• L'EAU : des yeux et des oreilles, en plus d'une mémoire ?
• Testez vos prédispositions médiumniques
Pour une cuisine au-delà de la cuisine
Une cuisine souriante, simple, lumineuse et légère pour célébrer le temps de manger !
Formée en restauration gastronomique européenne, la cheffe italienne Sara Bussetti propose aussi une cuisine holistique et de « santé », à domicile.
Sara voue un soin particulier à l’harmonisation énergétique de ses préparations. Autrement dit, elle pratique son art dans le respect de l’aliment et de l’être humain.
Elle aime également honorer le passage des saisons et le féminin sacré.
En résultent des créations originales, conçues selon vos goûts et vos attentes.
Depuis la gastronomie jusqu’à la plancha, Sara assure la réussite de repas (anniversaires, événements, ateliers et autres, sur assiette, banquet ou buffet).
GASTRONOMIE VIBRATOIRE
Cheffe et enseignante de cuisine +41 79 739 95 41 sarabussetti@gmail.com
A la découverte des chakras supérieurs 13
TEST
Avez-vous des prédispositions médiumniques ?
Premiers bourgeons de l’Académie chakras
Les chakras et l'abondance
Portraits : Eric Silbermann et Françoise Bon
Deux nouvelles formations : • Guérison énergétique appliquée et • médiumnité pratique
L'EAU : des yeux et des oreilles en plus d'une mémoire ?
et plus encore…
IMPRESSUM
Gratitude & Bienveillance : une publication de Revitalis, Sandra-M. Burkhardt
R ESPONSABLE DE LA PUBLICATION : Sandra-M. Burkhardt
R ÉDACTEUR EN CHEF : Grégoire Montangero
RÉDACTION : Sandra-M. Burkhardt, Grégoire Montangero et Georges Duchauderon
ABONNEMENTS : CHF 30.—, 4 éditions par année, port et donation de CHF 5.— à l’Association pour la Sauvegarde du Léman compris.
A DMINISTRATION , RÉDACTION ET PUBLICITÉ : Revitalis – Sandra-M. Burkhardt Grande Rue 25 CH-1844 Villeneuve (Vaud) www. academie-revitalis.cch contact@academie-revitalis.ch
Afin d’optimiser la lisibilité, la rédaction a privilégié l’usage du masculin.
REVITALIS s’engage à verser CHF 5. — par abonnement annuel au profit de l’Association pour la Sauvegarde du Léman (organisme franco-suisse, de référence scientifique, apolitique, à but non lucratif et reconnu d’utilité publique).
Abonnez-vous à Gratitude & Bienveillance : CHF 30.—/an pour 4 numéros, frais de port inclus.
www.bit.ly/magazineGB ou :
AVIS DE NON-RESPONSABILITE
Les informations présentées dans ce magazine sont fournies à titre informatif uniquement. Elles ne doivent en aucun cas remplacer un avis médical professionnel, un diagnostic ou un traitement. En cas de problème de santé, nous encourageons les lecteurs à consulter des professionnels qualifiés pour obtenir des conseils adaptés à leur situation personnelle.
L’équipe éditoriale décline toute responsabilité quant à l’exactitude, l’exhaustivité ou la pertinence des informations fournies. Les lecteurs sont invités à exercer leur discernement et à consulter des experts avant d’entreprendre toute action basée sur le contenu de cette publication. Les lecteurs assument l’entière responsabilité de l’utilisation des données et des conseils présentés dans ce magazine. En aucun cas, la rédaction ne pourra être tenue responsable d’éventuelles conséquences découlant de l’application des informations contenues dans ces pages.
Sandra-Michèle Burkhardt fondatrice de Revitalis contact@academie-revitalis.ch
Une publication sur Instagram m’a interpellée. Il s’agit d’une métaphore. Celle-ci compare la vie à un simple crayon à papier. Une parabole si jolie que je ne peux résister à l’envie de vous la conter.
Le clip présente un homme vêtu d’un costume trois pièces, lunettes rondes sur le nez, tenant un crayon entre ses doigts. A son accent, il s’agit d’un Américain, mais j’en ignore le nom. Filmé en noir et blanc, il relève les analogies entre cette tige de bois équipée d’une mine et l’existence humaine. Surprenant ? Pas tant que cela ! Voyez plutôt : pour qu’un crayon écrive, il faut en tailler la pointe. Un geste simple à nos yeux. Mais – qui sait ? – une action douloureuse si le crayon concerné s’avérait doué de vie.
L’histoire de notre existence ne se trace pas sans douleur. De temps en temps, un bon coup de taillecrayon doit affûter la mine qui écrit notre destinée. Cela fait, nous progressons à coups d’essais et d'erreurs. Autant de gribouillis d’où, à force, finit par émerger un motif, du sens, un parcours – notre vie.
L’important consiste à continuer à nous affûter. Tel est le prix à payer pour laisser une trace de valeur. Et surtout pour s’élever. Car évoluer au « ras du sol » n’est guère réjouissant. Tout l’intérêt du « voyage » réside dans le fait d’accéder à des plans supérieurs, à se connecter à « plus haut et plus grand que soi ». Royale, la voie chakrale y conduit. Puissent les éclairages qu’en donnent ces pages vous inspirer.
Par ailleurs, Revitalis étend – déjà ! – sa sphère d’action. Deux volets – Guérison énergétique appliquée et Médiumnité pratique – complètent désormais la partie dévolue à la maîtrise des chakras.
De la pointe du crayon au pic de l'esprit
Séparément, combinées ou en plus de l’étude des charkras, ces formations ouvrent sur les dimensions « supérieures » évoquées ci-dessus. Des articles vous en diront davantage.
Guérison énergétique appliquée : curieux intitulé. En effet, nous ne guérissons pas ! Nous favorisons, par la maîtrise de l’énergie, le fait que le corps – les corps ! – se régénère d’eux-mêmes. Posséder un tel savoir réduit le stress. Cela peut remédier à des douleurs physiques et mentales. Un cheminement pas à pas, progressif et clair, que l’on intègre jusqu’à ce que cette connaissance appartienne à notre modus operandi quotidien.
La médiumnité pratique va encore un cran plus loin. Elle touche à la spiritualité dont les chakras supérieurs sont un élément. Elle établit des connexions concrètes avec les vivants, les défunts et notre être intime. Elle nous conduit à un royaume de connaissance et de savoir insoupçonnés. Qui plus est, sans passer par le mental. La finalité de ces deux volets ? Aider autrui et s’aider soi-même ! Servir et faire du bien autour de soi bénéficie à tout le monde. Ainsi, par notre seule présence, les gens autour de nous vont mieux.
Ces deux formations conféreront un gain d’espace à qui les suivra. Elles inciteront à relativiser nos soucis. Car assimiler de tels savoirs de tout temps et aussi fondamentaux, nous dote d’un je-ne-sais-quoi au parfum d’essentiel. Lequel nous accompagnera jusqu’à notre dernier souffle. N’est-ce pas une belle façon de tailler son crayon pour laisser une trace de valeur dans le grand livre de notre vie ?
Françoise Bon Nutritionniste diplômée, alimentation énergétique, yoga de la nutrition (harani yoga) www.bon-bio.fr francoisebon49@gmail.com
Bénédicte Graf Aromathérapeute diplômée et experte en huiles essentielles, conférencière, auteure www.quintessentielles.com bg.quintessentielles@gmail.com
Grégoire Montangero rédacteur en chef, responsable pédagogique contact@academie-revitalis.ch
Monique Roon Art-thérapeute diplômée et reconnue par l’ASCA www.creart-therapie.ch info@creart-thérapie.ch
Joan Vazquez
Communication et stratégie numérique joan.vazquez@protonmail.com
En forêt
Carine Roth Sylvothérapeute (bains de forêt), guide de thérapie par la nature et la forêt, écothérapeute diplômée, www.ceuxdici.ch carine@ceuxdici.ch
Lise Weidman
Experte en dépendance et addiction, médium, praticienne de chamanisme, énergéticienne www.espace-addiction.ch lweidmann@bluewin.com
Claude Bravi
Praticien de chamanisme et de breathwork (respiration consciente), coach et mentor info@adifferenttouch.ch
L’EQUIPE DE L’ACADEMIE
Réhane Zobrist
Yogathérapeute certifiée, spécialiste du yoga des chakras, physiothérapeute et sexologue clinicienne diplômée rehanezobrist@hotmail.com
Guillaume La Rosa
numérologue, praticien de chambre à tachyons lvdc.contact111@gmail.com la-voie-du-changement.ch
Florian Moll
Radiesthésiste, ami des minéraux et des esprits de la nature www.alchimistedesmineraux.ch info@alchimistedesmineraux.ch
Eric Silbermann
Spécialiste du Dien Chan agréé, orthobionomiste, acupressure, magnétiseur, qi gong santé www.avotresante.ch eric.silbermann@gmail.com
Avez-vous des compétences en matière d’énergie, de chakras, de guérison et de médiumnité ou autres ? Débordez-vous de passion pour votre domaine et le partage de votre savoir ? Souhaitezvous collaborer avec une équipe bienveillante, éthique et désireuse d’aider ses semblables ?
Adressez dès maintenant votre candidature et vos motivations à : contact@academie-revitalis.ch.
ECHOS ET REFLETS
Premiers bourgeons de l’Académie des chakras
L’Académie internationale des chakras a démarré ses formations. Témoignages d’un début de parcours intense, inspirant et nourrissant.
Amour et gratitude
« Fluidité, lâcher-prise, faire confiance et amour, amour, amour !
J’ai trouvé Sandra inspirante. De ce week-end, je retire l’importance de remercier la vie encore davantage. »
— R. Z. (enseignante et participante)
Vers une transformation
« J’ai beaucoup aimé le breath work (trWWavail sur le souffle) : un bel outil pour poursuivre mon cheminement intérieur.
Grâce au module de sylvothérapie, j’ai affiné mes ressentis de la nature. Travailler sur les chakras nous pousse hors de notre zone de confort. Cela bouscule, mais dans le bon sens ! Après des moments pas évidents, de belles prises de conscience et un changement d’état d’être m’attendaient. »
— G. L. R. (participant)
Des braises sous les cendres
« Qu’il est doux de revivifier notre enfant intérieur sous ses multiples aspects. La vie adulte nous rend bien trop sérieux. La joie, le jeu, la création sommeillent sous les cendres. Il suffit de souffler sur les braises pour que reprenne le feu. »
— G. M. (participant)
Une véritable « journée Kleenex » !
« Je ne m’attendais pas à ce que de belles émotions et des libérations puissent me faire pleurer autant !
Une véritable « journée Kleenex » !
Cette formation passionnante s’est révélée très immersive ; avec un groupe uni et des partages forts en émotions… La pratique de la confiance et du lâcher-prise : quelles super expériences ! Pareil pour les méditations guidées et les séances de yoga. L’amour et la gratitude entre nous étaient palpables – un délice. De quoi bien progresser sur le plan personnel.
Merci pour tant de bienveillance. »
— J. L. (participante)
Wow !
« Quellle diversité de gens qui, tous, ont fait preuve de courage ! J’ai adoré l’intensité et les beaux échanges vécus ! »
— Claude Bravi (animateur)
ECHOS ET REFLETS
Donner des clés à son enfant intérieur
« L’exercice « regarder l’âme » a été mon moment préféré. Rien que deux personnes, les yeux dans les yeux, sans barrière ni jugement. Très fort. Cette initiation aux chakras m’a déjà fourni des clés concrètes. De quoi mieux m’aligner et rester dans des énergies positives. Le module sur le chakra sacré a réveillé mon enfant intérieur. L’importance de donner libre cours à ma propre créativité m’est apparue. Dans la foulée, la nécessité de passer davantage de temps à dessiner, peindre et créer avec ma fille s’est imposée avec douceur. Quel début prometteur ! »
— M. G. (participante)
S’écouter, se lâcher et s’accorder du temps à soi
« Pas facile d’oser laisser « couler » ses émotions et de les exprimer devant des inconnus. Je ne pensais pas y arriver. Mais j’ai réussi à faire
Yin, yang et « rencontre d’âmes »
« En plus d’appréhender les chakras, j’ai fait du yoga – une première ! En deux journées, j’ai compris que la force existe la souplesse et que l’infiniment petit et l’immensément grand sont la compatibles. J’ai aussi obtenu des réponses par rapport à mes dépendances. D’où une meilleure compréhension de mon fonctionnement et de celui de mes proches. S’est ajoutée une « rencontre d’âmes » aussi inattendue que troublante. Je repars en portant un autre regard sur moi-même et sur autrui. »
— K. E. E. (participante)
confiance et à me faire confiance. Et à accepter les compliments ainsi que l’amour de soi. Autant de (re) découvertes ! Le mélange théorique, pratique et physique de la séance de yoga a rendu concret ce chakra. La proposition de m’écrire une lettre, contenant un message comme je ne l’avais jamais fait, m’a plu. C’était bon de prendre ce temps pour me connecter à moi–même. Merci à Sandra pour sa générosité et sa bienveillance »
— A. B. (participante)
Samantha et l’histoire des « fayertaoairs »
Une façon d’expliquer le soi supérieur ou higher self et de se frotter au monde subtil.
Samantha, femme mûre et infatigable globe-trotter, est, en quelque sorte, la « sorcière » bien-aimée de Martin, son filleul, adolescent curieux de tout.
Longue chevelure rousse, yeux verts à la fois rieurs et perçants, elle rayonne comme personne avec son sourire immense. Elle a tellement connu et reconnu de gens, vécu d’aventures, visité de lieux, senti et ressenti de choses, dévoré des tonnes de livres, expérimenté tout et son contraire qu’elle semble avoir eu mille vies. Une femme étonnante, vraiment. De retour d’un séjour aux USA, Martin ne résiste pas à lui demande :
— Tu es allée à New York ?
— J’en reviens !
— S’il te plaît, raconte-moi cette ville !
— Pas question ! New York ne se raconte pas ! C’est le poumon de l’Amérique. Ou son cœur, comme tu voudras. C’est de là que tout pulse, vibre et palpite. Tout a été dit sur elle, mais tant que tu n’y seras pas allé, tu n’en sauras rien : New York, on doit la palper ! lâcha-t-elle pour toute explication.
Un peu déçu, un peu frustré, Martin tenta une autre approche dans l’espoir d’en savoir plus :
— Parle-moi au moins de ton New York !
— Ce ne serait qu’un pâle reflet de ce qui t’attendra là-bas. Un reflet déformé par le filtre de mes sentiments, qui plus est. Tu t’en ferais une idée colorée par mes dires. Deux capitales sur terre ne sont pas des villes mais des mondes : New York et Tokyo. Or, le monde ne se raconte pas ni ne se résume. Il se vit.
— Tu ne me laisses donc pas d’autre issue que de prendre l’avion et découvrir la Big Apple par moimême ? Avança-t-il pour tenter de l’amadouer.
— L’aborder par la mer est une approche écologique et la plus belle ! Avec lenteur, la skyline de
Manhattan s’imposera à toi, petit Suisse qui en restera bouche bée ! dit-elle en souriant de toutes ses dents, ce qui en disait long sur sa satisfaction à lui avoir cloué le bec.
Martin allait se faire une raison lorsque Samantha reprit :
— En revanche, je veux bien te dire deux trois choses de l’Etat de New York.
— C’est vrai qu’il y a la ville et l’Etat…
— Et comme l’arbre peut cacher la forêt, la mégalopole masque l’Etat qui est pourtant 179 fois plus vaste qu’elle…
— Alors, je t’écoute car, autant l’avouer, je ne sais rien sur le sujet.
Samantha commença par des généralités en se gardant bien de l’ennuyer :
— Figure-toi que la frontière, à l’est de ce territoire, s’étend en ligne droite depuis le nord de la ville jusqu’au Canada !
— Ah ! C’est pour ça que les hivers new-yorkais peuvent être si froids et si neigeux ? dit-il naïvement.
— Très juste ! Moins de 550 kilomètres séparent Montréal ou Toronto de New York. Mais attends, il y a mieux, poursuivit-elle. Peux-tu me citer une grande ville du State of New York ?
— Hélas, j’en suis incapable… avoua-t-il.
— Pourtant je suis certaine que tu en connais : Rochester ?
— C’est vrai ! C’est le siège de Kodak, la ville de l’industrie de la photo prénumérique !
— Tu vois ! Et Syracuse ?
— Ville universitaire !
— Bingo !
— Je l’imaginais située ailleurs, dut-il admettre.
— Bien joué ! fit Samantha acquiesçant du menton.
— Et Buffalo ?
— … Bien sûr ! Ville toute proche des chutes du Niagara, ça me revient ! s’exclama Martin.
— Exact ! En plus, pour toi qui aimes l’architecture, elle possède quantité de bâtiments conçus par Frank Lloyd Wright ! Maintenant, c’est là que cela devient amusant, souffla-t-elle en se frottant les mains : saistu que cinq petites villes de l’Etat portent le nom d’une capitale européenne ?
— Ça ne m’étonne pas, répondit-il ! Les Américains adorent faire ça ! Il y a un Paris au Texas, un London au Kentucky, un Bern au Kansas et un Basel en Indiana, si je me souviens bien. C’est ce que j’ai le mieux retenu de mes leçons de géographie – pas très utile, mais amusant !
— Tu m’apprends quelque chose ! Bien joué, fit à son tour Samantha. C’est un peu pareil ici : l’Etat de New York comprend des cités qui ont pour nom Amsterdam, Geneva, Potsdam, Rome et Sidney ! Sauf que la plus peuplée, Rome, n’abrite que 32 000 habitants et la plus petite, Sidney, seulement 3 700 âmes !
— Ils sont fous ces Américains ! ne put s’empêcher de s’exclamer Martin. Continue !
L’aînée calma ses ardeurs :
— Tu dois surtout savoir que c’est un Etat d’une assez petite surface pour les USA, même s’il est presque deux fois plus grand que la Suisse ! Et, surtout, qu’il est fort boisé. Plus de la moitié de son territoire se compose de forêts.
— Soit, répondit Martin. Et pourquoi est-ce si important ?
— Parce que, j’ai connu un bûcheron, là-bas…
— Avec qui tu as vécu une histoire passionnée ? fit Martin, ravi à l’idée d’apprendre une affaire de cœur de Samantha.
— Pas du tout ! s’esclaffa celle-ci ! Ce que je vais te dire relève de la sphère professionnelle et spirituelle !
— Original ! Je ne connaissais pas ce registre.
— Mon ami avait mis au point un moyen pour s’éviter de devoir sillonner des milliers de kilomètres de forêt chaque année, tout en effectuant sa tâche au
mieux. Mais cela ne fonctionnait qu’à condition qu’un collègue, garde forestier, travaille toujours en binôme avec lui. Et c’est là que cela devient intéressant !
— C’est-à-dire ?
— A bord de leur Jeep, ils allaient d’une fire tower à l’autre…
— Une « fayertaoaire » ? Qu’est-ce que c’est pour une bestiole ?
— Une tour d’incendie ! Il y en a dans tous les Etats très boisés. Ces édifices font entre 18 et 30 mètres de haut. De leur sommet, on peut observer l’ampleur, la direction et la progression des feux de forêts afin de décider des mesures à prendre.
— Et donc ? encouragea Martin.
— Le bûcheron restait au volant. Le garde forestier, lui, gravissait les escaliers métalliques. De la cabine d’observation couverte, il scrutait les arbres alentour à l’aide de jumelles d’approche. L’inclinaison anormale d’un tronc, certaines taches sur les feuillages ou autres signes de maladie lui dictaient quels arbres abattre. Il en informait alors son collègue resté au sol au moyen de leur walkie-talkie. Puis il le guidait jusqu’au pied de l’arbre en question.
— Comme un GPS vivant !
— Si tu veux ! Pour moi c’est une illustration du moi supérieur ou higher self…
— Encore, exulta Martin ! Je n’ai jamais rien compris à ça !
— La dernière fois qu’on en a parlé, tu étais sans doute un peu trop jeune…
— Mais, dit comme ça, tout s’éclaire, répliqua Martin. La voix et la vision de l’un, qui perçoit plus large, depuis « plus haut et plus loin », guide l’autre qui est « sur le terrain », aux prises avec les réalités de la vie, les accidents de parcours, la vue à court terme et les tracas du quotidien !
— Tu as tout juste, fit Samantha.
Sur sa lancée, Martin continua :
— Donc, le moi supérieur sait, voit et guide de façon neutre et objective. Sauf que dans la vraie vie, cette double perception s’adresse à un seul individu et non à deux !
Samantha le félicita à nouveau. Mais Martin se rembrunit :
— Et tu fais comment pour que ton higher self daigne adresser la parole à la Samantha-au-ras-despâquerettes ?
— D’une part, je médite, lâcha-t-elle radieuse. D’autre part, je tends l’oreille, j’affûte mon sixième sens…
— … Plus facile à dire qu’à faire… lança Martin.
— C’est vrai. Mais cela commence par cesser de penser : « je rêve… », « j’hallucine ! », « je suis en train de me faire un film, rien ne me permet d’affirmer que… » « j’entends des voix… », alors que ton higher self est sans cesse en connexion avec toi ! Contrairement au système de walkie-talkie de mon ami bûcheron, le mode de communication ne tombe jamais en panne, à moins que tu ne te « bouches » les oreilles ou… les chakras ! j GM
A la découverte des chakras supérieurs
En Occident, le mot chakra n’évoque pas grand-chose. On a pu tomber sur une illustration. Ou l’on a entendu : « Des cercles colorés, le long de la colonne vertébrale ? » Ou encore : « Les sept centres énergétiques du corps ? »
Autant d’à-peu-près qui résument la connaissance usuelle du sujet. Bref, peu de gens savent que cinq chakras supérieurs (au moins) complètent les sept principaux. Un domaine à explorer pour qui souhaite dépasser les limitations de la condition humaine.
Une « petite maison » dans l’univers
Les sept chakras principaux sont comme les composantes d’une maison. Chacun représente une partie importante de l’être physique, mental, émotionnel et spirituel que vous êtes.
Le 1er chakra, le chakra racine, constitue les fondations indispensables à tout édifice.
Le 2e chakra, le chakra sacré, est la salle de séjour de votre demeure intérieure. L’espace où la créativité, la passion et les émotions s’expriment librement.
Le 3e chakra, celui du plexus solaire, est la chaufferie du logis. En ce lieu, frémissent l’énergie et la vitalité qui alimentent votre corps et votre esprit.
Le 4e chakra, le chakra du cœur, est l’autel domestique ; le temple de l’amour inconditionnel et de la compassion où l’on nourrit nos relations et notre connexion avec autrui et la Création.
Le 5e chakra, celui de la gorge, est votre bureau privé. Là, communication authentique et expression de soi trouvent leur voix. Là, votre propre vérité peut se manifester.
Le 6e chakra, celui du troisième œil, est une terrasse ouvrant sur un vaste horizon. Ce point de vue favorise votre clarté mentale et votre intuition. De cet endroit, vous développez votre vision intérieure, laquelle guide vos choix et votre perception du monde environnant.
Le 7e chakra, dit chakra couronne, est une pièce entièrement vitrée, même au plafond, située sur le
toit. Elle reçoit les rayons du soleil et de la lune. Le lieu idéal pour développer votre lien spirituel.
Dimensions inexplorées de l’être
Cette belle construction n’est pas « sous vide ». Elle s’inscrit dans le grand Tout. Cinq chakras supérieurs forment l’espace autour d’elle. Ils transcendent1 et enveloppent les chakras principaux. Ils interagissent avec ces derniers à un niveau subtil. Ce faisant, ils dépassent – et de beaucoup – les limites de nos « quatre murs ».
Ainsi pourrait-on comparer le 8e chakra, intitulé chakra de l’Âme étoilée, à la lueur des astres.
Le 9e, le chakra de la Galaxie, serait la voie lactée.
Le 10e chakra, le chakra Universel, serait l’horizon infini où le ciel et la terre se rencontrent. Il symbolise la conscience universelle et notre place dans le grand schéma des choses.
Le 11e chakra, ou le chakra divin, serait le soleil, irradiant de lumière divine, pour représenter l’éveil spirituel le plus élevé.
Enfin, le 12e chakra, le chakra de l’Unité, serait l’ensemble de la Création sans début ni fin.
Ainsi considéré, notre « chez-soi » occupe sa juste place. D’objet de toute notre attention et de tous nos soins, il devient une « petite maison » dans l’univers. « Et c’est tant mieux, explique Sandra Michèle Burkhardt. Car les chakras supérieurs nous ouvrent à plus vaste, plus haut et plus beau encore. »
EXPLORATION
Frapper à la porte des cieux
Parfois, la simple prise de conscience de l’existence de ces chakras suffit à les activer. Mais, le plus souvent, nous devons y travailler. Méditation, exercices, pratiques spécifiques s’imposent pour déployer leur potentiel. L’effort en vaut la peine. Les expériences mystiques relèvent de ces chakras. « Ils nous réservent des états d’être insoupçonnés et une sagesse hors-norme, précise Sandra. On expérimente notre lien au Grand Tout. Le temps et l’espace disparaissent. Notre essence divine se révèle. »
La découverte des chakras supérieurs remonte à la spiritualité hindouiste millénaire. Aujourd’hui, en Occident, certaines thérapies holistiques (globales) puisent dans cette connaissance. Mais souvent sans le savoir. Cependant, ces techniques ne font qu’« effleurer » le sujet. Elles ne visent pas à en exploiter toute la richesse. Ni à nous y connecter de façon durable. « Dommage ! dit Sandra, car ceux-ci peuvent nous réserver l’accomplissement spirituel de toute une vie. »
Le 8e chakra : une lumière pour l’âme
Sutara, le nom de ce chakra, se traduit par Étoile de l’Âme ou Étoile sainte. Il se situe à environ 30 centimètres au-dessus de notre tête. Ce chakra nous connecte à des sphères supérieures (guides, archanges) indispensables pour prodiguer des soins ou faire du chanelling. « En plus, c’est une sorte de phare spirituel. L’activation de ce chakra
nous invite à poursuivre notre ascension et notre développement. »
Puisque nous sommes uniques, l’action de l’Étoile de l’Âme diffère pour chacun. Véritable catalyseur de courage et d’inspiration, il nous incite à dépasser les limites de notre réalité quotidienne. C’est le guide qui nous encourage à explorer les horizons inexplorés de notre être.
A cela s’ajoutent d’autres vertus. Ce chakra a la capacité de chasser les nuages de tristesse, le sentiment d’abattement ou la déprime.
Un moyen de l’activer consiste à entonner le mantra sacré « Om Shanti Om ». Ces mots signifient : « La paix de l’énergie de Dieu2 ». La simple sonorité et la vibration de « Om Shanti Om » engendrent une énergie paisible et douce. Ce chant restaure l’harmonie. Il a la faculté d’apaiser nos tourments terrestres.
En cas de déséquilibre de ce chakra, le temps qui passe semble prendre le contrôle notre existence. On se lance dans des courses contre la montre. Mais le temps nous fait sans cesse défaut. La vie paraît nous filer entre les doigts. Ce même déséquilibre accroît notre soif de savoir rationnel. D’où nos difficultés à accéder aux plans supérieurs de la conscience. Dès lors, on rejette l’inexplicable. Notre perception de la réalité se cantonne au plan matériel. Pourtant, ce chakra est un portail dimensionnel.
Le 9e chakra : la clé de l’harmonie
Ce chakra s’appelle « Hara », ce qui se traduit par mer d’énergie. L’idéalisme et l’harmonie sont ses domaines. Pour Sandra : « C’est le gardien spirituel du désir de perfectionnement. » Il guide l’âme vers une vision élevée de la réalité. De lui découle toute quête d’harmonie. De lui naissent nos élans à dépasser les discordes terrestres et notre quête d’équilibre divin.
Déséquilibré, ce chakra induit des troubles du diaphragme et de la respiration. Sur le plan spirituel, il peut engendrer un idéalisme démesuré ou une recherche obsessionnelle de perfection.
Notre capacité d’atteindre l’harmonie, l’équilibre et la paix de l’âme relève de ce chakra. C’est lui qui nous appelle à surmonter les obstacles et à nous dépasser.
Le 10e chakra : lien avec Terre et ancêtres
Le chakra « Vasundhara » signifie Étoile de la Terre ou Fille de la Terre. Son rôle est crucial dans l’harmonie entre le corps et l’âme, selon Sandra. Il forme le lien suprême entre notre essence terrestre et notre âme en quête de transcendance.
Situé à environ 30 cm sous nos pieds, ce chakra nous ancre dans l’énergie de la Terre.
Sandra précise : « Selon des traditions chamaniques millénaires, il établit la connexion avec les os des ancêtres, le règne minéral, ainsi qu’avec le peuple des fées. »
De ce chakra dépend notre compréhension de la conscience collective humaine. Notre héritage génétique et les mémoires séculaires de notre parcours spirituel sont aussi de son ressort. Il est le gardien des racines familiales qui influencent notre être actuel. Celles-ci influent sur nos choix. Elles insufflent également l’énergie vitale transmise par les liens du sang.
En équilibre, le chakra Étoile de la Terre éveille en nous une vive compassion. Nous devenons des messagers de l’amour. Nous dispensons tendresse et gentillesse à notre entourage. Ce chakra ravive notre désir inné de prendre soin d’autrui, élan propre à l’amour maternel. Notre besoin d’affection s’apaise. Nos blessures familiales et transgénérationnelles guérissent.
Le mantra « Om Mani Padme Hun », « Om, le joyau dans le lotus », exprime la pure compassion. Le répéter durant une méditation nous unit à l’énergie d’ancrage et d’enracinement de l’Étoile de la Terre. D’où un meilleur lien à Gaïa, la Terre Mère.
Le 11e chakra : la conscience de l’unité
Chakra de l’Unité ou de l’Ascension, ce centre énergétique nous conduit à fusionner avec la Source. Il agit comme une porte. Une porte qui débouche sur des réalités supérieures, bien au-delà des limites physiques. Rien d’étonnant que ce chakra n’ait pas de localisation précise. Il s’étend autour de nos limites corporelles.
Son domaine est le contrôle des forces. Il assure l’harmonie entre les énergies naturelles et surnaturelles.
Ce chakra offre un accès privilégié à l’énergie universelle, à la mémoire cosmique et à des niveaux de compréhension élevés. Lui seul nous connecte à une conscience cosmique. De lui dépendent nos états mystiques, notre accès aux mystères de l’existence. On lui doit la compréhension de l’unité de toutes choses. Son dysfonctionnement peut entraîner des problèmes conjonctifs (peau), de mains et de pieds. De cela peuvent provenir des difficultés relatives au pouvoir et à l’autodétermination. De même que
l’incapacité à unir notre esprit individuel avec l’univers infini.
Equilibré, le 11e chakra favorise notre élévation spirituelle, voire notre union avec la Source. Dans un tel cas, nous pouvons ressentir un flux d’énergie universelle s’écouler en nous. Ou encore éprouver un sentiment d’unité avec le Tout, un état où le temps et l’espace semblent abolis.
12e chakra : le lien au divin
Chakra de la Divinité : un nom qui en dit long. C’est le centre énergétique de notre lien au divin. Sans lui, pas de conscience spirituelle supérieure. En effet, il assure le lien entre le corps physique, l’âme individuelle et la divinité.
En tant que portail vers le divin, le 12e chakra dépasse, lui aussi, comme le 11e, nos limites charnelles.
Les dysfonctions de ce chakra entraînent toutes sortes de problèmes. Mais ceux-ci s’illustrent de façon unique pour chaque individu. Comme s’il avait pour mission de nous fournir une expérience taillée « sur mesure » et riche de sens pour nous seuls.
Son bon fonctionnement gomme les frontières entre les niveaux d’existence. Quintessence de l’éveil spirituel, il nous conduit à la paix intérieure, à la sagesse et à la conscience des réalités divines.
7+5 = ∞
Rien de tel qu’équilibrer les sept chakras pour améliorer une existence humaine. Ancrage, confiance en soi, bonté, altruisme, expression de notre être véritable, perceptions extrasensorielles et spiritualité figurent au programme.
Mais élargir notre spectre afin d’inclure les cinq chakras supérieurs peut nous propulser encore plus loin. Car de ceux-ci dépendent le dépassement de la condition humaine et l’accès à des plans spirituels insoupçonnés.
Bien sûr, le programme de l’Académie couvre également les chakras 8 à 12. Mieux, il propose des exercices concrets pour les activer. Passer d’une séduisante théorie à un nouvel état d’être est possible. Un état d’être d’une portée insoupçonnable et que les mots ne décrivent qu’avec peine. A vivre et à déguster ! j GM
1. Le terme transcendance (du latin transcendens ; de transcendere, franchir, surpasser) indique l’idée de dépassement ou de franchissement.
2. Ou de la Source ou du Créateur.
Les chakras et l’abondance
Subtils et invisibles, tels sont les chakras. Selon la très ancienne tradition hindoue, ces centres énergétiques régissent les fonctions de notre corps. Ils nous donnent aussi accès au monde spirituel. Le chakra racine, en particulier, assure notre ancrage et notre stabilité. Mais pas seulement. Il peut également influencer notre rapport à l’argent, notre santé financière et l’abondance dans notre vie. Tour d’horizon.
Le premier chakra (muladahra, en sanscrit) porte bien son nom : mula signifie racine et adahra soutien.
Sur un plan symbolique, on peut comparer ce centre énergétique aux racines d’un arbre. D’une part, il nous connecte à la Terre mère. Telle est l’une de ses fonctions essentielles. Ses qualités dominantes sont la densité, la solidité et la stabilité. De ce fait, notre sentiment de sécurité et de stabilité, physique, mentale ainsi que financière, dépend de ce chakra. Pourtant, comme les autres chakras, il n’appartient pas au corps
physique. Il reçoit, transforme et redistribue l’énergie cosmique, ou l’esprit qui pénètre la matière.
Si ce premier chakra fonctionne bien, ces aspects ne nous attireront pas de soucis notables. Sinon, des perturbations apparaissent. Financières, entre autres. Un chakra racine suractivé peut engendrer une obsession de sécurité matérielle. Ou une crainte excessive de manquer. Ou encore de l’avarice ou une tendance à accumuler richesses et biens sans réel plaisir. Un chakra sous-actif induit une insécurité constante. Difficultés financières chroniques
DECOUVRIR
et incapacités à assurer nos besoins matériels fondamentaux risquent de survenir.
Le pourquoi du comment
Les dysfonctionnements du chakra racine remontent souvent à notre histoire personnelle. Enfants, nous absorbons ce qui nous environne. De fréquents déménagements, le divorce de nos parents ou un climat anxieux à la maison peuvent miner notre sécurité. Pareil, si des soucis d’argent polluaient l’ambiance familiale. L’irresponsabilité financière de notre père, par exemple. Ou les angoisses de notre mère qui disposait de trop peu d’argent pour pouvoir nourrir son petit monde. Les effets d’une faillite retentissante dont on parlait à table ont pu nous inquiéter. Idem pour la dépendance au jeu d’un oncle ou d’une tante.
De telles expériences peuplent notre subconscient. Elles influencent 95 % de nos comportements, décisions et croyances limitantes. Les tensions vécues risquent de nous inciter à conclure : « l’argent est la cause de tous les problèmes » ou « je ne mérite pas la richesse ». Et, par voie de conséquence, perturber notre chakra racine.
Certes, d’autres facteurs peuvent nuire à l’abondance et aboutir à des problèmes financiers. Mais les pratiques spirituelles et méditatives apportent une aide certaine. Elles améliorent le bien-être mental et émotionnel. De telles dispositions d’esprit favorisent une spirale ascendante. Elles concourent à
des changements positifs. Car nous posons un autre regard sur nos difficultés ; nous récupérons force et énergie ; et nous entrevoyons des issues.
Une étude scientifique de 2015 a démontré que la méditation pouvait réduire le stress et l’anxiété, améliorant ainsi la qualité de vie1. Des recherches ont révélé les effets bénéfiques du yoga et du taichi sur la santé mentale et physique. Ces disciplines réduisent le stress et augmentent la sensation de bien-être général . Ainsi, la science confirme ce que les Orientaux savent depuis des millénaires.
Quelques solutions concrètes
Notre mode de vie moderne tend à nous couper de nos racines. Au point qu’il a fallu inventer les notions de « bain de forêt », de « sentiers sensoriels », et la sylvothérapie pour nous faire renouer contact avec l’élément terre… Cependant, la nature est notre meilleure alliée pour rétablir notre lien avec la Terre nourricière.
La prescription tient en quelques mots : passez du temps dehors, marchez pieds nus dans l’herbe, et méditez sous un arbre majestueux. Simples mais puissantes, ces pratiques nous connectent à des énergies régénératrices et ravivent notre essence terrestre.
Yoga ou tai-chi peuvent également accroître notre ancrage. Un meilleur ancrage aligne notre chakra racine. D’où une présence plus équilibrée et une attitude plus positive. Ces méthodes contribuent
à nous centrer. Grâce à elles, nous faisons mieux l’expérience du « ici et maintenant ». De ce fait, on domine un problème plutôt de le laisser nous envahir. Ce seul point de vue extérieur favorise l’émergence de solutions.
Appliquer ces remèdes au quotidien peut modifier notre relation à l’argent. Nous relèverons les défis financiers avec calme et résilience. L’abondance pourra se manifester dans tous les aspects de notre vie.
Prendre soin du chakra solaire
En plus de réguler le chakra racine, il est important de prendre soin du chakra solaire (manipura ou joyau resplendissant). Celui-ci représente le feu. Et le feu chauffe, brûle et réduit ce qu’il consume à ses composants de base. Chakra de l’émotion et de la colère3, il régit notre estime de soi et notre puissance personnelle. Le dysfonctionnement de cet « organe » transformateur peut perturber notre rapport à l’abondance. Des pensées comme « le succès, ce n’est pas pour moi », « je n’aurai jamais d’argent » ou autres, finissent par prendre forme. Une fois devenues obstacles, adieu l’abondance… A moins de résoudre cela au moyen d’affirmations positives, de visualisation créatrice et de travail sur notre propre estime. « Longtemps, l’argent m’a donné des boutons ! Le domaine tout entier me répugnait, raconte un étudiant de l’Académie des chakras. Devoir « faire » de l’argent, était pour moi, une nécessité
dont je me serais volontiers passé. Et ne pas en « avoir » me provoquait des maux de ventre et des prises de tête… Bref, cela me grignotait de l’intérieur comme cela avait pollué la vie de mes parents. Contre toute attente, m’intéresser aux chakras m’a amené à modifier ma conception de l’argent ! Depuis, je n’éprouve plus d’émotions négatives à ce sujet et… je n’ai plus de problème en la matière. » Vous aussi allez expérimenter l’abondance. Comme tout le monde, vous méritez cela. Car si l’argent ne fait pas le bonheur… il y contribue ! j SMB
1. Goyal, M., Singh, S., Sibinga, E. M., Gould, N.F., Rowland-Seymour, A., Sharma, R., … & Haythornthwaite, J. A. (2014). Meditation programs for psychological stress and well-being : a systematic review and meta-analysis. JAMA Internal Medicine, 174 (3), 357-368.
2. Cramer, H., Lauche, R., Langhorst, J., & Dobos, G. (2012). Yoga for depression : a systematic review and meta-analysis Depression and Anxiety, 30 (11), 1068-1083. Ainsi que Wang, C., Collet, J. P., & Lau, J. (2010). The effect of Tai Chi on health outcomes in patients with chronic conditions : a systematic review. Archives of Internal Medicine, 170 (9), 831-841.
3. D’un point de vue technique, la colère est également liée, dans une moindre mesure, au chakra racine.
l’abondance financière
Choisissez un endroit calme et confortable. Fermez les yeux. Prenez quelques respirations profondes pour vous centrer. Puis exprimez (mentalement ou à voix haute) les affirmations suivantes, en les ressentant avec intensité dans tout votre être :
1. Ma connexion à la terre est solide et stable.
2. Je mérite l’abondance financière dans ma vie.
3. Je suis ouvert·e à recevoir l’argent et la prospérité.
4. Je libère toute peur ou blocage lié à l’argent.
5. Je suis reconnaissant·e pour les richesses qui affluent dans ma vie.
6. Mon existence est sécurisée et soutenue par l’univers.
7. Je suis enraciné·e dans l’ici et maintenant, prêt·e à recevoir toutes les bénédictions de la vie.
8. Je suis digne de prospérité et de succès dans tous les aspects de ma vie.
9. Je libère tout attachement à la crainte du manque et je choisis de vivre dans l’abondance infinie de l’univers.
10. Chacune de mes actions me rapproche de mes objectifs financiers et de mon épanouissement personnel.
Répétez ces affirmations avec conviction et intention chaque jour,
de préférence au réveil et juste avant de vous endormir. Imprégnez votre esprit et votre cœur de ces phrases. Visualisez qu’une lumière rouge (symbole de l’énergie équilibrée de votre chakra racine) vous entoure et vous relie solidement à la Terre. Imaginez que cette lumière rouge attire l’abondance financière avec aisance et gratitude. Une pratique régulière renforcera votre connexion à l’énergie de l’abondance. Elle instaurera en vous un sentiment nouveau de sécurité. Un rapport plus fluide en matière de finances. L’abondance que vous méritez sera au rendez-vous.
A l’écoute d’ERIC SILBERMANN
Praticien en réflexologie faciale vietnamienne (Dien Chan) et enseignant par nature.
Dans une « vie antérieure », Eric Silbermann était ingénieur en génie électrique. Il est devenu chef d’entreprise dans l’édition de logiciels. Il a également travaillé dans les télécoms et l’informatique. Autant d’activités dans lesquelles il a délivré des formations. Il est en outre au bénéfice d’un MBA en analyse compétitive des entreprises de haute technologie. Tout semblait le cantonner dans la « technique ». Or, un vieux rêve bourgeonnait en lui… Sa belle carrière ne comblait pas son désir d’aider ses semblables. Apprendre le Dien Chan auprès de l’auteur de cette approche méconnue – mais redoutable d’efficacité – a fait de lui le thérapeute qui, depuis quinze ans, se sent plus à sa place que jamais auparavant. Découvrir et étudier l’ortho-bionomy (sorte d’ostéopathie) l’a conduit sur sa voie actuelle.
Ainsi, l’ingénierie électrique mène à tout…
Adolescent, je souhaitais devenir médecin. Aider, remédier aux douleurs et contribuer à la joie de vivre d’autrui m’a toujours habité. Les hasards de la vie m’ont aiguillé ailleurs jusqu’à ce qu’à l’âge de 48 ans, je connaisse une période de chômage. Les réponses à mes candidatures m’ont révélé que, sur ce marché, je passais déjà pour un « vieux »… Mon idéal de jeunesse a alors ressurgi. Certes, il était trop tard pour étudier la médecine ou même l’ostéopathie. J’ai considéré la réflexologie plantaire. Mais, au début, je ne me voyais pas travailler sur les pieds des gens. En revanche, la réflexologie faciale oui. Les points spécifiques et les protocoles de cette approche ont séduit l’ingénieur en moi ! Un stage a achevé de me convaincre. Cette semaine de formation impliquait de donner un soin gratuit. Une infirmière s’est présentée. Elle se plaignait de ses jambes lourdes. Elle avait mauvaise mine, se sentait épuisée. Après quelques minutes, elle souriait, ses yeux brillaient. A
peine debout, elle a esquissé quelque pas de danse ! Elle venait d’expérimenter un vrai soulagement. Sans tarder, je suis parti me perfectionner au Vietnam auprès du fondateur de la méthode. Ensuite, j’ai ouvert mon cabinet et n’ai cessé de me former en Dien Chan et autres thérapies.
Pourquoi avoir rejoint l’académie des chakras ?
Ecouter Sandra m’a fait prendre conscience de l’interaction possible entre réflexologie faciale et chakras. D’ordinaire, le Dien Chan n’exploite pas le lien implicite avec les chakras. Il m’a paru intéressant de creuser cet aspect. D’autant plus qu’un des fondements du Dien Chan repose sur la notion de tui : « ça dépend », en vietnamien. Autrement dit, toujours adapter le traitement au patient, à ce qu’il ressent, au moment de la journée – bref, à quantité de paramètres. De ce fait, si trois patients souffrent d’un problème identique, on ne le traitera pas de la même façon. Leur contexte spécifique, leur niveau d’énergie, entre autres, dicteront des approches spécifiques au praticien. Pareil si l’on consulte trois thérapeutes pour un même patient : chacun pourra emprunter des chemins différents et néanmoins le soulager. Le « ça dépend » exclut le juste ou le faux – du moment que l’on obtient un résultat positif, bien sûr !
Quel rapport entre le Dien Chan et les chakras ?
Tout étant énergie, combiner ces deux approches va faire des étincelles ! Pouvoir « scanner » les chakras fournira des indices au thérapeute. Il posera de meilleures questions à ses patients d’où un traitement plus adapté.
Quelle est ta promesse à qui suivra ta partie au sein de l’académie des chakras ?
Le visage reflète l’ensemble du corps. Donc, en stimulant les zones adéquates, on peut procurer du bien-être ainsi qu’une relaxation physique, mentale
et émotionnelle certaine. De simples rudiments de Dien Chan peuvent déjà soulager. Les tissus se relâchent. Peu à peu, les bienfaits s’amplifient. La douleur diminue, voire disparaît.
Dans le cadre de l’académie, je vais transmettre un protocole. Celui-ci permet d’accroître les défenses immunitaires et de réduire le stress. Il aide à mieux dormir, apaise les chocs émotionnels et les douleurs physiques. L’organisme se détoxique. Les tensions musculaires, les blocages dus aux faux mouvements et les inflammations s’atténuent. Bien sûr, le Dien Chan ne traite pas tout, mais c’est un bel outil, qui complète bien la connaissance des chakras.
Enseigner : une autre façon d’aider ?
Oui, je m’y consacre avec enthousiasme et en y mettant le moins d’ego possible.
C’est-à-dire ?
L’important est que les étudiants puissent appliquer le sujet pour se soulager eux-mêmes et faire du bien autour d’eux. En tant qu’enseignant, je ne suis qu’un « passeur ». Et en tant que thérapeutes, je pense que nous devons être au service du patient. Mais la réussite du traitement repose sur les prises de conscience de ce dernier, sur sa responsabilisation et sur son cheminement personnel. j GM
A la rencontre de FRANÇOISE BON
Nutritionniste « connectée
aux aliments » et « passeuse » de longue date.
Nutritionniste holistique, Françoise Bon s’attache à transmettre la dimension sacrée de la nutrition. Autodidacte, Françoise a fini par décider de suivre une formation officielle et obtenir son diplôme de nutrition. A 60 ans ! « Pour me sentir légitime. » Mais sans jamais renier son essence.
Pourquoi enseigner à l’Académie des chakras ?
Ma première rencontre avec Sandra m’a convaincue ! Elle m’a expliqué sa conception entre alimentation et chakras. D’emblée, j’ai senti que nous étions sur la même longueur d’onde. J’ai aimé son écoute, son respect, sa sincérité. Donc, me voici !
Alimentation et chakras : une notion qui vous habite depuis un moment ?
Je n’avais pas établi de lien direct. Mais la nutrition influe sur les plans subtils. Il m’a suffi de puiser dans mon expérience pour concevoir un cours dans ce sens.
Dont on retirera…
La dimension subtile de l’alimentation. Son aspect sacré. Sa capacité à « nourrir » nos chakras et nos corps énergétiques. Une belle occasion de dépasser les seules préoccupations de santé et de poids. L’opportunité, également, d’affiner notre rapport avec ce monde vibratoire. Car la nourriture n’est rien d’autre que vibration. Mon souhait est de réenchanter l’acte de cuisiner et de manger.
Comment vous y prenez-vous ?
En mariant les saveurs pour qu’elles fassent envie, procurent de la joie, donnent une sensation pétillante, « titillent » toutes nos cellules. Les gens réclament du bio et c’est tant mieux. Ce que je propose va bien au-delà. L’important, c’est le vivant, le vibrant. Je tente donc de réveiller l’antique notion de communion avec ce que l’on mange. De porter un autre regard
sur la nourriture. De revenir au sacré, à davantage de conscience. Voilà le cœur de ce que j’enseigne.
Joie, communion, conscience, sacré : quels mots !
A 17 ans, les enseignements des Esséniens (mouvement du judaïsme, prospère dès le IIe siècle av. J.C., NDLR) et leurs aliments « biogéniques » – qui donnent la vie – m’ont interpellée. Je suis alors devenue végétarienne. Une évidence pour moi. Dans la foulée, j’ai compris que l’alimentation serait ma voie. Depuis mes 25 ans, j’ai potassé des centaines de livres de nutrition. Je prenais des notes, rédigeais des résumés, comparais tout et son contraire. Pour finir par conclure que se spécialiser, c’est s’éloigner de la simplicité. Et, souvent, oublier l’humain…
Comment tout a commencé pour vous ?
Une méningite a compliqué mon adolescence. Cela m’a empêchée de passer mon bac. Je ne savais pas vers quoi me diriger. Le médecin me préconisait le bon air de la montagne. La vie a alors réuni, aux Monts-de-Corsier, la petite Française que j’étais avec une grande Suissesse : Claire Bon, experte dans l’art de cuisiner « vivant ». Là s’est dessinée ma trajectoire. Son fils est devenu mon mari ! Et Claire mon « maître » en cuisine. Mais elle n’était pas vraiment pédagogue. J’allais recourir à mes yeux pour l’observer. Une rude école ! Elle me faisait mettre la main à la pâte, c’est le cas de le dire ! Découvrir par moi-même. Apprendre par essai et par erreur. Regarder et ressentir. Un vrai chemin initiatique inspiré par les ouvrages d’Omraam Mikhaël Aïvanhov qui m’ont comblée. Dès lors, je n’ai cessé de grandir. J’ai compris mon histoire. J’ai évacué mes croyances limitantes. J’ai cessé de penser que je ne valais rien. Ma force de vie s’est révélée. Il me fallait en prendre soin. La soigner, la nettoyer, la purifier, au quotidien. Comme le Petit Prince s’occupe de sa
rose. Ma façon à moi de contribuer au monde. En toute humilité. En toute discrétion.
Une « mission » laïque en quelque sorte ?
En tant qu’humains, nous faisons l’expérience de la séparation. Nous nous fâchons avec nos semblables. Nous entrons en guerre à plus ou moins grande échelle. Si l’on aspire à la paix, les mots sont vains. Seuls comptent les actes. A nous de diffuser de l’harmonie, du respect, de la douceur, à notre façon et à tous les niveaux. Se contenter de malbouffe, détester manger ou se goinfrer sans conscience : c’est ajouter de la disharmonie. « On est
ce que l’on mange » a dit quelqu’un. De plus, notre « véhicule » a besoin d’une vraie nourriture vivante, qui l’élève. Mon rôle sur cette terre passe par la cuisine. Je ne peux y échapper.
Seriez-vous une idéaliste de la nutrition ?
De l’alimentation vivante, oui. Doublée d’une férue de la dimension subtile de la vie. Une femme de foi dont la conviction se traduit en cuisine. j GM
Deux
nouvelles formations
: Guérison énergétique appliquée et médiumnité pratique
En plus de l’Académie internationale de chakras, Revitalis propose deux formations plus brèves : guérison énergétique appliquée et médiumnité pratique. Sandra-Michèle Burkhardt, l’âme de ces cursus, nous en parle.
Formée en guérison énergétique et en médiumnité, Sandra a souhaité partager ces savoirs « qui changent la vie pour le meilleur ». Lumière sur deux nouveaux cours.
Raconte-nous la genèse de ces compléments à l’Académie des chakras…
Les volets de guérison et de médiumnité m’habitent depuis le lancement de Revitalis. Mais il faut un début à tout. En l’occurrence, j’ai commencé par proposer du coaching individuel articulé sur les chakras. Les succès remportés en la matière m’ont encouragée à continuer, raison pour laquelle, je propose aujourd’hui encore ce service. Ensuite, j’ai conçu la formation de l’Académie des chakras. A cette fin, toutes sortes de professionnels, experts dans leur domaine, m’ont rejointe. Ceci lancé, j’ai finalisé les deux branches qui me tenaient à cœur. Ainsi, en enseignant ce qu’il faut savoir des chakras, de la guérison énergétique et de la médiumnité, Revitalis délivre ce que je m’étais promis de couvrir.
Trois branches qui se complètent et réunissent un savoir considérable…
Tout est énergie. Vraiment tout. L’univers, la Terre, le corps, les pensées. Nos sens nous trompent : la solidité et l’espace n’existent qu’à notre « niveau humain de perception ». Les expériences scientifiques les plus pointues démontrent qu’au plan subatomique, rien ne se touche, il n’y a que mouvement et vibration.
Cette compréhension explique mille aspects de la vie, de notre existence, des maladies et des soucis comme des expériences mystiques. Accéder à ces concepts et parvenir à opérer dans ces sphères apporte sérénité, certitude et confiance. On devient « plus vaste que soi » ! On peut alors agir à distance. On perçoit par des moyens extracorporels. On sait sans recourir au mental. Autant de sources de joie et de satisfactions qui comblent notre enfant intérieur et le plus sacré en nous.
Vaste programme ! Mais n’est-ce pas réservé à quelques heureux élus ?
Il s’agit là d’aptitudes innées, mais dormantes ! Le monde occidental n’y accorde plus d’importance depuis des siècles. On peut passer une vie entière sans y toucher. Rien d’étonnant que cela paraisse incongru
voire irréel. Pourtant, c’est là – j’allais dire à portée de main ! Comme les graines millénaires retrouvées dans les pyramides. A peine arrosées, elles se mettent à pousser comme au premier jour ! Chacun d’entre nous possède ces aptitudes « subtiles ». Nous avons tous la capacité de guérir par la seule force de notre intention et de l’énergie que l’on capte et canalise. Un médium réside en chacun de nous. D’ailleurs qui n’a pas vécu des moments de transmission de pensée ou su qui nous téléphonait ou nous envoyait un message ? Il ne tient qu’à nous de développer ce type de compétences. Et cela vaut la peine !
Un guérisseur énergétique ou un médium en devenir sommeille-t-il en chacun de nous ?
J’ai entendu parler d’un facteur qui s’est réveillé un beau matin, envahi par une conviction sans précédent pour lui : il fallait qu’il apprenne à dispenser des soins ! Une comptable a connu un parcours similaire. Elle a tout quitté pour se former et aider ses semblables à se sentir mieux.
On peut éprouver l’impression que notre vie actuelle n’a plus de sens. Ou qu’un changement germe en nous, qu’une transformation a lieu. Au début, il peut s’agir d’un sentiment indistinct. Mais cela finit toujours par se dessiner avec netteté.
Donc oui : quiconque ressent un « appel » à aider sur un plan subtil est un guérisseur énergétique ou un médium en devenir.
Y a-t-il des signes avant-coureurs ?
Le fait d’éprouver les émotions d’autrui comme si c’étaient les nôtres, par exemple. Ressentir ou avoir l’impression de « recevoir » des intuitions fortes. Ou encore, des sensations physiques lors de perceptions extrasensorielles : chair de poule, chaleur ou picotements soudains, etc. Ce ne sont là que quelques indices. Que les animaux et les enfants gravitent spontanément autour de nous est un autre signe, en général fiable. Et derrière tout cela, l’intime impression que notre vie va changer ou doit changer…
Que nous réserve l’étude de la guérison énergétique ou spirituelle ?
C’est une aventure, une vraie ! Une occasion de décoller de la réalité ordinaire ! Un voyage à la découverte d’un monde ignoré par notre vision si cartésienne du monde. Le sujet est aussi vieux que
CE QU’IL FAUT SAVOIR
l’humanité. Mais chez nous, on l’a gommé. Se reconnecter à ce monde ainsi qu’aux guides spirituels, aux anges et aux archanges, apporte des bienfaits significatifs à titre personnel et collectif.
Explique-nous…
Soi-même, on se met à comprendre nos propres énergies. On apprend à les harmoniser et à les amplifier. Agir dans ces sphères réserve des bonheurs sans nom. Notre quotidien prend un tout autre sens. C’est comme la découverte d’une nouvelle dimension.
Quant aux gens qui nous entourent, ils peuvent profiter de notre aide. Si l’on pratique avec respect et conscience de nos limites, on fait du bien autour de nous. Tout le monde y gagne.
L’art de renouer avec un héritage millénaire…
Exactement ! L’humanité a toujours compté sur de tels « dons » ou aptitudes pour réconforter et soulager ses semblables. Hippocrate, le père de la médecine, utilisait des méthodes qui, aujourd’hui,
trouvent un écho dans la conception holistique actuelle de la santé. Hildegarde de Bingen, au Moyen Âge, combinait herboristerie et soins énergétiques pour guérir. Les chamanes et les druides de diverses cultures recouraient à des techniques énergétiques pour restaurer l’harmonie et assurer la survie du groupe. Ces pratiques ont traversé les âges. N’estce pas la preuve de leur valeur et leur efficacité ? Et le fait que les hôpitaux sollicitent des « coupeurs de feu » et autres détenteurs de secrets, confirme que la science doit parfois admettre ses limites.
La formation de guérison inclut-elle la transmission des « secrets » ?
En effet, ces prières figurent au programme. Elles sont si efficaces ! Nous enseignons également des techniques de soins à distance.
Et en médiumnité, à quoi accède-t-on ?
La formation développe les perceptions. Des exercices pratiques nous font découvrir des choses cachées. On commence par les couleurs d’un jeu de cartes. Dans un premier temps, on apprend à « sentir » la couleur de la prochaine carte retournée : rouge ou noire. Très vite, on atteint des scores de réussite élevés. Lorsque l’on arrive à plus de 85 % de résultats justes pour 52 cartes, il ne s’agit plus de hasard ! On entraîne également la psychométrie, la lecture énergétique d’une personne. Là aussi, nous excluons le hasard en parvenant à « capter » quantité de caractéristiques d’une personne dont nous ignorons tout et qui ne parle pas. Yeux fermés, « antennes » déployées, nous apprenons à nous connecter à notre vis-à-vis. Tel un film, les images nous parviennent : le visage précis d’un conjoint, le détail des pièces du lieu d’habitation, la présence ou non d’enfants, les sentiments spécifiques entre les uns et les autres, les blessures et les traumatismes, les aspirations…
Demandez et vous recevrez, en somme ! Mais, à quelle fin ?
Ce savoir-faire concret fournit des outils et des techniques, bien sûr. Dans la foulée, on développe nos perceptions, notre capacité à focaliser notre attention. Mais le plus beau réside ailleurs : c’est une école d’humilité, donc de sagesse !
Au fond, nous ne sommes que des canaux. L’ego n’a pas sa place dans tout cela. Car favoriser la guérison et le bien-être de qui souhaite notre aide demande intégrité, bienveillance, compassion et respect. Pas de place pour notre importance personnelle là-dedans ! j GM
Testez vos prédispositions médiumniques CE
Chacun de nous possède des capacités médiumniques. Celles-ci sont plus ou moins développées. Voici un test pour estimer vos capacités extrasensorielles naturelles.
Si tel est le cas, tant mieux ! Sinon, rien de grave : ces aptitudes sont simplement « dormantes ». Rien, dans la vie courante, ne nous incite à les développer. En effet, notre culture ne valorise pas de tels dons. Dès lors, inusités, ils « somnolent ». Cependant, la médiumnité est une aptitude innée de l’humanité. Elle peut se « réveiller ». Des exercices y contribuent. Une certaine hygiène de vie également. Les cours de médiumnité de Revitalis enseignent cela. Et plus encore : ils réhabilitent votre propre médiumnité.
Pour l’instant, entourez les questions, qui vous inspirent un « oui » ou « plutôt oui » ou « parfois oui ». Le total obtenu vous indiquera où vous vous situez.
QUESTIONS
1. Rêves vifs : en état de veille ou dans votre sommeil, avez-vous des rêves très réels et qui se réalisent dans la réalité ?
2. Sens aiguisés : avez-vous l’impression de percevoir le monde avec une intensité et
une réalité qui vous surprend vous-même ?
3. Intuition forte : des intuitions s’imposent-elles à vous de façon si frappante qu’elles vous « dictent » certaines de vos décisions ?
4. Odeurs mystérieuses : avez-vous déjà perçu des odeurs ou des parfums inexplicables, surtout en lien avec des êtres chers décédés ?
5. Empathie extrême : ressentezvous les émotions des autres de manière si intense que vous avez l’impression qu’il s’agit des vôtres ?
6. Synesthésie : associez-vous parfois des personnes à des couleurs, des sons ou des paysages spécifiques ?
7. Visions d’événements futurs : avez-vous déjà prédit des événements, même insignifiants, qui se sont ensuite réalisés ?
8. Visions intérieures : avez-vous des visions soudaines et vives, comme des images ou des symboles ?
9. Psychométrie : pouvez-vous ressentir une « connexion » au contact d’objets (comme s’ils vous racontaient une histoire ou vous fournissaient des informations sur leur propriétaire) ?
10. Audition spirituelle : « entendezvous » des voix ou des sons inexpliqués qui semblent émaner
de votre esprit plutôt que de sources physiques ?
RÉSULTATS
• 0 à 2 « Oui » : vous avez peut-être une sensibilité accrue, mais votre médiumnité n’est pas optimale.
• 3 à 5 « Oui » : Vous présentez des prédispositions certaines. Travailler vos dons pourrait vous ouvrir de réjouissantes perspectives en matière de médimunité.
• 6 à 8 « Oui » : vos capacités sont manifestes. Une pratique structurée (exercices, hygiène de vie) pourrait les développer et faire de vous un médium.
• 9 à 10 « Oui » : votre médiumnité est certaine. Votre quotidien doit être peuplé de certitudes qui échappent à votre entourage. Vous opérez sans doute de façon très différente des autres.
Quel que soit votre score, vous pouvez accroître vos aptitudes médiumniques. Et cela en vaut la peine ! Votre existence s’en trouvera modifiée, pour le meilleur !
La formation en médiumnité de Revitalis vous réserve de grands progrès en ce sens. Songez-y si vous souhaitez ajouter du sel, du poivre et des graines de « magie » à votre quotidien ! j SMB
PRATICO-PRATIQUE
Code d’éthique du guérisseur énergétique et spirituel
Les formations en guérison énergétique appliquée et en médiumnité pratique de Revitalis souscrivent à des valeurs universelles et intemporelles. Cellesci s’inspirent du Serment d’Hippocrate, adaptées à ces deux domaines. « Adhérer à ce code est impératif. Il s’agit d’un devoir moral, explique SandraMichèle Burkhardt. C’est la base sur laquelle tout repose. »
1. Engagement et respect : en présence des forces universelles, des guides spirituels et de l’énergie bienveillante, nous nous engageons solennellement à respecter et honorer ce code éthique pour le bien de tous ceux que nous servons.
2. Respect de l’individu : nous respectons chaque individu et ses expériences uniques. Cette attitude inclut le respect inébranlable des croyances, des émotions et du parcours de vie de chacun. Ainsi peut s’instaurer un climat de confiance et de sécurité, essentiel à la guérison énergétique.
3. Partage du savoir et formation : nous nous engageons à transmettre nos connaissances et pratiques énergétiques avec intégrité et transparence à qui cherche à apprendre, tout en respectant la confidentialité et la dignité de chacun.
4. Bienveillance et harmonie : la bienveillance est au cœur de notre pratique. Chaque action et chaque intention visent à apporter réconfort et guérison.
Nous nous engageons à utiliser nos capacités énergétiques à seule fin de favoriser l’harmonie et le bien-être des personnes que nous aidons.
5. Non-malfaisance : nous nous abstenons de toute action ou intention susceptible de causer du tort ou de nuire à autrui. Nous nous assurons que nos pratiques sont exclusivement bienveillantes.
6. Pureté et intégrité : dans toutes nos interactions et traitements, nous nous efforçons de maintenir la pureté et l’intégrité de nos intentions et actions. Nous nous refusons toute forme de corruption ou d’exploitation.
7. Confidentialité et respect : la confidentialité constitue le pilier central de notre pratique. Toutes les informations partagées en séances de guérison demeurent strictement confidentielles. Cette discrétion assure la relation de confiance indispensable à un processus de guérison efficace et respectueux.
8. Respect des collègues et collaboration : nous traitons nos collègues guérisseurs et autres thérapeutes avec respect dans un esprit de collaboration. Nous partageons nos connaissances et soutenons le développement harmonieux de la communauté des guérisseurs.
9. Dévouement à l’humanité : nous nous dévouons pleinement à la guérison et au bien-être de nos clients. Notre engagement dépasse la simple application des techniques énergétiques. Il englobe une présence attentive et une intention sincère de
servir autrui dans sa quête de guérison.
10. Connexion spirituelle et énergétique : nous reconnaissons et honorons la connexion avec les guides spirituels, les anges, les archanges et les énergies de guérison. Nous les sollicitons pour apporter lumière et sérénité dans les vies que nous touchons.
11. Évolution personnelle et spirituelle : nous nous engageons à poursuivre notre propre croissance personnelle et spirituelle. Par ailleurs, nous veillons à ce que nos capacités de guérison respectent toujours les plus hautes intentions et énergies bienveillantes.
12. Réduction de l’ego : nous veillons à reléguer notre ego au second plan. A la place, nous nous concentrons sur le service aux autres et la mise à disposition de nos compétences pour le bien commun. Nous croyons que la véritable guérison énergétique réside dans l’humilité et le dévouement à autrui. En tant que praticien en guérison énergétique, nous nous efforçons d’être un canal pur à travers lequel les énergies puissent circuler librement et de manière efficace.
Puissent ces principes coïncider avec les vôtres. « Auquel cas, explique Sandra, nous nous ferons un plaisir de vous accompagner à la redécouverte de vos capacités de guérisseur énergétique et de médium. »
L’EAU : des yeux et des oreilles, en plus d’une mémoire ?
Quoi de plus élémentaire que l’or bleu ? H2O, nous a-ton enseigné à l’école. Simplicité apparente. Car rien n’explique les étranges propriétés du liquide le plus présent sur terre et dans notre organisme. Après des décennies de recherches, les scientifiques s’interrogent toujours. Laissons-les à leurs éprouvettes. Et penchonsnous sur ce que nous pouvons expérimenter : les remarquables capacités de l’eau.
Insipide, incolore et inodore : telle est l’eau potable. Mais elle peut s’avérer meilleure encore. Bénite, elle apaise des douleurs ou atténue inflammations, irritations cutanées et certaines maladies. Au contact de minéraux, elle acquiert de nouvelles vertus. Des signaux électromagnétiques peuvent l’« informer ». Une intention tout humaine parvient à la « charger ». L’eau dépasse donc la simple fonction d’étancher la soif. Et tout cela en demeurant fidèle à sa limpide formule : H2O. Autant de « pouvoirs » que ni la physique ni la chimie ne savent expliquer.
Qui dit vie dit eau
Nous sommes faits d’eau. On le sait. Une réalité néanmoins difficile à appréhender tant nous trompe
notre solidité apparente. Pourtant, une membrane d’eau entoure nos cellules. Celles-ci, essentiellement aqueuses, baignent qui plus est dans l’« océan » d’eau dans notre organisme. De plus, le précieux fluide transporte les minéraux et les nutriments à travers notre « machinerie » corporelle. Et, solvant universel, l’eau dissout davantage de substances que tout autre liquide. Cette propriété assure aussi le « nettoyage » interne de l’organisme. Hors de l’eau point de salut, semblerait-il !
Une eau sensible aux vibrations
Dans les années 1960, Hans Jenny1 (1904-1972), médecin suisse, a forgé le terme allemand Kimatic (en français cymatique). Ce terme, forgé d’après le mot
Gelée, l’eau peut former des cristaux symétriques et complexes.
Un état connu parmi d’autres à découvrir…
grec pour vague, désigne la technique permettant de visualiser des vibrations acoustiques. Jenny fut le premier chercheur à révéler l’impact de phénomènes sonores sur l’eau et quantité d’autres substances. Le fait de soumettre des gouttes d’eau à différentes fréquences sonores fut révélateur. Cela produisait des comportements et des « motifs » spécifiques.
Depuis, Alexander Lauterwasser2 (né en 1951), chercheur allemand installé sur les rives du lac de Constance, a poursuivi l’œuvre pionnière de Jenny. Ses « images sonores d’eau » confirment le défrichage de son prédécesseur : milliseconde après milliseconde, les sons affectent l’eau. Ils produisent sans cesse des motifs changeants. Preuve de la réceptivité vibratoire du liquide des liquides.
De son côté, le Japonais Masaru Emoto3 (19432014), s’intéressa à la cristallisation de gouttes d’eau. Durant des années, l’équipe de son laboratoire a exposé des fioles d’eau à des mots, à des musiques et à des prières. Puis elle a congelé les gouttes en question. Celles-ci, observées au microscope, révèlent que les influences positives (termes bienveillants ou musique harmonieuse) engendrent des motifs géométriques, beaux comme des couronnes. À l’inverse, des termes négatifs ou du hard rock produisent des structures désorganisées, « perforées », asymétriques ou dysharmonieuses.
D’aucuns réfutent les travaux de Masaru Emoto car ses résultats sont difficiles à reproduire. Mais on ne peut nier que l’information affecte la structure
de l’eau au niveau moléculaire. La substance entre en résonnance avec l’information (mot ou prière écrite) ou avec les vibrations (musique et sons diffusés, propos énoncés). Des expériences à l’échelle macroscopique le confirment. Par exemple, à l’aube du 25 juillet 1999, 350 personnes se sont réunies autour du lac Biwa (Japon). Leur intention : adresser une prière à l’eau polluée par de la dioxine et envahie, de ce fait, d’algues étrangères au détriment des algues du lieu. Ce phénomène engendrait une véritable puanteur. A tel point que, chaque année, plus de 300 plaintes émanaient des riverains. Après la prière, les autorités ne reçurent aucune lettre de protestation, comme l’a relevé un quotidien de Kyoto, le 27 août.
Masaru Emoto a également conduit de nombreuses expériences avec de l’eau potable de différentes villes. Déstructurées par les traitements chimiques industriels, les molécules de telles eaux ne produisent pas de cristaux. Or, en adressant des prières aux fioles en question, l’eau retrouve sa structure géométrique.
Gerald H. Pollack4, docteur en ingénierie biomédicale, est professeur à l’Université de Washington. Spécialiste en structure de l’eau, il dirige la revue scientifique Water. En 2013, il a découvert la « quatrième phase de l’eau » ou l’eau structurée. Cette qualité se distingue de l’eau liquide ordinaire. On la rencontre dans les cellules vivantes. Dans certaines conditions, sous l’influence de la lumière
et de champs électromagnétiques, elle forme des structures hexagonales. Ces dernières pourraient expliquer deux éléments. D’une part, la manière dont les cellules maintiennent leur cohésion et leur communication interne. D’autre part, des processus comme la respiration cellulaire et le transport des nutriments. Vastes implications possibles derrière cette découverte. Celle-ci risque fort de modifier notre compréhension de la biologie. Voire de favoriser l’éclosion de traitements médicaux innovants.
L’eau, douée de mémoire ?
Le scientifique français Jacques Benveniste5 (19352004), était un médecin et immunologiste, ainsi qu’un chercheur à l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Fort sceptique quant à une éventuelle « mémoire de l’eau », il a entrepris des expériences. En 1988, Benveniste comptait parmi les premiers à vérifier, en laboratoire, la mémoire de ce fluide. A sa grande surprise, il a démontré que l’eau parvenait à conserver une « empreinte » électromagnétique des substances avec lesquelles elle avait été en contact.
Benveniste a alors publié ses résultats dans la revue scientifique Nature. Selon son article, les solutions très diluées pouvaient encore produire des réponses biologiques. Autrement dit : « Cette expérience montr[a] que les hautes dilutions d’un produit (comme on les utilise en homéopathie) ont un effet biologique prouvable », explique la doctoresse Béatrice Milbert.6
Mais, les travaux de Benveniste ont d’emblée suscité un intense débat. Une controverse majeure a même agité la communauté scientifique. D’autres chercheurs ont répété ses expériences, sans succès. Benveniste a reproduit ses tests à des centaines de reprises. Il s’est aperçu que les ultrasons ou le fait de
Après avoir été soumise à une prière (Amour et Gratitude), une goutte congelée d’eau du robinet affiche une perfection géométrique.
chauffer à 70° ces solutions hautement diluées supprimait l’« effet » mémoire. D’où un protocole à suivre à la lettre. Trois laboratoires (à Toronto, à Milan et à Marseille) ont reproduit ses expériences. Ils ont abouti aux mêmes conclusions que lui. Malgré cela, Benveniste est mort humilié, sans regagner l’estime de ses pairs ni assister à la réhabilitation de ses travaux. Ainsi a-t-on jeté la mémoire avec l’eau du bain. Et ainsi la mémoire collective n’a-t-elle conservé que le discrédit jeté sur le savant français et le fait que… de l’eau n’est jamais que de l’eau.
Dix ans plus tard, en 1997, le quotidien Le Monde a consacré trois éditions à tenter de remettre en selle les travaux de Jacques Benveniste. Mais, explications,
discussions, analyses des résultats n’ont eu aucun effet.
Tout aurait pu en rester là. Or, des études plus récentes suggèrent que ce phénomène de mémoire pourrait bel et bien exister, même si les mécanismes sous-jacents restent incompréhensibles à ce jour. Cette situation rappelle celle d’un corpuscule nommé virus. En 1892, le microbiologiste russe Dmitri Ivanovski avait découvert la présence d’un agent pathogène plus petit qu’une bactérie. Mais il fallut attendre 1930 et l’invention du microscope électronique pour enfin voir un virus et ainsi valider le phénomène. Parions qu’un jour viendra où toute la lumière sera faite sur le sujet de la mémoire de l’eau.
Biologiste et virologue, Luc Montagnier7 (19322022) a reçu le Prix Nobel de médecine en tant que codécouveur du virus du sida (VIH). Par ailleurs, il a conduit une série d’expériences sur des dilutions extrêmes d’ADN de VIH. L’eau en question ne contenait plus de molécules du virus du sida. Il a transmis le signal électromagnétique de cette dilution à un laboratoire italien. Une fois le signal reçu et décodé, le labo a pu « retrouver » les séquences d’ADN initiales. Cette expérience, visible sur YouTube7, est intrigante. Mais, pour l’instant, reproduire les mêmes résultats de manière cohérente pose problème. De ce fait, une partie du monde scientifique reste divisée à ce sujet. Il n’empêche qu’aux USA, un courant de chercheurs focalisés sur les mystères de l’eau organise chaque année les Water conferences (conférences sur l’eau). Celles-ci réunissent une centaine
Le signe du son « Om ». Au commencement était le Verbe, pour les chrétiens. Ou « Om », son générateur initial, selon l’hindouisme, contenant le Tout et le Rien, et capable d’informer l’eau, entre autres.
de chercheurs du monde entier et de plus en plus de médecins. Comment ces derniers pourraient-ils rester insensibles au sujet : après tout, 99 % des molécules de nos cellules se composent de H2O !
Une famille de scientifiques a éclairé le sujet sous un jour nouveau : les physiciens quantiques. Parmi une dizaine de chercheurs internationaux, le Français Marc Henry8, a comblé les vides jusqu’alors fatals au travail de Benveniste. En effet, seule la physique quantique permet de comprendre la double liaison hydrogène-oxygène de la molécule d’eau ainsi que la mémoire de l’eau (champs de cohérence quantique).
Par-delà les controverses, la précaution
L’eau continue de couler sous les ponts. Et de faire des miracles. Car elle en a le pouvoir, n’en déplaise au courant matérialiste de la science occidentale. À la croisée des chemins entre la science rigoureuse du XXIe siècle et la sagesse ancienne, l’eau fascine toujours. Encore empreinte de mystère, elle constitue peut-être un pont susceptible de relier les mondes matériel et spirituel ?
En Inde, les pharmaciens adeptes de la médecine ayurvédique tiennent compte de la capacité de l’eau à mémoriser de l’information. Dans leurs
Références vidéos :
officines, ils concoctent certaines préparations pendant des heures. Durant tout ce temps, il s’agit de brasser la substance. Pas de façon mécanique, mais en pleine conscience. Une femme ou un homme en état de méditation s’y applique de son mieux. Dans l’idéal, aucune pensée ne devrait troubler son calme intérieur ni, de ce fait, ladite potion. Hélas, la chose est impossible. Dès lors, de son long bâton, le pharmacien dessine, non-stop, le symbole « Om » dans la masse. Ceci afin d’« informer » le liquide de la vertu « génératrice » et « sainte » du « son premier », à l’origine de l’univers, selon la conception multimillénaire hindouiste.
Dans notre culture, rares sont les Occidentaux à considérer que l’eau – celle que l’on ingère comme celle dont est fait notre organisme – a des oreilles, et encore moins une mémoire. Soit ! Mais, suivant le principe de précaution ne devrions-nous pas surveiller nos paroles ? Et nos pensées ? En effet, un jour, la science risque de prouver que l’eau capte tout : nos pensées, nos émotions, les mots que nous nous adressons devant le miroir ainsi que les ondes de la musique que nous écoutons. En attendant, nous pourrions déjà agir en artisans de notre bonheur, de notre bien-être et – qui sait ? – de notre santé. j GD
Trois verres d’eau et… plus belle, la vie !
Voici trois « recettes » simplissimes pour tirer parti de propriétés « magiques » de l’eau. Les sceptiques ricaneront. Les esprits prompts à l’expérimentation testeront ce qui suit. A leur grande surprise, assurément.
L’eau « aimant » pour attirer à soi ce que l’on souhaite
L’eau ne possède pas de capteurs, dit-on. Cependant, elle parvient à attirer ce qui nous tient à cœur. Allez comprendre !
Que souhaitez-vous vraiment obtenir ? Atténuer un problème physique ? Retrouver de l’énergie ?
Harmoniser une relation ? Obtenir un emploi ? Trouver le logement idéal ?
Remédier à une situation financière ?
L’eau peut contribuer à exaucer votre vœu ! Incroyable mais vrai.
Chaque mot correspond à une vibration. Celle-ci peut « informer » l’eau. Ainsi modifié, le liquide peut, à son tour, « informer » l’eau dont est fait notre organisme. Dès lors, nous voici imprégnés de notre vœu, des
pieds à la tête et sur les plans subtils. Le temps fait le reste et l’âme agit (la magie se produit) !
L’important consiste à exprimer votre pensée en termes positifs, concrets et au présent. Non pas en écrivant : « Je n’aurai plus de problèmes de couple », mais bien « Mon couple est idéal et harmonieux ». Ou alors : « Ma peau est parfaite » plutôt que : « Je voudrais avoir une belle peau » ou, pire encore : « Je ne voudrais plus avoir une peau douloureuse ».
Mode d’emploi
1. Optez pour une eau de qualité (filtrée ou de source).
2. Dynamisez-la. Trois possibilités : secouer la bouteille durant 10 secondes ; placer un verre (transparent) de cette eau au soleil 30 minutes ; plonger un tube rempli de cristaux dans le verre pendant 30 à 45 minutes.
3. Choisissez un verre de bonne taille et à fond plat.
4. Posez-le sur un papier. Tracez la circonférence du verre.
INSPIRATION
5. Dans le cercle obtenu, notez l’affirmation positive de votre choix.
6. Une fois l’eau dynamisée, remplissez votre verre.
qu’un avec cette eau et avec votre affirmation.
7. Posez-le sur le cercle.
8. Laissez agir au moins 48 heures. Après quoi, buvez cette eau : par petites gorgées, lentement et en toute conscience. Savourez-la. Ressentez-en le goût. Imprégnezvous de l’énergie de votre souhait. Imaginez-vous absorber la vibration même de votre souhait. Songez que vous ne faites plus
L’eau de méditation pour élever votre fréquence
Les molécules d’eau n’ont pas d’oreilles. Et pourtant, elles vous « entendent » ! Testez les bienfaits de cette médiation fondée sur H2O.
1. Remplissez un verre d’eau, de préférence filtrée ou de source.
2. Tenez-le récipient à deux mains.
3. Fermez les yeux.
4. Souriez.
5. Dites à l’eau ce que vous aimeriez manifester cette semaine.
6. Exprimez à l’eau combien vous l’appréciez pour tout ce qu’elle fait pour vous.
7. Ouvrez les yeux.
8. Souriez.
9. Buvez cette eau en conscience.
L’eau « repoussoir » pour dissiper la mauvaise énergie
L’eau ne sait pas écrire. En revanche, elle sait lire. Rédigez un mot à son intention et elle l’exécutera.
1. Prenez un verre transparent. Remplissez-le d’eau (peu importe sa qualité).
2. Notez sur une feuille ce qui vous pèse, vous pose problème ou dont vous aimeriez vous défaire. Il peut s’agir d’une situation, d’une émotion, d’une dispute, d’un désaccord, d’une douleur physique ou psychologique ou encore d’une croyance limitante, de tracas financiers, de doutes, d’un deuil.
Par exemple : « Mon conflit avec… », « Mon stress avec… », « Je me sens très… (émotion) », « Mon chagrin par rapport à… (situation) », « ma
douleur relative à… ». Les mots comptent dans cette formulation. Ils contiennent la vibration de la souffrance en question.
3. Placez ensuite le verre d’eau sur le papier.
4. Ajoutez une pincée de sel, ingrédient qui « déprogramme ».
5. Laissez le verre d’eau se charger du désagrément mentionné pendant 24 heures voire, de préférence, 48 heures.
6. Débarrassez-vous de l’eau. Ne la buvez pas, n’arrosez pas de plantes avec et ne la donnez pas à boire à un animal. Versez le
9. Exprimez votre gratitude. Remerciez l’univers et remerciezvous. Puis lâchez prise. Il ne vous reste qu’à patienter un brin et à faire preuve de confiance. Si le résultat ne se manifeste pas d’un coup, répétez l’opération. Abstenez-vous de vous énerver. Persévérez sans force.
Cette technique fonctionne. Elle vous aidera à réaliser vos souhaits.
10. Souriez toujours de gratitude et visualisez que les miracles attendus coulent en vous ! Voyez votre fréquence s’élever afin que se manifeste votre désir.
Et le tour est joué !
contenu du verre dans les toilettes – pas ailleurs. Tirez la chasse. L’eau « informée » du problème (vibrations basses) va ainsi s’évacuer.
7. Ensuite, lâchez prise. Ne pensez plus à ce problème. Faites simplement confiance.
Il se peut que le problème ne résolve pas du premier coup. Mais, en tout cas, la vibration basse qui l’accompagne va baisser. Ainsi aurez-vous ouvert la porte à une solution.
Aperçu du prochain numéro de Gratitude & Bienveillance
La gratitude ou la vibration qui fait des miracles
Interviews :
Lise Weidman (spécialiste en addictions) et Florian Moll
(radiesthésiste, ami des esprits de la nature)
Les synchronicités : les clins d’œil de l’univers
Bien dormir, c’est bien, faire des rêves lucides, c’est mieux
Le soi supérieur expliqué
La charte des chakras : une aide au quotidien
Et pour chaque abonnement : REVITALIS verse 5 francs pour la sauvegarde du Léman
(voir en page 2 de la présente édition)
Une première en Suisse romande
L’Académie internationale des chakras, c’est :
• Une guidance éclairée : par des thérapeutes experts en leur matière, des médecins holistiques et naturopathes, des spécialistes énergétiques.
• Une transformation profonde : en 16 mois, 224 heures en présentiel et 126 heures en ligne, vous apprenez à équilibrer les chakras, ouvrir le 3e œil, développer intuition, clairvoyance, perceptions extrasensorielles et bien plus encore.
• Des compétences concrètes et applicables : utiles pour contribuer à produire des changements positifs, vous aider vous-même et aider les autres.
Une formation idéale si vous souhaitez…
• élever le niveau de conscience et le taux vibratoire ; • disposer d’un savoir complet et applicable sur vous, vos proches et/ou vos clients,
Offre early bird, réservée au lectorat de Gratitude & Bienveillance, valable jusqu’au 31 août 2024
Paiement en une fois : CHF 6 688.– (rabais 40 %) ou en 16 mensualités de CHF 440.–.
Code promo: « Gratitude&Bienveillance» à indiquer lors de votre inscription.
Eveillez le maître des chakras qui sommeille en vous !
Rejoignez-nous pour réellement agir dans le monde subtil ainsi qu’aux niveaux corporel, mental, émotionnel et spirituel.