16 Route de Praz-Véguey 1022, Chavannes-près-Renens, Suisse (+)0041 762628355 seb.fosseprez@gmail.com
SOMMAIRE
EXPERIENCES PROFESSIONNELLES.
2025-2021: Architecte collaborateur - chef de projet. Pour le bureau MDW.
Suivi de chantier - Dossier de soumission et adjudication - Permis d’urbanisme - Concours.
2021-2017: Architecte collaborateur. Pour le bureau EDA-AU. Missions complètes.
2025-2019: Architecte indépendant.
(2025-2022) - Projet personnel, client privé. Transformation, extension et rénovation d’une maison unifamiliale à Bruxelles.
(2025-2021) - Association momentanée avec Manon Vanel, client privé. Transformation et rénovation d’une maison unifamiliale à Grez-Doiceau.
(2023-2021) - Association momentanée avec Sébastien Jamar, client privé. Transformation et rénovation d’une grange en logement, construction d’un relais de chasse et construction d’un hangar forestier.
(2021-2020) - Projet personnel, client privé. Construction d’un balcon terrasse, maison unifamiliale.
(2021-2019) - Projet personnel, client privé. Extension en ossature bois d’une maison unifamiliale.
Aout 2017 : Stagière. Pour le bureau MK Engeneering. Conception, dessin technique et dimensionnement.
CONCOURS INDÉPENDANT.
Mars 2021 : Réhabilitation du complexe Al Nouri à Mosul. Concours.
Avec Anne-Clarisse Lefin, Corentin Haubruge et Arnd Amand.
Juin 2020 : Chapelle au Rwanda pour les soeurs Clarisse. Concours d’idées.
Avec Aline Flamand.
September 2019 : Réinventer le 14ème rue de Trévise - The YMCA-UCJG of Paris. Concours d’idées.
Avec Sébastien Jamar.
FORMATIONS.
2023 : Formation Isohemp
Les blocs-chaux-chanvre
2022 : Formation CSTC
Sécrutié incendie des façades
2020 : Formation Carodec academy Pathologie des bâtiments anciens
Mission au sein du bureau MDW Suivi et contrôle de chantier.
Projet :
En passant devant le 110 Avenue Adolphe Buyl, en face de l’Université Libre de Bruxelles, on remarque un étrange espace vide, créé par deux pignons aveugles presque parallèles, menant à un petit parking. À gauche de cette parcelle vacante se trouve le centre médical Solbosch, un joyau néo-gothique ; à droite, la résidence Solbosch, qui fait face au Square Dewez et forme une arche à la rencontre de l’Avenue Brillat-Savarin. Le projet repose sur trois interventions :
(1) Extension du centre médical : son volume est augmenté d’un niveau supplémentaire à l’intérieur de l’îlot. Il s’agit d’une structure légère en bois, soutenue par l’ossature existante.
(2) Remplacement du pavillon existant : le pavillon situé à l’arrière du site est remplacé par un nouveau bâtiment, dont l’architecture répond mieux aux besoins du centre médical, améliorant ainsi la qualité des services. Ce nouveau pavillon sera intégré à un aménagement paysager reliant le parc, assurant la continuité avec les espaces verts environnants.
(3) Création d’un immeuble résidentiel : un immeuble d’appartements de sept étages est construit entre les deux pignons, fermant ainsi l’îlot. Ce volume agit comme un pont géométrique et chromatique entre les bâtiments adjacents, corrigeant le déséquilibre existant. Il affirme son rôle central et complète la séquence urbaine.
L’ajout de ces trois entités constitue une opération délicate, répondant à des enjeux urbains et paysagers : relation avec l’espace public, intégration avec les bâtiments voisins, connexion avec le parc arrière, ainsi que des questions architecturales plus subtiles nécessitant une approche fine. Tout cela en préservant scrupuleusement le patrimoine et la biodiversité déjà présents sur le site.
Localisation : Waterloo
Budget : 11.000.000 euros
Mission au sein du bureau MDW
Chef de projet - Avant projet et permis d’urbanisme.
Projet :
Le projet prend place sur un terrain en friche, à l’articulation entre un parc commercial et un quartier résidentiel de maisons unifamiliales à Waterloo. Ce site, en pente marquée et ceinturé de végétation, constitue un lieu de transition singulier entre deux tissus urbains de nature opposée.
L’intervention y propose la construction de deux bâtiments bas –9 et 10 unités – intégrés dans un parc privé largement végétalisé. Implantés en retrait dans la topographie, les immeubles s’inscrivent discrètement dans le paysage, derrière une ceinture boisée renforcée. Leur morphologie hexagonale favorise des vues variées, tout en assurant une compacité favorable au rapport surface/emprise.
Le projet repose sur une structure poteaux-dalles permettant une grande liberté d’usage et une réelle évolutivité des espaces. Ce plan libre s’exprime en façade : un exosquelette en béton encadre des caissons préfabriqués en bois, générant un jeu de pleins et de vides, et soulignant l’intériorité du projet. Chaque logement bénéficie d’un extérieur et de larges ouvertures, tandis qu’un atrium central inonde les circulations communes de lumière naturelle.
Le site est entièrement piéton, traversé par un parc-jardin aux essences locales. Un parking souterrain mutualisé relie les deux bâtiments. Le projet mise sur des dispositifs passifs et des équipements performants pour garantir confort et sobriété énergétique
Discret depuis la rue, dense et ouvert en cœur d’îlot, le projet s’installe avec mesure dans un site complexe, en veillant à renforcer la qualité du paysage tout en conciliant respect du voisinage et ambition architecturale. Le site du projet, à la lisière entre un quartier résidentiel et un parc commercial, est un terrain en friche enclavé, marqué par une forte déclivité et ceinturé d’un couvert végétal existant. Ce morceau de ville résiduel, laissé vacant après des opérations d’urbanisation plus larges, attendait un projet capable de faire le lien entre des mondes disjoints.
WATERLOO
UPSYLON
Localisation :
Berchem Saint-Agathe
Budget :
14.000.000 euros
Mission au sein du bureau MDW
Chef de projet - Etablissement du dossier de soumission et adjudication.
Projet :
La maison de repos du Val des Fleurs, bâtie en 1966, est une œuvre des architectes René Aerts et Paul Ramon. Ce bâtiment moderniste s’insère dans un îlot de maisons unifamiliales.
Pour dialoguer avec ce contexte, une forme en ‘Y’ a été choisie, évitant toute frontalité directe et optimisant l’orientation des espaces.
L’écriture des élévations, qu’il s’agisse des grandes façades vitrées Est et Ouest ou des pignons Nord et Sud, témoigne d’une qualité architecturale perceptible dans de nombreux détails à ‘intérieur du bâtiment. Le Y résonne ainsi dans la silhouette des cabanons de toitures ou encore les fenêtres en “noeud papillon” en about de couloir.
La résidence présente un choix raffiné de matériaux : ferronneries rythmées, châssis ondulants, briques vernissées, carreaux de grès à l’entrée. On y trouve aussi des éléments remarquables comme l’ancienne chapelle au deuxième étage, définie par une dalle nervurée en béton, et la façade aux colonnes trapézoïdales.
Ces éléments soulignent la qualité du bâtiment et la nécessité d’une approche respectueuse. Il s’agit ici de s’inscrire dans l’œuvre d’un autre, et, lorsqu’il faut l’altérer, de le faire dans une idée de continuité.
Nous conservons donc la trame des chambres, adaptée au nouveau programme. Les plans, les élévations et les mises aux normes sont pensés dans le détail, afin d’ajouter, remplacer et rénover sans dénaturer l’esprit original de l’édifice.
LUX-46
Localisation : Bruxelles
Mission au sein du bureau MDW
Chef de projet - Concours gagné avec le bureau FBAA.
Projet :
Le projet Lux 46 transforme un ancien immeuble de bureaux des années 1970, situé rue du Luxembourg à Bruxelles, en un ensemble résidentiel contemporain. Dans un quartier historiquement résidentiel mais dominé par les bureaux depuis plusieurs décennies, cette reconversion marque un tournant vers une ville plus mixte, habitable et conciliant mémoire du lieu, performance environnementale et qualité de vie.
L’intervention repose sur la valorisation du bâti ex istant, conservant la structure en béton, révèlant les façades d’origine et réintégrant les matériaux issus de la rénovation. Le projet s’inscrit dans une logique de circularité, limitant les démolitions et favorisant la réversibilité des usages.
L’architecture redonne une échelle domestique à l’îlot. Des loggias bioclimatiques et jardins d’hiver prolongent les logements, assurant confort ther mique et lien avec l’extérieur. Le cœur d’îlot est requalifié en jardin de pleine terre, conçu comme un îlot de fraîcheur urbain, sans terrassement, avec gestion intégrée des eaux pluviales.
Le socle actif accueille commerces, équipements collectifs et espaces culturels, renforçant l’an crage urbain du bâtiment.
Les 106 logements, aux typologies variées, s’adaptent à différents modes de vie. L’organi sation en cinq entités distinctes favorise l’appro priation par les habitants, tout en assurant une cohérence d’ensemble.
Le projet propose ainsi une réponse architectur ale sensible, contextuelle et évolutive, qui conjug ue mémoire du lieu, performance environnemen tale et qualité de vie.
Réinterprétation de la façade d’origine
DE WIART
Localisation : Jette
Budget : 18.000.000 euros
Mission au sein du bureau MDW
Chef de projet - Etablissement du dossier de soumission et adjudication.
Projet :
Le projet s’insère dans un intérieur d’îlot dense à Jette, le long de l’avenue Carton de Wiart. Il vise à libérer le sol pour créer un jardin collectif tout en conservant des éléments du bâti industriel existant. Trois bâtiments à rue redéfinissent le front bâti, tandis que trois entrepôts aux structures variées sont préservés à l’intérieur de l’îlot, témoignant de la mémoire du lieu.
La radicalité des circulations apporte de la cohérence à cette multiplicité de situations bâties. Toujours positionnées à l’extérieur, les circulations se situent à chaque fois du côté intérieur de l’îlot. Elles créent une transition entre les sphères collectives et privées en gardant un regard constant sur le jardin. Par différents systèmes, tels que cages d’escaliers en façade, coursives extérieures, elles deviennent des belvédères sur le jardin collectif.
L’attention se porte également sur les cheminements piétons. Quatre porches donnent l’accès aux habitants et offrent porosité et perspectives. Ils font le lien entre la ville et le cœur d’îlot, tout en jouant un rôle pour la vie communautaire, en devenant des lieux où l’on dépose son vélo et l’on accède aux locaux publics. Ainsi, les cinq bâtiments de logements s’organisent autour d’un grand jardin collectif avec différentes possibilités d’appropriation. Au cœur de ce jardin, l’un des entrepôts existants devient un espace communautaire sur trois niveaux en occupant une place stratégique.
Tous les logements sont traversants, favorisant ainsi l’éclairage naturel et des vues différenciées. Pour s’adapter aux différents schémas familiaux, des typologies de logements allant du studio au trois chambres s’imbriquent. En rez-de-chaussée, les appartements sont positionnés en bel étage pour offrir davantage d’intimité.
Afin de rendre cohérente cette compilation de bâtiments, le choix se porte sur un langage commun des matériaux de façades et des circulations extérieures. Les façades revendiquent leur sobriété avec une surface uniforme de briques aux teintes claires, tandis que les ferronneries sont thermolaquées bleues. Les circulations sont ainsi clairement identifiables et deviennent des éléments sculpturaux qui composent le paysage de l’intérieur d’îlot.
Ce langage se décline : sur les bâtiments rénovés, différenciçant le déja là des nouveux bâtiments. Dans la continuité de cette méthode, le nouvel espace communautaire se démarque et démontre sa nouvelle fonction, grâce à son langage assumé de briques blanches et ses menuiseries thermolaquées rouge. Ainsi, toute l’expression architecturale du projet œuvre à la mise en scène de ses habitants, elle vise à leur offrir des espaces appropriables qui les place au premier plan de l’architecture qu’ils habitent.
Bâtiments démolis - Bâtiments transformés en logements
Construictions neuves -immeuble d’appartements
CARTON
Site industrielle - situation existante
ZAZA
Localisation : Rwanda
Budget : 140.000 euros
Mission au sein du bureau EDA-AU:
Mission complète + gestion et coordination des entreprises sur place
Récompenses :
Lauréat du prix Duyver 2021 et lauréat du grand prix d’architecture de Wallonie.
Projet :
“L’édifice est implanté en retrait de la route principale pour ménager un espace d’accueil par une rampe d’accès et diviser le terrain en deux sous-espaces, le jardin pédagogique à l’avant et la cour de récréation à l’arrière.
Le volume est positionné selon les axes cardinaux avec une orientation Nord-Sud pour les façades percées pour éviter le rayonnement direct du soleil dans les espaces intérieurs. Les pignons sont aveugles car exposés en pleine course du soleil dans l’axe Est-Ouest.
Des murs de soutènement, longés d’une large rampe, forment la transition de la déclivité du terrain pour rejoindre l’entrée. Cette dernière est traversante, relie la cour avec le jardin et sépare les classes des espaces de services et des logements des enseignants.
La toiture à deux pans s’incline vers l’axe central pour recueillir les eaux de pluie . Cette eau est distribuée par un réseau gravitaire dans les étages inférieurs. Le trop-plein des eaux de pluie est rejeté sur le pignon du côté de la rampe d’accès.
La dalle de sol repose sur un massif en pierre drainant et ventilé.
Une large gaine technique rassemble tous les tuyaux d’égouttage et d’adduction d’eau, et permet un accès en toiture pour l’entretien du chéneau. La ventilation hygiénique des sanitaires se fait par simple dépression via cette cheminée.
Dans les murs, un dispositif parasismique constitué d’un réseau de chaînage horizontal et vertical en béton armé est liaisonné aux fondations et aux planchers.
La structure porteuse verticale est en maçonnerie de terre cuite locale (avec procédé de combustion à base de biomasse) dont le format et l’appareillage permettent une économie de 50% de ciment par rapport au système classique. Le creux central du mur présente des avantages d’isolation contre la surchauffe, de passage de câbles et de conduites, et de réservations pour le chaînage en béton armé, la brique servant de coffrage perdu.
La structure porteuse horizontale est constituée de voûtes en briques qui s’appuient sur des poutres treillis métalliques (tubes et barres en acier) qui franchissent, dans les classes, des portées de 7m sans béton de ciment. Pour les plus petites portées, ce sont des
ET D'ÉDUCATION A RWAMISHIBA, RWANDA BUREAU : EDA-AU ARCHITECTE : ARND AMAND
PROJET: ZAZA - FOYER DE REMÉDIATION ET D'ÉDUCATION A RWAMISHIBA, RWANDA BUREAU : EDA-AU ARCHITECTE : ARND AMAND
PROJET: ZAZA - FOYER DE REMÉDIATION ET D'ÉDUCATION A RWAMISHIBA, RWANDA BUREAU :
PROJET: ZAZA - FOYER DE REMÉDIATION ET D'ÉDUCATION A RWAMISHIBA, RWANDA BUREAU : EDA-AU ARCHITECTE : ARND
tubes perforés pour ventilation
tubes perforés pour ventilation
poutre treillis portant les voûtes en briques et assurant la ventilation des classes
poutre treillis portant les voûtes en briques et assurant la ventilation des classes
FRAIS AIR CHAUD
AIR FRAIS
AIR CHAUD
fine dalle en béton armé, ép.6cm terre de terrassement damée poutre treillis portant les voûtes
fine dalle en béton armé, ép.6cm terre de terrassement damée poutre treillis portant les voûtes
poutre treillis portant les voûtes en briques et assurant la ventilation des classes
poutre treillis portant les voûtes en briques et assurant la ventilation des classes
AIR FRAIS
AIR CHAUD
AIR CHAUD
tubes perforés pour ventilation AIR FRAIS
tubes perforés pour ventilation
-fine dalle en béton armé, ép.6cm -dalle de contreventement en béton armé, ép. 10cm -terre de terrassement damée -voûtes en briques posant sur poutre treillis
-fine dalle en béton armé, ép.6cm -dalle de contreventement en béton armé, -terre de terrassement damée -voûtes en briques posant sur poutre treillis 0 1
COUPES DETAIL
COUPES DETAIL
CASTEL
Localisation : Woluwe-Saint-Lambert
Budget : 1.200.000 euros
Mission au sein du bureau EDA-AU : Mission complète.
Projet :
L’intervention consiste en une rénovation, transformation et extension d’une maison bruxelloise construite par l’architecte Lambin en 1933. Une architecture marquée par ses façades en briques et céramiques et des espaces généreux proposant de grandes hauteurs sous plafond.
Le projet tente de mettre en exergue cet héritage à travers une circulation verticale marquée par un escalier central autour duquel s’articule les différends espaces de la maison.
La façade avant est rénovée de manière à conserver au mieux le patrimoine existant. La réhausse s’implante en retrait de la façade et se veut discrète afin de laisser le volume principale prédominer.
En façade arrière, la nouvelle brique de façade habille jusqu’à la cours anglaise, la terrasse et la passerelle. Des nichoires ont été intégrés dans l’épaisseur des murs afin d’offrir un logis au oieseaux du quartier.
A l’intérieur, une attention particulière est portée sur la matérialité en confrontant des finitions brutes et naturelles à des éléments neufs et parachevés. Le soucis du détail se porte jusqu’au dessin et la conception des meubles du séjours, des chambres et salles de bains.
La pièce maitraisse du projet est l’escalier central réalisé en béton apparent voligé en sous-face, avec un garde-corps hélicoïdal en acier patiné. Cette même matérialité se retrouve à divers endroits du projet et permet ainsi d’homogénéiser l’écrite architecturale intérieure.
Coupe longitudinale
Détail de principe
PHOENIX SOLO
Localisation :
Auderghem, Chaussée de Wavre
Budget :
350.000 euros
Mission au sein du bureau EDA-AU : Mission complète.
Projet :
Comment se réapproprier une dent creuse ? Comment construire une maison unifamiliale sur moins de 4m de large et comment apporter suffisamment de lumière naturelle tout en préservant une certaine intimité ? Comment habiter le long d’une chaussée fréquentée accompagnée de nuisances sonores ?
Le projet tente de répondre à ces différentes problématiques urbaines et repense la manière traditionnelle d’habiter. Les espaces diurnes sont aménagés aux étages avec un accès direct au jardin suspendu. Ceci permettant de s’éloigner de l’espace publique et de gagner un maximum de lumière et d’ensoleillement. La prise de hauteur sert également à dégager des vues vers l’extérieur sans vis à vis. L’habitation est pensée la plus compacte possible. Un escalier central dessert des demi-niveaux. Chaque espace servant est revalorisé et optimisé.
La façade est complétement vitrée de manière à amener un maximum de lumière naturelle au plus profond de l’habitation. Ce mur rideau oblige la pose de garde-corps. Cet élément fonctionnel se démultiplie et en devient un élément constitutif à multiple usage. La géométrie de cette double peau composée de fer et de verre permet par l’inclinaison des cadres, de réverbérer le son de la rue, d’éviter les éblouissements et de lutter contre la surchauffe. Les vitres translucides permettent quant à elle de préserver une certaine intimité et empêchent les vis à vis depuis la rue.
Enfin, une attention particulière est portée sur la lumière naturelle et la matérialité.
SUR TERRE COMME SUR MER
En ville ou en pleine nature, sur terre ou sur mer, il y a toujours de bonnes raisons pour aller plus loin, découvrir et apprendre de nouvelles choses !