Supplément au :Jvo 11 de ,l' &cole, 1925
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nitt1la1lx ~là foudi~ pat ·ia maladie d guéris recemment. Le minimum de s~ng in}ec~é est de un gnmme par kilo die pondis vi!f de Panimal C'~t ainsi que ,pour un V~eau ~1 ne ·falldca ~as_ inoculer moins de 100 à 200 centune~es cubes de s·ang. On voit qu,'i,J Y a, ·q,ue~qru·e ditlfi!cu:Ité à tr·a~ter ainsi des trouiP<ea ux ÎIIIliPO[tants. Autre inconrvén~t: l'i1Jl11IIlunisation procurée ·~ux amm.aux n'est que temporaire et Il faudrait recommencer le traitement tous les quinz,e jours enJViron. illl Y a lieu de noter un · autre moyen de lutter contre l·a 'teiTibte maladie ç'~t l'hlémorvaocination Q·Ui ·peut dé: f~l..l... l' anJ;Dla1 . ' ':plusieurs 1 101~e perudiant motS. Ce traLtement c~iste à inj·ecter ldu S.alllgl ou diu sémlttn anfi~teux. ·Pour tous ces traitements il est utile die le s~gnaLer, ,}'interv.enÙon d~un ~yJétérinair·e arverti est -i:rudiSjpenSia!ble. 1Les el·ev'eurs ·qui pensent soigner euxmêmes leurs animaux atteints de fièrvr:e ajp~teuse . ~Oillt une fol i.e qui peut leur _co~ter bi·en dll'er et 1peut ·coûter auss'1 bien ch•er à leurs voisins. --~-
œs o1ol1gatoires en
~énéraf ou
,certaines catégorioo de citoyensl)OiJr Les ,assurailœs seront réalisées avec le concours dies cantons· il 1pourr~ être fait a,~el au conc~urs de_c~ISSes d'assuraoce puhliq:ues ou IPrtvees. . Les deux dernières branches ld·as:suran~t.> seront introduil.~s · l~ Slanulltanément. . Les co?t:ibu:tions financières de 1~ ~~onlfé!deratwn et des cantons n excélderont iJ)as, en tou·t, la moitié diu montant total nécessaire à l'assurance. . !J?ès _le l·er jaiiJVier 1926, la Conifêdlérahon affectera à l'assurance en ()as d'e .vieiHesse et à l'assuran,c~ des ~~nvwants le /PT<lduit to ta~ de a l'IIIJPO&Itlon du tabac. 1La part de 1a Con'feclération aux r~ettes nettes IProrvenant de l'imn>o· Sihon des eaux-d!e-~vie sera aflfectée 1à 'l'assurance en cas die viei\Hesse et a. l'assurance des survirvants. 1Art. 41 ter. La Conîédération est autorisée à 'PréJever des impôts sur le tabac brut et manufaduré.
Coll1itile le Personne'! Enseig111ant ne désintéresser d'une question Le iJ>fUIPle suisse est ajppelé Le 6 dé- aussi emmemment SQ1CÎale et mora[e iceJ11libŒ"e prodhain à se prononcer sur ·que cel1e dies assurances, ill nous a 1'.ilnfu'üdiuction ,dans la Constitution 1p1a ru qpportun· d'en faire mention ici. d'un nouve'l arti:dJe concernant :l'assu- H semlble bien qu'on !PUisse r·ecomra111ce en cas de vieilll<eSSe ['assuran- man!der à tous élgarlds cette œuvre ce ·dies surrviwnts et l'assuŒ"~IIJCe en cas ' d'entr'aide et de soHdarité comMéra· d'~invalidire. ile. En void le texte: Au sul1Jllus, J'êconomie de ces MU· Art. 34 quater. - La Gonfédé- ·velŒes dü:wositions constitutionnelles ·r ation intituera ,par voie Législative .est de nature à déglfever sensnblement l'assur.aiiJCe en cas de vieillesse et iles charges d'assistance pubilique qui ~ 'ass~r:ance de sul'IVivants ; ellle :POUr· !Pèsent panfois assez lourdement sur na mtroduire ulltérieu<J::ement l'as- la cOOlŒilune et Ie canton. surance en cas di'ifllvalid'ité. C'est aussi l'une dies raisons pour 'Elle !pOurra çllédlarer çes assura.n- !lesquelles le COIInité die la Société Va·
Les assurances sociales
saur~it. s~
p agation de ces t~ories mrulsa ines favorise et fo:ntilfie totliS :les penciumts mauvais. Vo111à une bonne deviS<e jpOUr quiconque 1 •L~Esiprit Saint, qui certes connaît le cœur veut a;rriover au terme de sa r oute et voir 1 de l'homme, nous dit. • Ne crains. pa:s de ses elliods couronnés de sruocès. c~rriger sévèrement tes enfants. Ne ~eur AIDJer son chemin . . . bravement. vaiUcun" donrte pas toute liberté dans leur jeunesse 111ent . comme un voyageur qui ne perd pas 1 et ne ferme pas les yeux sur leur folie; fais de vue le but à a.tteindll"e et qui ne cesse 1 p lier leur tête dans :Jeur.s premières années d''y tendre. de peur que p lus trurd leu.r désObéissance ne AJ~er son chemin nolblement, sans vaine te cause du cltag.r<in. • s. ,Paul ,pose également parade, sans timidité ni reSjpect humain; un des !Principes fondamentaux de l'éduca· Ailler son chemin const311Tlment, n 'oubliant tion quand i1l prescrit de co,rr iger les en· jamais que • qui n'avance pas rect~~le et qui lf'ant s et de les ~wertir selon le seigneu r. recule s'eXjpOSe à pér~r "· Nous ne connais· ·En résumé, ,paxents !Chrétiens, mettez au sons r ie11 de mieux qu'un tel programme. !Premier rang parmi vos préoccu.Pations, l'é· !Mais la lassitude? l'aocableanent? Contre ducation relÎigÛeuse de vos entants; !ai tesla lasSiiifude il y a la prière qui rend à no· 'leur respir er une atrno5!Phère vraiment pétre pauvre âme har as~ une vigueur nounétrée de l'amour de Notre·S~igneur Jésus· ·velle. Contre l'aocaJb{lement ill y a le pain ·C hrist CollaJborez !idèllement aJVec vos prê· cé'este, qui fortifie ~e voy:ageur et l'aide tres , aJVec vos institutrices et vos instltu· à parvenir · au sommet de la montagne. teuJ1s dhrétiens, pour que la jeunesse se for,En atvant donc! nous aurons l'éternité ti~ie dans •la ,foi et prenne une part e.dive pour nous rq1oser. à la vie paroissiaJle. Fruvorisez les sociétés Le .Petit ConseiHer. catholiques d'éducation , les ass ociations de mères ohrétiennes, tous les groupements qui tendent à d6velqpper dans nos famines t'esprit qu'e~les doilvent aJVOill". Nous b&tissons, jpour notre pa•r t leurs eilforts et nous leur souhaitons le succès qu'e!llles mér i,tent. Nou.s (Lettre pastorale des Evêques de la Suisse demandons à notre grand saint national , t. l'occasion de la. Fête fédérale d'act ions de grâce d" 1995 'Ni1cdl'a s de Flue, qu~ill prie pour notre pays (Suite et fin) 1 atin que nœ faJiniiines s'inSjpirent de·s senti· ments qui animaient la sienne. Le pll!IS bel Si la racine est sainte, les I11ilt1C3UX le sont héritage qu'un père puisse transmettre à auss i. Cette parOile de S. Paul. trlljppe étran· gemenJi: quaru:ll norus. voyons les· tris.tes e- . ~ux qu'ill iaisse en œ monde, ce n'es.t pas x~es donnés par des pères et des mères une lbri:Pante for tune, ni un oommerœ prospère, ni une maiso n bien montée; ce sont qui ~risent systéma·tiquement les lois de de for.fes convictions religieuses, conser· Dieu et ne tiennent aŒcun compte de sa 1 souveraine vdlontt:é. Nous ne saurions trop 1 •Vées a/Vec un soin ja[oux. d~orer les aberrations de certains idéolo· 1 gues qui Iàissent l'enfunt se déformer et se lill perwerttill tout à son aise, sous préteJG!e qu' 1 :Puisqut: les enfants sont un don que Dieu ii! est fotiiCièrement bon, qu'id n'a pas besoin !VOUs fuit et sur lequel i[ se réset'Ve des droits de correction ni de rél?rimande, qu'il n 'a 1 leur éd.U~Cation est pour vous· une gn.ve qu'à sui.vre sesi inefurots nalhlre16. La pro· question de conscience; ehle vo·u s impose
Aller son chemin . .•
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L'enfant, trésor de la famille
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