne laissez jamais de bougies allumées sans surveillance et gardez-les hors de portée des enfants. Éteignez les bougies avant d’aller vous coucher.
• Préparez-vous à l’avance en disposant d’une trousse d’urgence bien garnie. Elle doit contenir l’essentiel comme de l’eau, des denrées non périssables comme des conserves, des barres de céréales et des fruits secs, ainsi qu’un ouvre-boîte manuel pour les conserves. N’oubliez pas une trousse de premiers secours, une radio à piles et des allumettes. Gardez toujours à portée de main une lampe de poche avec des piles neuves et un couteau suisse à portée de main, pour éviter de les chercher partout. Vérifiez votre trousse deux fois par an.
Les appareils numériques peuvent être nocifs pour les yeux
Le terme fatigue oculaire numérique désigne les problèmes de vision résultant d’une utilisation prolongée d’appareils tels que les ordinateurs portables et de bureau, les tablettes, les smartphones et les consoles de jeux portables.
Avec le temps, une utilisation prolongée des écrans peut fatiguer les muscles oculaires, entraînant des symptômes tels que maux de tête, vision floue et double, sécheresse oculaire, démangeaisons et rougeurs, ainsi que douleurs au cou et aux épaules.
Également connu sous le nom de syndrome de vision informatique, ce syndrome peut résulter de facteurs tels que :
• Reflets de l’écran.
• Mauvais éclairage.
• Mauvaise posture.
• Regarder un ordinateur à une distance et sous un angle inappropriés.
• Problèmes de vision non corrigés.
• Une combinaison de ces facteurs.
Pour réduire la fatigue oculaire, réduire le nombre d’heures passées devant un écran numérique n’est pas envisageable pour la plupart des gens, du moins pas au travail. Il est également déconseillé de supporter l’inconfort, car votre productivité en pâtirait.
Il est souvent recommandé de créer un meilleur environnement de travail. Cela peut impliquer :
• Reposez vos yeux au moins 15 minutes après chaque période de 2 heures d’utilisation d’un ordinateur ou d’un appareil numérique.
• Toutes les 20 minutes, regardez au loin à au moins 6 mètres de l’écran pendant au moins 20 secondes.
• Agrandissez le texte à l’écran.
• Réduisez l’éblouissement dû aux sources lumineuses.
• Utilisez un filtre antireflet.
• Placez votre écran de manière à ce que son centre soit à environ 10 à 12 cm (4 à 5 pouces) sous le niveau des yeux (environ 15 à 20 degrés par rapport à l’horizontale).
• Placez votre écran à environ une longueur de bras de vos yeux.
• Clignez souvent des yeux. Cela produit des larmes qui lubrifient les yeux, ce qui minimise le risque de sécheresse oculaire due à une fixation prolongée sur un écran numérique.
• Réglez la hauteur de votre chaise pour que vos pieds reposent confortablement au sol. Ne vous affalez pas sur l’écran de l’ordinateur.
Les problèmes de vision liés aux appareils numériques peuvent souvent être atténués par des soins oculaires réguliers. Un examen oculaire complet peut également révéler des problèmes de santé cachés. Par exemple, si vous souffrez d’une sécheresse oculaire sous-jacente, votre ophtalmologiste pourrait vous conseiller d’utiliser des gouttes lubrifiantes, de traiter vos allergies, de boire davantage et/ou de prendre un médicament sur ordonnance pour augmenter la production de larmes.
Certains utilisateurs d’ordinateurs rencontrent des problèmes qui ne peuvent être corrigés correctement par des lunettes ou des lentilles de contact. Un programme de thérapie visuelle peut être nécessaire. Il s’agit d’un programme structuré d’activités visant à améliorer les capacités visuelles. Il entraîne les yeux et le cerveau à collaborer plus efficacement. Ces exercices oculaires permettent de corriger les déficiences du mouvement oculaire, de la mise au point et de la coordination oculaire, et de renforcer la connexion œil-cerveau.
Protégez votre maison contre les inondations et les incendies de forêt
(EN) Si nous attendons tous avec impatience l’arrivée du printemps, celle-ci s’accompagne également d’un risque accru de conditions météorologiques extrêmes qui pourraient affecter votre maison. Avec la fonte des neiges et la hausse des températures, il est important de rester vigilant face aux risques potentiels d’inondations et d’incendies de forêt.
Voici quelques mesures proactives à prendre pour protéger votre maison et votre famille cette saison : Évaluez vos risques d’inondation. En ce qui concerne les dégâts d’eau potentiels, de nombreux facteurs sont à prendre en compte, notamment votre lieu de résidence, la météo et le type de propriété que vous possédez. Envisagez de faire évaluer les risques de dégâts d’eau par un professionnel qualifié afin d’évaluer votre risque potentiel d’inondation.
Éloignez l’eau de votre maison. Le printemps est le moment idéal pour nettoyer vos gouttières et descentes pluviales, qui jouent un rôle important dans l’évacuation de l’eau des fondations. Assurez-vous que vos gouttières sont exemptes de débris et qu’elles dépassent d’au moins deux mètres de votre maison pour éviter les accumulations d’eau. Vous pouvez également envisager l’installation d’une pompe de puisard avec batterie de secours pour protéger votre sous-sol des inondations, surtout lors des fortes pluies printanières.
Réduisez les risques d’incendie autour de votre propriété. Les feux de forêt sont de plus en plus fréquents, surtout dans les régions sèches. Le printemps est l’occasion idéale de jardiner pour protéger votre propriété contre ce risque. Entretenez votre aménagement paysager en tondant votre pelouse, en taillant vos arbres et en utilisant du paillis de pierres ou de gravier. Veillez à retirer de votre propriété les débris inflammables comme les feuilles sèches et les branches mortes.
Utilisez des matériaux résistants au feu. Si vous construisez ou rénovez, pensez à utiliser une toiture et un revêtement résistants au feu pour réduire les risques d’incendie. Des fenêtres à triple vitrage et des portes extérieures coupe-feu peuvent également contribuer à empêcher le feu de pénétrer dans votre maison par les zones vulnérables.
(EN) Les escroqueries et les fraudes financières se présentent sous de nombreuses formes. Elles se présentent parfois sous la forme d’un texto, d’un courriel ou d’un appel téléphonique, et sont souvent conçues pour donner l’impression qu’elles proviennent de votre banque.
Selon le Centre antifraude du Canada, un type courant de fraude financière consiste à se faire passer pour des employés de banque pour inciter leurs victimes à divulguer leurs renseignements bancaires ou personnels.
De nombreux Canadiens ont vu ces messages frauduleux. Parfois, il s’agit simplement d’un texto ou d’un courriel annonçant le gel du compte bancaire de la victime potentielle, avec un lien vers un faux site web où l’utilisateur est invité à saisir ses renseignements personnels pour « débloquer » son compte. D’autres fois, le fraudeur téléphone à une victime potentielle et se fait passer pour un employé de banque ayant besoin de son aide dans le cadre d’une enquête pour fraude.
En fin de compte, l’objectif de bon nombre de ces escroqueries est de voler les renseignements personnels ou bancaires de la victime pour accéder à ses comptes, ou de l’inciter à transférer de l’argent ou à acheter des cartes-cadeaux et à envoyer les fonds au fraudeur.
Règles strictes concernant les communications bancaires légitimes
Bien que votre banque vous demande de divulguer certaines informations personnelles pour confirmer votre identité et vous fournir des services, des règles strictes régissent ce qu’elle peut vous demander de divulguer et comment elle est autorisée à le faire.
L’une des meilleures façons de vous protéger est de savoir ce que votre banque ne ferait jamais ou ne vous demanderait jamais de faire. Votre banque ne ferait jamais :
• Vous appeler pour vous demander des informations personnelles.
• Vous demander de garder un secret ou être malhonnête.
• Menacer d’annuler vos services ou de vous demander d’accéder à distance à votre appareil.
• Essayer de vous forcer à faire quelque chose.
• Vous demander d’aider à une enquête.
• Vous demander d’acheter des cartescadeaux ou des cryptomonnaies.
• Vous demander de transférer de l’argent dans le cadre d’une enquête.
• Demander l’accès à votre ordinateur. Voici d’autres conseils pour vous protéger des fraudeurs :
Renseignez-vous. Comprenez vos responsabilités en tant que titulaire de compte ou de carte. Ces informations sont fournies par votre banque. Le Centre antifraude du Canada peut également vous aider à en savoir plus sur les fraudes courantes.
Activez l’authentification à deux facteurs. Vérifiez les paramètres de sécurité de votre fournisseur de messagerie, de vos plateformes de médias sociaux et de vos applications bancaires, et activez l’authentification à deux facteurs lorsque cela est possible. Cela offre un niveau de sécurité accru pour vos profils en ligne.
Réutiliser, recycler, donner une nouvelle vie! Nombreux sont ceux qui pensent que les trois R sont un moyen d’aider la planète en réduisant les déchets. Trouver le meuble ancien idéal dans une brocante ou un vide-grenier est aussi une façon amusante de passer un samedi matin.
Mais si redonner vie à de vieux meubles peut être un projet amusant, cela comporte des risques. En achetant des produits de rénovation, vous remarquerez que beaucoup portent des symboles de danger.
Voici quelques conseils pour assurer votre sécurité lorsque vous donnez une nouvelle vie à vos vieux meubles.
1. Lisez l’étiquette de tous les produits de rénovation que vous achetez. Suivez toutes les instructions de sécurité et d’utilisation figurant sur l’étiquette, y compris comment éliminer les restes de produit.
2. Travaillez dans un endroit bien aéré. Rénovez vos vieux meubles à l’extérieur, si le temps le permet. Si vous travaillez à l’intérieur, ouvrez les fenêtres.
3. N’utilisez pas de ponceuses, de décapeurs thermiques ou de lampes à souder. Cela peut produire de la poussière et des vapeurs contenant du plomb.
4. Tenez les enfants et les femmes enceintes éloignés de la zone de travail. Cela contribuera à assurer leur sécurité.
5. Portez toujours des lunettes de sécurité, des gants et un masque respiratoire de bonne qualité. L’étiquette du produit fournira des informations plus détaillées sur l’équipement de protection individuelle à utiliser.
Quand avez-vous subi votre dernier dépistage du cancer ? Êtes-vous à risque ?
Des dépistages réguliers du cancer sont essentiels au maintien de la santé et du bien-être. Il est important de suivre les recommandations et de consulter votre professionnel de santé afin de déterminer le calendrier de dépistage le plus adapté à votre situation, en fonction de vos facteurs de risque et de vos antécédents familiaux.
Les dépistages du cancer permettent de détecter le cancer à un stade précoce, lorsqu’il est le plus facilement traitable. Une détection précoce conduit souvent à de meilleurs résultats et à des taux de survie plus élevés. Certains examens, comme la coloscopie, peuvent prévenir le cancer en identifiant et en retirant les polypes précancéreux.
Les examens fournissent des informations précieuses qui peuvent vous aider, vous et votre professionnel de santé, à prendre des décisions éclairées concernant votre santé. Voici un aperçu des différents types de dépistages du cancer disponibles : Pour les femmes
Le dépistage du cancer du sein
La mammographie : Recommandée tous les deux ans pour les femmes de 50 à 74 ans. Les femmes présentant un risque plus élevé peuvent commencer plus tôt et subir des dépistages plus fréquents.
Un examen clinique des seins : Réalisé par un professionnel de santé lors des examens de routine.
Dépistage du cancer du col de l’utérus
Test Pap : Recommandé tous les trois ans pour les femmes de 25 à 69 ans. Il permet de détecter les cellules anormales du col de l’utérus susceptibles d’évoluer vers un cancer.
Test VPH : Parfois utilisé en complément du test Pap pour détecter la présence de types de papillomavirus humains (VPH) à haut risque.
Pour les hommes
Le dépistage du cancer de la prostate
Test de l’antigène prostatique spécifique (APS) : analyse sanguine qui mesure le taux de APS, qui peut être élevé en cas de cancer de la prostate. Discutez des avantages et des risques de ce test avec votre médecin.
Test rectal numérique (TR) : examen physique au cours duquel un médecin palpe la prostate à la recherche d’anomalies. Pour tout le monde
Le dépistage du cancer du poumon
Tomodensitométrie à faible dose : Plusieurs provinces ont mis en place des programmes (Colombie-Britannique et Ontario) ou des programmes pilotes (Québec et Alberta), et d’autres prévoient les mettre en œuvre. Consultez votre fournisseur de soins de santé. Recommandé pour les adultes de 55 à 74 ans qui ont des antécédents de tabagisme importants. Il peut détecter le cancer du poumon à un stade précoce.
Le dépistage du cancer de la peau
Examen de la peau : des auto-examens réguliers et des examens de la peau professionnels peuvent aider à détecter des changements dans les grains de beauté ou de nouvelles excroissances qui pourraient être cancéreuses.
Le dépistage du cancer du colon
Test de recherche de sang occulte dans les selles (RSOS) : Recommandé tous les deux ans pour les adultes de 50 à 74 ans. Il permet de détecter la présence de sang caché dans les selles, signe potentiel de cancer.
La coloscopie: Recommandé pour les personnes à risque élevé ou en cas de résultats positifs à la RSOS. Il permet une visualisation directe du côlon et l’ablation des polypes.
La peau sèche et l’eczéma sont des affections cutanées courantes qui peuvent causer de l’inconfort et nuire à la qualité de vie. Bien qu’elles partagent certaines similitudes, leurs causes, symptômes et traitements diffèrent.
La peau sèche, aussi appelée xérose, se manifeste par une perte d’hydratation et devient rugueuse, squameuse et parfois irritante. Les causes de la xérose comprennent le temps froid et sec, fréquent pendant les hivers canadiens, les douches ou bains chauds, les savons et détergents agressifs, la déshydratation et le vieillissement.
Les symptômes incluent :
- Peau rugueuse, squameuse ou squameuse.
- Démangeaisons.
- Rougeurs.
- Fissures sur la peau.
L’eczéma, ou la dermatite atopique, est une affection cutanée inflammatoire chronique caractérisée par des plaques rouges, gonflées et qui démangent. Elle a souvent une composante génétique et peut être déclenchée par des allergènes, des irritants ou le stress.
Les symptômes incluent :
- Démangeaisons intenses.
- Peau rouge et enflammée.
- Plaques sèches et squameuses.
- Cloques ou plaies suintantes.
La sécheresse cutanée est principalement due à des facteurs environnementaux et à des habitudes de vie, tandis que l’eczéma a une composante génétique et peut être déclenché par des allergènes et des irritants. La sécheresse cutanée est généralement moins sévère, avec rugosité et desquamation, tandis que l’eczéma se caractérise par des démangeaisons intenses, une inflammation et parfois des cloques. Les deux affections bénéficient d’une hydratation, mais l’eczéma nécessite souvent des traitements antiinflammatoires supplémentaires et une gestion des facteurs déclenchants.
Si vous présentez des symptômes persistants ou sévères, il est toujours préférable de consulter un professionnel de santé pour un conseil personnalisé. Voici quelques conseils qui peuvent aider en cas de sécheresse cutanée légère ou de poussées d’eczéma : Pour la peau sèche :
1. Utilisez une crème hydratante de qualité, surtout après le bain. Privilégiez les produits contenant des ingrédients comme la glycérine, l’acide hyaluronique et les céramides.
2. Prenez des douches et des bains tièdes pour éviter un dessèchement supplémentaire de la peau.
3. Choisissez des savons et des nettoyants doux et sans parfum pour éviter les irritations.
4. Buvez beaucoup d’eau pour hydrater votre peau de l’intérieur.
5. Utilisez un humidificateur d’air pendant les mois d’hiver pour humidifier l’air. Pour l’eczéma :
1. Utilisez des crèmes ou des onguents épais et émollients pour hydrater la peau et réduire les poussées.
2. Tenez un journal pour identifier les facteurs déclenchants potentiels et les éviter autant que possible.
3. Les crèmes à l’hydrocortisone en vente libre ou les médicaments sur ordonnance peuvent aider à réduire l’inflammation et les démangeaisons.
4. Ajoutez de l’avoine colloïdale ou du bicarbonate de soude à l’eau tiède du bain pour apaiser la peau.
5. Privilégiez les vêtements en coton et évitez la laine ou les matières synthétiques qui peuvent irriter la peau.
6. Essayez des activités de réduction du stress comme le yoga, la méditation ou des exercices de respiration profonde.
(EN) Devenir l’aidant d’une personne atteinte d’une maladie grave peut être difficile. Vous pourriez vous retrouver à assumer de nouvelles responsabilités, parfois exigeantes physiquement et émotionnellement. Mais être un aidant peut être gérable.
Voici cinq conseils pour vous aider à démarrer.
Comprendre la maladie et les étapes suivantes. Discutez avec la personne dont vous vous occupez et avec son équipe soignante. Posez des questions pour comprendre le plan de traitement, les soutiens sociaux et de santé disponibles et les situations où votre aide pourrait être nécessaire. Contactez les organismes spécialisés dans la maladie dans votre communauté et recherchez des informations sur des sites web médicaux fiables.
Cherchez du soutien extérieur. N’essayez pas de tout faire seul ; l’équipe soignante du patient peut vous mettre en contact avec des soutiens extérieurs. Une approche palliative des soins peut contribuer à soulager la fatigue que vous pourriez ressentir. Vous et la personne dont vous vous occupez pouvez bénéficier de l’aide de bénévoles communautaires, de travailleurs sociaux et d’aides à la personne qui peuvent vous rendre visite régulièrement ou au besoin. Cela peut également contribuer à améliorer la qualité de vie tout en réduisant le stress de tous et peut fournir des ressources précieuses aux aidants. Communiquez souvent. Assurez-vous de demander à la personne dont vous vous occupez ce qu’elle souhaite et d’avoir une conversation ouverte sur ce qui compte le plus pour elle. Renseignez-vous pour savoir si elle a un plan de soins anticipés ou si quelqu’un peut prendre des décisions pour elle si nécessaire, notamment en ce qui concerne les traitements, les conditions de vie et les finances. Assurezvous qu’elle comprenne vos besoins et que vous compreniez les siens dans cette nouvelle dynamique.
Trouvez du soutien pour le deuil. Prendre soin d’une personne atteinte d’une maladie grave peut susciter de nombreuses émotions, dont le deuil. Vous pourriez le ressentir lorsque son état de santé change, lorsque votre rôle dans la relation évolue ou lorsque vous envisagez l’avenir. Le soutien au deuil peut vous aider à différentes étapes de la prestation de soins, ainsi qu’après une perte.
Prenez soin de vous. Les aidants peuvent souffrir d’épuisement professionnel. Il est important de prendre des mesures pour le prévenir. Assurez-vous de bien dormir, de bien manger et de prendre le temps de faire une activité que vous aimez une fois par jour. Rester en contact avec les autres est également très important. Obtenir de l’aide extérieure peut vous aider à prendre du temps pour vous et à vous ressourcer.
Pour en savoir plus, consultez canada.ca/soinspalliatifs.
Veuillez lire cette portion de la réunion de vive voix
La réunion de sécurité d’aujourd’hui porte sur la prévention des expositions accidentelles aux substances dangereuses.
Les travailleurs sont exposés quotidiennement à des substances toxiques. Une exposition accidentelle peut être évitée dans de nombreuses circonstances ; il est donc logique de suivre des pratiques de manipulation et de stockage sûres autant que possible. L’exposition peut survenir de trois manières :
Inhalation. Les vapeurs, poussières et fibres en suspension dans l’air peuvent avoir des effets sur la santé allant des maux de tête, des nausées et des problèmes respiratoires à des affections bien plus graves, parfois mortelles.
Absorption. Le contact avec la peau et les yeux peut irriter ou brûler et provoquer de graves lésions oculaires, des allergies récurrentes ou divers autres problèmes. Certains poisons peuvent pénétrer dans la circulation sanguine par la peau, entraînant des problèmes très graves, tels que des lésions organiques.
Ingestion. L’ingestion d’une substance toxique peut se produire involontairement si elle entre en contact avec de la nourriture, une tasse à café ou même les mains.
Dans la mesure du possible, il est toujours préférable d’éviter d’utiliser une substance toxique, soit en l’éliminant, soit en la remplaçant par une substance moins dangereuse. Malheureusement, cette approche n’est pas toujours efficace.
Lorsque vous travaillez avec ou à proximité d’une substance particulière, il est important de consulter sa fiche de données de sécurité (FDS) pour connaître tous ses dangers. En cas de substitution, il faut faire preuve de prudence afin d’éviter d’aggraver la situation.
Le Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail recommande de prendre les précautions de base suivantes avec les substances toxiques :
• Respectez les pratiques de travail spécifiées par votre employeur, qui doit dispenser une formation spécifique sur
la manipulation sécuritaire de matières toxiques sur votre chantier.
• Assurez-vous que les dispositifs de contrôle technique, tels que la ventilation, fonctionnent.
• Signalez immédiatement toute panne de ventilation, fuite ou déversement à votre superviseur.
• Stockez, manipulez et utilisez les matières toxiques dans des zones bien ventilées, à l’écart des matières combustibles et autres matières incompatibles.
• Portez l’équipement de protection individuelle spécifié pour le poste. Il peut s’agir d’une protection respiratoire, de lunettes de protection, d’un écran facial et de vêtements fabriqués dans des matériaux protégeant contre les produits chimiques manipulés.
• Soyez attentif aux symptômes typiques de surexposition et aux procédures de premiers soins appropriées. Signalez immédiatement tout signe de maladie à votre superviseur.
• Pour éviter tout déversement, utilisez les outils appropriés pour ouvrir les contenants et transférer le produit.
• Gardez les contenants fermés lorsqu’ils ne sont pas utilisés.
• Conserver les plus petites quantités possibles dans la zone de travail.
• Ne pas remettre les produits toxiques contaminés ou non utilisés dans leur contenant d’origine.
• Adopter une bonne tenue des lieux, une bonne hygiène personnelle et un entretien adéquat de l’équipement.
• Savoir gérer les urgences impliquant les produits toxiques avec lesquels vous travaillez.
Les déchets toxiques doivent être éliminés correctement. Une élimination négligente présente un danger potentiel pour les personnes non formées ou équipées pour les manipuler (personnel d’entretien, éboueurs, plombiers, employés des stations d’épuration, pompiers, etc.). Une élimination négligente peut également causer des dommages importants à l’environnement. Un autre point important à prendre en compte est le risque de transport de matières toxiques du lieu de travail au domicile. Voici quelques mesures pour éviter cela :
• Soyez prudent lorsque vous retirez les vêtements de travail et les EPI contaminés. Commencez par retirer les vêtements du haut du corps, puis descendez. Pour détacher les boutonspression et les fermetures à glissière contaminés, portez des gants ou tenez les vêtements par l’intérieur. Retirez les gants en dernier en les retirant et en touchant uniquement l’intérieur du gant lorsqu’il est déroulé.
• Prenez une douche ou lavez-vous soigneusement avant de rentrer chez vous.
• Lavez-vous immédiatement et soigneusement après avoir manipulé des produits chimiques toxiques et avant de manger, de boire, de fumer, d’aller aux toilettes ou de vous maquiller.
• Rangez vos vêtements de ville séparément des vêtements de travail et à l’abri de toute substance potentiellement toxique.
Merci pour votre attention aujourd’hui.
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L’ingestion d’une substance toxique peut se produire involontairement si elle entre en contact avec de la nourriture, une tasse à café ou même les mains.
Vrai Faux
Certains poisons peuvent pénétrer dans la circulation sanguine par la peau, entraînant des problèmes très graves, tels que des lésions organiques.
Vrai Faux
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Lorsque vous travaillez avec ou à proximité d’une substance particulière, il est important de consulter sa fiche de données de sécurité (FDS) pour connaître tous ses dangers.
Vrai Faux
Date de la réunion: _______________________________
Emplacement: ___________________________________
Heure de début: ________ Temps d’arrivée: _________
Demandez aux participants de signer cette page:
Gardez les risques d’intoxication sous contrôle
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4 Réponses : 1 – Vrai, 2 – Vrai, 3 – Vrai, 4 – Faux, 5 – Vrai, 6 – Faux
Vous devez être prudent lorsque vous retirez les vêtements de travail et les EPI contaminés.
Vrai Faux
Dans la mesure du possible, il est toujours préférable d’éviter d’utiliser un matériau toxique, soit en l’éliminant, soit en le remplaçant par un matériau moins dangereux.
Vrai Faux
Les vapeurs, poussières et fibres en suspension dans l’air ne provoquent pas d’effets sur la santé tels que des maux de tête, des nausées et des problèmes respiratoires.
Vrai Faux
Gardez les risques d’intoxication sous contrôle
Sujet: __________________________________
Départment:_____________________________
Personne responsable de la réunion:
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