SIM ACTUALITÉS 3/2019

Bénévoles Anciens SIM-Suisse Intercesseu Amis Églises Donateurs Comité SIM-Suisse 0 3 Amis Anciens SIM-Suisse Intercesseurs 2019 Églises Donateurs Comité Bénévoles SIM-Su Bénévoles Anciens SIM-Suisse Intercesseurs glises Donateurs Comité SIM-Suisse Anciens Anciens SIM-Suisse Intercesseurs Amis Églises Bénévoles SIM-Suisse Donateurs Comité évoles Anciens SIM-Suisse Comité Amis Bénévo rcesseurs Amis Églises Donateurs Comité Amis Anciens SIM-Suisse Intercesseurs Églises Donateurs Comité Bénévoles SIM-Su Bénévoles Anciens SIM-Suisse Intercesseu s Églises Donateurs Comité SIM-Suisse Anciens Anciens SIM-Suisse Intercesseurs Amis Églises Bénévoles SIM-Suisse Donateurs Com énévoles Anciens SIM-Suisse Intercesseurs Intercesseurs Amis Églises Donateurs Amis Anciens SIM-Suisse Intercesseurs Églises Donateurs Comité Bénévoles SIM-Suiss Bénévoles Anciens SIM-Suisse Intercesse Amis Églises Donateurs Comité SIM-Suisse Anciens SIM-Suisse Intercesseurs Amis Églises Bénévoles SIM-Suisse Donateurs Com omité Bénévoles Anciens SIM-Suissewww.sim.ch Interces Intercesseurs Amis Églises Donateurs

CONTENU

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Éditortial L’équipe de la SIM-Suisse Exemple : Une église Exemple : Des collaborateurs

Exemple : Des sponsors Sujets de prière L’équipe de la SIM-Suisse (suite) Réflexions personnelles

Impressum SIM actualités ÉDITEUR SIM International (Suisse) Rue Weissenstein 1 CH-2502 Biel/Bienne IBAN: CH49 0900 0000 1000 2323 9 BIC: POFICHBEXXX Tél./Fax: +41 (0) 32 345 14 44/54 sim.suisse@sim.org www.sim.ch facebook.com/SIMSwitzerland

ABONNEMENT CHF 20.–; 15.– € (4 éditions par an. Le prix d’abonnement est inclu dans les dons faits à la SIM durant l’année.)

PHOTOS ÉQUIPE SIM-SUISSE: Daniel Kunz (crunch.ch) CRÉATION PAGE DE COUVERTURE: Stefan Kunz (stefankunz.com) et Günter Kunz

RÉDACTION Günter Kunz et team GRAPHISME/LAYOUT FRANK.COMMUNICATION. Singen (D), www.frank-com.de PRODUCTION Jordi AG .das Medienhaus. Belp (CH), www.jordibelp.ch

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CODE D‘HONNEUR AES «Le label de qualité indépendant de la Fondation Code d’honneur atteste la qualité globale de notre travail ainsi qu’une utilisation responsable des dons reçus.»

EDITORIAL

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Où travaille un « vrai » missionnaire ?

DE GÜNTER KUNZ, RÉDACTEUR SIM ACTUALITÉS

Après plusieurs années de travail missionnaire à l'étranger, Jean retourne dans son pays d'origine. Il a décidé de rester près de ses parents fragiles et d'y accepter un emploi. Au même moment, un poste qui lui conviendrait devient vacant dans le bureau d’envoi de sa mission.

Pour lui, c'est un don de Dieu. De cette façon, il peut continuer à travailler pour ce ce qui le passionne. Comme l'organisation est financée exclusivement par des dons, il dépend du soutien d'un cercle d'amis, comme il pour son travail à l'étranger. Il se met en contact avec son église et ses amis par une lettre d'information pour expliquer les circonstances et le changement de lieu. Une des réactions s’est présentée comme suit : « Cher Jean, nous t’avons soutenu avec joie en tant que missionnaire en Afrique ces dernières années. Puisque tu travailles maintenant à la maison dans le bureau de la mission, nous devons t’informer que nous cessons notre soutien financier parce que nous préférons soutenir de vrais missionnaires... » Quelle importance accorderiez-vous au travail d'un bureau d’envoi ?

Joël Sommer, Président du Conseil d'administration de SIM-Suisse, rapporte : « Ma famille et moi avons passé plusieurs années à l'étranger avec la SIM. A cette époque, notre église soutenait pleinement notre décision, mais n'avait pas le "savoir-faire" sur le "comment et où" pour un travail à l'étranger. Nous avons reçu l'aide nécessaire dans la phase de recherche et dans les préparatifs de notre mission de la part du bureau d’envoi de la SIM. Le fait que le bureau d’envoi "joue" le rôle de l'employeur n'était qu'un point important parmi tant d'autres. Au-

jourd'hui, à un âge avancé, je suis plus que jamais conscient du rôle important que le bureau SIM et toute son équipe ont joué pour nous à l'époque ! »

Pendant plusieurs années, Joël et Marianne Sommer ont travaillé avec la SIM à Abidjan en Côte d’Ivoire. Depuis 2017, Joël sert comme président de la SIM-Suisse.

Dans ce numéro, différents aspects seront mis en évidence pour que les collaborateurs de SIM-Suisse puissent remplir leurs fonctions à l'étranger. Une équipe de huit personnes à Bienne, dont les membres seront présentés, s'engage dans ce travail en coulisses. Mais même eux ne seraient pas capables de faire face aux nombreux défis s'ils devaient se passer de l'aide des églises, des membres du comité, des bénévoles, des anciens, des amis, des personnes qui prient et qui donnent.

Que ce soit à l’étranger ou ici en Suisse, apportons tous notre contribution afin que des gens de toutes cultures découvrent Dieu !

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L’ÉQUIPE DE LA SIM-SUISSE

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Être directeur au quotidien LEO MUTZNER

Tout en pédalant sur mon vélo le matin sur les quelque 6 km pour rejoindre le bureau de la SIM, j’ai le temps de réfléchir à la journée qui m’attend. Arrivé au bureau, je parcours et je trie mes courriels. Ensuite, je démarre avec ma « To do » liste en trois couleurs, classée en fonction de l’importance et de l’urgence des choses.

De 9h30 à 10h, nous interrompons tous notre travail individuel pour prier ensemble en faveur de nos envoyés. Après cette petite pause, chacun retourne à son bureau. Certains jours, je parviens à accomplir tout ce que j’avais prévu, mais parfois, ce sont les imprévus qui prennent le dessus. Voici ce qui est noté par exemple aujourd’hui : Préparation de la prochaine journée SIM en mouvement, révision des textes sur la protection des données, réflexion sur notre vision et stratégie, entretien Skype avec un de nos envoyés. Je ne vois pas le temps passer. Et voilà qu’il est déjà l’heure de reprendre le vélo et le trajet me donne le loisir de faire un petit bilan de la journée. À part ces journées types, je souhaite souligner cinq activités en particulier :

DIRIGER L’ÉQUIPE DE TRAVAIL À BIENNE. Je supervise la coordination du travail de notre équipe. Nous devons mettre en œuvre la vision et la stratégie définies par le comité. Il me tient à cœur de valoriser et de soutenir chacun dans son travail, tout en veillant à la cohésion de l’équipe. Responsabilité, complémentarité et confiance, ce sont trois

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valeurs que je souhaite mettre en avant au sein de l’équipe.

SUIVRE NOS ENVOYÉS AU LOIN. Mon implication dans ce domaine consiste à établir et maintenir les liens avec les directeurs dans les pays de nos envoyés et à interagir lorsque des défis particuliers surgissent.

Une fois par an, mon épouse et moi visitons un champ missionnaire pour évaluer le travail de nos envoyés sur place et pour les encourager.

LA RELATION AVEC LES EGLISES, ŒUVRES PARTENAIRES ET ORGANISATIONS EN SUISSE. Comme nous travaillons en partenariat avec l’Eglise, j’accorde une grande importance aux relations avec les Eglises d’envoi et leurs partenaires.

ASSUMER NOTRE RÔLE D’EMPLOYEUR. Dans un monde administratif de plus en plus complexe, cette tâche prend une place importante

SUPERVISER LA GESTION DE NOS FINANCES. S’en tenir au budget soumis au comité, et trouver des solutions pour pallier les situations délicates de l’administration à Bienne ou de nos envoyés, font également partie du cahier des charges.

J’aimerais porter à votre connaissance ce défi particulier qui nous attend : Dans le courant des trois prochaines années, la moitié de notre équipe partira successivement à la retraite. Il

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s’agit de Waltraud et Günter Kunz, de Brigitte Läuppi et de Liselotte Mutzner. Comment allons-nous faire face aux problèmes liés à ce renouvellement ? Tout d’abord, nous comptons sur la bienveillance et la providence de Dieu. Il est notre espérance et notre paix.

Ensuite, nous souhaitons relever ce défi ensemble avec vous. Voici trois pistes concrètes suggérées : Premièrement, nous apprécions vos prières pour un bon et sage renouvellement du personnel. Deuxièmement, vos remarques nous sont précieuses. Peut-être avez-vous une pensée à nous communiquer, une suggestion à nous faire ou une personne à nous recommander ? Et si c’était vous-même que le Seigneur interpellait ?

Troisièmement, nous avons besoin de votre soutien financier pour franchir ce pas. En 2018, les salaires nets des collaborateurs au bureau étaient couverts à 63% par des dons personnels. Les 37% restant, soit environ 104'000 CHF, étaient pris en charge par la SIM. Or,

notre objectif consiste à couvrir ces salaires avec des dons spécifiques. Ce n’est donc pas le cas aujourd’hui et ce sera encore un plus grand défi demain. Car nous savons qu’il faudra du temps à nos nouveaux collègues pour se constituer un réseau de soutien. C’est pourquoi nous avons besoin d’y travailler dès maintenant.

Seriez-vous disposés à parrainer les postes du bureau ? Nous pourrions ainsi commencer à construire un fondement pour nos futurs collaborateurs. Ce serait un puissant encouragement pour eux et pour nous.

Les changements ne sont pas toujours faciles à vivre. Ils comportent des risques, mais procurent aussi des opportunités. Nous désirons bien gérer les risques et saisir les opportunités. En même temps, ces périodes nous permettent d’affirmer ce qui ne change pas, à savoir notre mission et nos valeurs. Nous voulons faire connaître Jésus Christ, le même hier, aujourd’hui et demain, ainsi que son évangile, puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit !

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EXEMPLE : UNE ÉGLISE

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Chacun son métier, et la famille Piaget sera bien accompagnée DE CLAUDE-ALAIN BAEHLER, PASTEUR À L’EGLISE ÉVANGÉLIQUE LIBRE, BERNE

La collaboration avec la SIM, dans l’envoi de la famille Piaget au Liberia, permet à l’église d’envoi de garantir un accompagnement professionnel et de se concentrer sur le contact humain.

organisé un jeu de l’oie géant avec différents postes », se rappelle Hélène Suter, de l’Eglise évangélique de Bourguillon. « C’était comme un marché africain avec des lieux pour prier, pour se déguiser et pour envoyer aux Piaget des salutations de la Suisse ».

Membres de l’Eglise évangélique libre à Berne (FREE), Nicolas et Melvina Piaget, avec leurs enfants Théotime, Siméon et Gabriel, sont envoyés par leur communauté, en collaboration avec l’Espace Rencontre, Eglise évangélique de Bourguillon (FREE), à Fribourg. En effet, les deux églises collaborent étroitement dans plusieurs domaines, dont celui de la mission. Le culte d’envoi a, par exemple, été organisé en commun. D’autres aspects de l’accompagnement de la famille Piaget sont organisés séparément, telles que l’information dans les églises ou des rencontres sur le thème de la mission. « Nous avons

À Bourguillon comme à Berne, l’organisation SIM est considérée comme un partenaire précieux.

Son expertise en matière d’administration, de gestion des finances, de logistique et de conseil constitue un apport indispensable. La disponibilité de l’équipe biennoise de la SIM, avec la possibilité d’entretenir des contacts directs, est également très appréciée. Pour les responsables de l’Eglise évangélique, à Berne, la collaboration avec la SIM signifie aussi une garantie de qualité et de professionnalisme dans l’accompagnement.

Nicolas et Melvina Piaget avec leur pasteur

La famille Piaget lors de leur culte d’envoi à Bourguillon

Claude-Alain Baehler

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EXEMPLE : DES COLLABORATEURS

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Sauter dans le vide ?

DE MELVINA PIAGET-HENRY

Partir en mission, il faut le dire, c’est un saut dans le vide. Vous savez, c’est un peu comme quand vous vous apprêtez à sauter dans une piscine naturelle depuis des rochers. Vous regardez en bas et vous analysez tous les obstacles qui potentiellement pourraient rendre votre saut de l’ange dangereux. Et c’est là que vous remarquez une longue planche de bois, qui vous permet de voir tous ces obstacles sous un autre angle et ainsi de pouvoir sauter en sécurité !

Le bureau de la SIM-Suisse a placé cette planche sur notre route. En nous aidant à traverser la jungle administrative qu’il faut braver avant le fameux saut, en nous donnant des conseils, en nous aidant à préparer un budget, en gérant nos assurances, en accueillant nos questions, nos doutes et en priant avec et pour nous. Et croyeznous, sans eux, nous n’aurions jamais sauté !

Bien sûr, après le saut, on atterrit dans l’eau froide et on doit nager ! Mais on réalise très vite que la connexion établie en amont n’est pas rompue. À des kilomètres de nous, les personnes du bureau prennent encore soin de nous. Ils nous appellent tous les deux mois pour savoir comment on se sent, ils nous aident dans les décisions à prendre, suivent notre budget et envoient des certificats de dons à nos donateurs.

L’équipe de la SIM-Suisse fait un travail clé pour que les missionnaires qui sont sur le terrain puissent se consacrer au travail que Dieu leur

a confié. Nous ne pourrions simplement pas répondre à l’appel que Dieu a placé dans nos cœurs sans leur aide. D’ailleurs, c’est la SIMSuisse qui a su nous diriger au Liberia, dans un lieu où nous pouvons pleinement nous mettre au service des plus démunis avec nos compétences acquises en Suisse.

Cerise sur le gâteau - ou devrais-je dire, cocktail au bord de la piscine : deux membres de l’équipe Suisse nous ont rendu visite sur le terrain au mois de février. Cela a été pour nous une réelle bénédiction et un magnifique encouragement.

Pouvoir échanger, exprimer nos frustrations, nos questionnements, nos découragements – dans notre langue et avec des personnes qui voient de leurs propres yeux notre nouvel univers, – fut un cadeau divin que l’on chérit encore aujourd’hui.

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EXEMPLE : DES SPONSORS

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Pourquoi un bureau d’envoi ?

D’OLIVIER ET NADÈGE SCHORER

Peut-être vous demandez-vous quel est le rôle d’un bureau d’envoi. Nous sommes nous-mêmes partis en mission en Ethiopie il y a quelques années. Aujourd’hui, notre engagement consiste, entre autres, à soutenir financièrement des missionnaires de la SIM. Nous avons expérimenté le précieux travail effectué minutieusement et avec fidélité par cette équipe ici, que nous tenons à remercier.

En partant pour le champ missionnaire et ainsi qu’à notre retour, ce fût enrichissant d’être encadrés et de pouvoir échanger avec des personnes expérimentées. En outre, l’équipe du bureau, qui possède une vaste expérience du travail missionnaire et se rend donc compte des difficultés rencontrées sur leur terrain, offre son soutien et son avis lorsque des missionnaires font appel à eux pour les aider à relever certains défis.

Au niveau administratif, l’existence de ce bureau est aussi essentielle. En effet, il a le rôle d’employeur pour les missionnaires et verse donc les cotisations sociales obligatoires.

Pour les donateurs, deux avantages sont à relever : d’une part, le bureau d’envoi permet que les dons soient déductibles des impôts et d’autre part il se charge d’envoyer l’argent aux missionnaires à l’étranger, dans la monnaie locale. Quel privilège de faire simplement un virement au bureau de la SIM en francs suisses, en indiquant le nom des missionnaires à qui est 3|19

destiné cet argent, sans avoir à payer de taxes pour l’envoi d’argent à l’étranger et à se soucier si l’argent arrive bien à destination !

Nous avons eu vent qu’une partie des membres du bureau SIM-Suisse devra être renouvelée, suite à plusieurs départs à la retraite prévus ces prochains temps. Nous souhaitons vivement, pour le bon fonctionnement de la SIM, que de nouvelles personnes se mobilisent pour ce travail dans l’ombre, tellement important aussi bien pour la préparation et le soutien optimal des missionnaires que pour les donateurs.

z pour nous

! Priez pour nous !

SUJETS DE PRIÈRE

Priez pour nous ! Priez p ur nous ! Priez pour nous !

RAPLH & CLAUDIA CHRISTEN NOË, YOSIA Suisse | Administration, travail dans les prisons

STÉPHANE & MYRIAM Afrique de l’Ouest | Travail parmi des mères célibataires

DAVID & ALINE Asie du Sud-Est | Projet orthopédique

Priez pour notre déménagement fin novembre-début décembre, ainsi que pour

Nous sommes reconnaissants de voir comment le Seigneur continue à ouvrir des portes pour notre service. Durant ces derniers mois, des dialogues entre victimes et agresseurs ont pu se poursuivre et nous prions pour une guérison en profondeur des personnes concernées.

Merci de prier aussi pour notre fils Noë qui doit terminer de rédiger son travail de maturité et le rendre dans les mois qui viennent.

Nous sommes vraiment reconnaissants de pouvoir passer notre séjour en Suisse. Nous nous réjouissons de revoir un maximum d‘entre vous et de partager nos témoignages de ce que nous avons vu de l‘action de Dieu dans notre pays en Afrique de l’Ouest.

Nous demandons la prière pour l‘entretien et la croissance de notre cercle de soutien, tant spirituel, moral, que financier. Nous demandons également la prière pour que nous soyons réellement en bénédiction pour toute personne à rencontrer, à retrouver ainsi qu‘à découvrir, à qui se présenter.

toutes les démarches administratives liées à ces changements (visas, permis de résidence, logement, etc.). Priez aussi pour que l‘apprentissage de la langue continue à bien se passer et que nous trouvions des tuteurs là où nous résiderons.

Nous sommes reconnaissants pour une première année qui s‘est déroulée de manière incroyable, tout s‘est mis en place au fur et à mesure, tout comme nos progrès dans la langue. Nous remercions Dieu pour notre santé, nous avons vraiment été gardés. Nous disons également Merci pour les cours d’anglais qu’Aline a pu donner.

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riez pour nous !

SUJETS DE PRIÈRE

Priez pour nous !

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ROGER & KATHY STOLL

Niger | Direction nationale, école pour les enfants de missionnaires

ERNST & ELISABETH WALDER Suisse | Soutien au travail d’ETE* au Pérou

Durant les 28 ans que nous avons passés au Pérou, nous considérions nos séjours en Suisse comme une ‘étape transitoire’, en quelque sorte sans structure précise. Nous savions qu’après quelques mois, nous allions retrouver notre rythme de vie habituel à Lima/Pérou. Depuis notre retour définitif

CORNELIA Soudan du Sud | Travail médical

Après quatre ans consacrés au jardin d’enfants, Kathy s’investit dorénavant dans le domaine de l’école. Pour la prochaine année scolaire, elle a accepté une responsabilité au sein des ressources humaines de Sahel Academy. Elle devra recruter et accompagner de nouveaux enseignants. Merci de prier pour Kathy afin qu’elle puisse bien affronter ces nouveaux défis. Merci de demander aussi au Maître de la moisson d’envoyer les enseignants dont nous avons besoin.

Sahel Academy permet à de nombreuses familles missionnaires d’œuvrer en Afrique de l’Ouest.

en Suisse, nous devons définir des règles plus stables : « A quelle heure se lever le matin ? » ou bien « A quelle fréquence devons-nous aller rendre visite à notre fille et sa famille en Angleterre ? ». Comme vous le voyez, nous sommes reconnaissants si vous priez pour nous et notre réacclimatation à la Suisse.

Merci de prier aussi pour Dirk Poganatz, mon collègue allemand, qui reprend désormais la responsabilité d’ETE* et qui a été submergé durant les dernières semaines par la multiplicité de ses tâches : écrire des livres, accompagner l’élaboration de matériel pour l’école du dimanche, mentorat de nombreux étudiants, ateliers consacrés à la direction de petits groupes dans différents quartiers de Lima et à l’extérieur de la capitale, etc. Que Dieu lui donne la sagesse – et la patience – nécessaires pour s’approprier ces différents domaines. *ETE = Educación Teológica por Extensión

Merci de prier pour la paix au Soudan et au Soudan du Sud : pour les gouvernements, pour les nombreuses ethnies et toutes les personnes qui aspirent à la paix, qu’ils puissent expérimenter celle de Dieu et que le Seigneur leur donne Sa paix.

ous !

Priez pour nous !

SUJETS DE PRIÈRE

! Priez pour nous ! Priez pour no WALTER & MARIANNE DIEM

Suisse | Tâches directoriales internationales

En raison des attaques toujours plus fréquentes en Afrique de l’Ouest, nous devons adapter nos services dans quelques pays.

Nous prions qu’advienne exactement le

MANASSE & BÉATRICE OROUYINA EPHRAÏM, JESSICA Bénin | Projet „Barouka“

Projet Barouka – Accueil des personnes vivant avec le VIH et agriculture. Nous sommes très reconnaissants pour la protection de Dieu et pour sa bénédiction lors de

BRIGITTA PINI Suisse | Projet 2019 : Voyages exploratoires dans les pays d’engagement

contraire du plan des terroristes : Que la vérité de la Bonne Nouvelle devienne plus claire et que plus de gens se tournent vers elle. Merci de prier pour cela.

Les deux prochains mois seront consacrés à la transmission du travail : Walter confiera la responsabilité pour l’Afrique de l’Ouest à Steve Schmidt, alors, il aura plus de temps pour l’Europe. Le lâcher prise n’est cependant pas chose facile, car les personnes et le travail en Afrique de l’Ouest sont chevillés à nos cœurs. Mais, nous n’avons en effet plus l’énergie nécessaire pour réaliser un travail de qualité dans deux régions. Merci de prier pour de la sagesse et une bonne communication avec le successeur de Walter.

notre première année ici au Bénin. Les enfants se sont bien adaptés. Nous déménagerons prochainement sur le site même du projet. Priez avec nous pour ce changement, pour notre protection et l’installation, afin que nous soyons en bénédiction pour ceux qui nous entourent et pour que notre travail porte du fruit.

Priez pour notre l’église locale de Guéré et pour l’Union des Églises Évangéliques du Bénin (UEEB) dont elle fait partie. Elle fait face à différents défis : la formation des pasteurs, l’unité dans un contexte multiethnique, l’esprit de peur tenace, la vie de couple et l’éducation des enfants dans un environnement culturel en transformation.

Merci de prier avec moi pour les responsables des différents pays et les équipes qui sont souvent soumis à de grandes pressions.

Partout il y a besoin de nouveaux collaborateurs qui disposent d’un solide enracinement biblique, d’un amour profond pour Jésus et pour les hommes, et qui soient prêts à consacrer leur vie dans des régions où il est difficile d’être un disciple de Jésus.

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riez pour nous !

SUJETS DE PRIÈRE

Priez pour nous !

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PIERRE-ANDRÉ & JOSIANE Niger | SIM-Education

Merci à Dieu pour le développement de relations de confiance avec les enseignants

HEIDE ZWIRNER Mozambique | Travail parmi des enfants handicapés

Il y a beaucoup de situations pour lesquelles je suis reconnaissante : ma voiture qui continue à rouler contre toute attente, la protection pour moi-même et mes

qui se sentent de plus en plus libres de nous partager leurs besoins de soutien pédagogique, et qui sont heureux d’utiliser les aides fournies. Nous sommes reconnaissants de voir que plusieurs ont choisi de prendre part à un séminaire de pédagogie chrétienne qui encourage les participants à considérer leur métier comme un réel ministère.

Merci de prier pour que les écoles chrétiennes, qui accueillent une majorité d’élèves m*lmans, puissent continuer à être des lieux de découverte de l’amour de Dieu et d’une vision chrétienne du monde, et que les enseignants aient toujours plus de joie et d’enthousiasme dans l’exercice de leur métier.

collègues, la croissance du travail parmi les enfants handicapés et leurs mères, de bons amis, des portes ouvertes à l’hôpital, les soins du Seigneur et Sa préoccupation pour les gens d’ici.

La majorité des gens dans ce pays sont marqués par leur appartenance m*mane ou animiste et sont souvent tourmentés par de grandes peurs. Merci de prier pour qu’ils découvrent et expérimentent la liberté en Christ. Comme la criminalité augmente, je serais heureuse que vous puissiez prier pour la protection contre les agressions et les cambriolages. Merci de prier aussi pour les nouveaux collaborateurs, afin qu’ils puissent tisser des relations de qualité et durables avec les autochtones.

Je désire encore vous parler d’Aï, à l’hôpital.

Elle est paralysée et a de vilaines escarres.

Qu’elle puisse vivre l’espérance qui est en Jésus et bénéficier d’une bonne suite de traitement lorsqu’elle quittera l’hôpital.

ous !

Priez pour nous !

SUJETS DE PRIÈRE

! Priez pour nous ! Priez pour no KATRIN SCHNEIDER Bénin | Travail médical

De fin août à début septembre, je passerai deux semaines de congé sur la côte. Christina, ma collègue, partira au pays pour six mois de congé et Mirjam, éducatrice de la petite enfance, arrivera de la Suisse précisément à ce moment-là. Durant quatre mois, elle col-

BERND & DR. JUDITH HEER-JÄGGI Suisse | Tâches directoriales pour l’Afrique australe

Nous sommes reconnaissants au Seigneur pour Sa protection et Sa direction durant le voyage en Afrique du Sud et au Botswana en juin. Nous avons fait six déplacements en avion et parcouru 1000 km en voiture. Mal-

laborera à l’élaboration de la crèche de l’hôpital.

Merci de prier pour une bonne acclimatation de Mirjam et pour qu’elle puisse former professionnellement les collaboratrices de la crèche.

Notre désir est que cette nouvelle activité soit une bénédiction pour les mères qui travaillent.

En septembre, arriveront deux équipes de ‘médecins sans vacances’, en soutien au département de médecine et aux urgences. Puis viendra une équipe de Suisse : une médecin anesthésiste et une chirurgienne orthopédiste qui se consacreront à des opérations orthopédiques et dispenseront une formation complémentaire pour la gestion des plaies. Enfin viendront encore le Dr Sauer, chirurgien pédiatrique et, finalement, le Dr Blanc, chirurgien orthopédiste. Merci de prier pour l’engagement de ces spécialistes bénévoles et aussi pour les collaborateurs du département de chirurgie, en vue d’une bonne collaboration afin que les opérations réussies puissent redonner un nouvel espoir à beaucoup de malades.

gré de multiples changements de programme, nous avons pu effectuer toutes les visites prévues. Merci de prier spécialement pour la famille B., au Botswana, qui se prépare pour un engagement missionnaire. Qu’elle puisse discerner les prochaines étapes et recevoir le soutien nécessaire dans la prière et matériellement de la part de sa famille d’église.

Judith s’envolera en octobre pour le Kenya afin de participer à un atelier destiné aux responsables du personnel au sein de la SIM (c’est une de leurs ‘casquettes’). L’accent sera mis sur le soin aux membres (member care).

Merci de prier pour que les participants en tirent beaucoup de profit et qu’ils puissent en faire bénéficier les missionnaires dans leur travail quotidien dans leurs pays d’engagement respectifs.

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SUJETS DE PRIÈRE

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MARTIN & SUSANA WIELAND

NATANAEL, MATEO, CATARINA, TIMEO Pérou | Services sociaux

En raison de la vente de la maison d’Elisabeth & Ernst Walder, dont la cave hébergeait l’atelier de couture, Susana a dû chercher un autre lieu, qu’elle a trouvé après bien des

WALTER & BONNIE AEBI Suisse – Niger | Enseignement biblique, musique

Nous remercions Dieu pour un bon séjour au Niger et pour les quatre cours que nous avons eus le privilège de dispenser. Trois étudiants ont terminé, dont Ali, le premier Tuareg qui a fini une telle formation à l‘ESPriT.* Nous en sommes très reconnaissants. Veuillez prier

MICHAEL & SARAH AEBI Kenya | Mécanicien et pilote pour AIM-AIR

recherches. Nous avons ainsi pu, encore en juin, installer les établis, les machines à coudre et les stocks de tissu dans un bâtiment vide situé à l’extrémité ouest de Lima. Susana est reconnaissante pour cette nouvelle place de travail qu’elle pourra utiliser jusqu’à la fin de l’année. Le projet s’arrêtera définitivement à ce moment-là. Merci de prier aussi pour Martin, afin qu’il puisse terminer d’ici fin octobre au plus tard son travail de rédaction et ainsi terminer ses études de master.

Comme le titre académique sera établi dans une université à l’étranger, il a besoin de l’aide du consulat dudit pays au Pérou. Nous espérons que nous pourrons compter sur un soutien expéditif du consulat.

pour lui et les deux autres frères, que le Seigneur conduise leurs prochains pas.

Le camp biblique Tamajeq se tiendra fin août/ début septembre à Niamey. Nous sommes reconnaissants qu‘il y ait des orateurs de différentes régions, dont deux ou trois de la Kabylie. Merci de prier pour que ces enseignements fortifient les participants et les équipent pour tenir dans les épreuves et pour mieux témoigner de leur foi.

Merci de prier pour les cours à l‘ESPriT* à partir de mi-septembre. Durant ce prochain séjour, Walter sera davantage engagé dans le travail parmi les Tamajeq, puisque certains collègues impliqués jusque-là quitteront bientôt le Niger. *ESPriT = École Superieure Privée de Théologie

Nous sommes reconnaissants pour notre permis de séjour pour le Kenya, que nous avons finalement reçu ! Notre matériel des USA est aussi arrivé avec la grande boîte à outils. Sarah a réussi ses examens et est déjà très occupée à voler. Merci de prier pour nos frères et sœurs du Sud-Soudan et du Congo, que nous pouvons servir par avion.

L’ÉQUIPE DE LA SIM-SUISSE

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Découvrez l’équipe de la SIM-Suisse

Brigitta Pini (100 %) – PROMOTION & PLACEMENTS

Je travaille à la SIM-Suisse depuis mai 2010 dans le domaine de la mobilisation et du placement de nos envoyés. Actuellement, je consacre une année de mon temps à visiter des pays SIM en Asie, Afrique et Amérique latine, afin d’être plus à même de répondre aux besoins futurs et avoir une meilleure connaissance de la réalité du terrain.

QUEL EST TON LIEN AVEC LA MISSION ?

Dieu m’avait appelé à le servir lorsque je me suis convertie à 14 ans… ensuite, mon frère est parti en Mission avec OM au Népal et à son retour Dieu, m’a rappelé son appel pour moi.

COMMENT EN ES-TU VENUE À TRAVAILLER À LA SIM-SUISSE ?

D’APRÈS-TOI, QUELLE EST L’IMPORTANCE DE TON RÔLE ?

Sans candidats, nous n’avons pas de raison d’être. C’est pourquoi, il est important de trouver des collaborateurs qui soient prêts à partir à court ou long terme et de les accompagner dans leur désir de vivre la mission ailleurs.

SELON TOI, QUELLES SONT LES QUALITÉS REQUISES POUR TON POSTE ?

L’amour du Seigneur et des gens, une bonne connaissance de la nature humaine, l’expérience sur le champ de mission, la flexibilité, la connaissance du fonctionnement de la SIM, la curiosité et l’adaptation, ainsi que la capacité d’enseigner.

J’ai dû quitter le Niger en raison de problèmes de santé et j’ai cherché une autre façon de servir Dieu en Suisse.

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L’ÉQUIPE DE LA SIM-SUISSE

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Günter Kunz (50 %) – MÉDIAS & INFORMATIQUE

COMMENT EN ES-TU VENU À TRAVAILLER À LA SIM-SUISSE ?

SELON TOI, QUELLES SONT LES QUALITÉS REQUISES POUR TON POSTE ?

Au Bénin, où j’ai travaillé dans le cadre de la SIM, vers la fin de notre séjour, j’étais de plus en plus impliqué dans la gestion administrative. Le bureau de la SIM-Suisse avait appris notre retour en Europe et nous a demandé d’accepter un poste qui allait se libérer. Après réflexion, prières et des conseils de plusieurs personnes clés, j’ai accepté de venir à Lausanne.

Pour la production de notre magazine, c’est un grand atout pour moi d’avoir une assez bonne connaissance de l’allemand, du français et de l’anglais. Par ailleurs, le fait d’aimer rédiger des textes et d’avoir de bonnes connaissances au niveau de la grammaire sont des avantages appréciables. Et puis, il faut également un sens de la coordination pour planifier les délais pour les textes, les photos, les traductions, les relectures, la mise en page, l’impression, l’envoi et j’en passe.

Au niveau de l’infrastructure technique, il est nécessaire de faire preuve d’un grand intérêt pour ce domaine spécifique. Je n’ai jamais suivi de formation officielle pour pouvoir assurer le support technique dans notre bureau. Ma manière d’apprendre est surtout le « learning by doing ». En observant des pros dans leur travail et en cherchant des conseils sur internet, j’ai appris une grande partie de ce que je sais faire aujourd’hui.

D’APRÈS TOI, QUELLE EST L’IMPORTANCE DE TON RÔLE ?

D’un côté, si je ne m’occupais pas du magazine de la SIM-Suisse, nous perdrions petit à petit le contact avec nos amis, les églises, toutes les personnes qui prient et donnent, bref avec tous ceux qui, depuis la Suisse ou des pays alentour, soutiennent fidèlement l’œuvre de la SIM. D’un autre côté, je veille à ce que l’infrastructure technique soit à un niveau tel que les membres de l’équipe puissent travailler dans de bonnes conditions. C’est lorsqu’un appareil ou un programme ne fonctionne pas correctement que l’on apprécie d’avoir quelqu’un capable d’y remédier. C’est dans de telles circonstances que mes collègues m’apprécient le plus.

La famille Kunz au Bénin lors du centenaire de la SIM. Stefan, leur fils cadet est né à l’hôpital de Bembéréké.

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Waltraud Kunz (50 %) – MEMBER CARE, GÉRANTE D’IMMEUBLE ET CHAMBRES D’ACCUEIL

POURQUOI AS-TU DÉCIDÉ DE RESTER À LA BASE D’ENVOI ET DE NE PAS PARTIR ?

SELON TOI, QUELLES SONT LES QUALITÉS REQUISES POUR TON POSTE ?

Günter et moi avions 25 ans quand nous avons réalisé que nous étions appelés à aller en mission. Nous sommes très reconnaissants pour le personnel du bureau de la mission qui s’est entretenu avec nous de notre appel et nous a accompagnés dans la préparation, qui nous a aidés à trouver un groupe de soutien, qui nous a écoutés et a prié fidèlement pour nous, et qui a fait en sorte que nous ayons de l'argent pour vivre régulièrement et que nos cotisations sociales soient payées. De 1989 à 1996, nous avons donc pu travailler au Bénin et nous savions que ces choses étaient entre de bonnes mains - quel soulagement ! Depuis 1996, nous travaillons au siège de la SIM-Suisse et pouvons ainsi permettre à des jeunes et des moins jeunes de partir en mission. Nous les accompagnons dans la prière pendant leur engagement à l’étranger, et quand ils reviennent, je peux écouter ce que Dieu a fait pour eux et à travers eux pendant ce temps.

Je pense que les tâches dans le domaine des chambres d'hôtes, de la gestion de la maison et des achats peuvent être réalisées par toute personne qui s’y intéresse. Pour le contact avec les missionnaires et les entretiens d'évaluation, je trouve important d'avoir fait l'expérience de ce que c'est que d'aller à l'étranger, de vivre dans une culture étrangère et y partager la foi en Jésus, et aussi de vivre la transition au retour en Europe.

CITE UNE ANECDOTE QUE TU AS VÉCUE EN LIEN AVEC LA MISSION, QUI T’A ENCOURAGÉE OU SURPRISE, ICI EN SUISSE OU AILLEURS ?

Pendant notre premier séjour en Afrique, nous attendions notre troisième enfant. À l’hôpital de la mission qui était à 100 km de Parakou où nous habitions, il y avait une sage-femme allemande en séjour ici pour une année. C’était le moment pour moi de procéder à tous les contrôles en prévision de l’accouchement. Quel cadeau de Dieu de même pouvoir parler notre dialecte avec elle. En plus, elle a fait un super travail, mieux que ceux qui m’avaient accompagné pour les deux premiers accouchements.

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18 QUEL EST L’UN DES DÉFIS DANS TON TRAVAIL ?

J'aimerais faire beaucoup plus ou mieux, ce qui ne m’est pas possible en termes de temps et de force. Mais je suis encouragée de savoir que

nous travaillons tous ensemble : l'église d'envoi, les amis, le personnel du pays d'affectation et nous en tant qu'équipe SIM-Suisse.

Liselotte Mutzner (40 %) – ÉVÉNEMENTS & SUIVI

Je travaille depuis août 2015 au bureau de la SIM-Suisse. Une partie de mon travail consiste à entretenir la correspondance avec nos donateurs qui soutiennent le fonctionnement et le personnel du bureau. Je participe aussi à l’organisation des évènements. Lorsque cela m’est possible, j’accompagne Léo dans ses visites de nos envoyés à l’étranger et en Suisse. Je me suis également engagée pour une année dans le placement des personnes qui souhaitent partir à court terme à l’étranger.

LA MISSION, D’APRÈS TOI, C’EST QUOI ?

C’est un style de vie, qui est pour tous. La mission c’est l’affaire de tous les chrétiens ! Dans mon travail, auprès de mon entourage, je suis en « mission ». Mais il y a aussi des personnes qui ont des appels particuliers, qui peuvent les amener au loin !

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COMMENT EN ES-TU VENUE À TRAVAILLER À LA SIM-SUISSE ?

Avec Léo, Dieu nous a appelés à venir servir en Suisse. Nous avons quitté notre travail en France pour cela. Nous avons été surpris par cet appel, mais Dieu nous a conduits pas à pas.

Maintenant, après bientôt cinq ans, je me sens à ma place ici.

SELON TOI, QUELLES SONT LES QUALITÉS REQUISES POUR TON POSTE ?

Même si c’est « seulement » par courrier avec nos amis de la mission, je crois que le lien est important. Sans eux, sans leur soutien dans la prière et les dons pour le bureau, notre travail ne pourrait pas se faire !

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Joëlle Lehmann (30 %) – COMMUNICATION

Je suis chargée de communication pour la SIMSuisse depuis mars 2016, soit depuis plus de trois ans. Je m’occupe de la création ou mise à jour de tous les supports papier et web (brochure, papillons, réseaux sociaux, site internet…) à l’exception du magazine trimestriel qui est pris en charge par Günter.

D’APRÈS TOI, QUELLE EST L’IMPORTANCE DE TON RÔLE ?

La société, et particulièrement la jeune génération, juge la qualité d’un produit, d’une organisation, d’un projet à la beauté du support utilisé (papillon, emballage, site internet…). Bien communiquer est devenu indispensable pour rendre une organisation telle que la SIM visible.

Un manque de communication donne le sentiment que l’organisation ne fait plus rien. Une mauvaise communication donne une fausse image et diminue la crédibilité et le sérieux.

Nous ne pouvons pas négliger l’importance de la communication.

SELON TOI, QUELLES SONT LES QUALITÉS REQUISES POUR TON POSTE ?

Il est nécessaire de bien savoir rédiger, mais aussi de connaître les tendances pour communiquer de façon actuelle. Un bon communiquant respecte les délais, a le sens de l’esthétisme et sait manier différents logiciels. Il s’adapte à son public interne ou externe lorsqu’il transmet une information.

QUEL EST TON LIEN AVEC LA MISSION ?

J’avais un an et demi lorsque mes parents ont décidé avec conviction de quitter la Suisse pour s’installer dans le sud de la France, en collaborant avec une organisation missionnaire.

Seule, j’ai aussi pu vivre plusieurs expériences à l’étranger pour partager ma foi et mes valeurs.

Il y a trois ans, j’ai eu l’opportunité de commencer à travailler pour la SIM-Suisse, lors de la création de ce nouveau poste. Ce fut l’occasion d’allier mission et communication.

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Brigitte Läuppi (80 %) – COMPTABILITÉ

Quand je suis partie pour la première fois comme missionnaire en août 1988, SIM était la mission partenaire au Kenya. Je suis revenue il y a 11 ans et je travaille maintenant dans mon ancienne profession, dans la comptabilité

D’APRÈS TOI, QUELLE EST L’IMPORTANCE DE TON RÔLE ?

Pendant mon séjour à l'étranger et au retour, j'ai vraiment apprécié le soutien du bureau d'envoi. Maintenant, j’assure les arrières pour que d'autres puissent accomplir la mission de Dieu. Il est important que vous soyez au bon endroit avec vos dons et votre expérience.

COMMENT EN ES-TU VENUE À TRAVAILLER À LA SIM SUISSE ?

En automne 2006, je suis revenue du Kenya pour la deuxième fois, pour assister mon père atteint du cancer. Nous savions alors qu’une chimio n’était plus une option. Pendant ce temps, j'ai demandé à Dieu si je devais revenir définitivement en Suisse. Nous étions sur le point de remettre le travail parmi les enfants au personnel kényan et la question était de savoir si je serais prête à déménager ailleurs. Aussi clairement que Dieu m'a conduite au Kenya, Il a confirmé le chemin du retour. Dans les requêtes de prière de SIM-Suisse en février 2007, j'ai lu qu'une personne du bureau prendrait sa re-

traite dans un an et demi. « Seigneur, si c'était le comptable, je pourrais imaginer travailler dans un bureau de mission. Mais maintenant je veux me concentrer sur mon père. Que quelqu’un m’appelle si je dois poursuivre l’idée » m'est passé par la tête. Mon père est décédé fin février 2007 et quelques semaines plus tard, j'ai reçu un appel du directeur de SIM-Suisse. Il avait lu ma courte lettre circulaire avec la demande de prière pour la clarté sur mon avenir et a voulu apprendre à me connaître. Le mot d’ordre pour 2007 était : « Je vais faire une chose nouvelle, qui est déjà en germe. Ne la remarquerez-vous pas ? » (Esaïe 43:19). Au début de l'année, je savais qu'il y avait quelque chose de nouveau, mais je ne le voyais pas encore. Au cours de l'année, j’ai été simplement étonnée

Brigitte Läuppi prend congé de ses collaborateurs au Kenya. Ils ont formé ensemble des moniteurs et monitrices pour les camps bibliques pour enfants.

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21 de la façon dont le Seigneur m’a conduite pas à pas. Mais tout d'abord, je suis retournée au Kenya pour mettre un terme et dire au revoir.

Depuis avril 2008, je travaille au département comptabilité de la SIM-Suisse.

COMMENT EN ES-TU VENUE À TRAVAILLER À LA SIM SUISSE ?

La tâche de la comptabilité est variée et il faut du temps pour s'y familiariser. Comme je prendrai ma retraite dans trois ans, j'espère que quelqu'un sera trouvé suffisamment tôt pour pouvoir disposer du temps nécessaire pour "passer le témoin". Vos prières sont les bienvenues.

Malika Houmard (80 %) – ADMINISTRATION

Je travaille depuis quatre ans à la SIM en tant que responsable de tout ce qui est administratif et, par intérim également, de l’envoi et du suivi des court-terme.

COMMENT EN ES-TU VENUE À TRAVAILLER À LA SIM-SUISSE ?

Je cherchais un travail à 60% pour compléter mes études d’architecture d’intérieur. À la même période, la SIM cherchait une personne à 60% pour le soutien administratif. Jusquelà, je n’avais aucun lien avec la mission et je ne connaissais même pas la SIM, mon église ayant sa propre « mission ».

D’APRÈS TOI, QUELLE EST L’IMPORTANCE DE TON RÔLE ?

Dans le royaume de Dieu, il y a différents besoins et différents dons. Si des personnes sont

appelées à partir et à s’investir au-delà des frontières, il en faut également dans les pays d’envoi pour les soutenir, les accompagner et les envoyer. D’où l’importance de mon rôle d’accompagnement et d’envoi des court-terme, ainsi que de soutien administratif et organisationnel. Les pays sont toujours très reconnaissants pour les personnes que nous envoyons.

SELON TOI, QUELLES SONT LES QUALITÉS REQUISES POUR TON POSTE ?

Je pense qu’il faut savoir travailler rapidement, de manière efficace et ne pas avoir peur de la « paperasse ». Il faut également faire preuve de patience, de discernement pour conseiller et accompagner les gens dans leurs désirs, leurs besoins. Aimer le contact et être flexible sont des points importants pour ce travail.

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RÉFLEXIONS PERSONNELLES PERSÖNLICHES

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La mission, on en parle… « LA PLUPART DES CHRÉTIENS N’ONT PAS BESOIN D’UN APPEL MAIS D’UN COUP DE PIED DANS LE DERRIÈRE ! » JIM ELLIOT

« Pour moi, jusqu’à l’âge de 25 ans à peu près, la « mission » n’était qu’un thème pour des « super-saints », mais Dieu m’a ouvert les yeux pour les peuples qui n’ont jamais eu l’occasion d’entendre parler de Jésus. Et, petit à petit, la « mission », c’est-à-dire Dieu, est devenue mon « employeur ». Günter Kunz

« Ce qui m’a le plus surprise dans la mission, c’est que le défi n’était pas tant de s’intégrer dans une nouvelle culture (même si cela reste un défi majeur), mais plutôt la collaboration sur place ou à la maison avec des missionnaires venant de plusieurs cultures différentes. » Malika Houmard

« Chacun des voyages, surtout celui en Afrique, m’a marqué. La rencontre de nos envoyés, leurs engagements et dévouement m’ont beaucoup impressionnée. Je garde aussi d’excellents souvenirs de nos frères et sœurs dans ces pays. Parfois avec peu de moyens, ils servent le Seigneur et vivent leur foi avec profondeur et de grands engagements. » Liselotte Mutzner

« Jésus-Christ ne nous envoie pas seulement - Il va lui-même avec nous et nous donne les moyens d'accomplir cette tâche. Où que j’aille, je suis émerveillée par les conseils de Dieu dans ma vie et je suis reconnaissante pour tout, même pour les temps orageux, quand on fait particulièrement l'expérience de la main miséricordieuse de Dieu et qu’Il nous porte. » Brigitte Läuppi

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RÉFLEXIONS PERSONNELLES

23 « Dans une école chrétienne aux Etats-Unis, nous étions seulement deux européennes sur l’ensemble des étudiants américains ou canadiens. Dès le départ, il a fallu s’adapter aux cultures et aux personnalités de chacun, car nous allions vivre six mois ensemble, dont trois mois en Chine. Lors d’un petit groupe de partage, alors que l’école avait débuté depuis peu, mon amie danoise a dû expliquer sa gêne face au nombre incalculable de « Je t’aime » qui était adressé par notre équipe américaine encore « inconnue » à ce stade. Elle expliqua qu’en Europe nous sommes beaucoup plus pudiques dans l’expression de sentiments aussi intimes. Cette situation m’a particulièrement marquée et m’a permis de constater que notre perception des choses est très différente selon nos origines, notre culture, notre éducation… et que c’est un apprentissage de bien vivre ensemble et de se comprendre. » Joëlle Lehmann

Reconnaissance et encouragements MERCI MON DIEU… « De pouvoir te servir à plein temps, car il n’y a rien de plus passionnant pour moi.

Merci pour notre équipe de travail à Bienne et pour cette année de voyage à visiter les différents bureaux SIM du monde ! » Brigitte Pini

« Pour ce travail que j’ai découvert à la SIM. C’est un privilège d’être là au service des personnes. Oui, chaque envoyé est une inspiration et une motivation pour moi personnellement et pour mon travail en ‘coulisses’ ». Liselotte Mutzner

« L’ambiance de travail bienveillante au bureau de la SIM et la complémentarité de notre équipe qui regarde dans la même direction. » Joëlle Lehmann

ENCOURAGÉS PAR… « Les échos de mes collègues qui me font du bien lorsqu’ils se réjouissent de pouvoir de nouveau travailler correctement après une panne technique. Et je me réjouis quand des personnes se manifestent pour dire qu’elles ont été particulièrement bénies ou interpellées par un article de notre magazine. » Günter Kunz www.sim.ch

RÉFLEXIONS PERSONNELLES PERSÖNLICHES

24 « Tous les progrès que nous avons déjà pu faire au niveau de nos processus, de nos documents, de notre présentation. Nous avons des échos positifs et encourageants. » Malika Houmard

« De voir que Dieu ne se lasse pas de nous aimer, même si nous ne sommes pas toujours à la hauteur de notre tâche et que nous l’oublions parfois. » Brigitte Pini

« Toutes les fois où j'entends que les gens sont renforcés dans leur confiance en Dieu par les défis d'un séjour missionnaire. » Waltraud Kunz

Ce qui nous passionne… « Je suis passionnée et fascinée par l’Eglise, les gens, la louange et la musique. J’aime chanter, composer, écrire et partager mon cœur au travers de la musique, en dirigeant des temps de louange, etc. J’ai à cœur la pureté de l’église et que les gens puissent marcher et s’épanouir dans leur appel.

Une passion que nous avons en commun avec mon futur mari. » Malika Houmard « Ce sont les personnes. J’aime être « en route » avec des gens. J’aime être là pour les encourager et être encouragée par eux. Je suis émerveillée lorsque je suis en contact avec les jeunes personnes qui donnent de leur temps pour un séjour à court terme. Ils sont pleins de motivation pour cela. » Liselotte Mutzner « J’aime énormément partager la parole de Dieu avec ceux qui ne la connaissent pas encore et les voir développer tout le potentiel que Dieu a mis en eux. J’ai particulièrement à cœur l’accompagnement et l’encouragement des personnes qui désirent servir Dieu

à plein temps et de les voir se développer dans ce service. » Brigitte Pini « Je suis très réjouis, lorsque j’en ai l’occasion, de pouvoir utiliser mes dons et mes capacités pour être une aide pour quelqu’un. Cela me procure la plus grande des satisfactions. » Günter Kunz « Je désire vraiment que les gens entrent dans une relation vivante avec Jésus et je suis ravie de voir Dieu répondre aux prières. J’ai à cœur que, lorsque nos collaborateurs reviennent de leur mission à l'étranger, ils soient bien accompagnés dans cette phase difficile de la transition (surtout s'il s’agit des familles). » Waltraud Kunz « J’aime entendre les histoires des gens qui m’entourent. La richesse humaine et la diversité des personnes que je rencontre me fascinent. Cela me rappelle qu’il n’y a pas deux personnes comme nous et que la vie a tant à nous apprendre. C’est pour moi une joie de pouvoir encourager les gens à se découvrir et à rester authentiques. » Joëlle Lehmann