Portfolio

P O R T F O L I O

architectural

Pierre Martin-Lefèvre étudiant en master

F O R M A T I O N

2022 - 2023

2019 - en cours

Technische Universität München

Master d’Architecture, Echange

Ecole Nationale Supérieure d’Architecture Paris la Villette Master d’Architecture

2019 - en cours Ecole Spéciale des Travaux Publics, ESTP Paris

Master en Ingénierie du bâtiment

2017 - 2019

Lycée Clemenceau, Nantes

Classe Préparatoires aux Grandes Ecoles, PC* Mathématiques, Physique, Chimie

2014 - 2017

Lycée Jean De Lattre de Tassigny, La Roche sur Yon

Double diplôme Baccalauréat et Abitur, Mention Très Bien

Sept 2023 - Fev. 2024

Transsolar Klimaengineering, Munich

Stage ingénieur, simulations climatiques, confort thermique Collaboration étroite avec les architectes

Juin 2021 - Sept. 2021 BEC Construction, Montpellier

Stage ingénieur, conducteur travaux Chantier de construction de 60 logements et d’un EPHAD

MS Office

CAD/BIM

Adobe CC

Word | Excel | PowerPoint

Autocad | Archicad | Rhinoceros+Grasshoper

InDesign | Photoshop

Rendering Lumion L

Français

Langue natale

Allemand C1

Anglais C1

E N C O L L A B O R A T I O N avec : Rémi Koumakpayi

• 12000m² d’espaces de production

• Munich, quartier de la Großmarkthalle

Le bâtiment doit être capable d’absorber les changements d’usage et d’offrir différentes alternatives de vie, afin de pouvoir résister à la succession des générations et des sociétés.

En s’attachant à cette idée d’adaptabilité et de résilience, devant permettre de libérer les surfaces, le bâtiment s’articule autour d’un dispositif bien particulier : la colonne avec quatre éléments en L. Sa porosité permet d’inclure les différents réseaux du bâtiment, de manière réversible, s’adaptant alors aux différents usages au cours du temps.

P R O F E S S E U R : Jeannette Kuo

Ainsi, l’organisation des colonnes, se développant en grille et formant un champ de colonnes, conduit à différentes situations spatiales. Le rythme des colonnes peut agir comme limite spatiale en créant des espaces de différentes tailles adaptées aux usages. Ou bien, cette organisation peut former un plan libre et paysagé, s’entremêlant à la forêt de colonnes. Certaines colonnes peuvent accueillir les réseaux d’eaux et articulent ainsi l’organisation interne des usages.

Le projet profite ainsi des qualités d’ordre et d’isotropie pour générer une résilience ludique à travers les règles établies pour une libre disposition des surfaces.

Cooling/Heating by Radiant Panel Duct Exhaust Air

Supply Air via Flap

Exterior Curtain for Sun Protection

Détails de la colonne

Coupe climatique

Vue intérieure - étage de production

E N C O L L A B O R A T I O N avec : Luca Reus, Victor Soulié Petersen

◊ 5000m² d’ateliers

◊ Rotterdam

Le projet s’installe en relation avec un bâtiment «hôte», ancienne usine du port de Rotterdam. Il s’agit de se réapproprier le bâtiment existant puis d’y adjoindre un nouveau bâtiment et de définir la nature de leur relation.

Le choix de perpétuer une forme d’agglomération du bâti, déjà préexistante, crée le nouvel ensemble. La galerie en briques fait le lien avec l’ancienne usine et est solidement rattaché à l’existant. Les deux autres volumes se veulent plus libres et légers, se détachant par une structure «transfert».

P R O F E S S E U R S : Stephen Bates | Bruno Krucker

L’organisation interne, suivant un plan libre avec une distribution verticale entre l’existant et la nouvelle galerie, se veut très libre, garantissant ainsi l’absorption des changements d’usages et le caractère de résilience de l’ensemble.

Le thème de la résilience possède une grande pertinence, puisqu’il véhicule l’idée que les bâtiments doivent être conçus et construits pour durer. Pour ce faire, ils doivent incarner une tolérance inhérente à absorber le changement, à adopter sans cesse de nouveaux usages. Les différentes structures et trames structurelles fournissent un paysage qui permet aux plans d’être contingents mais aussi offrant un caractère à l’espace.

Maquette de la façade

D U P A R C A U C A N A L

Nouveau réseau Parc-canal

Voie ferrée

Fort de Romainville

E N C O L L A B O R A T I O N avec : Quentin Petremant | Thibault Graves | Rémi Cucci

◊ Plan de restructuration urbaine ◊ Villes de Romainville et Pantin

L’exercice concerne l’élaboration d’un projet urbain contextuel qui croise et synthétise les échelles de la ville, du quartier et du tissu urbain et vise au renouvellement et au développement urbain d’une aire urbaine résidentielle du territoire d’étude.

Le projet aborde de manière plus approfondie l’habitat à l’échelle urbaine et le dessin d’une « urbanité paysagère ». Il permet d’explorer la question d’une forme urbaine générique répondant aux objectifs de densité attendus d’un tissu de première couronne parisienne, aux valeurs urbaines, civiles et fonctionnelles d’une grande voie, et aux aspirations résidentielles contemporaines interrogeant notamment un certain rapport à la nature.

Parcs

P R O F E S S E U R S : Philippe Chavanes | Christian

Horn

L’intention principale du projet est donc de suggérer une nouvelle continuité entre le haut Romainville jusqu’au canal au nord et en dessinant des voies paysagères nord-sud.

Aussi la transformation du tissu urbain permet de révéler la lisière des parcs, conserver, compléter un tissu ancien et réparer un tissu industriel à l’abandon.

S’appuyant sur trois strates urbaines estouest, le dessin du tissu urbain transformé fait apparaitre différentes typologies bâties d’habitat.

Maquette

Du coteau au canal, différentes typologies

PLAN ETAGE COURANT

Plan d’étage courant

PLAN RDC

Plan de rez-de-chaussée

COUPE A

Typologie 2 : Au bord du canal

ECHELLE 1/500e

C'

COUPE DD'

PLAN D'ETAGE COURANT

PLAN REZ-DE-CHAUSSEE

Plan de rez-de-chaussée

Plan d’étage courant

Pour ce projet d’habitations, il nous est proposé de dessiner un immeuble d’habitation d’une petite centaine de logements. La parcelle imposée se situe au Pré-Saint-Gervais, non loin de Paris. Elle s’inscrit entre la cité jardin et le cimetière de la municipalité. Une des particularités du site est son fort dénivelé ainsi que son étroitesse.

En partant de la conception d’un logement type, la difficulté de l’exercice réside en l’imbrication répétée de cet élément fondamental, en l’inscrivant de la manière la plus adaptée dans la parcelle. Des jeux de différences de niveaux à l’intérieur des logements créent des espaces libérateurs, et articulent le bâti au dénivelé du site.

P R O F E S S E U R S : Olivier Chaslin | Stéphanie Bourlis

Dans l’épaisseur du bâtiment, les logements sont traversants, offrant un ensolleiment tout au long de la journée. De larges loggias s’ouvrant à l’ouest ou au sud apportent aux logements de véritables espaces extérieurs. Les cuisines viennent prolonger le séjour et un espace salle à manger. De plus un système de jardins d’hiver le long de la façade ouest permet une adaptation saisonnière de l’habitat.

Les pièces de l’habitat ne sont alors plus organisées radialement par rapport au salon, et n’ont plus d’usage défini. On peut donc imaginer un renouvellement des usages au fil des générations et des habitants qui se succèdent.

Maquette du jardin d’hiver

Elevations rue Vaillant et rue Faidherbe

T R A V A I L I N D I V I D U E L

◊ Ecole primaire, 16 classes, 1 gymnase

◊ Paris

Le but de l’exercice était de dessiner une école élémentaire de 16 classes. La parcelle de l’exercice se situe le long du boulevard de Ménilmontant, face au cimetière du Père-Lachaise, et fait face à la remarquable basilique Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours au nord. Cette situation exceptionnelle pousse le projet à s’ouvrir très largement et offrir de nombreuses vues sur son environnement.

Dès lors, une intention particulière du projet est la volonté de créer de larges espaces lumineux et intérieurs, où les élèves peuvent s’épanouir.

P R O F E S S E U R S : Olivier Chaslin | Denis Gabbardo

Le bâtiment épais contenant les salles de classe exploite l’orientation est-ouest, idéale pour une salle de classe. Le large couloir central est un lieu très lumineux, puisqu’il est largement ouvert au nord et au sud, et est tout du long ajouré par de larges puits de lumière. Ce large couloir encourage aussi les interactions entre élèves, qui peuvent, durant les interclasses, profiter des différents bancs et des vues sur les autres étages depuis les puits de lumière, propices au jeu et aux discussions.

Plan de rez-de-chaussée

Plan du 2ème niveau

L’exercice consistait en la conception d’un immeuble neuf d’une trentaine de logements en plein de cœur de Paris. La parcelle de l’exercice est imposée, elle se situe rue Orfila dans le 20ème arrondissement.

Le bâtiment épais donnant sur rue développe un système de circulation centrale et un système de logements traversants, offrant une pluralité des vues et un ensoleillement tout au long de la journée.

Les logements s’organisent d’une manière identique avec d’une part un salon communiquant directement avec la cuisine, une chambre parentale et une loggia.

P R O F E S S E U R S : Yves Rouby | Jean-Marc Lalo

Le bâtiment longitudinal est lui desservi par une coursive extérieure sur la façade nordest. Cette façade de coursive vient clore une cour intérieure, en relation directe avec le hall d’entrée de l’immeuble. Cette cour constitue un véritable puit de lumière pour le hall et les espaces de circulations, mais aussi pour les chambres des deux autres façades. Pour les logements donnant sur la coursive, le système est différent.

Cette première approche du dessin de l’habitat m’a permis d’appréhender l’échelle de l’espace du logement ainsi que la prise en compte d’un contexte et d’une échelle urbaine.