3pplémenfdu 3' 8 de ,,f &cote"(1920) 0
120 je me félici:te pour la patrie, car (e soleil m,a,iolenir la confümiœ par tous les moyen s . mûrir les épi·s de la plus beHe des récoltea. e i l savait bien que c'était de son Et, c0-1001 . .. Canicule? Que ,Je cieL soit béiai... pee. mlourage que par !aient les in11pressioos !es clant ce (en.p s on ne gas,piJle pas le charboa p'.us vives , c'é lait s ur son enfou 1rage qu'il s·oc ... Le pain n·est jpas très b1anc? Mai5 œ cu1pait tout dalbord \ie IJ)rodu.ire son efüt. es,t irn\1nin1ein,tpréilérab'e ,à iùn 'j)as m111ger Un jourr, à midii, i,t se mit à tab'e ,pa.nni du tou ,t!. . . Ma .femme ,se plain! de ne ses oilfic ie,rs. Tout le monde était lurgubre. poïler de oos de soie. - • Tant mieux C'éliait le début de la batail,Je de Ja Mam~ , les nouvel'les étaient 1!oit1, d'être bonues. 0 ,1 chèire, on vous remarquera 'beau,colllP . . . f;l,le gron 1de... Ora .ge . . . . tempête?. savai t peu de chose et ce ,qu·on savait u'é la it je swµporte ,lout: :je pr'éière ça que 'l)ay pas e11courageant Les oMi.cie.rs l!l·osaient ·lever i' impôt des célibataires .... Pas de domesc les yeux su r leur che!i, de peur de lui laisser -ques?. . . Réljouissons~nours: on n ·est ja1111 voir leurs dou~es et leurs inquiiéludes. mieux servi que par soi-même. . . . Des ÏlllTou t à coUqJ, ils ent~udirent des éa\a.ls clc pôts formidables?. . . Et11Cha11,té ! . . . Co:1j,• voix . C'était :Je généra'\ qui faisait uue scène seraient-i i!s p 1u,s écra,sa111\,ssi nous avions N au oui sinie,r parce ,qu'il avait servi des .p~vaincus! dreaux trop frai 's et ma·l ,ouits. _ Je voL~:ilrais vous voir , lu•i dis..je. Les olf,ficiers n'osèrent rien füre. M3is , avec un bon rhtmie Ide cerveau .... ap rès le repas ils ae ,parlèrent pas d 'a1dre - Toujours saVisfaii, mon cher: je P"" chose. serais à ceux qui · ont u,ne ifil.uxion de poilntlf Plus tard dîoant chez un de se-s ain:s, JOillfre s·mt·et;~fü demander ·s 'il avait ~oujours é'é bien secondé auitom de Tui. LE PLUS PUISSANT TBLESOOPE - Ou,i, mais to.ut de même, panloi s, mes C'est celui qui vient d'être achevé et qll oificiers doutaient, ;pe11ci'aien~ con i iance. Je !es !ondionne mainteoa ,nl au gra11d observatoire sentais ébranf é:s, .je com;prenais 1eu,r doute , et de Mou,nt-Wi!1son, aux Etals-Un 1is. Ce téle. je rie sa,vais wmment les r~prenr.Ire , les galrope a u111miroir cOt1JCaveparfaitement laill va.nise,r, 1< fans le désarroi où nous étion -s to-us et dont 1e diamètre ou, comme disent les a Un ,jowr , :J)efldaaiit.Ja ,bataille de 1la Mar-1!è. ie tronomes, ;]'ouverture, est de 2 m. 54. Cesl e l'es vis si mornes, si <lése,s,pérés, q,ue Je 11 trotw.ti rien de mieux que de faire u~1e s.<:èc1e 'a jYlus gros-se .pièce d'optique de ce g!lllt qui ait été travaiHée. Quan:t _à iJ.a ~onguear au ou•i,sinier pour mie aMaire de perdrea11x même du télescope , eMe est d en:v1roo 40 n1'o •Les uns forent diéigoûté<sde 1111 ,goir.1fre r1ie, ·es autres foren'I ra &surés pa,r mon ca-h11e.MJ i, tres. Ce gigantesque instrumeut est destiM k (ous ouiblièreort: un mom~n ,t :Jeurs crainte s et montrer dans 1e ciel maiut déta,i1 qu'on n • je tes ew, de oouveau da.ns la mai11. va iit ,pu obser-ver jusqu 'ici. ,C'est ainsi que ~ grâce à > lui, on pourra vofr à la .s-.illiace de la 1une tout objet ayant ume œota,1~e de 1M" UN PHILOSOPHE tres de dimension. Si dooc il y avait dans la .M.on ami Durrouzet es( un sa-ge., uo 1yipe lun•~ ut' cou,rs d'eau ou des bourgade&, ce tr ès .rare à reucont ,rer. qui paraît bien improbable , d'a,près tout - La vie dit-i'l , i1 n'y a ,qu'à savoir la qiù>n sait déjà, œ gra nd re!escope le mettrt prei1dre. . . . Èn 1917, ur.ie bo,mbe creva ·le toi i en ,évidence . 11 ne reste plus qu'à a.ttmdrl de ma maisOill. ,C'est :parfait, peu,sai-lje, car il maintenant les résultats que '!.es a~tr au,rai'( pu la idémoi:ir !out e,ntière .. ·. Mes américai -n s tireront de ce géant optique. h abits sont tw1!Pelléméchés , et j'ai ulil beso in urgen! de chall6•Sll!res ueu wes. E h biet1, je (le grogme pa s: j 'a t 1einds la 'ba,rs,se. . . . t p.e _u , t Cherc he z les vertus chez je me 1'éiou•is pour les canards &a·ns oublier vices chez toi. •leuirs amis Jes ax ti!s poi ,s .. . . S'i l fait benu ,
(fu!l.
•
.
s··l , '
•
Actionsde grâces
brepticement,
le propagatewr.
:Le ,sooialLsme
ne dévoile ![)a'S/ foujou ,rs ,son vrai ,ca,ra,otère; même, IJ)OLUra-fürer les âmes droi1es soU1VeniJ< il se prétend fils légitime d1u chri.stiaoisme'
)'\on âme, élèrv,e-to.i, chante ,l,e Seiur 1a,upllus h'aut des ,oi,euiX . alors que, par ,Sion prinlOÎ[)e foodamenital corn~ f1donne aiux ,vents 1'1aiile légèr,e, ,qui me pa·r ses doctJ·im~s, iil en est l'-iirréd1U:ctihle fa sève ,dain1sfoute sa •orélation. Il ell111e11T.Ù . me il'h,iver et ,comml:l!nide au p.rinQue le ·so.cialisme et le chri ,sfranisme soieot . de ,11émimeir [:a IJJaturieet de roud.iamé~ralemerut opposés, !Léon XIH l'a dit, il 1Jes ,s:ou11ces de Œa1\1:i ,e. y a pa,ssé q1Uairanreans, aw momen,t où tes so· a'ba1bS1&e ses Teg1alfds,,et lia nlature ciahstes commen,çaieirut à faire :parler d 'eux. ,·n~;1iJ],sou111it, et lia tewe ,revêt sa • !l..e·serreurs ôu soci,alisme, observait-il, n'ont e paimre; i-1ouvre sa ma,in, et rout a,vec les enseignements çlu Christ rien de 'lui resph,e ,est 1rns,saisiê. commun. Nous ne poUJVorus, pas plus les contmV!ailleur-:Retourne la cilier eo,semble que i!lJOUJsne poulVOns allier dit ,au 1bo111 la lumière avec que j,e t'ai -donIJJée, jette ,le g,r,a,in la ,j.u,stik:e a,vec l'in1j11.i,s~iiœ, ile1si~l,on.C',est Men; ia~orsje vien- l'oboourité. » ·, je femi 'gieiimerUegirain :et mûrk A la base même dui ,socialisme, il y a la nte. 1Et ,quand i111se11a temps je t'a- négation de nos !dogmes essentiels. Plusiews ai ,et j,e te dirni : R;eooeiUe. vont ,se 1-écrier oo llOUIS eoteodant pai!"ler de la sorte; ca.r le ,socialisme s·a,it :revêtir dïniigneur! iregiélJ!idez ,aussi 1e ch1amp no~De âme: faites iplluisro-urr,e1fü,e qÙe [!Jombrables ll!Ua[!JceSet des hommes de boo1edl'amp de W . ,S,oyezVIOUs~même ne foi croient poU1Vofrdonner leur nom aux · ,qui 1a:b:oUJre et qu,i sème; que je. groupemem,ts .socia!,i,sfos sans œsser de pratile en moi 'V'otr€l maiiinbéJll~e. gru1emon quer leur ,religion,. IMai,s si nous j~ons . ,s'éhainœia1U :.ideviant du, soc, 1qu'a-
joie ~l1reçoilvele g.raiinde la girrâce , ,qu'N ne ,res,i,ste pias à vos div1infhwnces, et q·uierpl:uisfiait1dil chanthymrue ·q:UJarud vous vier;drez lie 1mer. (iP.aroissien du Cultivateur). 1
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Le Péril social rait de ~'Exhortation de NN. SS. Evêques de la Suisse aux fidèles de diocèses, à l'occasion de la -Fête êrale d'actions de grâces 1920.) croyoo,s rernpliir wn g,rave devoi :r de cha.rge e1t ·vou.s ldilitollliçan1:le .princ lpal · de la paitx dans uofre pays: l'e,sprî-t trudion révo~uM0011,ai.redoot le sociatomJlJ\lni~te .s~ fait, ou;ver!ement ou su-
socialisme d "après ses chef.s, les, plu's inf!utn .ts , d'après ses manuels les plus a·u:torisés -, d'après ses .joumau x les plus, r~a,nrdluis, nous constatons q,u'il n 'admet ni for:ig,ine diiviine de l'Eg lise chrétioo.ne , ni l'œUJv,e du Oh,rist Rédenw teuir, ni. le jugemerut au seuii.l de l'autre vie, ui même tïmmonta1ité de l'âme, il ne veut ni :Diel.l)11Ji•sa tProvi 'denœ et' fait ffllble rase de .tout le chr ,istianisnte tralditionneI. Sans doute, les sociaHstes nOUJS · réiporu:Lroo~que la vie religlÎeuse est affaire personnelle. C'est comme •si l'avalanthe qui descend de la mootagine, etlljp'O,rtant les homme ,s, les maisolills, les culttures•, ,prétendait, :pour s'exouser, que ses victilmes o·onf qu'à continuer de vifVre chaou 1ne pour son :propre compte . .. Du: reste, qua1t1d OltlJC011111laî1les doctrines foodamentales <lilll,socialisme , on doit ,avouer que ses représentan!,s ,sont ,si,nwlemeot logtques , non seulement en resfanlt é('l"aogers ~l'U chrisUanisme révélé, mais en le combattant de toutes leurs forces ·,