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Activités amusantes à faire avec votre chien à Toronto

Peony Wong

French Journalist

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Maintenant que le printemps est arrivé, vous pouvez emmener votre chien avec vous pour plus de sorties. En tant que propriétaire de chien, je suis ravie de pouvoir profiter du grand air avec mon caniche bichon croisé de trois ans, Reese. Nous n’avons pas à nous soucier de marcher dans 20 cm de neige ou de nous emmitoufler pour affronter le froid. C’est le moment idéal pour faire des activités avec votre chien, car les températures extérieures ne seront ni trop froides ni trop chaudes. Il existe également des activités intérieures pour chiens si vous souhaitez exposer votre chien à de nouveaux environnements. Non seulement vous vous amuserez, mais votre chien aussi ! Voici quelques activités que vous pouvez faire avec votre chien à Toronto.

1. Allez à un parc ou à un sentier où votre chien peut circuler sans laisse

La chose la plus évidente à faire lorsque le temps se réchauffe est de visiter fesseur en l’Ontario Institute for Studies in Education de l’Université de Toronto (2018), les enseignants doivent reconnaître les progrès linguistiques ainsi que la résilience des élèves multilingues. Ils doivent comprendre que la langue et l’apprentissage d’une nouvelle langue influencent l’estime de soi et l’engagement scolaire des élèves, afin de montrer à ces derniers que leur multilinguisme constitue une réussite et qu’ils doivent continuer d’améliorer leurs compétences langagières (Cummins, 2018).

Certes, le français est la langue d’apprentissage privilégiée dans les écoles franco-ontariennes et le sera toujours. Néanmoins, ce qui rend ces écoles uniques, sauf que l’apprentissage s’y fait entièrement en français, est leur caractère hétérogène du point de vue linguistique et culturel. L’adoption d’une perspective positive vis-à-vis au multilinguisme en lien avec l’apprentissage du français s’avère donc un parc ou un sentier pour chiens sans les tenir en laisse. C’est une excellente façon pour votre chien d’interagir et de socialiser avec d’autres chiens. Il peut libérer son énergie en courant dans un champ ouvert et en jouant avec ses amis. Le parc à chiens Sunnybrook est très proche de Glendon et dispose d’une section séparée pour les petits chiens. Plus loin vers le sud, il y a aussi le parc Sherwood. J’adore y emmener Reese, car contrairement à un parc canin ordinaire avec un terrain plat, celui-ci comporte des promenades boisées et des sentiers à différentes altitudes.

2. Manger sur une terrasse Même si la saison des terrasses n’a pas encore commencé, la plupart des restaurants devraient avoir monté leur terrasse d’ici au mois de mai. La ville de Toronto propose un programme CaféTO aux propriétaires de restaurants et de bars qui souhaitent utiliser l’espace extérieur dont ils disposent en transformant leur partie du trottoir ou de la voie de circulation en terrasse. La plupart des terrasses CaféTO acceptent les chiens, mais il faut appeler à l’avance pour s’en assurer ! Parmi les restaurants où j’ai déjà amené Reese et dont je sais qu’ils ont une terrasse accueillante aux chiens, il y a Old School, Avling, Trattoria Nervosa et Lobster Burger Bar.

3. Se détendre à la plage

Si votre chien aime nager, la plage est l’endroit idéal. J’emmène Reese au parc canin Cherry Beach pendant essentielle et il existe différentes manières de s’y prendre.

En salle de classe, les enseignants devraient faire preuve d’empathie envers les habiletés en français de leurs élèves. Ils devraient démontrer leur intérêt envers les langues que leurs élèves connaissent, les encourager à tisser des liens entre le français et d’autres langues, piquer leur curiosité par rapport aux cultures francophones et aux cultures mondiales, ainsi qu’intégrer des mots, des phrases ou des expressions à leur enseignement, avec l’aide de leurs élèves.

Les élèves multilingues méritent que leurs écoles et leurs enseignants tiennent compte de leur parcours linguistique, qu’ils mettent en valeur leurs différences linguistiques et qu’ils les soutiennent dans leur apprentissage du français ainsi que dans leur construction identitaire. Le fait de découvrir des aspects de leur langue et de celle de leurs camarades, tout en partag- l’été, mais le parc est également ouvert au printemps. Le parc clos comprend un immense terrain ouvert avec des arbres, ce qui permet d’avoir beaucoup d’ombre pendant les mois les plus chauds. Il y a aussi du sable avant d’arriver à l’eau, alors n’oubliez pas de porter des chaussures appropriées ! Asseyez-vous, détendezvous et profitez de la vue sur le lac Ontario, la ville et la tour CN.

4. Magasiner à Shops at Don Mills

Shops at Don Mills est un centre commercial extérieur situé près de Glendon. Les chiens sont admis partout à l’extérieur, à condition qu’ils ne se trouvent pas sur les terrasses des restaurants. Cependant, vous pouvez toujours faire du shopping jusqu’à épuisement avec votre chiot, car certains magasins autorisent les propriétaires d’animaux de compagnie à amener leurs chiens avec eux. Il s’agit notamment d’Aritzia, d’Eddie Bauer, de Bath and Body Works et de L.L.Bean.

5. Tentez votre chance à Claw & Kitty

Une autre activité amusante à faire avec votre chien est d’aller au nord de la ville à Claw & Kitty à Markham. Il s’agit d’une salle d’arcade avec des machines à griffe de différents niveaux de difficulté. Toutes les machines sont remplies de peluches mignonnes et vous avez la possibilité de les échanger à la fin contre un choix encore plus grand de peluches. Il y a des chariots roses dans lesquels vous pouvez mettre vos peluches. Vous eant le français comme langue commune, peut leur donner confiance en leur habileté langagière, les rendre fiers de leur héritage culturel et renforcer leur sentiment d’appartenance à la communauté franco-ontarienne, laquelle est d’une énorme richesse.

Cummins, Jim. Binogi Pedagogiskt Forum. (2018, 7 novembre). Jim Cummins on language and identity [vidéo]. YouTube. https://www.youtube.com/watch?v=xuvFaNgAv88&ab_channel=BinogiPedagogisktForum pouvez même y mettre votre chien s’il est assez petit pour y entrer ! Pour ceux qui n’ont pas de chien, ils permettent aussi les chats ! Après tout, le nom de leur entreprise contient le mot chaton !

6. Prenez des photos à Monography Créez des souvenirs qui durent toute votre vie dans ce studio d’autoportrait situé au centre-ville et à North York. Le studio accepte les chiens, ce qui signifie que vous pouvez prendre autant de photos que vous le souhaitez avec votre chiot en 25 minutes. Les chiens sont admis gratuitement lorsqu’il y a un ou deux personnes, mais des frais supplémentaires de 30 $ sont exigés lorsqu’il y a plus de deux personnes. C’est une excellente façon de passer du temps de qualité avec votre chien et de créer des souvenirs inoubliables !

Coffee Shop (erm, Take-Out Sushi)

Reflections: Bidding Farewell to the 2022-23 School Year

Michael Aquilino English Journalist

As some of you may remember, one of my articles for last year’s final issue bore a title quite similar to the one above. Last year, I wrote the first of my reflection articles in the comfort of a quaint coffee shop. This year, however, I was unable to make it out for my medium cappuccino. Instead, my girlfriend and I, bogged down by coursework, chose to order in some Japanese delight from the comfort of my dining room. Our meal, packaged neatly in a styrofoam container, included spicy salmon, crab meat, and a concoction by the name of “crazy”, rolls, tied together with a seaweed salad, spicy mayonnaise, and two green teas on the side. It had been ordered from a local place that we frequent, and was utterly delicious. There is something special about the small circular pieces of fish, vegetables, and rice bound together by a strip of seaweed — simplicity and complexity all at once, keeping me craving more.

Perhaps sushi holds a deeper meaning, and can be used to better comprehend life itself. Life is often perceived as a complex and elaborate scheme, vacuuming people into its grasp from the moment they are born, tossing them in every direction thereafter, and then releasing them into the ether. People are in constant search of who they are, where they should go, and what they ought to do — and the answers are ambiguous. The beauty of life is that, well, there are endless beauties. Such is in the eye of the beholder, right? What is the true meaning of life? What will people do with their time and their energy? I find myself quite perplexed by this — heck, I’m not even sure of myself!

I recently stumbled across (on TikTok, of all places) a striking piece of literature, a piece that drove me to extensive contemplation. I am a person with many interests, desires, and aspirations. I am always seeking to pursue what I love, and, at the same time, experience new and exciting things. When it comes to future careers and ambitions, I have probably considered them all (having finally ruled out astronaut and pro-hockey player, but who knows?!). I feel as if society has instilled in us all the notion of life being much too short, despite how grand it is. Will I have time to do and see everything I want? Will I have time to live out the countless versions of myself that I continue to envision? The answer is no, a devastating, heart-dropping, soul-crushing, no. The piece of literature that I stumbled across is a quote from Sylvia Plath’s The Bell Jar (1963). Having led a tragic life that culminated in her premature death at the age of 30, The Bell Jar was Plath’s only novel. While I admit that I have not read it in its entirety, one passage caught my attention nonetheless. For the sake of this article, I believe it to be of profound relevance, as it reads:

“I saw my life branching out before me like the green fig tree in the story. From the tip of every branch, like a fat purple fig, a wonderful future beckoned and winked. One fig was a husband and a happy home and children, and another fig was a famous poet and another fig was a brilliant professor, and another fig was Ee Gee, the amazing editor, and another fig was Europe and Africa and South America, and another fig was Constantin and Socrates and Attila and a pack of other lovers with queer names and offbeat professions, and another fig was an Olympic lady crew champion, and beyond and above these figs were many more figs I couldn’t quite make out. I saw myself sitting in the crotch of this fig tree, starving to death, just because I couldn’t make up my mind which of the figs I would choose. I wanted each and every one of them, but choosing one meant losing all the rest, and, as I sat there, unable to decide, the figs began to wrinkle and go black, and, one by one, they plopped to the ground at my feet,” (p. 73).

Plath’s eloquent analogy of the fig tree as a representation of life allows readers to attain more thorough understanding of their existence as human beings. In her analogy, Plath depicts an individual’s life as a fig tree laden with branches, from which fruits hang. Each marvellous fig appears to Plath’s character as a possible course of action, resulting in different futures and outcomes. The character, in the face of countless favourable opportunities, remains unable to confidently choose her destiny. Consequently, her indecisiveness leads her to ruin, taking away the chance to pursue any of the opportunities once present- ed to her. The analogy, while poetic and moving, is at once melancholic; it serves as a representation of an issue which many encounter and deal with. For example, the TikTok that featured this passage was itself a video about the creator’s personal struggles. Many people may be unsure of what direction they want to take in life, while also grappling with feelings of inadequacy and low self-esteem. Others may be overwhelmed with the sheer magnitude of life, unsure of how to even approach the idea of self-fulfillment, and allowing life to instead slowly pass them by. Like Plath’s character, this causes them to miss out on rewarding experiences.

Hence, my advice to you is to always take the first stop — it does not matter where, but it does matter when. The sooner you take that first step, the better; even if you do not immediately reach your destination, as long as you continue to move, you will likely find it. Staying stationary and letting time pass you by will only stifle your ability to reach where you want or need to be, and eventually, your desire to take action will dwindle as well. One day, only the regretful thoughts about the life you could have led, had you taken that single first step, will remain.

In your pursuits, I would advise you not to choose just one fig — you can never know if you enjoy something unless you try it. Additionally, I would suggest not dwelling on the figs that become lost, as other, more plump ones may grow in their places. This being said, it is important to find a balance in your life, as eating multiple figs should not amount to all of them — eating all of them would be just as harmful as eating none. Revel in the joys of some of life’s greatest pleasures without missing the opportunities, but avoid overexerting and exhausting yourself by taking on too many. Reflecting on this past academic year, in my classics of political theory course, I learned about Aristotle’s theory of the “Golden Mean” — a theory which I see as crucial to our discussion. Aristotle held that the key to life was to live in between the extremes — the excess, and the deficiency. The goal of Aristotle’s postulation was to live in moderation, to seek balance in one’s life. Should that balance be adequately attained, an individual will see their life fulfilled. Human beings are not machines that can do too much, nor are we inanimate beings that can do too little. I thus encourage you to discover the difference that you will make in this world, act upon it, and leave a lasting positive impact — for if there’s any meaning to this life, it’s that we may want to hold onto it, even long after we are gone.

On a concluding note, I will speak once more to my personal, nutritious, Sylvia Plath-induced analogy. Sushi is not as complex a creation as it may seem — it’s quite simple, actually. Forget the avocado, cucumber, carrots, shrimp, and crab — these ingredients are interchangeable and dispensable. What is your seaweed? What holds you, and everything in your life, together? What makes you whole, more than a disorderly collection of seafood and vegetables (a stir-fry?)? You must focus on the seaweed, which might be a combination of things working in tandem, or just one aspect. And if you haven’t found it yet, this is a reminder to get thinking. The world is large, and the possibilities are endless; get out there and try new things! Eat new food, listen to new music, watch new movies, meet new people, love the world — and love, or learn to love, yourself.

As always, Glendon and York will always be here to welcome you home! Have a safe, happy, and healthy summer!

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