Concours Histoires d’amour... et d’amitié
Les protagonistes de cette histoire d’amour s’appelaient Philippe et Corinne, ils habitaient à Lyon. Leur rencontre fut parce qu’ils prenaient souvent le même métro en même temps, Corinne allait à l’auto-école pour apprendre à conduire tandis que Philippe allait à la salle de sport. Bientôt, tous les deux se rendirent compte de l’existence de l’autre et sentirent le désir de se connaître.
Le temps passait et ils ne s’étaient jamais parlé, si ce n’était pour se saluer dans le métro, mais un jour, à l’approche de Noël, Corinne décida de lui faire une blague, et donna à Philippe la pomme qui lui était restée de son goûter comme cadeau de Noël. Les deux rigolèrent beaucoup et échangèrent leur numéro de téléphone. Ensuite, ils commencèrent à se draguer sur WhattsApp, et de temps en temps, ils prenaient un verre ensemble. Ainsi, tous les deux tombèrent amoureux, Philippe aimait la tendresse de Corinne tandis que Corinne adorait le charme de Philippe.
Après dix moins d’avoir partagé de très bons moments ensemble, ils décidèrent de chercher un appartement à louer pour vivre ensemble. À l’époque, ils étaient fous l’un de l’autre, et tout semblait merveilleux.
Quand ils eurent vécu un an ensemble, Philippe eut un séminaire de formation à Paris qu’il n’avait pas pu refuser, car son travail en dépendait. Une fois que Philippe fut arrivé à Paris, Corinne ne put pas se communiquer avec lui. Elle commença à se sentir jalouse et deux jours plus tard, elle décida d’aller à Paris le chercher.
Lorsque Corinne fut arrivée à Paris, elle découvrit que Philippe avait une aventure avec sa collègue de boulot. Tous les trois eurent une dispute, voire une bagarre, parce que la maîtresse pensait aussi, que Philippe avait quitté Corinne avant sa relation avec elle. Finalement, chacun prit son chemin.
UNE RENCONTRE INATTENDUE
C’était un lumineux matin du mois de juin. J’étais sur la rue Rubén Darío, à Madrid, complètement perdue. Je devais aller chercher ma thèse et à ce précis moment je ne savais pas comment arriver à la rue Francisco de Sales, où se trouvait l’atelier de reliure. D’un coup, je décidai de demander à quelqu’un qui s’approcha de moi.
Un jeune homme, très élégant, très bien habillé, portant un costume gris foncé, une chemise bleue et une cravate à rayures bleues et vertes, s’approcha de moi. Je me dirigeai vers lui et lui demandai comment aller à Moncloa.
Avec un tendre sourire, il m’a proposé d’aller avec lui, voir le panneau de métro le plus proche et là, m’indiquer la ligne de métro que je devais prendre.
Je lui dis merci et juste au moment où j’étais en train de descendre la première marche des escaliers, il me demanda d’aller prendre un café. « Oui, enchantée », lui dis-je. On alla dans un café et là, on parla pendant des heures.
Ce fut le début d’un amour qui dura plusieurs années, maintenant devenu une grande amitié. Coccinelle
PHILIPPE ET CORINNE
Amantine Aurore
AVENTURE DANS LES ALPES
Isabelle et moi, nous étions dans les Alpes, avec mes amis, en voyage de ski. Je n'avais jamais skié auparavant. C'était la première fois. Lors de ma première tentative, je tombai et je roulai jusqu'à ce qu'un jeune homme, appelé Pierre, m'attrape et m'aide à me relever. Dès que nos regards se furent croisés j'eus le béguin pour lui. Puis, notre aventure commença. Il m ´apprit à skier en quelques heures. J’étais très heureuse. Au moment où il me parla de ma beauté, je ressentis des papillons dans mon ventre, Ce fut alors que je sus qu’il était l’homme que je désirais. Pierre essaya d´attirer mon attention en m´achetant des fleurs, des cadeaux et en me disant de choses gentilles. Et moi, je l'écoutais en regardant ses yeux et son sourire. Cependant ce qui attira mon attention ce fut qu'il me déroula le tapis rouge. Les jours passèrent et nos rencontres se multiplièrent, et notre attachement l'un pour l'autre s'accrut. Un jour il me demanda la main au même endroit où nous nous étions rencontrés pour la première fois.
Je doutai d´accepter car nous ne nous connaissions pas depuis longtemps. Finalement, j’acceptai, car c'était la première fois que j´avais trouvé un jeune homme qui me comprennait.
C'est alors que j’eus l'impression d'être sur un petit nuage.
Le jour promis était arrivé, notre mariage ; je fus en robe blanche, une princesse assise sur le trône du cœur de son prince.
Les jours et les mois passèrent, nous étions très heureux jusqu'à ce que Pierre change. Avec le temps et les pressions de la vie, Pierre fut exposé à de nombreux problèmes liés à son travail, qui l´ affectèrent psychologiquement et il devint irritable la plupart du temps.
Il s’isolait de tout le monde, même de sa bien-aimée Isabelle alors, il cessa de lui exprimer son amour comme d'habitude.
Isabelle se sentit triste de la négligence de son mari, alors elle décida de lui parler franchement de ce qui l’inquiétait, mais son ton de voix, tremblant de tristesse, l'empêcha de lui téléphoner.
Alors elle lui envoya le message suivant : Comment vas-tu Pierre ? Dis-moi, ça va ?! Comment vas-tu pendant cette période ? Tu as beaucoup changé avec moi... je ne suis plus ta chérie gâtée ou quoi !
Pierre répondit à son message : Je suis vraiment fatigué et j'aimerais m'éloigner de tout le monde et me reposer un peu, Isabelle !
Isabelle répondit : Et tu veux aussi te reposer de mon amour !
Au fil du temps, Pierre ne changea pas, et Isabelle tenta de diverses manières de relancer la relation. Finalement elle décida de se séparer de lui et mettre un terme à cette relation.
Six mois plus tard, Isabelle reçut un message de son amie pour partir à nouveau skier aux Alpes. Isabelle douta d´y aller, puisque ceci lui rappelait des souvenirs douloureux. Mais son amie la convainquit d´y aller. A leur arrivée, Isabelle vit l´endroit décoré de fleurs rouges et blanches et de cœurs rouges, et au centre se trouvait son ex-mari Pierre, avec un bouquet de roses à la main. Il la regarda et s´excusa de ce qu’il lui avait fait et lui promit qu´il serait désormais un homme gentil. « Je suis d´accord maintenant mais si un jour tu redeviens un homme négligent, je te quitterai pour toujours » dit Isabelle.
Les deux amoureux vécurent heureux et comme tout le monde, ils eurent de petits problèmes. Avec eux, l´amour triompha.
Chloë
VOYAGE EN AFRIQUE
J’étais à l’aéroport. Quand j’eus chargé les valises pour commencer mon voyage en Afrique, en tant que coopérante pour une ONG, et que j’étais dans la file pour passer le contrôle des passeports, je le vis. Il était dans la même file d'attente et avec la même destination que moi. Dès que l'eus vu, je tombai amoureuse de lui! J’eus un coup de foudre. À ce moment-là, ils nous annoncèrent par haut-parleurs que notre vol avait un retard de cinq heures. Je me dirigeai à la caféteria de l'aéroport, il n'y avait plus de tables libres pour pouvoir manger. Il y avait seulement une place libre, dans la table où était assis le beau garçon de la file de contrôle des passeports. J'eus le coeur qui battait à la chamade, dès que nous eûmes commencé à parler. Quand nous avions terminé de manger, nous parlions déjà comme deux amis. Nous partimes en Afrique dans le même vol et à la même ONG. , Pendant le vol il me fit des avances, j'ètais très heureuse. Il me raconta que son agence lui avait envoyé passer quatre mois en Afrique à son retour de New York.
En Afrique nous commençâmes notre vie à deux, nous étions en symbiose. Il était mon âme soeur. Cependant, à cause de la situation dans le pays, la faim, les maladies, la guerre et les mauvaises conditions de vie, nous vécûmes d'amour et d'eau fraîche. Mais l'amour malheureux arriva, une maladie grave causa la mort de mon amour provoquant la plus douloureuse rupture de ma vie. J'eus le coeur brisé.
Quand la date de retour fut arrivée, je ne pus pas revenir, parce que j’aurais laissé derrière les quatre mois les plus importants de ma vie. À ce moment- là, je pris la décision de rester et de vivre en Afrique. La prunelle de mes yeux était toujours en Afrique.
UNE HISTOIRE D’AMOUR
Marie écoutait un podcast dans le parc et mangeait une assiette de pâtes provenante du supermarché, tandis que Paul profitait du seul temps dont il disposait entre la sortie de l’université et le moment où il allait donner des cours de paddle à des enfants de huit ans pour aller faire du jogging.
Quand le podcast fut terminé, il fut temps de retourner au bureau. Alors Marie se leva, rassembla toutes ses affaires et lorsqu’elle fit le premier pas pour retourner au travail, elle tomba nez à nez sur Paul. Il s’excusa, elle regarda autour d’elle pour ramasser ses lunettes et quand elle les mit, elle se rendit compte qu’il manquait un verre. Paul était inquiet.
À ce moment-là, elle crut que de telles choses n’arrivaient que dans les films, alors elle devint vigilance. Il lui proposa de l’aider à se relever, mais elle s’inquiéta et lui montra ses lunettes, en lui demandant une solution. Il lui offrit une somme d’argent pour les réparer et elle fut satisfaite de sa démonstration de responsabilité.
Enfin, elle lui invita à prendre un café après qu’il eut payé les verres.
Clémentine
Amber C.S.
Je glissai ma main sur la table comme si c’était une patinoire. Par chance, je me heurtai à la main douce et veloutée de mon épouse ; du moins, c’est ce que je pensais. Aussitôt après, une sensation traversa mon corps en donnant lieu à la renaissance des souvenirs d’un temps passé, quand le temps ne passait pas. Dans un lieu où l’esprit d’un enfant naïf rêvait de son âme sœur et il avait un faible pour elle. En outre, à ce moment-là j’étais déjà tombé sous son charme. C’était un jour d’été rêvé où les rires animaient joyeusement nos conversations. Je me rappelle que nous avions déjà dévoilé nos sentiments et nous avions fait des galipettes. Ce furent les premiers jours de notre amour, pleins d’excitation car nous étions chanceux de nous être rencontrés. Nous pensions que rien ne pouvait nous blesser puisque nous nous sentions invincibles. À ce moment-là, nous posions les fondations que feraient partie des murs infranchissables pour que rien ni personne ne puisse affecter notre relation, pour laquelle nous avions travaillé si dur.
Ces souvenirs idylliques qui faisaient partie d’un passé irrécupérable. L’automne arriva dans nos vies tout en provoquant le raccourcissement des jours, et le manque de chaleur du soleil empêcha tout espoir de resurgence de la passion, qui nous avait accompagnés pendant tant d’années. Notre étincelle s’était éclipsée par ces nuits qui s’éternisaient jour après jour. L’écho rebondissant de nos rires s’entendait de plus en plus loin ; dans un endroit vide où la sensation dont je parlais trouva aussi sa fin.
Dès que j’eus effleuré la main de mon épouse, je sentis que cette main ne transmettait plus cette passion qui faisait maintenant partie d’un souvenir.
C.J. Medina
LE SOUVENIR