‘ indEpENdENCIa ‘
, Es , “ OTRa CosA “ !!! !!!
Diego de Velázquez , loS

12.El Pueblo santo de Dios participa también de la función profética de Cristo, difundiendo su testimonio vivo sobre todo con la vida de fe y caridad y ofreciendo a Dios el sacrificio de alabanza, que es fruto de los labios que con fi esan su nombre (cf. Hb 13.15). La totalidad de los fieles, que tienen la unción 1 Jn 2,20 y 27), no puede equivocarse cuando cree, y esta prerrogativa peculiar suya la esta mediante el sentido sobrenatural de la fe de todo el pueblo cuando «desde los Obispos fieles laicos» [22] presta su consentimiento universal en las cosas de fe y costumbres. Con este sentido de la fe, que el Espíritu de verdad suscita y mantiene, el Pueblo de Dios se adhiere indefectiblemente «a la fe confiada de una vez para siempre a los santos» (Judas 3), penetra más profundamente en ella con juicio certero y le da más plena aplicación en la vida, guiado en todo por el sagrado Magisterio, sometiéndose al cual no acepta ya una palabra de hombres, sino la verdadera palabra de Dios (cf. 1 Ts 2,13).
Lumen gentium, 12
La Iglesia es la Esposa de Cristo
796 La unidad de Cristo y de la Iglesia, Cabeza y miembros del cuerpo, implica también la distinción de ambos en una relación personal. Este aspecto es expresado con frecuencia mediante la imagen del esposo y de la esposa. El tema de Cristo Esposo de la Iglesia fue preparado por los profetas y anunciado por Juan Bautista (cf. Jn 3, 29). El Señor se designó a sí mismo como "el Esposo" (Mc 2, 19; cf. Mt 22, 1-14; 25, 1-13). El apóstol presenta a la Iglesia y a cada fiel, miembro de su Cuerpo, como una Esposa "desposada" con Cristo Señor para "no ser con él más que un solo Espíritu" (cf. 1 Co 6,15-17; 2 Co 11,2). Ella es la Esposa inmaculada del Cordero inmaculado (cf. Ap 22,17; Ef 1,4; 5,27), a la que Cristo "amó y por la que se entregó a fin de santificarla" (Ef 5,26), la que él se asoció mediante una Alianza eterna y de la que no cesa de cuidar como de su propio Cuerpo (cf. Ef 5,29):
«He ahí el Cristo total, cabeza y cuerpo, un solo formado de muchos [...] Sea la cabeza la que hable, sean los miembros, es Cristo el que habla. Habla en el papel de cabeza [ex persona capitis] o en el de cuerpo [ex persona corporis]. Según lo que está escrito: "Y los dos se harán una sola carne. Gran misterio es éste, lo digo respecto a Cristo y la Iglesia."(Ef 5,31-32) Y el Señor mismo en el evangelio dice: "De manera que ya no son dos sino una sola carne" (Mt 19,6). Como lo habéis visto bien, hay en efecto dos personas diferentes y, no obstante, no forman más que una en el abrazo conyugal ... Como cabeza él se llama "esposo" y como cuerpo "esposa" (San Agustín, Enarratio in Psalmum 74, 4: PL 36, 948-949).
GUerRa … eS ;;;
oTrA ;;;
cOSA !!! !!! !!! !!! !!! !!! !!! !!!
La , gUeRra DE ‘ iNDEpeNDEnCIA
[1808-1815 ; Congreso de Viena] , ResULtÓ , en , LA , ` PrÁCticA ´ uNA dE lAs “ cOnsIdErAcIonEs “ mÁs
tIRANO dE ‘ lArgO , ALcaNcE pReNSA dE tOdA EuROPA !!! !!! !!! !!! !!!
nApOLeÓn ( 1769 - 1821 ) BonaPArTE , ‘ CIudADAnO dE lA rEPÚblIcA !!! !!! !!! !!! !!! !!! !!! !!!
lA cODicIA de TAntOs Y, tAnTOs , “ arREGLOS , cOn , lAS , cOrtES y / o 1
PRíNCipEs dE LA IgLesIA , + nObLEZA ‘ AlTisonAnTE ‘ + EJÉRciTOS cOn ` BAjA
AUtOeStIMA ´ + PrENSa , de “CorTE , — ArIstOCRÁtIcO — “ + sAnTA SEdE , dE
‘ cLArÍSimO sABOr “
cLaUdIcAnTE
!!! !!! !!! !!! “ + esTAdOS dE
“ parECeREs , “ OpuEstOS !!! !!! “ “ + ,,, ,,, ,,,
La providencia y las causas segundas
306 Dios es el Señor soberano de su designio. Pero para su realización se sirve también del concurso de las criaturas. Esto no es un signo de debilidad, sino de la grandeza y bondad de Dios todopoderoso. Porque Dios no da solamente a sus criaturas la existencia, les da también la dignidad de actuar por sí mismas, de ser causas y principios unas de otras y de cooperar así a la realización de su designio.
UNa COsA eSTÁ cLarA : nApOLEÓn , boNapArTe , “ iNStRUmEntALIzÓ “ lA vIDA & ` EXisTeNcIA ´ dE lOS sÍmBOlOS y uSOs + COstUmbREs / TRaDicIOnES “AL , MÁS “ ALtO , niVEl “ “ + UN , “ JuicIO — HIsTórIcO — , SIEmPrE
FaVORaBLe ,” DE dEsÓRDeNES + ` pROsTiTUCIonES , dE “ lUJO , — “ a , lA “ fRAnCesA “ “ “ + iNVasSIoNeS ‘ dE ` TOdO , tIpO ´ ´ + ,,, ,,, ,,, ,,, ,,,
[142] El tercero, considerar el sermón que les hace, y cómo los amonesta para 1 echar redes y cadenas; que primero hayan de tentar de codicia de riquezas, como suele, ut in pluribus, para que más fácilmente vengan a vano honor del mundo, y después a crecida soberbia De manera que el primer escalón sea de riquezas, el segundo de honor, el tercero de soberbia, y destos tres escalones induce a todos los otros vicios.
Ecclesiam suam. Enero 2025. Núm. 57
Concordat de 1801
CONVENTION ENTRE SA SAINTETÉ PIE VII ET LE GOUVERNEMENT
FRANÇAIS
Le Gouvernement de la République reconnaît que la religion catholique, apostolique et romaine est la religion de la grande majorité des citoyens français.
Sa Sainteté reconnaît également que cette même religion a retiré et attend encore en ce moment le plus grand bien et le plus grand éclat de l’établissement du culte catholique en France, et la protection particulière qu’en font les Consuls de la République.
En conséquence, d’après cette reconnaissance mutuelle, tant pour le bien de la religion que pour le maintien de la tranquillité intérieure, ils sont convenus de ce qui suit :
Art. 1er. La religion catholique, apostolique et romaine sera librement exercée en France : son culte sera public, en se conformant aux règlements de police que le Gouvernement jugera nécessaire pour la tranquillité publique.
Art. 2. Il sera fait par le Saint-Siège, de concert avec le Gouvernement une nouvelle circonscription des diocèses français.
Art. 3. Sa Sainteté déclarera aux titulaires des évêchés français qu’elle attend d’eux avec une ferme confiance, pour le bien de la paix et de l’unité, toute espèce de sacrifices, même celui de leurs sièges. D’après cette exhortation, s’ils se refusaient à ce sacrifice, commandé par le bien de l’Église (refus, néanmoins, auquel sa Sainteté ne s’attend pas), il sera pourvu par de nouveaux titulaires au gouvernement des évêchés de la circonscription nouvelle, de la manière suivante :
Art. 4. Le premier Consul de la République nommera, dans les trois mois qui suivront la publication de la bulle de Sa Sainteté, aux archevêchés et évêchés de la circonscription nouvelle. Sa Sainteté conférera l’institution canonique suivant les formes établies par rapport à la France avec le changement de gouvernement.
Art. 5. Les nominations aux évêchés qui vaqueront dans la suite seront également faites par le premier Consul, et l’institution canonique sera donnée par le SaintSiège, en conformité de l’article précédent.
Art. 6. Les évêques, avant d’entrer en fonctions, prêteront directement, entre les mains du premier Consul, le serment de fidélité qui était en usage avant le changement de gouvernement, exprimé dans les termes suivants : « Je jure et promets à Dieu, sur les Saints Évangiles, de garder obéissance et fidélité au Gouvernement établi par la Constitution de la République française. Je promets aussi de n’avoir aucune intelligence, de n’assister à aucun conseil, de n’entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique ; et si, dans mon diocèse ou ailleurs, j’apprends qu’il se trame quelque chose au préjudice de l’État, je le ferai savoir au Gouvernement. »
Art. 7. Les ecclésiastiques du second ordre prêteront le même serment entre les mains des autorités civiles désignées par le Gouvernement.
Art. 8. La formule de prière suivante sera récitée à la fin de l’office divin, dans toutes les églises catholiques de France : Domine, salvam fac Republicam. Domine, salvos fac Consules.
Art. 9. Les évêques feront une nouvelle circonscription des paroisses de leurs diocèses, qui n’aura d’effet que d’après le consentement du Gouvernement.
Art. 10. Les évêques nommeront aux cures. Leur choix ne pourra tomber que sur des personnes agréées par le Gouvernement.
Art. 11. Les évêques ne pourront avoir un chapitre dans leur cathédrale et un séminaire pour leur diocèse, sans que le Gouvernement s’oblige à les doter.
Art. 12. Toutes les églises métropolitaines, cathédrales, paroissiales et autres, non aliénées, nécessaires au culte, seront mises à la disposition des évêques.
Art. 13. Sa Sainteté, pour le bien de la paix et l’heureux rétablissement de la religion catholique, déclare que ni elle ni ses successeurs ne troubleront en aucune manière les acquéreurs des biens ecclésiastiques aliénés, et qu’en conséquence, la propriété de ces mêmes biens, les droits et revenus y attachés, demeureront incommutables entre leurs mains ou celles de leurs ayants cause.
Art. 14. Le Gouvernement assurera un traitement convenable aux évêques et aux curés dont les diocèses et les cures seront compris dans la circonscription nouvelle.
Art. 15. Le Gouvernement prendra également des mesures pour que les catholiques français puissent, s’ils le veulent, faire en faveur des églises des fondations.
Art. 16. Sa Sainteté reconnaît, dans le premier Consul de la République française les mêmes droits et prérogatives dont jouissait près d’elle l’ancien gouvernement.
Art. 17. Il est convenu entre les parties contractantes que, dans le cas où quelqu’un des successeurs du premier Consul actuel ne serait pas catholique, les droits et prérogatives mentionnés dans l’article ci-dessus, et la nomination aux évêchés, seront réglés, par rapport à lui, par une nouvelle convention.
Les ratifications seront échangées à Paris, dans l’espace de quarante jours.
Fait à Paris, le 26 Messidor de l’an IX de la République française.
( Suivent les signatures . )
‘
tRaTadO , de “ RESOnANCiA , UnIVErSAL “ ‘ qUE , ` A , TOdAS , lAs NACIoNES “ eScANDaLIZó !!! !!! !!! “ ´ + Y , ` “ CUyA , ReSpUeSTa — el , COngREsO , DE , VieNA — [ 1815 , cOnfEdERAcIÓn gERmÁnIcA !!! !!! !!! ] ,
nO , “ sUpO , dar ` rESpUEsTA ´ “ !!! !!!
!!! !!! !!! !!!
sAtÁnIcA