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Projets d’agence

Atelier Blanc Rouge
1. Chantier Naujac
2. Rénovation échoppe bordelaise
3. Rénovation villa, Pyla-sur-mer
4. Rénovation villa, Pyla-sur-mer
PP. 4-136. Le Tuc du Bécut
7. La Scène perchée
8.


Atelier Blanc Rouge
1. Chantier Naujac
2. Rénovation échoppe bordelaise
3. Rénovation villa, Pyla-sur-mer
4. Rénovation villa, Pyla-sur-mer
PP. 4-136. Le Tuc du Bécut
7. La Scène perchée
8.
Rénovation complète pour cet appartement à Bordeaux. La contrainte principale étant le manque de lumière dans les pièces de vie, une grande verrière vient articuler le projet.
La cuisine échange sa place, devient fonctionnelle et visible dans les pièces de vie. Les salles de bains en béton ciré viennent compléter des chambres chaleureuses et confortables.
Pour ce projet de rénovation, surélévation et extension de cette échoppe bordelaise, il faut décaisser le sol pour obtenir une belle hauteur sous plafond dans les pièces à vivre.
L’extension et la surélévation sont réalisées en ossature boi. Le réemploi de nombreux matériaux ont été étudiés stratégiquement de manière à obtenir un projet ancré et en accord avec son environnement.
Pour ce projet rénovation complète d’une villa sur le bassin d’Arcachon, la restructuration du terrain est primordiale.
Ce projet est réalisé pour une famille nombreuse. Il faut apporter autant de soin pour chacune des nombreuses pièces.
L’essence du jardin est retravaillé et accueuille plusieurs strates d’essences locales, pour une intégration au paysage locale.
La terrasse est réalisée briquettes, ainsi que la piscine hors sol située à l’arrière de la maison.
Le projet prévoit des espaces de vies conviviaux, aussi travaillés à l’intérieur qu’à l’extérieur.
L’enjeu de cette rénovation complète consiste au respect esthétique de cette maison traditionnelle. Colombages et détails originels sont conservés et mis en valeur dans cette proposition. On travaille l’aménagement extérieur avec une terrasse maçonnée conviviale en arrivant à la maison. Une touche de modernité avec des peintures plus claires et pures, tout en respectant l’aspect initial.
Une surélévation partielle vient s’intégrer au projet afin d’amener à la cuisine un maximum de lumière naturelle. Un jeu de niveaux se glissent à l’intérieur afin de profiter au mieux de cette maison familiale.
Une légende landaise raconte que la formation des dunes est mystique ; un ogre enfuite se serait réfugié dans le sable. Fini oublié, son corps mêlé au sable et à la forêt aurait crée les dunes d’aujourd’hui.
Inspiré de ce conte, le refuge se niche au creu du sable, avec une partie enterrée réfugiant les dortoirs ; tel l’ogre on peut se réfugier au coeur de la forêt.
La partie immergée reçoit un espace d’exposition libre à la commune.
Un terrasse aménagée de braseros permet une expérience en forêt pour des nuits folkloriques dans la lande.
Dortoirs
Fontaines
Douches / WC
Garage à vélos
Escaliers
Terrasse braseros
Vivre, célébrer la forêt, se rappeler la forêt.
Quoi de plus juste qu’un théâtre pour rendre hommage à ces histoires traversant les âges ?
Le projet s’installe au milieu des pins, entre les arbres, viennent s’installer les gradins prêts à accueillir le public.
La bâtisse principale se décompose en trois partie; la partie au sol accueille l’espace sanitaires avec à disposition des douches et des WC.
Au premier niveau on trouve la scène, derrière des coulisses cachées par des rideaux. Par une coursive on rejoint les escaliers pour accéder à l’espace de dortoirs, longé par un balcon pour assister au spectacle de haut.
La forêt landaise est une étendue de pin qui s’étale sur des hectares. Suivant une trame précise, se perdre est facile tant le paysage se ressemble.
La tour, un phare au milieu de l’océan de pins. Elle rend hommage à l’arbre seul et à l’immensité du paysage.
Au coeur du sable, en sous sol, se cachent des dortoirs et un espace sanitaire. La tour fonctionne en double structure, une premiere abritant plusieurs espaces : dortoirs, expositions, une seconde qui l’entoure et traavaille avec un revêtement ajouré.
L’ascension; il faut mériter la vue. Plus on monte et plus la vue se ressert, se referme pour laisser admirer enfin l’immensité de la forêt.