























Véritable moteur du monde sportif de la région, l’Albert ne cache pas ses ambitions. Objectif : la Nationale 1 en 2025
Disparu en 2015, le RAEC Mons est revenu à la vie en 2020 sous le nom « Renaissance Albert Elisabeth Mons 44 . ». Véritable moteur du monde sportif de la région, l’Albert ne cache pas ses ambitions. « Nous voulons jouer la montée cette année et retrouver la Nationale 1 en 2025-2026 », explique Gillian Herman, en charge de la communication. Pour ce faire, la « Renaissance » a décidé de
miser sur une structure solide et sur la formation des jeunes et ce, avec l’aide de tous les clubs de toute la région. « La philosophie se base sur le long terme et sur la formation des jeunes. Nous avons d’anciens joueurs de l’équipe première qui encadrent les jeunes du club comme par exemple Mario Cordaro. Nous avons créé un véritable réseau avec les autres clubs de la région afin de repérer les
meilleurs jeunes et de les aider à évoluer progressivement en fonction de leurs qualités. »
Les équipes féminines n’ont évidement pas été oubliées dans le projet sportif du club. « L’avenir des équipes féminines est primordial pour nous. Le développement du foot féminin a une place de choix dans notre projet sportif. Nous avons d’ailleurs
une équipe en D1 et une autre en D2 avec aussi une académie pour jeunes filles ».
Depuis 2 ans, le RAEC Mons 44 n’a cessé de se professionnaliser tant au niveau sportif que de son organigramme. « Nous avons une structure interne et un organigramme digne d’une équipe de Nationale 1. Au niveau sportif, nous avec une équipe et un staff solide qui est capable de remplir les objectifs fixés. Avec Danté Brogno à la tête de notre staff composé d’anciens joueurs du club, le
Renaissance Albert Elisabeth Mons 44 est plus déterminé que jamais à retrouver ses couleurs d'antan. »
Même si l’aspect sportif est important pour certains, les supporters et tous les amoureux de l’Albert attendent avec impatience une seule chose : Que le club puisse à nouveau récupérer son matricule 44. « Nous avons encore 5 ans à tenir et ensuite nous pourront reprendre le matricule 44 cher à tous les supporters du RAEC Mons. Ce moment sera extrêmement important dans l’histoire du club », confie Gillian Herman.
Si l’espoir et l’engouement sont désormais de retour dans les travées du stade, cela n’a pas toujours été le cas. En effet, en véritable Phénix, le RAEC Mons revient de très loin. Petit retour sur un club qui a marqué l’histoire.
2002, l’année de tous les records Comme l’explique Jacob Hemptinne sur le site du club, c’est en 1910 que l’histoire commence réelement avec la création de l’Albert-Elisabeth Club de Mons et son affiliation à l’Union belge de football. Et surtout, c’est en 1911 que survient l’attribution du matricule si cher aux supporters : le 44.
Après avoir oscillés entre la D3 et la D2 durant près de 90 ans, les Dragons vont véritablement prendre une autre dimension en 1997 et seront de sérieux concurrents à la montée en D2 chaque année. Les dragons vont enchaîner les tours finaux pour finalement accéder à l’antichambre de la D1 en 2000 au terme d’un test-match légendaire face à Heusden-Zolder (3-3, 4-3 aux penalties).
Preuve de leur talent et de leur détermination à gravir les échelons, les dragons atteindront même les quarts de finale de la coupe de Belgique une année plus tard lors de l’exercice 1999-2000. Les dragons affrontent alors le Standard de Liège à Sclessin devant plus de 5000 supporters montois. Ce jour-là, Jim Mercier était capitaine de l’Albert aux côtés de Vincent Thoelen et Olivier Berquemanne, trois joueurs emblématiques de l’Albert nommés ambassadeurs du Renaissance Mons 44.
Au début de ce nouveau millénaire, le RAEC Mons continue son ascension et devient l’un des meilleurs clubs du pays.
En 2002, le RAEC Mons intègre enfin l’élite du football belge au terme d’un match inoubliable face à Ingelmunster dans un Stade Tondreau plein à craquer. L’Albert va alors écrire la plus belle page de son histoire en enchaînant les performances en Division 1 dont une 9ème place historique lors de sa première saison. Une place que l’Albert doit en grande partie à son buteur Cédric Roussel (22 buts) qui a récemment été nommé
Le club va ensuite faire le yo-yo entre la D1 et la D2 de 2005 à 2015 en signant de nombreux exploits : une demi-finale de Coupe de Belgique en 2012 perdue contre Courtrai, un titre de meilleur buteur pour Jeremy Perbet la même année et une 7ème place en D1 en 2013. Lors de la saison 2014-2015, l’Albert dispute une nouvelle saison en Division 2 avec un effectif complètement remanié. Malheureusement, le club souffre de problèmes financiers et le président Domenico Leone décide de se retirer et de déposer le bilan le 16 février 2015. Le club centenaire du RAEC Mons est donc déclaré en faillite et ne trouvera pas de repreneur. Il disputera son dernier match le 25 avril 2015 contre l’Antwerpen, une rencontre chargée en émotion pour tout le staff et les supporters montois.
Mais comme on dit toujours à Mons : « un dragon ne meurt jamais ». Grâce à la motivation, l’engouement et l’amour de ses supporters et anciens joueurs, le RAEC Mons renait de ses cendres le 23 juin 2020 presque 5 ans jour pour jour après le début de l’hibernation du dragon montois. Seul le nom change : Renaissance Mons 44. Mais le blason, les valeurs et surtout l’histoire du club persistent. L’histoire de l’Albert est donc loin d’être terminée, elle ne fait que commencer.
Cette réouverture tant attendue est rendue possible grâce à des entrepreneurs venant de France et plus précisément de Pornic en Bretagne.
Cela fait de nombreuses années que l’on attendait une issue favorable dans ce dossier cher aux Montois. Et bien, les choses viennent de se débloquer et de quelle manière ! Fermé depuis 2013, le camping des Tournesols accueillera bientôt les amateurs de mobilehomes, de Tiny Houses et de tentes en tout genre.
Une aubaine pour la Ville de Mons qui ne pouvait pas se permettre de relancer l’activité du camping sur ses deniers publics. Cette réouverture tant attendue est rendue possible grâce à des entrepreneurs venant de France et plus précisément de Pornic en Bretagne.
Candidate à la reprise du terrain et des infrastructures de l’avenue Saint-Pierre, la société Camping-Car Park a en effet convaincu le collège communal de lui faire confiance en raison de sa grande expérience dans le domaine de l'accueil touristique. Cette société détient en effet 400 sites en gestion principalement en France mais aussi en Espagne, au Portugal et dans d’autres pays.
Le pari était audacieux pour les autorités communales mais s'avère finalement payant. En effet, avant de rencontrer "les sauveurs bretons", les édiles avaient eu de nombreux contacts. Les premiers uniquement avec des personnes totalement étrangères au milieu de l'accueil touristique. Même si les projets semblaient sérieux, les autorités communales n’étaient pas prêtes à prendre le risque d'un
flop retentissant. Heureusement, l'offre de Camping-car Park est arrivée par la suite. Elle a eu le mérite de convaincre les édiles communaux. L’entreprise peut en effet compter sur un réseau de plus de 550 .000 membres et offrira de ce fait à la ville de Mons des opportunités touristiques et commerciales indéniables.
Grâce à un investissement de près de 1.320.000 euros, les nouveaux propriétaires offriront bientôt au camping des Tournesol un lifting en profondeur. Pour rendre une seconde jeunesse au site, il faudra en effet raser les bâtiments existants et en reconstruire de nouveaux pour l’accueil et les sanitaires. Il faudra également réaliser d’importants travaux d’égouttage, en plus de l’alimentation en eau, gaz et électricité. La Ville de Mons restera propriétaire du site et confiera donc la gestion des lieux à la société Campingcar Park pour une durée de 50 ans. En contrepartie, Camping-car Park devra verser un loyer annuel de 5.000 euros à la Ville de Mons.
À l’avenir, le camping s’étendra sur 1,7 hectare et pourra accueillir 59 mobile-homes, 14 tentes ainsi que 14 logements insolites. Précisons que le projet d’un espace pour accueillir des mobile-homes au Grand-Large n’est pas pour autant abandonné. Les deux projets peuvent en effet être imaginés en toute complémentarité.
Artiste reconnu aux quatre coins de la région, le talent de François n’est plus à démontrer
Le nom de François Antona ne vous dit peut-être rien, mais il est fort probable que vous ayez déjà croisé le chemin de ses œuvres dans la cité du Doudou. Artiste reconnu aux quatre coins de la région, le talent de François n’est plus à démontrer. D’ailleurs, ses nombreuses œuvres trônent fièrement sur les murs de plusieurs établissements montois. « J’expose dans plusieurs établissements de Mons », explique l’artiste. « J’ai des tableaux chez « Io Roberto » à la rue des Sœurs Noires à Mons, au Tocco d’Italia à la rue de Nimy. »
Arrivé de Marseille en 1968, François Antona a rapidement compris que la peinture ne serait pas seulement une passion pour lui, mais qu’elle jouerait un rôle important dans sa vie et dans sa relation aux autres. « Depuis tout petit la peinture a une place importante dans ma vie. Quand j’étais gamin, j’ai commencé en dessinant des voiliers à l’école. Ensuite je n’ai plus jamais arrêté de peindre et de prendre du plaisir à le faire. Je n’ai jamais pris de cours, je suis autodidacte. Mes peintures ont évolué en même temps que moi. L’utilisation des couleurs, la manière de peindre, tout a grandi et s’est amélioré en même temps qu’a évolué l’homme que je suis aujourd’hui », avoue François Antona.
C’est à l'âge de 18 ans que l’artiste a commencé à prendre conscience que sa créativité et ses toiles plaisaient également aux autres. « J’avais 18 ans quand je suis arrivé à la rue des Juifs avec mes parents. Un jour alors que j’étais au travail, un avocat qui avait vu l’une de mes toiles par hasard m’a contacté pour me dire qu’il souhaitait acheter le tableau que j’étais en train de peindre dans mon atelier. C’est à ce moment que je me suis rendu compte que ce que je peignais plaisait aussi aux autres personnes. A partir de ce moment, je n’ai plus arrêté de peindre et de vendre mes toiles »
Les choses se sont ensuite rapidement enchaînées. « Quelques temps plus tard, je suis allé à Morzine rendre visite à un membre
de ma famille. Là-bas, j’ai fait la rencontre d’un hôtelier qui a aimé mon travail et qui m’a fait une commande de 17.000 euros pour plusieurs de ses hôtels ».
François Antona peint aujourd’hui principalement à l'acrylique pour réaliser l’art abstrait qu’il aime tant. « J’aime peindre les portraits de personnages connus comme par exemple Marilyn Monroe ou encore Al Capone. Je suis heureux de voir que mes peintures plaisent aux gens. Avec les deux que j’ai encore vendues cette semaine, je suis à près de 600 tableaux vendus. C’est assez extraordinaire de pouvoir être reconnu pour le travail que l’on réalise. »
Roberto INSALACO ; Une vie consacrée à la gastronomie italienne et au plaisir du bon goût. Originaire de Sicile et plus précisément d’un petit village nommé BAGHERIA non loin de Palerme.
Roberto ouvre son premier restaurant « La Fontanella « en 1982 à l’âge de 20 ans ; il instaurera notamment la pizza à emporter et ses livreurs sillonneront les routes de Mons et Borinage . Se succéderont de nombreuses adresses gustatives : la Stradella à Bxl ; Côté Cour à Charleroi ; Ciao-Ciao à Mons et même une discothèque montoise : Le Wadaro pour ne citer qu’eux .
Roberto est vite reconnu comme un ténor de la cuisine italienne et aujourd’hui il est à la tête de son 11 eme établissement : IO Roberto à Mons : un véritable petit coin d’Italie …..dédié au plaisir du goût et de la fête avec une équipe d’une énorme sympathie qui mettra tout en œuvre pour vous faire passer un agréable moment gastronomique . Mais surtout , n’oubliez pas de réserver ! Et pour terminer ; une expression qui est chère à Roberto : « cerca e trova « …cherche et trouve ! il y aura toujours une bonne âme pour vous renseigner le chemin de son restaurant …..demandez juste : ROBERTO
C’est une histoire assez incroyable que viennent de vivre six Montois. Alors qu’au départ ce n’était qu’une plaisanterie comme ils en font des dizaines par jour, le groupe d’amis s’est retrouvé à SpaFrancorchamps pour participer à la « Redbull Soap Box ». Et pour briller dans cette mythique course de caisse à savon, ils ont évidemment décidé de fabriquer un bolide à l'effigie du célèbre dragon montois.
Tout a commencé un soir de ducasse. Jean-Sébastien Nys est à la maison avec sa compagne et il voit passer une annonce sur Facebook concernant la « RedBull Soap Box », une course à obstacles de caisses à savon connue dans le monde entier. Même s'il est parfaitement conscient de n’avoir que peu de chance d’être sélectionné, Jean-Sébastien décide tout de même de dessiner un croquis du dragon du Doudou dans une caisse à savon et d’envoyer sa candidature.
Quelques semaines plus tard, la bonne nouvelle tombait. La candidature du
Montois était retenue. Au début, Jean-Sébastien Nys ne voulait pas y croire. Comment avait-il pu être choisi sur près de 2000 candidatures ?
Après avoir digéré la nouvelle, Jean-Sébastien s’est rapidement rendu compte du projet d’envergure qui l’attendait. « J’ai directement contacté mes 5 amis du Clan des Combattants. Au total, nous avons passé plus de 150 heures de travail pour tout faire. Nous avons fabriqué les dents du dragon et nous y avons même ajouté la célèbre dent en or, que nous avons fabriquée avec une imprimante 3D ».
Revenu de son périple, le dragon du Doudou a une nouvelle fois été à la hauteur de la réputation des Montois. « Le dragon est revenu de son combat et cette fois c’est en vainqueur qu’il a repris la route, explique Jean-Sébastien sur sa page Facebook. « Il a réussi à conquérir le cœur des 10.000 personnes présentent sur le circuit. Je peux vous dire, que tout le monde sait aujourd’hui ce qu’est la ducasse de Mons. Ils ont tous compris que les Montois étaient les plus braves. Nous n’avons pas remporté de prix, mais
nous avons fini la course entière, dans un temps respectable. Comme toujours le public a été le premier et le meilleur des acteurs, au reflet de notre célèbre combat dit lumeçon. Pour ça je tiens à remercier toutes les personnes venues nous encourager, et nos sponsors sans qui rien de tout ça n’eut-été possible. Par ce que nous aimons notre ville, la représenter futun privilège. Merci aux membres de notre équipe qui ont juste été parfait du début à la fin », conclut le Montois.
La Bel Chic Events, une blonde légère, sera créer à l’occasion de la coupe du monde. Les amateurs de bonnes bières belges la connaissent déjà. La Bel Chic a en effet fait une entrée fracassante sur un marché qui est pourtant déjà largement fourni. Cet exploit est l’œuvre d’un homme, l'entrepreneur montois Pino Giarra. Propriétaire de plusieurs restaurants dans la région, Pino Giarra a la particularité de mener à bien chaque projet qu’il entreprend.
Comme le dévoilaient récemment nos confrères du Trends, Pino Giarra baigne dans l'Horeca depuis une trentaine d’années. Et cela fait une vingtaine d'années qu'il a lancé son propre resto, « La Mise en scène », aux Grands Prés à Mons, avant d'ouvrir un resto italien, « La Vita è Bella », puis plus récemment « L'Asie à Tik », aux saveurs orientales comme son nom l'indique.
Aujourd'hui, l'homme d’affaires compte cinq établissements en propre et quelques restaurants en franchise qui donnent du travail à 75 personnes. Son créneau ? Des établissements logés dans des centres commerciaux : aux Grands Prés de Mons, au Shopping de Nivelles, à Tournai ou La Louvière. Son secret ?
Proposer de la nourriture de qualité à des prix abordables dans des zonnes réunissant de nombreux clients potentiels.
Mais d'où vient l’idée de créer la Bel Chic ?
L’idée de créer la Bel Chic découle simplement de l’envie de Pino de faire plaisir à ses clients de de leur proposer une bière faite sur mesure. En effet, alors qu'il proposait de nombreuses variétés de bières dans ses restaurants, Pino Giarra a commencé à nourrir l'idée de servir à ses clients sa propre bière pour se démarquer. Il crée alors une bière blonde triple (10%) qui voit le jour en mai 2020. Pour mener à bien son projet, le restaurateur
fait appel à la brasserie La Binchoise. « On a commencé vraiment petit en proposant la Bel Chic seulement aux clients fréquentant nos restaurants. A l’époque nous avions des fûts jetables », confie Pino Giarra. « C’était incroyable, les gens en redemandaient. L'accueil a été tellement chaleureux que j’ai décidé de voir les choses en grand ».
C’est à ce moment précis que Pino Giarra décide de se consacrer exclusivement à la réussite de la Bel Chic et à son entrée dans la grande distribution. Un pari un peu fou quand on connaît les difficultés pour les petits producteurs d’entrer dans ce milieu très fermé. "Nous avons décidé de démarrer de manière très locale avec une présence limitée aux magasins de la région. Pour se faire connaître et permettre aux gens de découvrir ce nouveau produit, nous avons réalisé de nombreuses dégustations. Nous nous sommes rapidement rendu compte que le produit plaisait à de nombreuses personnes et qu’il y avait un intérêt grandissant. Evidement, les ventes ont suivi. C'est ainsi qu'on a pu être référencé au niveau national dans la plupart des grandes enseignes."
Une réussite aussi incroyable que méritée. En effet, en plus d’être distribuée dans près de 150 brasseries et d’être présente en France et en Espagne, la Bel Chic est désormais disponible dans les plus grandes enseignes du pays telles que Cora, Delhaize, Intermarché ou encore Carrefour. « La priorité reste le marché belge. Cependant, nous avons récemment eu des contacts avec l’Italie ou la Bel Chic sera bientôt distribuée. Je suis très heureux que ma bière plaise autant. Ça fait plaisir de pouvoir partager cette passion avec les gens. »
Maintenant que la Bel Chic est bien ancrée dans le paysage commercial des bières, Pino Giarra a comme ambition de créer sa propre infrastructure. Une micro brasserie qui pourrait voir le jour en 2025. Il a d’ailleurs récemment renforcé son équipe de commerciaux afin de s’imposer encore un peu plus sur ce marché concurrentiel. « Comme les ventes continuent à bien progresser, il est temps pour nous de songer à nous lancer et à créer notre propre micro brasserie », explique l'entrepreneur. « Nous sommes à la recherche de bâtiments industriels sur la région de Binche. Cela nous permettra de centraliser nos activités et aussi de faire rayonner notre marque et la Belgique ».
Cet été, Pino Giarra a lancé une nouvelle bière, la Bel Chic RED. Une bière aux fruits rouges et à la framboise. Et encore une fois, la nouvelle trouvaille de l'entrepreneur a cartonné. « La RED a vraiment bien fonctionné durant l’été. C’est une bière de dégustation qui est destinée à être consommée quand il fait bon ».
Toujours à la recherche de nouveaux challenges, Pino Giarra est sur le point de faire une énorme surprise aux amateurs de football et de bière. En effet, d’ici quelques semaines il sortira une nouvelle bière de soif. « Avec l’approche de la coupe du monde, l’idée m’est venue de créer une nouvelle bière qui peut être dégustée en regardant des matches de foot. Elle s’appellera la Bel Chic Events et fera 4,8 degrés. Contrairement à la Bel Chic RED qui est une triple a 10 degrés, la Bel Chic Event sera légère et pourra apaiser la soif des supporters des Diables rouges. »
Pour sa 2e édition consécutive le Festifood, organisé par le guide Michelin et l’ASBL Mangeons Wallon, a une nouvelle fois frappé très fort. En effet, le carré des Arts et les Abattoirs étaient noirs de monde. Tout au long d’un week-end, chefs étoilés et Bib gourmands ont fait découvrir leur savoir-faire a un public très nombreux.
Alors qu’il avait déjà attiré près de 28.000 personnes lors de sa première édition, le Festifood a cette fois accueilli pas moins de 45.000 personnes. Un chiffre incroyable, mais qui reflète l’engouement du public pour la gastronomie du terroir wallon.
Depuis le mois de septembre et le succès de la première édition du Festifood, il existait un réel engouement au niveau du monde politique, des professionnels et de la population pour la gastronomie wallonne. L’édition 2022 du Festifood a été un succès incroyable. Sur les 3 jours, près de 45.000 personnes ont découvert l’étendue du savoir-faire wallon. La volonté des organisateurs est évidemment d’offrir une vitrine aux chefs wallons et aux artisans locaux, mais au-delà l’ASBL "Mangeons Wallon" souhaite également faire profiter toute la région au travers l’organisation de ce genre d'événements. Les 45.000 visiteurs qu’a drainé l'événement ont également eu des répercussions sur les commerçants. Plusieurs d'entre eux ont
observé une augmentation de leurs ventes durant ces 3 jours. L’objectif de faire rayonner tous les acteurs de la région est donc atteint.
Des chiffres qui, comme le relatent nos confrères de la DH, suffisent à eux seuls à convaincre l'autorité locale de pérenniser l'événement. "En deux éditions seulement, c'est un événement qui s'est pleinement inscrit au calendrier montois", confirme Nicolas Martin (PS), bourgmestre. "Les festivaliers sont venus de toute la Wallonie mais aussi de Flandre ou de France. Le partenariat avec RTL lui a conféré une dimension nationale et a élargi son rayonnement."
L'événement pourrait dès lors devenir incontournable pour les fins gourmets. "Il permet à chacun de profiter d'une cuisine gastronomique à prix abordable. On est sur un événement populaire et convivial mais de très grande qualité, les chefs étant sélectionnés pour l'excellence de leur cuisine. Les retours au niveau de l'organisation sont en tout cas très positifs. L'édition 2023 est d'ores et déjà confirmée (un contrat de trois ans avait été signé, NdlR) et nous espérons aller au-delà de l'échéance."
Le tartare
dessert
L’apéritif
kir
boeuf de Salers, haché et préparé minute, frites, salade et mayonnaise
d’agneau fermier,
boeuf wagyu mijotés
cèpes,
à l’ancienne
changement au menu entraînera un supplément. A PARTAGER POUR L’APÉRITIF
Le jambon de chez Ospital
terrine maison et
Le gratiné de soupe
croquettes
mois
l’oignon
vieux
carpaccio de boeuf Holstein façon Harry’s
foie gras de canard à l’armagnac fait maison, confiture d’oignons, brioche
picanha de boeuf Wagyu grade
gnocchis
à 9 sauce chimichuri
Campari
Halloween Mons’tre - animations déambulatoires dans les quartiers commerçants -samedi 29 octobre Les associations de commerçants et la Gestion Centre Ville Mons vous invitent à la grande fête d’Halloween dans le cœur de ville !
- ANIMATIONS DEAMBULATOIRES en présence de représentants déguisés de l’académie de sabre laser « Solaris et Tenebris », du fameux LOUGAROCK, cette marionnette de loup de 3 mètres de haut, jamais effrayante mais toujours impressionnante de la Cie française Le Théâtre du Vertige.
- BALADE CONTEE DANS UN BUS SCOLAIRE (départ de la Grand’Place) : le temps d’une balade, un étrange personnage, accompagné de fées ensorcelantes, raconte des histoires qui font peur aux passagers téméraires.
- BALADE A BORD DU DRAGOBUS (départ de la Place du Marché aux Herbes) : en route pour l’aventure à bord du Dragobus, une étrange créature au pelage bariolé !
- Grimage POUR ENFANTS, distribution de bonbons et de ballons !
- CONCOURS DE CITROUILLES
DECOREES* SUR LA PLACE DU MARCHE AUX HERBES : Tout visiteur votera pour sa citrouille décorée préférée parmi les trois catégories : 3-6 ans, 7-12 ans et plus de 13 ans.
Toutes les animations sont gratuitES et organisée dans une ambiance familiale! Pour une ambiance encore plus mons’trueuse, petits et grands peuvent revêtir leurs plus beaux déguisements!
De nombreux commerces du centreville organisent également des actions spéciales pour Halloween !
* inscription obligatoire pour le 17 octobre au plus tard à accueil@
Le 25 novembre, venez profiter des offres et promotions spéciales des commerçants du centre-ville à l’occasion du « Local Friday ». Le moment idéal pour prévoir vos cadeaux de fin d’année en évitant le stress de dernière minute. Offrir, sans oublier de se faire plaisir avec du local en profitant d’offres spéciales, alors pourquoi passer à côté ?!
Pour rythmer le plaisir de cette journée shopping spéciale, vos achats sont récompensés ! Venez tenter votre chance sur notre machine à pince comme à la foire, de nombreux lots sont à gagner !
Les samedis 26 novembre et 3 décembre, venez rencontrer Saint-Nicolas et ses amis Mickey, Minnie, Bourriquet et Stitch, dans le centre-ville de Mons à bord de leur sympathique triporteur de « Triobalade ».
Le samedi 26 novembre de 14H à 18H :
GRANDE RECOLTE DE JOUETS : le Grand Saint et ses amis réceptionnent vos cadeaux en bon état pour en faire don à des enfants fragilisés. Plusieurs arrêts sont effectués dans les quartiers commerçants. Chaque enfant qui remet un jouet en bon état reçoit une petite surprise de la part de Saint-Nicolas (dans la limite des stocks disponibles). Cet événement est bien sûr caritatif mais s'inscrit également dans une démarche durable et écologique car une seconde vie est donnée aux jouets !
Vous avez raté Saint-Nicolas et ses amis le 26 novembre ? Retrouvez- les également le samedi 3 décembre de 13H à 16H dans les quartiers commerçants pour faire de jolies photos souvenir !
Programme sous réserve de modifications. Infos : page Facebook et Instagram: Mons Gestion Centre Ville ; www.monscentreville. be ou 065/405.885 - Flyer disponible auprès des commerçants du centre-ville et de VisitMons.
La Cour des Dames met à votre disposition sa grande salle de réception tous les week-ends Fêtez chez nous votre mariage et vos fêtes familiales
Salle de réunion / réception de 2 à 100 personnes Catering sur mesure -
Restaurant ouvert du lundi au vendredi midi et soir Brunch chaque dimanche de 10h à 15h
Accès PMR
Proche de l’E19 et E42
Vaste parking privé gratuit
Rue de Saint-Denis, 202 7034 Obourg - +32465492622 lagrange@ courdesdames.be
La saison de Mars – Mons arts de la scène vient d’être lancée. Et le moins que l’on puisse dire c’est que les spectateurs découvriront une programmation de qualité qui suscitera émotions et réflexions. « Cette année sera placée sous le signe de la joie, celle de se retrouver en collectivité, après tant de privations sociales », explique Anya Scuflaire, en charge de la communication. « Pour célébrer ces retrouvailles, nous proposons des spectacles grand plateau, de belles aventures humaines. Et puis, comme chaque année, il y aura un éventail de concert ouverts à toutes les sensibilités, entre musiques du passé, d’ici ou d’horizons éloignés, et créations du présent. Et aussi du cirque, de l’impro ou encore du slam. »
Sur Mars, plusieurs programmateur.rices travaillent toute l’année pour choisir des spectacles diversifiés et de qualité, qu’il s’agisse de théâtre, de danse, de musique, de cirque ou de jeune public. « C’est un grand voyage vers l’altérité qui vient teinter la saison 22-23, que ce soit dans les fictions proposées, la musique aux sonorités d’ailleurs ou les projets citoyens. Une saison qui fait la
part belle à nos différences et à nos vulnérabilités. Une saison où on écoute celles et ceux qui sont invisibilisé.es. »
La saison 2022-2023 de Mars sera également articulée autour de plusieurs festivals qui mettent en lumière des questions qui touchent nos sociétés. « Cette saison aura lieu la 3e édition de Guerrières où des artistes femmes ou qui se revendiquent comme telles prennent les plateaux pour parler d’émancipation, de liberté de disposer de son corps, d’inégalité de genre, de race et de classe", continue Anya Scuflaire.
« Il y aura aussi le Festival Demain. Inspiré du film homonyme, et il part de ce postulat : face aux crises écologiques et sociales, il existe des solutions positives et réalisables. Organisé en partenariat avec des associations, des citoyens et des artistes, il permet de penser ensemble les transitions. Et puis il y aura le Festival Musiques Sacrées qui mettra à l’honneur les cultures musicales du monde entier et la Mons Street Party qui fera la part belle aux cultures urbaines... Sans oublier le Festival au Carré qui célèbre joyeusement l’arrivée de l’été. »
Un pilier : la création et de la proximité Chaque année, Mars accompagne une quinzaine. « Ce métier d’accompagner les artistes dans l’aventure extraordinaire de créer, Mars le réalise grâce à des outils (salle de répétitions), des savoirs-faire, et des réseaux uniques et précieux (coproductions, artistes associés, festivals internationaux). La proximité avec la Ville et le citoyen sont aussi au coeur du projet de Mars. Nous nous fixons pour mission d’ouvrir toujours plus grandes les portes des lieux et d’aller chercher les questions aux coins des rues où elles se posent. Le projet Mars œuvre à se rapprocher toujours plus des écoles, des commerces, des associations, des musées et autres institutions culturelles pour ne faire qu’un avec la cité ».
Le théâtre du Manège donnera son identité et son nom à Mars Le tournant que prend en 2002 le théâtre du Manège constitue un bouleversement particulièrement ambitieux dans le paysage culturel montois. En effet, Yves Vasseur, fraîchement nommé directeur de l’institution propose de fusionner deux institutions culturelles tournées vers la création et l’accompagnement des artistes (le Centre Dramatique Hennuyer et Musiques Nouvelles) avec un acteur essentiel dans la diffusion et la promotion des arts du spectacle (le Centre Culturel de la région de Mons).
La nouvelle structure montoise, appelée le manège.mons, est alors jumelée avec sa soeur maubeugeoise, pour renforcer et diversifier la proposition culturelle à Mons et à Maubeuge, et affirmer un partenariat transfrontalier, pertinent dans une logique européenne.
Les deux Manège(s) structurent leur communication en une seule brochure et créent des ponts inexistants entre deux régions pourtant si proches. L’inauguration du Théâtre Le Manège en 2006, sur les fondations d’un ancien manège militaire, donne à Mons un lieu fabuleux pour la création contemporaine, son nom est identique à la scène dont il est complémentaire à Maubeuge. Les liens avec la France se renforcent lorsque, dans la foulée de Lille 2004, Capitale européenne de la Culture, sont ouvertes les Maison Folie de Mons et de Maubeuge.
Dans la perspective de Mons 2015, Capitale européenne de la Culture, l’institution met son existence propre et son partenariat structurel avec le Manège de Maubeuge entre parenthèses
pour porter à bout de bras plusieurs grands volets de la programmation artistique ainsi que la gestion administrative de Mons 2015.
Plus qu’un changement de nom, c’est une véritable renaissance Mars – Mons arts de la scène : ce changement de nom incarne le nouveau projet post Mons 2015. Dirigé par Philippe Degeneffe depuis 2016, Mars entend poursuivre les métamorphoses
auxquelles il a participé, tout en capitalisant sur son expertise de création.
Au-delà de la réflexion sur son identité, l’institution a mis en place un processus participatif, en interne et en externe, pour arriver à ce renouvellement. Elle voulait réaffirmer par là sa considération pour le public, porter avec toutes ses équipes un projet commun et clarifier auprès de tous son identité.
L’ancien nom manège.mons, faisait référence directement à l’un des 10 lieux gérés par Mars : le Théâtre le Manège. Cela créait une confusion à plusieurs niveaux. En changeant de nom, Mars se rapproche de sa véritable identité unique et multiple. Il n’est pas uniquement un théâtre de création, mais une multitude de lieux, de personnes, de disciplines artistiques et de projets culturels.
Ce nouveau départ marque également la fin de la relation structurelle avec le Manège de Maubeuge, même si de liens forts persistent et se concrétiseront autour d’un projet transfrontalier annuel. C’est également le début d’une complicité de projets, non seulement avec son ancien partenaire, mais aussi avec de multiples structures belges et internationales, dans la continuité du réseau de Mons 2015.
Fabriqué à partir d’alcool neutre et d’une infusion d’aromates dont les baies de genièvre, le Gin connaît depuis plusieurs années un véritable engouement en Belgique. Le gin est d’abord apparu aux Pays-Bas espagnols au 17e siècle sous le nom de "Genever". Il s'est ensuite rapidement répandu outre-manche où de nombreuses distilleries anglaises sont mises à produire un alcool proche du Genever baptisé "Gin"".
Les Pays-Bas et l'Angleterre sont les principaux producteurs de Gin, mais leur monopole historique tend à disparaître. En effet, la production de Gin est en constante augmentation en Belgique, en France, au Canada, en Écosse, en Irlande, au Luxembourg, en Allemagne, aux États-Unis, en Italie, en Suisse ou encore dans les Baléares, sur l'île de Minorque. Comment est fabriqué le Gin ? Les professionnels fabriquent le gin à l’aide d’un alambic et
utilisent de l’alcool neutre (en général à 80-90% de teneur en alcool) qu’ils vont ensuite distiller et infuser avec des aromates. En général c’est un alcool neutre à base de farine de grains (céréales comme le maïs, le blé ou le seigle) qui va être distillé et aromatisé. Pour l’aromatiser, il existe plusieurs méthodes telles que l’infusion (faire infuser les aromates comme les baies de genièvre, la réglisse…) ou encore la macération. Une fois le processus d’aromatisation terminé, il faut procéder à une dilution de l’alcool avec de l’eau pour atteindre la teneur en alcool désirée.
Comment faire son Gin à la maison ?
En résumé voici les 5 étapes pour faire votre gin chez vous : Etape 1 : Achat d’une vodka avec 50% de teneur en alcool Etape 2 : Infusion avec les baies de genièvre Etape 3 : Ajoutez les aromates Etape 4 : Dilution et embouteillage Etape 5 : Mise en bouteille
Les professionnels utilisent de l’alcool neutre à 90% de teneur en alcool qu’ils distillent ensuite dans leurs alambics.
Lorsque vous faites votre propre Gin, vous avez rarement un alambic à disposition dans votre cuisine. Par conséquent, la solution est de prendre une vodka qui est déjà distillée et que vous allez aromatiser ensuite.
Faites attention cependant à prendre une vodka dont la teneur en alcool se situe entre 50 et 60% puisqu'une teneur supérieure ou inférieure risquent de vous offrir des saveurs peu agréables en bouche. Les vodkas vendues en supermarché sont en général aux alentours de 37,5% en alcool. Il vous faudra donc choisir une vodka plus forte.
Les baies de genièvre restent l’ingrédient principal de l’infusion du Gin. Pour les infuser, vous avez deux possibilités. Vous pouvez utiliser un récipient ou une casserole ou tout simplement vider une partie de la vodka (30 cl environ) et réaliser l’infusion directement dans votre bouteille de vodka. Pour cela il vous suffira de vous munir d’un entonnoir.
En général vous pouvez compter 25 grammes de baies de genièvre pour 70 centilitres de vodka. L’idéal sera bien sûr de prendre des baies de genièvre fraîches puisqu’elles dégageront plus de saveurs et d’huiles dans votre Gin.
Si vous écrasez les baies de genièvre avant de les infuser, une trentaine de minutes peuvent suffire pour l’infusion. Si vous les laissez fraîches, vous pouvez les laisser infuser 24 heures selon votre goût. Plus vous laissez les baies de genièvre s’infuser, plus le goût de votre Gin aura tendance à se tourner vers le boisé. A vous donc de décider du goût que vous aimez pour votre Gin, en goutant régulièrement.
Pendant cette dernière étape, vous pourrez utiliser les botaniques de votre choix selon votre goût.
Si vous avez de la coriandre fraîche ou du romarin dans votre jardin, vous pourrez aisément les faire infuser dans votre Gin. De même, vous pourrez réutiliser l’écorce de citron ou l’écorce d’orange pour la faire infuser. En général, vous pouvez faire macérer ces ingrédients une douzaine d’heures dans votre Gin. Si vous voulez un Gin très citronné, vous pourrez laisser macérer l’écorce de citron un peu plus longtemps que le reste.
Voici quelques conseils pour différentes saveurs de gin : Un Gin frais et citronné : utilisez des zestes d’agrumes, de la coriandre fraîche (30 à 40 minutes de macération peuvent suffire).
Un Gin boisé : n’hésitez pas à laisser les baies de genièvre infuser assez longtemps si vous aimez le Gin boisé. Ensuite vous pourrez infuser de la réglisse, de la cannelle ou du thé noir.
Un Gin floral : la bergamote, le gingembre ou encore les pétales de rose se marieront à merveille.
Un Gin aux saveurs méditerranéennes : romarin, basilic et herbes fraîches.
Vous pouvez séparer la vodka dans différents récipients et y faire infuser les ingrédients séparément avant de vous essayer à différents assemblages.
Comme souvent, le mieux est d’essayer et de trouver le meilleur équilibre. Pour des herbes fraîches, une heure suffit à imprégner des saveurs à votre Gin.
Nous avons conseillé une vodka à 50% d’alcool en volume ce qui est en général un peu fort. Par conséquent, nous vous conseillons de vous tourner vers une dilution avec de l’eau minérale.
Si vous souhaitez diluer 75 cl de vodka à 50% vers une vodka à 40%, il vous faudra 18cl d’eau.
La mise en bouteille est l’étape la plus simple et pourtant la plus importante. Vous venez de créer votre propre Gin grâce à une recette qui vous ressemble. Alors quoi de plus normal de prendre le temps de choisir une bouteille qui vous ressemble tout autant ?
Lancé en 2020 le Gin de Mons est le résultat de la création de 3 amis d'enfance fières de leur ville. Il vous surprendra par sa finesse, sa rondeur et ses notes atypiques. Son odeur ainsi que son goût raviveront la traditionnelle tarte aux groseilles à maquereaux que les Montois se partagent durant le Doudou pour un résultat 100% Montois. « Nous voulions créer un Gin capable de rendre hommage à Mons, aux Montois et à notre folklore. C’est pour cela que nous avons décidé de travailler avec les groseilles à maquereaux car cela rappelle les tartes aux groseilles qui sont au centre du folklore de notre ville », confie l’un des créateurs du Gin de Mons.
La groseille à maquereau est donc le fruit principal de ce Gin. Son odeur ainsi que son goût vous surprendront à coup sûr ! Le Gin d’Mons est distillé en Hainaut. Mons étant le chef-lieu de la province, c’était une évidence pour ses créateurs de se tourner vers la réputée Distillerie de Biercée pour concevoir leur produit. « Vous pouvez remarquer que le Beffroi ainsi que le Singe du Grand-Garde figurent sur notre logo, ils sont tous deux des symboles de notre Ville. Plusieurs clins d’œil à Mons et à son folklore sont présents sur l’ensemble de notre bouteille. Nous voulions un produit local, c’est pourquoi, nous nous sommes tournés vers différents indépendants Montois pour travailler notre bouteille. Nous avons par exemple fait appel à un tatoueur de Nimy pour la création de notre étiquette ».
Les Montois ne périront pas ! Telle est la devise de la ville présente sur la bouteille. C'est une bonne façon de montrer que la région de Mons nous réserve bien des surprises. L'hommage ne s'arrête pas là, nous retrouvons sur l'étiquette le célèbre Beffroi montois qui est reconnu par l’UNESCO depuis 1999 dans le cadre des ‘Beffrois de Belgique et de France’ et qui est également le seul beffroi baroque de Belgique. Ainsi que le portebonheur de la cité Montoise, Le Singe du Grand'Garde! Distillé et embouteillé à la Distillerie de Biercée, le Gin de Mons contient un assemblage d’ingrédients qui lui permettent d’avoir ce goût si prisé par les connaisseurs. Génièvre, cardamone, citron, orange, houblon, fève de cacao ou encore groseille à maquereaux...il y en a pour tous les goûts. Le Gin d'Mons est d'une incroyable rondeur, il se différencie par ses douces notes de fruits rouges qui apparaissent immédiatement, les saveurs florales et herbacées apparaissent ensuite avec des notes subtiles d'agrumes (orange/citron) avec une amertume toute en élégance. Il s'appréciera tel quel, avec ou sans glaçons. Pour le Gin tonic, mieux vaut utiliser un tonic présentant peu d'amertume de type "ginger ale". Décorez ensuite avec un zeste d'orange, quelques framboises et baies de genévrier.
Tout a commencé un soir de mars 2017, le jeu de mots est lancé lors d’une rencontre entre amis : Gin de Binche ! La formule amuse tellement la galerie que Jérôme et son épouse Céline décident de créer cette nouvelle marque de Gin. Après 9 mois de gestation, l’éclair de génie folklorique donnera naissance à un véritable succès commercial. Hommage bon vivant au folklore binchois, l’alcool élaboré par un maître-distillateur laisse dominer les arômes d’orange sanguine. Même la bouteille emprunte la forme des pavés de la célèbre cité des Remparts.
Un produit 100% local Depuis sa création, le Gin de Binche a déjà décroché plus de 12 médailles dont la double or à New York, la "Platinium" (la plus haute distinction) à San Francisco, l’or au concours 2018 et 2019 des spiritueux de Bruxelles ou encore l’argent à Berlin, Londres et Las Vegas. Tous ceux qui goûtent ce produit l’adoptent. Un tel engouement que certains palais font déjà l’honneur de le qualifier comme l'un des meilleurs Gin belges.
En 2020, le Bitter a d’ailleurs décroché une médaille d'Or au concours mondial de Bruxelles et La « Plus Oultre Distillery » le titre de distillerie de l’année à New York. « Nous souhaitons travailler uniquement avec des cavistes indépendants, épiceries fines, magasins spécialisés, magasins à la ferme, chocolatiers... que nous considérons comme les meilleurs ambassadeurs de la qualité désormais reconnue de notre produit. En Belgique, nos clients horeca sont bien souvent des établissements étoilés ou reconnus dans le secteur», confient Céline et Jérôme.
Originaires et habitants Binche, Céline et Jérôme aiment le Gin mais aussi leur ville, là où prend racine leur aventure entrepreneuriale de terroir. Tous deux s'occupent de la vente directe aux revendeurs et évitent les centrales d'achat, tant pour des raisons de stock que d'image de marque.
Tous les composants et partenaires de la distillerie sont sélectionnés pour leur qualité, mais aussi pour leur proximité géographique. Céline et Jérôme veulent un produit local confectionné avec des partenaires locaux. Même sur la bouteille du Gin, les informations sont directement sérigraphiées dans le verre par un artisan local.
Après ces débuts, en 2020, "Plus Oultre Distillery" a lancé deux nouveaux spiritueux : le Bitter "Plus Oultre" et la Vodka de Bintje. Quelque temps plus tard, en 2022, ce sont trois nouveaux produits qui ont vu le jour, la Bonespéreuse, le Rhumble et enfin le Black Lion. Ceci, toujours en suivant ses valeurs de production de qualité, selon des méthodes artisanales et des arômes toujours naturels.
Urbain-Harvengt, deux amoureux de leur ville, distillent leur passion commune pour des spiritueux de qualité gastronomique et de proximité géographique.
Un nom choisi par ses 4 créateurs pour marquer leur appartenance à la Ville de La Louvière
Parmi les nombreux Gin fabriqués dans la région, il faut désormais incontestablement compter sur le Luperia. Ce breuvage qui gagne en notoriété est le fruit de l’imagination, de la solidarité et de l’amitié de quatre Louviérois, désireux de faire de la passion une activité complémentaire.
Eté 2019, les 4 amis se retrouvent comme ils le font si souvent.. Passionnés de gin depuis des années, l’un d’eux propose un projet grâce auquel ils seraient capables de mettre sur pied leur propre marque de gin tout en jonglant avec leur métier respectif.
L’idée semble folle et pourtant, Stéphane Delhaye, Laura Rutze, Anthony Amoroso et Sébastien Lahaye se lancent dans l’aventure. Il ne leur faut que quelques semaines pour faire naître le « Luperia Gin ». Un nom choisi par les 4 amis pour marquer leur appartenance à la Ville de La Louvière. En effet, les créateurs du Luperia voulaient un nom qui fasse écho à leur ville natale sans que cela ne soit non plus trop marqué afin de pouvoir nourrir l’espoir de s’exporter dans les autres villes du pays. Une appartenance louvièroise qui se devine également à travers l’étiquette sur laquelle on retrouve la louve si chère aux Louviéroises et Louviérois.
L’originalité du produit tient également au fait qu’il a pour but d’être savouré dans sa plus simple forme. En effet, dès sa conception, les 4 amis voulaient que les clients puissent le goûter avec un tonic neutre mais surtout qu’ils puissent le boire pur. Ils ont ainsi expérimenté une trentaine de recettes différentes avant d’opter pour un gin aux accents d’agrumes avec des notes de pamplemousse et de citron vert. Un Gin qui peut donc se déguster dans sa forme la plus simple ou être accompagné de quelques baies de genévrier et d’une rondelle de pamplemousse. L’attaque en bouche est franche avec ces notes d’agrumes qui explosent. Pour sa part, la finale est sèche et très typée Gin.
Distillé à la Clyde Distillery, une petite distillerie située à Trois-Ponts, le Gin Luperia a l’avantage de ne contenir aucun colorant. Dès le début de leur collaboration avec la distillerie, les 4 amis ont convenu qu’ils n'ajouteraient ni sucre ni colorant et qu’ils n’utiliseraient que des fruits frais et non des fruits séchés. Les ingrédients eux sont placés dans un alambic et chauffés en présence d’alcool jusqu’à ébullition. Les vapeurs aromatisées sont ensuite condensées et seule la meilleure partie du distillat, appelée le « cœur » est conservée pour produire le Luperia Gin.
Nouveau Gin artisanal élaboré par la Taverne de l'hôtel de ville à Ecaussinnes, le Scaucia est distillé par la Distillerie Gervin à partir de baies de genévriers avec des soupçons de pomme et d’hibiscus. Pour le déguster dans les meilleures conditions possibles, il est conseillé de l’accompagner de Tonic neutre ou d’hibiscus.
Amateur de Gin, Sébastien Plaisant souhaitait créer un Gin qui ne ressemblait pas aux autres. En effet, ce nouveau Gin "Scaucia" n'a pas une couleur claire comme les gins traditionnels mais se rapproche davantage de la couleur du Cognac. Avec ses saveurs de pommes et d'hibiscus, le Scaucia est
le résultat des talents de cuisinier de Sébatien Plaisant qui a travaillé de très nombreuses heures pour trouver le juste mélange des saveurs. En effet, la confection d’un Gin représente de très nombreuses heures de tests. Il faut d’abord imaginer une recette, vérifier que les goût s’associent parfaitement et ensuite la goûter avec différents tonics afin de trouver qu’elle est la meilleure association qui permettra aux gens de profiter pleinement des saveurs du produit. Une recette qui pourrait d’ailleurs encore évoluer avec le temps et les aspirations du cuisinier.
Très peu de temps seulement après sa sortie, le Gin Scaucia a connu sa première consécration. Il a en effet été primé à Francfort en avril dernier en remportant une médaille d’or. Un exploit dont son créateur peut être fier. En effet, le brevage de Sébastien Plaisant a été primé dans ce grand concours réunissant plus de 4000 échantillons provenant de près de 50 pays.
Le Soné’Gin de Soignies est venu étoffer l’offre de Gin de notre région. Un Gin naturel au goût épicé, 100 % artisanal et fabriqué selon une méthode traditionnelle, c’est l’objectif que s’est lancé un couple de Sonégiens. Élodie Gorez et son compagnon Jean-Marc Defer voulait un Gin qui leur ressemblait et qui en même temps leur permettait de mettre leur ville à l’honneur.
Confectionné à la distillerie du Dr. Clyde située dans la région Liégeoise, le Soné’Gin est composé uniquement de produits naturels et de façon artisanale et traditionnelle.
Il est fait à partir de plantes aromatiques soigneusement sélectionnées pour produire un gin de qualité au goût épicé. Élodie Gorez et son compagnon Jean-Marc Defer ne voulaient pas un gin dans lequel on avait rajouté des arômes artificiels. Ils voulaient quelque chose de très naturel destiné à plaire au plus grand monde.
Amateur de Gin, Sébastien Plaisant souhaitait créer un Gin qui ne ressemblait pas aux autres.
Confectionné à la distillerie du Dr. Clyde située dans la région Liégeoise, le Soné’Gin est composé uniquement de produits naturels et de façon artisanale et traditionnelle.
Au vu des enjeux actuels, il est capital de comprendre que plus qu’un système, nous sommes dans un « ECO-Système » qui nécessite la cohabitation des différents modes de déplacements.
Nous avons constaté un développement considérable d’une nouvelle offre de services poussée par la croissance fulgurante d’une accélération digital frénétique qui nous permet de disposer d’outils ultra performants pour améliorer l’expérience client.
Alors que la culture chinoise nous apprend que 2022 est dessinée sous l’année du Tigre, décrit comme un animal imprévisible et inaccessible, nous pouvons conclure que cette année sera marquée par des évènements inattendus.
En effet, des changements importants sont à venir, changements qui bouleverseront la dynamique sur laquelle nous nous sommes « assis » ces dernières années.
Et ces changements concernent notamment notre façon de nous mouvoir, de nous déplacer bref, de notre mobilité. A l’ occasion de la rencontre du Club Synergie en date du 15 octobre prochain, j’ai le plaisir de partager ma vision de la #Mobility.
C’est l’occasion pour nous notamment d’aborder la notion de MAAS (Mobility As A Service) dans laquelle une présentation sera faite des canaux de mobilité et des solutions qui existent.
Intelligence artificielle, Big Data, Aides à la conduite, sont des notions qui envahissent notre quotidien et nous devons nous préparer à les accueillir car elles auront une place prépondérantes dans les années à venir. Le changement est en marche et nous devons nous préparer à un changement de paradigme.
Parallèlement, nous mettrons en avant la voiture car elle demeure en Belgique un des outils de déplacement par excellence et qui elle aussi connait une transformation de son offre de service et, surtout, de mode d’alimentation.
Essence, Diesel, Hybride, Plug-in Hybride, Hydrogène, nous observons une multitude de nouvelles technologies qui posent question, plus particulièrement aujourd’hui avec la crise énergétique que nous traversons alors que le projet Européen est de stopper la vente de véhicule thermique neuf à l’horizon 2035.
Questions et réponses le 15 octobre 2022.
Dany LORENT Automotive AnimatorVENEZ
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